Retour à la page du secteur communication et médias

Retour à la page du secteur lettres
Retour à la page du secteur sciences humaines
Retour à la page d’accueil

 

 

 

 

SECTEUR : COMMUNICATION ET MÉDIAS

NIVEAU D’ÉTUDES : UNIVERSITAIRE OU COLLÉGIAL

 

JOURNALISTE

BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.A. ou

DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.

 

Consulte également la page d’informations sur les programmes pré-universitaires en sciences humaines

ou la page d’informations sur les programmes pré-universitaires en communication

 

Va voir aussi ma section « liens recommandés » au bas de la page (dont des vidéos de journalistes qui parlent de leur travail).

 

TÂCHES ET RESPONSABILITÉS : 

 

Si tu deviens une ou un journaliste; tu seras responsable de communiquer des nouvelles et des affaires publiques diffusées par les médias (électroniques ou écrits) afin de couvrir différents événements de l’actualité dans un ou quelques uns des domaines suivants : les faits divers, la politique, l’économie, la scène judiciaire et policière, les arts et la culture, les sports, les sciences et technologies, les phénomènes sociaux, journalisme d’enquête, événements internationaux, etc. Tu pourrais même obtenir un poste en animation à la radio ou à la télévision, présenter les nouvelles à la radio ou à la télévision, rédiger une chronique ou un éditorial pour un quotidien ou un magazine, etc, bien que ce soit beaucoup plus rare.

 

Par contre, lorsque tu commenceras ta carrière tu devras couvrir à peu près n’importe quel événement d’actualité et ce de façon efficace et professionnelle. D’autres, obtiendront un poste de recherchiste qui te permettra de te familiariser avec le milieu journalistique, de participer à la diffusion de la nouvelle tout en acquérant de l’expérience qui te sera profitable lorsque tu obtiendras un poste de journaliste. Ce ne sera qu’après avoir acquis quelques années d’expérience en tant que salarié d’un média que tu pourras envisager de couvrir l’un des domaines nommés précédemment.

 

Si tu deviens un(e) journaliste indépendant(e) (aussi appelé "pigiste), tu pourras réaliser des articles ou des reportages sur un sujet donné en les proposant à différents médias. Une expérience professionnelle comme indépendant(e) te permettra de couvrir et découvrir une multitude de secteurs d'activités. Ce sont majoritairement les magazines et les hebdos régionaux qui emploient les journalistes pigistes, alors que les grands médias traditionnels font rarement appel aux pigistes.

 

Tu auras pour tâches de :

On retrouve des journalistes dans presque tous les types de médias, que ce soit des médias écrits (quotidiens nationaux, quotidiens régionaux, hebdos régionaux, magazines grand public, magazines spécialisés), des médias électroniques traditionnels (grands télédiffuseurs, télédiffuseurs régionaux ou communautaires, grands réseaux de radiodiffuseurs, radiodiffuseurs régionaux, locaux ou communautaires), nouveaux médias (magazines Web, portails journalistiques Web, sites Web d'actualité, Web radio, Web télé).

 

Après quelques années d’expérience, tu pourras même occuper des postes tels que :

 

Commentateur(trice) de nouvelles : commente sur un sujet d'actualité (culturelle, sportive, politique, judiciaire et policière ou scientifique) dans un média;

 

Éditorialiste : écrit des textes d'opinion reflétant sa pensée, et parfois celle de la direction, sur des sujets d'actualité et sont destinés à être publiés dans un journal ou une revue;

 

Lecteur(trice) de nouvelles  : présente, à la télévision ou à la radio, les événements d'actualité locale, nationale et internationale en vue d'informer le public;

 

Chef de pupitre : décide de ce qui sera diffusé en ondes dans un média électronique ou décide de ce qui sera publier dans un média écrit;

 

Rédacteur(trice) en chef ou son Adjoint(e) : responsable du contenu et de la cohérence des différents articles qui seront publiés dans un média écrit; ou même

 

Directeur(trice) de l'information: coordonne toutes les activités d'un service d'information d'un média écrit ou électronique.

 

En tant qu’enseignante ou enseignant en communication au collégial; tu seras responsable d’enseigner des notions de base ou des notions intermédiaires en lien avec ta discipline auprès de jeunes adultes inscrits à programme préparatoire aux études universitaires.

 

Tu les notions de base de la matière à enseigner.

 

Tu auras pour tâches de :

QUALITÉS ET APTITUDES NÉCESSAIRES :

-        Aimer travailler auprès des gens  car tu auras des fréquents contacts avec le public

-       Grande facilité à communiquer et écouter pour bien comprendre un problème, un événement ou une situation et être en mesure de le raconter et de l’expliquer

-        Entregent et facilité d’expression car tu auras à t’exprimer devant public

-        Sens des responsabilités car tu seras responsable de la nature, de la véracité et de la qualité de l’information que tu diffuseras

-        Sens de l’organisation et bonne méthode de travail nécessaire pour bien planifier ton travail et effectuer efficacement des recherches ou enquêtes qui te seront utiles à ton sujet

-        Esprit d’analyse et bon jugement pour bien analyser les sujets et événements, mais aussi analyser et évaluer les attitudes du public face à cet événement ou situation

-        Curiosité, Sens de l’initiative et perspicacité pour trouver des sujets intéressants et être capable d’aller au devant des événements

-        Sens de l’observation et ouverture d’esprit pour découvrir de nouvelles choses et être à l’affût de l’actualité

-        Débrouillardise et autonomie car tu auras à te débrouiller seul(e) pour régler certains problèmes

-        Discrétion : pour respecter l’anonymat des gens lors que tu auras à réaliser certains reportages

-        Capacité d’adaptation à divers milieux et divers situations

-        Capacité de travailler sous pression et stress pour être capable de réagir rapidement face à une situation ou un événement imprévu

-       Aptitudes pour le travail en équipe car tu auras à collaborer à plusieurs collègues (caméramans, techniciens du sons, réalisateur en journalisme télévisuel; photographes en journalisme écrit; des représentants de l’entreprise et autres agents d’informations en relations publiques, etc.)

-        Très bonne maîtrise de la langue française parlée et écrite pour pouvoir t’exprimer clairement et bien rédiger des rapports ou des comptes-rendus

-        Bonne maîtrise de la langue anglaise car tu auras à communiquer dans cette langue à plusieurs occasions dans le cadre de ton travail

PROFESSIONS APPARENTÉES :

-        Agent(e) d’information

-        Agent(e) des communications

-        Agent(e) des relations publiques

-        Analyste de nouvelles

-        Animateur(trice) à la radio ou télévision

-        Animateur(trice) social(e)

-        Annonceur(euse) à la radio ou télévision

-        Attaché(e) de presse

-        Chef de pupitre (après expérience)

-        Chef de pupitre-adjoint(e) (après expérience)

-        Chef du service des nouvelles (après expérience)

-        Chroniqueur(euse)

-        Commentateur(trice) de nouvelles

-    Commentateur(trice) sportif

-        Conseiller(ère) en relations publiques

-        Coordonnateur(trice) adjoint(e) des relations publiques (après expérience)

-    Coordonnateur(trice) d'émission d'affaires publiques

-        Coordonnateur(trice) des relations publiques (après expérience)

-        Correspondant(e) à l’étranger

-    Cyberjournaliste

-        Directeur(trice) adjoint(e) de l’information (après expérience)

-        Directeur(trice) de l’information (après expérience)

-        Éditorialiste (après expérience)

-        Journaliste à la radio ou télévision

-        Journaliste d’un média écrit (quotidien, magazine ou Internet)

-        Officier(ère) des affaires publiques (Forces armées)

-        Présentateur(trice) des nouvelles

-    Pupitreur(euse)

-        Recherchiste

-        Rédacteur(trice)

-    Rédacteur(trice) de nouvelles

-        Rédacteur(trice) en chef (après expérience)

-        Rédacteur(trice) en chef adjoint(e) (après expérience)

-    Rédacteur(trice)-réviseur(euse)

-        Relationniste

-        Reporter-enquêteur(e)

-    Réviseur(euse)

-    Scripteur(euse) 

EMPLOYEURS POTENTIELS :

-        Agences de presse (Presse canadienne, Reuters, etc)

-        Agences de relations publiques

-        Entreprises d’organisations d’événements, de congrès  

-        Entreprises de services Internet (journalisme en ligne)

-        Firmes de consultants en communication

-        Forces armées canadiennes (voir section professions apparentées)

-        Gouvernements

-        Grandes entreprises

-        Magazines

-        Organismes sociaux

-        Quotidiens

-        Stations de radio

-        Stations de télévision

-        À ton propre compte à contrat ou à la pige

AFFILIATION PROFESSIONNELLE :

 

Il n’y a aucune condition préalable d’ordre légal à la pratique du journalisme :

 

pas besoin d’une scolarité précise établie par règlement, pas de stage obligatoire en entreprise avant d’exercer le métier, pas d’examen d’entrée dans la profession, pas d’obligation légale d’adhérer à un ordre professionnel, pas d’obligation de détenir une carte de presse pour faire du journalisme (d’ailleurs il n’existe pas de carte de presse qui soit reconnue par la loi)…

 

Tu peux devenir membre de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec qui regroupe sur une base volontaire plus de 2 100 journalistes de différents médias électroniques et écrits du Québec

 

ou de l'Association des journalistes indépendants du Québec qui regroupe sur une base volontaire plus de 700 journalistes-pigistes.

 

EXIGENCES DES EMPLOYEURS :

-        Excellente maîtrise du français parlé ET écrit

-        Très bonne maîtrise de l’anglais parlé ET écrit (le bilinguisme est souvent exigé)

-        Grande disponibilité (surtout en début de carrière)

-        Polyvalence

-        Dynamisme

-        Plusieurs emplois en journalisme sont à contrat ou à la pige en début de carrière

-    Habiletés en montage vidéo pouvaient s'avérer utiles

-        Avoir acquis de l’expérience bénévole dans médias étudiants ou communautaires et autres expériences avec le public

PORTRAIT DE LA PROFESSION :

Selon Emploi-Québec; il y avait plus de 3 500 journalistes actifs dans toutes les régions du Québec en 2022.

Profession composée presque à parts égales de femmes (49 %) et d'hommes (51 %).

La répartition selon l'âge était :

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la majorité des journalistes travailaient à temps complet, soit 85 %.

Par contre, de nombreux sont temporaires ou pigistes, soit 21 %.

La répartition des journalistes selon le type de média était :

(note : un journaliste peut travailler simultanément dans plusieurs types de médias)

En 2022; la Fédération professionnelle des journalistes du Québec; le plus imporrtant regroupement volontaire de journalistes au Québec comptait plus de 1 574 membres accrédités actifs au sein de plus de 250 médias écrits et électroniques partout au Québec, soit près de 40 % de tous les journalistes québécois.

Il faut ajouter 39 autres membres accrédités exerçant à l'extérieur du Québec (ailleurs au Canada, USA, France ou autre pays).

Elle représente des journalistes travaillant au sein de plus de 250 médias écrits et électroniques tant nationaux que régionaux de partout au Québec.

Plus de 55 % des membres étaient des hommes, alors que les femmes représentaient 45 %.

La majorité des membres exerçaient pour un média privé

Bien que la majorité de ses membres étaient des journalistes salariés, mais représente également des membres d'autres statuts, soit :

  1. 65 % étaient des salariés

  2. 15 % étaient des pigistes

  3. 8 % étaient surmunéraires

  4. 7 % étaient des cadres

  5. 5 % étaient des contractuels

La répartition des membres selon le type de média était :

(note : un journaliste peut travailler simultanément dans plusieurs types de médias)

La répartition des membres selon le domaine d'activités était :

(note : un journaliste peut travailler simultanément dans plusieurs domaines différents)

Plus de la moitié des membres œuvraient dans la région de Montréal, soit 54 %,

Alors que :

11 % exerçaient dans la région de la Capitale Nationale,

5 % pratiquaient en Montérégie,

5 % œuvraient en Estrie,

4 % travaillaient en Outaouais,

4 % exerçaient en Mauricie,

3 % travaillaient au Saguenay-Lac-Saint-Jean,

et 14 % étaient dans une autre région.

