Ce
n’est pas parce qu’un métier n’est pas en très grande demande (en pénurie),
qu’il est inutile d’étudier dans ce domaine car n’y aura pas d’emploi
disponible.
Même si
le métier dont tu rêves de faire carrière ne figure dans aucune liste des
« métiers les plus en demande », lance-toi quand même car il faut choisir
un métier que l’on aimera. Il n’existe que très peu de métiers où l’on prévoit
de mauvaises perspectives pour l’avenir.
Malgré tout, cette section te présente les
100 métiers et professions les plus en demande, (euh ! plutôt les 110...) dont certains sont moins
connus, mais qui méritent de les connaître.
Toutes les carrières suivantes sont présentement en grande demande et on prévoit de très bonnes, sinon d’excellentes perspectives d'emploi pour les prochaines années.
Le placement des diplômés
des dernières années de ces programmes d’études sont de plus de 80 % en emploi
relié. Dans la majorité des cas, les conditions salariales et de travail sont
plus élevées que la moyennes des emplois du même
niveau de scolarité.
LES SECTEURS ÉCONOMIQUES EN GRANDE
DEMANDE :
Comme tu le sais sûrement, notre système de santé éprouve des difficultés à fournir des services rapides et adéquats auprès de la population. L’une des principales raisons est la pénurie de personnel dans de nombreux secteurs de notre système de santé. Mais, il y a aussi d’autres raisons comme le vieillissement de la population, la mise à la retraite prochaine de plusieurs employés et la progression rapide des technologies dans le secteur de la santé.
Le réseau de la santé est présent partout au Québec et les emplois ne se concentrent pas que dans les établissements de santé universitaires ou affiliés universitaires. Que ce soit en Côte-Nord, en Abitibi-Témiscamingue, en Gaspésie, dans le Bas-St-Laurent, dans le Centre-du-Québec, dans Lanaudière, dans les Laurentides, en Outaouais; il y a d'importants besoins de personnel dans la plupart des domaines.
Pourtant, ces carrières sont très enrichissantes, offrent de nombreux avantages sociaux et de quoi ne pas s’ennuyer au bouleau. De plus, il n’y pas que le système public qui est à la recherche de personnel, le secteur privé également (notamment dans les centres de soins de longue durée pour les personnes âgées, centres de réadaptation, entreprises de soins à domicile). Enfin, les milieux dentaires (cliniques dentaires et cliniques de denturologie) et le milieu pharmaceutique (pharmacies communautaires) sont aussi en pénurie de personnel.
Pour
plus de détails, consulte le
secteur santé.
Au cou rs des années, de nombreuses professions de la santé figurent dans les palmarès des carrières gagnantes. En voici quelques exemples :
Bien sûr que l'on le
retrouve au sein des cliniques médicales, mais également au sein des
CLSC, des CHSLD publics et privés, des dispensaires de soins en régions
éloignés, dans les entreprises de soins
à domicile, les centres de soins palliatifs, les centres de réadaptation
en santé mentale, etc.
Mais, il ne faut surtout pas oublier que la
majorité des médecins qui pratiquent dans les unités d'urgence de la
plupart des hôpitaux du Québec (sauf les hôpitaux universitaires ou
affiliés universitaires), sont des médecins de famille.
Il y a présentement une pénurie de médecins omnipraticiens principalement au sein du service des
urgences des hôpitaux et dans les CHSLD, mais également dans les cliniques
médicales.
Enfin, avec le vieillissement de la population, la
clientèle des CHSLD
augmente et les besoins de médecins également. Donc, une centaine de
médecins généralistes seraient nécessaires au sein de ces établissements.
Les régions ayant les plus grands besoins de
médecins de famille, sont : Montréal, Laval, Lanaudière, Laurentides,
Montérégie, Centre-du-Québec, Outaouais, Abitibi-Témiscamingue,
Côte-Nord et Gaspésie.
Pour ce qui des médecins spécialistes;
il existe 60 spécialités médicales reconnues au Québec dont plusieurs
sont en pénurie ou du moins, en besoins importants dans presque toutes
les régions du Québec.
Il y a des pénuries notamment de : gériatres, anesthésiologistes,
physiatres, radiologistes, chirurgiens urologues, urgentologues
spécialistes.
Il y a aussi des besoins importants, notamment de :
obstétriciens-gynécologues, pathologistes, cardiologues, pneumologues,
rhumatologues, hématologues, oncologues, internistes, endocrinologues,
médecins biochimistes, microbiologiste-infectiologues, chirurgiens
généralistes et chirurgiens plasticiens.
Les régions ont les plus
grands besoins sont : Laval, Lanaudière, Laurentides, Montérégie,
Chaudière-Appalaches, Outaouais, Abitibi-Témiscamingue, Gaspésie et
Côte-Nord.
Pour plus de détails, consulte
la profession de médecin.
Elle déclasse la profession
d'infirmier puisque elle offre de meilleures conditions de travail et
parmi les meilleures parmi le personnel de soutien technique du réseau
de la santé.
Profession très diversifiée, tu peux travailler en
centre de prélèvement, en biochimie, en microbiologie, en
hématologie, en hémostase, en histopathologie, en cytologie, en
pathologie ou en recherche médicale.
Il y a une demande élevée de ces
professionnels non seulement dans les hôpitaux de l'extérieur des grands
centres, mais également dans les cliniques privées et les laboratoires
privés d'analyses médicales.
En 2016, le taux de placement était
de 92 %,
Alors que le taux moyen de placement au cours des 5
dernières années était de 94 %.
En 2016, le salaire annuel en
début de carrière était de 39 400 $.
Le salaire annuel moyen
d'un(e) technologiste médical ayant 10 années d'expérience est de 53 900
$.
Pour plus de détails, consulte la
profession de technologiste médical.
Infirmier : l'un des
plus grands problèmes de notre système de santé est le manque de
personnel, notamment du personnel infirmier.
Contrairement à ce qu'on laisse parfois
croire, les titulaires de la formation collégiale sont encore
très recherchés, notamment dans les cliniques privées, les CHSLD, les
CLSC, les pharmacies, les entreprises de soins à domicile, les hôpitaux
de l'extérieur des grands centres, etc. Ils représentent plus de 65 % de
l'effectif infirmier total.
Pour ce qui est des bacheliers,
ils sont recherchés par les hôpitaux de soins généraux et spécialisés de
l'extérieur des grands centres ayant une vocation régionale, les CLSC,
les cliniques médicales, les centres de soins palliatifs, mais également par les hôpitaux
universitaires et affiliés universitaires, etc.
Selon le magazine Jobboom, cette profession figure au 2e
rang des professions de la santé de niveau collégial et au 3e
rang des professions de la santé de niveau universitaire (derrière les
médecins et les pharmaciens) offrant les meilleures perspectives
d'emploi pour les prochaines années.
Les conditions salariales
sont très bonnes même dans le secteur
privé et bien meilleures que dans les dernières années.
En 2016, le taux
de placement était de 84 % au collégial et 88 % au baccalauréat.
Le taux moyen de placement au cours des 5 dernières années était de 90 %
au collégial et de 89 % au baccalauréat.
Le salaire annuel moyen
d'un(e) infirmier(ère) titulaire du DEC seul ayant 10 années
d'expérience est de 60 300 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e)
infirmier(ère) clinicien(ne) titulaire du baccalauréat ayant 10 années
d'expérience est de 61 200 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e)
infirmier(ère) praticien(ne) spécialisé(e) IPS titulaire du baccalauréat
+ formation supérieure de 2e
cycle ayant 10 années d'expérience est de 72 700 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'infirmier.
De nombreux CHSLD tant
publics que privés ont d'urgents besoins de préposés aux bénéficiaires
afin d'assurer un service de qualité auprès de leurs bénéficiaires.
Les perspectives sont alors
excellentes pour les prochaines années
à court, moyen et long terme (surtout dans le privé).
Attention aux offrent
de formation n'ayant qu'une durée de quelques semaines qui ne permettent
pas d'acquérir toutes les compétences nécessaires notamment dans les
soins de base et en soutien psychologique auprès des mourants ou des
personnes en détresse psychologique.
Rare sont les métiers de la formation technique qui peut se vanter
d'avoir un taux de placement qui atteint ou frôle le 100 % depuis
plusieurs années, c'est le cas des denturologistes.
Avec une population de plus en plus vieillissante,
les besoins en orthèses auditives sont grands et les spécialistes en
pose et ajustement de ces appareils sont recherchés par de nombreux
cabinets de denturologistes, mais aussi les possibilités d'ouvrir son
propre cabinet.
Métier recherche ....femme pour s'épanouir dans
une carrière offrant d'excellentes perspectives d'avenir (seulement 35 %
des denturologistes sont des femmes, mais la profession pourrait en
accueillir davantage).
Le
salaire moyen en début de carrière était de 20,60 $/heure.
Pour
plus de détails, consulte la profession de
denturologiste.
Pour plus de détails, consulte la profession
d'assistant
technique en pharmacie.
Membre primordial de l'équipe de soins, il mesure la tension artérielle des clients, prendre
leur température et leur pouls; évalue la respiration des clients et leurs signes
neurologiques; effectue des prélèvements et prodigue des soins et
des traitements liés aux plaies et aux altérations de la peau (selon une
ordonnance); effectue la vaccination de diverses clientèles; exécute divers traitements : pansements, rasages
préopératoires, injections, surveiller le progrès des clients et informer
l’équipe soignante des changements dans leur condition; etc.
Bien
qu'on retrouve beaucoup dans les CHSLD publics et privés; on en retrouve
aussi dans les centres de réadaptation, les cliniques médicales, les
entreprises de soins à domicile, les CLSC (notamment en soins à
domicile), les résidences privées pour personnes handicapées (physique
et/ou intellectuel), les centres de soins palliatifs, les hôpitaux
(unités des soins palliatifs, des services des urgences, des centres de
prélèvements sanguins, dans les unités de réadaptation ...); etc.
Au cours des cinq dernières années, le taux moyen de placement était
de 81 %,
Or, dans plusieurs régions de l'extérieur des grands
centres, le taux de placement moyen est de 100 %.
La population est de plus en plus âgée, alors
les centres d’hébergement devront augmenter devront augmenter le nombre de
places pour pouvoir les accueillir. Du même fait, ils devront embaucher
davantage de personnel infirmier auxiliaire.
Il y a davantage de personnes malades ou handicapées qui préfèrent être
soignées dans le confort de leur foyer qu'être hébergées dans un centre
d'hébergement, donc les infirmières et infirmiers auxiliaires sont en
demande dans les unités de soins
à domicile des CLSC et au sein des entreprises privées de soins à domicile.
Les conditions salariales
sont très bonnes même dans le secteur
privé et bien meilleures que dans les dernières années.
En
2015, le taux de placement était de 85 %.
Le taux moyen de
placement au cours des 5 dernières années était de 81 %.
Le
salaire annuel moyen d'un(e) infirmier(ère) auxiliaire dans le réseau de
la santé ayant 10 années d'expérience est de 51 500 $.
Pour plus de
détails, consulte la profession d'infirmier
auxiliaire.
Il est souvent
considéré comme le professionnel le plus accessible auprès de la
population, donc il est devenu une alternative à la pénurie de médecins
de famille, bien qu'elle ne cherche aucunement à les remplacer.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen
de placement était de 95 %.
En 2015, le salaire annuel moyen en
début de carrière était de 94 800 $.
Le salaire annuel moyen
d'un(e) pharmacien(ne) clinicien(ne) en milieu hospitalier ayant 10
années d'expérience est de 96 500 $.
Le salaire annuel moyen
d'un(e) pharmacien(ne) salarié(e) en pharmacie communautaire ayant 10
années d'expérience est de 131 000 $.
Pour plus de détails, consulte
la profession de pharmacien.
Rare sont les métiers de la
formation technique qui peut se vanter d'avoir un taux de placement qui
atteint ou frôle le 100 % depuis plusieurs années, c'est le cas des
audioprothésistes.
Avec une population de plus en plus vieillissante,
les besoins en orthèses auditives sont grands et les spécialistes en
pose et ajustement de ces appareils sont recherchés par de nombreux
cabinets d'audioprothésistes, mais aussi les possibilités d'ouvrir son
propre cabinet.
Métier recherche ....femme pour s'épanouir dans
une carrière offrant d'excellentes perspectives d'avenir (seulement 35 %
des audioprothésistes sont des femmes, mais la profession pourrait en
accueillir davantage).
Rare sont les
métiers de la formation technique qui peut se vanter d'avoir un taux de
placement qui atteint ou frôle le 100 % depuis plusieurs années, c'est
le cas des techniciens dentaires.
L’accroissement
de la population vieillissante permet de faire augmenter la demande de
techniciens et techniciennes dentaires. Pour cette raison, les perspectives
s’annoncent excellentes.
Métier recherche ....femme pour
s'épanouir dans une carrière offrant d'excellentes perspectives d'avenir
(seulement 35 % d'entre-eux sont des femmes, mais la profession pourrait
en accueillir davantage).
En 2015, le salaire annuel
moyen en début de carrière était de 114 500 $.
Pour plus de détails, consulte la
profession de dentiste.
Près de la
moitié d'entre-eux pratiquent auprès de clientèles variées, mais près du
tiers se concentrent exclusivement auprès des personnes âgées.
Plus
de la moitié œuvrent en pratique privée, alors que plus du tiers
travaillent dans les établissements publics de santé.
Les besoins
sont notamment observées dans les régions du Centre-du-Québec, de
Lanaudière, des Laurentides, de la Montérégie, de Chaudière-Appalaches
et du Saguenay-Lac-St-Jean.
En 2015, les titulaires de la maîtrise en
physiothérapie avaient un taux de placement de 95 %.
Pour plus de
détails, consulte la profession de
physiothérapeute.
Avec le vieillissement de la population, la hausse du
nombre de personnes soufrant de troubles mentaux, l'augmentation des
risques pour la santé et sécurité au travail (travailleurs plus âgés,
l'augmentation du nombre de tâches avec moins de personnel dans les
milieux industriels et de la santé, etc.).
Bien que près de 70 % des
ergothérapeutes travaillent dans le secteur public, c'est dans le
secteur privé que les perspectives sont les meilleures.
Il y a des
besoins dans les CRDITED, les centres de réadaptation en déficience
physique, les cliniques privées de réadaptation, les CHLSD publics et
privés, les entreprises de soins à domicile, les organismes
communautaires, etc.
En 2015, le taux de placement était de 98 % et
les besoins sont notamment observés en Montérégie, dans les Laurentides,
dans Lanaudière, Chaudière-Appalaches et Laval.
Au cours des 5
dernières années, le taux moyen de placement était de 88 %.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière dans le secteur privé était de 51 100 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) ergothérapeute ayant 10 années
d'expérience dans le secteur privé est de 55 900 $.
Le salaire
annuel moyen d'un(e) ergothérapeute ayant 10 années d'expérience dans le
secteur privé est de 61 100 $.
Pour plus de détails,
consulte la profession d'ergothérapeute.
Les collèges reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres
qu'il y a de diplômés disponibles. La plupart obtiennent un emploi dans
leur milieu de stage.
Son taux de placement varie de 87
à 93 % depuis 2012.
Dans plusieurs régions, il manque d'hygiénistes,
notamment dans le Bas-St-Laurent, en Chaudière-Appalaches,
Abitibi-Témiscamingue, Centre-du-Québec et Laval.
En 2016, le
salaire annuel moyen début de carrière était de 43 400 $.
Pour plus de
détails, consulte la profession d'hygiéniste
dentaire.
L’accroissement de la population vieillissante
permet de faire augmenter la demande de thanatologues. Ce métier fait même
partie des 50 métiers offrant les meilleures perspectives d’avenir.
Selon les informations
fournies par le Cégep de Rosemont, le collège reçoit 2 à
3 fois plus d'offres qu'il y a de diplômés(es) disponibles et parfois même
davantage. Elles proviennent de toutes les régions du Québec. La plupart
obtiennent un emploi dans leur milieu de stage.
Pour
plus de détails, consulte la profession de
thanatologue.
On retrouve ces professionnels dans tous les hôpitaux
universitaires et autres hôpitaux spécialisés, ainsi que les centres
hospitaliers régionaux ou suprarégionaux de la province, ce qui englobe plus
d'une soixantaine d'établissements hospitaliers, en plus de certaines
polycliniques privées qui offrent maintenant des services en
électrophysiologie médicale.
Au cours
des 5 dernières années, le taux de placement moyen était de 91 %.
En 2016, le salaire annuel moyen en début de carrière dans le
secteur privé était de 39 200 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e)
technologue en électrophysiologie médicale dans le secteur privé ayant
10 années d'expérience est de 43 300 $.
En 2016, le salaire annuel moyen en début de carrière
dans le secteur privé était de 40 200 $.
Le salaire annuel moyen
d'un(e) technologue en électrophysiologie médicale dans le réseau de la
santé ayant 10 années d'expérience est de 51 900 $.
Pour plus
de détails, consulte la profession de
technologue en
électrophysiologie médicale.
Avec une population
vieillissante et qui nécessite des examens plus réguliers de leur
vision, mais aussi l'avènement des nouvelles technologies de plus en
plus miniaturisées (dont les Smartphones et les portables) qui sont plus
exigeants pour les yeux, les besoins de consulter un professionnel de la
vision sont grandissants.
Avec un taux de placement de plus de 95 %
depuis plusieurs années, cette tendance continuera au cours des
prochaines années.
Plusieurs cliniques d'optométrie, centres de
lunetterie veulent embaucher des optométristes sans succès, sans oublier
que la majorité des optométristes choisissent d'ouvrir leur propre
cabinet.
Bien qu'elle ne soit pas en pénurie, cette profession a des besoins sont
observés notamment en Côte-Nord, en Abitibi-Témiscamingue, en Montérégie
et en Outaouais.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de
carrière était de 128
300 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'optométriste.
Pour plus de
détails, consulte la profession d'opticien
d'ordonnances.
Bien qu'il n'y
est pas de pénurie dans cette profession, certaines régions ont vu le nombre
de demandes de la clientèle augmenter de façon importante de la difficulté,
ce qui engendre des besoins d'orthophonistes tant en milieu hospitalier
qu'en milieu scolaire dont notamment dans le Centre-du-Québec, le
Saguenay-Lac-St-Jean, l'Estrie, la Montérégie, les Laurentides,
l'Abitibi-Témiscamingue et la Côte-Nord.
Bien que la majorité des
orthophonistes pratiquent dans le secteur public, 28 %
œuvraient à mi-temps dans le secteur public et à mi-temps
dans le secteur privé.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen
de placement était de 94 %.
En 2015, le salaire annuel moyen en
début de carrière dans le secteur privé était de 44 000 $.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'orthophoniste.
Plus de 65 % des TSA travaillent en clinique ou en hôpital
vétérinaire, mais il y en a aussi dans les centres de recherche, la
fonction publique, les organismes de protection des animaux et les
refuges notamment.
Du côté de la médecine des animaux de
compagnie, les perspectives semblent positives. Que ce soit pour
combattre la solitude, pour se protéger ou en raison de la popularité
croissante de la zoothérapie (utilisation des animaux de compagnie pour
atteindre l'équilibre affectif et psychologique), ce secteur
d'intervention progresse régulièrement.
La demande dans le
domaine de la recherche provient aussi bien des secteurs de la santé et
de l'enseignement que du secteur privé. Ce dernier secteur semble
connaître la plus grande croissance.
Compte tenu de la croissance
de la demande de services vétérinaires pour les animaux de compagnie et des
activités de recherche sur les animaux, on prévoit que les besoins de de
technologues et techniciens en santé animale augmentera fortement au cours
des prochaines années.
Le taux de placement moyen au cours des 5
dernières années était de 84 %.
Plus de détails, consulte la
profession de
technicien en santé animale.
De plus en plus de familles québécoises
adoptent un animal de compagnie qui fait partie intégrante de la famille
et tiennent que leurs soins apportés soient les meilleurs.
Plus de 40
% des vétérinaires œuvrent en médecine des animaux de compagnie dans les
cliniques et hôpitaux vétérinaires et les besoins sont observés
notamment en Montérégie, Chaudière-Appalaches et Laurentides.
Un peu
plus de 20 % pratiquent en médecine d'animaux d'élevage, alors que c'est
dans ce secteur que les besoins de vétérinaires sont les plus
importants, notamment dans les régions du Bas-St-Laurent,
Centre-du-Québec, Montérégie, Chaudière-Appalaches et Laurentides.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière était de 66 200 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) vétérinaire ayant 10 années
d'expérience est de 81 000 $.
Pour plus de détails, consulte la profession de
vétérinaire.
Il y aurait davantage de places pour les hommes d'autant plus qu'on y
observe une croissante marquée du nombre d'hommes se préoccupant de leur
santé nutritionnelle.
La profession de
diététiste/nutritionniste connaît un plein essor, compte tenu que la
population se préoccupe davantage de sa santé et souhaite améliorer son mode
de vie, alors les écoles et les hôtels ont davantage besoin de
nutritionnistes. De plus, avec une population qui devient de plus en plus
vieillissante, il y a davantage de besoins dans les résidences pour
personnes âgées.
Il y a de la place afin d'accueillir
quelques centaines de nutritionnistes de plus, principalement dans le
secteur agroalimentaire, mais également dans les cliniques de santé privées,
les CHSLD et les entreprises de soins à domicile.
Bien que plus de 69 % des diététistes-nutritionnistes pratiquaient dans
la région de l'Île de Montréal et 15 % dans la région de Québec; seulement
16 % œuvraient dans une région de l'extérieur du Grand Montréal et de
Québec. C'est d'ailleurs dans ces régions que les besoins sont les plus
importants, notamment en Chaudière-Appalaches, Mauricie, Bas-St-Laurent,
Côte-Nord, Abitibi-Témiscamingue et Gaspésie.
Le taux moyen de
placement au cours des 5 dernières années était de 83 %.
Pour plus de détails, consulte la profession
de nutritionniste.
En 2015, le taux de
placement était de 96 %.
Au cours des 5 dernières années, le
salaire annuel moyen en début de carrière était de 57 100 $.
Pour plus de détails, consulte la profession
de chiropraticien.
Bien que la majorité des orthophonistes pratiquent dans le secteur
public, 24 %
œuvraient à mi-temps dans le secteur public et à mi-temps
dans le secteur privé et 24 % œuvrent en pratique privée seulement.
En clinique
privée, les perspectives d’emploi sont excellentes puisque les besoins de la
population sont croissants et plusieurs personnes choisissent le privé
compte tenu des délais d'attente avant d'obtenir les services d'un(e)
audiologiste sont souvent longs dans le réseau public.
Au cours des 5
dernières années, le taux moyen de placement était de 94 %.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière dans le secteur privé
était de 42 000 $.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'audiologiste.
