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SECTEUR :
MÉTALLURGIE
DIPLÔME D’ÉTUDES PROFESSIONNELLES
D.E.P.
Consulte également la section "liens recommandés" (dont les vidéos de soudeurs qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
Si tu deviens soudeur-monteur ou soudeure-monteuse en milieu industriel; tu auras pour tâches de préparer, couper, façonner, assembler, souder, braser, réparer ou modifier des pièces de métaux ferreux ou non ferreux (que ce soit des assemblages de pièces d’acier doux et ou acier inoxydable, des assemblages de pièces d'aluminium, des pièces d'acier, etc.) qui sont nécessaires à la fabrication de produits métalliques de toutes sortes (incluant les produits composés de métaux et autres matériaux comme le plastique, le caoutchouc ou le bois) et ce, en utilisant différents procédés de soudage (SMAW, GTAW, GMAW, FCAW, SAW, RW ou PAW).
Tu pourras réaliser des projets de montage et de soudage d'éléments de base, d'éléments de structure, des projets de montage industriels et de structures métalliques en utilisant les différents procédés de soudage.
Tu auras pour tâches de :
Lire et interpréter les plans ou les spécifications techniques de soudage;
Installer, aligner, démonter et déplacer, en respectant les plans et à l'aide d'outils manuels et électriques, de la machinerie industrielle fixe ou du matériel mécaniquUtiliser des appareils manuels ou semi-automatiques, tels que des appareils de soudage à l'arc sous gaz avec électrode de tungstène (GTWA), de soudage à l'arc sous gaz avec fil solide (GMWA), de soudage à l'arc avec fil fourré (FCAW), de soudage à l'arc au plasma (PAW), de soudage à l'arc avec électrode enrobée (SMWA), de soudage par résistance, de soudage à l'arc submergé (SAW) et de soudage oxyacétylénique (OAW), pour souder des pièces de métal;e comme des pompes, des réservoirs, des réducateurs de vitesse, des compacteurs, des compresseurs; des convoyeurs, des chaudières, des générateurs des ventilateurs, des ponts roulants, etc;
Utiliser des appareils coupe-flamme manuels ou semi-automatiques;
Utiliser de l'équipement à souder et à braser;
Utiliser des machines à former les métaux, telles que des presses à plier et des cisailles, de même que d'autres machines à redresser et à cintrer les métaux;
Utiliser des appareils d'oxycoupage, des appareils pour le coupage au plasma, des appareils de coupe mécanique, une cisaille électrique, une guillotine informatisée, une presse plieuse à commande numérique, une machine plieuse de plaques de métal à commande numérique et autres machines et équipements servant à couper, plier, façonner, souder ou à braser des pièces métalliques ou des alliages;
Effectuer les réparations sur les assemblages;
Procéder à la finition de l’assemblage;
Effectuer le nettoyage des pièces;
Réparer les pièces usées de produits métalliques en y soudant des couches supplémentaires;
évaluer la qualité et la conformité des réparations et des assemblages selon les normes et exigences de qualité de l'entreprise;
Etc.
Si tu deviens soudeur-monteur ou soudeure-monteuse dans l'industrie de la construction; tu auras pour tâches de préparer, couper, façonner, assembler, souder, braser, réparer ou modifier des pièces de métaux ferreux ou non ferreux de différents métaux (éléments de base, structures métalliques, câbles d'acier, structure d'armature soudable pour le béton, éléments préfabriquées, etc.) et ce, en utilisant différents procédés de soudage (SMAW, GTAW, GMAW, FCAW, SAW, RW ou PAW) pour la construction d'immeubles commerciaux, institutionnels ou industriels.
Alors que dans la construction de génie civil, tu devras préparer, couper, façonner, assembler, souder, braser, réparer ou modifier des pièces de métaux ferreux ou non ferreux de différents métaux pour l'assemblages de pièces ou de composantes métalliques de différents types d'ouvrages de génie civil (viaducs, de ponts, de bordures de sécurité sur les routes et autoroutes, structures de réseaux distribution ou de transport d'électricité, tours d'éoliennes, tours de communications, infrastructures de réseaux d'aqueduc et d'égout, infrastructures de réseaux de distribution de gaz naturel ou de pétrole, barrages hydroélectriques, etc.) et ce, en utilisant différents procédés de soudage (SMAW, GTAW, GMAW, FCAW, SAW, RW ou PAW).