 

En 2022; l'Association des journalistes indépendants du Québec comptait plus de 156 journalistes pigistes dans toutes les régions du Québec.

Il faut ajouter 10 autres membres exerçant à l'extérieur du Canada.

Elle représente des journalistes travaillant à leur compte qui effectue des contrats pour la rédaction d'un article journalistique (appelé "feuillet" ou tout production audio ou audiovisuelle vendue à un média tel qu'il doit. Chaque production journalistique est considérée comme une œuvre et requière des droits d'auteur.

Plus de 49 % oeuvraient dans la région de Montréal,
18 % exerçaient dans la région de la Capitale Nationale,
8 % travaillaient en Montérégie,
4 % pratiquaient dans la région de Laval,
3 % œuvraient en Estrie,
3 % exerçaient dans les Laurentides,
2 % pratiquaient en Chaudière-Appalaches,
2 % travaillent dans le Centre-du-Québec,
et 11 % étaient dans les autres régions.

Profession multiculturelle, puisque certains membres pouvaient réaliser des productions journalistiques dans l'une ou plusieurs parmi 10 langues différentes, par exemple :

  1. 51 pouvaient parler en anglais

  2. 38 pouvaient rédiger des articles en anglais

  3. 20 pouvaient parler en espagnol

  4. 7 pouvaient rédiger des articles en espagnol

  5. 2 pouvaient parler en allemand

  6. 3 pouvaient rédiger des articles ET parler en italien

  7. 3 pouvaient parler et rédiger des articles en arabe

  8. 2 pouvaient parler et rédiger des articles en russe

  9. 1 pouvait parler en mandarin

  10. 1 pouvait parler en portugais

  11. Etc.

Certains détiennent des expertises ou des intérêts dans un ou certains domaines tels que :

Le Journalisme indépendant (à la pige) :

La pige, c’est le journalisme à l’état sauvage, libre et responsable, toujours obligé de carburer à l’originalité, d’audace, de créativité et d’ouverture sur le monde.

On compe approximativement plus de 800 journalistes indépendants, peut-être même jusqu'à 1 000 un peu partout au Québec.

On les retrouve principalement leurs articles ou leurs reportages au sein des hebdos régionaux, des magazines et périodiques et des médias communautaires dans toutes les régions du Québec.

Évidemment, le journalisme à la pige n’est pas interdit aux débutants, il demeure une bonne façon de se constituer un portfolio, d’expérimenter, de découvrir ce que l’on aime faire ou non. Mais rien ne remplace l’intégration en emploi, meilleur gage de développement professionnel.

De quoi traiter à la pige ?

 

Les journalistes indépendants sont parfois les seuls à couvrir de larges secteurs d’activité qui autrement sombreraient dans un trou noir médiatique.

 

Quelques secteurs de couverture (les “beats”, en anglais) sont inaccessibles aux pigistes, d’autres constituent des filons peu exploités.

 

Les secteurs suivants sont quasi absents des pigistes, mais plutôt réservés aux salariés, principalement chez médias des grands groupes de presse comme

l'actualité politique, l'actualité judiciaire, l'actualité économique, l'actualité sportive quotidienne des clubs professionnels, l'actualité culturelle des artistes professionnels (surtout chez les personnalités connues), les questions d'actualité reliées aux domaines de la santé et de l'éducaiton et enfin, l'actualité internationale (exception de quelques globe-trotters, mais difficile pour eux de convaincre les médias québécois de s’intéresser à un contenu international inédit).

Voici quelques exemples de domaines abordés par les journalistes pigistes et peu exploités chez les grands médias :

Selon le Portrait du réseau québécois de l'enseignement collégial réalisé par le Ministère de l'Enseignement supérieur du Québec; il y avait près de 19 800 enseignantes et enseignants de l'enseignement régulier au collégial (dont près de 1 100 dans le secteur privé) dans l'ensemble du Québec au cours de l'année scolaire 2021-2022.

De ce nombre, on y comptaitt une vingtaine enseignantes et enseignants en communication au préuniversitaire (dont moins de 5 dans le secteur privé).

Ainsi que près de 90 enseignantes et enseignants en technologies des communications et des médias (dont près d'une dizaine dans le secteur privé).

94 % enseignaient dans le réseau public et 6 % enseignaient dans le réseau privé au préuniversitaire.

91 % enseignaient dans le réseau public et 9 % enseignaient dans le réseau privé au préuniversitaire.

84 % enseignaient dans le secteur francophone et 16 % enseignaient dans le secteur anglophone.

Profession avec légère majorité féminine, puisqu'elles reperésentaient 56 % du personnel enseignant au collégial.

Près de 69 % détenaient un baccalauréat, plus de 23 % détenaient une maîtrise et près de 9 % étaient titulaires d'une scolarité de 3e cycle ou d'un doctorat.

Plus de 82 % occupaient un poste à temps complet.

Contrairement au secteur technique, la majorité des enseignants(es) au préuniversitaire occupaient un poste permanent.

L'âge moyen d'un(e) enseignant(e) en éducation physique au collégial était de 43 ans
(48 ans chez hommes et 43 ans chez les femmes).

SALAIRE :

 

Selon les données 2022 :

 

Note : pour les emplois dans le domaine des relations publiques autres qu'en journalisme, consulte la page de relationniste

 

Le salaire moyen en début de carrière était de :

 

pour les salariés

 

milieu de la presse écrite :

en tant que recherchiste ou rédacteur(trice) de textes :

-       18,62 $/heure (35 ou 37,5 hres/sem selon les milieux) en moyenne au sein des hebdos ou quotidiens régionaux ou indépendants

-       23,29 $/heure (40 hres/sem) (35 ou 37,5 hres/sem selon les milieux) en moyenne au sein des grands quotidiens des grands centres (Montréal et Québec)

en tant que journaliste :

-       18,65 $/heure (35 ou 37,5 hres/sem selon les milieux) en moyenne au sein des hebdos ou quotidiens régionaux ou indépendants

-       24,03 $/heure (40 hres/sem) (35 ou 37,5 hres/sem selon les milieux) en moyenne au sein des grands quotidiens des grands centres (Montréal et Québec)

milieu de la radio :

en tant que recherchiste ou rédacteur(trice) de textes :

-       20,39 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des radiodiffuseurs privés ou communautaires indépendants

-       24,53 $/heure (32,5 ou 35 hres/sem) en tant que recherchiste ou rédacteur(trice) en moyenne au sein des grands radiodiffuseurs privés

-       25,61 $/heure (38,75 hres/sem) en tant qu recherchiste à la CBC (Radio One, Radio News Network et RCI Radio)

-       27,23  $/heure (37,5 hres/sem) en tant que recherchiste à la SRC (Première Chaîne)

en tant que journaliste :

-        969,20 $/semaine (40 hres/sem) en moyenne au sein des radiodiffuseurs privés ou communautaires indépendants

-       1 104,75  $/semaine (37,5 hres/sem) à la SRC (Première Chaîne)

-        1 113,29 $/semaine (38,75 hres/sem) à la CBC (Radio One, Radio News Network et RCI Radio)

-        1 176, $/semaine (32 ou 35 hres/sem) en moyenne au sein des grands radiodiffuseurs privés

milieu de la télévision :

en tant que recherchiste ou rédacteur(trice) de textes :

-       22,82 $/heure (35 hres/sem) en tant que recherchiste à Télé-Québec

-       27,86 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que rédacteur(trice) au sein des télédiffuseurs privés régionaux ou indépendants ou communautaires

-       25,61 $/heure (38,75 hres/sem) en tant qu recherchiste ou chroniqueur(euse) à la CBC (incluant ses canaux spécialisés comme CBC News Network, documentary Channel)

-       27,24  $/heure (37,5 hres/sem) en tant que recherchiste à la SRC (incluant ses canaux spécialisés comme ArtTV, RDI et Radio-Canada international RCI)

-       27,86 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que recherchiste au sein des télédiffuseurs privés régionaux ou indépendants ou communautaires

-       29,21 $/heure (38,75 hres/sem) en tant que rédacteur(trice) à la CBC (incluant ses canaux spécialisés comme CBC News Network, documentary Channel)

-       32,06 $/heure (35 hres/sem) en tant que recherchiste au Groupe TVA (incluant ses canaux spécialisés tels que : Argent, LCN et TVA Sports)

-       33,24 $/heure (35 hres/sem) en tant que rédacteur(trice) au Groupe TVA (incluant ses canaux spécialisés tels que : Argent, LCN et TVA Sports)

en tant que journaliste :

-       1 104,65  $/semaine (37,5 hres/sem) en tant que journaliste à la SRC (incluant ses canaux spécialisés comme ArtTV, RDI et Radio-Canada international RCI)

-        1 104,75 $/semaine 37,5 ou 40 hres/sem) en moyenne en tant que journaliste-vidéaste au sein des télédiffuseurs privés régionaux ou indépendants ou communautaires

-        1 113,29 $/semaine (38,75 hres/sem) en tant que reporter-rédacteur(trice) aux affaires régionales à la CBC (incluant ses canaux spécialisés comme CBC News Network, documentary Channel)

-        1 198,15 $/semaine (38,75 hres/sem) en tant que reporter aux affaires provinciales ou nationales à la CBC (incluant ses canaux spécialisés comme CBC News Network, documentary Channel)

-        1 376,80 $/semaine (35 hres/sem) en tant que journaliste au Groupe TVA (incluant ses canaux spécialisés tels que : Argent, LCN et TVA Sports)

pour les journalistes indépendants (aussi appelés "pigistes") :

 

-        673,00 $/semaine (40 hres/sem) en moyenne en effectuant des contrats auprès de médias de différents d'un seul médium

 

Note 1 : stabilité de la moyenne salariale au sein des médias régionaux ou indépendants par rapport aux années précédentes (était de 20,03 $ en 20117; 20,00 $ en 201; 20,00 $ en 2015 et 19,23 $ en 2013).

 

Note 2 : hausse de la moyenne salariale hebdomadaire au sein des radiodiffuseurs régionaux, indépendants ou communasutaires par rapport aux années précédentes (était de 801 $ en 20117; 20,00 $ en 201; 20,00 $ en 201; 20,00 $ en 2015 et 690 $ en 2013).

 

Note 3 : hausse de la moyenne salariale au sein des télédiffuseurs régionaux, indépendants ou communautaires par rapport aux années précédentes (était de 1 037 $ en 20117; 20972 en 201015 et 851 $ en 2013).

 

Note 4 : baisse de la moyenne salariale pour titulaires d'une maîtrise par rapport aux années précédentes (était de 24,83 $ en 2015; 25,63 $ en 2013 et 23,88 $ en 2011).

 

Note 5 : les salaires au sein des grands médias privés et au sein des médias publics sont établis selon les conventions collectives.

 

tarifs minimums payés aux journalistes indépendants dans la presse écrite :

(Un feuillet représente 25 lignes de 60 signes, ou 15 lignes de 100 signes, soit 1 500 signes ou caractères, espaces compris).

 

Bon nombre de médias écrits (journaux indépendants, hebdos régionaux, magazines indépendants); mais aussi des hebdos et magazines affiliés à une grande entreprise de média effectuent des contrats avec de nombreux journalistes indépendants et même, plusieurs d'entre-eux n'ont peu ou pas de journalistes salariés(es).

 

Les tarifs minimums varient considérablement d'un média à autre.

Le fait qu'il soit indépendant ou affilié à un grand média ne semble pas être un critère.

 

Voici quelques exemples des tarifs minimums recommandés par la l'AJIQ selon le type de média

(sous toutes réserves puisque le média peut choisir de ne pas payer ce tarif).

 

Média écrit :

 

180 $/feuillet pour un magazine ou une revue spécialisée (magazines économiques, magazines scientifiques, magazines sur l'emploi, magazines de rénovation, etc.)

