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SECTEUR :
ÉLECTROTECHNIQUE
DIPLÔME D’ÉTUDES PROFESSIONNELLES
D.E.P.
Consulte également la section "liens recommandés" (dont des vidéos d'électromécaniciens qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
Lire et interpréter les schémas électriques, les plans et les devis descriptifs du code de l'électricité pour déterminer l'emplacement du matériel électrique industriel;
Installer, vérifier, remplacer et réparer des câbles électriques, prises de courant, boîtes de commutation, conduits, artères, montages de câbles à fibres optiques et coaxiaux, appareils d'éclairage et autres composants;
Procéder aux essais de matériel électrique et électronique et de composants pour vérifier la continuité, le courant, la tension et la résistance;
Entretenir, réparer, installer et procéder aux essais des appareils de coupure, transformateurs, compteurs de tableaux de distribution, régulateurs et réacteurs;
Entretenir, réparer, installer et procéder aux essais des moteurs électriques, générateurs, alternateurs, batteries d'accumulateurs industriels, et systèmes hydrauliques et pneumatiques de contrôle électrique;
Dépanner, entretenir et réparer les systèmes de contrôle industriels électriques et électroniques et autres dispositifs connexes;
Installer, entretenir et calibrer, s'il y a lieu, des instruments industriels et dispositifs connexes;
Exécuter des programmes d'entretien préventif et tenir des registres d'entretien;
Installer et entretenir de l'équipement servant à la transmission d'électricité, comme des transformateurs, des générateurs, des régulateurs de tension, des commutateurs, des disjoncteurs, des condensateurs, des bobines d'induction et des systèmes de contrôle et d'acquisition des données (SCADA);
Installer et entretenir l'équipement et l'appareillage électriques dans des centrales électriques ou des stations génératrices d'électricité;
Contrôler et vérifier l'équipement et l'appareillage électriques afin d'en assurer le bon fonctionnement et de localiser les défauts électriques à l'aide d'instruments divers tels que des voltmètres, des ampèremètres et d'autres appareils d'essai;
Réparer ou remplacer les équipements et les appareils électriques défectueux;
Remplir des rapports d'essais et d'entretien.
Tu pourras travailler pour Hydro-Québec, un distributeur public d'électricité (ex : Hydro-Sherbrooke ou Hydro-Saguenay), un producteur ou distributeur privé d'électricité.
En tant
qu’électromécanicienne ou électromécanicien de systèmes automatisés; tu
seras responsable de programmer, installer, entretenir, réparer et effectuer des
modifications répondant aux exigences de production des composants électriques,
électroniques, électromécaniques,
Tu seras aptes à réparer à peu près tous les types d’équipements automatisés qui se trouvent dans les usines tels que : automates programmables, systèmes de contrôle des procédés, compacteurs, consoles hydrauliques et pneumatiques, manipulateurs pneumatiques, ponts roulants, relais programmables, pompes et valves sont quelques exemples de machines dont tu auras la responsabilité du bon état de fonctionnement.
Tu auras pour tâches de :
Mettre à l'essai et observer des composantes et des systèmes électriques, électroniques et mécaniques à l'aide d'appareils d'essai et de mesure;
Localiser et réparer les pannes des moteurs électriques, des transformateurs, de l'appareillage de connexion, des générateurs et d'autre matériel électromécanique;
Remplacer ou remettre à neuf des arbres, des coussinets, des commutateurs et d'autres composants;
Enrouler, assembler et installer divers types de bobinage alternateurss pour moteurs ou transformateurs électriques;
Effectuer l'équilibrage dynamique ou statique d'armatures ou de rotors par le soudage et le brasage des connexions électriques, et en alignant et ajustant les pièces;
Mettre à l'essai, réparer ou remplacer des câblages ou des composants défectueux dans l'appareillage de connexion électrique;
Mettre à l'essai des moteurs, des transformateurs, des appareillages de connexion ou d'autre dispositifs électriques réparés afin d'en assurer la performance appropriée;
Effectuer des travaux d'usinage pour remettre à neuf ou modifier des arbres, des commutateurs ou d'autres pièces;
Faire de l'entretien et de la réparation sur place;
QUALITÉS ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
- Aptitudes pour la mécanique, l'électricité et l'électronique
- Aptitudes pour comprendre facilement des plans, devis et croquis d'assemblage de machines
- Bonne condition physique
- Bonne acuité visuelle et auditive
-
Bonnes habiletés
manuelles et bonne dextérité manuelle
- Esprit méthodique et d’analyse pour analyser et trouver rapidement une défectuosité ou tout autre problème
- Minutie et précision et souci du détail car tu auras souvent à réparer des petites pièces ou des pièces délicates
-
Sens de l’observation
et de l'initiative car tu devras agir dès que tu détecteras une défectuosité à une machine
- Capacité de travailler sous pression car tu devras être capable de faire des réparations rapidement mais efficacement
- Facilité au travail en équipe car tu auras à réaliser des projets ou effectuer des gros travaux d’entretien qui exigent une très grande collaboration entre les collègues
-
Connaissance de
l’anglais est nécessaire pour bien comprendre les manuels d’entretien des appareils
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Ajusteur(euse) d'appareils électriques industriels
- Ajusteur(euse) monteur(euse) de matériel électrique industriel
- Ajusteur(euse) monteur(euse) de moteurs électriques
- Assembleur(euse) de circuits électroniques
- Assembleur(euse) de circuits intégrés
- Assembleur(euse) de commandes électroniques
- Assembleur(euse) de matériel électronique
- Assembleur(euse) de noyaux de transformateurs
- Bobineur(euse) de condensateurs
- Bobineur(euse) de moteurs électriques
- Bobineur(euse)-électricien(ne)
- Bobineur(euse)-réparateur(trice)
- Contrôleur(e) de systèmes électroniques
- Dépanneur(euse) de transformateurs de puissance
- Électricien(ne) d'appareillage (Hydro-Québec)
- Électricien(ne) de centrale électrique
- Électricien(ne) de poste de réseau électrique
- Électricien(ne) liencié(e) au Centre Hydro (Hydro-Québec)
- Étalonneur(euse) de semi-conducteurs
- Installateur(trice) - mesurage (Hydro-Québec)
- Mécanicien(ne) d'instruments électriques
- Mécanicien(ne) de matériel électrique
- Mécanicien(ne) de moteurs électriques
- Mécanicien(ne) de voitures de trains ou métro (formation en cours d'emploi offerte par l'employeur échelonnée sur 3 à 4 ans)
- Mécanicien(ne)-rebobineur(euse)
- Monteur(euse) de bobines de matériel électrique industriel
- Monteur(euse) de composants électroniques
- Monteur(euse) de dispositifs à semi-conducteurs
- Monteur(euse) de matériel de communication
- Monteur(euse) de matériel électrique industriel
- Monteur(euse) de moteurs électriques
- Monteur(e)-régleur(e) de matériel de commande électrique
- Réparateur(trice) de génératrices
- Réparateur(trice) de systèmes hydrauliques ou
pneumatiques
- Électronicien(ne) d’entretien
- Mécanicien(ne) d’entretien
- Réparateur(trice) d'alternateurs et de démarreurs
- Réparateur(trice) de commandes électroniques
- Réparateur(trice) de génératrices
- Réparateur(trice) de moteurs électriques
- Réparateur(trice) de ponts roulants
- Réparateur(trice)-essayeur(euse) de moteurs électriques
- Représentant(e) en vente d’équipements industriels
- Représentant(e) en vente de systèmes électriques industriels
- Technicien(ne) de compteurs électriques
- Technicien(ne) en multimécanique de réseau (Énergir)
- Technicien(ne) de systèmes de moteurs électriques
- Vérificateur(trice) d'alternateurs
- Vérificateur(trice) d'appareils de commutation électrique
- Vérificateur(trice) de composants électroniques
- Vérificateur(trice) de compteurs (Énergir et Hydro-Québec)
- Vérificateur(trice) de moteurs électriques
- Vérificateur(trice) de panneaux de commande
-
Spécialiste en systèmes
d'information et de communication terrestres
(Forces armées) formation offerte
par les Forces
- Technicien(ne) en électronique et optronique (Forces armées) formation offerte par les Forces
- Technicien(ne) en systèmes d’informations et de télécommunications aérospatiales (Forces armées) formation offerte par les Forces
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Compagnies ferroviaires
- Compagnies minières
- Compagnies pétrolières
-
Industries de fabrication de véhicules de transport (automobile,
aéronautique, ferroviaire)
-
Industries de fabrication d’équipements informatiques ou électroniques
-
Industries de fabrication d’appareils électriques ou électroniques
- Industries agroalimentaires
- Industries chimiques et pétrochimiques
- Industries métallurgiques
- Cimenteries
- Imprimeries
- Entreprises d’entretien industriel
- Fournisseurs d’équipements pour les industries
- Autres PME manufacturières et grandes industries ayant des systèmes automatisés
- Municipalités (usines de traitement des eaux)
- Usines d’embouteillage
- Forces armées canadiennes, voir
aussi la
Branche
de l'électronique et des communications et la
Réserve
aérienne
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Connaissance de l’anglais (certains employeurs exigent le bilinguisme)
-
Polyvalence
-
Capacité de s’adapter aux nombreux changements technologiques
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 1er juin 2019 :
Le placement est
bon, 77 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers
le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études
dont la presque totalité sont à temps complet.
