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SECTEUR :
SANTÉ
DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.
DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.
- BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.Sc. DEC-BAC OU
BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.Sc.
Quelle est la différence entre infirmier(ère) et infirmier(ère) auxiliaire ?
Une infirmier(ère) auxiliaire ne peux pas évaluer la condition physique et mentale d'un patient;
Une infirmier(ère) auxiliaire ne peux pas exercer une surveillance clinique de la condition des personnes dont l'état de santé présente des risques;
un(e) infirmier(ère) auxiliaire ne peux pas effectuer des examens et des tests diagnostiques invasifs (nécessitant une hospitalisation et comportant un certain nombre d'effets secondaires), selon une ordonnance;
un(e) infirmier(ère) auxiliaire ne peux pas effectuer et ajuster les traitements médicaux, selon une ordonnance;
d'autres actes réservés aux infirmiers(ères) tels que le suivi de la grossesse, la pratique des accouchements, le suivi postnatal, etc.
Quelle est la différence entre infirmier(ère) en soins généraux et infirmier(ère) clinicien(ne) ?
Un(e) infirmier(ère) en soins généraux en soins généraux détient au minimum un diplôme d'études collégiales en soins infirmiers D.E.C. qui prodigue des soins infirmiers généraux à des patients de tous âges.
un(e) infirmier(ère) en soins généraux ne peux pas mettre en œuvre et coordonner un programme de soins infirmiers;
un(e) infirmier(ère) en soins généraux ne peux pas prodiguer des soins et des traitements à des personnes présentant des problèmes de santé complexes;
un(e) infirmier(ère) en soins généraux prodigue des soins infirmiers tels que évaluer l'état de santé d'une personne, déterminer et assurer la réalisation du plan thérapeutique infirmier et prodiguer des soins et traitements infirmiers et médicaux tels que dans les services de médecine-chirurgie (mais également en soins des plaies), les soins d'urgence, les interventions de première ligne en santé mentale, les centres de prélèvements sanguins, les centres de vaccination.
En milieu hospitalier, l'infirmier(ère) en soins généraux effectue souvent des rotations dans les différentes unités (urgence, soins intensifs, santé mentale, périnatalité et pédiatrie) selon les besoins de l'établissement.
Donc, c'est un emploi polyvalent qui permet de travailler dans les différentes disciplines de la médecine, soigner des patients ayant des problématiques variées et des clientèles variées.
On les retrouve également dans la plupart des autres milieux de pratique non clinique tels que : les CLSC, les établissements scolaires, les centres correctionnels, les entreprises de soins à domicile, les pharmacies, les entreprises (santé au travail), etc.
un(e) infirmier(ère) en soins généraux peut aussi poursuivre des études universitaires afin de devenir infirmìer(ère) clinicien(ne).
L'infirmier(ère) clinicien(ne) détient un baccalauréat en sciences infirmières et travaille généralement au sein d’une seule unité clinique d’un centre hospitalier, même s'il n'y a pas de spécialisation dans un domaine particulier.
L'infirmier(ère) clinicien(ne) prodigue des soins infirmiers généraux à des patients de tous âges, mais également des soins infirmiers et des traitements à personnes souffrant de problèmes de santé complexes.
L'infirmier(ère) clinicien(ne) peut également concevoir, appliquer, coordonner et évaluer un programme de soins infirmiers requérant des connaissances avancées, visant des problèmes de santé complexes et faire partie intégrante d'une équipe de soins interdisciplinaires au sein d'une unité de soins spécialisés.
Généralement, l'infirmier(ère) clinicien(ne) travaille au sein d'une unité clinique en particulier, telle que : soins de première ligne (traumatologie et urgence), soins intensifs, soins palliatifs, soins gériatriques, santé communautaire, réadaptation et maladies chroniques, santé mentale, pédiatrie générale, périnatalité, etc.), mais SANS détenir un certification de spécialisation.
On les retrouve au sein des unités spécialisés non seulement dans les centres hospitaliers universitaires (CUSM, CHUM, CHU de Québec, CHUS, CHU Ste-Justine) et autres hôpitaux avec affiliation universitaire, mais également dans de nombreux hôpitaux de la province (notamment ceux occupant un rôle de centre de référence régional pour certaines spécialités).
Il est possible également de te spécialiser en obstétrique en devenant consultante en lactation diplômée afin de fournir de l'intervention clinique en allaitement et lactation humaine auprès de mères et de leur nourrisson. Tu auras pour tâches d'effectuer des évaluations complètes de la mère, de l'enfant et de l'alimentation en lien avec la lactation, élaborer et mettre en œuvre en plan d'alimentation personnalisée en collaboration avec la mère, conseiller la mère sur les thérapies complémentaires pendant l’allaitement et de leurs effets sur la production de lait de la mère ainsi que sur l’enfant, fournir des conseils, du soutien et des encouragements qui permettent aux mères d’atteindre leurs objectifs d’allaitement.
On les retrouve également au sein des CLSC pour la conception, l'élaboration et l'évaluation de programmes de santé (ex : santé scolaire, santé communautaire, santé en milieu de travail, soins à domicile), certains CHSLD pour la gestion des activités cliniques et soins infirmiers plus complexes que les soins infirmiers courants dans ces établissements, ainsi que dans les centres de réadaptation (en déficience physique, en déficience intellectuelle, en dépendances).
D'autres milieux exigent de détenir une formation universitaire en soins infirmiers pour pratique comme infirmier(ère) notamment au sein des Forces armées canadiennes ou évacuation aéromédicale.
Ils peuvent poursuivre des études supérieures afin d'obtenir une spécialisation clinique en soins infirmiers (santé mentale, soins de première ligne, soins intensifs, prévention des infections, chirurgie, etc.) ou devenir infirmier(ère) praticien(ne) spécialisé(e); enseignant(e) en soins infirmiers; conseiller(ère) en soins infirmiers ou gestionnaire en soins infirmiers.
Quels sont les différentes avec les autres titres infirmiers ?
L'infirmier(ère) clinicien(ne) spécialisé(e) en prévention et contrôle des infections possède une expérience clinique spécifique en prévention et contrôle des infections ayant suivi un diplôme de 2e cycle universitaire en prévention et contrôle des infections et détient un certificat de spécialiste émis par l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec qui lui permet de procéder à l'identification des facteurs qui ont une incidence sur la survenue des infections tant chez le patient que chez une population donnée.
Il ou elle assure la surveillance des infections en temps réel, analyse des risques infectieux présents ou appréhendés réalise des enquêtes épidémiologiques et met en place des moyens et des stratégies pour prévenir l'acquisition et en contrôler la transmission des infections et, ainsi, éviter l'éclosion de maladies infectieuses.
Il ou elle travaille en étroite collaboration avec les médecins microbiologistes-infectiologistes, les médecins spécialistes en santé publique, les médecins d'urgence, les infirmiers(ères) aux urgences, les épidémiologistes et autres spécialistes en santé publique au sein d'une direction régionale de la santé publique ou au sein du service d'infectiologie d'un établissement hospitalier.
Au cours de la pandémie de COVID 19, les infirmiers(ères) en prévention et contrôle des infections ont joué un rôle primordial afin d'assurer la santé et la sécurité des patients et du personnel en milieu de santé.
L'infirmier(ère) praticien(ne) spécialisé(e) possède une solide expérience clinique dans un secteur des soins infirmiers et ayant complété une maîtrise en sciences infirmières ou un diplôme d'études supérieures de 2e cycle universitaire en pratique infirmière spécialisée, ainsi qu'un certificat de spécialiste émis par l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec.
Il ou elle dispense des soins infirmiers et médicaux de nature complexe, mais peut également prescrire des examens diagnostiques, des médicaments et des traitements selon son domaine de spécialité et selon les limites de ses compétences.
Il ou elle ne remplace pas le médecin spécialiste; loin de là !, c'est un(e) collaborateur(trice) de premier ordre pour ce dernier. Il existe de nombreux secteurs de spécialisation tels que :
cardiologie et pneumologie, neurologie et neurochirurgie, néphrologie, oncologie et soins palliatifs, périnatalité (obstétrique-gynécologie), pédiatrie et néonatalogie, santé mentale et psychiatrie, soins intensifs, soins de première ligne (traumatologie et urgence spécialisée), chirurgie, etc.
On retrouve des unités spécialisés non seulement dans les centres hospitaliers universitaires (CUSM, CHUM, CHU de Québec, CHUS, CHU Ste-Justine) et autres hôpitaux avec affiliation universitaire, mais également dans de nombreux hôpitaux de la province (notamment ceux occupant un rôle de centre de référence régional pour certaines spécialités).
Un(e) conseiller(ère) en soins infirmiers détient au minimum, un baccalauréat en sciences infirmìères, mais souvent une maîtrise en sciences infirmières voit à orienter les équipes sur les questions relatives aux soins infirmiers.
En plus de prodiguer des soins aux patients, cette personne est appelée à concevoir, à diffuser, à évaluer et à réviser des programmes d’orientation, de formation et de mise à jour des connaissances du personnel infirmier et des stagiaires, ou encore des programmes d’amélioration de la qualité des soins.
En tant que spécialiste de la résolution de problèmes infirmiers et des nouvelles pratiques infirmières; il ou elle informe le personnel infirmier sur toute nouvelle pratique exemplaire, les guide en leur proposant des solutions pour améliorer la qualité des soins et développe de nouveaux outils cliniques.
MILIEUX DE PRATIQUE :
Il existe de nombreux milieux de pratique des soins infirmiers, en voici quelques exemples :
En milieu hospitalier : tu seras affecté(e) au début de ta carrière au sein d’une unité des urgences, des soins intensifs ou des consultations externes. Tu travailleras sur des quarts de travail (jour/soir/nuit/fins de semaines/congés fériés). Par la suite, après avoir quelques années d’expérience tu pourras choisir le type d’unité où tu préféreras travailler : urgences, soins intensifs, consultations externes, obstétrique-gynécologie, chirurgie, pédiatrie, soins aux personnes âgées, psychiatrie, cancérologie, grands brûlés, cardiologie-pneumologie, neurologie-neurochirurgie, etc (tout dépendant de l’importance de l’hôpital).
Dans un CLSC : tu seras appelé(e) en début de carrière à
donner sur place ou au domicile du client ou de la cliente des informations et
conseils sur des problèmes de santé et tu les sensibiliseras à la prévention.
Par exemple, tu pourrais donner des conseils à une nouvelle maman sur les
manières de nourrir et de soigner son bébé; expliquer à des gens âgées, des
personnes handicapées ou personnes malades (diabétiques, asthmatiques,
cancéreux) sur la façon de s’administrer des médicaments, etc. À l’occasion, tu
seras appelé(e) à effectuer des prélèvements sanguins et administrer des
vaccins. Enfin, après quelques années d’expérience tu pourrais avoir la charge
d’évaluer les demandes d’aide et de soutien de la clientèle.
En centre d’hébergement soit pour personnes
âgées ou pour personnes handicapées : tu seras responsable de prodiguer les soins
infirmiers nécessaires pour améliorer ou maintenir l’état de santé des
bénéficiaires. Tu leur administreras les médicaments, fera des pansements et
surveillera leur appareil respiratoire, s’il y a lieu.
Dans une clinique médicale : tu effectueras des tâches de
consultations externes. Tu établiras l’ordre de priorité des clients(es) en salle
d’attente, tu effectueras des prélèvements sanguins, tu administreras des
vaccins et tu donneras des informations la clientèle sur des problèmes de santé
et tu les conseilleras et sensibiliseras à la prévention.
En milieu scolaire : tu seras la principale et la première ressource en matière de santé
auprès des jeunes. Tu animeras des activités éducatives et d’informations sur
diverses sujets de santé qui concernent les jeunes (sexualité, grossesse, la
nutrition, l’obésité, les MTS, santé mentale et le suicide, etc), effectueras
des consultations individuelles pour les personnes ayant des problèmes de
santé, tu agiras en tant que consultant auprès du personnel enseignant et non
enseignant sur les différentes questions touchant la santé (notamment en ce qui
a trait aux problèmes en santé mentale), tu organiseras et procèderas aux
campagnes de vaccination avec la collaboration du CLSC du quartier, tu pourras
être appelé à prodiguer les premiers soins, au besoin, etc.
En pharmacie : tu agiras principalement en tant que consultant(e) sur différentes
questions de santé avec la collaboration du pharmacien. Tu pourras fournir des
conseils en matière de sexualité, de grossesse, de nutrition, de diabète, etc.
Tu pourras expliquer à une personne les étapes des examens qu’elle aura à subir
à l’hôpital, effectuer certains tests comme : grossesse, tension
artérielle, etc. Enfin, tu agiras en tant que ressource importante auprès de la
communauté sur divers sujets de santé avec l’étroite collaboration du
pharmacien ou de la pharmacienne.
En recherche clinique : tu participeras aux différents projets de recherche clinique en milieu
hospitalier, universitaire ou au sein d’une entreprise de recherche médicale. Tu
responsable de procéder aux différents tests médicaux sur les participantes et
participants aux essais cliniques (tests sanguins, pression artérielle,
injections et tâches habituellement réservées à une infirmière. Tu auras à
rédiger des rapports sur les observations médicales faites chez les
participants, prodigueras les premiers soins si nécessaire
et assisteras les médecins dans le cadre de leur projets de recherche ou
d’essais cliniques.
Au sein des Forces armées canadiennes : tes tâches et responsabilités dans les hôpitaux militaires sont semblables que ceux au civil, à l’exception faite que lorsque tu seras en missions (soutien de la paix ou aide humanitaire, recherche et sauvetage lors de catastrophes), tu auras à prodiguer des soins et effectuer des interventions d’urgences que tu ne rencontreras nulle part ailleurs. On t’offrira la possibilité de te spécialiser (études payées) dans l’un des domaines des soins infirmiers que l’on retrouve au civil (chirurgie, psychiatrie, cardiologie, réadaptation, etc), mais aussi en médecine tropicale, médecine de catastrophe, médecine hyperbare et sous-marine, médecine aérospatiale, etc. Des études universitaires en sciences infirmières ou nursing sont nécessaires, mais il est également possible de bénéficier du programme de formation des officiers de la Force régulière qui permet de subventionner tes études universitaires en sciences infirmières.
Pour plus de détails, consulte la page des
professions de
la santé du secteur armée. On éprouve
présentement une forte pénurie de médecins au sein des Forces armées. Fait
à noter, en t’enrôlant à ce titre tu obtiendras le même grade que les médecins
soit celui de capitaine.
QUALITÉS
ET APTTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Très bonne santé
- Très bonne condition et endurance physique, car tu auras à travailler débout de façon constante
-
Bonnes habiletés manuelles, minutie, souci du détail
et précision car devras administrer des médicaments et effectuer des
prélèvements sanguins avec exactitude
- Aimer
et facilité à travailler avec le public car tu auras des contacts
fréquents avec les clients(es)
-
Bon équilibre émotif car tu auras à faire face à des
gens éprouvant plusieurs problèmes de santé
-
Être à l’écoute du patient (calme, patience et discrétion)
est nécessaire pour être en mesure de soutenir et rassurer les clients et
patientes et ses proches
-
Capacité d’analyse et de synthèse pour être en mesure d’analyser une
situation et intervenir efficacement
-
Sens des responsabilités et bon jugement car tu seras
responsable de prodiguer les soins nécessaires qui amélioreront l’état de santé
du patient ou de la patiente
-
Faciliter à communiquer pour être capable de bien expliquer
au patient ou à la patiente (et à ses proches) ce qu’il va lui arriver
(traitement, chirurgie, etc.)