150 $/feuillet pou un magazine "grand public"

120 $/feuillet pour un quotidien national papier ou Web

100 $/feuillet pour un quotidien régional ou un hebdo papier ou Web

 

Télévision et Web vidéo :

 

350 $ (moins de 2 min) pou un reportage vidéo monté pour le Web

600 $ (moins de 2 min) pour un reportage monté pour un bulletin de nouvelles

800 $ (moins de 2 min) pour un reportage monté pour une émission de télévision

 

Radio :

 

135 $ (moins de 2 min) pour une rédaction

 

Source (pour les tarifs minimums des pigistes) : Association des journalistes indépendants du Québec AJIQ

 

En enseignement collégial et universitaire :

  • 999,79 $/semaine en moyenne en tant qu'enseignant(e) régulier dans une collège préuniversitaire privé (avec 17 ans de scolarité)

  • 1 018,35 $/semaine en tant qu'enseignant(e) régulier dans un cégep (avec 17 ans de scolarité)

  • 1 046,33 $/semaine en moyenne en tant qu'enseignant(e) régulier dans une collège préuniversitaire privé (avec 18 ans de scolarité : titulaires d'une maîtrise)

  • 1 063,96 $/semaine en tant qu'enseignant(e) régulier dans un cégep (avec 18 ans de scolarité : titulaires d'une maîtrise)

  • 1 099,74 $/semaine en tant qu'enseignant(e) régulier dans un collège préuniversitaire privé (avec 19 ans de scolarité : scolarité de doctorat)

  • 1 116,56 $/semaine en tant qu'enseignant(e) régulier dans un cégep (avec 19 ans de scolarité : scolarité de doctorat)

  • 1 208,13 $/semaine en tant qu'enseignant(e) régulier dans un collège préuniversitaire privé (avec 19 ans ou plus de scolarité : titulaires d'un doctorat)

  • 1 208,13 $/semaine en tant qu'enseignant(e) régulier dans un cégep (avec 19 ans ou plus de scolarité : titulaires d'un doctorat)

Note : baisse de la moyenne salariale par rapport à 2004, 2005 et 2006 (tant en journalisme qu’en relations publiques)

 

Sources : Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec, Conseil du Trésor du Québec, Service Canada, Syndicat des employés des communications du Espace musique ou Première Chaîne de la SRC, Guide canadienne des médias - section locale CBC, Syndicat des employés de TVA, Syndicat de l'information des hebdos Transcontinental, Fédération professionnelle des journalistes du Québec, Association des journalistes indépendants du Québec, conventions collectives des journalistes de plusieurs grands médias et J-Source.ca.

 

PERSPECTIVES D’AVENIR :

La majorité des postes qui se libéreront dans les plus grands médias seront accordés aux candidats qui possèdent de l'expérience au sein des plus petits médias ou comme pigistes. Compte tenu du grand attrait exercé par cette profession, la concurrence est féroce pour les postes vacants.

Même si la majorité des journalistes occupent des postes permanents, le nombre d'employés temporaires et de pigistes est assez important. Un même journaliste peut accomplir des piges, comme salarié ou comme travailleur autonome, pour plusieurs journaux et revues.

À cause des coupures récentes qu'effectuent plusieurs grands médias québécois (mais aussi ailleurs au pays et aux USA) tant dans le secteur de la télévision, de la radio que de l'écrit, ainsi que par l'arrivée de l'Internet, les perspectives semblent pessimistes au cours des prochaines années pour les journalistes au sein des médias traditionnels.

La rémunération moyenne après expérience en 2022...

PORTRAIT DE L'INDUSTRIE DES MÉDIAS :

Il existe plus d'un millier de médias de tous médiums, de toutes orientations ou visions, de toutes tailles et dans l'ensemble des régions du Québec.

Médias écrits :

 

Quotidiens :

Se consacrent aux nouvelles tant internationales, nationales que locales et régionales dans toutes les sphères du journalisme.

Il existe actuellement 14 quotidiens (dont 2 anglophones et dont 2 sont gratuits) situés dans 7 régions (Montréal-Laval, Québec, Outaouais, Estrie + Granby, Mauricie et Saguenay-Lac-St-Jean) dont les plus connus sont :

The Gazette, La Presse, Le Soleil, Le Devoir, Journal de Montréal, Journal de Québec, La Tribune, La Tribune, Le Droit, Le Nouvelliste et Le Quotidien.

La plupart appartiennent à d'importants groupes de presse sont 2 qui sont indépendants (Le Devoir et The Record à Sherbrooke).

La plupart des journalistes sont salariés du média, mais les articles les plus importants de l'actualité dans toutes les sphères sont publiés par des journalistes expérimentés.

Médias locaux et régionaux :

Ils se consacrent principalement à l'actualité locale et régionale dans la plupart des sphères du journalisme (politique municipale, politique provinciale concernant la région, affaires et économie, sports, culture et société).

Il en compte plus de 200 répartis dans toutes les régions du Québec. La presque totalité appartiennent à de grands groupes de presse, mais certains appartiennent à des groupes régionaux de presse ou sont indépendants.

Ils n'emploient que quelques journalistes chacun puisqu'ils font surtout appel aux journalistes pigistes pour la plupart des articles.

Magazines et périodiques grand public :

Ils se consacrent à des activités pour grand public (actualité artistique, sports, culture, vulgarisation scientifique, bricolage, consommation, voyages, art culinaire, etc.) ou abordent des sujets pour une clientele spécifique (femmes, aînés, parents, adolescents, etc.

On en retrouve plus de 140 sur le marché dont la majorité appartiennent aux grands groupes de presse, toutefois, plusieurs sont indépendants.

La plupart font appels aux journalistes pigistes pour la majorité des articles, mais certains également ont leurs propres journalistes réguliers.

Magazines et périodiques spécialisés :

Ils se consacrent à l'actualité et aux sujets d'intérêt spécialisé des membres d'une organisation (asssociation de gens d'affaires, membre d'un ordre ou d'un regroupement d'une profession, groupes de défenses d'intérêts, associations de diplômés, etc.). Les sujets sont tous aussi variés que les types d'organisations (affaires et économie, sciences et médecine, agriculture, ingénierie, technologies de l'information, sciences sociales, etc.).

On en compte plus de 200 qui font appel aux journalistes pigistes presque uniquement.

La plupart sont indépendants et appartiennent aux associations et organisations concernées et souvent, destinés aux membres seulement.

Journaux communautaires :

Il y a près d’une centaine de médias écrits communautaires c’est-à-dire des journaux sans but lucratif, indépendants de propriété collective et de gestion démocratique.

Leur tirage est généralement modeste. Ils couvrent généralement l’actualité locale (dans la plupart des sphères les plus populaires du journalisme, mais plusieurs explorent aussi d'autres aspects peu exploités comme la vie sociale et communautaire, le sport amateur de disciplines moins connues, les métiers d'art, etc.) et comptent peu de journalistes.

C'est un très bon média pour débuter sa carrière journalistique.

Médias électroniques :

Radiodiffuseurs traditionnels :

Se consacrent aux nouvelles tant internationales, nationales que locales et régionales dans toutes les sphères du journalisme.

Les stations régionales accordent toutefois une certaine importance à l'actualité locale et régionale, mais de plus en plus limité pour laisser place aux nouvelles en provenance du réseau.

Il y a plus de 160 stations de radio privées dans toutes les régions du Québec essentiellement regroupées au sein de deux grands réseaux privés, Cogeco et Bell Media Radio, et d’un réseau public, Radio-Canada.

Ainsi qu'un réseau public, soit Radio-Canada (Ici Radio-Canada Première) ayant 8 stations au Québec.

Plus accessibles que les télédiffuseurs, mais tout de même difficiles d'accès pour les journalistes débutants(es).

Télédiffuseurs traditionnels :

Se consacrent aux nouvelles tant internationales, nationales que locales et régionales dans toutes les sphères du journalisme.

Les stations régionales accordent toutefois une certaine importance à l'actualité locale et régionale, mais de plus en plus très limité pour laisser place aux nouvelles en provenance du réseau.

Il y a 2 grands réseaux télévision francophones privés, soit : TVA (Groupe Québécor) ayant 8 stations et V Télé (Groupe rémillard) ayant 5 stations. Il faut ajouter le Groupe RNC Media qui détient 5 stations en Outaouais et en Abitibi-Témiscamingue qui retransmettent la programmation de TVA, SRC ou V Télé.

 Ainsi que 2 réseaux de télévision anglophones privés, soit : Global (Shaw Media) et CTV (Bell Media).

Enfin, du côté public, il y a Radio-Canada qui n’est pas une télévision d’État (à la solde du gouvernement) mais une télévision publique ayant 5 stations au Québec et CBC qui est son pendant anglophone ayant une station au Québec.

La presque totalité des journalistes de ces télédiffuseurs sont salariés de l'entreprise et peu de temps de diffusion sont accordés aux débutants.

Radio communautaire :

Il existe aussi 35 stations de radio communautaires sans but lucratif, indépendants de propriété collective et de gestion démocratique répartis dans 16 régions du Québec.

Leur porté de diffusion est limitée localement avec de faibles cotes d'écoute.

Ils couvrent généralement l’actualité locale (dans la plupart des sphères les plus populaires du journalisme, mais plusieurs explorent aussi d'autres aspects peu exploités comme la vie sociale et communautaire, le sport amateur de disciplines moins connues, les métiers d'art, etc.) et comptent peu de journalistes, soit un total d'un peu plus d'une cinquantaine.

C'est un très bon média pour débuter sa carrière journalistique.

Télévision communautaire :

Il existe aussi 41 stations de télévision communautaires sans but lucratif sans but lucratif, indépendants de propriété collective et de gestion démocratique situées dans 14 régions.

Leur porté de diffusion est limitée localement avec de faibles cotes d'écoute.

Ils couvrent généralement l’actualité locale (dans la plupart des sphères les plus populaires du journalisme, mais plusieurs explorent aussi d'autres aspects peu exploités comme la vie sociale et communautaire, le sport amateur de disciplines moins connues, les métiers d'art, etc.).

Plus de 66 % d'entre-elles emploient au moin un journaliste pour un total d'un peu plus qu'une soixantaine de journalistes.

C'est un bon média pour débuter sa carrière journalistique.

Médias alternatifs :

Excluant les portails Web des grands médias (quotidiens, hebdos régionaux, magazines, radioffuseurs et télédiffuseurs) qui emploient un certain nombre de journalistes exclusivement pour leur plate-forme Web, il y a aussi de nombreux médias dits "alternatifs" indépendants, légaux et sérieux.

On y retrouve plusieurs radios Web, journaux Web, magazines Web, applications mobiles sur l'actualité, blogs journalistiques et autres sites sur l'actualité.

On peut estimer à plus d'une trentaine de stations radios québécoises exclusivement présentes sur Internet, à quelques dizaines de magazines québécois exclusivement sur le Web, alors qu'aucun décompte n'a été fait pour les autres types de médias alternatifs.

Souvent, ils revendiquent une implication active dans les luttes pour une société juste, solidaire, égalitaire, participative et diversifiée…

Sources : Fédération professionnelle des journalistes du Québec FPJQ, Association des journalistes indépendants du Québec AJIIQ

 

POUR DEVENIR JOURNALISTE, IL EXISTE 2 VOIES D’ÉTUDES POSSIBLES :

-         LE NIVEAU UNIVERSITAIRE : Baccalauréat en communication ou en journalisme

-         LE NIVEAU COLLÉGIAL : D.E.C. en techniques de communication dans les médias - profil en journalisme

SECTEUR COLLÉGIAL :

 

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 31 mars 2021 :

 

Plus de laa moitié des répondants(es), soit 53 % ont choisi de poursuivre leurs études à l'université en communication ou en journalisme.

Alors que parmi les répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, le placement est bon puisque 71 % ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet. La plupart comme journalistes indépendants.

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À TEMPS COMPLET

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

30 10 8 16

 

Note 1 : hausse du nombre de diplômés(es) poursuivant leurs études à l'université (était de 67 % en 2018; 65 % en 2016; 44 % en 2014 et 46 % en 2012)..