Secteur des assurances et services financiers :
L'industrie canadienne de l'assurance est un secteur économique fort important et est l'une des industries qui connait la plus grande progression.
L'industrie québécoise de l'assurance, c'était un marché de plus de 23,1 milliards de dollars en 2014. On y retrouvait plus de 950 entreprises qui employaient plus de 68 200 travailleuses et travailleurs indépendants, ainsi que plus de 6 400 travailleuses et travailleurs salariés.
A elle-seule, l'industrie canadienne de l'assurance de personnes est le 3e plus important secteur des services financiers au pays après les services bancaires et les fonds communs de placement. Il est principalement dominé par de grandes entreprises d'assurances qui occupent plus de 80 % du marché.
Elle offre des produits financiers tels que : rentes collectives (régimes de retraite), rentes individuelles (incluant les REER, les FEER et les CELI) prestations d'assurance-maladie (incluant assurance-hospitalisation et assurance-médicaments et autres prestations d'assurance santé), prestations d'assurance-invalidité, prestations d'assurance responsabilité professionnelle, prestations d'assurance-vie individuelles, ainsi que des prestations d'assurance-vie collective. Plus de 318 milliards $ en primes ont été souscrites dans l'ensemble du pays.
Quant à l'industrie canadienne des assurances générales (multirisques) I.A.R.D. a un marché moins important que les assurances de personnes, mais tout de même considérable. Contrairement à ce dernier secteur dominé principalement par de grands assureurs soumis aux lois fédérales, en assurances multirisques on retrouve également plusieurs PME (telles que les mutuelles et les coopératives d'assurances) soumises aux lois provinciales qui occupent plus du tiers du marché.
Elle offre des produits d'assurance tels que : assurance-automobile (incluant véhicules utilitaires), assurance-habitation, assurance de biens personnels, assurance de biens d'entreprise, assurance responsabilité civile, ainsi que d'autres assurances de biens.
Le secteur de l'assurance des entreprises couvre les entreprises et les organisations à but non lucratif concernant leurs biens immobiliers, leurs biens mobiliers, leurs biens financiers, pour leur responsabilité commerciale et pour leur responsabilité civile. Elle représente plus de 6,1 milliards d'assurances émises par les assureurs de dommages.
De nombreuses carrières sont proposées au sein de cette industrie, allant du représentant au service à la clientèle (centres d'appels) jusqu'à l'expert conseil en mathématiques économiques et financières ou le juriste d'entreprise en droit des assurances.
Le domaine est rempli de
défis. On peut facilement gravir des échelons, obtenir des postes de gestion
et même travailler pour son propre compte.
L’industrie présente des
plans de carrière intéressants avec de très bons salaires, des avantages
sociaux concurrentiels, des bonifications basées sur la performance et des
possibilités d’avancement.
La région de Québec est reconnue comme la capitale québécoise et la seconde plus grande concentration d'entreprises de l'assurance au Canada, alors que Montréal a pour sa part, plusieurs entreprises et cabinets conseils dans le secteur des services financiers.
Pour plus de détails, consulte les secteurs suivants : administration et informatique, sciences physiques et mathématiques.
Consulte également le Portrait de l'industrie des assurances et des services financiers.
Voici les professions les plus recherchées de cette industrie :
Actuaire : analyse les différentes situations, incidents et
événements qui représentent un risque en assurance en utilisant tes
connaissances spécialisées en mathématiques financières, en statistique
et en théorie des risques.
Figurant au top 10 des professions
universitaires offrant les meilleures perspectives d'emploi pour les
prochaines années, les actuaires sont très recherchés par les assureurs
afin d'évaluer et de mesurer le niveau de risque qu'elle prend fasse ou
à une couverture ou une réclamation d’assurance auprès d'un type de
clientèle, de celle située dans un secteur ou une région en particulier,
etc.
Avec le vieillissement grandissant de la population, le niveau de risque
d’accidents ou de maladies augmente, en plus de plusieurs autres facteurs comme
l’augmentation du nombre d’événements météorologiques, les assureurs ont
davantage besoin d’actuaires afin d’analyser et de mesures ces nouveaux
risques. Donc, les perspectives sont excellentes pour les prochaines années (et
les conditions d’emploi également).
Selon le service de placement de
l'Université Laval, 30 à 50 % des étudiants qui commencent leur
troisième année en actuariat obtiennent un contrat au sein d’une
entreprise, alors que le recrutement d’actuaires se fait beaucoup par
l’embauche de stagiaires.
De plus, selon l'Institut
canadien des actuaires, plus de 46 % des actuaires sont âgés de plus de 50
ans et prendront leur retraite au cours des prochaines et devront être
remplacés.
Au cours des 6 dernières années, le taux de placement
moyen était de 89 %...
En 2015, son salaire annuel moyen en début
de carrière était de 58 000 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e)
actuaire ayant 10 années d'expérience est de 87 000 $ au sein des PME.
Le salaire annuel moyen d'un(e) actuaire ayant 10 années
d'expérience est de 102 000 $ au sein des grandes compagnies
d'assurances.
Pour plus de détails, consulte la profession d'actuaire.
Mathématicien :
effectue divers calculs et analyses
mathématiques complexes afin de trouver des solutions
à des problèmes d'analyse, de quantification, de mesure, de prévision ou
autres pour divers domaines dont celui des assurances et services
financiers. Il applique les théories et les principes mathématiques,
rechercher des moyens de représenter les données d'une situation au
moyen de symboles, de formules et d'algorithmes mathématiques pour
étudier la fluctuation des marchés financiers, étudier les cycles
économiques, la modélisation, la quantification et la
compréhension des phénomènes régissant les opérations financières d'une
certaine durée (emprunts et placements / investissements), etc.
La plupart détiennent une maîtrise et même, un doctorat.
En 2015,
le taux de placement était de 100 % au niveau de la maîtrise (était de
83 % en 2013) et de 100 % au niveau du doctorat (était de 100 % en
2012).
En 2015, il gagnait en début de carrière en moyenne 55 800
$/année au sein des PME (incluant dans le secteur des assurances et
services financiers), alors que les grandes compagnies d'assurances
offraient en moyenne 54 100 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) mathématicien(ne) ayant 10 années
d'expérience est de 72 200 $ au sein des PME.
Le salaire annuel
moyen d'un(e) mathématicien(ne) ayant 10 années d'expérience est de 83
200 $ au sein des grandes compagnies d'assurances.
Pour plus de détails, consulte la profession de
mathématicien.
Statisticien :
planifie et d’élabore des recherches statistiques dans le but de fournir
des renseignements et de permettre des prises de décision ou des
orientations en présence d'incertitude dans divers champs d'activités
dont celui des assurances et services financiers. Il effectue notamment
l'élaboration d'études statistiques pour prévoir
les fluctuations des marchés lors d'investissements, des études de
marchés pour le calcul des risques en assurance ou en placements
financiers, des études statistiques démographiques afin de connaître le
profil d'une population cible des assureurs, etc.
Bien que la
plupart des diplômés détiennent une maîtrise, les titulaires du
baccalauréat obtiennent aisément un emploi.
En 2015, le taux de
placement était de 92 % au niveau de la maîtrise
En 2015, il gagnait en début de carrière en moyenne 55 800 $/année au
sein des PME (incluant dans le secteur des assurances et services
financiers), alors que les grandes compagnies d'assurances offraient en
moyenne 54 100 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e)
statisticien(ne) ayant 10 années d'expérience est de 72 200 $ au sein
des PME.
Le salaire annuel moyen d'un(e) statisticien(ne) ayant
10 années d'expérience est de 83 200 $ au sein des grandes compagnies
d'assurances.
Pour plus de détails, consulte la profession de
statisticien.
Planificateur financier :
effectue une planification financière personnelle pour ses clients en
fonction de leur situation et de leurs objectifs financiers dans les
domaines de la gestion de prêts, de placements, en gestion des dettes,
en assurances de dommages, en sécurité financière (assurance-vie,
assurance-maladie, etc) et autres produits financiers afin de mieux
planifier leurs finances personnelles dans l'objectif de fonder une
famille, de prendre une retraite, de démarrer une entreprise ou pour
venir à bout de dettes accumulées.
Plus de 59 % des
planificateurs financiers travaillent au sein des institutions
financières (banques),
19 % œuvrent au sein des firmes conseils en
placements et services financiers,
alors que 9 % seulement
travaillent au sein des assureurs,
et enfin, 13 % sont dans d'autres
secteurs.
Les planificateurs(trices) financiers sont de plus en plus
connus et reconnus du public et le titre de Pl. Fin. de l'Institut
québécois de planification financière IQPF gagne en notoriété.
Malgré une augmentation importante du nombre de nouveaux
diplômés dans le domaine, le nombre de personnes ayant besoin d'aide pour
planifier leurs finances personnelles est grandissement.
Plus de 31 % de ses membres sont âgés de
51 ans ou + qui prendront leur retraite au cours des prochaines années et
devront être remplacés. C'est principalement en planification financière et en
assurance individuelle de personnes que les membres sont les plus âgés.
En 2015, le taux de placement au Baccalauréat en administration des
affaires avec spécialisation en services financiers était de 100 %
(était de 100 % en 2013 et 100 % en 2011...).
En 2015, le salaire annuel moyen était de 55 900 $/année au sein des PME
et cabinets-conseils, alors que les grandes institutions financières et
grands assureurs proposaient en moyenne 54 100 $/année.
Le salaire annuel moyen d'un(e)
planificateur(trice) financier ayant 10 années d'expérience est de 62500 $ au sein des PME.
Le salaire annuel moyen d'un(e)
planificateur(trice) financier ayant 10 années d'expérience est de 70
700 $ au sein des grandes entreprises.
Pour plus
de détails, consulte la profession de
gestionnaire en assurances et services financiers.
Conseiller en sécurité financière (ou
"conseiller en finances personnelles" ou "conseiller en services
financiers") : offre et conseille la clientèle sur divers produits
et services relatifs aux services financiers tels que : prêts
hypothécaires, prêts personnels, fonds communs de placements, régimes
d’épargnes-retraite, etc Tu les conseilleras également ta clientèle sur
tous les aspects de la sécurité financière et des finances personnelles.
Il existe 5 disciplines de pratique, soit
: épargne collective, planification financière, assurance individuelle de
personnes, assurance collective de personnes ou plans et bourses d'études. C'est le domaine de l'assurance de personnes qui a connu
la plus forte croissance, alors dans les autres domaines ont plutôt connu
une stabilité.
On
prévoit que les besoins de conseillers en sécurité financière augmenteront au cours des prochaines années car il y a de plus de
personnes qui prendront leur retraite et voulant faire fructifier leur argent,
alors que les plus jeunes pensent davantage à
retraite et investissent dans divers régimes.
En 2015, le taux de
placement au Baccalauréat en administration des affaires avec
spécialisation en services financiers était de 100 % (était de 100 % en
2013 et 100 % en 2011...).
En 2015, le salaire horaire moyen était de 26,88 $/heure au sein des PME
et cabinets-conseils, alors que les grandes institutions financières et
grands assureurs proposaient en moyenne 29,70 $/heure.
Pour plus
de détails, consulte la profession de
gestionnaire en assurances et services financiers.
Analyste ou Conseiller en assurances
: analyse et évalue les
dossiers d’assurances des assurés afin d’évaluer et de déterminer les
risques qu’une indemnisation soit demandée par ceux-ci. Il participe
également à la sélection, l’élaboration,
la réalisation et la supervision des techniques de contrôle des risques
et du financement des risques par l’institution.
Les besoins sont
grandissants pour ces professionnels autant en assurances de personnes
et services financiers qu'en assurances de dommages (particuliers ou
entreprises), que ce soit chez les petits ou chez les grands assureurs.
En 2015, le taux de placement au Baccalauréat en
administration des affaires avec spécialisation en services financiers
était de 100 % (était de 100 % en 2013 et 100 % en 2011...).
En 2015, le salaire horaire moyen était de 26,88 $/heure au sein des PME
et cabinets-conseils, alors que les grands assureurs proposaient en
moyenne 29,70 $/heure.
Pour plus de détails, consulte la
profession de
gestionnaire en assurances et services financiers.
Agent ou Courtier en assurances de personnes
:
conseille les clients sur
les divers produits et services en assurances répondant le mieux à leurs
besoins et à leurs attentes en matière d'assurances de personnes
(assurance-vie, assurance-accident, assurance-hospitalisation,
assurance-voyages, assurance-responsabilité, assurance collective,
etc.).
Bien que la moitié des répondants de l'enquête sur le
placement en conseils en assurance et services financiers poursuivent
des études universitaires,
des plans de carrière intéressants avec de très bons salaires sont
offerts aux diplômés du collégial.
En 2016, le salaire moyen en début de carrière était de 19,74 $/heure (40 hres/sem)
690,00 $/semaine en tant que travailleur indépendant;
22,63 $/heure
en tant qu'agent junior en assurances de personnes chez les grands
assureurs-vie.
Pour plus de détails, consulte la page de
technicien en
assurance et services financiers.
Agent ou Courtier en assurances de dommages
:
le courtier évalue les
produits offerts en cas de sinistres ou accidents (assurance habitation,
assurance automobile, assurance véhicules récréatifs, assurance
entreprise, etc.) par les différents assureurs (chaque courtier
travaille et négocie avec plusieurs assureurs); conseille l'assuré selon
ses besoins et sa situation et enfin, lui recommander le produit
approprié.
L'agent travaille pour un assureur en particulier afin
de conseiller l'assuré selon ses besoins et sa situation et enfin, lui
recommander le produit approprié parmi les produits offerts par cet
assureur.
Selon la Coalition de promotion des professions en
assurance de dommages; d’ici la fin 2016, 5 169 postes seront à pourvoir
dans l’industrie de l’assurance de dommages, mais ne sera probablement pas tous
comblés, compte tenu du manque de candidats dont plus de 2 200 courtiers et
plus de 2500 agents.
Un peu partout au Québec, il y a un manque de
candidats, voir même une pénurie dans certaines régions
notamment en Abitibi-Témiscaminque et en Côte-Nord, mais
également dans les Laurentides, Québec et la Montérégie.
Bien que la
moitié des répondants de l'enquête sur le placement en conseils en
assurance et services financiers poursuivent des études universitaires,
des plans de carrière intéressants avec de très bons salaires sont
offerts aux diplômés du collégial.
En 2016, le salaire moyen en début de carrière était de 19,74 $/heure (40 hres/sem)
690,00 $/semaine en tant que travailleur indépendant;
22,63 $/heure
en tant qu'agent junior en assurances générales des particuliers chez
les grands assureurs.
Pour plus de détails, consulte la page de
technicien en
assurance et services financiers.
Expert en sinistres : mandaté par un assureur, il
enquête sur les circonstances d'un sinistre, évalue et estime les pertes
et les dommages subis par les assurés lors d'un sinistre et négocie les
règlements afin d’indemniser le client et rétablir son quotidien.
Selon la Coalition de promotion des professions en
assurance de dommages; d’ici la fin 2016, 5 169 postes seront à pourvoir
dans l’industrie de l’assurance de dommages, mais ne sera probablement pas tous
comblés, compte tenu du manque de candidats dont plus de 900 experts en
sinistres.
Un peu partout au Québec, il y a un manque de
candidats, voir même une pénurie dans certaines régions
notamment en Abitibi-Témiscaminque et en Côte-Nord, mais
également dans les Laurentides, Québec et la Montérégie.
L’industrie
présente des plans de carrière intéressants avec de très bons salaires,
des avantages sociaux concurrentiels, des bonifications basées sur la
performance et des possibilités d’avancement.
Bien que la moitié
des répondants de l'enquête sur le placement en conseils en assurance et
services financiers poursuivent des études universitaires, des plans de
carrière intéressants avec de très bons salaires sont offerts aux
diplômés du collégial.
En 2016, le salaire moyen en début de carrière était de 19,74 $/heure (40 hres/sem)
690,00 $/semaine en tant que travailleur indépendant;
23,50 $/heure
en tant qu'expert en sinistres junior en assurances générales des
particuliers chez les grands assureurs.
Pour plus de détails,
consulte la page de
technicien en
assurance et services financiers.
Souscripteur d'assurances (de dommages)
:
pour le compte d'un
assureur, il étudie les propositions que les courtiers ou les agents
font pour assurer leur client; analyser les risques que comporte chaque
dossier d’assuré (les critères qui influencent le risque sont multiples
: l’âge, le sexe, l’endroit où il habite, par exemple) et enfin,
souscrit les protections qui correspondent aux biens que les assurés ont
à couvrir.
Selon la Coalition de promotion des professions en
assurance de dommages; d’ici la fin 2016, 5 169 postes seront à pourvoir
dans l’industrie de l’assurance de dommages, mais ne sera probablement pas tous
comblés, compte tenu du manque de candidats dont plus de 360 souscripteurs.
L’industrie présente des plans de carrière intéressants avec de très
bons salaires, des avantages sociaux concurrentiels, des bonifications
basées sur la performance et des possibilités d’avancement.
Bien
que la moitié des répondants de l'enquête sur le placement en conseils
en assurance et services financiers poursuivent des études
universitaires, des plans de carrière intéressants avec de très bons
salaires sont offerts aux diplômés du collégial.
En 2016, le salaire moyen en début de carrière était de 19,74 $/heure (40 hres/sem.)
690,00 $/semaine en tant que travailleur indépendant;
21,49 $/heure
en tant que souscripteur chez
les grands assureurs.
Pour plus de détails, consulte la page de
technicien en
assurance et services financiers.
Secteur des services sociaux et éducatifs :
Faire carrière dans une profession permettant d'i
Près de 40 % travaillent dans le réseau des
services sociaux (centres jeunesse, CRDITED, CLSC, CHSLD),
Plus de 30
% œuvrent dans le réseau de l'éducation public ou privé (écoles
primaires, écoles secondaires, écoles spéciales, centres d'éducation aux
adultes en intégration socioprofessionnelle);
Moins de 10 % œuvrent
dans le secteur privé (organismes communautaires, centres de recherche
d'emploi, carrefours jeunesse emploi CJE, cabinet conseil, etc.), alors
que les besoins y sont importants.
En 2015, le salaire annuel
moyen en début de carrière dans le secteur privé était de 49 600 $.
Alors, qu'un psychoéducateur ayant 10 années d'expérience gagnait en
moyenne 55 000 $.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de
carrière dans les commissions scolaires était de 42 000 $;
Alors,
qu'un psychoéducateur ayant 10 années d'expérience gagnait en moyenne 58
400 $.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière dans
le réseau de la santé et des services sociaux était de 42 200 $.
Alors, qu'un psychoéducateur ayant 10 années d'expérience gagnait en
moyenne 58 200 $.
Pour plus de détails, consulte la
page de
psychoéducateur.
Très
diversifié autant dans le choix du domaine de spécialisation, du milieu
de pratique, du type de clientèle, du type d'école de pensée en
psychologie, ce qui rend ses perspectives beaucoup plus larges.
Son
taux de placement varie entre 85 et 94 % depuis 10 ans et risque
d'augmenter au cours des prochaines années.
Les domaines de la
psychologie sociale et familiale, la neuropsychologie, la
psychogérontologie et la psychologie organisationnelle sont les
spécialisations les plus recherchées.
Les emplois sont surtout
concentrés dans les cliniques et cabinets privés en psychologie, les
cliniques médicales, les cliniques de réadaptation, les CHSLD, les
organismes communautaires, mais également les centres de réadaptation en
déficience physique, les CRDITED et les CLSC.
Dans certaines régions,
il y a davantage de besoins que dans d'autres régions dont : Lanaudière,
Laval, Laurentides, Outaouais, Montérégie, Chaudière-Appalaches,
Bas-St-Laurent et Abitibi-Témiscamingue.
Il faut prendre en
considération que cette profession exige un doctorat en psychologie,
soit 7 années d'études universitaires.
En 2015, le salaire annuel
moyen en début de carrière dans le secteur privé était de 66 400 $.
Alors, qu'un psychologue ayant 10 années d'expérience gagnait en moyenne
73 000 $.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière
dans les commissions scolaires était de 44 400 $;
Alors, qu'un
psychologue ayant 10 années d'expérience gagnait en moyenne 64 200 $.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière dans le réseau
de la santé et des services sociaux était de 44 300 $.
Alors, qu'un
psychologue ayant 10 années d'expérience gagnait en moyenne 64 000 $.
Pour plus de détails, consulte
la profession de
psychologue.
Éducateur de la petite enfance : depuis
quelques années, de nombreux enfants ont vue le jour et de nombreux
parents cherchent désespérément une place dans une garderie. L'une des
causes de cette pénurie est le manque de personnel autant dans les CPE
que dans les garderies privées.
Depuis 5 ans, environ une centaine de
CPE, une cinquantaine de garderies privées subventionnées et une
soixantaine de garderies non subventionnées ont été créées, sans oublier
de nombreuses garderies ayant agrandies leurs installations.
Donc,
pas surprenant qu'il figure dans le top 30 des métiers de la formation
technique offrant les meilleures perspectives du palmarès du Ministère
de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur et que son taux de
placement frôle les 90 % depuis quelques années.
Au cours des 5
dernières années, le taux moyen de placement était de 89 %.
Les régions les plus
touchées par la pénurie sont : Montérégie, Laval, Québec, Lanaudière,
Laurentides et Chaudière-Appalaches.
En 2016, le salaire annuel moyen
d'une technicienne en service de garde dans une école primaire privée était de 30
800 $,
En 2016, le salaire annuel
moyen d'une éducatrice en petite enfance dans une garderie privée
indépendante non subventionnée était de 31 400 $,
En 2016, le salaire
annuel moyen d'une éducatrice en petite enfance dans une garderie privée subventionnée
était de 31 800 $,
En 2016, le salaire annuel moyen d'une éducatrice en petite enfance au sein des CPE était de 32 900 $,
En 2016, le
salaire annuel moyen d'une technicienne en service de garde dans une
commission scolaire était de 34 300 $.
Pour plus de détails, consulte
la profession d'éducateur
de la petite enfance.
L’accroissement de la population vieillissante
permet de faire augmenter la demande de thanatologues. Ce métier fait même
partie des 50 métiers offrant les meilleures perspectives d’avenir.
Selon les informations
fournies par le Cégep de Rosemont, le collège reçoit 2 à
3 fois plus d'offres qu'il y a de diplômés(es) disponibles et parfois même
davantage. Elles proviennent de toutes les régions du Québec. La plupart
obtiennent un emploi dans leur milieu de stage.
Pour
plus de détails, consulte la profession de
thanatologue.
Au 1er rang des disciplines dont
les besoins sont les plus importants en enseignants au primaire, au
secondaire et à
l'éducation aux adultes, autant dans le secteur public que dans
le secteur privé; le nombre croissant
d'immigrants, les besoins de formation en français langue seconde
augmenteront également.