-
Esprit d’initiative et vigilance pour être
prêt(e) à intervenir n’importe quand lors d’une urgence
- Bon jugement et esprit d’initiative pour être à intervenir lors de situations d'urgences ou de problèmes
-
Minutie et
précision et
souci du travail bien fait car tu devras administrer
des médicaments par voie orale et effectuer d’autres tâches de façon précise
-
Autonomie et débrouillardise pour être capable de
régler seul(e) certains problèmes
-
Facilité à travailler en équipe car tu auras à travailler
constamment avec d’autres collègues (infirmiers-ères auxiliaires,
infirmiers-ères et techniciens-nes) et des médecins
-
Très bonne résistance au stress et à la fatigue, car dans plusieurs cas tu devras
être alerte et prêt(e) à intervenir même de longues heures de travail
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
En début
de carrière :
- Externe en soins infirmiers (pendant tes études)
-
Instructeur (trice) en secourisme
Après
quelques années d’expérience :
- Conseiller ou Conseillère en soins infirmiers
- Consultante en lactation (formation complémentaire nécessaire)
- Conseiller(ère)-cadre en soins
infirmiers
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
-
- Grandes industries
Agence de la santé publique
du Canada, Centre national canadien d’hygiène et
sécurité au travail,
Service correctionnel Canada
Santé Canada,
Anciens
Combattants Canada,
Défense Nationale Canada (postes civils),
Transports Canada (Service de médecine aéronautique civile),
Emploi et Développement social Canada (évaluation
médicale pour prestations fédérales)
Institut national de la santé publique,
Ministère de la Santé,
SAAQ,
RAMQ,
CNESST,
Retraite Québec
Organisation
mondiale de la santé OMS,
Croix-Rouge canadienne,
Croix-Rouge
internationale,
Centraide Canada,
Médecins sans frontières Canada,
Médecins du Monde
(section Canada),
Médecins d'Afrique
(bureau des Amériques),
Mercy Ships,
AMIE Aide internationale à
l'enfance - section Canada,
International Healthcare
Volunteers,
Terre sans frontières,
UNICEF Canada
Au Québec, pour pratiquer en tant qu’infirmière
ou infirmier, tu dois obligatoirement devenir membre de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec.
Bien que l'obtention du baccalauréat n'est pas obligatoire afin de devenir infirmière ou infirmier en soins généraux (puisque le D.E.C. en soins infirmiers est l'exigence minimale), il est fortement recommandé de détenir le baccalauréat puisque l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec tente de faire cette proposition au Gouvernement.
Pour plus de détails, consulte la page suivante de l'Ordre.
Elle confirme la réserve du titre et la pratique de la psychothérapie au Québec.
Les normes sont appliquées par l'Ordre des psychologues du Québec et c'est cet organisme qui émet les permis de pratique en psychothérapie.
Maintenant, seuls(es) les membres d'un ordre professionnel (psychologues, travailleurs sociaux, psychoéducateurs, conseillers en orientation, criminologues, sexologues, thérapeutes conjugaux et familiaux, infirmiers bacheliers, ergothérapeutes et médecins) peuvent être autorisés à exercer en tant que psychothérapeute.
Donc, le titre de psychothérapeute ne peut être porté seul. Il doit être précédé du titre professionnel de la personne (par exemple : sexologue psychothérapeute).
Ceci permet aux personnes qui désirent recourir à leurs services de savoir exactement quel est le profil professionnel du psychothérapeute.
Les actes réservés aux infirmières et infirmiers détenant un permis de psychothérapeute sont :
Évaluer l'état de santé d’une personne atteinte d’un trouble mental ou neuropsychologique attesté par un diagnostic ou par une évaluation effectuée par un professionnel habilité;
Déterminer et assurer la réalisation du plan de soins et de traitements infirmiers;
Prodiguer les soins et les traitements infirmiers et médicaux dans le but de maintenir et de rétablir la santé de l’être humain en interaction avec son environnement;
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
- Bonne connaissance de l'anglais (le bilinguisme est parfois exigé dans certains milieux et dans certaines régions)
- Être prêt à se perfectionner constamment
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Selon l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec; il y avait 79 748 infirmières et infirmiers actifs au Québec au 31 mars 2022 (soit 2 681 de plus qu'en 2020; 4 219 de plus qu'en 2019; 5 010 de plus qu'en 2018 et 5 542 de plus qu'en 2016).
Elle a accordé également accordé un permis restrictif à 2 297 externes en soins infirmiers (étudiants en soins infirmiers ou sciences infirmières autorisés à exercer certaines activités infirmières à temps partiel pendant leurs études).
Plus de 3 565 nouvelles infirmières et nouveaux infirmiers se sont ajoutés au cours de cette année (60 % détenaient un D.E.C. et 40 % détenaient un diplôme universitaire).
Près de 24 % des nouveaux membres provenaient du recrutement international ou des résidents canadiens ayant obtenu leur diplôme à l'étranger.
Parmi ceux-ci :
Les femmes étaient majoritaires avec une proportion de 88 %
Plus de 16 % étaient des personnes immigrantes (dont 14 % provenant de la France, 11 % des Philippines, 10 % d'Haîti, 8 % de l'Inde, 6 % des pays de l'Europe de l'Est, 5 % de la Jamaïque, 4 % de la Chine, 3 % des pays 'Amérique du Sud, etc.)
Seulement 12 % du personnel infirmier étaient des hommes, mais la tendance est à la hausse depuis quelques années (ils représentaient 15 % de la relève de la profession)
l'âge moyen des infirmières et infirmiers était de 41 ans
Moins de 15 % des infirmières et infirmiers étaient âgées de 55 et plus (qui devront être remplacés au cours des prochaines années puisqu'ils devront prendre leur retraite)
l'âge moyen des nouvelles infirmières et des nouveaux infirmiers était de 29 ans
Plus de 31 % des infirmières et infirmiers étaient âgés de moins de 35 ans
Près de 52 % détenaient un baccalauréat en sciences infirmières ou une formation supérieure
Près de 91 % travaillaient dans le secteur public (principalement dans le réseau de la ssnté, mais aussi dans d'autres secteurs)
Plus de 74 % occupaient un poste permanent à temps complet, 24 % un poste permanent à temps partiel et 2 % un poste occasionnel ou sur appel
Près de 5 % étaient des travailleurs(euses) autonomes
La répartition des membres selon leur âge était :
Voici la répartition des effectifs infirmiers en exercice selon le milieu de pratique :
31 % dans les centres intégrés de santé et services sociaux CISSS (hôpitaux, CHSLD, CLSC, centres de jour, centres de réadaptation, centres jeunesse)
17 % dans les centres hospitaliers universitaires CHU ou instituts universitaires (CHUM, CUSM, CHU de Québec, CHU Sainte-Justine, CHUS, Institut de cardiologie de Montréal, Institut Pinel, Instituts universitaires de santé mentale)
3 % dans les agences de placement de personnel infirmier ou de soins
3 % dans les cégeps et universités (incluant ceux en enseignement et/ou recherche)
2 % dans les CHSLD conventionnés ou non conventionnés privés
2 % dans les cliniques médicales
2 % dans d'autres organismes publics ou parapublics (fonction publique fédérale ou provinciale, centres de détention, Forces armées, sociétés d'État comme Hydro-Québec, etc.)
2 % dans d'autres entreprises privées du domaine de la santé (ex : entreprises de soins à domicile, entreprises de recherche clinique, phamacies, compagnies pharmaceutiques, centres de recherche, industries, etc.)
1 % dans les centres de services scolaires et établissements privés d'enseignement primaire et/ou secondaire
1 % dans les cliniques privées de soins infirmiers
1 % dans les établissements publics de santé du Nord québécois
près de 1 % dans les résidences privées pour personnes âgées
moins de 1 % au sein d'organismes sans but lucratif (organismes communautaires, communautés religieuses, organismes d'aide humanitaire, etc.)
La répartition des effectifs infirmiers par domaines de pratique était la suivante :
plus de 49 % étaient ens soins généraux et spécialisés pour adultes
17 % en soins de première ligne (5 % en soins à domicile, 3 % en soins courants, 3 % auprès des enfants, famille et parents, 3 % en santé mentale de première ligne et 3 % autres)
15 % en soins critiques
4 % en gestion des soins infirmiers
4 % en enseignement
11 % dans d'autres secteurs
Voici un petit portait des principales fonctions occupées :
55 % étaient des infirmiers(ères)
20 % étaient des infirmiers(ères) cliniciens(nes)
9 % étaient des assistants(es) chefs infirmiers(ères)
4 % étaient des coordonnateurs(trices) d'activités ou chefs (d'unité, de programme ou de service) des soins infirmiers
4 % étaient des enseignants(es), professeurs(es) ou chargés(es) de cours ou responsable des stages et de la formation pratique en soins infirmiers (collégial ou universitaire)
2 % occupaient des fonctions de gestion autres que coordonnateur(trice) ou chef d'unité de soins (ex : gestionnaire de risques, responsable des soins infirmiers, fonctions de direction, etc.)
2 % étaient des assistants(es) chefs infirmiers(ères) cliniciens(nes)
2 % occupaient la fonction de conseiller(ère) clinique ou conseiller(ère) en soins infirmiers
près de 1 % étaient des infirmiers(ères) praticiens(nes) spécialisés(es)
1 % occupaient des fonctions de recherche (professionnel, chargé, attaché ou directeur de projet de recherche)
MILIEUX DE PRATIQUE :
Quel type d'organisation et où pratiquer ?
Au sein d'un dispensaire ou d'une clinique sur une réserve autochtone en
région nordique : attiré(e) par la culture des Premières Nations et des
Inuits des communautés nordiques ?, intéressé(e) de participer au bien-être
physique et psychologie des autochtones ?, intéressé(e)
d'avoir une meilleure dynamique de travail avec de plus petites équipes, une
approche médecin-patient beaucoup plus personnalisée ?, tu désires effectuer des
activités de plein air tout près de ton lieu de résidence et de travail dans un
environnement naturel sans pareil ? et une prime d'éloignement avec ça !...
c'est l'endroit idéal pour toi. Les médecins parcourent plusieurs dispensaires
desservis par des infirmiers(ères), ce qui leur permettent de rencontrer
différentes clientèles de plusieurs communautés de cultures différentes. La
plupart des dispensaires sont offerts avec la collaboration de Santé Canada.
Voici quelques exemples de dispensaires du Grand Nord québécois :
Centre de Santé Tshukuminu
Kanani (Nutashkuan, 375 km à l'est de Sept-Îles en Côte-Nord),
Conseil de la Nation Innu
Matimekush-Lac John (Schefferville en Côte-Nord),
Conseil de la Nation crie de
Mistissini (90 km au nord-est de Chibougamau
dans le Nord-du-Québec), Conseil
Mamit Innuat.
En centre hospitalier en région éloignée
: si tu n'as pas peur des longues heures de travail aux urgences afin de palier
au manque de personnel, de t'éloigner des nombreux services offerts dans les
grandes villes... mais, d'avoir une meilleure dynamique de travail avec de plus
petites équipes, une approche médecin-patient beaucoup plus personnalisée qu'en
milieu urbain, plus grande disponibilité des médecins spécialistes, la proximité
de paysages magnifiques et être plus près de la nature, sans problème de
circulation, la possibilité d'effectuer des activités de plein air tout près de
ton lieu de résidence et de travail, une prime d'éloignement avec ça !... c'est
l'endroit idéal pour toi.
Voici quelques exemples :
Centre de santé
Inuulitsivik (Baie-d'Hudson),
Centre de Santé
Tulattavik (Baie d'Ungava),
Centre
régional de santé et de services sociaux de la Baie-James,
CISSS de la Côte-Nord (secteur Caniapiscau, comprend notamment : Fermont,
Schefferville),
CISSS de la Côte-Nord
(secteur Basse Côte-Nord comprend notamment Blanc Sablon),
CISSS de la Côte-Nord (secteur Mingamie comprend notamment Havre
Saint-Pierre),
CISSS de la Côte-Nord (secteur Port-Cartier),
CISSS de la Côte-Nord (secteur Haute Côte-Nord comprend notamment Forestville et
Les Escoumins),
CISSS de la Côte-Nord (secteur Manicouagan comprend Baie-Comeau),
CISSS de la Côte-Nord
(secteur
Sept-Îles comprend Sept-Îles),
CISSS
de l'Abitibi-Témiscamingue (secteur Est : Hôpital d'Amos, Hôpital de
Val-d'Or, Hôpital de Rouyn),
CISSS
de l'Abitibi-Témiscamingue (secteurOuest : Hôpital de LaSarre,
Hôpital de Ville-Marie, Pavllon Témiscaming-Kipawa),
CISSS de la
Gaspésie (hôpital de Chandler, Hôpital de Maria, Hôpital de
Sainte-Anne-des-Monts et Hôpital de Gaspé),
CISSS des Îles (C.H. de l'Archipel aux Îles-de-la-Madelaine),
CISSS du
Saguenay-Lac-Saint-Jean (Hôpital de Dolbeau-Mistassini).
Ils proposent une meilleure
dynamique de travail avec de plus petites équipes interdisciplinaires,
une approche médecin-patient beaucoup plus personnalisée qu'en milieu
urbain, plus grande disponibilité des médecins spécialistes et des
problèmes inexistants de circulation.
En plus des soins généraux
et spécialisés offerts par la plupart des établissements (
Voici quelques exemples (liste non-exhautsive) :
Gaspésie : Hôpital de Gaspé;
Bas-Saint-Laurent : Hôpital Notre-Dame-de-Fatima à
Sainte-Anne-de-La Pocatière, Hôpital Notre-Dame-du-Lac, C.H. de
Trois-Pistoles, Hôpital d'Amqui, Hôpital de Matane;
Saguenay-La-Saint-Jean : Hôpital de Roberval, Hôpital de
Dolbeau-Mistassini, Hôpital d'Alma, Hôpital de Jonquière;
Centre-du-Québec : Centre multiservices de santé et services
sociaux de Nicolet;
Mauricie :
Centre multiservices et hospitalier en santé et services
sociaux du Haut-Saint-Maurice à La Tuque;
Estrie : Hôpital
de Lac-Mégantic, Hôpital d'Asbestos à Val-des-Sources;
Chaudière-Appalaches
: Hôpital de Montmagny;
Capitale Nationale : Hôpital de
Baie-Saint-Paul, Hôpital de La Malbaie, Hôpital régional de Portneuf.
Il n'y a pas que les grands hôpitaux situés dans
les grands centres urbains tels que Montréal ou Québec qui en plus d'offrir des soins médicaux
généraux et chirurgicaux généraux (urgence, soins intensifs, médecine
interne, chirurgie générale, obstétrique, etc.); plusieurs
hôpitaux dits "territoriaux.offrent de
nombreux services et soins médicaux et chirurgicaux spécialisés.
