Retour à la page du secteur mécanique
d’entretien
SECTEUR :
MÉCANIQUE D’ENTRETIEN
DIPLÔME D’ÉTUDES PROFESSIONNELLES
D.E.P.
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant que mécanicienne ou mécanicien industriel; tu seras responsable d'installer, de faire l’entretien régulier et périodique, dépanner, réparer, ajuster et inspecter les composantes des systèmes mécaniques, hydrauliques et pneumatiques desles différentes machines se retrouvant dans une usine ou une autre installation semblable.
Tu auras pour tâches de :
Lire des plans, des diagrammes et des schémas pour déterminer la façon de procéder;
Installer, aligner, démonter et déplacer, en respectant les plans et à l'aide d'outils manuels et électriques, de la machinerie industrielle fixe ou du matériel mécanique comme des pompes, des réservoirs, des réducateurs de vitesse, des compacteurs, des compresseurs; des convoyeurs, des chaudières, des générateurs des ventilateurs, des ponts roulants, etc;
Faire fonctionner des appareils et du matériel de levage, comme des grues, des vérins et des tracteurs pour mettre en place des machines et des pièces pendant l'installation, le montage et la réparation de la machinerie;
Installer,
aligner, démonter et déplacer installer
Tu travailleras majoritairement sur des chantiers de construction de génie civil (infrastructures hydroélectriques, infrastructures d'éoliennes, infrastructures de communications, infrastructures maritimes, ponts, réseaux d'aqueduc et d'égout, routes ou autoroutes, réseaux de pipeline gazier ou pétrolier, etc.); les chantiers de construction industrielle (construction ou agrandissement d'usines, construction, agrandissement ou réhabilitation de mines, agrandissement de chantiers navals, etc.) et plus rarement, sur les chantiers de construction commerciale et institutionnelle (construction d'édifices à bureaux, de centres commerciaux, d'hôtels, d'immeubles à condominiums, d'immeubles à revenus locatifs, d'hôpitaux, d'écoles, etc), ont tous besoin de mécaniciens(nes) de chantier.
En construction industrielle, on fera également appel à tes services afin d'effectuer l'installation, le montage et le réglage de certaines machines et équipement fixes en collaboration avec les électriciens, les tuyauteurs, les frigoristes, les mécaniciens en protection-incendie, les ferblantiers, les soudeurs et les chaudronniers.
Sur les chantiers hydroélectriques, tes compétences seront sollicitées afin d'installer et monter les équipements électromécaniques et électrohydrauliques des centrales hydroélectriques.
En tant que mécanicienne ou mécanicien d'entretien; tu seras responsable d'installer, entretenir, inspecter, réparer et ajuster de la machinerie et de l'outillage mécanique tel que : machines ou chaudières à vapeur, compresseurs d'air, appareils de levage, unités de ventilation, les équipements de manutention, systèmes d’alimentation en oxygène d'hôpitaux et autres équipements connexes d'un grand établissement (tels que : immeubles à bureaux, de centres commerciaux, hôtels, hôpitaux, collèges, pavillons d'universités, etc.).
Tu surveilleras les compteurs, manomètres et contrôles et fait les ajustements et réparations nécessaires et tu tiendras à jour les registres de rendement et de maintenance de l'équipement.
Les établissements hospitaliers, les compagnies immobilières et autres gestionnaires immobilier et les universités notamment, emploient des mécaniciens(nes) d'entretien.
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
- Bonne santé : ne pas avoir d'allergies, bonne résistance au bruit, à la chaleur et à la poussière
-
Avoir une bonne acuité visuelle et auditive
-
Bonne perception des formes
- Bonne condition et endurance physique : car tu devras de longues heures debout ou dans des positions inconfortables et dans des endroits exigus
-
Intérêts pour la mécanique
- Facilité pour les calculs de mesures et la géométrie
-
Capacité de lire des plans et devis
d'assemblage
- Bonnes habiletés manuelles et dextérité manuelles car tu auras à utiliser et opérer divers types de machines-outils et manipuler
-
Minutie, précision et souci du détail
car tu auras à réparer des pièces délicates
-
Sens méthodique et capacité d'analyse car tu devras analyser et trouver rapidement une défectuosité ou tout autre problème
-
Sens de l'observation et de l'initiative car tu devras agir dès que tu détecteras une défectuosité à une machine
-
Sens des responsabilités
car tu seras responsable du bon état et de la sécurité des équipements
- Facilité à travailler en équipe et sous pression car tu auras à travailler en collaboration avec d'autres mécaniciens, des opérations de machines et équipements industriels, des machinistes, des soudeurs, des électromécaniciens, des technologues en maintenance, etc.
-
Connaissance de l’anglais car la documentation technique est
généralement dans cette langue
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Ajusteur(euse) de machines
- Gréeur(euse) de navire
- Huileur(euse)-réparateur(trice) d'outils
- Intégrateur(trice) de machines-outils
- Mmécanicien(ne) d'appareillage (Hydro-Québec)
- Mécanicien(ne) de machines d’imprimerie
- Monteur(euse) de machines textiles
- Mécanicien(ne) d'entretien préventif
- Mécanicien(ne) de bâtiments
- Mécanicien(ne) de voitures de trains ou métro (formation en cours d'emploi offerte par l'employeur échelonnée sur 3 à 4 ans)
- Mécanicien(ne) en entretien préventif industriel
- Mécanicien(ne) industriel spécialisé(e) en automatisation (avec le double DEP en mécanique industrielle/électromécanique)
- Mécanicien(ne)
machiniste
-
Mécanicien-monteur ou mécanicienne-monteuse de machines industrielles
- Contremaître ou contremaîtresse de mécaniciens(nes)
industriels (après quelques années d’expérience
- Technicien(ne) d'entretien mécanique
- Technicien(ne) d'entretien préventif
- Technicien(ne) de groupes électrogènes (Forces armées)
- Technicien(ne)
en réfrigération et mécanique (Forces armées) formation offerte par les
Forces
- Technicien(ne) en multimécanique du réseau (Énergir)
- Tuyauteur(euse) industriel (avec l'Attestation de perfectionement en tuyauterie-soudage)
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Ateliers d’usinage
- Compagnies forestières
- Compagnies minières
- Compagnies pétrolières
- Entrepreneurs en construction commerciale, institutionnelle et industrielle
- Entrepreneurs en travaux de génie civil
- Entreprises privées en production et distribution d'électricité
- Fabricants de chaudières, de réservoirs et autres contenants industriels
- Fabricants de
produits d’architecture et d’éléments de charpentes métalliques
- Industries aérospatiales (assemblage d'aéronefs, moteurs d'aéronefs, trains d'atterrisage, systèmes de contrôle du carburant d'aéronefs, composants de satellites de communication, systèmes avioniques, etc.)
- Industries chimiques et pétrochimiques (produits ménagers, produits de revêtement, gaz industriels, produits chimiques industriels, etc.)
- Industries de la plasturgie, du caoutchouc et des composites (pneus, pièces pour véhicules routiers, pièces pour véhicules récréatifs, matériaux de construction, emballages alimentaires ou industriels, contenants divers, articles ménagers, jouets, revêtements de sol, etc.)
- Industries agroalimentaires (laiteries, crèmeries, pâtisseries industrielles, boulangeries industrielles, usines de transformation de viandes et volailles, usines d'embouteillage, etc.)
- Industries papetières
- Industries sidérurgiques
- Manufacturiers de moteurs, de turbines et autres matériels de puissance
- Manufacturiers de machines et d’équipements industriels
- Manufacturiers d'appareillage et équipements électriques
- Manufacturiers de matériaux et autres produits de la construction
- Manufacturiers de meubles et autres produits de bois ouvré
- Manufacturiers de produits électriques (outils, appareils électriques, électroménagers, matériel d'éclairage, etc.)
- Manufacturiers de produits électroniques (matériel de télécommunication, appareils audiovisuels, instrumentation électronique, etc.)
- Manufacturiers de produits en optique et photonique (appareils de vision nocturne, systèmes GPS, lecteurs optiques, matériel de fibres optiques, etc.)
- Manufacturiers de véhicules de transport routier (autos, camions, autobus, motoneiges, tracteurs, etc.)
- Manufacturiers de véhicules récréatifs (motoneiges, VTT, embarcations nautiques, etc.)
- Industries pharmaceutiques, des cosmétiques et biomédicales
- Industries du textile et du vêtement
- Imprimeries
- Autres industries (moyennes et grandes) utilisant de la machinerie industrielle
- Entreprises spécialisées en haute-technologie
- Entreprises d’entretien industriel
- Distributeurs et grossistes de machines et équipements industriels
- Firmes d’ingénieurs-conseils
- Établissements
d'enseignement post-secondaire (centres de formation professionnelle, cégeps
et universités)
EXIGENCES
DU MARCHÉ DU TRAVAIL :
-
Détenir ta carte de compétence est obligatoire pour travailler
sur les chantiers de construction. En début de carrière tu travailleras en tant
qu’apprenti et tu n’obtiendras ta carte de compagnon seulement après
avoir accumulé un minimum de 6 000 heures de travail comme apprenti(e)
(environ 3 ans).
Voici les détails auprès de la
Commission
de construction du Québec.