Donc, les perspectives sont excellentes, principalement dans les régions de Montréal, Montérégie,
Lanaudière, Laval, Québec et Estrie, mais également
dans le Bas-St-Laurent, au Saguenay-Lac-St-Jean,
en Mauricie, dans le Centre-du-Québec puisqu'on y retrouve davantage
d'immigrants qui choisissent ces régions pour s'y installer.
Dans les régions de
l'Abitibi-Témiscamingue, de la Gaspésie et de la Côte-Nord, le placement est
excellent avec plusieurs postes permanents à offrir.
À l'extérieur du Québec (notamment en Ontario et en BC, mais aussi dans
plusieurs autres provinces), on subit présentement une pénurie
de professeurs qualifiés afin d’enseigner le français.
Au cours des 5
dernières années, le taux moyen de placement était de 90 %.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant dans une école
primaire ou secondaire publique était de 42 700 $,
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant dans une école
primaire ou secondaire privée était de 41 300 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'enseignant
en français langue seconde.
Dû au nombre grandissant d’élèves du primaire et du secondaire
éprouvant des difficultés de nature scolaire ou comportementale, les besoins en
enseignants en adaptation scolaire se font davantage ressentir.
Les besoins sont
mêmes plus forts en régions que dans les grandes villes.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière
d'un enseignant dans une école primaire ou secondaire publique était de 42 700 $,
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un
enseignant au secondaire dans une école secondaire privée était de 41
300 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'enseignant
en adaptation scolaire.
Travailleur social : il peut travailler
dans de nombreux domaines d'activités (enfance/jeunesse/famille,
gérontologie, santé mentale, délinquance, organisation communautaire,
etc.); auprès de clientèles variées (enfants et adolescents, familles,
personnes aînées, groupes de travailleurs, personnes en institution,
délinquants, démunis, etc.) et au sein de plusieurs types de milieux
(organismes communautaires, CLSC, CHSLD, centres de réadaptation en
dépendances, centres de réhabilitation sociale, centres correctionnels
communautaires, centres d'hébergement en santé mentale, etc.).
Le manque de
ressources dans le réseau public de la santé incite de nombreuses
personnes à se tourner vers les organismes communautaires afin de leur
venir en aide lors de problématiques sociales (pauvreté, dépendances,
santé mentale, violence familiale, etc.).
Malgré les difficultés
budgétaires, le réseau public de l'éducation et le réseau public des
services sociaux (CLSC, CHSLD, CRDITED, centres jeunesse, centres de
réadaptation en dépendances) ont également des besoins de travailleurs
sociaux.
L'augmentation des problèmes sociaux (pauvreté, chômage,
désinstitualisation des personnes avec trouble mental et des
délinquants, etc.), le manque de ressources et les listes d'attente pour
obtenir les services d'un professionnel, et le vieillissement de la
population font augmenter les besoins de travailleurs sociaux.
Avécu
les nombreux départs à la retraite, plusieurs postes à temps complet
seront offerts.
Au cours des 5 dernières années, le taux
moyen de placement était de 89 %.
En 2015, le salaire annuel
moyen dans une école secondaire privée était de 40 300 $,
En 2015, le
salaire annuel moyen au sein d'un centre jeunesse ou un CRDITED ou un
CLSC était de 41 400 $,
En 2015, le salaire annuel moyen au sein
d'une commission scolaire était de 41 600 $,
En 2015, le salaire
annuel moyen dans le privé (clinique, organisme communautaire,
etc.) était de 44 400 $.
Pour plus de détails, consulte la
profession de
travailleur social.
Enseignant en sciences et
technologie au secondaire : est responsable d’enseigner auprès adolescentes et adolescents au niveau de
l’enseignement général du secondaire dans les principales disciplines des
sciences, soit la biologie, la chimie et la physique, ainsi que l’initiation
à la technologie.
Au 2e rang
des disciplines dont les besoins sont les plus importants en enseignants
au secondaire et à l'éducation aux adultes autant dans le secteur public
que dans le secteur;
on a de plus en plus besoin d'enseignantes et enseignants en sciences au secondaire
principalement pour enseigner la chimie ou la physique de 4e et 5e
secondaire.
De bonnes perspectives sont
à prévoir dans les grands centres puisqu'il
manque des enseignants pour ces disciplines et plusieurs prendront leur
retraite au cours des prochaines années.
Pour ce qui des régions de l'extérieur
des grands centres, les perspectives sont très bonnes dans
plusieurs régions (Lanaudière, Laurentides, Montérégie, Estrie,
Outaouais) et même,
excellentes dans certaines régions rurales ou éloignées
Abitibi-Témiscamingue, Côte-Nord, Gaspésie et Nord-du-Québec) avec plusieurs postes permanents à offrir.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement était de
86 %.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant au
secondaire dans une école secondaire publique était de 42 700 $,
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un
enseignant au secondaire dans une école secondaire privée était de 41
300 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'enseignant
en sciences et technologie au secondaire.
Enseignant en mathématiques
au secondaire : est responsable d’enseigner auprès adolescentes et adolescents au niveau de
l’enseignement général du secondaire les notions intermédiaires en mathématiques telles
que les nombres complexes, la géométrie, l’algèbre, les équations, les fonctions
mathématiques, la trigonométrie, probabilités et statistiques, etc.
Au 3e rang des disciplines dont
les besoins sont les plus importants en enseignants au secondaire et à
l'éducation aux adultes autant dans le secteur public que dans le
secteur; il y a déjà des pénuries d'enseignantes et
d'enseignants en mathématiques dans plusieurs écoles de la province.
De bonnes perspectives sont
à prévoir dans les grands centres puisqu'il
manque des enseignants(es) les mathématiques et plusieurs prendront leur
retraite au cours des prochaines années.
Pour ce qui des régions de l'extérieur
des grands centres, les perspectives sont très bonnes dans
plusieurs régions (Lanaudière, Laurentides, Montérégie, Estrie,
Outaouais) et même,
excellentes dans certaines régions rurales ou éloignées
Abitibi-Témiscamingue, Côte-Nord, Gaspésie et Nord-du-Québec) avec plusieurs postes permanents à offrir.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement était de
86 %.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant au
secondaire dans une école secondaire publique était de 42 700 $,
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un
enseignant au secondaire dans une école secondaire privée était de 41
300 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'enseignant
en mathématiques au secondaire.
Enseignant en éducation physique au primaire ou secondaire
: est responsable
d’enseigner auprès d'enfants ou d'adolescents au niveau de
l’enseignement général, les notions de base ou intermédiaires de diverses disciplines sportives
(individuelles, duelles ou collectives).
Au 4e
rang des disciplines dont les besoins sont les plus importants en
enseignants au secondaire autant dans le secteur public que dans le
secteur privé; on a de plus en plus besoin d'enseignantes et enseignants en sciences au secondaire
principalement pour enseigner la chimie ou la physique de 4e et 5e
secondaire.
Avec une
clientèle étudiante qui pratiquent de moins en moins d'activités physiques,
le Ministère de l'Éducation et les écoles désirent accorder davantage de
temps
à l'enseignement de l'éducation physique, ce qui engendra une hausse des
besoins d'enseignants en éducation physique tant au primaire qu'au
secondaire.
En 2015, le placement
était bon notamment dans les régions suivantes : Québec, Laurentides,
Lanaudière, Laval, Montérégie
et Chaudière-Appalaches. Par contre, il y a beaucoup de contrats ou de
suppléance au cours des premières années.
Dans les régions de
l'Abitibi-Témiscamingue, de la Gaspésie et de la Côte-Nord, le placement est
excellent avec plusieurs postes permanents à offrir.
Au
cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement était de 84 %.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant dans une école secondaire
publique était de 42 700 $,
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant dans une école
primaire ou secondaire privée était de 41 300 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'enseignant
en éducation physique.
Dans les régions de
l'Abitibi-Témiscamingue, de la Gaspésie et de la Côte-Nord, le placement est
excellent avec plusieurs postes permanents à offrir.
Au cours des 5
dernières années, le taux moyen de placement était de 90 %.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant dans une école
primaire ou secondaire publique était de 42 700 $,
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un enseignant dans une école
primaire ou secondaire privée était de 41 300 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'enseignant
en anglais langue seconde.
En tant que spécialiste en intervention
auprès de personnes ayant des problèmes physiques, affectifs,
intellectuels ou sociaux, l'éducateur spécialisé peut œuvrer auprès de
différentes clientèles (enfants, adolescents ou adultes), ayant
différents types de problématiques (difficultés d'apprentissage,
troubles du langage, de la parole ou de la vision, déficience physique,
psychomotrice ou cognitive, déficience intellectuelle, troubles du
comportement, trouble mental, etc.), dans différents types de milieux
(éducation, réadaptation, hospitalier, communautaire, etc.); donc les
possibilités d'emploi sont variés.
Grâce aux départs à la retraite de
plusieurs éducateurs et éducatrices spécialisés, plusieurs postes à
temps plein risquent d'être disponibles au cours des prochaines années.
Dans plusieurs régions de l'extérieur des grands centres, le
taux de placement atteint presque 100 % puisque certains collèges reçoivent
jusqu'à 4 fois plus d'offres d'emploi qu'il y a de diplômés disponibles à
l'emploi.
Le manque de ressources spécialisées dans plusieurs régions
nécessitent des éducateurs spécialisés polyvalents pouvant intervenir
auprès d'une
clientèle diversifiée, ce qui apporte une dynamique particulière à leur
travail.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement
était de 85 %.
En 2016, le salaire annuel moyen d'un éducateur
spécialisé au sein d'un organisme communautaire OSBL était de 34 500
$,
En 2016, le salaire annuel moyen d'un éducateur
spécialisé dans une école primaire ou secondaire privée était de 37 900
$,
En 2016, le salaire annuel moyen d'un technicien en éducation
spécialisée dans une commission scolaire était de 41 200 $,
En 2016,
le salaire annuel moyen d'un technicien en éducation spécialisée dans un
centre jeunesse ou un CRDITED était de 41 200 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'éducateur
spécialisé.
Auxiliaire en santé et
services sociaux : le manque de ressources dans le réseau de la
santé incitent davantage les personnes âgées, les personnes handicapées
et les personnes malades (notamment celles en fin de vie) de se faire
soigner
à la maison au lieu de l'hospitalisation.
Les personnes âgées
semi-autonomes ou non-autonomes quant à elles préfèrent opter pour les
soins à domicile au lieu de terminer leurs jours en centre
d'hébergement.
Les besoins en main-d'œuvre qualifiée de préposés
pouvant fournir de l'aide et du soutien aux activités de la vie
quotidienne auprès de ces personnes sont grandissantes et risquent
d'augmenter au cours des prochaines années.
On les retrouve dans les
entreprises de services et soins à domicile, les résidences privées pour
aînés autonomes ou semi-autonomes, les CLSC et les organismes
communautaires.
Depuis 2009, le taux de placement varie de 81 à 89 %
annuellement.
Pour plus de détails, consulte le métier d'auxiliaire
en santé et services sociaux.
Secteur des technologies de l'information :
L'industrie canadienne des technologies de l'information est l'une des industries les plus importantes au pays dans presque tous les secteurs.
Le Canada figure parmi les leaders mondiaux dans ce créneau figurant au 7e rang mondial (derrière les USA, le Japon, la Corée du Sud, la Chine, l'Allemagne et l'UK).
On retrouvait plus de 5 400 entreprises qui employaient plus de 145 500 travailleuses et travailleurs dans différentes régions de la province, mais principalement concentrés dans la région de Montréal, mais également dans les régions de Québec, de la Montérégie, de Laval, des Laurentides, de l'Estrie et de l'Outaouais.
Capitale québécoise de l'industrie des technologies de
l'information et 4e
région en Amérique du Nord (derrière San Francisco, New York et Toronto)
ayant la plus grande concentration d'entreprises en TI; Montréal
compte à elle seule près de 4 000 entreprises qui emploient plus de 75 000
personnes, ce qui en fait le troisième secteur d'emploi le plus important
(après les services publics et l'industrie de la finance).
On y retrouve notamment : près de 2 400
firmes de consultants en TI, près de 200 éditeurs de logiciels, 90
développeurs de jeux vidéo, une centaine de grossistes et distributeurs de
logiciels, 50 fournisseurs d'équipements de télécommunications et plus d'un
millier de fournisseurs de produits informatiques.
En excluant les secteurs du multimédia et du jeu vidéo,
on retrouve dans la région de Québec plus de 540 entreprises
(majoritairement des PME) et qui emploient plus de 10 000 personnes (dont la
majorité sont des Programmeurs, développeurs, analystes et
Conseillers en technologies de l'information).
On y retrouve principalement plus de 300 firmes de consultants en
informatique (dont les bureaux de quelques grandes sociétés de conseils en
TI), près de 200 fournisseurs de produits informatiques, une vingtaine de
grossistes et distributeurs de logiciels, plus de 70 éditeurs de logiciels
(applications de gestion, applications géospatiales, applications
éducatives, etc.), ainsi que quelques entreprises de télécommunications.
Il faut ajouter les nombres compagnies
d'assurances dont le siège social est situé à Québec (Industrielle-Alliance,
La Capitale, SSQ) et les organismes gouvernementaux qui emploient de
nombreux spécialistes en TI.
Pour ce qui est de la Montérégie; elle compte
plus de 350 entreprises en technologies de l'information qui emploient plus
de 4 500 personnes, majoritairement des PME employant moins de 25 personnes.
Il y a plus d'une centaine de cabinets de consultants en TI et autres
entreprises spécialisées en conception, développement et gestion de réseaux,
systèmes et infrastructures informatiques pour PME, une cinquantaine
d'éditeurs de logiciels, ainsi que quelques grandes entreprises ayant leur
siège social dans la région qui emploient également plusieurs spécialistes
des TI.
En gestion et développement de réseaux informatiques ça va très bien car les entreprises ont des besoins grandissants d'améliorer l'efficacité, la rapidité et la productivité au sein de l'entreprise qui passent souvent par un réseau informatique fiable et performant.
En analyse, conception, gestion, intégration et développement de systèmes informatiques autres que les réseaux; ça va très bien aussi puisque, ce que recherche les entreprises c'est un système qui peut être fiable, efficace et performant, mais pas trop coûteux.
En gestion de bases de données; il y a également de bonnes perspectives d'emploi puisque les entreprises cherchent des solutions afin d'optimiser le stockage et la gestion de leurs bases de données volumineuses à moindre coût, mais sans négliger l'efficacité de leur utilisation et surtout, en toute sécurité. C'est là qu'interviennent les entreprises spécialisées en gestion de bases de données et gestion électronique des documents.
En technologies Web; bien que plusieurs grandes organisations s'occupent eux-mêmes (surtout les institutions financières, les compagnies d'assurances, les compagnies de télécommunications, les groupes de médias, etc.), plusieurs autres organisations ont plutôt choisi de sous-contracter la gestion et le développement de leur site Web auprès d'une entreprise spécialisée dans le domaine puisqu'il est devenu de plus en plus complexe d'assurer la sécurité, la mise à jour et le support technique nécessaire au fonctionnement d'un site Web moderne, attrayant et de qualité.
Pour plus de détails, consulte le Portrait de l'industrie des technologies de l'information.
Voici les principales professions les plus en demande dans le secteur en pleine croissance :
Spécialiste en cybersécurité : est
responsable de définir et de mettre en œuvre les actions nécessaires à
la protection des données, à la pérennité des systèmes d’information et
à la lutte contre les opérations frauduleuses.
Les perspectives
sont excellentes au sein des grandes sociétés de conseils en
technologies de l'information (notamment en ce qui concerne les fraudes
dans le commerce en ligne et sur les réseaux sociaux), au sein des
compagnies de télécommunications, au sein des institutions
financières (banques et caisses) et au sein des compagnies d'assurances.
Selon la Chaire de recherche en cybersécurité de l'Université de
Montréal; on estime qu'il manquerait une dizaines de milliers de
spécialistes en cybersécurité au Canada d'ici au cours des prochaines
années.
Elle prévoit que, dans un « futur proche », les petites
et moyennes entreprises accueilleront systématiquement des spécialistes
des réseaux informatiques pour se protéger des attaques. De nouveaux
emplois seront même créés dans le secteur. « On aura besoin de personnes
en prévention, en sensibilisation, ainsi qu’en formation des usagers.
Le salaire annuel moyen en début de carrière d'un spécialiste en sécurité informatique était de
55 100 $.
Le salaire annuel moyen d'un spécialiste en cybersécurité ayant
environ 10 années d'expérience était de 75 100 $.
Il existe maintenant un baccalauréat en
cybersécurité offert par l'École
Polytechnique de Montréal.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'analyste
en informatique.
Analyste d'affaires (ou "analyste en
intelligence d'affaires") : développe des rapports d’analyse et
des indicateurs de performance correspondant aux besoins d’affaires des
entreprises. Il analyse des données provenant de sources multiples afin
de produire des recommandations visant l’atteinte des objectifs.
Généralement, un baccalauréat en administration - spécialisation en TI
ou un baccalauréat en informatique de gestion + un M.B.A. -
spécialisation en analytique d'affaires est exigé.
Plusieurs
moyennes et grandes entreprises de différents secteurs recherchent ce
spécialiste : sociétés de conseils en TI, institutions financières,
compagnies d'assurances, chaînes d'alimentation, chaînes de pharmacie,
entreprises de télécommunications, agences de recrutement, agences de
marketing numérique, etc.
Selon HEC Montréal et l'Université
Laval, le taux de placement moyen est près de 100 %.
En 2015, le salaire
annuel moyen en début de carrière d'un analyste d'affaires junior était
de 51 100 $.
Le salaire annuel moyen d'un analyste en intelligence d'affaires (ou
"analyste d'affaires") était de 68 200 $.
Pour plus de
détails, consulte la page de
gestionnaire en technologies de l'information.
Développeur d'applications Web ou mobiles : est
chargé de construire des programmes informatiques dans le domaine du Web
(solutions Web mobiles, solutions de transactions en ligne ou mobiles,
applications de jeux en ligne ou mobiles, etc.); pour ses clients par
l'analyse de leurs besoins; la réalisation les analyses fonctionnelles;
le développement, le maintient et l'implantation des applications selon
les analyses développées, etc.
On le trouve au sein des
entreprises de développement d'applications, des entreprises de
télécommunications, les entreprises de conception de jeux, les
entreprises de conception de sites Web, les sociétés conseils en
technologies de l'information, les agences de marketing numérique, etc.
Bien qu'il ne soit pas le métier le plus payant de l'industrie,
c'est probablement celui dont les besoins sont les plus grands, celui
ayant la plus grande polyvalence. De plus, elle offre de nombreuses
possibilités de promotion, notamment comme chargé de projets, directeur
technique ou gestionnaire de projets.
Une étude menée en 2013 par
TechnoCompétences (un organisme de promotion des carrières en TI) permet
d'évaluer à 4 000 le nombre d'emplois directement liés au développement
d'applications mobiles, répartis dans 226 entreprises au Québec.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière était de 40 200 $.
Le salaire annuel moyen d'un développeur d'applications mobiles ou
Web était de 45 000 $.
Pour plus de
détails, consulte les professions de
technicien en informatique et d'analyste
en informatique.
Chef de projet informatique (ou "chargé de
projet en TI") : de la
phase d’étude à la phase finale, il coordonne toutes les étapes d’un
projet. Il définit les besoins, énonce les contraintes (temps, budget,
etc.) et coordonne les différents intervenants.
Généralement,
quelques années d'expérience en tant que développeur, programmeur ou
programmeur-analyste est nécessaire afin d'accéder à ce poste
recherché par plusieurs entreprises, autant celles en TI (entreprises de
développement d'applications, entreprises de conception de sites Web,
fournisseurs d'accès Internet, sociétés de conseils en TI, etc.) que les
que les institutions financières, les compagnies d'assurances, les
entreprises de télécommunications, les entreprises de postproduction
télévisuelle et cinéma, les sociétés de génie conseil, etc.).
Bien qu'un baccalauréat est acceptable, plusieurs employeurs exigent de
détenir une maîtrise en informatique.
Le salaire annuel moyen d'un chef
de projet junior est de 55 400 $; alors que celui d'un chef de
projet sénior est de 69 300 $.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'analyste
en informatique.
Ingénieur en logiciel : est responsable d'élaborer, de concevoir de
réaliser, d'effectuer la maintenance et de développer des systèmes
logiciels, intégrés et à grande échelle.
Selon les données du Ministère de l’Éducation, le métier d’ingénieur(e)
en logiciel est l’une des 15 professions de niveau universitaire présentant les
meilleures perspectives d’avenir.
L
Depuis 2009, le taux de placement moyen est de 88 %.
En 2015,
le
salaire moyen en début de carrière était de 25,48 $/heure en tant
qu'ingénieur stagiaire et augmente à 33,34 $/heure en tant qu'ingénieur
au sein des PME.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'ingénieur
en logiciel.
Ingénieur informaticien : est responsable
responsable de gérer la maintenance et du cycle de vie et assurer du
soutien technique et diriger du personnel affecté à la maintenance d'équipements informatiques ou
de télécommunications au sein des entreprises et organisations de services.
Selon les données du Ministère de l’Éducation, le métier d’ingénieur(e)
en logiciel est l’une des 15 professions de niveau universitaire présentant les
meilleures perspectives d’avenir.
Selon les données du Ministère de l’Éducation, le
métier d’ingénieur(e) informaticien(ne) est l’une des 15 professions de niveau
universitaire présentant les meilleures perspectives d’avenir.
L
En 2015,
le
salaire moyen en début de carrière était de 27,35 $/heure en tant
qu'ingénieur stagiaire et augmente à 32,11 $/heure en tant qu'ingénieur
au sein des PME.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'ingénieur
informaticien.
Webmestre (ou "administrateur de site Web")
: est en charge de la conception et du bon fonctionnement au quotidien
d'un site Web d'une entreprise ou d'une organisation (privée sans but
lucratif ou publique). Il repère les problèmes et trouve des solutions,
gère au jour le jour la technique et met à jour le contenu, etc.
Avec les développements constants de nouvelles fonctionnalités, de
nouvelles technologies multimédias (diffusions "live", la navigation
interactive, etc.), les problèmes de cybersécurité notamment; les
webmestres doivent être polyvalents et capable de gérer le technique,
être créatif dans la réalisation graphique de la plateforme, faire de la
rédaction et animer les réseaux sociaux et les sites de bavardage.
La plupart des grandes entreprises, ainsi que les organismes publics
ont leur personnel de gestion Web, alors que les PME font affaires avec
des entreprises spécialisées dans le domaine. Les entreprises doivent se
démarquer avec leur site Web afin de rejoindre le mieux possible leur
clientèle qui provient de tous les coins de la planète et ce, face
à une concurrence qui est mondiale.