Tu pourras travailler principalement sur les chantiers de construction de génie civil (infrastructures routières, infrastructures d'éoliennes, infrastructures électriques, infrastructures de communication, infrastructures maritimes, infrastructures de pipeline, etc.); sur les chantiers de construction commerciale et institutionnelle (immeubles à bureaux, immeubles à revenus locatifs, centres commerciaux, entrepôts, écoles, hôpitaux, résidences pour aînés, etc.); ainsi qu'en construction industrielle (usines, stations de traitement de l'eau, infrastructures minières, complexes industriels, etc.).
En tant que soudeure ou soudeur en tuyauterie (aussi appelé "tuyauteur-soudeur"); tu auras pour tâches de préparer, couper et souder différents types de tuyaux (conduits des systèmes de chauffage à air chaud, de climatisation, de ventilation et autres systèmes d'évacuation d'eau d'immeubles ou tuyauterie de réseaux d'aqueduc et d'égout, tuyauterie de réseaux de distribution de gaz naturel ou de pétrole, tuyauterie industrielle, etc.) en utilisant différents types de procédés de soudage spécifiques au domaine de la tuyauterie (procédés oxyacétyléniques, à l’arc électrique avec électrode enrobée, à l’arc sous gaz avec fil plein, à l’arc avec fil fourré, à l’arc avec électrode de tungstène, etc.).
Tu pourras travailler principalement sur les chantiers de construction industrielle, sur certains grands chantiers commerciaux et institutionnels (ex : hôpitaux), ainsi qu'au sein de plusieurs types d'industries ayant de la tuyauterie industrielle (ex : industries chimiques, pétrochimiques, pétrolières, de première transformation des métaux, etc.).
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
- Avoir une excellente santé
- Avoir une bonne vision
- Être capable de travailler dans des endroits
chauds, bruyants, poussiéreux et gazeux
-
Bonnes habiletés et dextérité manuelles pour utiliser efficacement les
machines à souder
- Minutie, précision,
souci du détail car
tu devras souder avec exactitude les pièces nécessaires
- Sens des responsabilités et autonomie car c’est un
métier comportant des risques, alors tu devras appliquer les mesures de
sécurité pour toi et tes collègues
- Bon sens logique et esprit analytique car tu
auras à résoudre des problème reliés à l’assemblage de
métaux
-
Facilité
à travailler en équipe Que ce soit en atelier ou
sur un chantier, tu devras collaborer avec d’autres collègues (autres soudeurs,
charpentiers, monteurs d’aciers, techniciens en soudage, assembleurs de métaux,
ingénieurs, etc)
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Assembleur(euse) par points de soudure
- Braseur(euse)
- Machiniste-soudeur(e) (pour ceux qui possèdent déjà un D.E.P. en
techniques d’usinage
- Opérateur(trice) de machines à braser
- Opérateur(trice) de machines à souder
- Opérateur(trice) de soudeuse
- Régleur(euse) de machines à braser
- Régleur(euse) de machines à souder
- Soudeur(e) à l’arc électrique
- Soudeur(e)-assembleur(euse)
- Soudeur(e) en atmosphère gazeuse
- Soudeur(e) à l’arc et en atmosphère gazeuse
- Soudeur(e) chaudronnier(ère)
- Soudeur(e) d’outils et de matrices
- Soudeur(e) industriel(le)
- Soudeur(e)
monteur(e) d’acier
- Soudeur-tuyauteur ou soudeure-tuyauteure (avec un A.S.P. en soudage
haute-pression)
- Soudeur(e) de machines lourdes
- Soudeur(e) de réservoirs pour fluides sous-pression (avec un A.S.P. en
soudage haute-pression)
- Traceur(euse)-soudeur(e)
- Contremaître (contremaîtresse) de soudeurs(es)
-
Technicien(ne) de coque
(Forces armées - Force maritime) formation offerte par les Forces
- Technicien(ne) en matériaux (Forces armées - Armée de terre) formation offerte par les Forces
- Technicien(ne) en structures d'aéronefs (Forces armées - Force aérienne) formation offerte par les Forces
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Administrations aéroportuaires
- Administrations portuaires
- Ateliers de soudage
- Centres de recherches publics et privés
- Chantiers navals (navires cargo, navires de pêche, brise-glace, patrouilleurs, remorqueurs, traversiers, yachts, etc.)