En
effet, il y a dans toutes les régions de la province, des hôpitaux
offrant une multitude de soins spécialisés auprès de la population de
leur territoire et les territoires voisins.
Voici quelques exemples (liste non-exhautsive) :
Estrie : C.H. du Memphrémagog à Magog;
Chaudière-Appalaches
: Hôpital de Saint-Georges, Hôpital de
Thetford;
Outaouais : Hôpital de Pontiac, Hôpital de
Papineau, Hôpital de Maniwaki, Hôpital de Hull, Hòpital de Gatineau;
Lanaudière : C.H. de Lanaudière Saint-Charles-Borromée près de
Joliette et Hôpital Pierre-Legardeur à Terrebonne;
Laurentides
: Hôpital de Mont-Laurier, Hôpital de Lachute, Hôpital de
Sainte-Anne-des-Plaines, Hôpital de Saint-Eustache, Hôpital
régional de Saint-Jérôme;
Capitale Nationale : Hôpital de
Sainte-Anne-de-Beaupré, Hôpital Chauveau,
Hôpital Jeffrey Hale, Hôpital Christ-Roi;
Laval : Hôpital La
Cité de la santé;
Montérégie : Hôpital Barrie Memorial à
Ormstown, Hôpital Brome-Missisquoi-Perkins à Cowansville, Hôpital du
Suroît à Valleyfield, Hôpital de Sorel, Hôpital Anna-Laberge à
Châteauguay, Hôpital Honoré-Mercier à Saint-Hyacinthe, Hôpital de
Granby,Hôpital du Haut-Richelieu et Hôpital Pierre-Boucher à Longueuil;
Montréal : Hôpital général du Lakeshore, Hôpital Richardson,
Hôpital de Verdun, Hôpital Fleury, Hôpital Jean-Talon, Hôpital de
LaSalle, Hôpital Santa Cabrini, Hôpital Notre-Dame.
Tous ces établissements ont une vocation
régionale, c'est-à-dire qu'ils offrent des services spécialisés non offerts dans
la région et certains détiennent même une affiliation régional universitaire à
l'une 3 facultés de médecine du Québec permettant de bénéficier de
l'expertise universitaire et offrir de l'enseignement clinique en région.
Plusieurs de ces établissements sont également désignés comme "centre
hospitalier régional affilié universitaire" à l'une des 3 facultés
de médecine du Québec permettant d'accueillir des étudiants(es) en
médecine, des stagiaires de d'autres programmes universitaires en santé
et des médecins résidents(es) et ainsi, décentraliser l'enseignement
médical et clinique.
Donc, si tu es intéressé(e) par la médecine plus près de sa communauté,
une meilleure implication dans les équipes interdisciplinaires de soins (équipes
plus petites), une meilleure disponibilité des médecins spécialistes, pas de
problème majeur de circulation, la possibilité d'habiter à des endroits
magnifiques (prés du Fleuve, prés d'un centre de plein air, etc.), c'est
probablement l'endroit idéal pour toi.
En voici quelques exemples :
CISSS de la
Gaspésie
(Hôpital de Gaspé) : offre des soins en
pédopsychiatrie, santé communautaire, orthopédie, cardiologie, médecine
nucléaire et microbiologie pour toute la population de la Gaspésie
et des Îles-de-la-Madeleine;
CISSS de
l'Abitibi-Témiscamingue
(Hôpital de Rouyn) : offre des services en
ophtalmologie, urologie, neurologie, cancérologie pédiatrique,
oto-rhino-laryngologie et dépistage du cancer du sein auprès de toute la
population de l'Abitibi-Témiscaminque, de la Côte-Nord et du
Nord-du-Québec;
CISSS de
l'Abitibi-Témiscamingue
(Hôpital de Val-d'Or) : offre des services en
anatomo-pathologie, anesthésiologie, cardiologie, cytophathologie,
gastro-entérologie, gériatrie, médecine transfusionnelle, néphrologie,
médecine nucléaire, oncologie, pneumologie et radiologie auprès de toute
la population de l'Abitibi-Témiscaminque, de la Côte-Nord et du
Nord-du-Québec;
CISSS de la Côte-Nord (C.H.
régional de
Sept-Îles) : offre des soins en
pédopsychiatrie, cardiologie,
dermatologie, gériatrie, pneumologie, maladies infectieuses, neurologie,
ophtalmologie et urologie auprès de toute la population de la
Côte-Nord);
CISSS de la Côte-Nord
(Hôpital Le Royer à Baie-Comeau) : offre des soins en
pathologie,
microbiologie-infectiologie, biochimie médicale,
ophtalmologie,orthopédie, ORL, médecine interne, pédiatrie et chirurgie
générale auprès de toute la population de la
Côte-Nord);
CISSS
du Bas-Saint-Laurent (Hôpital
régional de Rimouski) : offre des soins en
neurochirurgie, néonatalogie, néphrologie, radio-oncologie, dialyse
rénale, médecine nucléaire, psychiatrie, chirurgie bariatrique pour la
population de l'ensemble du Bas-St-Laurent, de la Gaspésie-des-Îles et
de la Côte-Nord;
CISSS
du Bas-Saint-Laurent (C.H. du Grand-Portage
de Rivière-du-Loup) : offre des soins en
chirurgie maxillo-faciale,, dermatologie orthopédie, ORL,
pédopsychiatrie et urologie pour la population de l'ensemble du
Bas-St-Laurent et de la Gaspésie-des-Îles;
CIUSSS du Saguenay-Lac-Saint-Jean (Hôpital d'Alma) : offre notamment
des services en chirurgie maxillo-faciale, dermatologie orthopédie, OR
et urologie pour la population de l'ensemble de la populations de
territoires des MRC du Lac-Saint-Jean-Est, Domaine-du-Roy et
Maria-Chapdeleine.
CIUSSS du Saguenay-Lac-Saint-Jean (Hôpital
de Chicoutimi) : désigné Centre affilié universitaire régional
affilié aux universités de Montréal et de Sherbrooke ainsi qu’à
l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); il offre des soins
spécialisés pour la toute la population du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de
la Côte-Nord et du Nord-du-Québec dans plusieurs secteurs tels que :
l'hémato-oncologie, la radio-oncologie, la pédopsychiatrie, chirurgie
bariatrique, chirurgie colectorale, orthopédie complexe, neurochirurgie,
centre régional de traumatologie secondaire régional, centre régional de
cancérologie.
CISSS de
l'Outaouais (Hôpital
de Gatineau) : désigné comme Centre affilié universitaire avec
l’Université McGill et l’Université du Québec en Outaouais; il offre de
nombreux soins spécialisés pour toute la population de l'Outaouais dont
: centre régional de traumatologie secondaire, centre régional de
cancérologie, clinique musculo-squelettique, clinique d'insuffisance
cardiaque, clinique du sein, unité des soins intensifs adultes, unité de
néonatologie, pédopsychiatrie, endocrinologie, chirurgie bariatrique,
chirurgie plastique, neurochirurgie, ophtalmologie, ORL, orthopédie,
urologie, chirurgie thoracique, chirurgie vasculaire, etc.
CIUSSS de la
Mauricie-et-du-Centre-du-Québec (Hôpital Hôtel-Dieu d'Arthabasca
de Victoriaville) : affilié à l'Université de Sherbrooke, il offre
des soins spécialisés en gériatrie, pédopsychiatrie, orthopédie, clinique de santé des voyageurs
et maladies infectieuses pour toute la population du Centre-du-Québec et
une partie de Chaudière-Appalaches.
CIUSSS de la
Mauricie-et-du-Centre-du-Québec (Hôpital du
Centre-de-la-Mauricie à Shawinigan) : est affilié à
l'Université de Montréal, offre des soins spécialisés tels que : soins
intensifs adultes, psychiatrie volet soins de collaboration et
psychiatrie volet médico-légal.
CIUSSS de la
Mauricie-et-du-Centre-du-Québec (Hôpital Sainte-Croix à
Drummondville) : est affilié à l'Université de Sherbrooke et offre
des soins spécialisés notamment en traumatologie tertiaire, chirurgie
bariatrique, en dermatologie, gériatrie, hématologie, médecine
nucléaire, gérontopsychiatrie, ophtalmologie, ostéodensitométrie,
programme en dépistage du cancer du sein, unité des maladies
pulmonaires, unité de soins palliatifs... pour toute la population du
Centre-du-Québec.
CIUSSS de la
Mauricie-et-du-Centre-du-Québec (Centre
hospitalier affilié universitaire régional CHAUR) : désigné
Centre affilié universitaire régional affilié à l'Université de
Montréal, le plus important du genre au Québec. Il offre de nombreux
soins spécialisés et ultraspécialisés pour toute la population de la
Mauricie, du Centre-du-Québec.
Par exemple, des soins sont
offerts au Centre régional de traumatologie secondaire, en chirurgie
bariatrique, en chirurgie colectorale, chirurgie thoracique, chirurgie
vasculaire, chirurgie orthopédique complexe, chirurgie plastique,
ophtalmologie, ORL, orthopédie, urologie, pédopsychiatrie,
endocrinologie, médecine des toxicomanies, clinique d'enseignement
sur l'asthme et les MPOC, Clinique d'insuffisance rénale et Centre
d'enseignement unité des soins palliatifs, et bien d'autres...
CISSS de Lanaudière (C.H. de Lanaudière à Joliette) : on y
retrouve notamment : une clinique d'hémato-oncologie, un service de
scintigraphie (médecine nucléaire), une clinique spécialisée en
chirurgie bariatrique, et une unité de soins palliatifs de fin de vie.
etc.
CISSS de Lanaudière (Hôpital
Pierre-Legardeur à Terrebonne) : on y retrouvement notamment :
une clinique de santé du sein, une clinique d'hémato-oncologie, une
clinique des maladies à transmission vectorielle, une clinique de
gestion de la douleur chronique, etc.
CISSS Chaudière-Appalaches (Hôpital
L'Hôtel-Dieu de Lévis, voir aussi la
page suivante) : désigné Centre affilié universitaire
affilié à l'Université Laval et centre régioanl de référence pour tout
le territoire de Chaudière-Appalaches; on y offre des soins spécialisés
tels que : une clinique des plaies complexes, une clinique de gestion de
la douleur chronique, une clinique et un centre d'enseignement MPOC,
chirurgie buccale et maxillo-faciale, ORL, orthopédie, urologie,
pédopsychiatrie, écho-endoscopie, soins palliatifs de fin de vie, ainsi
que le centre régional intégré de cancérologie le plus important de tout
l'Est du Québec. Enfin, il détient l'un des 2 seuls de médecine
hyperbare au Québec.
CISSS de Laval (Hôpital
La Cité de la santé, voir aussi la
page suivante): en tant que seul établissement
hospitalier de soins généraux et spécialisés de la troisième plus grande
ville québécoise, de nombreux soins spécialisés y sont offerts tels que
: Centre de référence pour investigation désigné (CRID) - Clinique du
Sein, centre régional du diabète, clinique de la gestion de la douleur,
clinique du sommeil, médecine vasculaire, endocrinologie, néphrologie,
neurologie, ophtalmologie, ORL, chirurgie bariatrique, chirurgie
plastique, chirurgie thoracique, etc.
CISSS
des Laurentides (Hôpital
régional de Saint-Jérôme, voir aussi la
page suivante) : centre hospitalier affilié à
l’Université de Montréal et à l’Université du Québec en Outaouais UQO,
il offre de nombreux soins spécialisés pour la toute la population des
Laurentides tels que : Clinique externe de psychiatrie de l'enfant et de
l'adolescent, Clinique de la mémoire, Clinique de gestion e la douleur
chronique, Clinique externe de diabète, Clinique externe de cardiologie,
Clinique externe d'insuffisance cardiaque, Clinique d'accueil et de
soins pour réfugiés, Clinique externe d'hémato-oncologie, Centre de
services ambulatoires (insuffisance rénale), pédopsychiatrie,
gérontopsychiatrie, psychiatrie médico-légale, chirurgie bariatrique,
orthopédie, ophtalmologie, ORL, chirurgie colectorale, urologie et le
Centre régional de cancérologie.
CISSS
des Laurentides (Hôpital
régional de Saint-Eustache) : second plus important hôpital des
Laurentides, on y offre des soins spécialisés tels que : clinique
externe de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, clinique externe
de psychiatrie de l'adulte, chirurgie orthopédique, ophtalmologie,
cardiologie, neurologie et centre de cancérologie de Saint-Eustache.
CISSS Montérégie-Est (Hôpital
Pierre-Boucher, voir aussi la
page
suivante) : second plus important établissement hospitalier de
la Montérégie et l'un des plus importants au Québec; il est le seul
centre d’obstétrique et de néonatalogie de niveau 2B en Montérégie, seul
centre désigné pour la clientèle nécessitant une chirurgie bariatrique
en Montérégie, centre régional spécialisé pédiatrique, un centre
d’expertise pour le programme québécois de dépistage du cancer
colorectal, un centre de référence régional et suprarégional en matière
de santé mentale instigateur du programme Alliance.
Il offre
également des soins spécialisés et ultraspécialisés tels que : clinique
du sommeil, rhumatologie, hémato-oncologie, néonatologie, chirurgie du
sein, chirurgie bariatrique, chirurgie orthopédique (incluant les
chirurgies de la hanche, de l'épaule, du genou et du pied), ORL, etc.
CISSS Montérégie-Centre (Hôiptal
Charles-Lemoyne, voir aussi la
page suivante) : centre hospitalier régional et
universitaire de soins ambulatoires affilié à l'Université de
Sherbrooke; il est reconnu notamment comme centre de référence régional
en cancérologie, en traumatologie tertiaire, en pédopsychiatrie, en
neurochirurgie, en chirurgie de la rétine et en biologie médicale.
Il offre également de nombreux autres soins spécialisés et
utraspécialisés tels que : clinique du sein, anticoagulothérapie,
endocrinologie, néphrologie, neurologie, maladies infectieuses,
chirurgie maxillo-faciale, chirurgie plastique, neurochirurgie,
chirurgie gynécologique, chirurgie orthopédique (incluant chirurgie
lombaire), chirurgie thoracique, chirurgie vasculaire, etc.
Préoccupé(e) par la santé et le bien-être tant
physique que psychologique de nos aînés en perte d'autonomie ?, les
nombreux centres hospitaliers de soins de longue durée CHSLD que l'on
retrouve un peu partout dans la province ont des besoins grandissants de
médecins qui se consacrent aux soins de cette clientèle vulnérable qui
méritent d'obtenir les meilleurs soins.