 

Note 2 : hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 50 % en 2018; 86 % en 2016; 50 % en 2014 et 58 % en 2012).

Source : Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec

 

LE PROGRAMME D’ÉTUDES :

  

Note : bien que plusieurs journaliste ne détiennent qu'une formation technique, la majorité ont poursuivi des études universitaires afin d'obtenir un baccalauréat en journalisme ou dans une discipline connexe. Pour plus de détails, consulte la section "universitaire".

 

Le Diplôme d’études collégiales en techniques de communication dans les médias - option journalisme D.E.C a une durée totale de 3 ans offert à temps complet seulement. Il vise à former des recherchistes, rédacteurs ou journalistes pour les médias écrits, électroniques ou nouveaux médias.

 

Tu auras des cours sur structure et les fonctions de travail dans les médias, processus critique de la recherche de l'information, histoire du temps et espaces du 20e siècle, initiation à l'informatique, idéation et travail en équipe, monde et actualité, fondements de la parole en public, journalisme et société, processus de communiquer un message, actualités du Canada et du Québec, techniques d'entrevues, démarche et rédaction journalistiques 1, français écrit avancé, anglais appliqué au domaine des médias, tournage et montage de nouvelles, nouvelles et reportages à la radio, prise de la parole dans un média, régions et actualités, démarche et rédaction journalistiques 2, édition électronique sur le web, services des nouvelles à la télévision, les genres et les formats de presse, maquette et montage, la presse en ligne, l'image dans la presse écrite, analyse comparative des traitements de l'information, journalisme à la télévision, de la nouvelle à l'enquête, l'édition de presse, ainsi qu'un stage en journalisme d'une durée de 5 semaines.

 

Pour plus de détails sur ce programme, regarde la vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de Jonquière.

 

ENTENTES DEC-BAC :

Qu'est-ce qu'un programme DEC-BAC ?

 

Consulte la page suivante

Il permet de terminer la formation technique et ton baccalauréat dans un temps plus court et obtenir les 2 diplômes.

Voici la seule entente actuellement offerte :

PASSERELLES :

 

Un programme passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est offerte lors de la demande.

 

Voici les ententes actuellement offertes :

EXIGENCES D’ADMISSION :

 

-        Détenir un D.E.S. ou un diplôme jugé équivalent sans cours préalable spécifique

  

Note : l’admission est basée principalement sur l’excellence de ton dossier et une attention particulière sera apportée dans tes résultats en français, anglais et en sciences humaines (géographie, histoire, etc)

 

AUTRES EXIGENCES À L’ADMISSION :

-         Subir des tests d’aptitudes et d’intérêts (candidats sélectionnés sur la base du dossier scolaire)

-         Présenter un portfolio (ex : articles journalistiques rédigées, entrevues ou reportages radio ou vidéo, etc.) et ton curriculum vitae (candidats refusés au 1er tour seulement)

-         Subir une entrevue d’admission (candidats sélectionnés au 2e tour)

STATISTIQUES D’ADMISSION :

Ce programme EST CONTINGENTÉ

À l’automne 2022 (au 1er tour) : 

DEMANDES

ADMIS

TAUX

 D’ADMISSION

EN %

TAUX

 D’ADMISSION

EN 2021

TAUX

 D’ADMISSION

EN 2020

TAUX

 D’ADMISSION

en 2019

TAUX

 D’ADMISSION

en 2018

TAUX

 D’ADMISSION

en 2017

279

120

43

46

38

59

54

56

Au 2e tour :

Ce programme est contingenté

seulement 10 places sont disponibles (taux d'admission moyen de 40 %), voir la section "autres exigences"

Admissions ouvertes au trimestre d'automne seulement.

ENDROIT DE FORMATION :

 

-         Cégep de Jonquière programme unique au Québec
 

-         Cité Collégiale, Ottawa (Ontario) diplômes ontariens en journalisme écrit ou journalisme électronique offert en français (voir aussi le programme conjoint avec le Bacc en journalisme offert à l’Université d’Ottawa)

 

SECTEUR UNIVERSITAIRE :

 

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 31 janvier 2021 :

 

Baccalauréat en communication :

 

Note : ces données incluent les programmes en communication et ceux en journalisme

 

Le placement est bon, 65 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

Quelques-uns d'entre-eux, soit 3 % des répondants(es) en emploi ont choisi de travailler à leur compte (en démarrant leur propre cabinet conseil ou comme pigiste), mais la majorité sont des diplômés(es) en journalisme.

Quelques autres répondants(es), soit 16 % ont décidé de poursuivre des études supérieures en communication ou une dans une spécialité connexe.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À temps complet

NOMBRE À leur compte

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

526 288 268 8 84

 

Note 1 : légère hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 69 % en 2019; 61 % en 2017; 59 % en 2015 et 68 % en 2013).

Note 2 : légère baisse du nombre de répondants(es) poursuivant leurs études au niveau de la maîtrise (était de 16 % en 2019; 18 % en 2017; 18 % en 2015 et 19 % en 2013).

 

Maîtrise :

  

Le placement est bon, 67 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

Quelques répondants(es), soit 3 % ont choisi de travailler à leur compte (mais ce sont des diplomés en journalisme).

Quelques autres répondants(es), soit 21 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau du doctorat.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À temps complet

NOMBRE À leur compte

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

62 33 27 1 13

Note 1 : légère hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 67 % en 2019; 47 % en 2017; 60 % en 2015 et 84 % en 2013).

Note 2 : hausse du nombre de répondants(es) poursuivant des études supérieures (était de 9 % en 2019; 18 % en 2017; 29 % en 2015 et 21 % en 2013).

Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec

 

LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :

 

Note : Plusieurs formations pouvaient mener à une carrière de journaliste, tout dépendant de tes intérêts et objectifs de carrière dans la profession.

 

Bien que la majorité détiennent une formation universitaire, plusieurs détiennent une formation collégiale préuniversitaire ou technique, voir la section "collégial".

 

Voici quelques exemples :

Par contre, il existe plusieurs programmes entièrement consacrés au journalisme ou offrant un cheminement ou une concentration en journalisme, soit :

 

Le Baccalauréat spécialisé en journalisme B.A. offert à l’Université Concordia a une durée totale de 3 ans offert à temps complet, mais peut aussi être offert à temps partiel. Il vise à former des professionnels de l'information pouvant couvrant l'actualité dans n'importe quel domaine au sein de n'importe quel type de média (presse écrite, radio, télévision, Internet).

 

Tu auras un choix de 2 options possibles dès le début du programme, soit :

 

Presse écrite :

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction au journalisme : écrit, outils numériques pour journalistes, principes du journalisme : théories et pratique, les médias au Québec, stage en journalisme 1, méthodes de recherche en journalisme, les articles de fond en journalisme, édition et mise en page, droit, éthique et déontologie en journalisme, photojournalisme, stage en journalisme 2, écriture pour un magazine, journalisme multiplateforme, approches critiques du journalisme, ainsi que le stage en journalisme 3;

 

Tu devras également choisir 2 cours optionnels en journalisme parmi une dizaine de cours proposés (ex : journalisme international, travail dirigé en journalisme écrit, journalisme écrit spécialisé, journalisme littéraire, journalisme culturel, journalisme sportif, journalisme scientifique, journalisme Web, introduction à la télévision, introduction à la radio, etc);

 

1 cours optionnel en histoire et science politique parmi 4 cours propposés;

 

1 cours optionnel en culture parmi 4 cours proposés en littérature anglaise, philosophie et sociologie;

 

1 cours optionnel en économique parmi 3 cours proposés;

 

1 cours optionnel en science parmi 4 cours proposés en biologie, chimie et physique;

 

Ainsi que 9 cours complémentaires en dehors du champ de spécialisation parmi l'ensemble des cours de 1er cycle offerts par l'université accessibles comme cours au choix dans une ou plusieurs des disciplines telles que : diversité et monde contemporain, droit, science politique, économique, sociologie, administration, études féministes, environnement humain, histoire de l'art, langue française, linguistique, littérature anglaise, relations humaines, musique, cinéma, théâtre, etc).

 

Presse audiovisuelle :

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction au journalisme : écrit, outils numériques pour journalistes, principes du journalisme : théories et pratique, les médias au Québec, stage en journalisme 1, méthodes de recherche en journalisme, vidéo-journalisme, journalisme radiophonique, photojournalisme, stage en journalisme 2, introduction à la télévision, journalisme multiplateforme, approches critiques en journalisme, ainsi que le stage en journalisme 3;

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction au journalisme : écrit, outils numériques pour journalistes, principes du journalisme : théories et pratique, les médias au Québec, stage en journalisme 1, méthodes de recherche en journalisme, les articles de fond en journalisme, édition et mise en page, droit, éthique et déontologie en journalisme, photojournalisme, stage en journalisme 2, écriture pour un magazine, journalisme multiplateforme, approches critiques du journalisme, ainsi que le stage en journalisme 3;

 

Tu devras également choisir 2 cours optionnels en journalisme parmi une dizaine de cours proposés (ex : journalisme international,  journalisme culturel, journalisme sportif, journalisme documentaire, journalisme scientifique, reportage spécialisé, journalisme multimédia, nouveaux médias alternatifs, journalisme télévisuel avancé, travail écrit en journalisme audiovisuel, etc);

 

1 cours optionnel en histoire et science politique parmi 4 cours propposés;

 

1 cours optionnel en culture parmi 4 cours proposés en littérature anglaise, philosophie et sociologie;

 

1 cours optionnel en économique parmi 3 cours proposés;

 

1 cours optionnel en science parmi 4 cours proposés en biologie, chimie et physique;

 

Ainsi que 9 cours complémentaires en dehors du champ de spécialisation parmi l'ensemble des cours de 1er cycle offerts par l'université accessibles comme cours au choix dans une ou plusieurs des disciplines telles que : diversité et monde contemporain, droit, science politique, économique, sociologie, administration, études féministes, environnement humain, histoire de l'art, langue française, linguistique, littérature anglaise, relations humaines, musique, cinéma, théâtre, etc).

 

Le Baccalauréat spécialisé en communication - profil en journalisme B.A. offert à l'UQAM a une durée totale de 3 ans offert à temps complet. Dans la plupart des universités, il peut également être suivi à temps partiel. Il vise à former des professionnels de l'information pouvant couvrant l'actualité dans n'importe quel domaine au sein de n'importe quel type de média (presse écrite, radio, télévision, Internet).

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction aux théories de la communication médiatique, initiation à la production radiophonique, initiation à l'écriture journalistique, histoire des communications 1, l'état du monde : perspectives géographiques, le journalisme et le droit, atelier de presse quotidienne 1, atelier de journalisme radiophonique, histoire des communications 2, atelier de presse quotidienne 2, atelier de journalisme télévisé, atelier de journalisme d'opinion, atelier de journalisme de magazine, journalisme et société, initiation aux technologies numériques, atelier d'écriture journalistique 2, initiation au vidéo-journalisme et méthodes de recherche en communication;

 

Tu devras également choisir 7 cours optionnels en journalisme parmi 14 cours proposés (ex : journalisme assisté par ordinateur, journalisme d'enquête, atelier de journalisme spécialisé, reportage télévisé, stage en presse écrite ou Internet, stage en journalisme radiophonique ou télévisuel, etc);
ainsi que 5 cours optionnels de spécialisation choisis dans un même domaine, soit : science politique, droit, histoire, économique, administration, histoire de l'art, études littéraires, arts visuels et médiatiques, cinéma, études théâtrales, musique, sociologie, etc).

 

Pour plus de détails sur ce programme, regarde des exemples de reportages réalisés par des étudiants de ce programme de l'UQAM dans le cadre du cours "atelier de journalisme télévisé";

 

Ainsi que des exemples d'articles réalisées par des étudiants de ce programme de l'UQAM dans le cadre du cours "atelier de presse quotidienne".