- Fabricants de métal en feuille
- Énergir
- Hydro-Québec
- Manufacturiers de matériel ferrroviaire (voitures de trains ou métro, pièces ou composants en métal)
- Manufacturiers de pièces ou composants en métal pour aéronefs (moteurs, trains d'atterrissage, systèmes de controlei du carburant, composants de structures)
- Manufacturiers de pièces ou composants en métal pour véhicules routiers (autos, camions, autobus, véhicules spéciaux, etc)
- Manufacturiers de pièces ou composants pour véhicules récréatifs (motoneiges, VTT, embarcations nautiques, etc)
- Manufacturiers de machines et équipements industriels (chaudières, générateurs de vapeur, réservoirs et contenants d’expédition, machines industrielles, matériel forestier, matériel agricole, matériel minier, matériel de construction, etc)
- Manufacturiers de produits métalliques pour le bâtiment
- Manufacturiers de produits métalliques de toutes sortes (équipements récréatifs, jouets, outils, réservoirs, contenants et boîtes, meubles, etc)
- Manufacturiers de véhicules récréatifs (motoneiges, VTT, embarcations nautiques, etc)
- Manufacturiers de véhicules routiers : camions, autobus, véhicules spéciaux, etc. (Nova Bus, Prévost Car, Kenworth, etc.)
- centres de services scolaires (centres de formation professionnelle)
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
- La plupart des employeurs font passer un test d'embauche
- Connaissance de l’anglais (certains exigent le bilinguisme)
- Polyvalence
- Facilité d’adaptation aux nombreux changements technologique
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 1er juin 2019 :
Pour le D.E.P. en soudage-montage :
Le placement est très bon, 81 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
Quelques autres répondants(es), soit 15 % ont choisi de poursuivre leurs études dans le cadre du A.S.P. en soudage haute pression ou dans le cadre d'un autre D.E.P.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
487 | 335 | 328 | 73 |
Note 1 : hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 79 % en 2017; 73 % en 2015 et 76 % en 2013).
Note 2 : le taux de placement reste aussi bon même avec près de 1,5 fois plus de diplômés(es) par rapport aux années précédentes.
Pour le
A.S.P. en soudage haute pression :
Le placement est bon, 58 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
Quelques répondants(es), soit 9 % ont complété leurs études avec un autre D.E.P. ou ont poursuivi leurs études au collégial.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
91 | 48 | 47 | 8 |
Note : baisse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 64 % en 2017; 59 % en 2015 et 68 % en 2013).
Note 2 : prendre en considération que seulement 48 % des diplômés(es) ont répondu à cette enquête
Sources :
Ministère de l’Éducation
SALAIRE :
Selon
les données de 2022 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
Dans le secteur de la construction :
soudeurs-monteurs :
Note 1 : Cependant, le salaire annuel moyen en début de carrière pour un(e) soudeur(e) général ou un(e) soudeur(e) d'équipements lourds dans l'industrie de la construction était de 55 900 $ (hausse par rapport aux années précédentes : était de 54 000 $ en 2018p 49 800 $ en 2015 et 50 000 $ en 2013).
Note 2 : Cependant, le salaire annuel moyen en début de carrière pour un(e) soudeur(e) en tuyauterie (haute pression) dans l'industrie de la construction était de 62 400 $ (hausse par rapport aux années précédentes : était de 43 500 $ en 2015; 47 900 $ en 2013 et 50 000 en 2011). dont 65 % ont travaillé 500 heures et plus (était de 65 % en 2015 et 65 % en 2013).
Note 3 : dans l'industrie de la construction, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Dans le secteur privé hors construction :
- 21,87 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de produits en fabrication métallique industrielle
- 22,56 $/heure (37,5 ou 40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de meubles
- 23,14 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que soudeur(euse) au sein des grands manufacturiers de matériel de transport terrestre (routier ou ferroviaire)
- 23,19 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands fabricants de produits en minéraux industriels (béton, asphalte, granite, marbre, etc.)
Note 1 : hausse de la moyenne salariale dans le secteur privé hors-construction au sein des PME avec un DEP seul par rapport aux années précédentes (était de 19,48 $ en 2018; 18,98 $ en 2015; 18,43 $ en 2013 et 18,28 $ en 2011).
Note 2 : hausse de la moyenne salariale dans le secteur privé hors-construction au sein des PME avec un ASP en soudage haute pression par rapport aux années précédentes (était de 22,63 $ en 2018; 22,50 $ en 2015; 22,03 $ en 2013 et 20,23 $ en 2011).