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Connaissance de l’anglais (certains exigent le bilinguisme)
-
Polyvalence
- Mobilité essentielle partout au Québec pour les mécaniciens de chantiers
-
Capacité de s’adapter aux nombreux changements technologiques
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 1er juin 2019 :
Pour le D.E.P. en mécanique
industrielle :
Le placement est TRÈS BON, 81 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu en emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.
Quelques
autres répondants(es), soit 13 % ont choisi de poursuivre leurs études dans un
autre D.E.P. (ex : électromécanique ou soudage), au niveau du A.S.P. ou du D.E.C. en technologie de
la maintenance industrielle.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE EMPLOI A TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
225 | 159 | 159 | 29 |
Note 1 :hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (étiat de 75 % en 2019; 74 % en 2015 et 71 % en 2013).
Note 2 : le placement est meilleur hors-Montréal avec un taux de placement de plus de 85 %.
Sources :
Ministère de l’Éducation
SALAIRE :
Selon
les données de 2022 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
Dans le secteur de la construction :
- 25,81 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant qu’apprenti(e) et ensuite augmente à 43,08 $/hre en tant que compagnon sur les chantiers de génie civil (infrastructures routières, infrastructures d'éoliennes,infrastructures électriques ou infrastructures de communications)
- 27,67 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant qu’apprenti(e) et ensuite augmente à 46,12 $/hre en tant que compagnon sur les chantiers de construction industrielle lourde (noamment les infrastructures minières, etc.)
- 31,52 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant qu’apprenti(e) et ensuite augmente à 48,75 $/hre en tant que compagnon sur les chantiers de génie civil (infrastructures de pipelines et réseaux de distribution de gaz naturel ou de pétrole)
Note 1 : Cependant, dans le secteur de la construction le salaire annuel moyen comme apprenti(e) au cours de la première année était de 31 500 $ (était de 31 400 $ en 2019; 30 700 $ en 2017; 22 900 $ en 2015; 26 000 $ en 2013 et 32 100 $ en 2011).
Note 2 : dans le secteur de la construction, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Secteur
privé hors-construction :
- 20,92 $/heure (37,5 ou 40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de matériel électronique
- 21,97 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne) industriel au sein des grands manufacturiers de machines et équipements industriels
- 22,46 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de produits textiles (auvents, toiles, tapis, etc.)
- 22,58 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grands manufacturiers de matériel de transport terrestre (routier ou ferroviaire)
- 22,58 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grands manufacturiers de machines et équipements industriels
- 22,63 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de produits en bois (panneaux agglomérés, parquets lattés, contreplaqués, etc.)
- 22,73 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de matériel électrique
- 23,28 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grandes industries de transformation alimentaire (viandes et volailles, produits marins, fruits et légumes)
- 23,35 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grandes entreprises de l'imprimerie
- 24,19 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de matériel de transport terrestre (routier ou ferroviaire)
- 24,65 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de la plasturgie, du caoutchouc, de la fibre de verre et des composites
- 25,25 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne) industriel au sein des grandes industries papetières
- 27,35 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 29,40 $ en tant que mécanicien(ne) industriel au sein des grandes industries papetières
- 32,18 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 35,36 $/heure en tant que compagnon au sein des grands manufacturiers de produits chimiques et pétrochimiques
- 32,36 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 34,79 $ en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grandes industries papetières
- 33,07 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 34,87 $/heure par la suite au sein des grandes industries de première transformation des métaux (alumineries, aciéries, affineries, fonderies, etc.)
- 38,21 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) mécanicien(ne) d'entretien et augmente à 42,46 $/heure par la suite au sein des grandes compagnies minières
Note 1 : hausse de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 25,85 $ en 2019; 22,95 $ en 2017; 20,00 $ en 2015 et 17,95 $ en 2013).
Note 2 : chez la plupart des grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Note 3 : chez les grands manufacturiers, tu débuteras au niveau apprenti pendant les 18 ou 24 premiers mois selon les entreprises.
Secteur public et parapublic :
- 32,26 $/heure (40 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 39,19 $/heure en tant que technicien(ne) en entretien mécanique - compagnon à l'Administration portuaire de Montréal
- 36,57 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) d'entretien (usine usines de filtration et pompage, incinérateur, arénas) à la Ville de Montréal
- 38,45 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne)-soudeur(e) ou mécanicien(ne) en diagnostics en commandes industrielles à la Ville de Montréal
- 39,41 $/heure (40 hres/sem) en tant que stagiaire en multimécanique du réseau et augmente à 41,46 $ en tant que technicien(ne) en multimécanique du réseau - mécanique industrielle à Énergir (anciennement "Gaz métro")
- 40,35 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) de machinerie industrielle (usine de liquéfaction, stockage et regazéification du gaz naturel) à Énergir (anciennement "Gaz métro")
- 3
Note : dans le secteur le secteur public et parapublic, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Sources : Ministère de l’Éducation du Québec, Commission
de la construction du Québec, Commission de la fonction publique du Canada, Syndicat des cols bleus
regroupés de Montréal
PORTRAIT DU MÉTIER :
Selon
Ainsi que plus de 1 500 ajusteuses et ajusteurs de machines dans l'ensemble des régions du Québec en 2022.
moins de 25 ans : 6 %
25 à 44 ans : 45 %
45 à 54 ans : 26 %
55 ans et + : 22 %
M
I
C
I
E
I
E
Industries de transformation des produits forestiers : 2 %
Industries chimiques et pétrochimiques (incluant les industries de la plasturgie) : 2 %
Autres industries (chantiers navals, raffineries de pétrole, etc.) : 2 %
Industries biomédicales, pharmaceutiques et cosméceutiques : 1 %
Centres hospitaliers universitaires et centres intégrés de santé et services sociaux : 1 %
A
Il y avait 171 employeurs qui embauchent des mécaniciens de chantier (dont les 10 plus importants réalisent plus de la moitié des travaux)
Ce sont 38 nouveaux apprentis qui sont entrés dans l’industrie.
L'âge moyen d'un(e) apprenti(e) était de 30 ans, alors que celui d'un(e)
compagnon était de 43 ans.
La répartition selon le groupe d'âge était :
mons de 25 % : 6 %
entre 25 et 34 ans : 26 %
entre 35 et 44 ans : 22 %
entre 45 et 54 ans : 21 %
entre 55 et 64 ans : 22 %
65 ans et plus : 4 %
Où retrouve-t-on le plus de mécaniciens(nes)
de chantier ?
La majorité d’entre-eux, soit 63 % œuvraient sur les chantiers de construction industrielle conventionnelle (usines, ateliers de fabrication, complexes industriels, etc.) et lourde (infrastructures minières)
plus de 25 % travaillaient dans le secteur de la construction de génie civil (infrastructures routières, d'éoliennes, électriques et de communications);
alors que seulement 12 % se retrouvaient dans le secteur de la construction commerciale et institutionnelle (surtout les grands chanatiers comme ceux des complexes hospitaliers).
Au cours de 2022, la proportion par région de travail était de :
21 % travaillaient en Montérégie,
15 % travailaient dans les régions
de Laval et Laurentides,
15 % travaillaient en Mauricie,
12 % travaillaient au Saguenay-Lac-St-Jean,
10 % travaillaient dans les régions de Québec ou Chaudière-Appalaches,
9 % dans les régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie
7 % travaillaient en Côte-Nord,
11 % étaient à l'extérieur du Québec,
Enfin, les régions de l'Estrie, de la Mauricie, de Québec et de la Côte-Nord offrent également de bonnes perspectives.
L'industrie de la fabrication de produits métalliques est un employeur important, mais pourrait rencontrer certains problèmes avec la baisse des activités dans l'industrie de la construction.
Le recrutement d’ouvriers spécialisés et expérimentés demeu- rera un des grands défis que devra relever l’industrie au cours des prochaines années.
D'ailleurs, les mécaniciens(nes) industriels figurent au 4e rang des métiers les plus difficiles à recruter au sein de cette industrie.
Comme la main-d’œuvre spécialisée n’abonde pas sur le marché du travail, les entreprises devront offrir des conditions de travail encore plus attrayantes pour attirer les meilleurs de la profession.
De façon générale, les perspectives dépendent du nombre et de l’importance des contrats qu’obtiennent les grands manufacturiers de l'aérospatial surtout ceux présents au Québec (Bombardier, Airbus, Bell Helicopter, Pratt & Whitney, Rolls Royce, GE Aviation), puisque Les conséquences se répercutent alors aussi sur les nombreux sous-contractants d'ici Mais également les autres grands joueurs de industrie dans le monde (Boeing, Airbus, Lockhead Martin, General Dynamics, etc.) dont plusieurs entreprises québécoises y sont des sous-traitants.
Des pénuries sont à prévoir pour plusieurs postes de métiers spécialisés dont notamment les mécaniciens(nes) industriels.
L'industrie de la plasturgie et des composites a énorménement évolé au cours des dernières et comprennent très bien les problématiques environnementales actuelles.
D'ailleurs, plus de 40 % des entreprises se sont tournés vers la réalisation de projets d'écoconception motivées par leurs valeurs environnementales.
Avec la pénurie de main-d'œuvre que l'on observe, il est de plus en plus difficile de recruter du personnel spécialisé en production manufacturière.