Au fait quelle est la différence est un CHSLD public, privé conventionné
ou privé non conventionné ?
un CHSLD public est un établissement de santé sous propriété publique
relevant d'un centre intégré de santé et de services sociaux CISSS
accueillant des clientèles en grandes perte d'autonomie dont les
services offerts et les coûts d'hébergement sont définis par le
Ministère de la Santé du Québec. La population ne peut faire faire
directement une demande de place dans ce type d'établissement;
un CHSLD privé conventionné est un établissement de santé privé dirigé
par un propriétaire-gestionnaire qui détient un permis et qui est
subventionné par le Ministère de la Santé du Québec. Le fonctionnement
est le même qu'un établissement public, mais peut offrir des services
supplémentaires et exiger des frais pour ces derniers sont assujettis
par la loi;
un CHSLD privé non conventionné est une entreprise privée, indépendante
et autonome détenant un permis du Ministère de la Santé du Québec, mais
ne reçoit aucune subvention. La population doit entrer en contact
directement avec cet établissement pour y obtenir une place, mais
détermine ses propres critères d'admissibilité et le fonctionnement est
à leur entière discrétion. Par contre, certains ont conclu une entente
avec un CISSS pour l'achat de places.
Le milieu scolaire offrent l'opportunité au infirmiers(ères) d'effectuer
de l'éducation et de la promotion de la santé auprès de nos jeunes
notamment sur des sujets de santé qui leurs touchent de près comme la
santé sexuelle et les maladies transmissibles la santé nutritionnelle
(incluant les problématiques de l'obésité), la santé visuelle, les
premiers soins, les allergies alimentaires, le diabète, etc.
Tu pourras travailler au sein d'un centre de services scolaires (école
primaire, école secondaire, école primaire-secondaire ou une école
spécialisée), consulte la
Fédération des
centres de services scolaires du Québec;
ou au sein d'un établissement privé d'enseignement (de niveau primaire
et/ou secondaire et parfois même, une école spécialisée), consulte la
Fédération des
établissements d'enseignement privés du Québec.
tu désires davantage effectuer de l'éducation, de la
prévention et de la promotion de la santé en intervenant et t'impliquant
auprès des familles et de la communauté ?
tu préfères prodiguer des soins
et un suivi
à domicile de l'état de santé des nouvelles mamans et de leurs
bébés, des personnes agées ou des personnes cancéreuses ou en rémission
plutôt que prodiguer des soins aux personnes malades ou blessés dans un
contexte hospitalier ?
Tu es convaincu(e) que prodiguer des soins
à domicile est une solution à l'hospitalisation ?
Donc, vas travailler dans un CLSC car tu seras
comblé(e).
tu crois que ces services doivent davantage être personnalisés ?
les organismes publics du réseau de
la santé offre des services de soins à domicile via les CLSC.
Dans le secteur privé,
il
y retrouve
des entreprises privées spécialisées dans les soins à domicile pour
toutes clientèles autant pour des soins aupreso de personnes âgées,
handicapées ou convalescentes, mais également pour des consultations à
la maison au lieu de se déplacer dans une clinique médicale. Plusieurs
de ces services sont remboursés par leur assureur.
Dans le secteur communautaire, il existe plusieurs organismes privés à
but non lucratif OBNL qui offrent des soins à domicile auprès des
clientèles défavorisées de leur territoire.
Pour plus de détails, consulte notamment le
Service correctionnel du
Canada.
On retrouve un centre de réadaptation en déficience physique
dans chacune des régions du Québec dont l'expertise du médecin
généraliste en réadaptation est essentielle afin de permettre une
réadaptation physique et neuromotrice optimale de la personne.
Pour plus de détails, consulte les sites de :
l'Institut
de réadaptation Gingras-Lindsay de Montréal,
l'Institut
de réadaptation en déficience physique de Québec (voir
aussi la page
suivante),
le Centre
de réadaptation Constance-Lethbridge-Layton-Mackay (McGill),
le Centre
de réadaptation Estrie,
le Centre
montérégien de réadaptation,
l'Hôpital
juif de réadaptation (voir
aussi la page
suinvante),
le Centre
de réadaptaiton en déficience physique des Laurentides,
le Centre
de réadaptation en déficience physique de Lanaudière,
le Centre
de réadaptation Mauricie-Centre-du-Québec,
l'Unité
de réadaptation fonctionnelle intensive du CISSS Chaudière-Appalaches.
En voici quelques exemples :
Maison des
soins palliatifs de la Baie-des-Chaleurs (Maria, Gaspésie),
Maison La
Vallée des Roseaux (Baie-Comeau, Côte-Nord),
Maison L'Élyme
des Sables (Sept-Iles, Côte-Nord),
Maison
Desjardins des soins palliatifs (Rivière-du-Loup,
Bas-Saint-Laurent),
Maison
Élisabeth (Rimouski, Bas-Saint-Laurent),
Maison du
Bouleau Blanc (Amos, Abitibi-Témiscamingue),
Maison de
la Soure Gabriel (Val-d'Or, Abitibi-Témiscamingue),
Maison des soins
palliatifs de l'Envol (Rouyn-Noranda, Abitibi-Témisamingue),
Maison
Colombe-Veilleux (Dolbeau-Mistassini, Saguenay-Lac-Saint-Jean),
Maison Le Havre
du Lac-Saint-Jean (Roberval, Saguenay-Lac-Saint-Jean),
Maison des soins palliatifs Au Jardin des Anges (Alma,
Saguenay-Lac-Saint-Jean),
Maison des soins
palliatifs du Saguenay (Saguenay - secteur Jonquière,
Saguenay-Lac-Saint-Jean),
Maison René-Verrier (Drummonedville, Centre-du-Québec),
Maison de fin de
vie Marie-Pagé (Victoriaville, Centre-du-Québec),
Maison
Aline-Chrétien (Shawinigan, Mauricie),
Maison La
Cinquième Saison (Lac-Mégantic, Estrie),
Maison Au Diapason
(Bromont, Estrie),
Maison
des colliines (Wakefield, Outaouais),
Maison Mathieu Froment-Savoie (Gatineau, Outaouais),
Résidence
le Monarque (Gatineau, Outaouais),
Maison Papillon
(soins palliatifs pédiatriques, Cantley, Outaouais),
Maison
Adhémar-Dion (Terrebonne, Lanaudière),
La Maison
d'Hélène (Montmagny, Chaudière-Appalaches),
Maison Les
Couleurs du Vent (Thetford Mines, Chaudière-Appalaches),
Maison Catherine-de-Longpré (Saint-Georges, Chaudière-Appalaches),
Maison des
soins palliatifs du Littoral (Lévis, Chaudière-Appalaches),
Maison de soins
palliatifs Pallia-Vie (Saint-Jérôme, Laurentides),
Maison des soins palliatifs La Traversée (Mont-Tremblant,
Laurentides),
Maison des soins palliatifs Sercan (Saint-Eustache, Laurentides),
Maison
Victor-Gadbois (Saint-Mathieu-de-Beloeil, Montérégie),
Maison des soins
palliatifs Vaudreuil-Soulanges (Hudson, Montérégie),
Maison des soins
palliatifs La Sérénité de Laval (Laval),
Maison Michel-Sarrazin (Québec),
Maison de soins
palliatifs St-Raphaël (Montréal - arrondissement
Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce),
Maison
des soins palliatifs Saut-Saint-Louis (Montréal - arrondissement
LaSalle),
Résidence
des soins palliatifs Teresa-Dellar (Kirkland, Montréal)
Ils offrent la possibilité d'avoir accès à des médecins de
nombreuses spécialités, à des équipements de fine pointe, à une clientèle
diversifiée, à proximité de tous les services urbains, possibilité d'effectuer
de l'enseignement clinique auprès d'étudiants en médecine, possibilité de
travailler également en cabinet privé... mais, une relation médecin-patient peu
personnalisée, des gestes limités dus à la présence de nombreux médecins
résidents et spécialistes qui effectuent certaines tâches, etc.
On y
retrouve également une forte présence universitaire avec de nombreux
stagiaires de plusieurs spécialités de la santé, des étudiants(es) en
médecine et des médecins résidents(es) grâce à leur mission
d'enseignement clinique dans les nombreuses disciplines de la médicales
et de la santé, ainsi que plusieurs projets de recherche clinique.
Les établissements sont :
l'Hôiptal
Charles-Lemoyne (voir aussi la
page suivante) :
Il offre également de nombreux autres soins spécialisés et
utraspécialisés tels que : clinique du sein, anticoagulothérapie,
endocrinologie, néphrologie, neurologie, maladies infectieuses,
chirurgie maxillo-faciale, chirurgie plastique, neurochirurgie,
chirurgie gynécologique, chirurgie orthopédique (incluant chirurgie
lombaire), chirurgie thoracique, chirurgie vasculaire, etc.
Institut universitaire
de cardiologie et de pneumologie de Québec IUPCQ : établissement
hospitalier spécialisé d'enseignement et de recherche affilié à
l'Université Laval; il offre aujourd’hui à la population locale,
régionale et suprarégionale du Centre et de l’Est du Québec, ainsi
qu’aux populations situées près des frontières avec le Nouveau-Brunswick
et les États-Unis, des soins et des services surspécialisés en
cardiologie, en pneumologie et en chirurgie de l’obésité.
On y
retrouve notamment : une clinique de dépistage des maladies valvulaires
cardiaques, une clinique d'insuffisance cardiaque, une clinique des
cardiopathies congénitales de l’adulte, une clinique d'insuffisance
rénale, une clinique du diabète, clinique d'asthme, une clinique
ambulatoire d'oncologie pulmonaire, une clinique d'oncologie thoracique,
une clinique d'apnée du sommeil, une clinique des maladies
intertitielles et hypertension pulmonaire, une clinique
d'anticoagulothérapie, le plus important service de chirurgie
bariatrique de l'Est du Québec, le seul service de chirurgie thoracique
et de chirurgie cardiovasculaire de l'Est du Québec et le Pavillon de
prévention des maladies cardiaques (PPMC).
le
Centre
hospitalier St-Mary : situé au coeur de Montréal, dans
l'arrondissement Côte-des-Neiges Notre-Dame-de-Grace, rattaché au CIUSSS
de l'Ouest-de-l'Île-de-Montréal, désigné comme Centre hospitalier
affilié universitaire à l'Université Mcgill et considéré comme l’un des
meilleurs hôpitaux de Montréal; il offre un programme de résidence
progressive et active en médecine familiale est l'un des plus importants
et des plus recherchés au Canada, dispense également de nombreux
services hautement spécialisés tels que la dialyse rénale, l'oncologie,
la médecine nucléaire, l'évaluation gériatrique et de psycho-gériatrie,
la tomodensitométrie, ainsi que les examens d’imagerie par résonance
magnétique, reconnu comme l'un des deux sites désignés pour la chirurgie
de la cataracte à Montréal. Enfin, son service des laboratoires est le
seul de la province à être accrédité par le College of American
Pathologists.
l'Hôpital du Sacré-Cœur
de Montréal (voir aussi la
page suivante) : situé dans l'arrondissement
Ahuntsic-Cartierville, il est désigné comme centre hospitalier
universitaire affilié à l'Université de Montréal, l'un des 4 principaux
centres ambulatoires de Montréal, l'un des 2 centres désignés et de
référence de traumatologie tertiaire pour tout le Grand Montréal et
l'Ouest du Québec et centre de référence suprarégional pour la
population du Grand Montréal dans de nombreux domaines.
Parmi
les soins utraspécialisés offerts, on y retrouve : seule unité de
médecine hyperbare pour l'Ouest du Québec, cliniques d'évaluation et
d'intervention des troubles du spectre de l'autisme TSA, clinique
pédopsychiatrique 0-5 ans, seule clinique des troubles du sommeil pour
enfants et adolescents au Québec, seule clinique des troubles du sommeil
pour adultes à Montréal, centre de référence suprarégional en santé
respiratoire (MPOC et asthme), une clinique spécialisée en neurologie et
neurophysiologie, important service de médecine nucléaire, des services
d'endoscopie nouvellement rénovés et parmi les plus modernes au Québec,
etc.
l'Hôpital
Maisonneuve-Rosemont (voir aussi la
page suivante) : situé dans l'arrondissement Rosemont–La
Petite-Patrie, centre hospitalier universitaire affilié à l'Université
de Montréal; il a acquis une réputation notable en certains domaines
particuliers : la santé mentale, l'ophtalmologie, la thérapie cellulaire
(traitement de la leucémie et d'autres formes de cancers grâce aux
cellules souches), cancérologie des sarcomes musculo-squelettiques et la
néphrologie.
Il offre notamment des soins ultraspécialisés dans
les domaines tels que : centre de gestion de la douleur, clinique
d'investigation en pneumologie, désigné « tête de réseaux » en
cancérologie (dans les domaines suivants : a thérapie
immunocellulaire,les sarcomes musculosquelettiques et la cancérologie
mammaire), clinique de greffe rénale, clinique de pédiatrie des
conditions rares (maladies orphelines), clinique des maladies
infectieuses, clinique de pédiatrie transculturelle pour enfants
immigrants et leur famille, ainsi que le Centre universitaire
d’ophtalmologie offrant des soins et services surspécialisés en santé de
l'oeil à la population du Québec.
Jewish General Hospital
: situé dans l'arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, cet
hôpital bilingue du centre-ouest de l'Île de Montréal est désigné comme
hôpital affilié universitaire à l'Université Mcgill. Il figure depuis 5
ans sur la liste des Meilleurs employeurs au Canada compilée par le
magazine Forbes.
On y offre de nombreux soins spécialisés et
ultraspécialisés tels que : le Centre de prévention cardiovasculaire, le
Centre du cancer Segal (l'un des plus importants au Québec), la Clinique
de ménopause McGill, le Centre d’oncologie pulmonaire Peter Brojde, le
Centre des voies respiratoires, laboratoire vasculaire, unité de de
psychothérapie comportementale, son centre provincial de référence en
ORL, chirurgie de la rétine, neuro-ophtalmologie, neurochirurgie,
chirurgie colectorale, chirurgie oncologique, chirurgie
cardiovasculaire, etc.
CHUS
(voir aussi la
page suivante) : situé à Sherbrooke en Estrie, il est le
plus grand établissement hospitalier à l'extérieur de Montréal et
Québec, principal hôpital d'enseignement et de recherche de l'Université
de Sherbrooke, constitue un centre de référence tertiaire pour les
régions de l'Estrie, du Centre-du-Québec et de l'est de la Montérégie,
ainsi que le centre de référence quaternaire en radiochirurgie par
scalpel gamma pour l'ensemble du Québec et l'est du Canada.
Parmi
les soins ultraspécialisés offerts, on retrouve : clinique de dépistage
en oncogénétique, clinique de fertilité et de procréation assistée,
clinique de la mémoire, clinique de dysfonction mictionnelle et des
troubles du plancher pelvien, clinique de diabète pédiatrique, clinique
d'obésité pédiatrique, clinique de paralysie cérébrale, clinique de
pédopsychiatrie, clinique de soins neuromusculaire et neurofibromatose,
clinique post-Lyme, chirurgie cardiaque, chirurgie thoracique, chirurgie
vasculaire, etc.
CHU de Québec
: plus important centre hospitalier universitaire (CHU) du Québec
affilié à l'Université Laval (réparti sur 4 sites) desservant la
population de tout l’est du Québec et du nord-ouest du
Nouveau-Brunswick, soit un bassin de près de 2 millions de personnes;
l’un des trois plus importants CHU au Canada; un des plus grands pôles
d'enseignement universitaire au Québec; l’une des plus grandes
maternités au Canada et l'un des plus imposants centres de recherche
médicale francophone en Amérique du Nord.