Note 3 : chez la plupart des grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Dans le secteur public et parapublic :
- 27,76 $/heure (40 hres/sem) à l'Administration portuaire de Québec
- 33,98 $/heure (40 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 35,93 $/heure en tant que soudeur(e) à l'Administration portuaire de Montréal
- 34,59 $/heure (40 hres/sem) en tant que soudeur(e) à l'Administration portuaire de Québec
Sources : Ministère de l’Éducation du Québec, Commission de la construction du Québec, Conseil du Trésor du Québec, Commission de la fonction publique du Canada, Forces canadiennes, Syndicat des employés de Gaz métro, Syndicat des employés de métiers d'Hydro-Québec, Syndicat national des employés du Port de Montréal, Alliance de la fonction publique du Canada - section locale 3149 Port de Québec, Syndicat des employés des Aéroports de Montréal, Syndicat des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal STM, Syndicat des employés de la Société immobilière du Québec, conventions collectives des employés de la plupart des universités, conventions collectives des cols bleus de la plupart grandes municipalités, conventions collectives des cols bleus de plusieurs municipalités de taille moyenne, conventions collectives des employés d'entretien de la plupart des grandes entreprises publiques de transport urbain, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries du matériel électronique, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de fabrication de matériel électrique, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de transformation des produits forestiers, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers de machines et équipements industriels, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de la plasturgie, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries papetières, conventions collectives des employés de plusieurs grands fabricants de produits en minéraux industriels, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries du matériel de transport, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de fabrication métallique industrielle, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries aérospatiales, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de transformation des métaux, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries chimiques et pétrochimiques, conventions collectives des employés de certaines grandes industries pétrolières et conventions collectives des employés de plusieurs grandes compagnies minières.
PORTRAIT DU MÉTIER :
Selon
Plus de 96 % des membres de ce corps de métier étaient des hommes, mais pourrait clairement accueillir davantage de femmes.
Près de 96 % des soudeurs occupaient un poste à temps complet.
L'âge moyen d'un(e) soudeur(e) était de 39 ans chez les hommes et de 35 ans chez les femmes.
La répartition selon l'âge était :
mons de 25 % : 7 %
entre 25 et 34 ans : 29 %
entre 35 et 44 ans : 27 %
entre 45 et 54 ans : 18 %
entre 55 et 64 ans : 15 %
65 ans et plus : 4 %
La répartition selon le type d'employeur était :
Manufacturiers de produits métalliques : 23 %
Ateliers de soudage : 20 %
Manufacturiers de produits aérospatiaux : 18 %
Manufacturiers de matériel de transport terrestre (routier ou ferroviaire) : 14 %
Manufacturiers de machines et d'équipements industriels : 12 %
Entrepreneurs en construction (principalement en travaux de génie civil et voirie) : 5 %
Industries de première transformation des métaux (alumineries, aciéries) : 3 %
Autres manufacturiers : 3 %
Manufacturiers de matériel électrique ou électronique : 2 %
Chantiers navals : 1 %
Autres employeurs (centres de services scolaires, universités, sociétés d'État, Forces armées, etc.) : 1 %
Selon la
L'âge moyen était de 41 ans.
On dénombrait seulement 26 femmes, soit : 8 de plus qu'en 2018 et 14 de plus qu'en 2014.
Un total de 17 nouveaux soudeurs(euses)-monteurs(euses) ont intégré l’industrie au cours de cette année, alors que la moyenne des dernières années était de 14.
Un total de 21 nouveaux soudeurs(euses) en haute pression ont intégré l’industrie au cours de cette année, alors que la moyenne des dernières années était de 27.
La répartition selon le principal secteur de l'industrie était :
construction commerciale et institutionnelle : 35 %
construction industrielle : 35 %
construction de génie civil : 26 %
construction résidentielle lourde : 4 %
Note : un(e) soudeur(euse) peut travailler dans plus d'un secteur
Il y avait 285 entreprises de la construction qui embauchaient des soudeurs(euses).
PERSPECTIVES
D’AVENIR :
Dans la plupart des régions, tant dans les grands centres et dans les autres régions, il y a de très bonnes possibilités d'emploi pour ces ouvriers. Dans certaines régions, les centres de formation ne suffisent pas à la demande, puisqu'ils reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres provenant d'employeurs qu'il y a de diplômés(es) disponibles. La plupart des finissants(es) obtiennent un emploi dans leur milieu de stage.
L'industrie de la fabrication de produits métalliques est un employeur important, mais pourrait rencontrer certains problèmes avec la baisse des activités dans l'industrie de la construction.
Le recrutement d’ouvriers spécialisés et expérimentés demeu- rera un des grands défis que devra relever l’industrie au cours des prochaines années.