 

Le Baccalauréat spécialisé en communication publique avec concentration en journalisme B.A. offert à l'Université Laval a une durée totale de 3 ans offert à temps complet. Dans la plupart des universités, il peut également être suivi à temps partiel. Il vise à former des professionnels de l'information pouvant couvrant l'actualité dans n'importe quel domaine au sein de n'importe quel type de média (presse écrite, radio, télévision, Internet). Note : les cours en italique sont spécifiques à la concentration en journalisme;

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction à la communication, recherche et traitement de l'information, connaissance des médias québécois, les métiers de la communication, histoire des médias au Québec, psychosociologie de la communication, écrire pour informer, communiquer par l'image en pub et en journalisme, techniques de recherche en communication, argumentation et communication, communication multimédia, communication, information et vie politique, journalisme et société, initiation au journalisme écrit, collecte de l'information, économie politique des médias, analyse du contenu ou enquête par sondage, écritures spécialisées, initiation au journalisme audiovisuel, éthique de la communication publique, droit et déontologie du journalisme, ainsi que 2 des 3 cours suivants : journalisme écrit, journalisme radiophonique ou journalisme télévisuel;

 

Tu devras également choisir 6 à 10 cours optionnels parmi 30 cours proposés (ex : introduction aux relations publiques, éléments de relations de presse, écritures et publics, plan tactique de communication, journalisme en ligne, production multimédia, communication et changements technologiques, initiation à la couverture des affaires publiques, information internationale, journalisme scientifique, communication interculturelle internationale, travail dirigé en journalisme, stage en journalisme, etc);

 

Ainsi que 5 à 7 cours de spécialisation en dehors du champ de spécialisation de la communication publique et du journalisme parmi l'ensemble des cours de 1er cycle offerts par l'université accessibles comme au choix dans une ou plusieurs des disciplines telles que : science politique, droit, histoire, économique, administration, sociologie, anthropologie, ethnologie, histoire de l'art, études littéraires, arts visuels et médiatiques, cinéma, études théâtrales, musique, linguistique, études anglaises, développement international et action humanitaire, diversité culturelle, biologie, chimie, physique, sciences de l'environnement, informatique, langues étrangères, etc);

 

Si tu choisis le profil entrepreneurial, tu devras remplacer les cours optionnels et/ou complémentaires par les cours suivants : savoir entreprendre : la passion de créer et d'agir, portfolio entrepreneurial 1, portfolio entrepreneurial 2 et 1 cours optionnel parmi les suivants : planification et gestion de projets, économie sociale et intervention, organisation d'événements sportifs, gestion d'un événement touristique ou réaliser son projet entrepreneurial.

 

Si tu choisis le profil international, tu devras remplacer les cours optionnels et/ou complémentaires par 12 crédits de cours suivis dans l'une des 13 universités étrangères partenaires de 7 pays (Australie, Belgique, Danemark, Espagne, France, Mexique ou Royaume-Uni).

 

Le Baccalauréat spécialisé en journalisme B.A. offert à l’Université d'Ottawa a une durée totale de 3 ans offert à temps complet, mais peut aussi être offert à temps partiel. Il vise à former des professionnels de l'information pouvant couvrant l'actualité dans n'importe quel domaine au sein de n'importe quel type de média (presse écrite, radio, télévision, Internet);

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction à l'étude des médias, introduction à la macroéconomie ou enjeux macroéconomiques contemporains, méthodes de recherche en communication, théories des médias, introduction à la microéconomie ou enjeux microéconomiques contemporains, méthodes quantitatives, méthodes qualitatives, politique et médias, histoire du journalisme, éthique et déontologie du journalisme, opinion publique, industrie des médias, médias et radiodiffusion publique, communication dans les organismes gouvernementaux, étude de réception et économie politique des médias;

 

Tu devras également choisir 2 cours optionnels en histoire parmi 8 cours proposés (Canada contemporain,  les États-Unis depuis 1945, etc);

 

1 ou 2 cours optionnels en géographie et environnement parmi 4 cours proposés (défis environnementaux globaux, le Canada et ses régions, etc);

 

2 cours optionnels en science politique parmi 9 cours proposés (ex : introduction à la politique canadienne, vie politique au Québec, politique urbaine au Canada, introduction aux relations internationales, etc);

 

1 ou 2 cours optionnels en sociologie parmi 5 cours proposés (ex : société canadienne, introduction à l'étude de la déviance et des problèmes sociaux, etc);

 

6 à 8 cours complémentaires en dehors du champ de spécialisation parmi l'ensemble des cours de 1er cycle offerts par l'université accessibles comme cours au choix dans une ou plusieurs disciplines telles que : science politique, droit, histoire, économique, administration, géographie, sociologie, anthropologie, histoire de l'art, études littéraires, arts visuels et médiatiques, cinéma, études théâtrales, musique, linguistique, études anglaises, développement international, biologie, chimie, physique, sciences de l'environnement, informatique, langues étrangères, etc);

 

Le Baccalauréat spécialisé en sciences de la communication offert à l'Université de Montréal a une durée totale de 3 ans offert à temps complet seulement. Ce programme te propose 4 orientations : médias et culture : axé sur la communication culturelle incluant le journalisme culturel, communication et technologie : axé sur la communication technique incluant le journalisme scientifique et technique, communication organisationnelle : axé sur la communication et les relations publiques dans les organisations incluant le journalisme d'affaires et l'orientation générale : couvrant les différents domaines des sciences de la communication incluant le journalisme général;

 

Tu auras des cours obligatoires communs à toutes les orientations, soit : méthodologie de la recherche en communication, rédaction en communication 1, théories de la communication, communication médiatique, communication organisationnelle, pratiques méthodologiques 1, l'un des 5 cours suivants (communication, cognition et émotion, rédaction en communication 2, communication, sens et discours, communication et rhétorique ou séminaire thématique en sciences de la communication)  et pratiques méthodologiques 2;

 

Tu devras également choisir 2 à 4 cours optionnels en langue anglaise, linguistique française et/ou en langues étrangères (allemand, catalan, chinois, espagnol, italien, japonais, portugais ou russe);

 

12 à 18 cours optionnels parmi des listes proposés, principalement dans l'orientation choisie, en journalisme et dans les autres disciplines des sciences de la communication (voici quelques exemples de cours en lien avec le journalisme : journalisme : évolution et perspectives, méthodes journalistiques, analyse de l'actualité, cyberculture, pratiques de la télévision, éditique, communication infographique, interfaces et scénarisation, applications Internet, applications multimédias, communication et relations de presse, influence des médias, auditoires des médias de masse, industries culturelles, médias et cultures populaires, laboratoire en communication et journalisme, stage en communication 1, stage en communication 2, etc);

 

ainsi que 2 à 6 cours optionnels parmi 36 cours proposés dans les différentes disciplines complémentaires des arts, des lettres et des sciences humaines

 

Tu auras également un choix de cours optionnels parmi des listes proposées propres à l'orientation choisie, par exemple : médias et culture (industries culturelles, auditoires et médias de masse, médias et cultures populaires, cyberculture, applications multimédias, photographie numérique, etc); communication et technologie (impacts des nouvelles technologies, applications multimédias, applications Internet, technologies et travail en collaboration, etc); communication organisationnelle (communication et relations de presse, communication et gestion de crise, technologies et travail en collaboration, etc). Enfin, tu auras des cours optionnels couvrant les différents secteurs des sciences de la communication parmi des listes proposées (ex : pratiques de la télévision, applications Internet, auditoires et médias de masse, influence des medias, communication et mondialisation, pouvoir et communication, planification en communication, stage en communication, etc.

 

Le Baccalauréat spécialisé en communication appliquée - cheminement en rédaction B.A. offert à Sherbrooke a une durée totale de 3 ans offert en régime coopératif à temps complet seulement (comprenant 3 stages rémunérés de 3 à 4 mois chacun). Il couvre une formation générale en communication et une solide formation sur les compétences rédactionnelles en milieu professionnel.

 

Tu auras les cours obligatoires suivants : stratégies de recherche documentaire, institutions de la communication, normes et analyse, rédaction : style et clarté, outils informatiques, médias numériques, planification de la communication, rédaction technique et promotionnelle, révision de textes, théorie de la communication, enjeux sociaux du numérique, grammaire avancée, stratégies de rédaction, rédaction créative, discours et société, Internet et multimédia, rhétorique et argumentation, ainsi que langue, culture et société.

 

Tu devras également choisir 9 à 12 cours optionnels parmi une trentaine de cours proposés répartis en 4 blocs : enjeux et méthodes, rédaction spécialisée, communication appliquée aux organisations et langue anglaise et traduction (ex : analyse du discours, pratiques journalistiques, critique culturelle, vulgarisation scientifique, analyse des contenus médiatiques, impacts des médias, communication visuelle, anglicismes au Québec, révision et réécriture, communication interpersonnelle, stylistique comparée français-anglais, projet en communication, microstage, etc.).

 

Le Baccalauréat spécialisé en communication appliquée - cheminement en communication B.A. offert à Sherbrooke a une durée totale de 3 ans offert en régime coopératif à temps complet seulement (comprenant 3 stages rémunérés de 3 à 4 mois chacun) ou en cheminement régulier à temps complet. Il couvre une formation générale en communication et une formation plus spécifique dans un domaine de la communication tel que les pratiques journalistiques.

 

Tu auras les cours obligatoires suivants : stratégies de recherche documentaire, institutions de la communication, normes et analyse, rédaction : style et clarté, outils informatiques, médias numériques, planification de la communication, rédaction technique et promotionnelle, révision de textes, théorie de la communication, enjeux sociaux du numérique, gestion du contenu Web, relations publiques, communication interne, communication externe, communication visuelle, impacts des médias, Internet et multimédia, ainsi que rhétorique et communication.

 

Tu devras également choisir 9 à 12 cours optionnels parmi une trentaine de cours proposés répartis en 4 blocs : enjeux et méthodes, rédaction spécialisée, communication appliquée aux organisations et langue anglaise et traduction (ex : analyse du discours, pratiques journalistiques, critique culturelle, vulgarisation scientifique, analyse des contenus médiatiques, impacts des médias, communication visuelle, anglicismes au Québec, révision et réécriture, communication interpersonnelle, stylistique comparée français-anglais, projet en communication, microstage, etc.).

 

Le Baccalauréat spécialisé en communication sociale B.A. offert à l’U.Q.T.R. a une durée totale de 3 ans offert à temps complet, mais peut aussi être suivi à temps partiel. Exclusif au Québec, contrairement aux programmes des autres universités, il est le seul entièrement consacré aux différents aspects sociaux et culturels de la communication;

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction à la communication et ses modèles, introduction à la communication sociale, communication et actualité : analyse et critique, production médiatique : court-métrage (théorie), communication dans les groupes de tâches, médias et société : valeurs, enjeux et perspectives, démarches de travail intellectuel en communication sociale, relations avec les publics et les médias 1, communication et sociologie politique : l'espace public et l'enjeu démocratique, analyse et études en communication sociale, gouvernance des communications, de la culture et de l'information, sémiologie : théories et modèles, communication et organisation, planification des activités de communication, projet d'intervention en communication sociale, ainsi qu'un stage en communication sociale;

 

Tu devras également choisir 7 à 8 cours optionnels parmi 28 cours proposés (ex : écriture journalistique, les relations avec le public et les médias 2, communication écrite et médias, production télévisuelle avancée en communication sociale, applications multimédias en communication sociale, lien social et espace médiatique, pratique de la rédaction en communication sociale 1, pratique de la rédaction en communication sociale 2, , etc.);

 

Ainsi qu'1 ou 2 cours complémentaires en dehors du champ de spécialisation parmi l'ensemble des cours de 1er cycle offerts par l'université accessibles comme cours au choix (ex : la notion du discours,  sociolinguistique, écriture avancée en anglais, grammaire anglaise pratique 1, techniques de rédaction, difficultés grammaticales, révision en communication écrite, communication écrite et médias, espagnol écrit et parlé 1 et 2, espagnol intermédiaire 1 et 2, espagnol avancé, méthodologie de la recherche en sciences sociales appliquées 1, animation et intervention sociale, introduction à la philosophie sociale et politique, développement de carrière, intervention communautaire, problèmes sociaux, fondements de la dynamique familiale, psychologie sociale 1, psychologie dynamique des milieux de travail, psychologie du vieillissement, sexualité et vieillissement, sociétés et vieillissement, vieillissement au travail et retraite, cultures canadiennes et américaines, langue et société au Québec, etc).