Le site CHUL
situé dans l'arrondissement de Ste-Foy, hébergeant notamment le réputé
Centre mère-enfant Soleil (CMES); offre des soins spécialisés et
surspécialisés notamment en soins de la mère et de l'enfant, en maladies
digestives, en douleur chronique et en procréation médicalement
assistée.
Le site Enfant-Jésus situé dans l'arrondissement La
Cité-Limoilou offre des soins spécialisés et surspécialisés notamment en
traumatologie (centre tertiaire pour tout l'Est du Québec), en soins
pour les grands brûlés (l'un des 2 seuls centres au Québec), en
neurosciences et en maladie du sang. De plus les évacuations
aéromédicales du Québec sont basées à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus.
Le
site Saint-François-d'Assise situé dans l'arrondissement La
Cité-Limoilou offre des soins spécialisés et surspécialisés notamment en
maladies vasculaires, en maladies urologiques et en obstétrique.
Le site Saint-Sacrement situé dans le quartier St-Sacrement
de l'arrondissement La Cité-Limoilou, offre des soins spécialisés et
surspécialisés particulièrement en ophtalmologie et en cancer du sein.
Le
site Hôtel-Dieu situé au cœur du Vieux-Québec, offrent des soins
spécialisés et surspécialisés particulièrement en cancérologie, en
néphrologie et en thérapie génique. Ces services seront réaménagés dans
le nouveau Complexe hospitalier sur le site Enfant-Jésus.
CHU Sainte-Justine
: seul établissement de santé dédié exclusivement aux enfants, aux
adolescentes et adolescents et aux mères au Québec affilié à
l'Université de Montral; offre des soins tertiaires et quaternaires en
pédiatrie et en obstétrique regroupent toutes les spécialités de la
chirurgie pédiatrique, incluant la chirurgie cardiaque, vasculaire et la
neurochirurgie; toutes les spécialités pédiatriques, la transplantation
d'organes, l'oncologie, l'hématologie et la pédopsychiatrie.
Il
est un centre de traumatologie pédiatrique de niveau 1, qui reçoit des
enfants dans un état grave provenant de tout le Québec. C'est également
un centre de référence pour la détection de la surdité, la prise en
charge de la douleur chronique et des troubles de développement de
l'enfant.
Il détient une expertise unique dans la génétique, la
biologie moléculaire et la pharmacologie clinique permettant une
médecine personnalisée pour les mères et les enfants.
CHUM :
l'un des plus importants complexes hospitaliers en Amérique du Nord;
offre des soins spécialisés et surspécialisés à toute la population
québécoise.
Il dispose notamment d'un centre d'expertise sur les
maladies complexes, un centre d'expertise sur le diabète, un centre de
référence pour les grands brûlés, un centre d’expertise en
neurofibromatose, un centre d'expertise en ophtalmologie, un centre
d'expertise en neurosciences, un centre d'expertise en oncologie, des
laboratoires avec chaînes robotisées, etc.
CUSM l’un des plus
modernes et des plus grands réseaux de santé universitaires en Amérique
du Nord réparti sur 7 sites situés dans l'arrondissement
Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce; offre des soins tertiaires et
quaternaires spécialisés et surspécialisés à la population montréalaise
et québécoise.
Site Glen : comprend le
Centre de cancérologie Les Cèdres, le plus grand centre de
cancérologie au Québec doté d'installations les plus modernes et
spacieuses; l'Institut
thoracique de Montréal, un centre d’expertise clinique,
de recherche et d’enseignement dans le domaine des maladies
respiratoires (asthme, tuberculose, fibrose kystique, apnée du sommeil,
etc.) et des soins complets aux patients atteints d’un cancer du poumon,
de l’œsophage ou de l’estomac; l'Hôpital
de Montréal poue enfants, axé sur les soins de troisième
et quatrième ligne aux nouveau-nés, aux enfants et aux adolescents de
moins de 18 ans desservant 63 % de la population géographique du Québec.
Bien qu'intégré au CUSM, il dispose de sa propre administration et de
son propre conseil consultatif; l'Hôpital Royal Victoria, offre
une multitude de soins spéialisés et surspécialisés pour les adultes
tels que : le centre des maladies cardiovasculaires, un centre
secondaire et tertiaire agréé de traitement des accidents vasculaires
cérébraux (AVC), clinique des maladies virales chroniques, clinique des
troubles congénitaux de la coagulation (clinique de l’hémophilie) et les
cliniques des hémoglobinopathies, clinique des troubles hématologiques
lors de la grossesse, une l'unité de plasmaphérèse du CUSM la plus
active au Canada, une clinique de néphrologie disposant de 3 centres de
dialyse et un important programme de greffe d rein, une clinique d'ORL
réputée, etc.
Site Hôpital
général de Montréal : comprend le
Centre de
traumatologie David S. Mulder, l’un des trois seuls centres
tertiaires de traumatologie pour adultes au Québec, et le seul au
centre-ville de Montréal et les plus achalandés de la province; une
clinique d'orthopédie-oncologie et un centre suprarégional d'oncologie
musculosquelettique.
Site Neuro : l'Institut
neurologique de Montréal offre des soins de haut calibre aux
patients atteints de maladies neurologiques comprenant : clinique de
neurodéveloppement Azrieli, clinique des tumeurs cérébrales, clinique de
neurochirurgie, clinique de neuropsychiatrie, clinique de
neuropsychologie, clinique post-polio, clinique d'épilepsie, clinique de
scélose en plaques, clinique de SLA, cliniques des maladies
neuromusculaires, clinique des troubles du mouvement et clinique des
troubles cognitifs.
Site
Institut Allan Memorial : accueille des patients et offre des
soins spécialisés aux personnes souffrant d’une grande diversité de
troubles de santé mentale. On y retrouve une clinique des troubles de
l'humeur et de l'anxiété, une unité de thérapie cognitive du
comportement, un centre d’intervention précoce contre la psychose, un
service de soins tertiaires sur la schizophrénie, une clinique du
trouble limite, une unité de psychomodulation et un centre d'orientation
sexuelle.
Site
Centre de la
reproduction du CUSM : offre des services de procréation
médicalement assistée (PMA) et autres traitements en fertilité.
Site Clinique d'ophtalmologie
adulte du CUSM :offre des soins auprès de patients présentant
des problèmes ophtalmologiques complexes, en effectuant des diagnostics
avancés et des procédures chirurgicales mineures et majeures.
CISSS de
l'Abitibi-Témiscamingue
(Hôpital en santé mentale de Malarctic)
: offre des soins psychiatriques aigus, soins psychiatriques longue
durée, en services externes en santé mentale et en psychiatrie légale
pour la population de l'ensemble de l'Abitibi-Témiscamingue, de la
Côte-Nord et du Nord-du-Québec.
CISSS de
l'Outaouais (Hôpital
de santé mentale Pierre-Janet) : seul hôpital de santé mentale
de l'Outaouais, affilié à l'Université McGill, à l'Université d'Ottawa
et à l'Université du Québec en Outaouais UQO; on y offre des soins en
psychiatrie externe adulte, psychiatrie chronique adulte,
pédopsychiatrie, gérontopsychiatrie et psychiatrie médico-légale pour
toute la population de l'Outaouais, mais également des
Hautes-Laurentides.
l'Institut
universitaire de gériatrie de Montréal (CIUSSS du
Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal) : seul pôle de référence et
d’innovation sur le vieillissement, au Québec et à l’international qui
se spécialise dans la santé des personnes aînées.
Il dispose
d'unités pour clientèle âgée nécessitant des soins de courte durée,
d'unités pour clientèle âgée en perte d'autonomie nécessitant des soins
de d'une unité pour clientèle avec déficits cognitifs présentant des
comportements d’errance et d'une unité répondant à des besoins
particuliers de résidents avec troubles neurocognitifs.
Institut universitaire
de cardiologie et de pneumologie de Québec IUPCQ : établissement
hospitalier spécialisé d'enseignement et de recherche affilié à
l'Université Laval; il offre aujourd’hui à la population locale,
régionale et suprarégionale du Centre et de l’Est du Québec, ainsi
qu’aux populations situées près des frontières avec le Nouveau-Brunswick
et les États-Unis, des soins et des services surspécialisés en
cardiologie, en pneumologie et en chirurgie de l’obésité.
On y
retrouve notamment : une clinique de dépistage des maladies valvulaires
cardiaques, une clinique d'insuffisance cardiaque, une clinique des
cardiopathies congénitales de l’adulte, une clinique d'insuffisance
rénale, une clinique du diabète, clinique d'asthme, une clinique
ambulatoire d'oncologie pulmonaire, une clinique d'oncologie thoracique,
une clinique d'apnée du sommeil, une clinique des maladies
intertitielles et hypertension pulmonaire, une clinique
d'anticoagulothérapie, le plus important service de chirurgie
bariatrique de l'Est du Québec, le seul service de chirurgie thoracique
et de chirurgie cardiovasculaire de l'Est du Québec et le Pavillon de
prévention des maladies cardiaques (PPMC).
CHU Sainte-Justine
: seul établissement de santé dédié exclusivement aux enfants, aux
adolescentes et adolescents et aux mères au Québec affilié à
l'Université de Montral; offre des soins tertiaires et quaternaires en
pédiatrie et en obstétrique regroupent toutes les spécialités de la
chirurgie pédiatrique, incluant la chirurgie cardiaque, vasculaire et la
neurochirurgie; toutes les spécialités pédiatriques, la transplantation
d'organes, l'oncologie, l'hématologie et la pédopsychiatrie.
Il
est un centre de traumatologie pédiatrique de niveau 1, qui reçoit des
enfants dans un état grave provenant de tout le Québec. C'est également
un centre de référence pour la détection de la surdité, la prise en
charge de la douleur chronique et des troubles de développement de
l'enfant.
l'Institut
de cardiologie de Montréal : le premier hôpital spécialisé en
cardiologie au Canada et l’un des plus importants au monde affililié à
l'Université de Montréal, détient aussi le plus grand centre de médecine
préventive au Québec. Il offre des soins ultraspécialisés, de
l'enseignement et de la recherche sur les maladies cardiovasculaires.
On y retrouve plusieurs cliniques spécialisées telles que : urgence
psychiatrique, clinique d’arythmie, clinique d’insuffisance cardiaque,
clinique de cardiomyopathies infiltratives, Clinique de diabète,
clinique de fibrillation auriculaire, Clinique de génétique
cardiovasculaire, clinique de thérapie valvulaire trans-cathéter (TVT),
clinique de traitement du tabagisme, clinique de transplantation et de
dispositif d’assistance ventriculaire, clinique de chirurgie, centre de
réadaptation psychiatrique, etc.
l'Institut
universitaire en santé mentale de Québec (voir aussi la
page suivante) : situé dans l'arrondissement Beauport à
Québec et rattaché au CIUSSS de la Capitale Nationale, cet hôpital
spécialisé en santé mentale affilié à l'Université Laval offre des soins
spécialisés et ultraspécialisés à des adultes vivant avec des troubles
de santé mentale
On y retrouve des cliniques spécialisées telles
que : clinique des troubles anxieux et de l'humeur, clinique de troubles
psychotiques, clinique des troubles sévères de la personnalité, clinique
de psychiatrie périnatale, clinique de gérontopsychiatrie, clinique de
déficience intellectuelle / TSA ave psychopathologie, clinique de
dépendances et toxicomanies, clinique d'évaluation en troubles du
comportement sexuel et clinique de psychiatrie légale.
l'Institut
universitaire de santé mentale de Montréal : situé dans
l'arrondissement Mercier–Hochelaga-Maisonneuve à Montréal et
rattaché au CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal, cet établissement de
soins spécialisés et ultraspécialisés, denserignement et de recherche en
santé mentale est affilié à l'Université de Montréal. Il offre des soins
spécialisés et ultraspécialisés auprès des personnes adultes ayant des
problèmes de santé mentale sévères.
On y retrouve plusieurs
cliniques spécialisées telles que : urgence psychiatrique, clinique
externe Connec-T des premiers épisodes psychotiques, clinique des
troubles anxieux et de l'humeur, cliniques des dépendances, clinique des
troubles concomitants, clinique des troubles psychotiques, clinique des
troubles relationnels et de la personnalité, cliniques des troubles
alimentaires, clinique externe en suivi intensif dans le milieu et
centre de réadaptation psychiatrique.
l'
On y retrouve plusieurs cliniques
spécialisées telles que : urgence psychiatrique, clinique des troubles
de l'humeur, clinique des troubles psychotiques, clinique des troubles
de l'alimentation, clinique de déficience intellectuelle et troubles du
spectre de l'autisme TSA, clininque de gérontopsychiatrie, clinique de
pédopsychiarie, centre d'évaluation, d'intervention et de prévention des
psychoses (PEPP-Montréal) et centre de réadaptation psychiatrique.
Hôpital en santé mentale Rivière-des-Prairies (voir aussi la
page suivante) : situé dans l'arrondissement
Rivière-des-Prairies, rattaché au CIUSSS du Nord-de-l'Île-de-Montréal et
affilié à l'Université de Montréal, le seul hôpital en santé mentale
pédiatrique au Québec offre des services et des soins spécialisés et
surspécialisés auprès d'enfants et d'adolescents ayant des troubles de
santé mentale ou des troubles du spectre de l'autisme TSA.
On y
retrouve des cliniques spécialisées telles que : urgence
pédopsychiatrique, clinique du premier épisode psychotique, clinique
services intégrés ambulatoires de pédopsychiatrie, clinique d'évaluation
diagnostique en troubles du spectre de l'autisme, clinique
d'intervention en troubles du spectre de l'autisme (traitement des
comorbidités psychiatriques), clinique pédopsychiatrique d'interventions
ciblées, et clinique d'évaluation diagnostique des troubles du sommeil
et consultations génétiques.
Institut national de
psychiatrie légale Philippe-Pinel : hôpital universitaire affilié à
l’Université de Montréal offrant des services surspécialisés auprès es
personnes ayant des troubles mentaux associés à des comportements
violents.
Es-tu prêt à relever des défis au sein d'une équipe dynamique en recherche
médicale ?
Va découvrir les centres de recherche clinique des universités tels que
:
Centre de recherche en
santé durable de l'Université Laval,
Centre de recherche sur le cancer de l'Université Laval,
Centre de recherche translationnelle sur le cancer de Mcgill,
Institut de
recherche sur le cancer de l'Université de Sherbrooke,
Centre de
recherche de l'Institut de cardiologie de Montréal,
Centre
de recherche de l'Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de
Québec IUCPQ,
Centre de recherche sur le vieillissement de l'Université de Sherbrooke,
Institut sur le
vieillissement et la participation sociale des aînés,
Centre d'excellence sur le vieillissement de Québec,
Centre de recherche
de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal,
Institut
universitaire de première ligne en santé et services sociaux du CIUSSS de
l'Estrie-UdeS,
Institut
nordique de recherche en environnement et en santé au travail INREST,
Centre RBC d'expertise universitaire en santé mentale de l'UdeS,
Institut universitaire sur les dépendances RISQ de l'UQTR,
Centre de recherche en santé mentale Douglas,
Centre
de recherche de l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal,
Institut de recherche Bruyère sur le vieillissement d'Ottawa,
Centre de recherche CERVO
de l'Université Laval,
Centre de recherche de l'Hôpital
Charles-Lemoyne,
Centre de recherche du St-Mary's Hospital Centre,
Centre interdisciplinaire pour la santé des Noir.e.s. de l'UOttawa,
Institut Lady Davis
pour la recherche médicale,
Centre de recherche
du CHUS,
Centre de
recherche du CHU de Québec,
Centre de
recherche du CHU Sainte-Justine,
Centre de
recherche du CHUM,
Institut de recherche en
santé de Mcgill.