D'ailleurs, selon une étude réalisée en 2021 par le Comité sectoriel de la main-d'oeuvre de l'industrie de la plasturgie; le métier de mécanicien(ne) industriel est l'un des métiers les plus difficiles à recruter compte des compétences spécialisées exigées et du faible nombre de candidats(es) disponibles.
Au sein de l'industrie papetière; plusieurs postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite.
Alors qu'elle réussit à former elle-même la plupart de ses ouvriers sans formation, les mécaniciens(es) tout comme les autres métiers de le maintenance industrielle sont très difficiles à recruter par les employeurs.
Enfin, les chantiers navals ont obtenu des contrats importants leur permettant de réaliser des projets de construction de navires pour plusieurs années à venir et devront embaucher du personnel spécialsié dont les tôlers.
Sources : Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie aérospatiale du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie minière, Industrie Canada, Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Emploi-Québec, Pôle d'excellence de l'industrie du matériel de transport terrestre du Québec.
Le nombre de mécaniciens industriels de chantier actifs a baissé continuellement, depuis 2013.
Il faut dire que le niveau d’activité des mécaniciens industriels de chantier peut varier de manière importante. Par exemple, les effectifs peuvent chuter rapidement entre 2 grands chantiers.
Les perspectives d’avenir pour tous les métiers de la construction, varient beaucoup selon la santé économique de l’industrie de la construction. Certaines années peuvent être excellentes pour les emplois avec de nombreux projets, alors que pour d’autres années sont moins bonnes.
La demande est en forte hausse et les travailleurs actuels sont peu disponibles.
Où retrouvait-t-on le plus de
mécaniciens(nes) d'ascenseurs dans l'industrie de la construction ?
La majorité, soit 63 % œuvraientt sur les chantiers de construction industrielle ou sur les chantiers de construction résidentielle lourde (immeubles à condominiums);
plus de 25 % travaillaient sur les chantiers de construction de génie civil (infrastructures routières principalement, mais aussi infrastructures d'éoliennes, électriques et de communications);
alors que seulement 12 % étaient sur les chantiers de construction commerciale et institutionnelle (immeubles à bureaux, hôtels, centres commerciaux, immeubles à revenus locatifs, écoles, hôpitaux, résidences pour aînés, etc.).
Un(e) apprenti(e) travaille en moyenne 700 à 1 000 heures par année,
En 2022, le salaire annuel moyen d'un(e) apprenti(e) était de 31 500 $.
Alors que 61 % des compagnons ont travaillé au moins 500 heures.
en 2022, le salaire annuel moyenne d'un(e) compagnon était de 63 400 $.
L’activité se redresse quelque peu pour le secteur industriel. Cette croissance provient en bonne partie du projet minier Odyssey, par Canadian Malartic (1,4 G$), qui se déroule actuellement en Abitibi-Témiscamingue. À court terme, quelques projets s,ajouteront au cours des prochaines années.
La transition énergétique qui s’enclenche dans l’économie ainsi que la stratégie sur la filière québécoise de batteries pour voitures électriques pourraient s’avérer favorables pour le secteur, si des projets se concrétisent.
Le secteur Génie civil et voirie a connu un record d'heures travaillées au cours des dernières années.
Le sous-secteur des routes et des infrastructures s’annonce encore fort occupé pour les prochaines années à court et moyen terme avec de nombreux projets d’importance à venir.
La fin des travaux des grands projets électriques et l'absence de nouveaux projets de centrales électriques amènera un ralentissement dans le sous-secteur des infrastructures électriques et de communications.
Enfin, le secteur de l'éolien, peu de projets sont actuellement annoncées.
Les perspectives d’emploi sont très bonnes pour les mécaniciens de chantier.
(Source : Commission de la construction du Québec).
BREF PORTRAIT DE QUELQUES SECTEURS INDUSTRIELS :
L'industrie minière québécoise :
Le Québec est l’un des 10 territoires miniers les plus explorés au monde. Depuis le début des années 90, la moitié des mines ont commencé à être exploitées ce qui a permis au Québec de connaître une des plus grandes croissance de son industrie minière de toute son histoire. De plus, un grand nombre de géologues actuellement en emploi sont âgés et devront prendre leur retraite dans les prochaines années.
Pour toutes ces raisons, les perspectives de découvertes nouvelles et par le fait même des emplois pour des spécialistes des mines sont excellentes pour les 10 prochaines années. Maintenant, les exploitations minières du Québec représentent plus de 60 % de tous les minerais exploités au Canada.
Le sous-sol québécois est constitué à 90 % de roches précambriennes du Bouclier canadien. Il s’agit d’un ensemble géologique réputé mondialement pour ses gisements d’or, de cuivre, de zinc, de nickel, de fer et d’ilménite.
Le Québec recèle aussi un potentiel minéral significatif pour des gisements d’autres substances, telles ceux du Mont Wright (fer) à Fermont, du Lac Tio (fer et titane) à Havre-Saint-Pierre, de Niobec (niobium) au Saguenay, de Stratmin (graphite) à Mont-Laurier, Raglan (nickel-cuivre) en Ungava et de Renard (diamant) au nord du Québec.
Par ailleurs, les secteurs miniers bien établis, tels ceux de Val-d’Or, Rouyn-Noranda, Matagami et Chibougamau, recèlent toujours d’importants gisements, notamment en profondeur.
Parmi les ressources minérales exploitées, on retrouve :
les minéraux métalliques : or, nickel, cuivre, zinc, argent, mais aussi le niobium, le magnésium, le palatine, et la tellure
les minéraux non métalliques : le charbon, le sable, le gravier, la pierre architecturale, incluant, le graphite, le titane, le quartz ou la silice, mais aussi le soufre, le sel, la tourbe, le mica, la stéatité et la chrysolite.
Pour ce qui des minéraux en exploration (la découverte de gîtes détenant potentiellement des ressources), il y a :
les minerais métalliques (des métaux non ferreux rares comme : la tantale, le lithium, le béryllium, le zirconium, le hafnium, le germanium, le gallium, ainsi que l’yttrium et le scandium);
les minerais non métalliques (pierres gemmes comme : le diamant, mais également l'aigue-marine, l'apatite, le quartz enfumé, la labradorite, la cordiérite, la pyope, l'amazonite, la gaspéite, la scapolite, etc.).
En 2015, l'ensemble de l'industrie minière a généré des revenus de 5,8 milliards, regroupait une cinquantaine d'entreprises et employait plus de 45 600 personnes.
En ce qui concerne le secteur de l'exploitation et du traitement des minerais, on y retrouvait 21 compagnies d'exploitation minière qui employaient plus de 13 600 travailleuses et travailleurs, notamment plusieurs mécaniciens industriels.
Près de 30 % de la main-d’œuvre de l’industrie minière devrait prendre sa retraite au cours des cinq prochaines années. Cet important besoin de main-d’œuvre pose aussi le défi d’intégrer rapidement un grand nombre de travailleurs aux particularités de l’emploi dans le secteur minier.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines; le métier de mécanicien(ne) industriel figure au 4e rang des métiers les plus en demande dans l'industrie minière.
L'industrie québécoise de la première transformation des métaux :
En 2016, elle générait des revenus de plus de 5,5 milliards $, soit 40 % de la production canadienne de métaux et 12 % du secteur manufacturier québécois.
Elle comptait 118 entreprises qui employaient plus de 20 300 travailleuses et travailleurs principalement concentrés dans les régions de la Montérégie, du Saguenay-Lac-St-Jean et de Montréal, mais également dans les régions de la Côte-Nord, du Centre-du-Québec et de Québec.
Plus de 41 % des entreprises de l'industrie emploient moins de 50 personnes, 17 % entre 50 et 99 personnes, 20 % entre 100 et 199 personnes, alors que seulement 22 % sont des entreprises de grande taille ayant 200 employés et plus.
Par contre, ce sont les grandes entreprises qui employaient la majorité des travailleurs(euses) de cette industrie avec une part de 72 %.
Plus de 42 % des emplois sont au sein des grands producteurs et transformateurs d'aluminium, 21 % au sein des grands producteurs et transformateurs de métaux non ferreux (cuivre, zinc), 19 % au sein des grandes producteurs sidérurgique (acier), alors que 17 % sont au sein des fonderies.
Le secteur de la première transformation des métaux reprend confiance après avoir subi les impacts de la crise économique et boursière de 2008 et 2009. La forte remontée des prix des métaux industriels au cours des derniers mois de 2016, les signes d’accélération de l’économie mondiale encourageants qui se sont traduits par une demande plus forte des métaux en 2017 et la tendance à la hausse des prix des métaux de base devrait ainsi se poursuivre au cours des prochains.
Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de la métallurgie; le métier de mécanicien(ne) industriel figure dans le top 10 des métiers les plus en demande dans l'industrie de première transformation des métaux.
Ces signes laissent prévoir de très bonnes perspectives d'emploi au cours des prochaines années au sein de cette industrie.
L'industrie aérospatiale québécoise :
Elle représente à elle-seule près de 56 % de toute l'industrie aérospatiale canadienne et figure en 6e position au niveau mondial (après l'État de Washington aux USA, la région des Midi-Pyrénées en France, le comté de Hampshire en UK, l'État d'Hessen en Allemagne et la région de Madrid en Espagne).