 

Le Baccalauréat spécialisé en action culturelle B.A. (anciennement "animation et recherches culturelles") offert à l’UQÀM a une durée totale de 3 ans offert à temps complet seulement.

 

Tu acquerras les connaissances nécessaires afin de concevoir, animer et coordonner des activités culturelles de toutes sortes. Étant un programme multidisciplinaire, il intègre la sociologie, la communication, l'histoire de l'art, les études théâtrales et les sciences de la gestion.

 

En plus de la formation théorique, tu développeras tes compétences par une formation pratique comprenant : séminaires d'analyse, ateliers d'enquête, laboratoires d'animation et de créativité ainsi qu'un stage d'intervention sur le terrain.

 

Les cours obligatoires, concentrés sur les trois premiers trimestres, sont structurés par les axes de compétences transversales à tout champ de l'action culturelle. Ces cinq axes sont : penser l'action culturelle, connaître les acteurs et espaces de l'action, savoir organiser l'action, l'animer et l'évaluer.

 

Les cours optionnels débutant à la deuxième année offrent à l'étudiant la possibilité d'approfondir leurs connaissances dans deux champs de l'action culturelle, parfaire les analyses et pratiques et s'approprier deux outils culturels.

 

Enfin, tu complèteras ta formation par un stage obligatoire d'intervention ou de recherche de 600 heures pouvant se réaliser sur une session (stages intensifs à temps plein) ou sur deux sessions consécutives (stages à temps partiel).

 

Au cours de 1re année, tu seras familiarisé(e) aux phénomènes culturelles, aux aspects sociologiques de la culture, aux politiques culturelles, aux principes de base de l'animation et aux principes de base de la gestion.

 

Tu devras suivre les cours obligatoires suivants : introduction à l'action culturelle au Québec et dans le monde, la notion de culture au prisme de l'action culturelle, problématique de territoire : outils quantitatifs, la communication orale et écrite, animation et créativité, politiques et développement culturel, mouvements sociaux : actions et significations culturelles, problématique de territoire 2 : outils qualitatifs, organisation d'événements culturels et de communication et animation des groupes dans le domaine de l'action culturelle.

 

Au cours de la 2e année, tu apprendras les méthodes techniques d'animation auprès de différents types de groupes, les stratégies d'intervention en milieu culturel, les principes de gestion d'une organisation culturelle et tu acquerras des connaissances dans un ou des outils permettant la réalisation d'activités d'animation.

 

Tu devras suivre les cours obligatoires suivants : action culturelle, espace public et participation, la dimension symbolique de la culture, évaluation participative de l'action culturelle, théorie et pratique de la gestion de projet, stratégies d'intervention culturelle, préparation au stage et réalisation d'un projet d'intervention en action culturelle utilisant les nouvelles technologies.

 

Tu devras également choisir 1 cours optionnel en domaines de l'action culturelle parmi les suivants : l'action culturelle en milieux culturels et artistiques, l'action culturelle à travers les médias, l'action culturelle dans les milieux de loisirs, l'action culturelle dans le milieu communautaire ou action culturelle, femmes et féminismes;

 

Enfin, tu devras choisir 1 cours optionnel en analyses et pratiques culturelles parmi une vingtaine de cours proposés (ex : phénomènes de groupe et de communication en situation d'action culturelle, animation de communautés en ligne et phénomènes de groupes, géographie culturelle, loisirs et société, société québécoise contemporaine, économie sociale et nouvelles solidarités, marginalisation sociale et sous-cultures, immigration, minorités ethniques et relations interethniques, introduction aux mondes autochtones du Québec et du Canada, sociologie de l'art, pratiques sociales et politiques de l'art, théories / structures et fonctions des musées et des lieux de diffusion, animation / communication et gestion en patrimoine culturel, etc.).

 

Au cours de la 3e année, tu approfondiras tes connaissances sur l'action culturelle dans les différents milieux, tu complèteras ta formation en acquerras des connaissances complémentaires dans les différentes disciplines des arts et avec l'aide différents outils et enfin, tu intègreras les connaissances acquises tout au long du programme par la réalisation d'un stage en milieu culturel.

 

Tu devras choisir 2 cours optionnels en outils culturels parmi une douzaine de cours proposés (ex : relations de presse 1 : interactions avec les journalistes, initiation à l'audio, initiation à la vidéo, atelier de radio 1, les techniques d'expression dans les médias électroniques (radio et télévision), etc.

 

Tu devras choisir 2 cours optionnels en analyses et pratiques culturelles parmi une vingtaine de cours proposés (ex : phénomènes de groupe et de communication en situation d'action culturelle, animation de communautés en ligne et phénomènes de groupe,  pratiques sociales et politiques de l'art, marginalisation sociale et sous-cultures, immigration, minorités ethniques et relations interethniques, introduction aux mondes autochtones du Québec et du Canada, géographie culturelle, société québécoise contemporaine, atelier d'intervention dans les réseaux interculturels, changement émergent et innovation, etc.).

 

Tu devras choisir 2 cours au choix en dehors du champ de spécialisation (des cours en communication ou en administration ou en sociologie ou en psychologie ou en histoire de l'art ou en langue étrangère sont recommandés, ex : gestion des organisations: complexité, diversité et éthique, introduction aux sciences comptables, entreprise et société, fondements du fonctionnement des groupes en entreprise, marketing des entreprises sociales et collectives, gestion et gouvernance des entreprises sociales et collectives, approches de la communication interpersonnelle, les industries de la culture et des communications, communication organisationnelle, médias et société, cinéma et société, journalisme et société, enjeux sociaux de la télévision, musique et cinéma, événement culturel, communication et groupes restreints, techniques d'enquête et sondage en psychosociologie, culture et communication en mouvement, connaissance des médias, psychologie de la communication, psychologie de la motivation et des émotions, psychologie de l'apprentissage, psychologie, culture et ethnicité, psychologie sociale, immigration, minorités ethniques et relations interethniques, identités et nouvelles formes de socialité, traditions sociologiques québécoises, société québécoise contemporaine, atelier d'écriture 1, écriture dramatique 1, atelier d'écriture populaire 1, atelier d'écriture en littérature de jeunesse, etc.).

 

Enfin, tu devras réaliser un stage professionnel de 600 heures en milieu culturel (soit 1 jour/semaine, échelonné sur 2 trimestres dans le milieu de ton choix.

 

Le Baccalauréat spécialisé bidisciplinaire en communication et lettres françaises offert à Ottawa a une durée totale de 3 ans offert en cheminement régulier à temps complet ou en cheminement régulier à temps partiel ou en régime coopératif à temps complet. Il permet de fournir une formation fondamentale et spécialisée en rédaction professionnelle en français afin de former des rédacteurs professionnels pour différents domaines, incluant la rédaction en communication, la rédaction journalistique et la rédaction publicitaire;

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction à la communication organisationnelle, introduction à l'étude des médias, littérature française : des origines jusqu'au 18e siècle, littérature française et québécoise : du 19e siècle à nos jours, méthodes de recherche en communication, communication interpersonnelle, communication organisationnelle OU théorie des médias, rédaction pratique, nouveaux médias, méthodes d'enquête et de documentation, réécriture et révision, grammaire et expression, méthodes quantitatives, méthodes qualitatives, éthique des médias, théorie des communications, écriture et information, éditique 1 : le texte, ainsi que journalisme culturel ou journalisme écrit;

 

Tu devras également choisir l'un des 3 cours suivants (écrits narratifs et descriptifs, contraction et synthèse de textes ou grammaire et style),

 

l'un des 4 cours suivants (paralittératures, littérature et culture de l'Ontario, littérature et cinéma ou le récit),

 

l'un des 4 cours suivants (littérature et journalisme, la rhétorique, essayistes et pamphlétaires ou littérature et formes artistiques),

 

5 cours optionnels en lettres françaises par 15 cours proposés,

 

ainsi que 6 cours au choix en dehors du champ de spécialisation par l'ensemble des cours de 1er cycle offerts par l'université accessibles comme cours au choix;

 

Enfin, si tu choisis le cheminement en régime coopératif, tu devras également réaliser 4 stages rémunérés en entreprise de 4 chacun en communication sociale au sein d'une entreprise ou d'une organisation publique provenant de partout au Québec, de l'Ontario ou ailleurs au Canada, parfois même ailleurs dans le monde.

 

Le Baccalauréat avec majeure en journalisme B.A. offert à l’Université Concordia a une durée totale de 3 ans (incluant la mineure) offert à temps complet, mais peut aussi être offert à temps partiel. Il vise à former des professionnels de l'information pouvant couvrant l'actualité dans n'importe quel domaine au sein de n'importe quel type de média (presse écrite, radio, télévision, Internet);

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction au journalisme : écrit, outils numériques pour journalistes, principes du journalisme : théories et pratique, les médias au Québec, stage en journalisme 1, méthodes de recherche en journalisme,  les articles de fond en journalisme, droit et éthique et déontologie en journalisme;

 

Lors de la deuxième année, tu devras choisir l'une des 2 options suivantes :

 

presse écrite; tu auras les cours suivants : édition et mise en page, photojournalisme, écriture pour magazines, journalisme multi plates-formes, approches critiques en journalisme, stage en journalisme 2; ainsi qu'1 cours optionnel parmi 11 cours proposés (ex : journalisme international, travail dirigé en journalisme écrit, journalisme écrit spécialisé, journalisme littéraire, journalisme culturel, journalisme sportif, journalisme scientifique, journalisme Web, introduction à la télévision, introduction à la radio, etc);

 

presse audiovisuelle; tu auras les cours suivants : vidéo journalisme, salle des nouvelles radiophoniques, photojournalisme, introduction à la télévision, journalisme multiplateforme, approches critiques en journalisme, stage en journalisme 2; ainsi qu'1 cours optionnel parmi 11 cours proposés (ex : journalisme international,  journalisme culturel, journalisme sportif, journalisme documentaire, journalisme scientifique, reportage spécialisé, journalisme multimédia, nouveaux médias alternatifs, journalisme télévisuel avancé, travail écrit en journalisme audiovisuel, etc);

 

Au cours de la troisième année, tu devras choisir un programme de mineure parmi les suivantes :

 

allemand, anthropologie, arts computationnels, biologie, chimie, diversité et monde contemporain, écologie, économique, écriture créative, écriture professionnelle, environnement humain (géographie), études cinématographiques, études classiques, études de l'Asie de l'Est, études féministes, études de l'administration, études multidisciplinaires en sciences, études urbaines, géographie environnementale, histoire, histoire de l'art, italien, langues et cultures du monde arabe, linguistique, littérature anglaise, mathématiques et statistique, musique, relations humaines, science informatique, science politique, sociétés et cultures occidentales ou sociologie.