Héma Québec : est un organisme sans but
lucratif dont la mission est de répondre avec efficience aux besoins de
la population québécoise en sang et autres produits biologiques
d’origine humaine de qualité
Il a pour mission de répondre avec efficience aux besoins de la
population québécoise en sang et autres produits biologiques d’origine
humaine de qualité.
Il livre annuellement près de 800 000 produits biologiques d’origine
humaine aux hôpitaux du Québec pour subvenir aux besoins des malades et
offre des services d’analyses spécialisées à ses partenaires du système
de santé.
Pour plus de détails, consulte le site d'Héma-Québec.
Dans les Forces armées
: si tu aimes relever de nombreux défis stimulants, si tu es en très
bonne condition physique, si tu es attiré par l'aide humanitaire et les
voyages, les conditions difficiles et exigeantes de travail dans des
milieux de travail peu conventionnels (dans une tente sur un camp
militaire, sur un terrain d'aviation, à bord des navires) ne te font pas
peur, c'est sûrement cette carrière au sein des Forces canadiennes
(Force régulière ou Réserve) qu'il te faut.
Tu pourrais être affecté(e) à bord d'un navire (note : le Canada ne
dispose pas de navire-hôpital comme la USNavy) ou d'un avion en
évacuation aéromédicale ou au sein d'unité ambulance de campagne ou d'un
hôpital de campagne lors d'une mission n'importe où à l'étranger.
En temps de paix, tu seras affecté(e) au sein d'une clinique médicale ou
d'un hôpital de l'une des bases militaires des Forces canadiennes
n'importe où au Canada.
Consulte le site du
Un(e) technicien(ne) en travaux pratiques a la responsabilité
Évidemment, on y retrouve également des enseignantes et des
enseignants(es) en soins infirmiers détenant une expérience solide de la
pratique infirmière afin de préparer efficacement la relève de la
pratique infirmière peut importe le milieu pratique qui sera choisi.
Pou plus de détails, consulte l'Association
des enseignantes et enseignants en soins infirmiers des cégeps du Québec
et la Fédération
des cégeps du Québec.
Mais qu’en
est-il de l'infirmier(ère»)-évaluateur(trice) ?
Lors qu'un accidenté de la route, un
accidenté du travail, une victime d'actes criminel ou un ancien
combatttant fait une demande d'indemnisation,
l'infirmier(ère)-évaluateur(trice) examine et analayse les rapports
médicaux afin d'effectuer un compte rendu au médecin évaluateur(trice)
qui se
prononcera sur la nature des blessures liées à cet accident..
Il estime
l’incapacité fonctionnelle qui en résulte, juge des traitements en
cours, suit le processus de réadaptation et analyse les séquelles tant
médicales, orthopédiques que psychologiques.
Tu es reconnu(e) pour ses
qualités d’analyse, de synthèse et de vulgarisation de l’information
médicale ?, tu es intéressé(e) à participer à de la formation continue des
plus étoffée et des avantages sociaux concurrentiels (temps plein ou
temps partiel, vacances, congés de maladie, assurances et régime de
retraite), fait partie de la fonction publique québécoise ou de la
fonction publique fédérale.
On le retrouve au sein de plusieurs
organismes gouvernementaux, notamment ceux accordant des prestations
gouvernementales tels que : RAMQ, SAAQ, CNESST, Retraite Québec, Emploi
et Solidarité sociale, Emploi et Développement social Canada, Anciens
Combattants Canada, Citoyenneté, Réfugiés et Immigration Canada,
Ministère Santé et sERvices sociaux Québec et Ministère Santé Canada.
Pour plus de détails, consulte les organismes internationaux énumérés
dans la section "employeurs potentiels".
Les cliniques privées offrent un horaire plus fexible, une
approche relation
infirmier-patent
plus personnalisée,
une
meilleure conciliation travail-famille,
le temps supplémentaire est plutôt rare,
moins de stress et moins d'urgences,
un salaire plus élevé ....
mais
aussi quelques désavantages tels que :
moins d'opportunités d'utiliser des équipements de
fine pointe que l'on retrouve dans les hôpitaux, certains actes médicaux
ne sont
pas
possibles en clinique privée, peu de possibilité de t'occuper de cas avec une
équipe interdisciplinaire de
soins,
etc.
Ton
poura ouvrir ton propre cabinet conseil ou œuvrer au sein d'une clinique
privée en médecine médico-administrative ou travailler au sein d'une
grande compagnie d'assurances de personnes.
Chaque CISSS comprend des hôpitaux de soins généraux et spécialisés dont
1 avec vocation régionale, des centres hospitaliers de soins de longue
durée CHSLD, des CLSC avec plusieurs points de services, des Groupes de
médecine familiale GMF, un centre de réadaptation en déficience
physique, un centre de réadaptation en dépendances, un centre de
réadaptation en déficience intellectuelle et troubles envahissants du
développement CRDI-TED, des centres jeunesse, un centre de planification
des naissances pour la plupart, un centre info-santé, ainsi qu'une
direction régionale de la santé publique desservant l'ensemble de la
population de la région.
Ils regroupent un total de 48 hôpitaux de soins généraux et spécialisés
(dont 15 ayant une vocation régionale et 18 ayant une double vocation
hôpital-CHSLD), 2 centres hospitaliers affiliés universitaires de soins
généraux et spécialisés avec vocation régionale (Hôtel-Dieu de Lévis et
Charles Lemoyne), plus de 75 CLSC, près de 200 CHSLD, 17 centres de
réadaptation en déficience physique, 8 centres de planification des
naissances, 13 CRDI-TED, 13 centres de réadaptation en dépendances, 13
centres jeunesse, ainsi que 11 directions régionales de la santé
publique.
Chaque CIUSSS comprend les mêmes types d'installations que les CISSS,
mais leur particularité est qu'il comprend un hôpital de soins généraux
et spécialisés et certaines autres installations (CLSC, GMF, etc.)
détenant une affiliation avec l'une des facultés de médecine du Québec
(Montréal, McGill, Laval ou Sherbrooke), ainsi que des instituts
universitaires de santé pour 4 des 9 CISSS (Institut universitaire de
santé mentale de Montréal, Institut universitaire de santé mentale
Douglas, Institut universitaire de santé mentale de Québec, Institut
universitaire de gériatrie de Montréal et Institut universitaire de
gériatrie de Sherbrooke) et enfin, un centre hospitalier universitaire
(CHUS rattaché au CISSS de l'Estrie).
Ils regroupent 1 centre hospitalier universitaire (CHUS), 6 centres
hospitaliers affiliés universitaires CHA, 25 hôpitaux de soins généraux
et spécialisés (dont 2 ayant une vocation régionale), 3 instituts
universitaires de santé mentale, 2 instituts universitaires de
gériatrie, 8 centres de réadaptation en déficience physique ou
sensorielle, 9 centres de réadaptation en dépendances, 9 CRDI-TED, 50
CLSC, une centaine de CHSLD, 6 centres de planification des naissances,
9 centres jeunesse, 4 centres info-santé, ainsi que 4 directions
régionales de la santé publique.
p
Les infirmières et infirmiers en CLSC en milieu urbain peuvent être appelés à desservir sur place ou à domicile des clientèles diversifiées comme des personnes âgées vivant seules à domicile, des mères célibataires ayant besoin d'un suivi post-accouchement, des malades en soins palliatifs à la maison, des immigrants ou réfugiés, des personnes marginalisées, etc.
Dans les CHSLD en milieu urbain; on retrouve des établissements de toute taille, des petits jusqu'aux grands établissements pouvant accueillir notamment des bénéficiaires avec troubles cognitifs sévères, des malades incurables
Au sein des centres de réadaptation en déficience physique; on y offre des services de première ligne en réadaptation intensive dans un but du recouvrement de l'autonomie à une clientèle adulte qui présente une déficience motrice ou psychomotrice auprès de la population desservie par le CISSS ou le CIUSSS dont l'établissement fait partie.
L'infirmière ou l'infirmier en réadaptation est appelé(e) à assister l’usager qui présente une déficience physique pour lui permettre de passer de l’incapacité à réaliser ses soins et certaines activités à une reprise totale ou partielle de sa routine quotidienne dans un milieu où l’humanisation des soins est mise de l’avant avec l'opportunité de pratiquer la médecine interne en plus de développer une expertise en réadaptation physique.
Au sein des centres de réadaptation en dépendances; offrent des programmes de réadaptation externe adaptés aux étapes de vie spécifiques de la clientèle auprès d'une clientèle variée (jeunes, adolescents, adultes, personnes âgées, itinérants, travailleurs du sexe, personnes judiciarisées) qui connaissent des difficultés avec l'alcool, les médicaments, les drogues ou le jeu, ainsi qu'à l'entourage de ces personnes.
Les infirmières et infirmiers en réadaptation en dépendances prodiguent les soins et traitements infirmiers et médicaux en fonction des besoins bio-psychosociaux d’usagers afin de les aider à assurer leur réadaptation et maintenir leur santé.
Les infirmiers(ère) ayant des habiletés aîgues en accueil empathique et non jugeant et une grande facilité de travail en équipe interdisciplinaire (médecins, travailleurs sociaux, criminologues, psychoéducateurs, psychologues) est donc la pierre angulaire de l’approche avec cette clientèle.
Au sein des hôpitaux de soins généraux et spécialisés; étant rattaché à un centre intégré universitaire de santé de services sociaux CIUSSS, il offre des soins généraux et spécialisés auprès de la population de son territoire, des soins spécialisés et ultraspécialisés par sa vocation régionale auprès de l'ensemble de sa population de la région et souvent, auprès de celle de régions avoisantes.
Donc, en tant que centre suprarégional de référence, en plus de sa clientèle locale, il reçoit des patients par un(e) médecin de famille ou un(e) médecin spécialiste de la région ou d'une région voisine (et parfois même, de partout dans la province) afin de subir des examens et/ou des traitements en lien avec services spécialisés et ultraspécialisés offerts par l'établissement comme par exemple : oncologie chirurgicale, chirurgie de la rétine, neuro-ophtalmologie,
De plus, le personnel infirmier des unités spécialisés ou ultraspécialisés peuvent être appelés(es) à participer à la réalisatioan de projets de recherche clinique en collaboration avec des médecins chercheurs du centre de recherche hospitalier.
Au sein d'un institut universitaire de santé mentale est établissement de soins spécialisés et ultraspécialisés en santé mentale rattaché à un centre intégré universitaire de santé et de services sociaux CIUSSS.
Il offre des soins spécialisés et ultraspécialisés dans le domaine de la santé mentale auprès des adultes et s'il y a lieu, auprès d'enfants et d'adolescents (dépendances, réaadaptation, troubles anxieux et l'humeur, troubles psychotiques, troubles de la personnalité, etc.). Il compte sur l'expertise d'infirmiers(ères) et de médecins ayant acquis des compétences spécifiques auprès de cette clientèle particulière.
De plus, le personnel infirmier des unités spécialisés ou ultraspécialisés peuvent être appelés(es) à participer à la réalisatioan de projets de recherche clinique en santé mentale en collaboration avec des médecins chercheurs du centre de recherche hospitalier.
Au sein d'un einstitut universitaire de gériatrie est établissement de soins spécialisés et ultraspécialisés en gériatrie rattaché à un centre intégré universitaire de santé et de services sociaux CIUSSS.
Il offre des soins spécialisés et ultraspécialisés auprès des personnes âgées souffrant de troubles médicaux complexes (Alzheimer et autres démences, dysphagie, douleur chronique, troubles de santé mentale, etc.).
De plus, le personnel infirmier des unités spécialisés ou ultraspécialisés peuvent être appelés(es) à participer à la réalisatioan de projets de recherche clinique en gérontologie et gériatrie en collaboration avec des médecins chercheurs du centre de recherche hospitalier.
Les cenres hospitaliers ultra-spécialisés indépendants : sont des établissements hospitaliers consacrés aux soins ultraspécialisés, à la recherche, à l’enseignement, à la prévention, à la réadaptation qui sont indépendants d'un CISSS ou d'un CIUSSS agissant comme centre de référence provincial et même canadien (notamment en provenance du Nouveau-Brunswick) et ayant une vocation universitaire.
On y retrouve :
L'Institut de cardiologie de Montréal qui offre des soins ultraspécialisés dans les soins, la recherche, l'enseignement et la prévention des maladies cardiaques. Il voit aussi au développement et à l'évaluation de nouvelles technologies en cardiologie.
Reconnu pour ses expertises en cardiopathies congénitales, chirurgie aortique, génétique cardiovasculaire, douleur cardiaque chronique, transplantation cardiaque, l'insuffisance cardiaque, valvuloapathies, technologies cardiaques, etc.
Il compte plus de 600 infirmières et infirmières dont la majorité sont cliniciens(nes) spécialisés(es) ou IPS en soins cardiovasculaires travaillant en étroite collaboration interdisciplinaire avec des inhalothérapeutes, psychologues, ergothérapeutes, physiothérapeautes, pharmaciens, nutritionnistes, kinésiologues et de médecins spécialistes (anesthésiologistes, cardiologues, endocrinologues, chirurgiens cardiaques, etc.).
L'Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec IUCPQ; seul hôpital au Canada à offrir, sous un même toit, des soins et des services spécialisés et ultraspécialisés en cardiologie, en pneumologie et en chirurgie de l’obésité.
Reconnu pour ses expertises en cardiologie métabolique, cardiopathies congénitales, valvulopathies, transplantations cardiaques, cancer du poumon, cancer de l'œsophage, hypertension pulmonaire, obésité, chirurgie thoracique et chirurgie cardiaque, etc.
Il compte près de 800 infirmières et infirmiers appelés à travailler en étroite collaboration avec une équipe interdisciplinaire d'inhalothérapeutes, de perfusionnistes cliniques, de physiothérapeutes, d'ergothérapeutes, de kinésiologues, de nutritionnistes, de psychologues, de pharmaciens et de médecins spécialistes (cardiologues, pneumologues, urgentologues, intensivistes, physiatres, anesthésiologistes, chirurgiens baristiques, chirurgiens cardiaques, chirurgieins vasculaires, etc.).
L'Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel seul hôpital au Canada à fournir l'ensemble des services spécialisés en psychiatrie légale offrant des soins ultraspécialisés afin d'évaluer et traiter les patients présentant un risque élevé de comportements violents.
Il est composé de 170 infirmières et infirmières œuvrant avec une équipe multidisciplinaire de psychiatres, de psychologues, de criminologues, d’ergothérapeutes, de travailleurs sociaux, d’art-thérapeutes, de sociothérapeutes, d’intervenants spécialisés en pacification et en sécurité, d’infirmiers et d’infirmières.