Ce sont principalement des industries de l'aéronautique pour l'aviation civile que l'on retrouve (systèmes, composantes, pièces et assemblage d'aéronefs), mais également quelques entreprises sont liées à l'industrie spatiale (satellites ou ses composantes ou pièces).
Quelques entreprises québécoises fabriquent des composantes et pièces pour aéronefs civils, mais également pour des aéronefs militaires, mais le marché de la Défense au Québec n'est pas très importante.
Au Québec; on y assemble des avions long courrier, avions régionaux, des avions d'affaires, des hélicoptères civils, des aubes de moteurs d'aéronefs, des turbines à gaz pour moteurs d'aéronefs, des trains d'atterrisssages pour aéronefs, des simulateurs de vol professionnels pour avions régionaux et avions d'affaires, des composantes de structures pour aéronefs et bien d'autres.
En 2016, l'industrie aéronautique québécoise, c'était :
2e rang en Amérique du Nord pour la concentration des activités de l'industrie aérospatiale derrière Seattle
6e rang mondial sur le plan des emplois (derrière les États-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Espagne)
205 entreprises de toutes tailles (dont 180 PME)
39 100 emplois (dont la plupart sont spécialisés ou ultra-spécialisés)
un chiffre d'affaires de 14,4 milliards $
55 % des ventes aérospatiales canadiennes
70 % des dépenses totales en recherche et développement canadienne
L'industrie québécoise du matériel de transport terrestre :
Elle est le plus important secteur de l'industrie de la fabrication mécanique et l'un des plus importants secteurs industriels au Québec.
En 2015, son marché génère des revenus de plus de 11,4 milliards $.
Elle regroupait plus de 680 entreprises qui employaient près de 38 000 travailleuses et travailleurs dans différentes régions du Québec.
Elles étaient principalement concentrées dans les régions suivantes : Laurentides, Estrie, Centre-du-Québec, Montérégie, Chaudière-Appalaches, Bas-St-Laurent, Lanaudière, Île-de-Montréal et Laval.
On peut diviser cette industrie en 6 sous-secteurs, soit :
Véhicules commerciaux, spéciaux et
utilitaires : comprend les constructeurs de camions
lourds, de véhicules industriels et de véhicules utilitaires (sauf les
machineries lourdes), ainsi que ainsi que de tous systèmes, composantes
ou pièces pour ces véhicules.
On y retrouvait plus de
400 entreprises (dont plus du deux-tiers y
consacrent au moins la moitié de leurs activités dans ce sous-secteur)
qui généraient des revenus de plus de 2,3 milliards $
et qui employaient plus de 16 800 travailleuses et
travailleurs, concentrés principalement dans les régions de la
Montérégie, de Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, des
Laurentides et de Laval.
On y assemble de fourgons, camions moyens et autres
véhicules commerciaux (camions à déchets, camions à benne basculante,
camions à grue, camions à nacelle, camions à plateforme, camions
aspirateurs, camions blindés, camions cellulaires, camons citernes,
camions cubes moyens, camions cubes lourds (sur tracteurs semi-remorque,
camions d'élagage, camions de déneigement, camions de lignes, camions
incendie, camions isothermes, camions manipulateurs de tourets à câble,
camions ravitailleurs d'aéroport, camions militaires, camions
réfrigérés, camions vacuum, dépanneurs pour véhicules légers,
dépanneuses pour véhicules lourds, unités mobiles, véhicules
ambulanciers, etc.); des remorques pour camions; ainsi que toutes sortes
de systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Autobus et autocars :
comprend les constructeurs d'autobus urbains, d'autobus scolaires,
d'autocars, de minibus scolaires, de minibus adaptés, de minibus
commerciaux, ainsi que de tous systèmes, composantes ou pièces pour ces
véhicules.
On y retrouvait plus de 100
entreprises (dont plus du deux-tiers y consacrent au moins la
moitié de leurs activités dans ce sous-secteur) qui généraient des
revenus de plus de 2 milliards $ et qui employaient plus de
5 600 travailleuses et travailleurs, principalement concentrés dans
les régions des Laurentides, de Chaudière-Appalaches, du
Centre-du-Québec et de la Montérégie.
Véhicules récréatifs : Le
Canada, principalement le Québec est reconnu mondialement pour ses
produits récréatifs figurant au 6e rang mondial (derrière les
USA, le Japon, la Chine, l'Allemagne et l'Italie), principalement pour
ses motoneiges et ses quads et leurs composantes.
Il comprend les
manufacturiers de tous véhicules, systèmes, composantes ou pièces pour
véhicules pour usage récréatif sur route ou hors-route. On y comptait
près d'une centaine de manufacturiers qui
généraient des revenus de plus de 1,5 milliards $
et qui employaient plus de 5 100 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrées dans les régions de
l'Estrie (61 % et du Centre-du-Québec (17 %). Par contre, presque la
moitié (48 %) des entreprises de l’industrie exercent moins de 25 % de
leurs activités dans ce secteur.
On y assemble des véhicules
récréatifs (motoneiges, motocyclettes à 3 roues à essence,
motocyclettes à 3 roues électriques, motocyclettes électriques, quads
(VTT), VR motorisés de classe A, B ou C pour le camping, bicyclettes
électriques, des karts, des voiturettes électriques de golf, des
voiturettes électriques utilitaires, etc.); ainsi que toutes sortes de
systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Pièces pour automobiles :
bien qu'aucune usine d'assemblage d'automobiles n'est présente au
Québec, on y fabrique plusieurs pièces destinées aux usines de
constructeurs américains, japonais ou allemands. On y compte plus de
130 manufacturiers (principalement des PME)
ayant chiffre d'affaires de plus de 1,2 milliards
et qui employaient près de 5 700 travailleuses et
travailleurs.
Les entreprises sont principalement
concentrées en Estrie, en Montérégie et en Chaudière-Appalaches, mais
aussi dans le Centre-du-Québec et sur l'Île-de-Montréal.
On y
fabrique notamment : des composants électroniques ou électromécaniques
pour automobiles, des pièces en métal, des pièces en plastique, en
caoutchouc ou en composites pour automobiles, ainsi que des remorques
utilitaires pour automobiles et camionnettes, etc.
Matériel ferroviaire : le
Canada, principalement le Québec est bien connu comme un fournisseur
leader mondial dans le matériel ferroviaire allant des trains de
banlieue, en passant par les tramway jusqu'au TGV.
Il comprend
165 entreprises (dont 70 qui consacrent au moins
la moitié de leurs activités dans le domaine ferroviaire) qui généraient
un chiffre d'affaires de près de 1 milliard de $
et qui employaient plus de 4 900 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrés dans les régions de la
Montérégie (34 %), de Montréal (31 %) et du Bas-St-Laurent (15 %).
On y assemble des voitures de passagers de trains et
métros, d'autres véhicules ferroviaires (automotrices électriques et
véhicules de service ou d'entretien sur rails); des composants,
instruments ou systèmes, ainsi que des pièces pour voitures de trains,
tramways et métros, etc.
Véhicules électriques et
hybrides : bien qu'il ne forme pas un secteur industriel
distinct; de nombreux fournisseurs des usines de montage des véhicules
électriques traitent aussi avec les usines de montage des véhicules à
moteur à combustion interne et font partie, par conséquent, du secteur
du matériel de transport terrestre. Actuellement, on retrouve une
vingtaine de manufacturiers de véhicules électriques ou de leurs pièces
ou composantes.
On y assemble des véhicules
électriques ou hybrides (bicyclettes électriques, motocyclettes
électriques, micro-camion entièrement électrique, camions à déchets
hydrides, camions électriques camions à benne basculante, camions
électriques à nacelle camions électriques camions à plateforme, camions
légers, autobus urbains hybrides, minibus touristiques électriques,
tracteurs de camion hybrides, trains et rames de métro électriques,
etc.).
L'industrie québécoise de la fabrication métallique industrielle :
Ce industrie comprend les activités principales qui consistent à forger, estamper, former, tourner et assembler des éléments en métaux ferreux (dont l'acier) et non ferreux (principalement l'aluminium, mais également le cuivre, magnésium, zinc, silicium); pour fabriquer, entre autres, coutellerie et outils à main, produits d’architecture et éléments de charpentes métalliques, chaudières, réservoirs, conteneurs d’expédition, quincaillerie, ressorts et produits en fil métallique, produits tournés, écrous, boulons et vis et tous autres produits en métal.
On réfère ici à tout ce qui entoure la seconde transformation du métal, à savoir tous les procédés d’usinage – fraisage, tournage, sciage, perçage, alésage, coupage, poinçonnage, pliage, ébavurage et meulage –, les procédés de soudage et les procédés de finition de surface – polissage, placage, peinture et traitement thermique - pour fabriquer produits et pièces métalliques servant à diverses industries ou bien à la fabrication de machines.
Avec la présence de 8 alumineries, de 4 aciéries, de 2 affineries de cuivre et autres métaux non ferreux et de plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreuxde plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreux; le Québec est bien outillé pour approvisionner les manufacturiers de produits métalliques de toutes sortes.