En 2015, le salaire annuel
moyen était de 52 700 $ et peut atteindre jusqu'à 71 100 $ en
devenant administrateur Web et intranet collaboratif.
Pour plus
de détails, consulte la profession de
technicien en informatique ou de
technicien en multimédia.
Analyse fonctionnel en
développement d'applications et consultant en informatique :
est responsable d'analyser, développer et
programmer des applications informatiques de toutes sortes (applications
de gestion, applications éducatives ou de collaboration, applications
d'ingénierie, applications scientifiques, applications de gestion de
l'informatique, applications de gestion de systèmes ou de réseaux, etc.)
afin de répondre à besoins d'utilisateurs généraux ou spécialisés dans
une domaine spécifique.
Les consultants ont souvent mis à
contribution afin de les aider à régler des problèmes et développer des
solutions en changeant des méthodes d'utilisation que de concevoir
d'autres applications ou technologies dont les entreprises ne sont pas
prêts à payer.
Les sociétés de conseils en TI, les firmes de
consultants en informatique, les entreprises de services informatiques,
les entreprises de développement d'applications, les moyennes et grandes
entreprises de plusieurs secteurs (assurances, financier,
télécommunications, etc.) ont d'importants besoins d'analyses
fonctionnels.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de
placement au baccalauréat en informatique était de 87 %.
Plusieurs universités reçoivent plus de 4 à 6 fois plus d'offres
d'emploi provenant d'employeurs, qu'elles ont de diplômés
disponibles. Il faut ajouter les nombreuses entreprises qui courtisent
les étudiants, mais dont aucune offre d'emploi n'a été affichée au
service de placement des universités.
En 2015, le salaire annuel moyen
en début de carrière était de 55 000 $,
alors qu'un analyste
fonctionnel ayant environ 10 années d'expérience gagnait en moyenne
65 000 $.
Pour plus de détails, consulte la profession d'analyste
en informatique.
Analyste en technologies de l'information
: est responsable d'analyser, concevoir,
d’élaborer, d’implanter et de développer des systèmes d’information au
sein de l’organisation. Tu agiras en tant qu'agent(e) de liaison entre les spécialistes de
l'informatique avec ceux de l'administration et jouer un rôle d'intégration
entre ces 2 disciplines.
Dû au développement constant des nouvelles
technologies de gestion et l’informatisation de plus en plus de PME; on prévoit
de très bonnes perspectives pour les prochaines années en technologies de
l’information.
Il y a de la demande un partout dans la province et non
seulement dans la région de Montréal où sont pourtant concentrées la majorité des
sociétés de conseils en technologies de l'information. Donc, de nombreux
emplois sont possibles dans les PME, dans les grandes entreprises, dans la
fonction publique et au sein des sociétés en technologies de l'information.
Les secteurs dont la demande est la plus forte sont : les
services conseils en technologies de l'information et les entreprises de
télécommunications, mais de nombreuses offrent proviennent des PME.
En 2015, le taux de placement au baccalauréat en administration des
affaires - spécialisation en technologies de l'information était de 82
%.
Le salaire annuel moyen en début de carrière était de
56 500 $,
alors qu'un analyste fonctionnel ayant environ 10 années
d'expérience gagnait en moyenne 75 300 $.
Pour plus
de détails, consulte la profession de
gestionnaire en technologies de l'information.
Technicien (ou gestionnaire) de réseaux
: est chargé de planifier et réaliser l'implantation d'un réseau
informatique, s’assure de la disponibilité de l’équipement nécessaire à
son installation, configurer et rendre fonctionnel chacune de ses
composantes, en plus d'en assurer le bon fonctionnement, la maintenance,
la gestion et la sécurité.
Préoccupés par la confidentialité des données, le piratage
informatique et les désastres causés par les virus, les employeurs
recherchent des gestionnaires de réseaux irréprochables. «Il faut
sensibiliser les utilisateurs à la sécurité informatique. C’est là que
l’administrateur de réseau va se démarquer du programmeur et de
l’analyste en informatique.
La plupart des collèges ont
beaucoup de difficultés à répondre aux nombreuses demandes des employeurs
(autant des PME, des sociétés de technologies de l'information que des
organismes publics). Souvent, les finissants obtiennent un promesse
d'emploi avant de terminer leurs études, mais la plupart obtiennent un
emploi au cours de leur stage.
Plusieurs universités reçoivent plus
de 4 à 6 fois plus d'offres d'emploi provenant d'employeurs, qu'elles
ont de diplômés disponibles. Il faut ajouter les nombreuses
entreprises qui courtisent les étudiants, mais dont aucune offre
d'emploi n'a été affichée au service de placement des universités.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen
de placement au DEC en informatique - spécialisation en gestion de
réseaux était de 80 %.
En 2015, un technicien de réseaux
au sein des PME gagnait en moyenne 43 300 $/année.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen
de placement au baccalauréat en informatique était de 87 %.
En
2015, un analyste ou un gestionnaire de réseaux gagnait en moyenne
46 100 $/année.
Pour plus de détails, consulte les professions de
technicien en informatique et d'analyste
en informatique.
Tu as probablement déjà entendu cette réplique « si tu veux trouver facilement de l’emploi, avoir une bonne job et gagner un bon salaire, tu dois aller à l’université pour ça ».
Ce n’est pas tout à fait vrai, car un tuyauteur, un ferblantier ou un mécanicien d'engins de chantier n’ont pas du tout de problèmes à trouver un emploi et leur salaire est plus élevé que plusieurs diplômés universitaires. De plus, tant qu’il y aura des maisons ou autres bâtiments à construire ou à rénover, il y aura du travail pour ces ouvriers.
Il existe de nombreux chantiers en construction résidentielle, en construction commerciale (commerces, centres commerciaux, immeubles à logement, immeubles à bureaux, etc), en construction institutionnelle (hôpitaux, garderies, musées, etc), en construction industrielle (industries, entrepôts, ateliers) et en travaux de génie civil (routes, ponts, barrages hydroélectriques, etc).
Pour plus de détails, consulte dans la liste ci-dessous les métiers suivants :
Mécanicien de machines fixes : au 2e
rang du palmarès 2016 des métiers de la formation professionnelle les
plus en demande du magazine Jobboom, il veille au bon fonctionnement des
installations techniques d’un bâtiment (chauffage, réfrigération,
ventilation, climatisation, etc.).
La demande s’explique par la
rareté de la main-d'œuvre, mais aussi par le fait que plusieurs types
d’entreprises et d’institutions sont tenus d’embaucher un mécanicien de
machines fixes dans leur établissement, notamment les hôpitaux, des
écoles, les tours de bureaux, les centres commerciaux et les usines.
Une grande proportion des
mécaniciens de machines fixes sont âgés de plus de 50 ans et devront prendre
leur retraite au cours des prochaines années et devront être remplacés. La
majorité des emplois se retrouveront dans les secteurs industriels tels que :
les industries pétrochimiques, alimentaires et pétrolières.
Plusieurs diplômés obtiennent un
emploi avant même de terminer leurs études et travaillent souvent chez
l'entreprise où ils ont réalisé leur stage.
Depuis 2013, le taux de
placement moyen est de 85 % ou plus.
En 2015, le salaire annuel
moyen en début de carrière était de 50 500 $;
Alors qu'un
mécanicien de machines fixes ayant accumulé 10 années d'expérience
gagnait en moyenne 66 600 $.
Pour plus de détails, consulte le
métier de
mécanicien de machines fixes.
Mécanicien d'engins de chantier : est
au 3e rang du palmarès 2016 des
métiers de la formation professionnelle les plus en demande du magazine
Jobboom et au 1er rang parmi les
métiers de la construction.
Il est responsable de réparer et
d’entretenir les systèmes mécaniques, électromécaniques, hydrauliques et
pneumatiques de la machinerie utilisée dans le domaine de la
construction, agricole, forestier et minier.
Bien que ce travail soit plutôt
saisonnier (l’activité sur les chantiers est plus forte en l’été),
plusieurs diplômés trouvent du travail dans une discipline connexe comme
la mécanique de véhicules lourds routiers durant l’hiver.
Les
diplômés sont embauchés par les concessionnaires d’équipements de
chantier, les entreprises de construction ou encore par des compagnies
d’exploitation minière ou forestière, par exemple.
Dans l'industrie
de la construction; génère la majeure partie du travail dans ce
métier, puisque plus de 86 % des mécaniciens(nes) de machineries et
véhicules lourds travaillent dans ce secteur.
Les travaux de
génie devraient augmenter au cours des prochaines années, grâce à des
chantiers majeurs. L’activité dans l’industrie demeurera soutenue pour
ce métier au cours des prochaines années, et les besoins de nouvelle
main d’œuvre seront plutôt bons.
Depuis 2013, le taux moyen de
placement tourne autour de 80 %.
Enfin, il figure parmi les
métiers de la formation professionnelle les plus payants avec un salaire
annuel moyen de 43 000 $/année au sein des PME (en dehors de la construction)
et de 32 600 $/année dans l'industrie de la construction (en tant
qu'apprenti) en 2015.
Un mécanicien d'engins de chantier ayant
accumulé 10 années d'expérience gagnait en moyenne 47 800 $/année au
sein des PME hors-construction.
Un mécanicien d'engins de
chantier ayant accumulé 10 années d'expérience gagnait en moyenne 43 100
$ dans l'industrie de la construction.
Pour plus de détails, consulte le métier de
mécanicien d'engins de chantier.
Arpenteur-géomètre : est responsable de
planifier, élaborer et réaliser
des plans d'arpentage, les méthodes et les techniques qui seront
utilisés pour effectuer les levés officiels (mesures)
et de délimiter les propriétés publiques et privées et des projets de
géomatique en milieu urbain, rural minier ou forestier.
Étant donné le grand besoin de nouveaux arpenteurs-géomètres et la forte
demande provenant des firmes d'arpenteurs-géomètres, les sociétés de
génie-conseil, des compagnies minières et des municipalités (principalement
celles en expansion); les
perspectives sont excellentes et devraient se maintenir pour une dizaine
d'années.
Plus de 44 % des arpenteurs-géomètres
pratiquent dans une firme d'arpentage ou de géomatique en tant que
propriétaire seul ou
associé, alors que plus de 54 % pratiquent en tant que
salarié, majoritairement dans la fonction publique (fédérale,
provinciale ou municipale) ou parapublic (ex : Hydro-Québec ou Gaz métro).
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement était de
93 %.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière dans le secteur privé était de 55 700 $ en tant que stagiaire en
arpentage
et augmente à
56 600 $
en tant
qu'arpenteur-géomètre.
Un arpenteur-géomètre ayant accumulé 10 années
d'expérience gagnait en moyenne 67 900 $.
Pour plus de détails, consulte la profession
d'arpenteur-géomètre.
Ingénieur civil :
il a comme responsabilités de planifier, d’élaborer, de concevoir, de
réaliser les opérations de réhabilitation, d’aménagement ou
d'agrandissement ou de construction d'ouvrages d'infrastructures
publiques de toutes sortes comme : les
infrastructures de transport (routes, autoroutes, ponts,
viaducs, etc.);
infrastructures municipales (réseaux d'aqueduc et d'égouts,
stations d'épuration des eaux usées, stations de traitement de l'eau
potable, infrastructures pour parcs ou terrains de loisirs, etc.);
construction commerciale, institutionnelle et industrielle (fondations
et autres travaux d'excavation pour la construction de bâtiments
commerciaux, institutionnels ou industriels);
infrastructures maritimes (digues, quais, marinas, autres aménagements
fluviaux, installations d'irrigation, installations de contrôle des
inondations, etc.);
infrastructures de production, transport et distribution d'énergie
électrique (barrages hydroélectriques, infrastructures d'éoliennes,
infrastructures de géothermie, lignes de transport d'électricité, réseaux
aériens ou souterrains de distribution d'électricité, etc.); etc.
Avec l’annonce de plusieurs projets tant publics que privés, ainsi que
les programmes de réhabilitation des infrastructures urbaines et autres projet
de génie civil comme : de nouveaux projets de construction ou
d'agrandissement d'autoroutes, la réfection ou le remplacement de nombreux
viaducs et autres infrastructures connexes, de grands projets de construction de
réseaux d'éoliennes, de projets de construction ou d'aménagement de réseaux
électriques souterrains et de possibles nouveaux projets de barrages
hydroélectriques, on prévoit d'excellentes perspectives
pour les prochaines années.
Le taux de placement moyen au cours des cinq dernières
années se situait autour de 84 %.
La plupart des
universités reçoivent 2
à 3 fois plus d'offres d'employeurs qu'il y a de
diplômés disponibles. De plus, plusieurs d'entre-deux reçoivent une
promesse d'embauche avant de terminer leurs études.
En 2015, en tant
qu'ingénieur(e) stagiaire, il gagnait en moyenne 56 900 $/année et augmente à 64 600 $/année en tant qu'ingénieur(e) dans le secteur privé.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'ingénieur
civil.
Technologue en génie civil : a la
responsabilité de participer avec les ingénieurs et autres techniciens à
élaboration et à la réalisation de projets de rénovation, d’aménagement
ou de construction d’infrastructures publiques (routes, ponts, viaducs,
installations routières, barrages, aqueducs et égouts, éoliennes,
digues, lignes de communications, lignes de transport d’électricité,
etc), etc.
Dans les usines de fabrication de matériaux de construction, de
structures d’acier, de béton ou d’éléments préfabriqués; il supervise
les activités de production et à contrôler la qualité des produits.
Dans les entreprises de construction ou de travaux publics,
il supervise les travaux sur les chantiers et assiste l’entrepreneur à
la gestion des opérations de l’entreprise.
Avec l’annonce de plusieurs projets tant publics que privés, ainsi que
les programmes de réhabilitation des infrastructures urbaines et autres projet
de génie civil comme : de nouveaux projets de construction ou
d'agrandissement d'autoroutes, la réfection ou le remplacement de nombreux
viaducs et autres infrastructures connexes, de grands projets de construction de
réseaux d'éoliennes, de projets de construction ou d'aménagement de réseaux
électriques souterrains et de possibles nouveaux projets de barrages
hydroélectriques, on prévoit d'excellentes perspectives
pour les prochaines années.
Au cours des cinq dernières années, le taux de placement moyen
était de 87 %.
La plupart des cégeps reçoivent 2
à 3 fois plus d'offres d'employeurs qu'il y a de
diplômés disponibles. De plus, plusieurs d'entre-eux reçoivent une
promesse d'embauche avant de terminer leurs études.
En 2016, le salaire
annuel moyen au sein des firmes d'ingénieurs et des entrepreneurs en
construction était de 43 300 $.
Pour plus de détails,
consulte la profession de
technologue en génie civil.
Technologue en géomatique
(arpentage-géodésie) :
responsable d'effectuer des relevés de données géographiques et des
travaux d’arpentage liés au cadastre, aux propriétés privées et à la
construction routière ou de bâtiments
Étant donné le grand besoin de nouveaux technologues en
géomatique et la demande importante provenant principalement des firmes d'arpenteurs-géomètres,
mais également des sociétés de
génie-conseil et des compagnies minières et des municipalités de taille
moyenne; les
perspectives sont excellentes et devraient se maintenir pour une dizaine
d'années.
Avec l’annonce de plusieurs
projets dans le secteur de la construction tant publics que privés, on prévoit de très bonnes perspectives pour les
prochaines années.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de
placement était de 81 %.
En 2016, le salaire annuel moyen en
début de carrière était de 37 300 $.
Pour plus de détails,
consulte la profession de
technologue en géomatique.
Mécanicien d'ascenseurs
: il a pour tâches
d’installer, entretenir, inspecter et réparer tous types des systèmes de
déplacement mécanisés tels que : ascenseurs à traction et hydrauliques,
monte-charges, escaliers mécaniques, escaliers roulants ou ponts
roulants selon les exigences des normes en vigueur.
L’activité des mécaniciens d’ascenseur se concentre
presque exclusivement dans le secteur institutionnel et commercial, où le
volume de travail diminuera graduellement au cours des prochaines années.
Leur travail est peu saisonnier, ce qui leur permet d’atteindre la meilleure
moyenne annuelle de travail (1 499 heures travaillées). L’entretien et la
réparation des systèmes existants augmentent les débouchés pour ce métier.
Les finissants se placent très bien.
Les perspectives d’emploi sont plutôt bonnes pour les
mécaniciens d’ascenseur. Malgré une légère baisse de la demande, les
travailleurs actuels sont peu disponibles et des besoins de relève seront
engendrés par le roulement modéré de la main-d'œuvre.
Annuellement, le
taux de placement se situe entre 85 et 94 %.
Dès la première année de travail, les apprentis gagnent un
salaire moyen de plus de 45 000 $, tandis que le revenu annuel moyen des
compagnons travaillant au moins 500 heures peut s’élever à près de 91 200 $, ce
qui en fait l'un des métiers de la construction les plus payants.
Pour plus de détails, consulte le métier de
mécanicien d'ascenseurs.
Tuyauteur (ou
"plombier" ou "mécanicien en tuyauterie" ou "poseur d'appareils de
chauffage") :
Enfin, il peut
assembler, réparer, mettre en place et entretenir les canalisations
d'air, de gaz, d'eau, de vapeur, d'égout et de plomberie sanitaire d'un
immeuble pour le compte d'une entreprise de gestion immobilière ou d'un
propriétaire immobilier.
Dans l'industrie de la construction;
le volume de travail est surtout effectué dans le secteur institutionnel
et commercial, et, dans une moindre mesure, dans les secteurs
résidentiel et industriel. Le secteur institutionnel et commercial
devrait ralentir, dans les prochaines années. De même, la construction
résidentielle neuve diminuera.
Malgré la baisse prévue dans le
secteur institutionnel et commercial, le volume d’activité demeurera
élevé, les perspectives d’emploi sont plutôt bonnes, compte tenu des
besoins de relève causés par le roulement notable des travailleurs.
En dehors du secteur de la construction; bien que peu
nombreux, les débouchés sont toutefois orientés vers les grandes
industries métallurgiques, les compagnies minières et les entreprises de
gestion immobilière.
Exerçant un métier peu saisonnier, les
tuyauteurs travaillent presque toute l’année et gagnent un revenu
intéressant : en moyenne 25 500 $ pour l’apprenti qui en est à sa première année, et 64 500 $
pour les compagnons qui travaillent au moins 500 heures annuellement.
Pour plus de détails, consulte le métier de
tuyauteur.
tracer, découper, fabriquer et assembler toutes sortes d'objets composés
de métal en feuille pièces pour l'industrie aéronautique, pièces pour
matériel de transport routier, pièces pour véhicules ferroviaires,
pièces pour véhicules industriels, pièces pour machines industrielles,
etc) dans l'industrie manufacturière.
Il figure dans le top 10 des
métiers de la formation professionnelle offrant les meilleures
perspectives d'emploi selon le palmarès 2016 du magazine Jobboom, au 2e
rang parmi les métiers de la construction et au 6e
rang des métiers industriels de la formation professionnelle et
technique.
En 2015, le salaire annuel moyen pour un apprenti
était de 28 100 $, mais pouvait atteindre jusqu'à
62 000 $, ce qui en fait l'un des métiers de la construction les plus
payants.
Dans l'industrie de la
construction; les perspectives d’emploi sont plutôt bonnes pour les
ferblantiers malgré une légère baisse de la demande, le roulement
notable de la main-d'œuvre créera des besoins de relève.
Pour plus de détails, consulte le métier de
ferblantier.
Monteur-assembleur :
est chargé de la
fabrication, de boulonnage, de soudage, de gréage et d'assemblage de
composantes structurales telles que : poutres, colonnes et poutrelles,
ainsi que des éléments architecturaux telles que : escaliers, balcons,
garde-corps, clôtures et marquises; effectue plus de 50 % des heures
travaillées par ces derniers est effectuée du secteur institutionnel et
commercial, alors que plus de 35 % est effectué dans le secteur du génie
civil (ponts, viaducs, etc.).
Bien que le secteur institutionnel
et commercial devrait ralentir, l’activité dans l’industrie demeurera
soutenue pour ce métier au cours des prochaines années, le secteur du
génie civil et de la voirie sera favorable, et les besoins de nouvelle
main-d'œuvre seront plutôt bons.
En 2011 et 2015; le taux de
placement se situait entre 76 et 86 %.
En 2015, les apprentis
diplômés d’une école professionnelle gagnaient un salaire moyen
s’élevant à 24 100 $ la première année, tandis que les compagnons qui
travaillent au moins 500 heures font un salaire annuel moyen de près de
61 200 $.
Pour plus de détails, consulte le métier de
monteur-assembleur.
Pour plus de détails, consulte le secteur bâtiment et construction, le secteur construction de génie civil et le secteur métallurgie.
Cette industrie est en pleine croissance grâce aux nouveaux développements dans les différents domaines de la biotechnologie, principalement ses liens avec la physique et la biologie. Plusieurs entreprises des secteurs biomédical, pharmaceutique, environnemental, énergétique, forestière, agroalimentaire et de l'aménagement font appel aux expertises de la biophysique afin de développement de nouveaux outils ou de nouvelles technologies qui répondront mieux aux besoins actuels. Les spécialistes de la biophysique sont également recrutés au sein d'organismes de recherche et de développement en sciences de la vie et en sciences environnementales.
L'industrie biotechnologique québécoise occupe le 3e rang en Amérique du Nord sur la plus grande concentration d'entreprises dans ce domaine, soit le tiers de toutes les sociétés de biotechnologies au Canada dont 80 % sont de propriété québécoise pour un total de plus de 75 d'entreprises dont une cinquantaine se concentrant sur les biotechnologies de la santé.
Elle regroupe des entreprises vouées à la recherche, à la conception, au développement et à la production de cellules ou d'organismes vivants (protéines, microorganismes) utilisés dans différents domaines (fabrication de médicaments pour humains ou animaux, de suppléments alimentaires, d'aliments de consommation humaine, d'aliments pour animaux, de plantes, etc) afin d'améliorer la santé humaine, animale et végétale, ainsi que mieux protéger notre environnement
C'est un secteur jeune et dynamique qui évolue constamment et rapidement et qui prendra davantage d'ampleur dans les années futures avec toutes les découvertes qu’on a faites sur l’ADN et les gènes et les applications qu’on y trouve (tant que chez les humains, les animaux et les végétaux); de nombreuses opportunités de carrière y sont offertes allant du technicien jusqu’au chercheur et ce, sans oublier les nouvelles professions créés grâce à ce nouveau secteur scientifique et technologique.
De plus, de nouvelles branches se sont développées telles que : la bioinformatique et le génie génétique.
Enfin, ce secteur pourrait également englober les domaines du génie biomédical, de la pharmacologie et du génie pharmaceutique. D’excellentes perspectives d’emploi pour les prochaines années dans ce secteur.