Au sein des centres hospitaliers universitaires CHU est un complexe hospitalier de soins indépendant des CISSS et des CIUSSS, affilié à l'une des 3 facultés de médecine du Québec.
En tant que centre de référence suprarégional et provincial; on y offre une grande variété de soins spécialisés et ultraspécialisés regroupés en de nombreuses unités dans un contexte d'enseignement universitaire où les infirmiers et infirmiers auront à côtoyer de nombreux médecins résidents de différentes spécialités.
Plusieurs des CHU détiennent des unités ou cliniques spécialisés uniques au Québec telles que des unités de traumatologie tertiaire (polytramatisés), des unités des grands brûlés, des unités de transplalntation, des unités spécialisées de cancérologie, des unités de soins pédiatriques spécialisés, etc.
De plus, le personnel infirmier des unités spécialisés ou ultraspécialisés peuvent être appelés(es) à participer à la réalisatioan de projets de recherche clinique en collaboration avec des chercheurs et des médecins chercheurs du centre de recherche hospitalier parmi les plus importants au pays.
Les infirmières et infirmiers au sein de ces établissements effectuent surtout la prévention et de l'éducation à la santé auprès de la population (consultations sur rendez-vous pour des suivis de santé, vaccinations, éducation à la sexualité, etc.).
Les autres avantages sociaux du secteur public (régime d'assurance-santé, congés payés, régime de retraite, etc.) s'appliquent également.
Dans la fonction publique fédérale : les infirmiers civils de la Défense nationale prodiguent les soins primaires aux membres des Forces armées canadiennes (FAC) malades ou blessés. Ils travaillent dans des établissements comme les centres de santé des garnisons, des bases ou des escadres n'importe où au Canada (dont Ottawa, Petawawa près de Pembroke, Victoria, Edmonton, Calgary, Halifax, Québec, Bagotville près de Saguenay, Borden près de Barrie, .etc.).
Les infirmières qui travaillent dans des communautés éloignées ou isolées des Premières Nations (principalement au Nord de l'Ontario, du Manitoba, de l'Alberts ou du Québec) sont le principal personnel soignant de ces régions, ce qui leur procure une autonomie peu commune dans un milieu urbain ou hospitalier. Elles travaillent dans des postes de soins infirmiers composés de deux à neuf infirmières au sein d'une équipe multidisciplinaire.
L'une des meilleures rémunération au pays, un régime d'assurance-santé les plus complets, un régime de retraite fort avantageux, des primes, des indemnités, de la formation continue, la possibilité d'obtenir un emploi n'importe où au pays sont parmi les nombreux avantages offerts par le Gouvernement du Canada.
Les Forces canadiennes : les infirmiers civils de la Défense nationale prodiguent les soins primaires aux membres des Forces armées canadiennes (FAC) malades ou blessés. Ils travaillent dans des établissements comme les centres de santé des garnisons, des bases ou des escadres n'importe où au Canada, ou encore dans des installations opérationnelles comme les hôpitaux de campagne. Ils travaillent avec d’autres membres de l’équipe de soins de santé selon un modèle axé sur la collaboration.
Comme dans un hôpital normal, ils accomplissent des quarts de travail de huit ou douze heures. Ils peuvent aussi être appelés à aider lors des exercices, des vols d’évacuation médicale et des urgences, tels que des écrasements d’avion.
Lorsqu’ils sont déployés dans des unités opérationnelles en appui aux opérations militaires à l’étranger, les infirmiers vivent et travaillent dans le même environnement que les membres des FAC qu’ils traitent.
Un grade d'officier (tout comme les médecins, les dentistes ou les pharmaciens), une rémunération concurrentielle, un régime de santé tout compris (médicaux, optométriques, dentaires, etc.) fournis par le Service de santé des Forces canadiennes, un régime de retraite bien particulier, celui des Anciens Combattants, de la formation continue gratuite, des possiblités d'avancement avec davantage de responsabilités de commandement d'unité, de nombreuses occasions de voyager et de participer à des missions d'aide humanitaire, de soutien de la paix et autres.
57 centres hospitaliers de soins de longue durée CHSLD privés conventionnés répartis dans 11 régions du Québec
plus de 735 résidences privées pour aînés autonomes ou semi-autonomes
plus de 820 cliniques privées de médecine générale et familiale dont plus de 60 % emploient des infirmiers
une centaine de coopératives de soins et services à domicile dans presque toutes les régions du Québec
plus de 80 cliniques privées en soins infirmiers
plus de 70 cliniques privées en médecine esthétique
51 coopératives de santé multidisciplinaires réparties dans 10 régions
une quarantaine de cliniques privées en chirurgie esthétique
32 maisons de soins palliatifs privées
12 cliniques privées en fertilité
12 écoles primaires/secondaires spécialisées offrant des services d'adaptation scolaire
10 entreprises privées de recherche clinique pour l'industrie pharmaceutique
2 centres de réadaptation privés pour adultes (Hôpital Marie-Clarac et Hôpital de réadaptation Villa Medica)
1 centre de réadaptation privé pour enfants et adolescents (Hôpital Shriniers de Montréal)
Les groupes de médecine familiale GMF, cliniques privées de soins infirmiers, les cliniques médicales, pharmacies et CHSLD privés de petite ou de taille moyenne; offrent l'avantage d'une dynamique de travail au sein d'une petite équipe qui encourage la polyvalence dans les tâches, une étroite collaboration interprofessionnelle entre les professionnels, un contact plus privilégié avec la clientèle, etc.
Au sein des centres de soins palliatifs privés; ce sont des des organismes privés à but but non lucratif OBNL gérés par des conseils d’administration autonomes qui font une large place à la contribution de bénévoles. Elles offrent des soins palliatifs aux personnes en phase avancée de leur maladie et de soutenir leurs proches jusque dans la phase du deuil.
Elles proposent un substitut au lit en établissement de santé et non un substitut au domicile en offrant des soins et les services donnés en maison de soins palliatifs s’apparentent à ceux d’une unité de soins palliatifs en CHSGS ou en CHSLD.
Les infirmières et infirmières en soins palliatifs prennent en charge la souffrance totale dans ses différentes composantes (physique, psychologique, sociale et spirituelle) fait en effet grandement partie du rôle propre de l'infirmier dans l'accompagnement en fin de vie.
Les agences privées de soins infirmiers; offrent une rémunération concurrentielle par rapport au réseau public, une flexibilité dans le choix des horaires de travail, de la flexibilité pour la conciliation travail/études ou la conciliation travail/famille, des activités de formation continue rémunérées, la possibilité de travailler dans des établissements de soins et types de milieux différents (soins à domicile, unité d'obstétrique, unité des soins aigus, unité d'urgence, CHSLD, etc.).
Comme toutes agences de placement, ce sont les employeurs qui paient l'agence afin d'obtenir un infirmier au sein de leur établissement. Pour eux, l'avantage est qu'ils n'ont pas à effectuer des retenues sur la source couteuses, payer pour des avantages sociaux, etc puisque l'employé travaille pour l'agence.
Les organisations médicales humanitaires fournissent des soins médicaux et des services humanitaires d’urgence dans des pays touchés par des crises, des conflits ou des catastrophes naturelles.
Elles emploient des infirmières et infirmières à temps complet et à temps complet et accueille du personnel infirmier désirant participer à un projet humanitaire de manière bénévole.
Sources :
À peu près tous les secteurs sont en pénurie, mais plus particulièrement les secteurs suivants : gériatrie (soins aux personnes âgées autant dans le secteur public que privé), en soins de première ligne (en CLSC, clinique privée, hôpital de soins généraux, etc.); en soins critiques (urgence et soins intensifs); en santé mentale (surtout en clinique externe et en soins de première ligne nécessitant pas d'hospitalisation); en soins palliatifs et de fin de vie (personnes atteintes de cancer en phase terminale)
Il y a présentement une importante pénurie d’infirmiers et d’infirmières qui risque d'augmenter au cours des prochaines années à cause des départs à la retraite de nombreux personnels infirmiers, l'augmentation des naissances et le vieillissement de la population
Selon les données du Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec; il manque à court terme plus de 4 000 infirmières et infirmiers dans le réseau public et dans le réseau privé afin de combler l'ensemble des besoins au cours des prochaines années.
D’ici cinq ans, ce nombre grimpera à 28 000.
Au Québec, la profession infirmière détient, avec les médecins, le champ d’exercice le plus important avec 17 activités réservées. Donc, un vaste choix de domaines de pratique et de milieux de pratique et de régions de pratique pouvant combler les intérêts sont proposés aux futures infirmières e aux futurs infirmiers.
Les conditions salariales sont très bonnes même dans le secteur privé.
SITUATIONS RÉGIONALES :
Que ce soit dans les grands centres comme Montréal, Québec, Longueuil, Gatineau ou Sherbrooke que dans les régions éloignées ou isolées, les besoins sont forts importants partout dans tous les types d'établissements et toutes les régions.
Dans certaines régions, des ententes sont conclues entre le CISSS ou le CIUSSS de la région avec l'Université régionale afin d'offrir une promesse d'embauche aux diplômés(es) du baccalauréat en sciences infirmières.
Plus particulièrement, les régions suivantes ont connu une décroissance de son effectif infirmier alors que les besoins s'intensifient :
La Côte-Nord : à l’instar d’autres établissements situés en région plus éloignée, est frappé de plein fouet par la pénurie de personnel.
Des pénuries criantes d'infirmières et d'infirmiers se font sentir dans la plupart des établissements de la région, autant les hôpitaux de Sept-Iles, de Port-Cartier et de Baie-Comeau, que dans les CHSLD, ainsi que dans les CLSC.
En 2021, 2022 et 2023, plusieurs services ont dû être réduits ou annulés pendant une certaine période faute d'infirmiers(ères) disponibles (urgence à Sept-Îles et à Port-Cartier, fermetures temporaires de CLSC en Mingamie, unité des naissances à Baie-Comeau, etc.).
Compte tenu de la forte problématique de recrutement, le CISSS de la Côte-Nord a recours régulièrement à la main-d'œuvre indépendante provenant d'agences privées de placement.
Abitibi-Témiscamingue : les enjeux découlant du vieillissement de la population se font sentir plus durement en Abitibi-Témiscamingue, qui possède une plus faible population en âge de travailler que le reste du Québec.
Le manque de relève en Abitibi-Témiscamingue dans le domaine de la santé laisse présager des moments difficiles lors des prochaines années.
La région souffre d’une pénurie criante de soignants depuis des années et risque de s'aggraver au cours des prochaines années.
L’interruption répétée des services ou des importants délais d’attente pour consulter un médecin spécialiste, les problèmes d’accès aux soins de santé en Abitibi-Témiscamingue précèdent de loin la situation pandémique.
Par exemple, en Abitibi-Ouest (comprenant notamment LaSarre), 40 % des effectifs infirmiers sont manquants. Une crise majeure, difficile à juguler en région éloignée.
Lle bloc opératoire de Val-d'Or nécessite minimalement un total de 19 infirmières pour effectuer les opérations. Il y en avait seulement 13 de disponibles au printemps 2019. Une situation qui fait en sorte que des interventions chirurgicales sont retardées, parfois même à la dernière minute. Au même moment, il n'était pas possible d'accoucher à l'Hôpital de LaSarre puisque 2 infirmières sont nécessaires à temps complet, mais il n'y avait aucune.
Quant à l'Hôpital d'Amos où l'on retrouve le centre régional de traumatologie, même problématique, soit un manque d'infirmières au bloc opératoire, aux urgences et aux soins intensifs. Enfin, pour ce qui de l'Hôpital de Ville-Marie : impossible d'effectuer des accouchements et de nombreuses chirurgies faute d'infirmières disponibles, ce qui engendre le transfert vers Rouyn à 130 kilomètres de route. Nul doute que cette région rencontre également des difficultés de recruter de nouvelles infirmières suite aux nombreux départs à la retraite.
Le CISSS a pu recruter 80 infirmières provenant de l'international qui pourront venir prêter mains fortes au personnel en place, mais les besoins restent encore insuffisants.
Selon une analyse du CISSS, quelque 500 infirmières manqueront à l’appel au cours des 5 prochaines années.
L'utilisation de main-d'œuvre indépendante provenant d’agences de placement continue d'augmenter.
le Bas-St-Laurent : en 2022, Il y avait plus de 375 postes vacants à combler dont une centaine d'infirmières et d'infirmiers dans l’ensemble du CISSS du Bas-Saint-Laurent
La pénurie est davantage criante dans les MRC de La Matapédia, de la Mitis et de Kamouraska autant dans les hôpitaux, les CLSC, ains ique que dans les CHSLD.
En fait, ce sera plus de 500 infirmières et infirmiers seront nécessaires afin de combler les besoins de la populaton de cette région au cours des 10 prochaines années.
le Saguenay-Lac-St-Jean : avec une population de plus en plus vieillissante, ses besoins sont grandissants afin de fournir des soins de qualité auprès de cette clientèle, mais également pour l'ensemble de sa population.
Le réseau de la santé du Saguenay-Lac-Saint-Jean est loin d’échapper à la pénurie de main-d'œuvre. Il manque actuellement environ entre 300 et 350 employés, particulièrement des infirmières et des préposés.
Les établissements du haut du Lac (tels que dans la MRC Marie-Chapdeleine dont Dolbeau-Mistassini fait partie) sont particulièrement fragiles et ils n’ont aucune marge de manœuvre. Bien souvent, c’est une seule infirmière qui va faire la différence et qui va faire qu’on évite un bris de service.
En 2023, Le CIUSSS du Saguenay-Lac-Saint-Jean estimait qu’il manque entre 300 et 350 travailleurs sur le territoire régional, principalement des infirmières et des préposés.
En raison de cette pénurie de main-d'œuvre, le réseau de la santé du Saguenay-Lac-Saint-Jean a fait appel pour la première fois en 2023 aux agences de personnel pour combler des besoins en grande partie pour les soins infirmiers.
la Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine : avec le vieillissement de sa population en constante évolution, cette région aux prises avec une pénurie dans plusieurs domaines dont le secteur de la santé. Avec les départs (exode de la région ou retraite) de plus d'une quinzaine d'infirmières et infirmiers, soit une décroissance de plus de 1,5 %; ce qui semble peu pour une région comme Montréal ou Québec, est une énorme perte pour une petite région comme la Gaspésie qui a peine à recruter du personnel.
Une centaine d'infirmières et infirmiers sont nécesaires afin de combler les besoins dans cette région aux paysages magnifiques, principalement en Haute-Gaspésie (Sainte-Anne-des-Monts, Cap-Chat).
Mauricie et Centre-du-Québec : avec une décroissance de plus de 1 % depuis 2013, cette région est aux prises avec une pénurie d'effectif infirmier, principalement à l'extérieur de Trois-Rivières, notamment à La Tuque et dans la MRC de Maskinongé (Louiseville).
Dans les Bois-Francs, c'est surtout dans la MRC de Drummond, mais également de l'Érable et dans les CHSLD de Nicolet-Yamaska dont les besoins sont les plus importants.