Quelques répondants(es), soit 13 % ont décidé
de poursuivre leurs études au collégial en technologie de l’électronique
industrielle (notamment grâce aux programmes DEP-DEC).
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE EMPLOI A TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
551 | 370 | 367 | 72 |
Note : hausse du taux de placement en comparaison avec les années précédentes (était de 77 % en2017; 71 % en 2015 et 72 % en 2013).
Source :
Ministère de l’Éducation
SALAIRE :
Selon les données de 2022 :
Le salaire moyen
en début de carrière était de :
- 24,08 $/heure (40 hres/sem) au sein des PME
- 21,23 $/heure (40 hres/sem) en moyenne dans les grandes stations de ski
- 22,51 $/heure (375, ou 40 hres/sem) en moyenne en tant qu'opérateur(trice) de machines d'assemblage de circuits au sein des grands manufacturiers de matériel électronique
- 22,63 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'électromécanicien(ne) au sein les grands manufacturiers de machines et équipements industriels
- 23,43 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 25,21 $/heure par la suite en tant qu'électromécanicien(ne) au sein des grands manufacturiers de produits aérospatiaux
- 23,33 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de produits en bois (panneaux agglomérés, parquets lattés, contreplaqués, etc.)
- 23,75 $/heure (375, ou 40 hres/sem) en moyenne en tant qu'opérateur(trice) de machines d'assemblage de circuits au sein des grands manufacturiers de matériel électrique
- 23,93 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 25,18 $/heure par la suite au sein des grands chantiers navals
- 23,53 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands fabricants de production textile
- 23,92 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'électromécanicien(ne) au sein des grands manufacturiers de produits en fabrication métallique industrielle
- 24,13 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de matériel électrique
- 24,15 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grandes entreprises de l'imprimerie
- 25,89 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'électromécanicien(ne) au sein des grands manufacturiers de la plasturgie, du caoutchouc, de la fibre de verre et des composites
- 26,34 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'électricien(ne) au sein des grands manufacturiers de la plasturgie, du caoutchouc, de la fibre de verre et des composites
- 26,42 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grandes industries de transformation alimentaire (viandes et volailles)
- 26,56 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands fabricants d'aliments ou boissons
- 27,62 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 29,70 $ en tant qu'électromécanicien(ne) au sein des grandes industries papetières
- 28,76 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 30,93 $ en tant qu'électricien(ne) au sein des grandes industries papetières
- 32,18 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 35,67 $/heure en tant que compagnon électromécanicien(ne) au sein des grands manufacturiers de produits chimiques et pétrochimiques
Note 1 : hausse assez importante de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 21,78 $ en 2019; 21,28 $ en 2017; 20,05 $ en 2015 et 20,98 $ en 2013).
Note 2 : chez les grands manufacturiers, tu débuteras au niveau apprenti pendant les 18 ou 24 premiers mois selon les entreprises.
- 23,12 $/heure (38,75 hres/sem) dans le réseau de la santé (centres de réadaptation physique et hôpitaux)
- 26,83 $/heure (40 hres/sem) en tant que préposé(e) à l'entretien électromécanique à la Société des casinos du Québec
- 29,23 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 35,28 $/heure en tant qu'électricien(e) de la signalisation des voies à Via Rail Canada
- 32,17 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'électromécanicien(ne) au sein de Nav Canada
- 39,30 $/heure (40 hres/sem) en tant que stagiaire en multimécanique du réseau et augmente à 43,46 $ en tant que technicien(ne) junior en multimécanique du réseau - instrumentation à Énergir (anciennement "Gaz métro")
- 39,83 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) d'instrumentation ou électromécanicien(ne) ou électricien(ne) d'entretien à la Ville de Montréal (stations de traitement des eaux)
- 40,35 $/heure (37 hres/sem) en tant que jointeur(euse) - télécommunications à Hydro-Québec
- 40,54 $/heure (37 hres/sem) en tant que vérificateur(trice) réparateur(trice) de l'outillage à Hydro-Québec
- 44,19 $/heure (37 hres/sem) en tant qu'électricien(ne) d'appareillage à Hydro-Québec
- 3 168 $/mois (grade de "soldat/matelot 2e classe") au cours de la 1re année et augmente à 5 959 $/mois (grade de "caporal - spécialiste" après 3 ans) en tant que spécialiste en systèmes d'information et communications de l'Armée ou technicien(ne) en électronique et optronique ou technicien(ne) en systèmes d'armement aérien ou technicien(ne) en systèmes d'information et télécommunications aérospatiales au sein des Forces canadiennes (Force régulière)
- 181,82 $/jour (grade de "caporal/matelot 1re classe" - spécialiste) au sein des Forces canadiennes (Réserve)
Note : dans le secteur public et au sein des grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Sources : Ministère de l’Éducation du Québec, Forces canadiennes, Commission de la fonction publique du Canada, Syndicat des travailleuses et travailleurs des postes du Canada, Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal, Syndicat des fonctionnaires de la Ville de Québec, SCCEP - section locale 196 - Centre des congrès de Québec, Syndicat des employés de métiers d'Hydro-Québec, Syndicat des employés de la Société des casinos du Québec, Syndicat des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal, Syndicat national des employés du Port de Montréal, Syndicat des employés des aéroports de Montréal, Syndicat des employés de Gaz métro, Alliance de la fonction publique du Canada - section locale Aéroport de Québec, SCFP - section locale 3149 Port de Québec, conventions collectives des cols bleus de la plupart des grandes municipalités, conventions collectives des cols bleus de plusieurs municipalités de taille moyenne, conventions collectives des employés de plusieurs grandes stations de ski, conventions collectives des employés de plusieurs grandes entreprises de l'imprimerie, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries alimentaires, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries du textile, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers de meubles, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de la plasturgie, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers de machines et équipements industriels, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries aérospatiales, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries chimiques et pétrochimiques, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de fabrication de matériel électrique, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries du matériel électronique, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries pharmaceutiques et cosméceutiques, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries du matériel de transport, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries papetières, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries métallurgiques, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries chimiques et pétrochimiques, conventions collectives des employés de certaines grandes industries pétrolières et conventions collectives des employés de plusieurs grandes compagnies minières.
PORTRAIT DU MÉTIER :
Selon
Plus de 4 000 électriciennes et électriciens d'entretien industriel;
Plus de 2 000 électriciennes et électriciens de réseaux électriques;
Plus de 5 000 assembleurs(euses), monteurs(euses), contrôleurs(es) et vérificateurs(trices) de matériel électronique;
Ainsi que plus de 900 assembleurs(euses), monteurs(euses), contrôleurs(es) et vérificateurs(trices) de transformateurs, de moteurs et autres produits électriques dans l'ensemble du Québec en 2022.
moins de 25 ans : 12 %
25 à 44 ans : 60 %
45 à 54 ans : 19 %
55 ans et + : 10 %
I
M
I
Industries chimiques et pétrochimiques (incluant les industries de la plasturgie) : 1 %
Autres industries (chantiers navals, raffineries de pétrole, etc.) : 2 %
A
Les équipements industriels sont de plus en plus automatisés et sophistiqués. Les entreprises exigent des systèmes davantage performants. Pour cela, il leur faut des électromécaniciens compétents afin d'en assurer l'entretien.
Avec une combinaison de formation (par exemple en ajoutant un D.E.P. en électricité à ton bagage de formation), tu augmentes ton niveau d'expertise et tes chances d'embauche afin d'obtenir un emploi comme électricien(ne) industriel.
Dans la plupart des régions, tant dans les grands centres et dans les autres régions, il y a d'excellentes possibilités d'emploi pour ces ouvriers.
Dans certaines régions, les centres de formation ne suffisent pas à la demande, puisqu'ils reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres provenant d'employeurs qu'il y a de diplômés(es) disponibles. La plupart des finissants(es) obtiennent un emploi dans leur milieu de stage.