En 2014, cette industrie comptait près de 1 900 entreprises ayant généré un chiffre d'affaires de plus de 18,6 milliards de $ et qui employaient près de 44 600 travailleuses et travailleurs un peu partout dans la province. Ce nombre n'inclut pas des entreprises et les emplois dans l'industrie du matériel de transport (de gros employeurs en métallurgie), ainsi que ceux travaillant dans la construction.
Ces entreprises sont principalement concentrées dans les régions de de l'Île-de-Montréal, de la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Québec, Lanaudière, Laurentides et Centre-du-Québec.
Elle comprend notamment les 3 sous-secteurs suivants, soit :
Produits d'architecture et éléments de charpentes
métalliques : comprend toutes les entreprises spécialisées dans la
fabrication de tôles fortes et éléments de charpentes métalliques, ainsi
que la fabrication de barres d’armature pour le béton à partir de
matériaux achetés et la préfabrication de bâtiments métalliques; ainsi
que la fabrication de produits métalliques d’ornement et d’architecture
pour les bâtiments.
On y retrouve plus de 570 entreprises
(dont 84 % ont moins de 50 employés) ayant généré des revenus de près de
4 milliards $ et qui employaient plus de 17 300 travailleuses et travailleurs;
principalement concentrés dans les régions de l'Île-de-Montréal,
Montérégie, Chaudière-Appalaches et Lanaudière.
Pièces industrielles : ce sous-secteur
comprend les entreprises spécialisées dans la fonte, le raffinage ou
l'extrusion du cuivre, du magnésium et du zinc afin de produire des
alliages pour des applications industrielles.
On y comptait plus
de 660 entreprises ayant généré des revenus totalisant plus de 700
millions $ et qui employaient plus de 11 100 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrées dans les régions de Montréal,
Montérégie, Chaudière-Appalaches et Saguenay-Lac-St-Jean.
Pièces pour machines et équipements industriels
: comprend toutes les entreprises qui fabriquent des pièces en métal
(acier, aluminium ou autre) destinés à la fabrication de machines et
équipements pour différentes types d'industries (usines alimentaires,
papetières, scieries, fabricants de produits en plastique, etc.).
On y comptait plus de 440 entreprises ayant généré des revenus
totalisant plus de 700 millions $ et qui employaient plus de 8 000
travailleuses et travailleurs, principalement concentrées dans les
régions de Montréal, Montérégie, Chaudière-Appalaches et
Saguenay-Lac-St-Jean.
Chaudières, réservoirs et contenants d'expédition
: comprend plus de 75 entreprises ayant généré des revenus de plus de
560 millions $ et qui employaient près de 2 300 travailleuses et
travailleurs, surtout concentrées dans les régions de Montréal et de la
Montérégie.
Parmi les produits fabriqués en tôle épaisse, il y a
: les silos à grain, les réservoirs à eau chaude, les fosses septiques,
les vaisseaux à pression, réacteurs, échangeurs de chaleur, mélangeurs,
malaxeurs, appareils à pasteurisation ou refroidisseurs utilisés dans
l’industrie alimentaire, pharmaceutique ou chimique, les grands
conteneurs destinés au stockage ou au transport de marchandises ou de
produits dangereux, etc.
Parmi les produits fabriqués en tôle
mince, on retrouve : les divers récipients tels les barils, bidons,
glacières, coffres à outils, cannettes en aluminium, boîtes de conserve,
pots de peinture et tubes de pâte à dents, bacs
roulants en métal,
bacs extérieurs pour déchets, containers portuaires,
canettes de boissons en magnésium, boîtes de conserves, boîtiers d'ordinateurs
portables en magnésium, emballages commerciaux ou industriels, boîtiers
d'appareils photo en magnésium, boîtiers pour tablettes et téléphones,
boîtiers pour appareils électroménagers, boîtiers pour appareils
électroniques, boîtiers pour machines de bureau, etc.
L'industrie de la fabrication de machines et équipements industriels :
L'industrie québécoise de la fabrication de machines et d'équipements industriels est le 3e principal secteur de l'industrie de la fabrication mécanique. Bien qu'il ne soit pas aussi important que les précédents, c'est un secteur important car c'est elle qui permet à plusieurs autres secteurs de fonctionner dans leur domaine.
Bien qu'elle soit généralement intégrée à l'industrie de la fabrication métallique industrielle, elle peut être un secteur indépendant.
En 2015, elle a généré des revenus totalisant plus de 6,1 milliards $ dans l'économie québécoise.
Elle compte plus de 1 050 entreprises qui employaient plus de 32500 travailleuses et travailleurs dans plusieurs régions du Québec.
Bien que majoritairement concentrées majoritairement concentrées dans les régions de la Montérégie et de Montréal, on les retrouve également dans plusieurs autres régions, telles que : Chaudière-Appalaches, Lanaudière, Saguenay-Lac-St-Jean, Mauricie, Centre-du-Québec, Laurentides, Laval, Estrie et Bas-St-Laurent.
Elle est divisée en 6 sous-secteurs, soit :
Machines et équipements industriels :Ce
sous-secteur permet aux industries de tous les secteurs de produire de
façon optimale leurs biens grâce à des machines et équipements modernes
et performants. Par contre, elle fonctionne bien dépendamment de la
santé économique du secteur de ses clientes.
Le marché était
évalué à 1,8 milliards de dollars. On retrouvait plus de 250
manufacturiers qui employaient plus de 9 200 travailleuses et
travailleurs. Ce sont surtout les machines pour les industries
alimentaires, papetières, pharmaceutiques, de la métallurgie (notamment
pour les alumineries), de la plasturgie, des cosmétiques, ainsi que pour
les centrales hydroélectriques qui sont produits au Québec.
Ces entreprises sont majoritairement concentrées dans les régions de la
Montérégie et de Montréal, mais aussi au Saguenay-Lac-St-Jean (notamment les
fournisseurs d'équipements pour alumineries), Mauricie, Chaudière-Appalaches, Laval, Québec, Centre-du-Québec et Estrie.
Parmi les types de machines et équipements fabriqués au Québec, il y a :
machines et équipements pour centrales hydroélectriques;
machines et
équipements pour
industries alimentaires; machines et équipements pour l'industries
papetières); machines et
équipements pour les
scieries (déchiqueteuses
stationnaires, ponceuses stationnaires, dresseuses, scies à ruban, machines à
traiter le bois, raboteuses, dégauchisseuses, tours à bois, machines à
façonner les contre-plaqués, séchoirs à bois, etc); machines et équipements pour industries mécaniques ou du
transport;
machines pour usines de traitement ou filtration de l'eau;
etc.
Matériel et Équipements de
manutention : Ce sous-secteur avait un marché de près de 1,4
milliards de dollars dont la majorité des produits sont exportés, bien
que plusieurs autres sont vendus au pays.
Il comptait plus de 300
entreprises qui employaient un peu plus de 2 900 travailleuses et
travailleurs réparties dans différentes régions de la province dont notamment
: Montérégie, Montréal, Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean,
Chaudière-Appalaches, Laval, Centre-du-Québec, Mauricie, Estrie, Laurentides
et Québec.
On y fabrique notamment : des convoyeurs; du matériel de levage;
de systèmes et équipements
de manutention; d'autres matériel de manutention; etc.
Machineries lourdes et machines connexes :
dans ce sous-secteur, on y produit des machineries pour l'agriculture,
pour la construction de génie civil, pour la production agricole, pour
l'exploitation forestière, minière, gazière et pétrolière, pour les
carrières et pour l'entretien routier.
Le marché a généré des revenus de plus de 1,1
milliards de dollars. On y retrouvait plus de 150 manufacturiers qui
employaient plus de 4 500 travailleuses et travailleurs partout au
Québec. Ce sont les machines agricoles qui occupent la plus grande part
du marché avec la moitié de toute la production de machineries.
Elles sont concentrées dans les régions de la Montérégie, de
Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, de Montréal, de
l'Abitibi-Témiscamingue et du Bas-St-Laurent.
On y fabrique des machines et équipements agricoles;
des machines et
équipements pour la construction et l'entretien routier; des machines
et équipements forestiers; des machines
et équipements miniers et de carrières; etc.
Outillage hydraulique, mécanique
et pneumatique industriel : ce sous-secteur comprend tous les
types d'outils et de matrices industriels, des outils de coupe pour le
travail du bois, du métal ou du plastique, des outils pour l'exploitation
forestière, des outils agricoles, des outils pour la construction, des
outils pour le forage et l'industrie minière, des machines-outils
conventionnels pour l'usinage et autres types d'outils mécaniques,
hydrauliques et pneumatiques.
ll y a plus de 200 entreprises, majoritairement des PME
ayant généré des revenus de plus de 900 millions $ qui employaient plus
7 300 travailleuses et travailleurs. Elles sont principalement concentrées
dans les régions du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches, de l'Estrie,
du Saguenay et Lac-St-Jean, de la Montérégie et de Montréal.
Matériel de
transmission d'énergie mécanique et turbines : a généré des revenus
de plus de 400 millions $, on
y retrouvait plus de 80 entreprises qui employaient plus de 6 000 travailleuses et
travailleurs. Par contre, la plupart de ces entreprises sont aussi présentes
dans d'autres secteurs.