 

Le Baccalauréat avec majeure en journalisme B.A. offert à l’Université d'Ottawa a une durée totale de 3 ans (incluant la mineure) offert à temps complet, mais peut aussi être offert à temps partiel. Il vise à former des professionnels de l'information pouvant couvrant l'actualité dans n'importe quel domaine au sein de n'importe quel type de média (presse écrite, radio, télévision, Internet);

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : introduction à l'étude des médias, introduction à la macroéconomie ou enjeux macroéconomiques contemporains, méthodes de recherche en communication, théories des médias, introduction à la microéconomie ou enjeux microéconomiques contemporains, méthodes quantitatives, méthodes qualitatives, politique et médias, histoire du journalisme, éthique et déontologie du journalisme, opinion publique, industrie des médias, médias et radiodiffusion publique, communication dans les organismes gouvernementaux, étude de réception et économie politique des médias;

 

Par la suite, tu devras combiner cette majeure par une mineure ou certificat dans le domaine de spécialisation de ton choix, voici quelques exemples :

 

en journalisme culturel (anthropologie, écriture et style, english, espagnol, études autochtones, études canadiennes, études des femmes, études des francophonies, études latino-américaines, histoire, histoire et théorie de l'art, lettres françaises, linguistique, musique,  théâtre);

 

en journalisme politique (administration publique, études des femmes, études états-uniennes, science économique, science politique);

 

en journalisme scientifique et technologique (biochimie, biologie, chimie, études de l'environnement, géographie, géologie, informatique, informatique pour les sciences, mathématiques, physique, psychologie, sciences de la santé, sciences de la vie, statistique);

 

en journalisme social (anthropologie, études autochtones, études des femmes, études des francophonies, gérontologie, histoire, philosophie, psychologie, sciences du loisir, sciences des religions, sciences sociales de la santé, service social, sociologie);

 

en journalisme international (anthropologie, études celtiques, espagnol, études asiatiques, études des francophones, études états-uniennes, études latino-américaines, géographie, histoire,  langue et culture allemandes, langue et culture arabes, langue et culture italiennes, langue et culture russes, science politique);

 

en journalisme d'enquête (criminologie, droit, éthique appliquée, sociologie);

 

en journalisme d'affaires (administration des affaires, droit, éthique appliquée, science économique), etc.

 

Le Baccalauréat avec majeure en rédaction professionnelle avec mineure offert à l'UQO a une durée totale de 3 ans (incluant la mineure) est offert à temps complet ou en cheminement régulier à temps partiel. Il permet de fournir une formation fondamentale et spécialisée en rédaction professionnelle principalement en français, mais également en anglais afin de former des rédacteurs professionnels pour différents domaines, incluant le journalisme de la presse écrite;

 

Il comporte les cours obligatoires suivants : communication écrite 1, lexique du français moderne, grammaire normative pour langagiers, outils informatiques pour langagiers, communication écrite 2, histoire de la langue française, documentation et terminologie, grammaire descriptive du français, rédaction professionnelle, écriture journalistique, rédaction et outils de communication, rédaction Web, atelier de création, rédaction technique et scientifique, français québécois, ainsi que 5 cours optionnels parmi 12 cours proposés (exemples en lien avec le domaine des communications : rédaction anglaise intermédiaire 1, rédaction anglaise intermédiaire 2, rédaction anglaise avancée 1, rédaction anglaise avancée 2, communication et société, etc.;

 

Ensuite, tu pourras combiner cette majeure avec l'une des mineures suivantes :

 

Mmineure en médias de l'information et des communications, tu devras suivre les cours suivants : communication verbale, contrôle et manipulation de l'information, communication audiovisuelle, communication publicitaire, communication radiophonique, métiers du journalisme, éthique, technologies de l'information et société, ainsi que 3 cours optionnels parmi 24 cours proposés (ex : médias québécois et canadiens, écriture journalistique, médias alternatifs, initiation à la création de sites Web,  communication et opinion publique, synthèse et présentation de l'information, outils informatiques pour langagiers, etc.);

 

Mmineure en science politique, tu devras suivre les cours suivants : système administratif de l'État, introduction à la pensée politique, fondements de l'analyse politique, vie politique municipale, État et pouvoir économique dans les sociétés contemporaines, mouvements et idéologies politiques au Québec et au Canada, système mondial et relations internationales, ainsi que 3 cours optionnels parmi 28 cours proposés (ex : communication et opinion publique, contrôle et manipulation de l'information, le monde dans une perspective géographique, politiques publiques locales et lutte contre la pauvreté, partis politiques, pouvoirs politiques et pouvoirs économiques au Québec et au Canada, politiques sociales, économie contemporaine, systèmes politiques étrangers : États-Unis, politiques étrangères, etc.);

 

Mmineure en développement international, tu devras suivre les cours suivants : commerce et développement, organisations internationales, économie contemporaine, théories du développement, coopération internationale, problèmes socio-économiques contemporains du Sud, développement communautaire dans le Sud, ainsi que 3 cours optionnels parmi 18 cours proposés (ex : communications internationales, le monde dans une perspective géographique, mondialisation : implication et prospective, État et pouvoirs économiques dans les sociétés contemporaines, systèmes politiques étrangers : Amérique latine, etc.).

 

Le Baccalauréat avec majeure communication offert à l'UQAM a une durée totale de 3 ans (majeure de 2 ans + mineure d'1 an) offert à temps complet, mais peut également être suivi à temps partiel. Ce programme te permettra d'acquérir une formation de base en communication tout en la combinant avec une autre discipline (mineure) en lien avec ton domaine d'intérêt en journalisme;

 

Tu auras les cours obligatoires suivants : méthodologie de la recherche en communication, approches de la communication interpersonnelle, théories de la communication, 1 cours de méthodologie parmi les suivants (techniques d'enquête et sondage en psychosociologie ou techniques d'entretien en psychosociologie), communication organisationnelle, communications internationales et cultures locales, connaissance des médias, analyse des productions des médias, histoire des communications, activité de synthèse en communication, ainsi que 10 cours optionnels parmi plus de 25 cours proposés (exemples en lien avec le journalisme :  journalisme et société, écriture en communication, enjeux sociaux de la télévision, multimédia et société, etc);

 

Par la suite, tu devras combiner cette majeure par une mineure ou certificat dans le domaine de spécialisation de ton choix, voici quelques exemples :

 

en journalisme culturel (animation culturelle, anglais, arts plastiques, création littéraire, études québécoises, études théâtrales, histoire, histoire de l'art, linguistique, muséologie et diffusion de l'art, patrimoine urbain ou scénarisation cinématographique);

 

en journalisme politique (science politique, droit social et du travail, économique, ou administration des services publics);

 

en journalisme scientifique et technique (analyse chimique, écologie, géologie appliquée, informatique, informatique et développement de logiciels, patrimoine urbain, ressources énergétiques durables, sciences de l'environnement ou science, technologie et société);

 

en journalisme social (études féministes, gérontologie sociale, gestion du tourisme, histoire, immigration et relations interethniques, intervention psychosociale, philosophie, psychologie, sciences des religions, sciences sociales ou sociologie);

 

en journalisme international (anglais, allemand, espagnol, études américaines, italien, langue et culture arabes, langues et cultures d'Aise);

 

en journalisme d'affaires (administration, droit social et du travail, économique ou études urbaines), etc.

 

Le Baccalauréat avec majeure en sciences de la communication offert à Montréal a une durée totale de 3 ans (majeure de 2 ans + mineure d'1 an) offert à temps complet, mais peut également être suivi à temps partiel. Ce programme te permettra d'acquérir une formation de base en communication tout en la combinant avec une autre discipline (mineure) en lien avec ton domaine d'intérêt en journalisme.

 

Tu auras des cours obligatoires communs à toutes les orientations, soit : méthodologie de la recherche en communication, rédaction en communication 1, théories de la communication, communication médiatique, communication organisationnelle, pratiques méthodologiques 1, l'un des 5 cours suivants (communication, cognition et émotion, rédaction en communication 2, communication, sens et discours, communication et rhétorique ou séminaire thématique en sciences de la communication)  et pratiques méthodologiques 2;

 

Enfin, tu pourras compléter ce programme en choisissant une mineure ou un certificat, par exemple :

 

en journalisme culturel (histoire de l'art, musique, art et société, études cinématographiques, anthropologie);

 

en journalisme scientifique et technique (urbanisme, informatique, chimie, physique, sciences biologiques, sciences cognitives, psychologie);

 

en journalisme international (science politique, géographie, études est-asiatiques, géographie internationale);

 

en journalisme d'enquête (criminologie, éthique et droit, psychologie);

 

en journalisme d'affaires (sciences économiques, science politique), etc.

 

AUTRES PROGRAMMES :

 

Il existe également d’autres programmes reliés au domaine du journalisme, par exemple :

 

PASSERELLES :

 

Un programme passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est offerte lors de la demande.

 

Pour plus de détails, consulte la section "passerelles" du niveau collégial ci-haut

 

ÉTUDES SUPÉRIEURES :

 

Par la suite, tu pourras poursuivre tes études dans un programme tel que l'un des suivants :

 

Si tu désires enseigner la communication au collégial, il est possible d'entreprendre des études au niveau du 2e cycle dans l'un des programmes suivants :

 

maîtrise en enseignement collégial offerte à Sherbrooke (aussi offert en ligne),

maîtrise en éducation - concentration en didactique offerte à l'UQAM,

maîtrise en didactique offerte à Montréal,

maîtrise en éducation-didactique offerte à U.Q.T.R.,

Diplôme en enseignement collégial offert à Sherbrooke,
D.E.S.S. en enseigement collégial offert à Laval,
D.E.S.S. en enseignement collégial offert à l'UQAC,

D.E.S.S. en éducation et formation des adultes offert à l'UQAM,
Certificat d'études supérieures en enseignement post-secondaire offert à Ottawa,
Microprogramme en formation à l'enseignement post-secondaire à Montréal (voir aussi la page suivante),
Microprogramme en formation initiale en enseignement collégial offert à Sherbrooke,
Microprogramme en insertion professionnelle en enseignement collégial offert à Sherbrooke,
Graduate Certificate in College Teaching offert à Sherbrooke,

Programme court en pédagogie de l'enseignement supérieur offert à l’UQAM,
Programme en court en intervention éducative - concentration au collégial offert à l'UQAC,

Diplôme de 3e cycle en pédagogie de l'enseignement supérieur à Sherbrooke (pour titulaires du doctorat),

Microprogramme de 3e cycle en pédagogie de l'enseignement supérieur à Sherbrooke (pour titulaires du doctorat)

 

Pour plus de détails, consulte la page de professeur au collégial.

 

Maîtrises :

Autres programmes :

EXIGENCES D’ADMISSION :

 

-         Soit détenir un D.E.C. en sciences humaines (toutes les universités)

 

-         Soit détenir un D.E.C. intégré en sciences-arts-lettres ou en sciences de la nature (toutes les universités)

 

-         Soit détenir un D.E.C. dans une autre discipline et avoir réussi les cours suivants ou son équivalents :

méthodes quantitatives 300 OU maths 337 OU (103 et 307) ET psychologie 101 ou 102      (Laval)

sans cours préalable (toutes les autres universités)

           

-         Soit détenir un diplôme de 1er cycle universitaire (toutes les universités)

 

-         Soit être âgé d’au moins 21 ans, posséder une formation appropriée et avoir acquis quelques années d’expérience pertinente relié au programme (toutes les universités)

 

AUTRES EXIGENCES PARTICULIÈRES À L’ADMISSION :

 

-         Répondre à un questionnaire obligatoire (concentration journalisme à UQAM)

-         Se soumettre à une entrevue obligatoire (concentration journalisme à UQAM)

 

STATISTIQUES D’ADMISSION :

 

Ces programmes sont contingentés

 

À l’automne 2023 :

 

UNIVERSITÉS

DEMANDES

NOMBRE DE PLACES

TAUX D’ADMISSION

EN %

COTE R

Dernier candidat admis

COTE R

en 2022

COTE R

en 2021

COTE R

en 2020

COTE R

en 2019

COTE R

en 2018

UQAM

(concentration journalisme)

265

60

23

23,130

24,000

24,000

24,000

24,800

24,500

UQAM

(commun & polit)

211

60 ***

28

23,000

23,200

24,000

24,000

24,100

24,100

Montréal
(sc de la communic)

713

121

17

24,534

23,364

24,047

23,522

24,038

24,092

Laval
(comm publique)

620

150

24

22,009 22,009 22,009 22,009 22,009 22,009

Laval
(aff publ et rel internationales)

425

65

15

28,009

28,003

28,503

28,605

28,919

28,038

Sherbrooke

(communication)

131

35

27

22,000

23,400

23,400

23,900

27,400

23,600

Concordia (journalisme) n-d 88 n-d 22,000 * 22,000 * 22,000 * 25,000 * 25,000 * 25,000 *

* l'admission est basée sur la cote R plus les tests d'admissions et une entrevue; le programme en régime coopératif a une cote R minimale de 28,000

** ce programme est maintenant offert au trimestre d'automne seulement et n'est plus offert au trimestre d'hiver

Ce programme (spécialisation journalisme) est également contingenté à Ottawa :

Cette université ne prend pas en considération la cote R, elle calcule plutôt une moyenne d'admission à partir de tous les cours complétés dans une même année (secondaire 5 ou collégial).