La rémunération moyenne après expérience en 2022 :
BREF PORTRAIT DE QUELQUES SECTEURS INDUSTRIELS :
L'industrie minière québécoise :
Le Québec est l’un des 10 territoires miniers les plus explorés au monde. Depuis le début des années 90, la moitié des mines ont commencé à être exploitées ce qui a permis au Québec de connaître une des plus grandes croissance de son industrie minière de toute son histoire. De plus, un grand nombre de géologues actuellement en emploi sont âgés et devront prendre leur retraite dans les prochaines années.
Pour toutes ces raisons, les perspectives de découvertes nouvelles et par le fait même des emplois pour des spécialistes des mines sont excellentes pour les 10 prochaines années. Maintenant, les exploitations minières du Québec représentent plus de 60 % de tous les minerais exploités au Canada.
Le sous-sol québécois est constitué à 90 % de roches précambriennes du Bouclier canadien. Il s’agit d’un ensemble géologique réputé mondialement pour ses gisements d’or, de cuivre, de zinc, de nickel, de fer et d’ilménite.
Le Québec recèle aussi un potentiel minéral significatif pour des gisements d’autres substances, telles ceux du Mont Wright (fer) à Fermont, du Lac Tio (fer et titane) à Havre-Saint-Pierre, de Niobec (niobium) au Saguenay, de Stratmin (graphite) à Mont-Laurier, Raglan (nickel-cuivre) en Ungava et de Renard (diamant) au nord du Québec.
Par ailleurs, les secteurs miniers bien établis, tels ceux de Val-d’Or, Rouyn-Noranda, Matagami et Chibougamau, recèlent toujours d’importants gisements, notamment en profondeur.
Parmi les ressources minérales exploitées, on retrouve :
les minéraux métalliques : or, nickel, cuivre, zinc, argent, mais aussi le niobium, le magnésium, le palatine, et la tellure
les minéraux non métalliques : le charbon, le sable, le gravier, la pierre architecturale, incluant, le graphite, le titane, le quartz ou la silice, mais aussi le soufre, le sel, la tourbe, le mica, la stéatité et la chrysolite.
Pour ce qui des minéraux en exploration (la découverte de gîtes détenant potentiellement des ressources), il y a :
les minerais métalliques (des métaux non ferreux rares comme : la tantale, le lithium, le béryllium, le zirconium, le hafnium, le germanium, le gallium, ainsi que l’yttrium et le scandium);
les minerais non métalliques (pierres gemmes comme : le diamant, mais également l'aigue-marine, l'apatite, le quartz enfumé, la labradorite, la cordiérite, la pyope, l'amazonite, la gaspéite, la scapolite, etc.).
En 2015, l'ensemble de l'industrie minière a généré des revenus de 5,8 milliards, regroupait une cinquantaine d'entreprises et employait plus de 45 600 personnes.
En ce qui concerne le secteur de l'exploitation et du traitement des minerais, on y retrouvait 21 compagnies d'exploitation minière qui employaient plus de 13 600 travailleuses et travailleurs.
Près de 30 % de la main-d’œuvre de l’industrie minière devrait prendre sa retraite au cours des cinq prochaines années. Cet important besoin de main-d’œuvre pose aussi le défi d’intégrer rapidement un grand nombre de travailleurs aux particularités de l’emploi dans le secteur minier.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines; le métier d'électromécanicien(ne) figure au 6e rang des métiers de la formation professionnelle les plus en demande dans l'industrie minière.
L'industrie québécoise de la première transformation des métaux :
En 2016, elle générait des revenus de plus de 5,5 milliards $, soit 40 % de la production canadienne de métaux et 12 % du secteur manufacturier québécois.
Elle comptait 118 entreprises qui employaient plus de 20 300 travailleuses et travailleurs principalement concentrés dans les régions de la Montérégie, du Saguenay-Lac-St-Jean et de Montréal, mais également dans les régions de la Côte-Nord, du Centre-du-Québec et de Québec.
Plus de 41 % des entreprises de l'industrie emploient moins de 50 personnes, 17 % entre 50 et 99 personnes, 20 % entre 100 et 199 personnes, alors que seulement 22 % sont des entreprises de grande taille ayant 200 employés et plus.
Par contre, ce sont les grandes entreprises qui employaient la majorité des travailleurs(euses) de cette industrie avec une part de 72 %.
Plus de 42 % des emplois sont au sein des grands producteurs et transformateurs d'aluminium, 21 % au sein des grands producteurs et transformateurs de métaux non ferreux (cuivre, zinc), 19 % au sein des grandes producteurs sidérurgique (acier), alors que 17 % sont au sein des fonderies.
Le secteur de la première transformation des métaux reprend confiance après avoir subi les impacts de la crise économique et boursière de 2008 et 2009. La forte remontée des prix des métaux industriels au cours des derniers mois de 2016, les signes d’accélération de l’économie mondiale encourageants qui se sont traduits par une demande plus forte des métaux en 2017 et la tendance à la hausse des prix des métaux de base devrait ainsi se poursuivre au cours des prochains.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de la métallurgie; le métier d'électromécanicien(ne) figure au 2r rang des métiers les plus en demande dans l'industrie de première transformation des métaux.
Ces signes laissent prévoir de très bonnes perspectives d'emploi au cours des prochaines années au sein de cette industrie.
L'industrie aérospatiale québécoise :
Elle représente à elle-seule près de 56 % de toute l'industrie aérospatiale canadienne et figure en 6e position au niveau mondial (après l'État de Washington aux USA, la région des Midi-Pyrénées en France, le comté de Hampshire en UK, l'État d'Hessen en Allemagne et la région de Madrid en Espagne).
Ce sont principalement des industries de l'aéronautique pour l'aviation civile que l'on retrouve (systèmes, composantes, pièces et assemblage d'aéronefs), mais également quelques entreprises sont liées à l'industrie spatiale (satellites ou ses composantes ou pièces).
Quelques entreprises québécoises fabriquent des composantes et pièces pour aéronefs civils, mais également pour des aéronefs militaires, mais le marché de la Défense au Québec n'est pas très importante.
Au Québec; on y assemble des avions long courrier, avions régionaux, des avions d'affaires, des hélicoptères civils, des aubes de moteurs d'aéronefs, des turbines à gaz pour moteurs d'aéronefs, des trains d'atterrisssages pour aéronefs, des simulateurs de vol professionnels pour avions régionaux et avions d'affaires, des composantes de structures pour aéronefs et bien d'autres.
En 2016, l'industrie aéronautique québécoise, c'était :
2e rang en Amérique du Nord pour la concentration des activités de l'industrie aérospatiale derrière Seattle
6e rang mondial sur le plan des emplois (derrière les États-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Espagne)
205 entreprises de toutes tailles (dont 180 PME)
39 100 emplois (dont la plupart sont spécialisés ou ultra-spécialisés)
un chiffre d'affaires de 14,4 milliards $
55 % des ventes aérospatiales canadiennes
70 % des dépenses totales en recherche et développement canadienne
L'industrie québécoise du matériel de transport terrestre :
Elle est le plus important secteur de l'industrie de la fabrication mécanique et l'un des plus importants secteurs industriels au Québec.
En 2015, son marché génère des revenus de plus de 11,4 milliards $.
Elle regroupait plus de 680 entreprises qui employaient près de 38 000 travailleuses et travailleurs dans différentes régions du Québec.
Elles étaient principalement concentrées dans les régions suivantes : Laurentides, Estrie, Centre-du-Québec, Montérégie, Chaudière-Appalaches, Bas-St-Laurent, Lanaudière, Île-de-Montréal et Laval.
On peut diviser cette industrie en 6 sous-secteurs, soit :
Véhicules commerciaux, spéciaux et
utilitaires : comprend les constructeurs de camions
lourds, de véhicules industriels et de véhicules utilitaires (sauf les
machineries lourdes), ainsi que ainsi que de tous systèmes, composantes
ou pièces pour ces véhicules.
On y retrouvait plus de
400 entreprises (dont plus du deux-tiers y
consacrent au moins la moitié de leurs activités dans ce sous-secteur)
qui généraient des revenus de plus de 2,3 milliards $
et qui employaient plus de 16 800 travailleuses et
travailleurs, concentrés principalement dans les régions de la
Montérégie, de Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, des
Laurentides et de Laval.