Pour plus de détails, consulte les secteurs chimie et biologie et santé.
Consulte également le Portrait de l'industrie biotechnologique.
On retrouve notamment :
Ingénieur biotechnologiste : la plus
jeune des spécialités du génie reconnue par l'Ordre des ingénieurs, il est responsable de diriger et de coordonner
les opérations de transformation ou de fabrication de produits bio-industriels au sein d’une
industrie biotechnologique (ex : transformation des aliments avec
organismes vivants modifiés, la fabrication de produits médicaux tels
les vaccins à l’aide de bactéries ou virus modifiés, la fabrication de fertilisants agricoles à
l’aide de cellules ou de gènes animaux ou végétaux modifiés, la fabrication de
décontaminants biologiques pour sols contaminés, la fabrication de biocarburants à l’aide de substances naturelles, etc.)
Selon l'enquête relance 2014 réalisée en 2016 par l'Université de
Sherbrooke, 100 % des répondants qui se destinaient au marché du travail
ont obtenu un emploi en tant qu'ingénieur. La plupart occupent un poste
au sein de l'entreprise qui les a accueilli lors de leurs stages
coopératifs.
Le salaire moyen en début de carrière en tant
qu'ingénieur stagiaire au sein des PME était de 23,80 $/heure et peut
atteindre 30,00 $/heure en tant qu'ingénieur.
Pour plus de
détails, consulte la profession d'ingénieur
biotechnologiste.
Biotechnologiste : tu rêves de
comprendre les limites de l'inconnu de la structure et du fonctionnement
moléculaires de la cellule, tant sur le plan de la génétique et de
l'expression génique ?
Avec des études poussées en biologie
cellulaire et moléculaire (souvent jusqu'au doctorat); il
étudie la diversité des structures, des fonctions, des réactions et des
comportements du monde des vivants (humains, animaux ou végétaux) afin de répondre à des besoins spécifiques pour
de multiples applications (développement et mise au point de vaccins, de
fertilisants biologiques, de produits médicaux, d’aliments présentés de
meilleures qualités nutritives, etc).
Bien qu'on le trouve
principalement dans les centres de recherche hospitaliers et
universitaires, on le retrouve également en industrie au sein
du service du contrôle
de la qualité des produits fabriqués, ainsi qu'au sein des entreprises
et des organismes privés de recherche et développement en
biotechnologies.
En 2015, un chercheur en biotechnologie
gagnait en moyenne 28,33 $/heure en entreprise après plus de 10 années
d'études universitaires.
Pour plus de détails, consulte la
profession de
biotechnologiste.
Technologue en transformation de la biomasse
: toute nouvelle profession depuis les nouveaux développements de la
biotechnologies,
mais très en demande par
plusieurs entreprises du secteur des biotechnologies.
Il est
responsable de superviser, coordonner, contrôler et assurer le bon
déroulement des procédés de transformation de produits cellulosiques
provenant de la biomasse végétale, qui se compose de
résidus forestiers, agricoles, de bois de perturbation ou de démolition, de
matières résiduelles ou de microalgues dans le but de développer des bioproduits.
Tout nouveau programme offert par le Cégep de Trois-Rivières, donc
aucune donnée de placement n'est actuellement disponible. Avec les
nombreuses demandes d'employeurs provenant de plusieurs secteurs, nul
doute que ces technologues ont d'excellentes perspectives d'emploi pour
l'avenir.
Pour plus de détails, consulte la page de
technologue en transformation de la biomasse.
Technologue en laboratoire de biotechnologie
: il manipule et identifie des micro-organismes; cultive des cellules «
in vitro », réalise des analyses bio- chimiques, microbiologiques,
immunologiques, toxicologiques; mène des activités liées au génie
génétique grâce à l’étude de l’ADN; effectue des tests de toxicité ou
d’écotoxicité et exécuter des opérations de contrôle de la qualité, etc.
Les entreprises de recherche et développement en biotechnologies,
les laboratoires privés d'analyses, les centres de recherches publics ou
privés, les industries agroalimentaires, biomédicales, pharmaceutiques,
cosméceutiques et biotechnologiques recherchent ces spécialistes.
Alors que la majorité des diplômés choisissent actuellement de
poursuivre des études universitaires, les technologues sont en forte
demande.
Pour plus de détails, consulte la profession de
technologue en
biotechnologies.
Selon cette même enquête, on prévoit que plus de 3 800 spécialistes en environnement seront nécessaires afin de combler tous les besoins de main-d'œuvre de l'industrie québécoise, notamment pour remplacer les nombreux départs à la retraite.
Par contre, plutôt qu’un recours à l’embauche d’une main-d'œuvre ayant une formation en environnement, la tendance est au « verdissement » de la main-d'œuvre ayant une formation autre qu'en environnement : les tâches de nombreux postes devraient évoluer.
Les nouvelles réglementations environnementales et la transition vers l’économie verte vont probablement nécessiter de s’adapter à de nouvelles façons de travailler et à de nouveaux équipements.
De plus, la révision de la gestion de la qualité pour répondre aux exigences environnementales s’accompagnera notamment d’une augmentation de la charge de travail, avec la nécessité de procéder à davantage de suivis, de prise de données et d’échantillonnage sur le terrain, de travail administratif, d’entretien de la machinerie, etc.
Parmi les régions où sont concentrées la majorité des entreprises de cette industrie et du fait même, les emplois sont : la Montérégie, Montréal, Québec et l'Estrie.
Pour plus de détails, consulte le Portrait de l'industrie de l'environnement et du développement durable.
Voici quelques exemples de métiers de cette industrie offrant les meilleures perspectives :
note : bien que les professions de chimiste et de microbiologiste ne figurent pas dans cette liste, de très bonnes perspectives d'emploi sont également offerts pour ces professionnels dans le domaine de l'environnement.
Ingénieur en environnement :
est chargé de planifier, d’élaborer, de concevoir, de réaliser des
projets en lien avec la conservation et la protection de l'environnement
et du développement durable. Tu auras également à rédiger des rapports techniques et
communiquer avec les autres professionnels de l'équipe responsable du projet
(d'autres ingénieurs, des scientifiques en environnement, des technologues, etc.).
On le retrouve dans les secteurs de l'environnement industriel
:
projets de décontamination des sites contaminés par des déchets
industriels comme les boues, les eaux usées, les émissions gazeuses, les
nettoyants industriels, les huiles industrielles, etc.;
environnement urbain : programmes et des projets de
développement durable visant à préserver et à protéger la qualité de
l'environnement dans les milieux semi-urbains ou urbains;
environnement agricole : projets de décontamination des sites
contaminés par des déchets agricoles comme les biodéchets (fumiers,
lisiers, etc.), les cadavres d'animaux, les films plastiques agricoles
usagés (films de tunnel, films d’enrubannage, films d’ensilage), les
emballages vides de produits phytosanitaires (sacs en papier, cartons,
fûts métalliques, etc.), les produits phytosanitaires non utilisés
(fertilisants, pesticides, herbicides, insecticides, fongicides, etc.);
environnement naturel et forestier : programmes et des projets
de développement durable visant
la préserver les écosystèmes forestiers, la réduction ou l'élimination
de pesticides chimiques pour les remplacer des pesticides biologiques,
etc.
En fait, l'environnement n'est pas une spécialité
reconnue du génie reconnue par l'Ordre des ingénieurs du Québec. C'est
plutôt une concentration dans l'une des spécialités du génie, soit :
génie agroenvironnemental : pour le domaine de
l'environnement agricole
génie biotechnologique : pour le
domaine de l'environnement industriel
génie des bioressources
: pour le domaine de l'environnement agricole ou le domaine de
l'environnement naturel
génie chimique : pour le domaine de
l'environnement industriel
génie civil : pour le domaine de
l'environnement urbain
génie des eaux : pour les domaines de
l'environnement agricole, industriel et urbain en traitement des eaux
génie minier : pour le domaine de l'environnement minier et le
domaine de l'environnement industriel (traitement des minerais)
Il y a d’excellentes possibilités d’emplois dans
ce domaine. On aura besoin de plus en plus de ces
spécialistes dû aux nouveaux règlements en matière d'environnement dont
les entreprises et les municipalités doivent respecter.
Les
universités reçoivent plusieurs centaines d'offres d'emploi provenant
d'employeurs de différents secteurs et d'un peu partout au Québec et
d'ailleurs au Canada, mais ne peuvent suffira
à la
demande faute de diplômés disponibles puisque la plupart ont déjà obtenu
un emploi dans leur milieu de stage ou ont choisi de poursuivre des études
supérieures.
Les offres d'emploi proviennent notamment de municipalités de taille moyenne, des firmes de génie conseil, des grandes industries
métallurgiques et des compagnies minières.
En 2015, le salaire annuel
moyen en début de carrière pour un ingénieur en environnement (toutes
les spécialités confondues) était de 56 900 $ en tant qu'ingénieur
stagiaire et atteindre 65 300 $ en tant qu'ingénieur.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'ingénieur
en environnement.
Les
industries sont de plus en plus sensibilisées à la santé, hygiène et sécurité
au travail et à la protection de l’environnement, mais l’embauche de personnel
qualifié dans ce domaine se fait lentement.
Depuis 2011,
le taux de moyen de placement est de 91 %.
En 2016, le salaire
annuel moyen en début de carrière était de 43 000 $,
alors qu'un
technicien ayant accumulé 10 années d'expérience gagnait en moyenne 51
600 $.
Pour plus de détails,
consulte la profession de
technicien en hygiène et sécurité au travail.
On le retrouve dans toutes les petites, moyennes
et grandes municipalités, dans toutes les industries qui utilisent l'eau
dans leurs opérations (alumineries, papetières, alimentaires, usines de
traitement des minerais, etc.), les compagnies minières, ainsi que les
entreprises spécialisées en gestion de l'eau.
On aura besoin de
plus en plus de ces
spécialistes dû aux nouveaux règlements en matière de qualité de l’eau
devenue plus exigeante, ainsi que la mise à la retraite de plusieurs opérateurs.
Selon le CFP Paul-Gérin-Lajoie (le seul centre de formation en
conduite des procédés de traitement de l'eau au Québec); il ne
réussit pas à répondre
à la demande des employeurs puisqu'il reçoit annuellement plus d'une
centaine de d'offres d'emploi et ce, depuis près de 8 ans.
En 2015,
le salaire annuel moyen en début de carrière était de :
46 700 $ dans le secteur privé,
48 900 $ au sein des municipalités de moins de 20 000 habitants,
55
200 $ au sein des municipalités de taille moyenne (moins de 100 000
habitants),
60 600 $ au sein des grandes industries.
Pour plus de détails, consulte le métier d'opérateur
d'usine de traitement des eaux.
On
le retrouve dans toutes les petites, moyennes et grandes municipalités,
dans toutes les industries qui utilisent l'eau dans leurs opérations
(alumineries, papetières, alimentaires, usines de traitement des
minerais, etc.), les compagnies minières, ainsi que les entreprises
spécialisées en gestion de l'eau.
Depuis 2010, le taux moyen de placement est de 84 %.
En 2016,
le salaire annuel moyen en début de carrière était de :
44 300 $ au
sein des PME,
46 300 $ au sein des municipalités de
moins de 20 000 habitants,
50 600 $ au sein des municipalités de
taille moyenne (moins de 100 000 habitants),
57 300 $ au sein des grandes industries.
Pour plus de détails, consulte la profession de
technicien en
assainissement des eaux.
Dans le domaine de l'environnement; tu seras
appelé à tester des échantillons d'air, d'eau, et de sol afin d'y
déceler des contaminants microbiologistes (bactéries, champignons,
virus, etc.).
Les laboratoires privés d'essais et analyses, les
sociétés de génie conseil, les entreprises spécialisées en services
environnementaux, les organismes gouvernementaux en environnement ont
d'importants besoins de ce technologue.
Alors que la majorité des diplômés choisissent actuellement de
poursuivre des études universitaires, les technologues sont en forte
demande.
Pour plus de détails, consulte la profession de
technologue en
microbiologie.
Transport routier :
L'industrie québécoise du transport routier est comme celui du Canada, une industrie parmi les plus importantes tant pour l'économie de la province que pour l'économie des régions qu'elles soient un grand centre ou une région rurale éloignée.
Elle comprend les entreprises du camionnage et de la messagerie et de la livraison pour le transport de marchandises;
Ainsi que les entreprises du transport par autobus et les entreprises de taxi et de limousine pour le transport de passagers.
Enfin, elle comprend également toutes les entreprises fournissant des activités de soutien aux entreprises de transport routier de marchandises et/ou de passagers (qu'on appelle "logistique du transport").
Ce sont plus de 45 000 entreprises qui emploient plus de 280 000 travailleuses et travailleurs (chauffeurs, personnel d'entretien, répartiteurs, personnel de bureau, etc). Que ce soit pour le transport de marchandises ou le transport de passagers, on retrouve cette industrie partout au Québec, ce qui en fait le second secteur économique le plus important derrière le commerce au détail.
Depuis plusieurs années, il y a une forte demande pour les camionneurs(euses) pouvant faire de longs trajets (notamment
vers les États-Unis).
Transport maritime :
Le Canada est reconnu mondialement comme un leader dans la prestation de services en transport maritime, ainsi que par le développement de ses technologies visant à améliorer la sécurité et la rentabilité du transport.
Dans l'ensemble du pays, on retrouvait plus de 1 100 entreprises reliées à l'industrie du transport maritime dont 528 entreprises de transport maritime de marchandises et/ou de passagers (incluant les entreprises de croisières) et plus de 660 entreprises fournissant des services de soutien aux activités de transport maritime.
En 2013, elles procuraient plus de 62 500 emplois directs et indirects d'un bout à l'autre du pays dont plus de 34 500 au sein des entreprises de transport maritime.
L'industrie maritime québécoise figure au 2e rang au pays derrière la Colombie-Britannique. La plus grande partie de la circulation maritime de marchandises d'effectue sur le fleuve St-Laurent entre Montréal et Québec par des entreprises québécoises et canadiennes, mais également par des entreprises étrangères provenant de nombreux pays.
Au niveau de la main-d'œuvre, ce sont plus de 19 000 emplois directs et indirects dont plus de 6 300 au sein des entreprises de transport maritime (incluant les entreprises de croisières). Parmi ces emplois, 36 % des travailleurs occupent un poste navigant et 64 %, non navigant (armateurs, services portuaires et services maritimes). Que ce soit en mer ou à terre, l’industrie maritime offre plusieurs possibilités de carrière.
Contrairement à la croyance populaire, il n'est pas nécessaire de l'expatrier pour faire une carrière en mer. Les marins peuvent faire de belles carrières en travaillant pour des compagnies canadiennes ou québécoises sur le fleuve Saint-Laurent et/ou les Grands Lacs et revenir à la maison régulièrement.
C'est surtout dans le domaine du transport maritime local dans les eaux intérieures canadiennes (transport de marchandises sur le St-Laurent et dans les Grands Lacs, services de traversiers, excursions-croisières, services de remorquage, etc) que les possibilités sont davantage offertes au cours des prochaines années mais principalement dans le domaine du transport de marchandises.
Soutien au transport :
Les entreprises de ce secteur fournissent des services de soutien logistique aux transporteurs d'un mode de transport en particulier (aérien, ferroviaire, maritime ou routier) ou multimodal (tous modes de transport).
Elles offrent notamment des services de courtage en transport (aussi appelé transitaires) de courtage en douanes, de réservations et ventes de billets pour passagers, de consultation en logistique du transport, d'entreposage de marchandises, de manutention, de débardage et de transbordement de marchandises (notamment pour les transporteurs maritimes), de remorquage de véhicules lourds, de remorquage de navires, de déglaçage des zones maritimes commerciales, des technologies de l'information pour la logistique du transport
Au Québec en 2013, il y avait près de 2 200 entreprises avec salariés et plus de 1 400 sont sans salarié (certaines n'emploient que des membres de la famille, mais la majorité sont des travailleurs indépendants).
Grâce à la mondialisation des marchés et le
libre-échange, il y a une plus grande demande de ces spécialistes. On prévoit
d’excellentes perspectives d’avenir pour les techniciens et les techniciennes
en logistique du transport.
Certains étudiants du DEC en logistique du transport et du Baccalauréat en administration - spécialisation en logistique obtiennent des promesses d’embauche avant de terminer leurs études.
Pour plus de détails, consulte le Portrait de l'industrie du transport.
Voici les 5 métiers du transport offrant les meilleures perspectives d'avenir :
Mécanicien de véhicules lourds : d’entretenir, mettre au point, vérifier,
inspecter, réparer et ajuster les différents systèmes et composantes de
divers types de véhicules lourds (tracteurs routiers, camions de type
porteur, autobus et autocars, véhicules d'urgence : camions-incendie ou
fourgons ambulances, etc.).
L'industrie du véhicule lourd semble mieux
aller que son cousin, l'industrie de l'automobile. Depuis quelques années, une pénurie de mécaniciennes et de mécaniciens
se fait ressentir dans le milieu, surtout à l’extérieur des grands centres car
un grand nombre de mécaniciens sont âgés et prendront leur retraite d’ici quelques
années.
Avec le boum minier que l'on connait
actuellement, les compagnies minières de la Côte-Nord, de
l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec auront d'importants besoins de
mécaniciens(nes) de véhicules lourds et ce, pour les prochaines années.
Les perspectives sont très bonnes pour les prochaines années,
dans la plupart des milieux (notamment les compagnies minières, concessionnaires
et les centres
spécialisées en véhicules lourds).
Dans le secteur
public, on retrouve également de
nombreux mécaniciens âgés qui prendront leur retraite au cours des cours années
qui devront être remplacés (les emplois sont orientés principalement au sein des
municipalités de taille moyenne dans plusieurs régions du Québec,
notamment dans les régions de la Montérégie, des Laurentides et de
Lanaudière).
Depuis 2011, le taux de placement moyen est de 86 %
(il est de 91 % pour les titulaires du ASP en mécanique spécialisée -
diesel).
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière au sein des entreprises
de camionnage dans la région de Montréal était de 29 900 $ en tant
qu'apprenti et peut atteindre 44 000 $ en tant que compagnon détenant
une formation en mécanique spécialisée (diesel).
Après avoir
accumulé 10 années d'expérience, le salaire annuel moyen était de 52 800
$.
Pour plus de
détails, consulte le métier de
mécanicien
de véhicules lourds.
Conducteur de camion semi-remorque
(ou "camionneur" ou "routier") : pour
tâches de conduire un camion lourd semi-remorque afin de transporter des
marchandises d'un fournisseur (manufacturier, grossiste ou distributeur)
jusqu'au client (détaillant) ou d'un manufacturier jusqu' à ses grossistes ou distributeurs.
Il y a une forte demande
pour des conductrices et conducteurs de camions, notamment ceux et celles qui détiennent la
classe 1 (camion-remorque) et qui sont prêts à effectuer du transport aux
États-Unis.
Une très grande place est
accordée aux femmes au sein de cette carrière non traditionnelle.
En
2015, le salaire annuel moyen en début de carrière était de
Pour plus de détails, consulte le métier de
conducteur
de camion lourd.
ll existe différents grades et brevets, mais
le plus courant est celui de 2e
mécanicien qui agit en tant que superviseur des
réparations les plus importantes des systèmes de la salle des machines
et d’effectuer l’entretien et la réparation des moteurs et des systèmes
de propulsion à bord des navires au long cours ou en tant que
second mécanicien à bord des navires pour le transport local dans les
eaux intérieures canadiennes.
l' existe différents grades et
brevets, mais le plus courant est celui de 2e
lieutenant qui agit en tant que chef de la navigation à bord des navires
au long cours ou en tant que premier officier et commandant en second à
bord des navires pour le transport local dans les eaux intérieures
canadiennes.
Plusieurs
possibilités d’emploi dans ce domaine. La majorité des emplois sont au sein
d'entreprises maritimes qui naviguent que dans les eaux canadiennes.
On éprouve des difficultés à recruter de
nouveaux (nouvelles) officiers maritimes et le marché est en pénurie. La Garde
Côtière et les Forces armées sont aussi en pénurie de personnel de la
navigation, alors ils offrent plusieurs avantages. Les prises de retraite, la
croissance de certaines flottes internationales et le renouvellement de
celles-ci sont les principales raisons de la pénurie.
Les diplômés en génie mécanique de marine jouissent d’une
excellente réputation et sont très en demande dans les milieux industriels
maritimes et terrestres. Souvent, les diplômés
obtiennent un emploi chez l’armateur où ils ont effectué leur stage. Parfois, certains étudiants obtiennent des promesses
d’embauche avant de terminer leurs études.
Depuis plusieurs années, le taux de placement se situe près
de 100 %.
En 2016, le
salaire annuel moyen d'un second lieutenant d'une navire de transport
local au sein d'un armateur canadien était de 56 200 $ et peut attendre 82 300 $
après 10 ans d'expérience, ce qui en fait
le métier de la formation technique ayant la rémunération moyenne la
plus élevée et qui dépasse largement un grand nombre de professions de
niveau universitaire.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'officier
mécanicien de navire.
Officier de navigation :
est responsable d’assurer la navigation dans les meilleures conditions
de sécurité; de coordonner les différents manœuvres effectuées à bord du
navire et le personnel matelot chargé de ces tâches et assurer du bon
état et la facilité d’accès de tout l’équipement de sécurité à bord du
navire, t’assurer du bon état de fonctionnement des différents appareils
et instruments de la navigation.
Il existe différents grades et
brevets, mais le plus courant est celui de 2e
lieutenant qui agit en tant que chef de la navigation à bord des navires
au long cours ou en tant que premier officier et commandant en second à
bord des navires pour le transport local dans les eaux intérieures
canadiennes.
Plusieurs
possibilités d’emploi dans ce domaine. La majorité des emplois sont au sein
d'entreprises maritimes qui naviguent que dans les eaux canadiennes.
On éprouve des difficultés à recruter de
nouveaux (nouvelles) officiers maritimes et le marché est en pénurie. La Garde
Côtière et les Forces armées sont aussi en pénurie de personnel de la
navigation, alors ils offrent plusieurs avantages. Les prises de retraite, la
croissance de certaines flottes internationales et le renouvellement de
celles-ci sont les principales raisons de la pénurie.
Figurant dans le top 25 des métiers de la formation technique
offrant les meilleures perspectives d'emploi selon les palmarès 2015,
2016 et 2017 du magazine Jobboom.
En 2016, le salaire annuel
moyen d'un second lieutenant d'une navire de transport local au sein
d'un armateur canadien était de 56 800 $ et peut atteindre 81 400 $
après 10 ans d'expérience, ce qui en fait le second
métier de la formation technique ayant la rémunération moyenne la plus
élevée et qui dépasse largement un grand nombre de professions de niveau
universitaire.
Pour plus de détails, consulte la profession d'officier
de navigation.