On y fabrique notamment les produits suivants
: accumulateurs hydrauliques, boîtes de vitesse, multiplicateurs ou
réducteurs, contrôleurs pneumatiques, moteurs diesels stationnaires, moteurs freins, moteurs rotatifs
à combustion continue, moteurs rotatifs à vapeur, moteurs rotatifs pneumatiques, moto-réducteurs, turbines à
gaz pour moteurs d'aéronefs, turbines hydrauliques, turbocompresseurs, unités de puissance
hydraulique, unités de puissance pneumatique, vérins hydrauliques pour
barres hydroélectriques, vérins
hydrauliques pour ascenseurs, vérins hydrauliques pour industries, vérins hydrauliques télescopiques, vérins
pneumatiques, etc.
Compresseurs, pompes et
ventilateurs : C'était un marché évalué à plus de 400 millions de
dollars, comprenait plus de 70 entreprises qui employaient près de 1 800
travailleuses et travailleurs principalement concentrées dans les régions de
Montréal, Laval, Lanaudière et Québec.
On y fabrique : des aérateurs
et extracteurs d'air pour toits, des groupes compresseurs et
surcompresseurs d'air ou de gaz, des ventilateurs et soufflantes
centrifuges industriels, des contrôleurs pour pompes, des postes de
pompage d'eaux usées, des conduits d'air industriels, des fours
industriels, des dépoussiéreurs, des capteurs de fumée, de poussières ou
autres particules, des systèmes de récupération de chaleur, des systèmes
de traitement d'air industriels, des pompes (à condensat, à turbines
verticales, d'égout submersibles, de puisard d'égout, de puisard pour
eau claire, d'incendie, horizontales à aspiration par le bout,
horizontales à double aspiration, verticales en ligne, etc.); etc.
Sources : Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie aérospatiale du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie minière, Industrie Canada, Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Emploi-Québec, Pôle d'excellence de l'industrie du matériel de transport terrestre du Québec.
LES
PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études professionnelles en mécanique industrielle et de chantier D.E.P. a une durée totale de 1 800 heures, c’est-à-dire 2 ans (16 mois) à temps complet. Il comporte des cours d'introduction au métier, traçage de croquis et schémas, interprétation de plans, devis et documentation technique, santé et sécurité sur les chantiers de construction, instruments de mesure, usinage manuel, opérations de lubrification, techniques de levage et de manutention, démontage, installation et ajustements d'arbres, de roulement et de coussinets, techniques d'entretien et de réparation de dispositifs de transmission et de transformation du mouvement, travaux sur les tubes, tuyaux et boyaux, techniques d'alignement, techniques d'entretien et de réparation de pompes et moteurs industriels, vérification de composants électriques d'équipements de production industrielle, techniques d'entretien, de réparation et d'ajustement de pompes à vide, de moteurs pneumatiques et de compresseurs, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits hydrauliques et électrohydrauliques, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits pneumatiques et électropneumatiques, techniques d'équilibrage statique et dynamique, méthodes logiques de diagnostic, techniques d'analyses de vibrations, usinage sur machines-outils, travaux de façonnage, techniques de coupage, d'oxycoupage et de soudage, application du programme de maintenance préventive et prévisionnelle de l'équipement industriel, installation de l'équipement industriel, dépannage d'équipements industriels, ainsi qu'un stage en industrie d’une durée de 3 semaines, etc.
Certains établissements proposent des cheminements particuliers, en voici quelques exemples :
Cette formule te permettra la
poursuite simultanée d’un programme en formation professionnelle et
d’une formation générale secondaire, soit 3 jours en formation
professionnelle et 2 jours en formation générale à l’école
secondaire ou au centre d’éducation des adultes.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
(tu les retrouveras avec cette couleur).
CFP Harricana en Abitibi-Témiscamingue
Centre
d'excellence en formation industrielle de Windsor
CFP Carrefour Formation Mauricie en
Mauricie
Laurier Compentency
Development Centre dans les Laurentides
Campus Brome-Missisquoi en Montérégie
CFP Bernard-Gariépy
en Montérégie
École Polymécanique de
Laval dans la région de Laval
CIMME dans la
région de Montréal.
Souvent, l'employeur propose un emploi à la fin de la
formation.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette
formule (voir la section "endroits de formation"
pour une liste complète) :
(tu les retrouveras avec cette
couleur)
Centre d'excellence en formation industrielle de Windsor
CEFI en
Estrie
CFP de Portneuf dans la région de Québec
CIMIC en Chaudière-Appalaches.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
CFP de l'Estuaire en Côte-Nord
CFP de Sept-Îles en
Côte-Nord
Centre
d'excellence en formation industrielle de Windsor CEFI
en Estrie
CFP Carrefour Formation
Mauricie en Mauricie
CFP Performance Plus dans les
Laurentides
CFP de la Pointe-du-Lac en Montérégie
CIMME dans la région de Montréal.
l’alternance-travail-études
(trois stages de quatre semaines chacun en entreprise)
l’enseignement
individualisé (lecture et activités sous supervision d’un
enseignant);
l’approche par projets (résolution de problèmes
mécaniques authentiques);
l’enseignement par le biais de capsules
interactives
(apprentissage collectif de notions mécaniques).
Campus Brome-Missisquoi en Montérégie (temps partiel de jour, soit
16,5 heures sur 3 jours/semaine dans un environnement bilingue)
CFP de la Pointe-du-Lac en Montérégie (temps partiel de jour, soit
15 heures sur 3 jours/semaine avec possibilité un emploi à temps partiel
dans le domaine dans une entreprise de la région).
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une
liste complète), ainsi que la description du programme combiné
ci-dessous.
(tu les retrouveras avec cette
couleur).
CFP de l'Estuaire
en Côte-Nord
CFPRO à Matane dans le Bas-Saint-Laurent en
partenariat avec le CFP de la Côte-de-Gaspé en Gaspésie
Centre intégré de formation et
d'innovation technologique CIFIT
dans le Centre-du-Québec
Centre d'excellence
en formation industrielle de Windsor CEFI en Estrie
CFP de Portneuf dans la région de
Québec
CFP Le Tremplin en
Chaudière-Appalaches
CFP des Moulins dans Lanaudière
CFP Performance Plus dans les Laurentides
campus
Brome-Missisquoi en Montérégie
CFP Bernard-Gariépy
en Montérégie
CIMIC en Chaudière-Appalaches
Toutefois, compléter ta
formation en mécanique industrielle par un D.E.P. en soudage-montage (2
ans) te permettra d'obtenir un poste de mécanicien-soudeur très
recherché par les employeurs de plusieurs secteurs industriels (aérospatiale,
matériel de transport terrstre, construction navale, fabrication
métallique industrielle et première transformation des métaux).
Pour plus de détails, voir le D.E.P. en mécatronique offert par l'École
Polymécanique de Laval ci-dessous.
Toutefois, seulement quelques cours pourront être
reconnus et généralement, la durée du programme de D.E.C. ne sera pas
raccourcie.
Pour plus de détails,
consulte la section "DEP-DEC" ci-dessous.
Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP de l'Estuaire (Côte-Nord);
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP de Sept-Îles (Côte-Nord);
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP Harricana (Abitibi-Témiscamingue);
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP de Jonquière (Saguenay-Lac-Saint-Jean);
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP Carrefour Formation Mauricie (Mauricie);
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP Expé (Estrie);
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP des Moulins (Lanaudière);
Le Diplôme d’études professionnelles en mécatronique D.E.P.-A.S.P. offert à l'École Polymécanique de Laval (voir la vidéo promotionnelle) a une durée totale de 2 250 heures, c’est-à-dire 2 ans (19 mois) à temps complet seulement. La particularité de ce programme est qu'il combine la formation du DEP en mécanique industrielle et de chantier avec celle du ASP en mécanique d'entretien en commandes industrielles en même temps (en incluant un trimestre d'été), soit 1 800 heures pour le DEP et 450 heures pour l'ASP.
Ce domaine est fait appel à la mécanique, à l'électrotechnique, à l'électronique, à l'automatisation, à l'informatique et aux techniques industrielles. Il permet de travailler comme mécanicien industriel spécialisé en automatisation principalement au sein des entreprises manufacturières très automatisées (industries aérospatiales, industries du matériel de transport, industries métallurgiques, industries chimiques, etc).
En plus des cours du DEP en mécanique industrielle dont le stage industriel de 3 semaines, il comporte également des cours sur les circuits hydrauliques complexes, les notions d'hydraulique proportionnelle, techniques d'installation et réparation de commandes d'hydraulique proportionnelle, techniques de montage et dépannage de circuits pneumatiques complexes, manipulations industrielles (types de manipulateurs, organes terminaux, capteurs, actuateurs), programmation et utilisation d'automates programmables et ordinateurs industriels, installation de commandes et manipulateurs industriels, ainsi qu'un second stage industriel d'une durée de 2 semaines.
Le Double diplôme d’études professionnelles en électromécanique et en mécanique industrielle D.E.P. offert dans certains centres a une durée totale de 2½ ans à temps complet. Cette formule combine la formation de chacun des 2 programmes, mais en excluant les cours qui se dédoublent puisqu'ils sont offertes dans chacun de ces programmes.