On y assemble de fourgons, camions moyens et autres
véhicules commerciaux (camions à déchets, camions à benne basculante,
camions à grue, camions à nacelle, camions à plateforme, camions
aspirateurs, camions blindés, camions cellulaires, camons citernes,
camions cubes moyens, camions cubes lourds (sur tracteurs semi-remorque,
camions d'élagage, camions de déneigement, camions de lignes, camions
incendie, camions isothermes, camions manipulateurs de tourets à câble,
camions ravitailleurs d'aéroport, camions militaires, camions
réfrigérés, camions vacuum, dépanneurs pour véhicules légers,
dépanneuses pour véhicules lourds, unités mobiles, véhicules
ambulanciers, etc.); des remorques pour camions; ainsi que toutes sortes
de systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Autobus et autocars :
comprend les constructeurs d'autobus urbains, d'autobus scolaires,
d'autocars, de minibus scolaires, de minibus adaptés, de minibus
commerciaux, ainsi que de tous systèmes, composantes ou pièces pour ces
véhicules.
On y retrouvait plus de 100
entreprises (dont plus du deux-tiers y consacrent au moins la
moitié de leurs activités dans ce sous-secteur) qui généraient des
revenus de plus de 2 milliards $ et qui employaient plus de
5 600 travailleuses et travailleurs, principalement concentrés dans
les régions des Laurentides, de Chaudière-Appalaches, du
Centre-du-Québec et de la Montérégie.
Véhicules récréatifs : Le
Canada, principalement le Québec est reconnu mondialement pour ses
produits récréatifs figurant au 6e rang mondial (derrière les
USA, le Japon, la Chine, l'Allemagne et l'Italie), principalement pour
ses motoneiges et ses quads et leurs composantes.
Il comprend les
manufacturiers de tous véhicules, systèmes, composantes ou pièces pour
véhicules pour usage récréatif sur route ou hors-route. On y comptait
près d'une centaine de manufacturiers qui
généraient des revenus de plus de 1,5 milliards $
et qui employaient plus de 5 100 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrées dans les régions de
l'Estrie (61 % et du Centre-du-Québec (17 %). Par contre, presque la
moitié (48 %) des entreprises de l’industrie exercent moins de 25 % de
leurs activités dans ce secteur.
On y assemble des véhicules
récréatifs (motoneiges, motocyclettes à 3 roues à essence,
motocyclettes à 3 roues électriques, motocyclettes électriques, quads
(VTT), VR motorisés de classe A, B ou C pour le camping, bicyclettes
électriques, des karts, des voiturettes électriques de golf, des
voiturettes électriques utilitaires, etc.); ainsi que toutes sortes de
systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Pièces pour automobiles :
bien qu'aucune usine d'assemblage d'automobiles n'est présente au
Québec, on y fabrique plusieurs pièces destinées aux usines de
constructeurs américains, japonais ou allemands. On y compte plus de
130 manufacturiers (principalement des PME)
ayant chiffre d'affaires de plus de 1,2 milliards
et qui employaient près de 5 700 travailleuses et
travailleurs.
Les entreprises sont principalement
concentrées en Estrie, en Montérégie et en Chaudière-Appalaches, mais
aussi dans le Centre-du-Québec et sur l'Île-de-Montréal.
On y
fabrique notamment : des composants électroniques ou électromécaniques
pour automobiles, des pièces en métal, des pièces en plastique, en
caoutchouc ou en composites pour automobiles, ainsi que des remorques
utilitaires pour automobiles et camionnettes, etc.
Matériel ferroviaire : le
Canada, principalement le Québec est bien connu comme un fournisseur
leader mondial dans le matériel ferroviaire allant des trains de
banlieue, en passant par les tramway jusqu'au TGV.
Il comprend
165 entreprises (dont 70 qui consacrent au moins
la moitié de leurs activités dans le domaine ferroviaire) qui généraient
un chiffre d'affaires de près de 1 milliard de $
et qui employaient plus de 4 900 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrés dans les régions de la
Montérégie (34 %), de Montréal (31 %) et du Bas-St-Laurent (15 %).
On y assemble des voitures de passagers de trains et
métros, d'autres véhicules ferroviaires (automotrices électriques et
véhicules de service ou d'entretien sur rails); des composants,
instruments ou systèmes, ainsi que des pièces pour voitures de trains,
tramways et métros, etc.
Véhicules électriques et
hybrides : bien qu'il ne forme pas un secteur industriel
distinct; de nombreux fournisseurs des usines de montage des véhicules
électriques traitent aussi avec les usines de montage des véhicules à
moteur à combustion interne et font partie, par conséquent, du secteur
du matériel de transport terrestre. Actuellement, on retrouve une
vingtaine de manufacturiers de véhicules électriques ou de leurs pièces
ou composantes.
On y assemble des véhicules
électriques ou hybrides (bicyclettes électriques, motocyclettes
électriques, micro-camion entièrement électrique, camions à déchets
hydrides, camions électriques camions à benne basculante, camions
électriques à nacelle camions électriques camions à plateforme, camions
légers, autobus urbains hybrides, minibus touristiques électriques,
tracteurs de camion hybrides, trains et rames de métro électriques,
etc.).
L'industrie québécoise de la fabrication métallique industrielle :
Ce industrie comprend les activités principales qui consistent à forger, estamper, former, tourner et assembler des éléments en métaux ferreux (dont l'acier) et non ferreux (principalement l'aluminium, mais également le cuivre, magnésium, zinc, silicium); pour fabriquer, entre autres, coutellerie et outils à main, produits d’architecture et éléments de charpentes métalliques, chaudières, réservoirs, conteneurs d’expédition, quincaillerie, ressorts et produits en fil métallique, produits tournés, écrous, boulons et vis et tous autres produits en métal.
On réfère ici à tout ce qui entoure la seconde transformation du métal, à savoir tous les procédés d’usinage – fraisage, tournage, sciage, perçage, alésage, coupage, poinçonnage, pliage, ébavurage et meulage –, les procédés de soudage et les procédés de finition de surface – polissage, placage, peinture et traitement thermique - pour fabriquer produits et pièces métalliques servant à diverses industries ou bien à la fabrication de machines.
Avec la présence de 8 alumineries, de 4 aciéries, de 2 affineries de cuivre et autres métaux non ferreux et de plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreuxde plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreux; le Québec est bien outillé pour approvisionner les manufacturiers de produits métalliques de toutes sortes.
En 2014, cette industrie comptait près de 1 900 entreprises ayant généré un chiffre d'affaires de plus de 18,6 milliards de $ et qui employaient près de 44 600 travailleuses et travailleurs un peu partout dans la province. Ce nombre n'inclut pas des entreprises et les emplois dans l'industrie du matériel de transport (de gros employeurs en métallurgie), ainsi que ceux travaillant dans la construction.
Ces entreprises sont principalement concentrées dans les régions de de l'Île-de-Montréal, de la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Québec, Lanaudière, Laurentides et Centre-du-Québec.
Elle comprend notamment les 3 sous-secteurs suivants, soit :
Produits d'architecture et éléments de charpentes
métalliques : comprend toutes les entreprises spécialisées dans la
fabrication de tôles fortes et éléments de charpentes métalliques, ainsi
que la fabrication de barres d’armature pour le béton à partir de
matériaux achetés et la préfabrication de bâtiments métalliques; ainsi
que la fabrication de produits métalliques d’ornement et d’architecture
pour les bâtiments.
On y retrouve plus de 570 entreprises
(dont 84 % ont moins de 50 employés) ayant généré des revenus de près de
4 milliards $ et qui employaient plus de 17 300 travailleuses et travailleurs;
principalement concentrés dans les régions de l'Île-de-Montréal,
Montérégie, Chaudière-Appalaches et Lanaudière.
Pièces industrielles : ce sous-secteur
comprend les entreprises spécialisées dans la fonte, le raffinage ou
l'extrusion du cuivre, du magnésium et du zinc afin de produire des
alliages pour des applications industrielles.
On y comptait plus
de 660 entreprises ayant généré des revenus totalisant plus de 700
millions $ et qui employaient plus de 11 100 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrées dans les régions de Montréal,
Montérégie, Chaudière-Appalaches et Saguenay-Lac-St-Jean.
Pièces pour machines et équipements industriels
: comprend toutes les entreprises qui fabriquent des pièces en métal
(acier, aluminium ou autre) destinés à la fabrication de machines et
équipements pour différentes types d'industries (usines alimentaires,
papetières, scieries, fabricants de produits en plastique, etc.).
On y comptait plus de 440 entreprises ayant généré des revenus
totalisant plus de 700 millions $ et qui employaient plus de 8 000
travailleuses et travailleurs, principalement concentrées dans les
régions de Montréal, Montérégie, Chaudière-Appalaches et
Saguenay-Lac-St-Jean.