Matelot ("de pont" ou "de la salle
des machines") : Le matelot de pont a pour
tâches d’assurer
le fonctionnement de l'équipement de pont (treuils, grues, câbles, etc.) et exécuter d’autres travaux
d’entretien à bord des navires sous la direction des officiers de pont et du
maître d’équipage.
Sous la supervision du maître
d’équipage et des officiers de pont, il participe aux manœuvres
d’accostage et de mouillage, au ravitaillement du navire ainsi qu’aux
opérations de chargement et déchargement de la cargaison du navire.
Le matelot de la salle des machines a pour
tâches d'assister l'officier mécanicien de bord
à assurer le
fonctionnement, l'entretien et la réparation des composantes du système de
propulsion, de même que des machines et appareils auxiliaires à bord des
navires.
On éprouve des difficultés à recruter
des matelots et le marché est en pénurie.
Des
centaines de matelots devront quitter pour
la retraite d'ici 2018 et devront être remplacés.
La majorité des
emplois sont au sein d'entreprises maritimes qui naviguent que dans les
eaux canadiennes.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de
carrière d'un matelot
qualifié au sein des compagnies de transport
maritime local était de 44 000 $,
alors qu'au sein des entreprises de
traversiers était de 41 400 $.
Après avoir accumulé environ 10
années d'expérience, il gagnait en moyenne 57 200 $.
Il existe maintenant une formation professionnelle, le
D.E.P. en matelotage.
Pour plus de détails, consulte le métier de
matelot.
Risque-t-il d’avoir encore de la job dans ce domaine dans les prochaines années ? Fort probablement que oui, à moins que quelqu’un invente un produit révolutionnaire qui évitera le besoin de manger.
L'industrie québécoise de la transformation alimentaire est le plus important employeur industriel au Québec, qui est présente dans presque tous les régions de la province et qui est un moteur économique de premier plan dans plusieurs régions et sous-régions (MRC) d'un bout à l'autre du territoire québécois.
Le sous-secteur de la transformation est constamment en pénurie de personnel, du simple opérateur jusqu’à l’ingénieur alimentaire. Que ce soit en en inspection et sécurité des aliments, en santé animale, en transformation alimentaire ou en fabrication alimentaire, on éprouve des difficultés à combler tous les postes disponibles.
On y fabrique des produits laitiers, des boissons alcoolisées ou non alcoolisées, des produits de boulangerie, des produits de pâtisserie, des mets préparés, des aliments pour animaux et autres produits alimentaires; on y transforme des viandes et volailles, des fruits et légumes, etc.
Bien qu'on retrouve quelques grandes entreprises de transformation alimentaire (ex : Olymel, Saputo, Agropur, Exceldor, Brasserie Molson Coors, Brasserie Labatt, Kraft, Danone, Parmalat, etc), ce sont les petites et moyennes entreprises que l'on retrouve en plus proportion et ce, partout au Québec.
On comptait plus de 2 200 établissements (usines) détenues par plus de 2 300 entreprises qui employaient près de 70 000 travailleuses et travailleurs de métiers et professions de toutes les formations allant du simple manœuvre en transformation jusqu'à l'ingénieur alimentaire.
Bien qu'on retrouve ces entreprises un peu partout au Québec, elles sont principalement concentrées dans les régions de la Montérégie, de Montréal, de Lanaudière, de Chaudière-Appalaches et de Québec.
Pour plus de détails, consulte le Portrait de l'industrie de la transformation alimentaire.
L'industrie agricole québécoise : il est vrai que le domaine de la production agricole n’est pas fait pour tout le monde, mais tu aimes travailler dans les teres agricoles, tu aimes à travailler au grand air, que tu aimes les animaux et que tu aimerais faire partie d’un des secteurs économiques les plus importants du pays, c’est ce secteur qu’il te faut.
Elle est un secteur économique fort important au Québec. C'est un marché de plus de 5,7 milliards de dollars, soit environ 30 % de la production agricole canadienne. Elle compte plus de 43 000 producteurs agricoles au sein de 30 675 exploitations dans toutes les régions du Québec. Bien que la majorité des entreprises agricoles soit familiales, on retrouve aussi plusieurs fermes commerciales et quelques entreprises industrielles. Évidemment, la plupart de ces entreprises comme de petites ou de moyennes dimensions.
On y effectue de la production animale (viandes tels que porc, bœuf, veau, agneau et mouton; volailles tels que : poulets, dindons et canards; etc.) de la production végétale (horticole et maraichère telles que : pommes, fraises, bleuets, framboises, pommes de terre, canneberges, légumes de serre, légumes de champ, etc; céréalière et oléagineuse telles que : canola, soya, haricots secs, blé, etc; acéricole, soit notre si bon sirop d'érable réputé mondialement.
La main-d'œuvre de cette
industrie comprend plus 120 700 travailleuses et
travailleurs partout au Québec (dont 57 600 en main-d'œuvre familiale et 63
100 en main-d'œuvre embauchée) dont plusieurs dans des métiers et
professions spécialisés.
On retrouve plusieurs métiers et professions qui nécessitent une bonne
formation professionnelle ou technique, mais pour une part, on y retrouve
surtout des postes de manœuvres et de préposés aux récoltes. Par contre,
les exploitations on besoin de plus en plus de personnel spécialisé afin de
répondre aux besoins grandissants de l'industrie (plus grande demande du
marché, développement du commerce international, etc) et à ses
complexités (meilleure alimentation et santé, maladies plus présentes,
intégration de technologies de production, gestion plus complexe, exigences
environnementales plus sévères, etc).
Pour plus de détails, consulte le Portrait de l'industrie agricole.
Voici les 10 métiers de l'industrie agroalimentaire les plus recherchés offrant les meilleures perspectives d'avenir :
Ingénieur alimentaire : est responsable de
coordonner, superviser et gérer les opérations de production et les
procédés de fabrication ou de transformation de produits alimentaires
au sein des industries alimentaires de toutes sortes (usines laitières,
charcuteries industrielles, boulangeries industrielles, pâtisseries
industrielles, transformateurs de viandes, de volailles ou de produits
marins, etc.).
Bien que moins connu que plusieurs autres
spécialités du génie, on en retrouve dans toutes les grandes usines
alimentaires et de plus en plus au sein des PME où il occupe la fonction
de directeur de production.
La pénurie d'ingénieurs alimentaires
se traduit par un taux de placement de 100 %, un salaire très avantageux
et une progression rapide en emploi. Premier employeur manufacturier du
Québec, c'est dans la grande région de Montréal qu'on trouve près des
deux tiers des emplois québécois en transformation des aliments.
Unique au Canada, le baccalauréat en génie alimentaire de
l'Université Laval a un taux de placement de 100 % depuis la création de
ce programme il y a 10 ans.
En 2015, le salaire
annuel moyen pour un ingénieur alimentaire junior était de 49 500 $ et
augmente à
57 500 $ en tant qu'ingénieur alimentaire au sein des PME.
Spécialiste en sciences et technologie des
aliments : est responsable de gérer, coordonner et superviser les procédés de
transformation des aliments, ainsi que superviser le personnel ouvrier affecté aux opérations dans une industrie alimentaire.
Avec plus de 2 300 entreprises dans toutes les régions du Québec,
majoritairement des PME avec seulement une vingtaine de diplômés chaque
année, il y a réellement une pénurie de ces professionnels
indispensables (agronomes pour la plupart) au sein de toutes les
industries alimentaires non artisanales. Malgré les annonces récentes de
la fermeture de grandes usines alimentaires, ce sont les PME qui
emploient plus de 80 % de ces professionnels.
Au cours des 5
dernières années, le taux moyen de placement était de 87 %.
En 2015, le Service de placement de
l'Université Laval a reçu plus de 200 offres d'emploi pour ses 40
diplômés en sciences et technologie des aliments, soit près de
5 fois
supérieur au nombre de candidats disponibles. Il faut ajouter que de
nombreux employeurs ont courtisé les étudiants pendant leurs études sans
avoir affiché une offre d'emploi.
En 2015, un
agronome gagnait en moyenne 42 700 $/année avec un baccalauréat et plus
de 51 000 $ avec une maîtrise.
Après 10 années d'expérience
environ, il gagnait en moyenne 51 000 $/année avec un baccalauréat et 61
200 $ avec une maîtrise.
Pour plus de détails,
consulte la profession d'agronome.
Technologie en transformation des aliments
: en usine, il est chargé
de contrôler et coordonner les opérations de production visant la
transformation ou la fabrication de produits alimentaires de toutes
sortes. En laboratoire, il pour tâches de contrôler et de superviser la
qualité des aliments transformés ou fabriqués afin qu’ils répondent aux
normes gouvernementales et aux politiques de l’entreprise en matière de
qualité.
Avec plus de 2 300 entreprises dans toutes les régions
du Québec, majoritairement des PME avec seulement une vingtaine de
diplômés chaque année, il y a réellement une pénurie de ces spécialistes
indispensables au sein de toutes les industries alimentaires non
artisanales. Malgré les annonces récentes de la fermeture de grandes
usines alimentaires, ce sont les PME qui emploient plus de 80 % de ces
technologues.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de
placement était de 85 %.
En 2016, le salaire annuel moyen en
début de carrière était de 39 600 $.
Après 10 années d'expérience
environ, il gagnait en moyenne 47 500 $/année.
Pour plus de détails, consulte la
profession de
technologue en transformation des aliments.
Agronome :
Dans le domaine de la production, il est responsable
de conseiller et renseigner les producteurs agricoles sur tout ce qui
concerne les méthodes des cultures, la fertilisation des sols, les soins
à apporter aux animaux, l’alimentation animale, la prévention des
maladies, l’informatisation de la production, le développement des
technologies en agriculture ou la transition à celles-ci, l’application
de nouvelles méthodes de production, la transition à l’agriculture
biologique, la planification et organisation de la production,
l’optimisation et le développement de la production, etc.
Dans le
domaine de l'économie et gestion agroalimentaire, il est responsable de
conseiller les producteurs agricoles sur les méthodes de gestion de
l’entreprise (analyse des marchés agricoles, la comptabilité appliquée
au milieu agricole, la gestion des ressources humaines en agriculture,
le développement des marchés locaux et nationaux, le développement du
commerce international, informatisation de l’entreprise, etc), sur le
financement des exploitations agricoles, les assurances agricoles en cas
de pertes, la planification et gestion de la production, etc.
Véritable expert dans les sciences et les technologies de la production
et de la gestion dans le domaine agricole, les agriculteurs ne peuvent
plus se passer des conseils des agronomes, tous aussi importants que
ceux provenant des vétérinaires.
Les coopératives agricoles, les
conventions collectives et associations de producteurs, les compagnies d'alimentation
animale, les firmes d'agronomes, les organismes de développement
agricole et les grands producteurs agricoles ont d'importants besoins
d'agronomes.
Que ce soit les producteurs
agricoles en productions animales ou en productions végétales dans
presque toutes les régions du Québec (notamment en Montérégie,
Chaudière-Appalaches, Estrie, Centre-du-Québec, Laurentides, Lanaudière
et Bas-St-Laurent),
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de
placement était de 87 % en agroéconomie (conseils en économie et
gestion).
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de
placement était de 83 % en agronomie (conseils en gestion).
En 2015, un
agronome gagnait en moyenne 42 700 $/année avec un baccalauréat et plus
de 51 000 $ avec une maîtrise.
Après 10 années d'expérience
environ, il gagnait en moyenne 51 000 $/année avec un baccalauréat et 61
200 $ avec une maîtrise.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'agronome.
Gérant de ferme :
est responsable de contrôler, de coordonner et de
gérer toutes les opérations des productions des cultures d’une
entreprise agricole (des travaux de préparation des sols et de la
production jusqu’à la mise en marché des produits.).
Bien que
plusieurs des gérants ferme ont acquis de l'expérience comme ouvrier au
sein de la ferme familiale, il n'est pas nécessaire de détenir une telle
expérience pour occuper cet emploi.
Que ce soit les producteurs
agricoles en productions animales ou en productions végétales dans
presque toutes les régions du Québec (notamment en Montérégie,
Chaudière-Appalaches, Estrie, Centre-du-Québec, Laurentides, Lanaudière
et Bas-St-Laurent), de nombreux gérants de fermes agricoles sont
recherchés.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de
placement était de 85 % en productions animales.
Le taux moyen de
placement en productions végétales était de 81 %.
Pour plus de
détails, consulte la profession de
gérant de
ferme.
Producteur de lait : gère une ferme
laitière afin de produire du lait servant à la
transformation comme lait de consommation humaine ou pour la fabrication
de produits laitiers tels que les fromages, la crème, la crème glacée et
le yogourt.
En 2015, l'industrie
laitière québécoise a généré des recettes de près de 2,2 milliards $, soit
28 % des recettes agricoles québécoises totales et 37 % des recettes
laitières du Canada. C'est le 1er
secteur agricole en importance au Québec.
Elle regroupe 14
800
producteurs(au sein de 6 602 fermes (dont 8 % ont plus de 100 vaches
et seulement 0,1 % détiennent 500 vaches et plus) dont 110 sont certifiées
biologiques.
On retrouve des producteurs laitiers
dans toutes les régions du Québec dont notamment : Chaudière-Appalaches (24
%), Montérégie (22 %), Centre-du-Québec (15 %), Bas-St-Laurent (14 %) et
Estrie (10 %).
En 2015, le secteur de la production laitière employait
plus de 10 000 personnes (soit 30 % de la main-d'œuvre agricole en
productions animales et 18 % de la main-d'œuvre agricole totale du Québec)
dont plus de 1 100 ouvrières et ouvriers en production laitière autres
que la main-d'œuvre familiale dans l'ensemble des régions du Québec.
Pas nécessaire d'avoir vécu sur une ferme familiale pour devenir
producteur laitier, il suffit d'avoir une passion pour le monde
agricole.
En 2015, le taux de placement était de 75 %.
Pour plus de détails, consulte le métier de
producteur
de lait.
Producteur de sirop d'érable
("acériculteur") : gère une érablière afin de transformer
l'eau en vue de la fabrication de divers produits de l'érable.
Capitale mondiale de l'érable, le Québec détient
produit annuellement plus de 75 % de la production mondiale de sirop d'érable
(92 % de la production canadienne), ce qui en fait un leader mondial incontesté
de ce produit si convoité autant chez nous que par les consommateurs de nombreux
pays (dont le Japon, les États-Unis, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Australie,
la France, les Pays-Bas, le Danemark, l'Italie, la Corée du Sud et la Chine).
Les producteurs sont
surtout situés en Chaudière-Appalaches (37 %), le Bas-St-Laurent (22 %),
l'Estrie (16 %), le Centre-du-Québec (12 %), la Montérégie (5 %), les
Laurentides et l'Outaouais (3 %) et les autres régions (Québec,
Saguenay-Lac-St-Jean, Lanaudière, Mauricie avec 5 %).
Pas nécessaire
d'avoir vécu sur une ferme familiale pour devenir producteur acéricole,
il suffit d'avoir une passion pour le monde agricole.
En 2015, le
taux de placement était de 79 %.
Pour plus de détails, consulte
le métier de
producteur de sirop d'érable.
Producteur de porc : est responsable de l’élevage de porcs, principalement pour la boucherie.
En 2015, la
production porcine québécoise avait un marché est évalué à 1,3
milliards $, soit 29,3 % de la production porcine canadienne et 16,6 % des
recettes agricoles québécoises totales (1er
rang viande la plus vendue, 2e
production agricole la plus exploitée), ce qui en fait le premier producteur
et exportateur de porcs au Canada.
Malgré une baisse de la
consommation au Québec, mais aussi dans le reste du pays; la plus
grande partie de la production, soit 67 % est exportée dans 75 pays dont
principalement en Chine, en Europe (Allemagne, France, UK) et aux USA.
Enfin, 20 % a été vendue au Québec et 13 % dans le reste du Canada.
On comptait
un peu plus de 4 200 producteurs au sein d'un peu plus de 2 212 fermes porcines
situées principalement dans les régions suivantes : Montérégie (35
%, 1er pour les revenus, mais 2e
rang pour le nombre de producteurs),
Chaudière-Appalaches (34 %, 1er pour
le nombre d'entreprises, mais 2e
rang pour les revenus) et Centre-du-Québec (16 %).
En 2015, le secteur de la production porcine employait
plus de 6 500 personnes (soit 20 % de la main-d'œuvre agricole en
productions animales et 12 % de la main-d'œuvre agricole totale du Québec)
dont plus de 340 ouvrières et ouvriers en production porcine autres
que la main-d'œuvre familiale dans l'ensemble des régions du Québec.
Il y a un grand besoin d’ouvriers et d’ouvrières
spécialisés en production porcine partout en province, il fait partie des 50
métiers qui offrent les meilleures possibilités d’emplois pour les prochaines
années (tant à court terme qu’à long terme).
Pas nécessaire d'avoir vécu
sur une ferme familiale pour devenir producteur de porcs, il suffit
d'avoir une passion pour le monde agricole.
En 2015, le taux de
placement était de 77 %.
Pour plus de détails, consulte le métier
de
producteur de sirop d'érable.
Producteur de volailles (poulets,
principalement) ou d'œufs : est responsable de l’élevage de volailles (poulets, dindons, autruches,
canards, oies, pintades), principalement pour la boucherie ou
La production québécoise de volailles et d'œufs est la
3e production animale en importance au
Québec (derrière le lait et le porc).
En 2015, le
poulet représentait plus de 36 % des parts de marché des viandes et
volailles, alors que le dindon ne représentait que 5 % et enfin, les autres
volailles ne représentaient qu'une part négligeable. C'est la viande la plus
consommée par les québécois, mais aussi par les nord-américains en général.
Les œufs
dits de consommation (vendus directement aux consommateurs via les marchés
représentaient 70 % du marché, alors que les œufs dit de transformation ou
d'incubation (vendus aux transformateurs alimentaires pour la fabrication de
produits tels que les produits de boulangerie ou de pâtisserie) avaient une
part de 30 % du marché. Le Québec détient près de 19 % de la part de marché
de la production canadienne, ce qui le place au 2e rang au pays derrière
l'Ontario.
En 2015, on
comptait plus de 1 200 producteurs de volailles partout au Québec qui
élevaient près de 185 millions d'oiseaux.
La production de volailles
est surtout concentrée dans les régions de la Montérégie (28 %),
Lanaudière (19 %), en Chaudière-Appalaches (15 %) et le Centre-du-Québec
(14 %).
La production
d'œufs est surtout concentrée dans les régions de la Montérégie (38 %), en
Chaudière-Appalaches (21 %), dans le Centre-du-Québec (18 %) et Lanaudière (12
%).
En 2015, le secteur de la production avicole employait
plus de 1 800 personnes dans l'ensemble des régions du Québec.
Il y a un grand besoin d’ouvriers et d’ouvrières
spécialisés en production avicole partout en province.
Pas nécessaire
d'avoir vécu sur une ferme familiale pour devenir producteur avicole, il
suffit d'avoir une passion pour le monde agricole.
En 2015, le
taux de placement était de 75 %.
Pour plus de détails, consulte
le métier de
producteur avicole.
Le Québec est riche en ressources minières. Ce n’est pas surprenant qu’on y retrouve également un grande nombre d’industries métallurgiques et sidérurgiques un peu partout dans la province. Cette industrie est un important secteur économique au Québec puisqu'elle emploie près de 60 000 personnes dans plusieurs régions du Québec.
Elle comprend 2 principaux sous-secteurs :
L'industrie de la première transformation des métaux
On y effectue la transformation du fer, de l'aluminium et certains autres métaux non ferreux (cuivre, argent, bronze, laiton, magnésium, nickel, plomb, silicium et zinc); on y fait l'extrusion et de laminage d'aluminium, on y fabrique des produits en fer (barres, tubes, tuyaux, etc.) et on y fabrique des pièces à partir de métaux fondus dans des moules ou des matrices.
Des grands noms d’entreprises comme Rio Tinto, Alcan, ArcelorMittal, Xstrata, Alouette, Bibby, Fonderie de Thetford, Forges de Sorel ne sont probablement pas inconnus pour toi.
On y compte 8 alumineries, 4 aciéries, 2 grandes fonderies et 1 grande affinerie de métaux non ferreux, 24 fabricants de produits en fer, 12 PME en fabrication de produits en métaux non ferreux et 49 PME qui font la fonte de fer, d'aluminium ou de métaux non ferreux. Elles emploient plus de 20 000 personnes. Elles sont concentrées principalement dans les régions de la Montérégie, du Saguenay-Lac-St-Jean, de la Côte-Nord, de Chaudière-Appalaches, de Montréal et dans le Centre-du-Québec.
Il y a d’excellentes possibilités d’emplois dans ce domaine. La plupart des métiers et professions y figurent parmi les métiers offrant les meilleures perspectives d’avenir. Généralement, presque la totalité des diplômés obtiennent un emploi relié à temps complet.
Pour plus de détails, consulte le Portait de l'industrie de la première transformation des métaux.
L'industrie de la fabrication métallique industrielle
Ce sous-secteur comprennent les activités principales qui consistent à forger, estamper, former, tourner et assembler des éléments en métaux ferreux et non ferreux pour fabriquer, entre autres, coutellerie et outils à main, produits d’architecture et éléments de charpentes métalliques, chaudières, réservoirs, conteneurs d’expédition, quincaillerie, ressorts et produits en fil métallique, produits tournés, écrous, boulons et vis.
Avec plus de 3 300 entreprises qui emploient plus de 37 000 personnes dans plusieurs régions du Québec dont : Montérégie, Chaudière-Appalaches, Montréal, Centre-du-Québec, Mauricie, Laurentides, Lanaudière, Laval et Saguenay-Lac-St-Jean.
Il y a d’excellentes possibilités d’emplois dans ce domaine. La plupart des métiers et professions y figurent parmi les métiers offrant les meilleures perspectives d’avenir. Généralement, presque la totalité des diplômés obtiennent un emploi relié à temps complet.
Pour plus de détails, consulte le Portait de l'industrie de la fabrication métallique industrielle.
Voici les 10 métiers les plus recherchés par cette industrie et offrant les meilleures perspectives d'emploi :
Technologue en électronique industrielle (ou
"technicien en automatisation") : est chargé de programmer, régler, entretenir,
calibrer, dépanner, réparer et vérifier le bon état de fonctionnement de
diverses machines automatisées, robots industriels, instruments
électroniques et équipements automatisés.
Il y a une demande importante dans les régions
de la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Montréal, Centre-du-Québec,
Mauricie, Laurentides, Lanaudière, Laval, Côte-Nord et
Saguenay-Lac-St-Jean. Les diplômés obtiennent
souvent un emploi au cours de leur stage, sinon parmi les nombreuses offres
d'emploi que reçoivent le service de placement des cégeps provenant de
centaines d'employeurs.