La moyenne pour les candidats(es) ayant complété 17 cours collégiaux ou plus était de 63 %;

La moyenne des candidats(es) ayant complété entre 12 et 16 cours collégiaux était de 73 %.

Les admissions sont ouvertes au trimestre d'automne seulement.

 

À Laval; les admissions au Bacc en communication publique sont ouvertes aussi à l’hiver avec un maximum de 55 places disponibles

 

À Montréal, le Bacc bidisciplinaire en communication et politique n'est plus contingenté, mais une cote R minimale de 23,000 est nécessaire

À Sherbrooke; la concentration rédaction du Bacc en communication appliquée n'est plus contingenté, mais une cote R minimale de 23,400 est nécessaire. De plus, les admissions sont également ouvertes au trimestre d'hiver.

 

À l’U.Q.T.R.; les admissions au bacc en communication sociale sont ouvertes également à l’hiver sans contingentement

Dans les autres universités, il n'y a pas de contingentement et les admissions sont ouvertes au trimestre d'automne seulement

Sources : UQAM, Université de Montréal, Université Concordia, Université Laval et U.Q.T.R. 

ENDROITS DE FORMATION :

Qu'est-ce que l’alternance travail-études (aussi appelé "régime coopératif") ?

LIENS RECOMMANDÉS :

Tu veux l'avis de journalistes sur leur profession ?, alors regarde les vidéos et entrevues écrites suivants :

  • l'entrevue avec Sarah Latouche, étudiante en techniques de communication dans les médias - option journalisme au Cégep de Jonquière et réalisée par le Cégep de Jonquière;

  • l'entrevue avec Christine Loiseau, étudiante au baccalauréat par cumuls de certificats à l'UQAM en sciences et communication scientifique et chroniqueuse scientifique à CHOQ FM, la radio étudiante de l'UQAM;

  • les entrevues avec Alexandre Coutant, Ayarid Guillen, Richard Bousquet, Louis-Claude Paquin et Samuel Cossette; le premier est professeur de communication, la seconde est professeure de langues, le troisième est chargé de cours en journalisme, le quatrième est professeur de communication, le cinquième est étudiant à la maîtrise en communication à l'UQAM et réalisées par le Syndicat des professeurs de l'UQAM;

  • l'entrevue avec Léa Thouin; étudiante au baccalauréat en sciences de la communication à l'Université de Montréal et réalisée par l'Université de Montréal;

  • l'entrevue avec Thomas Picotte-Lavoie; étudiant au baccalauréat en journalisme à l'UQAM et réalisée par l'UQAM;

  • l'entrevue avec Florent Maiorana; étudiant au baccalauréat en communication (journalisme) à l'UQAM et réalisée par l'UQAM;

  • l'entrevue avec Blanche Morel, étudiante à la maîtrise en journalisme à l'Université Concordia et réalisée par l'Université Concordia;

  • les entrevues avec Anne-Marie Ménard, Marianne Drouin et Sarah Saidi; étudiantes à la maîtrise en communication de l'Université de Sherbrooke et réalisées par l'Université de Sherbrooke;

  • l'entrevue avec Geneviève Chacon, étudiante au doctorat en communication publique de l'Université Laval et réalisée par la Faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université Laval;

  • l'entrevue avec Paul Huot, journaliste pour la SRC Est du Québec et réalisée par la SRC;

  • l'entrevue avec Maxime Denis; journaliste multiplateformes à Radio-Canada et réalisée par le Cégep de Jonquière;

  • l'entrevue avec Alexis de Lancer, chroniqueur Web et chroniqueur de presse pour l'émission RDI Le Matin à RDI et réalisée par la SRC;

  • l'entrevue avec Ève Lévesque: adjointe au rédacteur en chef au Journal de Montréal et réalisée par l'UQAM:

  • l'entrevue avec Tristan Péloquin, journaliste au Journal La Presse et vidéoreporter pour La Presse.ca et réalisée par le Département des sciences de la communication de l'Université de Montréal;

  • l'entrevue avec Benoit Beaudoin; journaliste sportif à RDS et réalisée par le Cégep de Jonquière;

  • l'entrevue avec Alexis de Lancer, chroniqueur Web pour l'émission RDI Matin et réalisée par la SRC;

  • l'entrevue avec Marie-Claude Savard; journaliste sportif à ICI Radio-Canada, animatrice radio sur les ondes de 94,3 Énergie, animatrice télé à Canal Vie, documentariste à ICI Radio-Canada, autrice et conférence et réalisée par le balado Femmes de Hockey;

  • l'entrevue avec Améli Pineda; journaliste au Journal Le Devoir et réalisée par l'UQAM;

  • l'entrevue avec Alec Castonguay; chef du bureau politique au Magazine L'Actualité et journalisme collaborateur au Radiojournal de la SRC et réalisée par l'UQAM;

  • l'entrevue avec Serge Drouin, journaliste culturel au Journal de Québec et chroniqueuse culturel à la radio au FM 101,5 Ste-Marie-de-Beauce et réalisée par le Réseau Écoles Médias du Québec;

  • l'entrevue (en anglais) avec Brittany Henriquez; vidéojournaliste pour GlobalNews et réalisée par l'Université Concordia;

  • l'entrevue (en anglais) avec John Ngala; journaliste pour CBC Montréal et éralisée par l'Université Concordia;

  • l'entrevue avec Evelyne Audet, co-animatrice de l'émission AZIMUT au Canal Evasion et vidéojournaliste pour le Journal La Presse et réalisée par le Canal Evasion;

  • l'entrevue avec Mélanie Frappa, rédactrice en chef du magazine Elle Québec et réalisée par le le site Web Gloss toi;

  • l'entrevue avec Philippe Gagnon, chef de service du centre des dépêches pour le Groupe CNW, une importante entreprise de relations médias et réalisée par CNW;

  • les entrevues avec Marie-Claude et Christine, la première est rédactrice en chef et directrice générale et la seconde est journaliste coordonnatrice au Journal L'Express du Pacifique de Vancouver et réalisées par ECP Télévision pour le site Web Visez.ca;

  • l'entrevue avec Charles Tisseyre, journaliste scientifique et animateur de l'émission de vulgarisation scientifique "Découverte" à la SRC et réalisée par le Conseil du loisir scientifique du Saguenay Lac-St-Jean;

  • des entrevues avec Jean-François Bélanger et Marie-Ève Bédard, journalistes correspondants à l'étranger pour la SRC dans le cadre de l'émission "En direct du monde" réalisée par diffusée par la SRC;

  • l'entrevue avec Mathieu Nadon, chef d'antenne du Téléjournal Gatineau pour la SRC Gatineau et réalisée par la SRC.

Autres :

-        Fédération professionnelle des journalistes du Québec

-        Association des journalistes indépendants du Québec

-    Association des journalistes du Canada

-    Association des journalistes automobiles du Canada

-    Association des communicateurs scientifiques du Québec

-        Journalisme québécois

-    Planète Québec : portail francophone sur l’actualité

Médias québécois :

Autres médias canadiens :

Médias américains :

Agences de presse :

Médias étrangers :

-    Online Newspapers : répertoire de journaux partout dans le monde

-    ABYZ news links : répertoire de médias écrits et électroniques partout dans le monde

-    World Newspapers : répertoire de journaux partout dans le monde

-    British Media Online : répertoire de journaux britanniques

-    Journaux francais.net : répertoire de tous les journaux français

-    Journaux.net : répertoire de tous les journaux français

-    La presse de France : répertoire de tous les journaux français

-        Monde en presse : répertoire de journaux et quotidiens partout dans le monde

-    Wikipedia : répertoire des chaînes de télévision par pays (attention !, plusieurs sont dans leur langue nationale)

-    Télésatellite.com : répertoire de tous les chaîneso de télévision par satellite partout dans le monde

-    BBC : site de ce réseau britannique de télévision (en anglais)

-    BFMTV : site de de canal télé nouvelles en continu de France

-    BFM Business : site de canal télé spécialisé en économie et finances de France

-    Bloomberg TV : site de canal télé français spécialisé en économie et finances et diffusé en Europe, USA et Asie

-    Canal Z : site de cette chaîne télé belge spécialisé en économie et finance

-    CNTV : site de ce canal de télé francophone de Chine de nouvelles en continu diffusé un peu partout dans le monde

-    Der Spiegel : plus grand et plus influent hebdomadaire allemand d'investigations (en anglais)

-    Deutsche Welle DW : plus grande chaîne télé allemande de nouvelles en continu (en anglais)

-    Euronews :  site de cette chaîne télé français de nouvelles en continu diffusé partout en Europe

-    Figaro (Paris) : site de ce important quotidien français

-    France 2 : site de Espace musique ou Première Chaîne de télévision

-    France 24 : canal télé français de nouvelles en continu

-    I Télé : canal télé français de nouvelles nationales

-    ITV : important réseau britannique de télévision

-    La Chaîne Info LCI : site de cette chaîne télé français de nouvelles en continu

-    Channel 4 :  important réseau britannique de télévision

-    Channel News Asia : chaîne télé de nouvelles en continu de Singapore (en anglais)

-    RTS Un : plus important réseau de télévision de la Suisse romande

-    RTBF : plus important réseau de télévision belge

-    Das Erste : plus important réseau public de télévision d'Allemagne (en allemand)

-    Sky News : chaîne télé de nouvelles en continu en UK (en anglais)

-    RTL : plus important réseau privé de télévision d'Allemagne (en allemand)

-    TF1 : site de Espace musique ou Première Chaîne de télévision

-    Le Monde : site de cet important quotidien français

-    The Times : important quotidien britannique (en anglais)

-    The Telegraph : important quotidien britannique (en anglais)

-    The Guardian : important quotidien britannique (en anglais)

-    The Daily Mail : important quotidien britannique (en anglais)

-    The Daily News : important quotidien britannique (en anglais)

-    Die Zeit : plus important quotidien allemand (en allemand)

-    Die Welt : second plus important quotidien allemand (en allemand)

-    The Local Germany : important quotidien allemand (en anglais)

-    The Munich Eye : quotidien allemand (en anglais)

-    la Republica : plus important quotidien italien (en italien)

-    Corriere della Sera : second plus important quotidien italien (en italien)

-    The Local Italy : important quotidien italien (en anglais)

-    Dutch News : important quotidien néerlandais (en anglais)

-    NL Times : important quotidien néerlandais (en anglais)

-    The Mexico News : site de cet important quotidien mexicain (en anglais)

-    The Rio Times : site de cet important quotidien brésilien (en anglais)

-    The Olive Press : site de cet important quotidien espagnol (en anglais)

-    The Local Spain : site de cet important quotidien espagnol (en anglais)

-    La Libre : important quotidien belge

-    Le Matin : important quotidien suisse

-    24 Heures : important quotidien suisse

-    Tribune de Genève : important quotidien suisse

-    The Australian : important quotidien australien (en anglais)

-    China Daily : important quotidien chinois (en anglais)

-    Global Times China : important quotidien chinois (en anglais)

-    Shanghai Daily : important quotidien chinois (en anglais)

-    The Japan News : important quotidien japonais (en anglais)

-    The Japan Times : important quotidien japonais (en anglais)

-    The Japan Today : important quotidien japonais (en anglais)

-    Korea Herald : important quotidien sud-coréen (en anglais)

-    Singapore Today : important quotidien de Singapore (en anglais)

-    The Standard : important quotidien de Hong Kong (en anglais)


Retour à la page du secteur lettres/a>
Retour à la page du secteur sciences humaines
Retour à la page d’accueil