Dans la partie électromécanique; tu auras des cours en santé et sécurité en industrie, utilisation de l'ordinateur, vérification d'un circuit électrique, dessin d'un croquis, travaux d'usinage manuel, déplacement d'un équipement, raccordement de conduits, circuits d'électronique industrielle, techniques d'usinage sur machines-outils, analyse d'un circuit logique, alignement conventionnel, maintenance de dispositifs mécaniques, montage pneumatique, montage hydraulique, maintenance d'un circuit de moteur, maintenance d'équipements hydrauliques et pneumatiques, calibrage d'un bouche de contrôle, maintenance de circuits électro-hydrauliques et électro-pneumatiques, programmation d'un automate, vérification et réparation d'un dispositif électronique de commande de moteur, installation d'un système automatisé, maintenance planifiée, dépannage d'un système automatisé, ainsi qu'un stage d’intégration en industrie d’une durée de 3 semaines.
Alors que dans la partie mécanique industrielle; tu auras les cours suivants : instruments de mesure, opérations de lubrification, techniques de levage et de manutention, démontage, installation et ajustements d'arbres, de roulement et de coussinets, techniques d'entretien et de réparation de dispositifs de transmission et de transformation du mouvement, travaux sur les tubes, tuyaux et boyaux, techniques d'alignement, techniques d'entretien et de réparation de pompes et moteurs industriels, vérification de composants électriques d'équipements de production industrielle, techniques d'entretien, de réparation et d'ajustement de pompes à vide, de moteurs pneumatiques et de compresseurs, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits électrohydrauliques, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits électropneumatiques, techniques d'équilibrage statique et dynamique, méthodes logiques de diagnostic, techniques d'analyses de vibrations, usinage sur machines-outils, travaux de façonnage, techniques de coupage, d'oxycoupage et de soudage, application du programme de maintenance préventive et prévisionnelle de l'équipement industriel, installation de l'équipement industriel, dépannage d'équipements industriels, ainsi qu'un stage en industrie d’une durée de 3 semaines, etc.
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFPRO à Matane
la vidéo promotionnelle réalisée par le CFP de Portneuf
la vidéo promotionnelle réalisée par le CIFIT à Victoriaville
la vidéo promotionnelle réalisée par l'École des métiers du Sud-Ouest de Montréal.
Qu'est-ce qu'un programme DEP-DEC ?
Consulte la page suivante
Il permet de se faire reconnaître des acquis du D.E.P. en mécanique industrielle dans le cadre d'un D.E.C. technique.
Donc, tu pourras obtenir 2 diplômes en 5 ans.
Toutefois, dans la plupart des passerelles, elles ne permettent pas de raccourcir la durée des études collégiales.
Voici les ententes actuellement offertes :
(D.E.C. en technologie de la mécanique industrielle)
Cégep de la Gaspésie : tous les centres de formation
Cégep de Lévis : toutes les centres de formation
Cégep de Sherbrooke : enternte avec le Centre d’excellence en formation industrielle de Windsor
(D.E.C. en technologie de l'électronique industrielle)
pour titulaires du Double D.E.P. en électromécanique et mécanique industrielle
Cégep de Victoriaville : entente avec le CIFIT
Cégep de Lévis : tous centres de formation
Cégep Montmorency : tous centres de formation
(D.E.C. en technologie du génie industriel)
Cégep de Beauce-Appalaches : tous les centres de formation
(D.E.C. en technologie du génie mécanique)
Cégep de Thetford
:
PERFECTIONNEMENT ET ÉTUDES SUPÉRIEURES :
Ce programme a pour but de t’intégrer au marché
du travail, mais il te sera également possible de te perfectionner dans le
cadre dans le cadre de l'un des programmes suivants :
D.E.P. en électromécanique (formation complémentaire de 405 heures) pour titulaires d'un DEP en mécanique industrielle offert à l'École des métiers du sud-ouest de Montréal (à temps partiel de soir à l'automne), École Polymécanique de Laval (à temps partiel de soir à l'automne), le CFP de Sorel-Tracy (à temps partiel de jour à l'automne), le CFP Performance Plus dans les Laurentides (à temps partiel de jour à l'automne), le CIMIC en Beauce (à temps partiel de jour à l'automne) et le CFP de Jonquière (à temps partiel de soir à l'automne).
Attestation de spécialisation professionnelle en mécanique d’entretien en commandes industrielles A.S.P. ofert au Carrefour Formation Mauricie à Shawinigan en Mauricie (admissions de jour en enseignement individualisé avec entrées périodiques au cours de l'année scolaire, voir la vidéo promotionnelle), au CFP de Sorel-Tracy en Montérégie (admissions de soir à l'hiver) et à l'École polymécanique de Laval (admissions de soir à l'hiver, voir la vidéo promotionelle)
Attestation d'études collégiales en automatisation et instrumentation industrielles A.E.C. offert au Cégep de Lévis-Lauzon (510 heures à temps partiel de soir) destiné spécifiquement aux titulaires d'un D.E.P. en électromécanique, électricité ou mécanique industrielle
Attestation d'études collégiales en hydraulique industrielle A.E.C. (180 heures à temps partiel de soir) offert au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue
Attestation d'études collégiales en modélisation 3D d'applications industrielles spécialisées A.E.C. (225 heures à temps partiel de soir) offert au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue
Attestation d'études collégiales en programmation avancée des contrôleurs industriels A.E.C. (255 heures à temps partiel de soir) offert au Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne
Attestation d'études collégiales A.E.C. en t
Attestation de formation en robotisation et automatisation offert au Cégep de Lévis-Lauzon
Attestation de formation en conception et maintenance d'unité hydraulique pour équipement fixe offert au Cégep du Vieux-Montréal
Tu pourras aussi
poursuivre tes études au collégial dans le cadre du D.E.C. en technologie de
maintenance industrielle.span>
EXIGENCES
D’ADMISSION :
-
Soit détenir le D.E.S.
-
Soit avoir 16 ans et avoir réussi les cours de français, anglais et
mathématiques de 4e secondaire ou leurs équivalents
-
Soit avoir 18 ans et posséder des connaissances équivalentes
Note :
il est recommandé d’avoir réussi le cours mathématiques 436 ou son équivalent
AUTRE EXIGENCE
D’ADMISSION :
- Avoir réussi le cours de maths de 4e secondaire TS ou SN 4e (ou maths 436) (CFP de Sorel-Tracy)
- Possibilité d'un test de sélection (habiletés manuelles, de résolution de problèmes et de personnalité), et/ou entrevue (CFP Manicouagan)
- Assister à une rencontre obligatoire (CFP des Moulins)
STATISTIQUES
D’ADMISSION :
Aucun
contingentement à ce programme
Qu'est-ce que l'alternance travail-études ?
Qu'est-ce que l'enseignement individualisé ?
Qu'est-ce que la
concomitance D.E.S./D.E.P.
-
Centre de formation professionnelle de la Baie-James, Chibougamau (C.S.S. de
la Baie-James)
obtention d'une
bourse
d'études
de
3 000 $
remise (à la fin de la diplomation) à
TOUS les étudiants(es) québécois admis pour la première fois en formation
professionnelle dans un programme de D.E.P. offert par le centre;
offert en
enseignement individualisé en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
et l'entente
DEP-DEC en technologie de l'élecronique
industrielle conjointement avec le
admissions à temps complet de jour
avec entrées continues tous les mois au cours de l'année scolaire.
Côte-Nord :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1
700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
enseignement individualisé en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
et l'entente
DEP-DEC en technologie de l'élecronique
industrielle conjointement avec le
admissions à temps
complet de jour avec entrées périodiques à l'automne et à l'hiver.
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1
700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
enseignement individualisé en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
Bas-Saint-Laurent :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en formule traditionnelle
de groupe en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle
seulement
en
2½ ans
offert conjointement avec le CFP de la Côte-de-Gaspé
(regarde la
vidéo
promotionnelle),
admissions à temps complet de jour
à l'automne.
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
offert en
formule intensive sur 16 mois,
possibilité de compléter ta formation avec
un
D.E.P. en soudage-montage
A.S.P. en mécanique d'entretien en commandes industrielles
de 450 heures également offerte (exclusif
dans l'Est du Québec),
admissions
à temps complet de jour à l'automne et à l'hiver.
Ouest et centre du Québec (Abiti-Témiscamingue, Centre-du-Québec,
Estrie, Mauricie, Outaouais) :
Abitibi-Témiscamingue :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1
700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
possibilité d'obtenir une
bourse d'études
permettant d'offrir
l’hébergement en résidence étudiante à tarif réduit aux étudiants(es)
de l’extérieur de la MRC de l'Abitibi-Ouest voir la
page suivante,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
Centre-du-Québec :
- Centre intégré de
formation et d'innovation technologique CIFIT, Victoriaville (C.S.S.
des Bois-Francs)
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle
seulement
en
2½ ans
(regarde la
vidéo
promotionnelle),
offert en
alternance travail-études
(plus de 420 heures de stages rémunérés en entreprise),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique
industrielle offerts conjointement avec le
Cégep de Sherbrooke,
le
Estrie :
-
Centre de formation
professionnelle Expé,
campus de
Windsor
(C.S.S. des Sommets),
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle
seulement
en
2½ ans
offert conjointement avec le
CFP 24-Juin,
offert en
alternance travail-études
(plus de 360 heures de stages rémunérés en entreprise)
en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
ET
en
ET en
formule multimodale - exclusive au Québec
proposant
différentes approches d'enseignement combinées afin de consolider
l'apprentissage du métier et d'assurer une meilleure intégration au marché du
travail (apprentissage par projets APP, apprentissage par capssules
interactives, enseignement selon ton rythme et stages rémunérés en entreprise),
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire,
voir la
page suivante),
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
formation offerte en
français ou en
anglais,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
possibilité de compléter ta formation avec un
D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique
industrielle offert conjointement avec le
Cégep de Sherbrooke,
admissions à
temps complet de jour (35 heures sur 5 jours) à l'automne (D.E.P. seul et double
D.E.P.),
OU
admissions à temps partiel de jour (16,5 heures sur 3 jours) à l'automne
(D.E.P. seul).