Chaudières, réservoirs et contenants d'expédition
: comprend plus de 75 entreprises ayant généré des revenus de plus de
560 millions $ et qui employaient près de 2 300 travailleuses et
travailleurs, surtout concentrées dans les régions de Montréal et de la
Montérégie.
Parmi les produits fabriqués en tôle épaisse, il y a
: les silos à grain, les réservoirs à eau chaude, les fosses septiques,
les vaisseaux à pression, réacteurs, échangeurs de chaleur, mélangeurs,
malaxeurs, appareils à pasteurisation ou refroidisseurs utilisés dans
l’industrie alimentaire, pharmaceutique ou chimique, les grands
conteneurs destinés au stockage ou au transport de marchandises ou de
produits dangereux, etc.
Parmi les produits fabriqués en tôle
mince, on retrouve : les divers récipients tels les barils, bidons,
glacières, coffres à outils, cannettes en aluminium, boîtes de conserve,
pots de peinture et tubes de pâte à dents, bacs
roulants en métal,
bacs extérieurs pour déchets, containers portuaires,
canettes de boissons en magnésium, boîtes de conserves, boîtiers d'ordinateurs
portables en magnésium, emballages commerciaux ou industriels, boîtiers
d'appareils photo en magnésium, boîtiers pour tablettes et téléphones,
boîtiers pour appareils électroménagers, boîtiers pour appareils
électroniques, boîtiers pour machines de bureau, etc.
L'industrie de la fabrication de machines et équipements industriels :
L'industrie québécoise de la fabrication de machines et d'équipements industriels est le 3e principal secteur de l'industrie de la fabrication mécanique. Bien qu'il ne soit pas aussi important que les précédents, c'est un secteur important car c'est elle qui permet à plusieurs autres secteurs de fonctionner dans leur domaine.
Bien qu'elle soit généralement intégrée à l'industrie de la fabrication métallique industrielle, elle peut être un secteur indépendant.
En 2015, elle a généré des revenus totalisant plus de 6,1 milliards $ dans l'économie québécoise.
Elle compte plus de 1 050 entreprises qui employaient plus de 32500 travailleuses et travailleurs dans plusieurs régions du Québec.
Bien que majoritairement concentrées majoritairement concentrées dans les régions de la Montérégie et de Montréal, on les retrouve également dans plusieurs autres régions, telles que : Chaudière-Appalaches, Lanaudière, Saguenay-Lac-St-Jean, Mauricie, Centre-du-Québec, Laurentides, Laval, Estrie et Bas-St-Laurent.
Elle est divisée en 6 sous-secteurs, soit :
Machines et équipements industriels :Ce
sous-secteur permet aux industries de tous les secteurs de produire de
façon optimale leurs biens grâce à des machines et équipements modernes
et performants. Par contre, elle fonctionne bien dépendamment de la
santé économique du secteur de ses clientes.
Le marché était
évalué à 1,8 milliards de dollars. On retrouvait plus de 250
manufacturiers qui employaient plus de 9 200 travailleuses et
travailleurs. Ce sont surtout les machines pour les industries
alimentaires, papetières, pharmaceutiques, de la métallurgie (notamment
pour les alumineries), de la plasturgie, des cosmétiques, ainsi que pour
les centrales hydroélectriques qui sont produits au Québec.
Ces entreprises sont majoritairement concentrées dans les régions de la
Montérégie et de Montréal, mais aussi au Saguenay-Lac-St-Jean (notamment les
fournisseurs d'équipements pour alumineries), Mauricie, Chaudière-Appalaches, Laval, Québec, Centre-du-Québec et Estrie.
Parmi les types de machines et équipements fabriqués au Québec, il y a :
machines et équipements pour centrales hydroélectriques;
machines et
équipements pour
industries alimentaires; machines et équipements pour l'industries
papetières); machines et
équipements pour les
scieries (déchiqueteuses
stationnaires, ponceuses stationnaires, dresseuses, scies à ruban, machines à
traiter le bois, raboteuses, dégauchisseuses, tours à bois, machines à
façonner les contre-plaqués, séchoirs à bois, etc); machines et équipements pour industries mécaniques ou du
transport;
machines pour usines de traitement ou filtration de l'eau;
etc.
Matériel et Équipements de
manutention : Ce sous-secteur avait un marché de près de 1,4
milliards de dollars dont la majorité des produits sont exportés, bien
que plusieurs autres sont vendus au pays.
Il comptait plus de 300
entreprises qui employaient un peu plus de 2 900 travailleuses et
travailleurs réparties dans différentes régions de la province dont notamment
: Montérégie, Montréal, Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean,
Chaudière-Appalaches, Laval, Centre-du-Québec, Mauricie, Estrie, Laurentides
et Québec.
On y fabrique notamment : des convoyeurs; du matériel de levage;
de systèmes et équipements
de manutention; d'autres matériel de manutention; etc.
Machineries lourdes et machines connexes :
dans ce sous-secteur, on y produit des machineries pour l'agriculture,
pour la construction de génie civil, pour la production agricole, pour
l'exploitation forestière, minière, gazière et pétrolière, pour les
carrières et pour l'entretien routier.
Le marché a généré des revenus de plus de 1,1
milliards de dollars. On y retrouvait plus de 150 manufacturiers qui
employaient plus de 4 500 travailleuses et travailleurs partout au
Québec. Ce sont les machines agricoles qui occupent la plus grande part
du marché avec la moitié de toute la production de machineries.
Elles sont concentrées dans les régions de la Montérégie, de
Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, de Montréal, de
l'Abitibi-Témiscamingue et du Bas-St-Laurent.
On y fabrique des machines et équipements agricoles;
des machines et
équipements pour la construction et l'entretien routier; des machines
et équipements forestiers; des machines
et équipements miniers et de carrières; etc.
Outillage hydraulique, mécanique
et pneumatique industriel : ce sous-secteur comprend tous les
types d'outils et de matrices industriels, des outils de coupe pour le
travail du bois, du métal ou du plastique, des outils pour l'exploitation
forestière, des outils agricoles, des outils pour la construction, des
outils pour le forage et l'industrie minière, des machines-outils
conventionnels pour l'usinage et autres types d'outils mécaniques,
hydrauliques et pneumatiques.
ll y a plus de 200 entreprises, majoritairement des PME
ayant généré des revenus de plus de 900 millions $ qui employaient plus
7 300 travailleuses et travailleurs. Elles sont principalement concentrées
dans les régions du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches, de l'Estrie,
du Saguenay et Lac-St-Jean, de la Montérégie et de Montréal.
Matériel de
transmission d'énergie mécanique et turbines : a généré des revenus
de plus de 400 millions $, on
y retrouvait plus de 80 entreprises qui employaient plus de 6 000 travailleuses et
travailleurs. Par contre, la plupart de ces entreprises sont aussi présentes
dans d'autres secteurs.
On y fabrique notamment les produits suivants
: accumulateurs hydrauliques, boîtes de vitesse, multiplicateurs ou
réducteurs, contrôleurs pneumatiques, moteurs diesels stationnaires, moteurs freins, moteurs rotatifs
à combustion continue, moteurs rotatifs à vapeur, moteurs rotatifs pneumatiques, moto-réducteurs, turbines à
gaz pour moteurs d'aéronefs, turbines hydrauliques, turbocompresseurs, unités de puissance
hydraulique, unités de puissance pneumatique, vérins hydrauliques pour
barres hydroélectriques, vérins
hydrauliques pour ascenseurs, vérins hydrauliques pour industries, vérins hydrauliques télescopiques, vérins
pneumatiques, etc.
Compresseurs, pompes et
ventilateurs : C'était un marché évalué à plus de 400 millions de
dollars, comprenait plus de 70 entreprises qui employaient près de 1 800
travailleuses et travailleurs principalement concentrées dans les régions de
Montréal, Laval, Lanaudière et Québec.
On y fabrique : des aérateurs
et extracteurs d'air pour toits, des groupes compresseurs et
surcompresseurs d'air ou de gaz, des ventilateurs et soufflantes
centrifuges industriels, des contrôleurs pour pompes, des postes de
pompage d'eaux usées, des conduits d'air industriels, des fours
industriels, des dépoussiéreurs, des capteurs de fumée, de poussières ou
autres particules, des systèmes de récupération de chaleur, des systèmes
de traitement d'air industriels, des pompes (à condensat, à turbines
verticales, d'égout submersibles, de puisard d'égout, de puisard pour
eau claire, d'incendie, horizontales à aspiration par le bout,
horizontales à double aspiration, verticales en ligne, etc.); etc.