Ce sont plus de 330 infirmières et infirmiers qui seront nécessaires afin de combler les besoins pour l'ensemble de ces 2 régions, alors qu'il n'y a eu de 150 finissants(es) en soins infirmiers dans la région au sein des cégeps et de l'UQTR.
Une entente a été conclue entre le CIUSSS de la Mauricie-Centre-du-Québec et l'UQTR dans le cadre du Parcours intégré de cheminement de carrière permettant aux personnes les personnes retenues au PICC ayant complété leur 1re année du baccalauréat initial à l’UQTR d'être embauchées à titre d’externes en soins infirmiers avec une promesse d'embauche à la fin de leurs études.
Chaudière-Appalaches : l'une des régions ayant connu la plus forte croissance de sa population au cours des dernières années, a connu plutôt une décroissance de son effectif infirmier, soit 2,5 % en perdant plus d'une trentaine d'infirmières depuis 2015 (surtout causé par les départs à retraite).
Des besoins sont criants notamment dans les territoires des MRC de Lotbinière, des Appalaches (Thetford Mines), Beauce-Sartigan (St-Georges) et Robert-Cliche (Beauceville), ainsi des besoins sur le territoire de la Ville de Lévis (dont le Centre hospitalier affilié universitaire L'Hôtel-Dieu de Lévis).
En 2022, il manquait plus de 700 infirmières et infirmiers dans l'ensemble des établissements de santé de la région.
Toutefois. au 31 mars 2022, Chaudière-Appalaches comptait 3 % plus d’infirmiers et d’infirmières en emploi par rapport à la même période l’année précédente. C’est le double du taux pour l’ensemble du Québec (1,5 %).
Au cours de la même année, elle a accueilli 91 infirmiers et infirmières de la relève. De ce nombre, 54,9 % travaillent à temps complet, ce qui était plus que la moyenne provinciale de 51,1%.
De plus, elle a accueille en 2023, plus de 40 futurs infirmiers et infirmières provenant de la République démocratique du Congo, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire viendront combler certains besoins en Beauce, dans Les Etchemins et à Lévis.
Lanaudière : le manque d’infirmières est criant dans le Nord de la région. Par exemple, l’Hôpital de Joliette a dû fermé 60 lits aux étages en 2021 et 2022.
Toutefois, 38 professionnels(les) des soins infirmiers provenant de l’Algérie, du Cameroun et du Maroc ont été accueillis afin de prêter mains fortes au personnel infirmier actuellement en poste.
Capitale Nationale : au cours de l'été 2022, le CHU de Québec a dû réduire de 13 % la capacité de lits disponibles dans ses installations, alors que l'IUCPQ a dû les réduire de plus de 7 %.
Toutefois, la région de Portneuf a accueilli 21 infirmières originaires du Cameroun, de la Tunisie et du Maroc en 2023 afin de combler plusieurs besoins dans les établissements de ce territoire.
Dans la région de Charlevoix, 25 infirmières et infirmières de l'étranger ont été accueillis pour venir prêter mains fortes au personnel actuellement en poste.
Chaque CISSS comprend des
hôpitaux de soins généraux et spécialisés dont 1 avec vocation
régionale, des centres hospitaliers de soins de longue durée CHSLD, des
CLSC avec plusieurs points de services, des Groupes de médecine
familiale GMF, un centre de réadaptation en déficience physique, un
centre de réadaptation en dépendances, un centre de réadaptation en
déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement
CRDI-TED, des centres jeunesse, un centre de planification des
naissances pour la plupart, un centre info-santé, ainsi qu'une direction
régionale de la santé publique desservant l'ensemble de la population de
la région.
Ils regroupent un total de 48 hôpitaux de soins
généraux et spécialisés (dont 15 ayant une vocation régionale et 18
ayant une double vocation hôpital-CHSLD), 2 centres hospitaliers
affiliés universitaires de soins généraux et spécialisés avec vocation
régionale (Hôtel-Dieu de Lévis et Charles Lemoyne), plus de 75 CLSC,
près de 200 CHSLD, 17 centres de réadaptation en déficience physique, 8
centres de planification des naissances, 13 CRDI-TED, 13 centres de
réadaptation en dépendances, 13 centres jeunesse, ainsi que 11
directions régionales de la santé publique.
Chaque CIUSSS comprend les mêmes
types d'installations que les CISSS, mais leur particularité est qu'il
comprend un hôpital de soins généraux et spécialisés et certaines autres
installations (CLSC, GMF, etc.) détenant une affiliation avec l'une des
facultés de médecine du Québec (Montréal, McGill, Laval ou Sherbrooke),
ainsi que des instituts universitaires de santé pour 4 des 9 CISSS
(Institut universitaire de santé mentale de Montréal, Institut
universitaire de santé mentale Douglas, Institut universitaire de santé
mentale de Québec, Institut universitaire de gériatrie de Montréal et
Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke) et enfin, un centre
hospitalier universitaire (CHUS rattaché au CISSS de l'Estrie).
Ils regroupent 1 centre hospitalier universitaire (CHUS), 6 centres
hospitaliers affiliés universitaires CHA, 25 hôpitaux de soins généraux
et spécialisés (dont 2 ayant une vocation régionale), 3 instituts
universitaires de santé mentale, 2 instituts universitaires de
gériatrie, 8 centres de réadaptation en déficience physique ou
sensorielle, 9 centres de réadaptation en dépendances, 9 CRDI-TED, 50
CLSC, une centaine de CHSLD, 6 centres de planification des naissances,
9 centres jeunesse, 4 centres info-santé, ainsi que 4 directions
régionales de la santé publique.
p
FORMATION
REQUISE :
Afin de devenir infirmière ou infirmier, il existe 7 possibilités de
formation. Pour plus de détails, clique sur l’un des programmes
suivants :
- D.E.C. en soins infirmiers en formule régulière sur 3 ans (collégial) : destiné aux candidats(es) en provenance du secondaire
- D.E.C. en soins infirmiers en formule intensive sur 2 ans (collégial) : destiné aux candidats(es) en provenant du collégial ayant obtenu un autre D.E.C. ou ayant complété tous les cours de la formation générale du collégial ou détenant un grade universitaire
- D.E.C. en soins infirmiers en formule adaptée sur 2 ans (collégial) : destiné aux candidats(es) détenant un D.E.P. en santé, assistance et soins infirmiers ou un autre diplôme reconn comme infirmìer(ère) auxiliaire
- D.E.C.-BAC en sciences infirmières (collégial-universitaire) sur 5 ans : destiné aux candidats(es) en provenannce du secondaire inscrit dans un programme de soins infirmiers 180.A0 faisant partie d'une entente entre un collège et une université
- Baccalauréat spécialisé en sciences infirmières - formation initiale (universitaire) sur 3 ans intensifs : destiné aux candidats(es) en provenance du collégial détenant un D.E.C. en sciences de la nature ou un D.E.C. intégré en sciences, lettres et arts
- Baccalauréat spécialisé en sciences infirmières - volet perfectionnement (universitaire) sur 2 ans : destiné aux candidats(es) titulaires d'un D.E.C. en soins infirmiers depuis plus de 5 ans
- Maîtrise en nursing - entrée directe : destiné aux candidats(es) en provenance de l'université détenant un autre grade universitaire en sciences de la santé (ou dans certains cas, en sciences sociales)
Pour les celles et ceux ayant une formation en soins infirmiers, mais qui n'ont pas pratiqué depuis plus de 5 ans ou pour celles et ceux ayant suivi une formation d'infirmier à l'extérieur du Québec, il existe également des programmes d'actualisation de la formation. Pour plus de détails, voir la page suivante.
LIENS
RECOMMANDÉS :
Pour des sites d'informations sur différentes maladies ou autres problèmes de santé, consulte la page suivante
Pour des sites d'informations sur la nutrition, consulte la page de technicien en diététique (section "liens")
Pour une liste d'établissements de santé, consulte le Portrait du réseau de la santé
Pour une liste d'établissements d'enseignement, consulte Portrait du réseau de l'éducation
Pour une liste d'entreprises de recherche médicale clinique et de chaînes de pharmacie consulte le Portrait de l'industrie pharmaceutique et biotechnologique
Pour une liste d'organismes de recherche en santé, consulte la page suivante
Pour des sites de recherche d'emploi, consulte la page suivante
Sur le
métier d’infirmier :
- Ordre des infirmières et infirmiers du Québec : infos sur les champs de pratique, les spécialités, etc
- Association canadienne de la santé publique : section d'infos sur le rôle et activités des infirmiers en santé communutaire
- Association canadienne des infirmières d'hépatologie : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association canadienne des infirmières et infirmiers en neurosciences (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association canadienne des infirmières et infirmiers en orthopédie (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association canadienne des infirmières et infirmiers en périnatalité et en santé des femmes : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association canadienne des infirmières et infirmiers en soins internationaux (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Association canadienne des infirmiers en sidologie : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmier
- Association canadienne des infirmières et infirmiers holistiques (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Association canadienne pour les infirmieres et infirmiers en mlieu rural et éloigné (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Association canadienne des stomothérapeutes (en anglais seulement) : informations sur ce domaine de pratique
- Association des art-thérapeutes du Québec : infos sur cette profession
- Association des enseignantes et enseignants en soins infirmiers des collèges : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Association des infirmières et infirmiers en urgence du Québec : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
-
Association des infirmières
et infirmiers en diabétologie du Québec :
pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association des infirmières et infirmiers en info-santé du Québec : infos sur la pratique infirmière dans ce secteur
-
Association des infirmieres
et infirmiers en prévention des infections du Québec :
pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
-
Association des infirmières
et infirmiers en soins podologiques du Québec : pour mieux
connaître ce secteur des soins infirmiers
-
Association des infirmières
et infirmiers en soins périanesthésiques du Québec :
pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association des professionnels en santé au travail du Québec : infos sur ce domaine de pratique (destiné à tous professionnels de la santé membres d'un ordre)
- Association québécoise des infirmières et infirmiers en gérontologie : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
-
Association québécoise des infirmières et
infirmiers en oncologie (et soins palliatifs) : pour mieux connaître ce secteur des soins
infirmiers
- Association
québécoise des infirmières et infirmiers en santé mentale : pour mieux connaître
ce secteur des soins infirmiers
-
Association québécoise des infirmières et infirmiers en urologie :
pour mieux
connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association des infirmières et infirmiers stomothérapeutes du Québec : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Association des infirmières praticiennes spécialisées du Québec : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Association québécoise des infirmieres et intervenantes en recherche clinique (milieu hospitalier, milieu universitaire ou entreprise de recherche clinique) : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Conseil canadien des infirmieres et infirmiers en soins cardiovasculaires : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
-
Corporation des infirmières
et infirmiers en salle d'opération du Québec : pour mieux
connaître ce secteur des soins infirmiers
- Infirmières et infirmiers canadiens pour la santé et l'environnement (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Regroupement des
infirmieres et infirmiers en soins intensifs : pour mieux
connaître ce secteur des soins infirmiers
- Regroupement québécois en soins des plaies : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Société canadienne des infirmières et infirmiers en gastro-entérologie et travailleurs associés (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur des soins infirmiers
- Société des infirmiers et infirmiers médicolégaux du Canada (en anglais seulement) : pour mieux connaître ce secteur de pratique
- Collège des orthothérapeutes du Québec : infos sur cette profession (domaine complémentaire aux soins infirmiers)
- Héma-Québec : infos sur les carrieres au sein de cette organisation
- Infirmier(ère) militaire (en tant qu’officier dans les
Forces canadiennes)
- Infirmières et Infirmiers sans frontières - section Canada : infos sur le métier d'infirmier(ère) en santé internationale
- Santé Canada : informations sur la pratique des soins infirmiers dans les communautés des Premières Nations
- Zoothérapie Québec : infos sur le domaine de la zoothérapie (domaine complémentaire aux soins infirmiers)
Organismes en santé :
-
Association médicale
canadienne : site de cet organisme canadien qui fait la promotion de la
santé au pays et c’est aussi le plus grand portail canadien en santé
- Association québécoise des consultantes en lactation diplômées du Québec : regroupe plus de 250 spécialistes en intervention et soutien en laction et allaitement maternel partout au Québec
-
Conseil pour la protection des malades :
organisme sans but lucratif qui défend les intérêts des usagers du système de
santé
- Croix-Rouge canadienne: son
site officiel
- Croix-Rouge internationale : son
site officiel
- Héma-Québec : site
officiel
- AMIE Aide internationale à l'enfance - section Canada : organisme de coopération internationale auprès des enfants de pays en voie de développement ou en guerre
- International Health Volunteers : organisme de coopération médicale internationale
-
Médecins d'Afrique
(bureau des Amériques) : cet
organisme de coopération médicale internationale recrute également des infirmières et infirmiers
-
Médecins du Monde
(section Canada) : cet
organisme de coopération médicale internationale recrute également des infirmières et infirmiers
- Médecins sans frontières : cet
organisme
de coopération médicale internationale recrute également des infirmières et infirmiers
- Mercy Ships : organisme de coopération médicale internationale
- Organisation mondiale
de la santé OMS
- Réseau canadien pour la santé des femmes :
site de cet organisme canadien qui fait la promotion sur la santé des femmes
- Santé! Canada : revue uniquement sur le web sur la santé pour consommateurs avertis (par le Ministère Santé Canada)
- Réserve des services de santé des Forces canadiennes : infos sur les emplois à temps partiel
- Service de santé des Forces canadiennes : infos sur possibilités de carrières en soins infirmiers au sein des Forces armées
- Société canadienne de santé internationale
-
52e Compagnie
d'ambulance de campagne : site de cette unité de la réserve des Forces armées
située en Estrie où tu pourrais acquérir de l’expérience à temps partiel
-
55e Compagnie
d'ambulance de campagne : site de cette unité de la
réserve des Forces armées située à Québec où tu pourrais acquérir de
l’expérience à temps partiel
Autres sites :
-
Association médicale
canadienne : site de cet organisme canadien qui fait la promotion de la
santé au pays et c’est aussi le plus grand portail canadien en santé
-
Bébé.fr : portail Français sur la maternité
-
Centre
d’information sur la santé de l’enfant (Hôpital Ste-Justine)
-
Cyber-santé : site de ce portail
québécois sur les ressources en santé
- Doctissimo : site de ce portail francophone sur sur la santé
-
Magicmaman : portail d’infos sur la
maternité
-
Ma Grossesse : site
francophone d’infos et de ressources sur la grossesse
-
Mystères du corps
humain : informations
sur le corps humain (pour tous)
-
Naissance affective : site
d’infos sur la grossesse et la maternité
- Passeport santé : portail québécois sur la santé
- Réseau québécois d’action pour la santé des femmes : infos sur divers sujets sur la santé des femmes
- Canal-Vie : site de ce canal télévisé sur la santé
-
Cyber-santé : site de ce portail
québécois sur les ressources en santé
- Revue santé mentale au Québec : site de cette revue
-
Santé! Canada : revue
uniquement sur le web sur la santé pour consommateurs avertis (par le Ministère
Santé Canada)
-
Travail et santé : site de cette
revue sur la santé au travail