Mauricie :
-
Centre
de formation professionnelle Carrefour Formation Mauricie
offert en
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
A.S.P. en mécanique d'entretien en commandes industrielles
de 450 heures également offerte
(exclusif
dans le Centre et Ouest du Québec),
regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique
industrielle offert conjointement avec le
Cégep de Sherbrooke,
le
Outaouais :
-
Cité
Collégiale
(collège public de l’Ontario), campus de Hawkesbury
certificat
de la cité collégiale de formation de
offert selon la fomule "alternance travail-études",
Région
de Québec (Québec,
Chaudière-Appalaches, Beauce, Portneuf) :
Québec-métro :
-
Centre de formation
professionnelle de Portneuf, Donnacona (C.S.S. de Portneuf)
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle seulement
en
2½ ans
offert en
alternance travail-études
(plus de 420 heures de stages rémunérés en entreprise),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
possibilité
de compléter ta formation avec un
D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le
et le
Chaudière-Appalaches :
-
Centre de formation
professionnelle Le Tremplin, Thetford-Mines (C.S.S. des Appalaches),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle seulement
en
2½ ans,
- Centre intégré de
mécanique industrielle de la Chaudière CIMIC, campus de
St-Joseph-de-Beauce (C.S.S. de la Beauce-Etchemins, région
Chaudière-Appalaches)
double DEP en électromécanique et mécanique
industrielle seulement
en
2½ ans
offert en
formule DUALE
(15 heures de classe + 15 de travail rémunéré en entreprise chaque
semaine) conjointement avec de nombreuses entreprises partenaires de
la région,
accès à une
usine-école
dotée d'un parc de machines conventionnelles et automatisées diversifiées et
modernes dont : un atelier d'électromécanique et un atelier de mécanique
industrielle (dotés d'équipements hydrauliques, électrohydrauliques,
pneumatiques, électropneumatiques, mécaniques, électromécaniques et
électriques), d'un atelier d'automatisation et robotique (doté
d'automates et de robots), mais également un atelier de soudage, un
atelier d'usinage, un atelier de fabrication de
structures métalliques, un atelier de dessin technique, etc,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo
promotionnelle du double D.E.P.;
regarde la
vidéo promotionnelle du
centre,
possibilité de compléter ta formation avec un
D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi
le
le
le
et le
admissions
à temps complet de jour
Rive-Nord de Montréal :
- Centre de
formation professionnelle des Moulins, Terrebonne (C.S.S. des
Affluents)
offert en
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour
avec entrées périodiques au cours de l'année
scolaire (D.E.P. seul et double D.E.P.).
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
accès à un
parc complet d'équipements modernes
: machines conventionnelles, machines automatisées, pompes, moteurs et
autres équipements hydrauliques, pneumatiques, mécaniques, électriques,
électroniques, électrohydrauliques et électropneumatiques, etc,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
ou
admissions
à temps complet
de
jour
à l'hiver
(D.E.P. seul),
offert en
offert conjointement avec le CFP Performance Plus et dans les
locaux de ce centre,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
admissions
à temps complet de jour avec entrées continues tout au long de l'année
scolaire.
- Campus
Brome-Missisquoi, Cowansville (C.S.S. du Val-des-Cerfs / C.S.S. Eastern
Townships)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
formation offerte en
français ou en
anglais,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
offert en
enseignement individualisé,
possibilité de compléter ta formation avec un
D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le DEP-DEC en technologie du
génie mécanique offert conjointement avec le
Cégep de Valleyfield,
admissions
à temps complet de jour
(31 heures/sem) avec
entrées à tous les mois au cours de l'année scolaire
-
Centre de
formation professionnelle Bernard-Gariépy,
Sorel-Tracy (C.S.S. de Sorel-Tracy)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
possibilité
de compléter ta formation avec un
D.E.P. en soudage-montage,
A.S.P. en mécanique d'entretien en commandes industrielles
de 450 heures également offerte
(exclusif
en Montérégie),
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique
industrielle
offert conjointement avec le
Cégep de Sherbrooke,
OU
admissions à temps complet de soir à l'hiver.
Île-de-Montréal :
-
École des métiers du Sud-Ouest de Montréal, Montréal - arrondissement
du Sud-Ouest
(C.S.S. de Montréal)
offert en cheminement régulier
en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour OU de soir (30 hres/sem) à
l'automne (D.E.P. seul),
admissions à temps complet de jour (30 heures/sem) à
l'automne (double D.E.P.),
admissions à temps complet de soir (30 heures/sem) à l'automne
(double D.E.P.).
-
Centre intégré de la mécanique, de métallurgie et
d’électricité CIMME, Montréal - arrondissement LaSalle (C.S.S.
Marguerite-Bourgoys)
offert
en
enseignement individualisé,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
voir la
page suivante et le
vidéo
suivant,
regarde la
vidéo promotionnelle
du programme,
accès à une
usine-école
dotée d'un parc de machines conventionnelles et automatisées diversifiées et
modernes, d'atelier de coupage et d'oxycoupage, d'ateliers de pliage du métal,
d'ateliers d'assemblage, d'ateliers de soudage, ateliers d'usinage, d'ateliers
de mécanique industrielle et d'ateliers de dessin technique; pour plus de
détails, regarde la
vidéo
promotionnelle du centre,
possibilité de compléter ta formation avec un
D.E.P. en soudage-montage,
admissions à temps complet de jour OU de soir
à l'automne.
Tu désires avoir l’avis de mécaniciens(nes) industriels sur leur métier ?, alors consulte les vidéos suivants :
les entrevues avec Cédric Landry, Patrick Jean et Francis Mousse; le premier est étudiant et le second est enseignant en mécanique industrielle au CFP de l'Estuaire et le troisième est mécanicien industriel pour Hydro-Québec et réalisées par le CSS de l'Estuaire;
les entrevues avec Yanick Côté, Geneviève Gauthier et Yannick Eloquin; le premier est étudiant et la seconde est enseignante en mécanique industrielle au CFP de Sept-Îles et le troisième est co-propriétaire de HPC Hydraulique à Sept-Îles et réalisées par le CSS du Fer;
les entrevues avec Jean-Christophe Rioux, Gabriel Handfield, Émile Bernier et Alexis Garon; étudiants en mécanique industrielle au CFP Matanie-Vallée & Foresterie à Amqui et réalisées par le CSS des Monts-et-des-Marées;
les entrevues avec Marie-Anne Croteau, Louis Lescom, Stéphane Sigouin, David Bernard-Lacroix et François Bernard Lacroix; les deux premiers sont étudiants et le troisième est enseignant en mécanique industrielle au CFP Harricana à Amos et les derniers sont mécaniciens industriels chez Technosub, un manufacturier-distributeur de pompes et équipements de pompage situé à Rouyn-Noranda et réalisées par le CSS Harricana;
les entrevues avec Maxime Keeney, Dominique Audette-Cloutier; le premier est étudiant et la seconde est diplômée en mécanique industrielle au CFP Expéd et réalisées par le CSS des Sommets;
l'entrevue avec Sonia Rochette, étudiante au DEP en mécanique industrielle au CFP de Portneuf et réalisée par les Productions AH;
l'entrevue avec Samuel, étudiant en mécanique industrielle à l'École professionnelle de Jonquière et réalisée par l'Agence Polka pour la Centre de services scolaies de la Jonquière;
l'entrevue avec Alexandre Charlebois, étudiant au DEP en mécanique industrielle au CFP Performance Plus et réalisée par le CFP Performance Plus;
l'entrevue avec Vincent Lavergne, étudiant au DEP en mécanique industrielle de l'École Polymécanique de Laval et réalisée par la Commisison scolaire de Laval;
l'entrevue avec Daria Blaise; mécanicienne industriel chez AMNC, un entrepreneur en mécanique industrielle et réalisée par le Conseil provincial du Québec des métiers de la construction;
l'entrevue avec Alexandre Tremblay; mécanicien de projet chez Rio Tinto Énergie Électrique et réalisée par Rio Tinto;
des entrevues avec
Catherine Girard, François Laflamme et Philippe Plouffe,
la première est mécaniciennne apprentie tôlière chez Rio Tinto Fer et Titane,
le second est mécanicien industriel chez Xstrata et le troisième est
mécanicien d'entretien chez Arcelormittal et réalisées
par