Cette industrie regroupe l'ensemble des intervenants en électricité : la production (production de l'énergie électrique à l'aide de différents moyens comme les barrages hydroélectriques, les centrales hydroélectriques, le nucléaire, l'hydroélectricité combinée au nucléaire, le pétrole, le gaz naturel, le charbon, la géothermie, capteur solaire, biomasse ou éolienne), le transport (exploitation et gestion de réseaux de transport de l'électricité des installations de production jusqu'aux installations de centralisation de la distribution), ainsi que la distribution (gestion des installations et réseaux de distribution de l'électricité jusque chez les clients résidentiels, commerciaux, institutionnels ou industriels).
Les principales sources d'énergie utilisées au Québec sont
l'hydroélectricité : c'est 475 centrales hydroélectriques ayant une puissance de plus de 70 800 mégawatts et une production moyenne annuelle de 350 terawattheure (environ 350 millions de mégawatts), ce qui représente plus de 50 % de la production électrique canadienne. Ce sont principalement le Québec, l'Ontario et la Colombie-Britannique qui utilisent cette source d'énergie. Elle fournit également près de 13 % de toute l'énergie hydroélectrique mondiale.
le gaz naturel : elle est en pleine expansion afin de devenir la 2e plus importante source d'énergie électrique au Québec, mais déjà utilisée largement en utilisée en Alberta, en Saskatchewan et en Colombie-Britannique.
le pétrole comme source d'énergie (mazout ou diesel) est utilisée relativement peu au Québec (centrales de Bécancour et Cadillac), mais ne représente que 1 % de la production.
les énergies nouvelles comme le capteur solaire ou l' l'éolienne sont en plein développement et ne représentent que 1 % de la production québécoise. Elles sont utilisées actuellement que dans quelques régions du pays (comme la Gaspésie).
Au Québec, on retrouve seulement 6 principaux distributeurs privés indépendants, mais le principal distributeur est évidemment Hydro-Québec. Les clientèles desservies peuvent être des industries, des entreprises commerciales, les entreprises de services (hôtels, restaurants, centres commerciaux, édifices à bureaux, etc), des institutions (écoles, hôpitaux, arénas, musées, édifices municipaux ou gouvernementaux, etc), les immeubles à logement et à condos et le secteur résidentiel.
Certaines entreprises privés ont des ententes avec de petites ou municipalités de taille moyenne, alors que d'autres ont leur propre entreprise de juridiction municipale ou provinciale. D'autres distributeurs fournissent spécifiquement le secteur industriel et/ou commercial d'une région en particulier.
ll ne faut pas oublier que cette importante industrie développe de nombreux projets afin d'augmenter et d'optimiser la production d'électricité, développe de nouvelles façons de produire de l'énergie et doivent répondre à des normes environnementales plus sévères, ainsi que de faire face à des désastres naturels de plus en plus fréquents. Donc, les producteurs ont besoin de l'expertise d'ingénieurs de technologues détenant une bonne expertise dans ce domaine.
Portrait de l'industrie de la fabrication de machines et équipements industriels
Portrait de l'industrie de la fabrication de produits électriques
Portrait de l'industrie de la fabrication de produits mécaniques (autres que plastiques, machines et équipements industriel et matériel de transport)
Portrait de l'industrie de la production et du transport d'électricité
Portrait de l'industrie des sciences physiques (optique, photonique)
Sources : Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie aérospatiale du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie minière, Industrie Canada, Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Emploi-Québec, Pôle d'excellence de l'industrie du matériel de transport terrestre du Québec.
LES
PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études professionnelles en électromécanique de systèmes automatisés D.E.P. a une durée totale de 1 800 heures, c’est-à-dire 2 ans à temps complet. Il comporte des cours santé et sécurité en industrie, utilisation de l'ordinateur, vérification d'un circuit électrique, dessin d'un croquis, travaux d'usinage manuel, déplacement d'un équipement, techniques de coupage et de soudage, raccordement de conduits, circuits d'électronique industrielle, techniques d'usinage sur machines-outils, analyse d'un circuit logique, alignement conventionnel, maintenance de dispositifs mécaniques, montage pneumatique, montage hydraulique, maintenance d'un circuit de moteur, maintenance d'équipements hydrauliques et pneumatiques, calibrage d'un bouche de contrôle, maintenance de circuits électro-hydrauliques et électropneumatiques, programmation d'un automate, vérification et réparation d'un dispositif électronique de commande de moteur, installation d'un système automatisé, maintenance planifiée, dépannage d'un système automatisé, ainsi qu'un stage d’intégration en industrie d’une durée de 3 semaines.
Le programme offert au CFP La Croisée dans Portneuf offre le cheminement en alternance travail-études via le profil école-usine avec la compagnie Alcoa au sein de son Aluminerie de Deschambault. Dès la fin de la 1ere année, tu auras à réaliser un stage non rémunéré de 7 semaines au sein d'une entreprise de la région, alors qu'en fin de programme, tu réaliseras un second stage non rémunéré de 12 semaines consécutives à temps complet au sein de l'aluminerie Alcoa.
Certains établissements proposent des cheminements particuliers, en voici quelques exemples :
Cette formule te permettra la
poursuite simultanée d’un programme en formation professionnelle et
d’une formation générale secondaire, soit 3 jours en formation
professionnelle et 2 jours en formation générale à l’école
secondaire ou au centre d’éducation des adultes.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
CFP de Lévis en
Souvent, l'employeur propose un
À la fin de la
formation.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette
formule (voir la section "endroits de formation"
pour une liste complète) :
CFP Qualitech en
Mauricie
CFP de Portneuf dans la région de Québec
CIMIC en Chaudière-Appalaches
Dans la forme duale, la formation se fait dans les entreprises et
par les entreprises, l'école jouant un rôle de formation (formation
générale, formation théorique) complémentaire.
Généralement, 50 % à 60 % des apprentissages (théorie, travaux pratiques
de base) se font en centre de formation et
40 % à 50 % des
apprentissages (stages d'observations, travaux pratiques sur les
machines et équipements de l'entreprise et stages pratiques au sein de
l'entreprise).
L’apprenti est engagé et employé dès le début de
la formation dans une entreprise. À cet effet, l’apprenti est rémunéré
par l’entreprise au cours de sa formation. Le taux horaire est de
15$/heure et plus, selon l’entreprise
Souvent, l'employeur propose un emploi permanent
à la fin de la
formation.
Il est offert par :
le
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
CFP
de la Baie-James dans le Nord-du-Québec
CFP
de l'Estuaire
en Côte-Nord.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
CFP de Jonquière au Saugenay-Lac-Saint-Jean
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une
liste complète), ainsi que la description du programme combiné
ci-dessous.
(tu les retrouveras avec cette
couleur).
CFP de l'Estuaire
en Côte-Nord
CFPRO à Matane dans le Bas-Saint-Laurent en
partenariat avec le CFP de la Côte-de-Gaspé en Gaspésie
Centre intégré de formation et
d'innovation technologique CIFIT dans le Centre-du-Québec
Centre d'excellence
en formation industrielle de Windsor CEFI en Estrie
CFP de Portneuf dans la région de
Québec
CFP Le Tremplin en
Chaudière-Appalaches
CFP des Moulins dans Lanaudière
CFP Performance Plus dans les Laurentides
campus
Brome-Missisquoi en Montérégie
CFP Bernard-Gariépy
en Montérégie
CIMIC en Chaudière-Appalaches
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une
liste complète), ainsi que la description du programme combiné
ci-dessous.
(tu les retrouveras avec cette
couleur).
CFP Pavillon de l'Avenir dans le Bas-St-Laurent,
CFP Qualitech en Mauricie,
CFP des Moulins
dans Lanaudière,
Centre d'études
professionnelles de Saint-Jérôme dans les Laurentides,
École
des métiers spécialisés de Laval conjointement avec le CFP Le
Chantier dans la région de Laval,
Centre
régional intégré de formation en Montérégie.
Toutefois, seulement quelques cours pourront être
reconnus et généralement, la durée du programme de D.E.C. ne sera pas
raccourcie.
Pour plus de détails,
consulte la section "DEP-DEC" ci-dessous.
Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :
Le Double diplôme d’études professionnelles en électromécanique et en mécanique industrielle D.E.P. offert dans certains centres a une durée totale de 2½ ans à temps complet. Cette formule combine la formation de chacun des 2 programmes, mais en excluant les cours qui se dédoublent puisqu'ils sont offertes dans chacun de ces programmes.