D'ailleurs, les mécaniciens(nes) industriels figurent au 4e rang des métiers les plus difficiles à recruter au sein de cette industrie.
Comme la main-d’œuvre spécialisée n’abonde pas sur le marché du travail, les entreprises devront offrir des conditions de travail encore plus attrayantes pour attirer les meilleurs de la profession.
De façon générale, les perspectives dépendent du nombre et de l’importance des contrats qu’obtiennent les grands manufacturiers de l'aérospatial surtout ceux présents au Québec (Bombardier, Airbus, Bell Helicopter, Pratt & Whitney, Rolls Royce, GE Aviation), puisque Les conséquences se répercutent alors aussi sur les nombreux sous-contractants d'ici Mais également les autres grands joueurs de industrie dans le monde (Boeing, Airbus, Lockhead Martin, General Dynamics, etc.) dont plusieurs entreprises québécoises y sont des sous-traitants.
L'industrie de la plasturgie et des composites a énorménement évolé au cours des dernières et comprennent très bien les problématiques environnementales actuelles.
D'ailleurs, plus de 40 % des entreprises se sont tournés vers la réalisation de projets d'écoconception motivées par leurs valeurs environnementales.
Avec la pénurie de main-d'œuvre que l'on observe, il est de plus en plus difficile de recruter du personnel spécialisé en production manufacturière.
Enfin, les chantiers navals ont obtenu des contrats importants leur permettant de réaliser des projets de construction de navires pour plusieurs années à venir et devront embaucher du personnel spécialsié dont les tôlers.
On prévoit d'EXCELLENTES d’emploi pour les prochaines années.
La rémunération moyenne après expérience en 2022...
Les perspectives d’avenir pour tous les métiers de la construction, varient beaucoup selon la santé économique de l’industrie de la construction. Certaines années peuvent être excellentes pour les emplois avec de nombreux projets, alors que pour d’autres années sont moins bonnes.
Un(e) débutant(e) travaille en moyenne 1 000 à 1 300 heures par année.
En 2022, le salaire annuel moyen d'un(e) soudeur(euse) classe 2 était de 47 700 $.
Par la suite, son salaire annuel peut cependant atteindre 55 900 $ dont 85 % ont travaillé 500 heure ou plus dans l'année.
Un(e) soudeur(euse) spécialisé(e) en haute pressoin (chaudronnerie ou tuyauterie) peut atteindre 62 400 $ dont 76 % ont travaillé 500 heures ou plus dans l'année.
Le secteur Institutionnel et commercial aura été prolifique en étant le principal moteur de cette croissance des 2 dernières années.la conjoncture économique laisse entrevoir un ralentissement.
La vigueur de l’institutionnel proviendra essentiellement des travaux pour les maisons des aînés et les centres hospitaliers, de même que pour la mise à niveau des infrastructures scolaires.
Le commercial générera un volume d’activité plus élevé qu’en 2021, en raison du retour massif des investissements dans le secteur, notamment sur le plan des commerces et des services.
L’activité se redresse quelque peu pour le secteur industriel. Cette croissance provient en bonne partie du projet minier Odyssey, par Canadian Malartic (1,4 G$), qui se déroule actuellement en Abitibi-Témiscamingue. À court terme, quelques projets s,ajouteront au cours des prochaines années.
La transition énergétique qui s’enclenche dans l’économie ainsi que la stratégie sur la filière québécoise de batteries pour voitures électriques pourraient s’avérer favorables pour le secteur, si des projets se concrétisent.
Les perspectives d’emploi sont très bonnes, pour les soudeurs(euses).
Où retrouvait-t-on le
plus de soudeurs-monteurs ?
Seulement 4 % des soudeurs travaillaient dans l'industrie de la construction.
Parmi ces derniers, plus de 51 % travaillaient dans le secteur de la construction de génie civil (infrastructures routières, infrastructures d'éoliennes, barrages hydroélectriques, infrastructures maritimes, infrastructures de pipeline gazier et pétrolier, etc.);
Plus de 44 % travaillaient dans le secteur de la construction commerciale et institutionnelle (immeubles à bureaux, immeubles à revenus locatifs de plus de 6 logements, hôtels, restaurants, résidences pour personnes âgées, écoles, hôpitaux, musées, arénas, etc.);
Près de 3 % travaillaient dans le secteur de la construction industrielle (usines, ateliers, entrepôts, autres bâtiments industriels, autres installations pour alumineries et raffineries), incluant l'industrie lourde (notamment les infrastructures minières et les complexes industriels);
Alors que moins de 2 % travaillaient sur les chantiers de construction résidentielle lourde (immeubles à condominiums, immeubles à revenus locatifs de 6 logements ou moins).