D'ailleurs, les Cégeps de Sept-Îles, de
Chicoutimi et de Jonquière reçoivent en moyenne, plus de 5
à 10 fois plus d'offres d'emploi
(provenant du Saguenay-Lac-St-Jean et la Côte-Nord, mais également des
autres régions) qu'il y a avait de diplômés disponibles, puisque la plupart
ont obtenu leur emploi au cours de leur stage ou ont choisi de poursuivre
des études universitaires.
Les industries de première transformation
des métaux et les industries de fabrication métallique industrielle
figurent parmi les plus importants employeurs de ces technologues.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie
(industrie de première transformation des métaux), cette profession
figurait au 1er rang des
professions les plus en demande au cours des prochaines années au sein
de cette industrie.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre
en fabrication métallique industrielle, cette profession figurait au 1er
rang des professions les plus en demande au cours des prochaines années
au sein de cette industrie.
Au cours des 5 dernières années, le
taux moyen de placement était de 87 %.
En 2014, le salaire annuel
moyen au sein des PME en fabrication métallique industrielle était de 48
300 $.
En 2016, le salaire annuel moyen au sein des grandes
industries de fabrication métallique industrielle était de 56 800 $.
En 2016, le salaire annuel moyen au sein des grandes industries de
première transformation des métaux était de 65 800 $.
Pour plus
de détails, consulte la profession de
technologue en électronique industrielle.
Électromécanicien (ou "électricien industriel")
: a pour tâches de
programmer, installer, entretenir, réparer et effectuer des
modifications répondant aux exigences de production des composants
électriques, électroniques, électromécaniques,
Dans l'industrie de
la première transformation des métaux, on retrouve des machines
telles que : machines à gueuse, classeurs automatisés à billettes,
agitateurs automatiques, fours à combustion, laminoirs automatiques,
sableuses automatiques, systèmes automatisés de sablage à l'eau,
systèmes automatisés de grenaillage, systèmes automatisés de
lubrification, systèmes automatisés de galvanisation, têtes rotatives,
etc.
Dans l'industrie de la fabrication métallique
industrielle, on retrouve des machines telles que : cabinets
automatisés de peinture,
presses-plieuses, soudeuses automatisées, poinçonneuses de tôle à
commande numérique, découpeuses au laser, soudeuses automatiques, systèmes automatisés de
galvanisation, sableuses automatiques, systèmes automatisés de sablage à
l'eau, systèmes automatisés de grenaillage, systèmes automatisés de
lubrification, systèmes de fabrication d'additive métallique, etc.
Les équipements
industriels sont de plus en plus automatisés et sophistiqués. Les entreprises
exigent des systèmes davantage performants. Pour cela, il leur faut des
électromécaniciens compétents afin d'en assurer l'entretien.
Dans plusieurs
régions, les centres de formation ne suffisent pas à la demande, puisqu'ils
reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres provenant d'employeurs qu'il y a de
diplômés disponibles. La plupart des finissants obtiennent un emploi
dans leur milieu de stage.
Il y a une demande importante dans les régions
de la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Montréal, Centre-du-Québec,
Mauricie, Laurentides, Lanaudière, Laval, Côte-Nord et
Saguenay-Lac-St-Jean. Les diplômés obtiennent
souvent un emploi au cours de leur stage, sinon parmi les nombreuses offres
d'emploi que reçoivent les centres de formation provenant de
centaines d'employeurs.
Les industries de première transformation des
métaux et les industries de fabrication métallique industrielle figurent
parmi les plus importants employeurs de ces technologues.
Selon
le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie (industrie de
première transformation des métaux), ce métier figure au 2e
rang des professions les plus en demande au cours des prochaines années
au sein de cette industrie.
Selon le Comité sectoriel de la
main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, ce métier figure au 2e rang des professions les
plus en demande au cours des prochaines années au sein de cette
industrie.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des PME en
fabrication métallique industrielle était de 42500 $.
En 2015,
le salaire annuel moyen au sein des grandes industries de fabrication
métallique industrielle était de 46 600 $.
En 2015, le salaire
annuel moyen au sein des grandes industries de première transformation
des métaux était de 58 600 $.
Pour plus de détails, consulte le
métier d'électromécanicien.
Technologue en génie métallurgique :
a pour responsabilités de
superviser et contrôler les opérations de transformation des métaux au sein d’une industrie
de première transformation des métaux (aluminerie, fonderie, aciérie, etc) ou
les opérations de production, les procédés de soudage et d'assemblage et
de contrôle de la qualité des matériaux au sein d'une entreprise de
fabrication métallique industrielle qui fabrique des pièces métalliques
pour leurs produits (aérospatial, automobile, mécanique, etc) ou
l'assemblage de composants et structures métalliques (véhicules,
structures pour la construction, etc).
Chaque année, les cégeps ont reçu en moyenne de 5
à 7 fois plus
d'offres d'emploi qu'il y a avait de diplômés disponibles, sans oublier
les nombreux employeurs qui ont courtisé les finissants au cours de
leurs études et ceux qui ont embauché les finissants à la suite d'un
stage et qui n'ont pas affiché d'offre au sein du service de placement des
cégeps.
Les offres
provenaient des grands employeurs de l'industrie métallurgique (Rio Tinto,
Arcelor-Mittal, Alcoa, Xstrata, Bibby-Ste-Croix), des grands manufacturiers
de produits métalliques (Canam, Marmen, ADF, etc.);
mais surtout de nombreuses PME en fabrication métallique industrielle
situées en Montérégie, au Saguenay Lac-St-Jean, en Côte-Nord, en Mauricie,
dans les Laurentides et de la région de Laval.
La majorité des
finissants obtiennent un emploi pendant leurs études au cours de leur
stage.
Selon le Comité sectoriel de la
main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, ce métier
figure au 3e rang des professions les
plus en demande au cours des prochaines années au sein de cette
industrie.
Selon les données du Ministère de l’Éducation, le métier de technologue
en génie métallurgique est l’un des 30 métiers de la formation technique présentant les meilleures
perspectives d’avenir.
Au cours des 5
dernières années, le taux de placement moyen (dans les 3 spécialisations
"fabrication mécano-soudée, contrôle des matériaux et procédés de
transformation) se situe près de 100 %
En 2016, le salaire annuel moyen au sein des grandes industries de
fabrication métallique industrielle était de 54 800 $.
En 2016,
le salaire annuel moyen au sein des grandes industries de première
transformation des métaux était de 61 900 $.
Pour plus de
détails, consulte la profession de
technologue en génie métallurgique.
Soudeur-monteur (et "assembleur-soudeur") :
a pour tâches de préparer, couper, façonner, assembler, souder, braser,
réparer ou modifier des pièces de métaux ferreux ou non ferreux (que ce
soit des assemblages de pièces d’acier doux et ou acier inoxydable, des
assemblages de pièces d'aluminium, des pièces d'acier, etc.) qui sont
nécessaires à la fabrication de produits métalliques de toutes sortes
(incluant les produits composés de métaux et autres matériaux comme le
plastique, le caoutchouc ou le bois) et ce, en utilisant différents
procédés de soudage (SMAW, GTAW, GMAW, FCAW, SAW, RW ou PAW).
Dans la
plupart des régions, tant dans les grands centres et dans les autres régions, il
y a de très bonnes possibilités d'emploi pour ces ouvriers. Dans certaines
régions, les centres de formation ne suffisent pas à la demande, puisqu'ils
reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres provenant d'employeurs qu'il y a de
diplômés disponibles. La plupart des finissants obtiennent un emploi
dans leur milieu de stage.
Il y a une demande importante dans les régions de la Montérégie,
Chaudière-Appalaches, Montréal, Centre-du-Québec, Mauricie, Laurentides,
Lanaudière, Laval, Côte-Nord et Saguenay-Lac-St-Jean.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication
métallique industrielle, ce métier figure au 4e rang des professions les
plus en demande au cours des prochaines années au sein de cette
industrie.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de
placement était de 76 %.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein
des PME en fabrication métallique industrielle était de 39 500 $.
En 2015,
le salaire annuel moyen au sein des grandes industries de fabrication
métallique industrielle était de 45 200 $.
En 2015, le salaire
annuel moyen au sein des grandes industries de première transformation
des métaux était de 58 100 $.
Pour plus de détails, consulte le
métier de soudeur.
Tôlier :
a pour tâches de transformer des feuilles en métal afin de fabriquer des
pièces industrielles ou aéronautiques
par diverses techniques de coupage, d'usinage, machines de coupe, machines de
façonnage, de soudage, de façonnage et d'assemblage, à l'aide de différentes
types de machines (machines-outils conventionnelles, machines-outils à commande
numérique, presses-plieuses, soudeuses automatisées, poinçonneuses de tôle à
commande numérique, embosseuses, riveteuses, découpeuses au laser, etc.).
Avec une formation complémentaire en
soudage-montage; tu pourras également réaliser des projets de montage
et de soudage d'éléments de structures, des projets de montages industriels
et de structures métalliques avec différents procédés de soudage en tant qu'assembleur-soudeur.
La majorité des employeurs se
retrouvent dans les régions de Montréal (aérospatial), Laurentides
(aérospatial et matériel de transport), Montérégie (aérospatial, métallurgie
et matériel de transport), Chaudière-Appalaches
(fabrication métallique), Lanaudière (fabrication métallique) et Saguenay-Lac-St-Jean (aluminium), mais également
Centre-du-Québec
(aluminium), Estrie (matériel de transport) et Côte-Nord (aluminium).
Les
perspectives d’emploi pour les prochaines années sont bonnes, principalement
dans l'industrie de la fabrication métallique industrielle (notamment en
fabrication de produits d’architecture et d’éléments en charpentes
métalliques).
En 2015, le taux de placement était de 94 %.
En 2015, le salaire
annuel moyen au sein des grandes industries de fabrication métallique
industrielle était de 39 500 $.
En 2015, le salaire
annuel moyen au sein des grandes industries de première transformation
des métaux était de 58 100 $.
Pour plus de détails, consulte le
métier de tôlier.
Ingénieur métallurgiste (ou "ingénieur en
matériaux") : a
comme responsabilité de coordonner et de gérer les procédés et
opérations de fabrication de produits métalliques ou de transformation
des métaux au sein d'une industrie métallurgique.
Dans les
industries de première transformation des métaux; il coordonne et
gère l'ensemble les procédés et des opérations et de contrôle de la
qualité de transformation primaire (fonte, affinage, étirage, extrusion,
laminage, moulage, tréfilage, etc.) de métaux ferreux comme l'acier ou
de métaux non ferreux comme l'aluminium ou le cuivre et les opérations
de production de produits sidérurgiques.
Au sein d'une industrie de
fabrication métallique industrielle; il coordonne et gère
l'ensemble les procédés et des opérations de fabrication et d'assemblage
et de contrôle de la qualité des matériaux de produits métalliques
ferreux (acier d'armature, alliages, structures de bâtiments,
carrosseries de véhicules, outils, tuyaux, etc.) ou de produits
métalliques non ferreux dont notamment l'aluminium, le cuivre ou de
titane.
Il y a d’excellentes
possibilités d’emplois dans ce domaine. Cette profession figure parmi les 50
professions
offrant les meilleures perspectives d’avenir parmi les professions de niveau
universitaire. Généralement, la presque la totalité des diplômés
obtiennent un emploi relié à temps complet.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication
métallique industrielle, il est l'un des 10 métiers les plus en
demande au sein de cette industrie.
Au cours des 5 dernières
années, le taux moyen de placement était de 92 %.
Technologue en maintenance industrielle
: est chargé d’assurer
le fonctionnement optimal des équipements et systèmes de production
existants et de planifier et réaliser l'installation des nouveaux
équipements industriels se retrouvant dans une usine ou
une section d’usine, planifier et réaliser l'installation des nouveaux
équipements industriels selon les besoins de la production.
Offert dans le cadre de la formule alternance travail-études, la plupart
des diplômés obtiennent un emploi au sein de l'entreprise les ayant
accueilli au cours de leurs stages; alors que le service de placement
des cégeps reçoivent de nombreuses offres d'emploi provenant de centaines d'employeurs
et qui ne peuvent pas être comblées.
Il y a une forte
demande dans les régions de la Côte-Nord, des Laurentides,
de Lanaudière, de
Chaudière-Appalaches, et de la Montérégie; notamment de plusieurs
entreprises en fabrication métallique industrielle, autant chez les
grandes entreprises que chez les PME.
Selon les données du Ministère de l’Éducation, le métier de technologue
en maintenance industrielle est l’un des 30 métiers de la formation technique
présentant les meilleures perspectives d’avenir.
Selon le
Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique
industrielle, il est l'un des 10 métiers les plus en demande au
sein de cette industrie.
En 2016, le taux de placement était de
86 %.
En 2016, le salaire
annuel moyen pour un mécanicien industriel au sein des grandes
industries de fabrication métallique industrielle était de 56 200 $.
En 2016, le salaire annuel moyen au sein des grandes industries de
première transformation des métaux était de 60 800 $.
Pour plus
de détails, consulte la profession de
technologue en maintenance industrielle.
Mécanicien industriel (ou "mécanicien-soudeur") :
a pour tâches
d'installer, de faire l’entretien régulier et périodique, dépanner,
réparer, ajuster et inspecter les composantes des systèmes mécaniques,
hydrauliques et pneumatiques des différentes machines se retrouvant dans
une usine.
Avec une formation complémentaire en
soudage-montage; tu pourras également couper, façonner, assembler,
souder, braser, réparer ou modifier des pièces métalliques des
différentes machines et équipements industriels en tant que
mécanicien-soudeur.
Dans une
industrie de première transformation des métaux; on retrouve des
machines telles que : équipement de réfractaire,
Dans une industrie de fabrication métallique industrielle;
on retrouve des machines telles que :
ligne de coupe, ligne de formage à chaud, aléseuse, fraiseuse, machine à
galvaniser, nibbleuse, perceuse, plieuse, poinçonneuse, machine à coude,
machine à plaquettes, soudeuse par points, cisaille hydraulique ou
électrique, scie à métaux hydraulique ou électrique, rectifieuse,
réembobineuse, refendeuse, scelleuse, table de coulage, tourelle, etc.
En 2015, le salaire
annuel moyen pour un mécanicien industriel au sein des grandes
industries de fabrication métallique industrielle était de 43 700 $.
En 2015, le salaire annuel moyen pour un mécanicien-soudeur au sein
des grandes industries de fabrication métallique industrielle était de
47 000 $.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des grandes
industries de première transformation des métaux était de 58 100 $.
Pour plus de détails, consulte le métier de
mécanicien industriel.
L'industrie de la fabrication
métallique industrielle et l'industrie de première transformation des
métaux figurent parmi les plus importants employeurs de des machinistes
de précision.
En 2015, le taux de placement du ASP en usinage sur
machines-outils était de 85 %.
En 2015, le salaire
annuel moyen pour un mécanicien industriel au sein des grandes
industries de fabrication métallique industrielle était de 41 400 $.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des grandes industries de
première transformation des métaux était de 58 100 $.
Pour plus
de détails, consulte le métier de
machiniste.
Ferblantier : a
pour tâches de tracer, découper, fabriquer et assembler toutes sortes
d'objets composés de métal en feuille (outils, matrices, poinçons,
moulures, panneaux architecturaux, appareils de chauffage, appareils de
climatisation ou ventilation, pièces pour l'industrie aéronautique,
pièces pour matériel de transport routier, pièces pour véhicules
ferroviaires, pièces pour véhicules industriels, pièces pour machines
industrielles, etc.).
Plusieurs industries éprouvent des
difficultés à recruter des ferblantiers dû au faible nombre de
diplômés et que la majorité d'entre-eux se dirigent vers la construction. De
plus, de nombreux travailleurs âgés prendront leur retraite et devront être
remplacés.
Plusieurs
possibilités sont offertes notamment dans les industries de fabrication métallique
industrielle, mais également dans les industries de première transformation des métaux
(alumineries, aciéries).
En 2015, le salaire
annuel moyen au sein des grandes industries de fabrication métallique
industrielle était de 43 600 $.
En 2015, le salaire annuel moyen
au sein des grandes industries de première transformation des métaux
était de 56 900 $.
Pour plus de détails, consulte le métier de
ferblantier.
Aujourd'hui, le Canada a acquis une réputation mondiale pour sa quantité et sa qualité de ses ressources minérales, dont notamment le diamant, le cobalt, l'or et le nickel. Bien que ses réserves diminuent, plusieurs endroits n'ont pas encore été exploités (Territoires du Nord-Ouest, Yukon, Nord-du-Québec) et "réservent" probablement de grandes surprises.
Le Canada est un chef de file mondial en exploitation minière et dans les différentes technologies minières. grâce à ses nombreuses richesses minières. En effet, il est l'un des plus grands pays miniers au monde se hissant au 9e rang mondial (derrière la Chine, le Brésil, l'Australie, la Russie, l'Inde, l'Afrique du Sud, l'Ukraine et l'Indonésie) pour sa quantité de ressources exploitées et la valeur des revenus générés pour l'exportation.
Le Québec quant à lui fait partie des 10 territoires miniers les plus explorés au monde. Depuis le début des années 90, la moitié des mines ont commencé à être exploitées ce qui a permis au Québec de connaître une des plus grandes croissance de son industrie minière de toute son histoire. Maintenant, les exploitées minières du Québec représentent plus de 60 % de tous les minerais exploités au Canada.
Le sous-sol québécois est constitué à 90 % de roches précambriennes du Bouclier canadien. Il s’agit d’un ensemble géologique réputé mondialement pour ses gisements d’or, de cuivre, de zinc, de nickel, de fer et d’ilménite.
Le Québec recèle aussi un potentiel minéral significatif pour des gisements d’autres substances, telles ceux du Mont Wright (fer) à Fermont, du Lac Tio (fer et titane) à Havre-Saint-Pierre, de Niobec (niobium) au Saguenay, de Stratmin (graphite) à Mont-Laurier, Raglan (nickel-cuivre) en Ungava et de Renard (diamant) au nord du Québec.
Actuellement, l'industrie minière connaît sa plus grande croissance de toute son histoire. On prévoit que ça se poursuivra au moins pour les 10 prochaines années et de plus, la plus grande partie du personnel de ce domaine sont âgés de plus de 50 ans et devront être remplacés. Plus spécifiquement, d'ici 10 ans on prévoit que 2 100 nouveaux emplois seront créés et 1 500 départs à la retraite devront être comblés selon les données du Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie des mines.
Grâce au boum minier que vit présentement le Québec, il y a une pénurie importante de main-d'œuvre au sein de l'industrie minière. On prévoit que le placement sera excellent pour les 10 prochaines années, puisqu'en plus les mines qui sont actuellement exploitées, il y a de nombreux projets d'exploration situés dans des secteurs prometteurs notamment pour l'or, le diamant, le sel de lithium (prometteur pour le traitement de certaines maladies), etc.
L'industrie minière comprend également les producteurs de granulats (appelés "minéraux industriels" tels que : béton, asphalte, granite, marbre, sel de déglaçage, etc.) utilisés dans l'industrie de la construction d'ouvrages de génie civil (routes, ponts, barrages, etc.), en entretien des routes et travaux publics, ainsi qu'en aménagement paysager principalement.
Pour obtenir davantage d’informations sur le portrait de l’industrie
minière canadienne, consulte le site du
Portrait de l’industrie
minière
Au sein des installations minières, il est chargé de faire
fonctionner et entretiennent des réacteurs, des turbines, des
chaudières, des générateurs, des moteurs stationnaires et des machines
auxiliaires d'une centrale d'énergie afin de générer de l'électricité et
de chauffer, d'éclairer et de réfrigérer les bâtiments (ateliers
d'entretien, dortoirs, cuisines, bureaux, etc.) et les équipements d'un
camp minier.
Une grande proportion des
mécaniciens de machines fixes sont âgés de plus de 50 ans et devront
prendre leur retraite au cours des prochaines années et devront être
remplacés. La majorité des emplois se retrouveront dans les secteurs
industriels tels que : les industries pétrochimiques, alimentaires et
pétrolières.
Plusieurs diplômés obtiennent un emploi avant
même de terminer leurs études et travaillent souvent chez l'entreprise
où ils ont réalisé leur stage.
Selon le Comité sectoriel de
la main-d'œuvre des mines, on estime que plus de 460 opérateurs de
machines fixes seront nécessaires dans l'industrie minière au cours des
10 prochaines années.
Depuis 2013, le taux moyen de placement est
de 85 % ou plus.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des
compagnies minières était de 64 500 $.
Pour plus de détails,
consulte le métier de
mécanicien de
machines fixes.
Il est responsable
de réparer et d’entretenir les systèmes mécaniques, électromécaniques,
hydrauliques et pneumatiques de la machinerie utilisée dans le domaine
de la construction, agricole, forestier et minier.
Dans l'industrie
minière; on retrouve des machines telles que : les
chargeuses-navettes, les chargeuses-pelleteuses, les excavatrices, les
pelleteuses, les tombereaux, les tracteurs articulés, les jumbos de
forage, les grues minières, les chariots élévateurs, etc.
Selon
le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines, on estime que
plus de 320 mécaniciens d'engins de chantier seront nécessaires dans
l'industrie minière au cours des 10 prochaines années.
Depuis
2013, le taux moyen de placement tourne autour de 80 %.
Enfin, il
figure parmi les métiers de la formation professionnelle les plus
payants avec un salaire moyen de 58 700 $ en tant qu'apprenti(e) et augmente
à 30,20 $/heure en tant
que compagnon au sein des grandes compagnies minières.
Pour plus de détails, consulte le métier de
mécanicien d'engins de chantier.
Dans l'industrie minière; on
retrouve une multitude d'équipements miniers automatisés (assistants de
remplissage de godet automatique, foreuses de production automatisée,
systèmes d'arpentage automatisé, systèmes de mesure des distances, des
contraintes, des charges ou les pressions hydrauliques in situ, systèmes
automatisés de fermeture pour installations minières, système automatisé
de chargement minier, systèmes automatisé de contrôle des opérations de
dynamitage, systèmes automatisé de contrôle des opérations d'usine de
traitement des minerais, etc.).
Les
équipements industriels sont de plus en plus automatisés et
sophistiqués. Les entreprises exigent des systèmes davantage
performants. Pour cela, il leur faut des électromécaniciens compétents
afin d'en assurer l'entretien.
Dans plusieurs régions,
les centres de formation ne suffisent pas à la demande, puisqu'ils
reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres provenant d'employeurs qu'il y a de
diplômés disponibles. La plupart des finissants obtiennent un emploi
dans leur milieu de stage.
Les compagnies minières se font
concurrence afin de courtiser les électromécaniciens tant débutants
qu'expérimentés en leur offrant une multitude d'avantages tant que sur
les plans sociaux que monétaires.