Dans la partie électromécanique; tu auras des cours en santé et sécurité en industrie, utilisation de l'ordinateur, vérification d'un circuit électrique, dessin d'un croquis, travaux d'usinage manuel, déplacement d'un équipement, raccordement de conduits, circuits d'électronique industrielle, techniques d'usinage sur machines-outils, analyse d'un circuit logique, alignement conventionnel, maintenance de dispositifs mécaniques, montage pneumatique, montage hydraulique, maintenance d'un circuit de moteur, maintenance d'équipements hydrauliques et pneumatiques, calibrage d'un bouche de contrôle, maintenance de circuits électro-hydrauliques et électro-pneumatiques, programmation d'un automate, vérification et réparation d'un dispositif électronique de commande de moteur, installation d'un système automatisé, maintenance planifiée, dépannage d'un système automatisé, ainsi qu'un stage d’intégration en industrie d’une durée de 3 semaines.
Alors que dans la partie mécanique industrielle; tu auras les cours suivants : instruments de mesure, opérations de lubrification, techniques de levage et de manutention, démontage, installation et ajustements d'arbres, de roulement et de coussinets, techniques d'entretien et de réparation de dispositifs de transmission et de transformation du mouvement, travaux sur les tubes, tuyaux et boyaux, techniques d'alignement, techniques d'entretien et de réparation de pompes et moteurs industriels, vérification de composants électriques d'équipements de production industrielle, techniques d'entretien, de réparation et d'ajustement de pompes à vide, de moteurs pneumatiques et de compresseurs, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits électrohydrauliques, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits électropneumatiques, techniques d'équilibrage statique et dynamique, méthodes logiques de diagnostic, techniques d'analyses de vibrations, usinage sur machines-outils, travaux de façonnage, techniques de coupage, d'oxycoupage et de soudage, application du programme de maintenance préventive et prévisionnelle de l'équipement industriel, installation de l'équipement industriel, dépannage d'équipements industriels, ainsi qu'un stage en industrie d’une durée de 3 semaines, etc.
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFPRO à Matane
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP de Portneuf
la vidéo promotionnelle réalisée par le CIFIT à Victoriaville
la vidéo promotionnelle réalisée par l'École des métiers du Sud-Ouest de Montréal.
Le Double diplôme d’études professionnelles en électromécanique et en électricité D.E.P. offert dans certains centres a une durée totale de 3 ans à temps complet. Cette formule combine la formation de chacun des 2 programmes, mais en excluant les cours qui se dédoublent puisqu'ils sont offertes dans chacun de ces programmes.
Dans la partie électromécanique; tu auras des cours en santé et sécurité en industrie, utilisation de l'ordinateur, vérification d'un circuit électrique, dessin d'un croquis, travaux d'usinage manuel, déplacement d'un équipement, raccordement de conduits, circuits d'électronique industrielle, techniques d'usinage sur machines-outils, analyse d'un circuit logique, alignement conventionnel, maintenance de dispositifs mécaniques, montage pneumatique, montage hydraulique, maintenance d'un circuit de moteur, maintenance d'équipements hydrauliques et pneumatiques, calibrage d'un bouche de contrôle, maintenance de circuits électro-hydrauliques et électro-pneumatiques, programmation d'un automate, vérification et réparation d'un dispositif électronique de commande de moteur, installation d'un système automatisé, maintenance planifiée, dépannage d'un système automatisé, ainsi qu'un stage d’intégration en industrie d’une durée de 3 semaines.
Alors que dans la partie électricité; tu auras les cours suivants : câbles et canalisations, circuits de dérivation résidentiels, plans et manuels techniques en électricité, transformateurs triphasés, branchement électrique, systèmes d'éclairage, systèmes de chauffage, câblage de communication, systèmes d'alarme incendie, domotique et téléphonie, ainsi que préparation au marché du travail. Aucun stage n'est inclus dans cette partie.
D.E.P.-D.E.C. :
Qu'est-ce qu'un programme DEP-DEC ?
Consulte la page suivante
Il permet de se faire reconnaître des acquis du D.E.P. en mécanique industrielle dans le cadre d'un D.E.C. technique.
Donc, tu pourras obtenir 2 diplômes en 5 ans.
Toutefois, dans la plupart des passerelles, elles ne permettent pas de raccourcir la durée des études collégiales.
Voici les ententes actuellement offertes :
D.E.C. en technologie du génie industriel :
Cégep de Beauce-Appalaches : tous centres de formation
D.E.C. en technologie de l'électronique - spécialisation en ordinateurs et réseaux :
Cégep Montmorency : tous centres de formation
D.E.C. en technologie de l'électronique industrielle :
https://www.cegepvicto.ca/ : entente avec le CIFIT
Cégep de Lévis : tous centres de formation
Cégep Montmorency : tous centres de formation
ÉTUDES
SUPÉRIEURES ET PERFECTIONNEMENT :
Ce programme a pour but de t’intégrer au marché du travail, mais il te sera également possible de poursuivre, soit
Le
Centre de formation
professionnelle Pavillon de l'Avenir à Rivière-du-Loup offre la
possibilité aux titulaires du D.E.P. en électricité de compléter le D.E.P. en
électromécanique de systèmes automatisés en 10 mois.
Le
Centre intégré de Mécanique Industrielle de la Chaudière CIMIC à
St-Georges-de-Beauce et le
Centre de formation
professionnelle de Sorel-Tracy en Montérégie offrent la possibilité aux titulaires du D.E.P. en
mécanique industrielle de compléter le D.E.P. en électromécanique de
systèmes automatisés en 555 heures (5 mois).
Soit au niveau du A.S.P. dans le cadre du A.S.P. en montage d'installations au gaz naturel. offerte par l'École de technologie gazière à Boucherville ou du A.S.P. en mécanique en commandes industrielle;
Soit au niveau du AEC en automatisation et instrumentation industrielles offert au Cégep de Lévis-Lauzon (510 heures à temps partiel de soir) destiné spécifiquement aux titulaires d'un D.E.P. en électromécanique, électricité ou mécanique industrielle
Soit au niveau du AEC en t
Soit au niveau du A.S.P. en réparation
d'installations au gaz naturel (600 heures à temps complet) qui permet
d'obtenir les compétences afin d'entretenir et réparer les appareils et
dispositifs industriels fonctionnant au gaz naturel tels que les stations de
ravitaillement au gaz naturel comprimé les stations de ravitaillement en gaz
naturel liquéfié, les systèmes centraux à air chaud, les appareils à
infrarouge à gaz naturel, etc.
Pour plus de détails, consulte la page de
réparateur d'appareils
au gaz naturel.
Soit au niveau des études collégiales dans le cadre d'un A.E.C. Pour plus de détails, consulte la section "autres formations" dans la page de technologue de l'électronique industrielle
Soit au niveau des études collégiales dans le cadre du D.E.C. en technologie de l'électronique industrielle ou du D.E.C. technologie de la maintenance industrielle. Par contre, tu devras avoir réussi les cours préalables du secondaire exigés au programme choisi.
EXIGENCES
D’ADMISSION :
- Soit détenir le D.E.S.
- Soit avoir 16 ans au 30 septembre et avoir réussi les cours de français, anglais et mathématiques de 4e secondaire ou leurs équivalents
-
Soit avoir éussi les cours de français, anglais et
mathématiques de 3e secondaire ou leurs équivalents
Note
: il est recommandé d’avoir réussi le cours mathématiques 436 ou son équivalent
AUTRE EXIGENCE :
- Possibilité d'un test de sélection
et/ou entrevue
(Centre d'études professionnelles de St-Jérôme, Centre régional de formation de
Granby, CFP de Québec, CFP Qualitech, Centre Polymétier, CIFIT)
STATISTIQUES
D’ADMISSION :
Aucun
contingentement à ce programme
Les candidats(es) répondant aux conditions d'admission sont généralement admis.
Note : pour ces établissements, je te recommande de t'inscrire le plus tôt possible.
Demande
d’admission via Internet, consulte
Admission FP
Qu'est-ce que l'enseignement individualisé ?
Qu'est-ce que la
concomitance D.E.S./D.E.P.
Est et
Nord du Québec
(Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean, Gaspésie-Iles, Côte-Nord) :
-
Centre de formation professionnelle de la Baie-James, Chibougamau (C.S.S. de
la Baie-James)
obtention d'une
bourse
d'études
de
3 000 $
remise (à la fin de la diplomation) à
TOUS les étudiants(es) québécois admis pour la première fois en formation
professionnelle dans un programme de D.E.P. offert par le centre;
offert en
enseignement individualisé en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour
avec entrées continues tous les mois au cours de l'année scolaire.