Selon le Comité sectoriel
de la main-d'œuvre des mines, ce métier figure au 3e
rang des professions les plus en demande au cours des prochaines années
au sein de cette industrie.
Selon le Comité sectoriel de la
main-d'œuvre des mines, on estime que plus de 200
électromécaniciens seront nécessaires dans l'industrie minière au cours
des 10 prochaines années.
En 2015, le salaire annuel moyen au
sein des grandes compagnies minières était de 64 300 $
en tant
qu'apprenti et augmente
à 66 700 $ en tant que compagnon.
Pour plus de détails, consulte le métier d'électromécanicien.
Avec une formation complémentaire en
soudage-montage; tu pourras également couper, façonner, assembler,
souder, braser, réparer ou modifier des pièces métalliques des
différentes machines et équipements industriels en tant que
mécanicien-soudeur.
Dans l'industrie
de l'exploitation minière; on retrouve des machines telles que :
foreuses, boulonneuses, câbleuses, équipements de projection de béton,
systèmes de pompage,
inséreur à câbles, concasseur, crible, sondeuse, carotteuse,
perceur de trou de mine, foreuse à fond de trou, fond à long trou,
foreuse jumbo, machine
à émulsions, etc.).
Dans une
usine de traitement des minerais; on retrouve des machines telles
que : concasseurs, broyeurs, cellules de flottation,
unités modulaires de traitement de l'or, équipements de traitement des
eaux usées, appareils de concentration des minerais, appareils de
remblais hydrauliques, machines d'agglomération de concentrés, etc.).
Dans certaines régions (dont l'Abitibi-Témiscamingue et la Côte
Nord); les centres de formation ne suffisent pas à la demande,
puisqu'ils reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres provenant d'employeurs
qu'il y a de diplômés disponibles. La plupart des finissants obtiennent
un emploi dans leur milieu de stage.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines, ce
métier figure au 3e rang des
professions les plus en demande au cours des prochaines années au sein
de cette industrie.
Selon le Comité sectoriel de la
main-d'œuvre des mines, on estime que plus de 200 mécaniciens
industriels seront nécessaires dans l'industrie minière au cours des 10
prochaines années.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des
grands producteurs de minéraux industriels était de 54 300 $.
Pour plus de
détails, consulte le métier de
mécanicien industriel.
Selon le Comité sectoriel de la
main-d'œuvre des mines, on estime que plus de 200 technologues en
exploitation minière seront nécessaires dans l'industrie minière au
cours des 10 prochaines années.
Plusieurs diplômés obtiennent un
emploi avant même de terminer leurs études et travaillent souvent chez
l'entreprise où ils ont réalisé leur stage.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement était
près de 100 %.
Pour plus de détails, consulte la
profession de
technologue minier.
Selon le Comité sectoriel de la
main-d'œuvre des mines, on estime que plus de 150 technologues en
exploitation minière seront nécessaires dans l'industrie minière au
cours des 10 prochaines années.
Plusieurs diplômés obtiennent un
emploi avant même de terminer leurs études et travaillent souvent chez
l'entreprise où ils ont réalisé leur stage.
Au cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement était
près de 100 %.
Pour plus de détails, consulte la
profession de
technologue minier.
Les
diplômés obtiennent souvent un emploi au cours de
leur stage, sinon parmi les nombreuses offres d'emploi que reçoivent le
service de placement des cégeps provenant de centaines d'employeurs.
Il y a une forte demande dans les régions de la
Côte-Nord, et de l'Abitibi-Témiscamingue
Selon les données du Ministère de l’Éducation, le métier de technologue
en maintenance industrielle est l’un des 30 métiers de la formation
technique présentant les meilleures perspectives d’avenir.
Offert dans le cadre de la formule alternance travail-études, la plupart
des diplômés obtiennent un emploi au sein de l'entreprise les ayant
accueilli au cours de leurs stages.
Au cours des 5 dernières
années, le taux de placement moyen des cégeps de l'Abitibi-Témiscamingue
et de Sept-Îles était de 96 %.
En 2016, le salaire annuel moyen
pour un mécanicien industriel au sein des grandes industries de
fabrication métallique industrielle était de 56 200 $.
En 2016,
le salaire annuel moyen au sein des grandes compagnies minières était de
70 800 $.
Pour plus de détails, consulte la profession de
technologue en maintenance industrielle.
Les étudiants obtiennent souvent un emploi avant de
terminer leurs études, sont rémunérés lorsqu'il réalisent leurs stages
coopératifs au sein de cette entreprise.
D'ailleurs, plusieurs entreprise les paient mêmes
pendant leur dernière année d'études afin de les fidéliser. De plus, ces
entreprises offrent de nombreux avantages et d'excellentes conditions de
travail afin d'attirer et de garder leur main-d'œuvre. Par exemple, elles
utilisent des services de navette aérienne afin que leurs
travailleurs habitant l'extérieur des régions minières puissent
résider dans la région de leur choix tout en pouvant travaillant dans mines
en régions éloignées.
Selon les données du
Ministère de l’Éducation, la profession d’ingénieur(e) minier est l’une des 25
professions de niveau universitaire présentant les meilleures perspectives
d’avenir.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines, on
estime que plus d'une centaine d'ingénieurs seront nécessaires dans
l'industrie minière au cours des 10 prochaines années.
Au cours
des 5 dernières années, le taux moyen de placement était de 90 %.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des grandes compagnies
minières était de 76 000 $
en tant qu'ingénieur stagiaire et augmente à 95 000 $ en tant qu'ingénieur.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'ingénieur
minier.
Les étudiants obtiennent souvent un emploi avant de
terminer leurs études, sont rémunérés lorsqu'il réalisent leurs stages
coopératifs au sein de cette entreprise.
D'ailleurs, plusieurs entreprise les paient mêmes
pendant leur dernière année d'études afin de les fidéliser. De plus, ces
entreprises offrent de nombreux avantages et d'excellentes conditions de
travail afin d'attirer et de garder leur main-d'œuvre. Par exemple, elles
utilisent des services de navette aérienne afin que leurs
travailleurs habitant l'extérieur des régions minières puissent
résider dans la région de leur choix tout en pouvant travaillant dans mines
en régions éloignées.
Selon les données du
Ministère de l’Éducation, la profession d’ingénieur(e) minier est l’une des 25
professions de niveau universitaire présentant les meilleures perspectives
d’avenir.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines, on
estime que plus d'une centaine d'ingénieurs seront nécessaires dans
l'industrie minière au cours des 10 prochaines années.
Au cours
des 5 dernières années, le taux moyen de placement était de 90 %.
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des PME (firmes
d'ingénieurs, entreprises d'exploration, producteurs de granulats, etc.)
était de 58 900 $
en tant qu'ingénieur stagiaire et augmente à 65 400 $ en tant qu'ingénieur.
En
2015, le salaire annuel moyen au sein des grandes compagnies minières
était de 82 100 $
en tant qu'ingénieur stagiaire et augmente à 102 600 $ en tant qu'ingénieur.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'ingénieur
géologue.
On retrouve des
géologues dans plusieurs secteurs tels que : géologie des ressources
minérales, géologie de l'environnement et de l'aménagement,
hydrogéologie, mais également la géologie des ressources gazières et
pétrolières, la géophysique et télédétection, etc.
Les principaux secteurs connexes en pleine
expansion, comme par exemple l'hydrogéologie (eaux souterraines), ainsi que la
géo-environnement (la réhabilitation de sites miniers).
Selon les données du Ministère de l’Éducation, le métier de géologue est
l’une des 15 professions de niveau universitaire présentant les meilleures
perspectives d’avenir.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines, on
estime que plus de 200 géologues seront nécessaires dans l'industrie
minière au cours des 10 prochaines années.
En 2015, le salaire
annuel moyen au sein des PME (firmes de géologues, entreprises
d'exploration, producteurs de granulats, etc.) était de 60 300 $
en tant que géologue stagiaire
et augmente à 70 000 $ en tant que
géologue
En 2015, le salaire annuel moyen au sein des
grandes compagnies minières était de 80 000 $
en tant que géologue stagiaire et augmente à 84 000 $ en tant
que géologue.
85 500 $ dans le domaine de l'exploitation des
minéraux industriels et matériaux,
Pour plus de détails, consulte la profession de
géologue.
-
Adjoint administratif :
est responsable de la planification, de l'organisation et du suivi de
l'ensemble des activités de bureau et de soutien au sein de l'organisation,
notamment au sein des petites et moyennes entreprises PME, mais aussi au
sein d'un département d'une grande organisation.
Toutes les entreprises ont
besoin de personnel de bureautique polyvalents et efficaces qui doivent très bien maîtriser la
langue française tant parlée qu'écrite et bien (et parfois très bien) maîtriser la
langue anglaise tant parlée qu'écrite car de
nombreuses entreprises font des affaires aux quatre coins du globe. Parfois, la
connaissance d'une autre langue (espagnol ou allemand par exemple) peut être un
atout important dans certaines entreprises qui ont des clients partout dans le
monde.
Plusieurs centres de formation professionnelle et collèges de
l'extérieur des grands centres reçoivent
de nombreuses offres d'emploi provenant d'employeurs, mais ne peuvent
suffirent à la demande puisqu'il y a pas de assez de diplômés
pouvant combler toutes ces demandes.
Ils reçoivent de 2 à 3 fois plus d'offres que de diplômés disponibles et
parfois même davantage dans les régions de l'extérieur des grands centres.
Plusieurs finissants obtiennent un emploi dans leur milieu de stage.
De plus, les diplômées
bilingues et multilingues obtiennent davantage d'offres d'emploi d'employeurs provenant d'un
peu partout au pays.
Les cliniques dentaires, les cliniques
d'optométrie, les cliniques de chiropratique, les CHSLD publics et privés,
les cabinets de comptables, les firmes de consultants en informatique, les
cabinets d'arpenteurs-géomètres, les cabinets de denturologistes, les firmes
d'ingénieurs, les entreprises de développement de logiciels, les entreprises
de transport, les sociétés de génie conseil, les sociétés de conseils en
technologies de l'information, les compagnies d'assurance ne sont que
quelques exemples de types d'entreprises ayant d'importants besoins
d'adjoints administratifs.
Ce métier figure au 2e
rang des métiers les plus en demande sur les sites et moteurs de recherche
d'emploi partout au Québec (derrière les conseillers aux ventes).
Au
cours des 5 dernières années, le taux moyen de placement était de 87 %.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière au sein des PME
était de 34 4700 $.
Pour plus de détails, consulte les métiers de
secrétaire et
de
technicien en bureautique.
Ce métier figure au
1er rang des métiers les plus en demande
au sein de l'industrie de la restauration et de l'hôtellerie, autant chez
les PME et que chez les grandes entreprises dans toutes les régions du
Québec.
Il y a toujours une forte demande pour des
emplois de cuisiniers(ères) et le personnel détenant un D.E.P. est reconnu
et très apprécié par les employeurs.
Mais de façon globale pour l'ensemble du
Québec, le taux de placement moyen au cours des 5 dernières années était de
75 %.
Alors qu'il augmente à 80 % pour les titulaires d'un ASP en cuisine
du marché.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière pour
un cuisinier diplômé était de 31 400 $ au sein des PME,
Alors que les
titulaires de l'ASP, il était de 40 600 $.
Pour plus de détails,
consulte le métier de
cuisinier.
Figurant au 3e rang des métiers les
plus en demande dans tous les types d'entreprise dans toutes les régions du
Québec (derrière les conseillers aux ventes et les adjoints administratifs)
selon la plupart des grands sites et moteurs de recherche d'emploi tels que
: Indeed, Jobillico,
Workopolis, Guichet Emploi et Jobboom.
Il est également le 1er
métier le plus recherché chez les distributeurs, grossistes et importateurs
(appelés "entreprises commerciales de gros") devant les camionneurs et les
représentants aux ventes.
Il est également le 2e
métier le plus recherché par les chaînes de magasins au sein d'un centre de
distribution qui fournit leurs magasins ou leurs franchisés.
Enfin,
on peut considérer qu'il est l'un des métiers les plus recherchés parmi les
métiers n'exigeant aucune scolarité. Par contre, le D.E.S. est souvent exigé
et qu'une formation en conduite d'un chariot élévateur peut être exigée pour
certains postes.
En 2015, le salaire moyen en début de carrière d'un
manutentionnaire était de 13,98 $/heure (40 heures/sem.), soit 29 100 $/année
et pouvant atteindre jusqu`à 21,65 $/heure, soit 45 000 $ après 5 ans
d'expérience.
Pour plus de détails, voir la page sur les
métiers non
spécialisés en commerce.
-
Comptable : est responsable de gérer toutes les activités et
opérations comptables d’une organisation publique ou privée.
Dans le
domaine de la comptabilité publique; en tant qu'expert en
certification comptable, il a pour tâches de vérifier, certifier et exprimer une opinion visant à donner un
niveau d'assurance à un état financier ou à toute autre information liée à
cet état financier des entreprises et autres organisations publiques ou
privées et de fournir des conseils financiers auprès des dirigeants
d'entreprises, principalement les PME.
Dans le domaine de la
comptabilité de gestion; en tant qu'expert en opérations financières et
comptables, il est chargé d’élaborer des stratégies financières, implanter
des systèmes d’information comptable, engager et faire le suivi du
développement d’une entreprise (nouveaux marchés, fusions, etc), améliorer
le processus de gestion au sein de l'entreprise ou de l'organisation qu'il
l'emploie, que ce soit une PME, une grande entreprise, un organisme sans but
lucratif ou une organisation publique ou parapublique.
Dans le
domaine de la comptabilité financière; en tant qu'expert en performance
financière, il a pour tâches d’élaborer des stratégies financières,
implanter des systèmes d’information comptable, effectuer des études de
rentabilité sur les projets d’investissements, conseiller les gestionnaires
en ce qui a trait aux choix de financement, mettre en œuvre et faire le
suivi du développement et de la croissance de l’organisation, etc.
Selon l'Ordre
professionnel des CPA du Québec;
44 % œuvrent en cabinet privé
à temps
complet (seul ou associé),
41 % pratiquent en tant que salarié en
entreprise privée,
10 % pratiquent en cabinet privé à temps partiel (seul
ou associé) en combinaison avec un emploi salarié,
5 % étaient dans
d'autres milieux.
Les principaux domaines d'activités de pratique de
la majorité des comptables sont les rapports financiers et/ou non financiers
(27 %), la comptabilité de gestion (23 %), en finances (21 %) et en audit et
certification (13 %).
Avec les constants changements
économiques que doivent faire face les entreprises, les particularités et la
complexité des exigences gouvernementales (taxes à la consommation, fiscalité,
financement public, etc), ainsi que les nombreux problèmes
reliés aux crises économiques et aux crises financières de la bourse, les entreprises ont besoin de professionnels(les)
compétents(es) et fiables afin de les aider à demeurer actives.
Les meilleures perspectives sont
surtout orientées vers les PME qui doivent concurrencer les grandes entreprises
d'ici, mais aussi les entreprises de l'étranger. Par contre, au sein des plus
grandes entreprises et des cabinets de comptables sont moins importantes, bien
qu'elles restent bonnes car de plus en plus d'organisations engagent des
vérificateurs afin d'éviter des problèmes financiers ou des scandales faisant
les manchettes. Dans la fonction publique, d'importants besoins sont
notamment orientés dans le domaine de la vérification fiscale tant provinciale
que fédérale.
Les possibilités sont bonnes
pour les comptables ne possédant pas de titre, alors qu’elles deviennent très
bonnes, sinon excellentes pour ceux ayant obtenu le titre comptable CPA.
Annuellement, la plupart des universités ont reçu de 3
à 6 fois plus d'offres d'emploi provenant d'employeurs de tous les
domaines et de toutes tailles qu'il y avait de diplômés(es) disponibles, sans
oublier les nombreuses entreprises qui courtisent les finissants(es) avant même
qu'ils terminent leurs études.
Au cours des 5 dernières années, le taux
moyen de placement était de 86 %.
En 2015, le salaire annuel moyen en
début de carrière était de :
45 200 $ sans titre comptable au sein
des PME,
46 300 $ en tant que stagiaire comptable
La rémunération moyenne des CPA détenant une
moyenne de 10 années d'expérience en 2015 était :
83 000 $ en
audit et certification,
89 000 $ en comptabilité générale et tenue des
registres,
91 000 $ en gestion budgétaire,
101 000 $ en comptabilité
de gestion,
101 000 $ en rapports financiers et/ou non financiers.
Pour plus de détails, consulte la profession de
comptable.
A
Moteur économique de premier ordre pour de
nombreuses municipalités du Québec dans plusieurs régions
(Abitibi-Témiscamingue, Saguenay-Lac-St-Jean, Bas-St-Laurent, Laurentides,
Outaouais, Estrie, Centre-du-Québec, Mauricie et Chaudière-Appalaches).
Selon
l'Université Laval, tous les diplômés obtiennent facilement un emploi
dans leur domaine, principalement au cours de leurs stages rémunérés en
industrie. Au cours des 5 dernières années, le taux de placement moyen était
de 100 %.
En 2015, le salaire annuel moyen en début de carrière d'un
ingénieur en bois était de 46 700 $ en tant qu'ingénieur junior et augmente
jusqu'à 54 900 $ en tant qu'ingénieur au sein des PME.
En 2015, le
salaire annuel moyen en début de carrière d'un ingénieur en bois était de 67 000
$ en tant qu'ingénieur junior et augmente jusqu'à 74 900 $ en tant qu'ingénieur
au sein des grandes entreprises de transformation.
Pour plus de détails, consulte la
profession d'ingénieur en
bois.
En exploitation; il est responsable de
planifier, coordonner et de gérer des projets d’exploitation de forêts
privées afin d’approvisionner les usines de transformation du bois
(scieries, papeteries, etc).
Bien que la majorité des ingénieurs
forestiers travaillent dans la fonction publique, soit 38 %; la plupart des
emplois sont toutefois orientés vers le secteur privé, notamment les firmes
et sociétés de génie forestier, les compagnies forestières et les
coopératives forestières.
Malgré le contexte difficile qu'éprouve
actuellement l'industrie forestière,
plusieurs
emplois sont offerts par les entreprises forestières dans les domaines de la
consultation forestière, de la prévention des incendies de forêt, de la
protection environnementale, de l'aménagement forestier des forêts publiques et
privées, etc. Le secteur public a besoin
de personnel afin de régler des problèmes environnementaux dans les parcs et
réserves.
Le nouveau régime forestier et la gestion de la forêt sont en pleine
transformation, ce qui permettra aux ingénieurs forestiers de participer à la
modification en profondeur des méthodes d'aménagement et de protection de notre
vaste territoire forestier.
En 2014 et 2015, le service de placement de l'Université Laval a reçu
plus de 130 offres d'emploi pour ses 60 diplômés, alors que plusieurs
finissants(es) avaient déjà obtenu une promesse d'embauche au cours de leur
dernière année d'études ou au cours de leur stage.
Au cours des 5
dernières années, le taux moyen de placement était de 81 %.
En 2015,
le salaire moyen en début de carrière était de
51 800 $
Pour plus de détails, consulte la profession d'ingénieur
forestier.
Les entreprises ont besoin
de personnel qualifié afin de développer de nouveaux marchés qui leurs
permettront de se démarquer de leurs concurrents.
Bien qu'il ne fasse partie du top 100 des métiers offrant les meilleures
perspectives d'avenir, il figure dans le top 5 de l'ensemble des métiers les
plus en demande partout au Québec selon les moteurs de recherche d'emploi
Indeed, Jobillico, Workopolis, Guichet Emploi, Jobboom et le site spécialisé
Emplois en ventes marketing.com.
Il figure au 1er
rang des métiers les plus recherchés chez les entreprises commerciales en
gros dans presque tous les secteurs.
Bien que difficile à évaluer
puisque
pour plusieurs postes, la rémunération
n'est établie que par un % des commissions, alors que d'autres il y a un
salaire de base + commission, le type de produit ou de service vendu,
la situation économique du secteur représenté, ainsi que d'autres facteurs;
le salaire annuel moyen pour un représentant aux ventes était de 37 700 $ en
2015.
Pour plus de détails, consulte le métier de
représentant aux
ventes.
Les chaînes de magasins et plusieurs
autres types commerces au détail subissent de nombreuses difficultés économiques
depuis quelque temps surtout causées par les ventes par Internet. Plusieurs
commerces dans certains secteurs en particuliers (vêtements, produits électroniques,
produits de musique et divertissement, etc.) effectuent des coupures de
postes et certains ferment leurs portes.
Or, les emplois sont
surtout offerts en ventes de produits d'assurance, de vêtements hauts de
gamme, en équipements sportifs professionnels, de meubles commerciaux et
institutionnels, de véhicules (automobiles, récréatifs, etc.) neufs ou
d'occasion et autres produits plutôt
spécialisés (vêtements hauts de gamme, vêtements et équipements spécialisés
pour les travailleurs, équipements de sport hauts de gamme, meubles pour
bureaux et magasins, etc.) qui ne subissent pas cette tendance et offrent de meilleures
perspectives.
D'autres types de commerces également subissent moins les
contrecoups du commerce électronique, comme : les quincailleries et autres
commerces de matériaux de construction, les commerces de produits
d'ameublement, les galeries d'art, les pharmacies, les boutiques d'artisanat
et de souvenirs, etc.).
De plus, il existe encore aujourd'hui des milliers de
petits commerces qui n'ont pas de site Web, alors que d'autres commerces
visent principalement la clientèle touristique qui visitent les attraits de
la région en profitent pour acheter des souvenirs sur place.
Bien
qu'il ne fasse partie du top 100 des métiers offrant les meilleures
perspectives d'avenir, il figure au 1er
rang de l'ensemble des métiers les plus en demande partout au Québec selon
les moteurs de recherche d'emploi Indeed, Jobillico, Workopolis, Guichet
Emploi, Jobboom et le site spécialisé Emplois en ventes marketing.com.
Il figure également au 1er rang
des métiers les plus recherchés au sein des commerces au détail dans presque
tous les secteurs.
Citons par exemple, au cours de l'automne 2017 :
le site Indeed Québec affichait près de 2 200 offres d'emploi de
conseiller aux ventes,
le site Jobillico affichait plus de 1 200 offres
d'emploi en ventes au Québec,
le site Guichet Emploi affichait plus de
590 offres d'emploi comme vendeur ou conseiller aux ventes au Québec,
le
site Jobbom affichait plus de 570 offres d'emploi comme vendeur ou
conseiller aux ventes au Québec,
le site Workopolis affichait plus de 200
offres d'emploi comme conseiller aux ventes au Québec.
le site emplois en
ventes marketing affichait plus d'une soixantaine d'offres d'emploi de
conseiller en ventes spécialisées.
Pour plus de détails, consulte le
métier de conseiller
aux ventes.