Gaspésie :
-
Centre de formation professionnelle
de la Côte-de-Gaspé,
Gaspé (C.S.S. des Chic-Chocs)
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l'hiver.
Côte-Nord :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1
700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
enseignement individualisé en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps
complet de jour avec entrées périodiques au cours de l'année scolaire
(automne, hiver et printemps).
Bas-Saint-Laurent :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en formule traditionnelle
de groupe en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle
seulement
en
2½ ans
offert conjointement avec le CFP de la Côte-de-Gaspé
(regarde la
vidéo
promotionnelle),
admissions à temps complet de jour
à l'automne.
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
voir aussi le
programme accéléré en 10 mois
pour les titulaires du D.E.P. en électricité,
admissions à
temps complet de jour à l’automne.
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
offert en
formule intensive sur 16 mois,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
Ouest et centre du Québec (Mauricie-Bois-Francs, Estrie,
Centre-du-Québec, Outaouais) :
Abitibi-Témiscamingue :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1
700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
formule intensive sur 16 mois,
regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
Centre-du-Québec :
-
Centre intégré de
formation et d'innovation technologique CIFIT, Victoriaville (C.S.S.
des Bois-Francs)
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle
seulement
en
2½ ans
offert en
alternance travail-études
(plus de 420 heures de stages rémunérés en entreprise),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
voir aussi le
DEP-DEC en technologie du génie
électrique
offert conjointement avec
le
admissions à temps complet de jour à l'automne
et à l'hiver.
offert en
formule duale (60 % des apprentissages en classe et en
atelier à l'école et 40 % de travaux pratiques et
720 heures de stages rémunérés en
entreprise) en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
admissions à temps complet de jour à l'automne.
Estrie :
-
Centre de formation professionnelle 24 juin
(Pavillon des techniques industrielles), Sherbrooke (C.S.S.
Région-de-Sherbrooke)
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire,
voir la
page suivante),
Mauricie :
-
offert en
alternance travail-études
regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo des
ateliers du CFP,
regarde la
vidéo des robots du département,
admissions
à temps complet de jour OU de soir à
l'hiver.
- Centre de formation
professionnelle de Lévis, Lévis (C.S.S. des
Navigateurs)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. appelé "formule
métier-études" (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo des installations du département;
regarde la
vidéo
promotionnelle (le
vidéo
suivant et le
vidéo
suivant) du programme,
voir aussi
le
et le
admissions à temps complet de jour à l'automne
-
Centre intégré de
mécanique industrielle de la Chaudière CIMIC, campus de
St-Joseph-de-Beauce (C.S.S. de la Beauce-Etchemins, région
Chaudière-Appalaches)
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle seulement
en
2½ ans,
offert en
formule DUALE
(15
heures de classe + 15 de travail rémunéré en entreprise chaque semaine) conjointement avec de nombreuses entreprises partenaires de
la région,
accès à une
usine-école
dotée d'un parc de machines conventionnelles et automatisées diversifiées et
modernes dont : un atelier d'électromécanique et un atelier de mécanique
industrielle (dotés d'équipements hydrauliques, électrohydrauliques,
pneumatiques, électropneumatiques, mécaniques, électromécaniques et
électriques), d'un atelier d'automatisation et robotique (doté
d'automates et de robots), mais également un atelier de soudage, un
atelier d'usinage, un atelier de fabrication de
structures métalliques, un atelier de dessin technique, etc,
regarde la
vidéo
promotionnelle
du programme,
regarde la
vidéo promotionnelle du
centre,
possibilité de compléter ta formation avec un
D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi
le
et le
admissions
à temps complet de jour
Capitale Nationale :
-
Centre de
formation professionnelle de Québec, Québec (C.S.S. de la Capitale)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
regarde la
seconde
vidéo promotionnelle du programme,
regarde le
vidéo suivant sur un projet de conception d'un bras robotisé
lanceur de ballons de basket réalisée par des finissants,
possibilité de suivre l'A.S.P. en réparation d'installation au gaz naturel
offerte au CFP Samuel-de-Champlain,
voir aussi le
et le
admissions à temps complet de jour à
l'automne
- Centre de formation professionnelle de Portneuf, Donnacona (C.S.S. de Portneuf)
Rive-Nord
de
Montréal :
- Centre de
formation professionnelle des Moulins, Terrebonne (C.S.S. des
Affluents)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo
des ateliers du département;
-
Campus
Brome-Missisquoi, Cowansville (C.S.S. du Val-des-Cerfs / C.S.S. Eastern
Townships)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
formation offerte en
français ou en
anglais,
-
Centre de
formation professionnelle Paul-Gérin-Lajoie, Vaudreuil-Dorion (C.S.S. des Trois-Lacs)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
-
Centre régional
intégré de formation CRIF,
Granby (C.S.S. du Val-des-Cerfs)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo
sur les ateliers du département,
admissions à
temps complet de jour à l'automne
-
Centre de
formation professionnelle Bernard-Gariépy,
Sorel-Tracy (C.S.S. de Sorel-Tracy)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
-
Centre
de formation professionnelle Pierre-Dupuy, Longueuil (C.S.S. Marie-Victorin)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
possibilité
de suivre l'A.S.P.
en réparation d'installation au gaz naturel
offerte au
CFP Daniel-Johnson à Montréal,
et
-
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
possibilité
de suivre l'A.S.P. en réparation d'installation au gaz naturel
offerte
au CFP
Daniel-Johnson,
admissions à temps complet de jour OU de soir à l'automne.
-
École des métiers du Sud-Ouest de Montréal, Montréal - arrondissement
du Sud-Ouest
(C.S.S. de Montréal)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
possibilité
de suivre l'A.S.P. en réparation d'installation au gaz naturel
offerte à
l'École de technologie gazière,
admissions à temps complet de jour (30 heures/sem) à
l'automne (D.E.P. seul ou double D.E.P.),
admissions à temps complet
de soir (30 heures/sem) à l'automne (double D.E.P.),
admissions à temps partiel de soir (20 heures/sem) à l'automne (D.E.P. seul).
-
Rosemount
Technology Centre, Montréal - arrondissement Montréal-Nord (C.S.S. English Montreal)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle (voir aussi le
vidéo suivant du programme,
admissions à temps complet de jour
OU de soir à l’automne.
Tu désires avoir l’avis d'électromécaniciens(nes) sur leur métier ?, alors va également consulter les vidéos suivants :
les entrevue avec Alex Maltais et Louis Perron; le premier est étudiant et le second est enseignant en électromécanique au CFP de Sept-Îles et réalisés par le CSS du Fer;
l'entrevue avec Alex; étudiant en électromécanique au CFP Paul-Gérin-Lajoie à Vaudreuil-Dorion et réalisée par le CSS des Trois-Lacs;
l'entrevue avec Étienne Cloutier; étudiant en électromécanique au CFP de Lévis et réalisée par le CFP de Lévis;
l'entrevue avec Arthur Canton; étudiant en électromécanique au CFP de Lévis et réalisée par le CFP de Lévis;
l'entrevue avec Édouard Cantin-Bilodeau, étudiant au DEP en électromécanique au CFP de Lévis et réalisée par la Table d'éducation de Chaudière-Appalaches;
l'entrevue avec Mathieu Bélanger, étudiant au DEP en électromécanique au CFP 24-Juin et réalisée par le CFP 24-Juin en Estrie;
les entrevues avec Jean-Pierre Raza, Marc-Antoine Parisien et Chloé Pelchat, le premier est enseignant et les suivants sont étudiants en électromécanique au CFP Compétences 2000 et réalisées par la Centre de services scolaires de Laval;
un extrait de l'émission Jobs de bras avec Stéphan et Jean-Philippe, électromécaniciens pour Les Entreprises L.M. de Montréal spécialisée en remise à neuf de moteurs électriques et autres composantes de locomotives et réalisée par Fair Play Productions et diffusée sur Ztélé;
l'entrevue avec Mélissa Julien, électromécanicienne chez Alcoa de Deschambault dans la région de Québec et réalisée par les Productions AH;
l'entrevue avec Manon, électromécanicienne chez Premier Tech Industriel réalisée par ECP Télévision pour le site Web Visez.ca;
les entrevues avec caporal-chef Patrick Coupal et caporal Jean-François Guay; le premier est technicien en distribution électrique pour le Groupe Infrastructure au sein de la 2e Escadre de soutien à la base militaire de Bagotville de l'Aviation royale canadienne et le second technicien en distribution électrique au sein de l'Escadrille de génie construction de la 14e Escadre Greenwood en N-É de l'Aviation royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;