Près de 1 soudeur sur 3 a été appelé à se déplacer, pour le travail, dans une région autre que sa région de domicile.
La répartition régionaleétait :
35 % œuvraient dans les régions de
Laval, Lanaudière et des Laurentides,
22 % travaillaient en Montérégie,
15 % œuvraient dans les régions de Québec et Chaudière-Appalaches,
7
% étaient dans la région de l'Île de Montréal,
6 % travaillaient
dans la région de la Mauricie,
4 % étaient en Outaouais,
près
de 4 % travaillaient au Saguenay-Lac-St-Jean,
3 % œuvraient en Estrie,
2 % étaient
dans le Bas-Saint-Laurent (éoliennes),
2 % étaient dans les autres régions.
Où retrouvait-t-on le
plus de soudeurs en tuyauterie ?
Plus de 55 % travaillaient sur des chantiers de construction industrielle (usines, bâtiments de complexes industriels, autres infrastructures industrielles); incluant l'industrie lourde (centrales de contrôle des réseaux électriques, centrales d'énergie autres que hydroélectriques, infrastructures minières, infrastructures de raffineries, oléoducs, gazoducs, etc.);
Plus de 33 % travaillaient dans le secteur de la construction commerciale et institutionnelle (immeubles à bureaux, immeubles à revenus locatifs de plus de 6 logements, hôtels, restaurants, résidences pour personnes âgées, écoles, hôpitaux, musées, arénas, etc);
Près de 12 % dans la construction de génie civil (infrastructures routières, infrastructures d'éoliennes, barrages hydroélectriques, infrastructures maritimes, etc.), mais également sur les réseaux de pipeline de transport et distribution de gaz naturel ou de pétrole (avec la meilleure rémunération de l'industrie).
Les soudeurs sont souvent appelés à travailler à l’extérieur de leur région de domicile; près de 31 % d’entre eux ont eu à se déplacer, en 2015, ce qui supérieur à la moyenne de l'ensemble des métiers de la construction.
La répartition régionale était :
27 % œuvraient
dans les régions des Laurentides, Lanaudière et Laval,
22 % travaillaient en Montérégie,
12 % œuvraient dans les régions de la Capitale Nationale et
Chaudière-Appalaches,
8 % travaillaient
dans la région de l'Île de Montréal,
7 % travaillaient
au Saguenay-Lac-St-Jean,
6 % travaillaient en Mauricie et dans le
Centre-du-Québec,
4 % étaient en Estrie,
14 % étaient dans les autres
régions.
Sources : Commission de la constructon du Québec
BREF PORTRAIT DE QUELQUES SECTEURS INDUSTRIELS :
L'industrie aérospatiale québécoise :
Elle représente à elle-seule près de 56 % de toute l'industrie aérospatiale canadienne et figure en 6e position au niveau mondial (après l'État de Washington aux USA, la région des Midi-Pyrénées en France, le comté de Hampshire en UK, l'État d'Hessen en Allemagne et la région de Madrid en Espagne).
Ce sont principalement des industries de l'aéronautique pour l'aviation civile que l'on retrouve (systèmes, composantes, pièces et assemblage d'aéronefs), mais également quelques entreprises sont liées à l'industrie spatiale (satellites ou ses composantes ou pièces).
Quelques entreprises québécoises fabriquent des composantes et pièces pour aéronefs civils, mais également pour des aéronefs militaires, mais le marché de la Défense au Québec n'est pas très importante.
Au Québec; on y assemble des avions long courrier, avions régionaux, des avions d'affaires, des hélicoptères civils, des aubes de moteurs d'aéronefs, des turbines à gaz pour moteurs d'aéronefs, des trains d'atterrisssages pour aéronefs, des simulateurs de vol professionnels pour avions régionaux et avions d'affaires, des composantes de structures pour aéronefs et bien d'autres.
En 2016, l'industrie aéronautique québécoise, c'était :
2e rang en Amérique du Nord pour la concentration des activités de l'industrie aérospatiale derrière Seattle
6e rang mondial sur le plan des emplois (derrière les États-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Espagne)
205 entreprises de toutes tailles (dont 180 PME)
39 100 emplois (dont la plupart sont spécialisés ou ultra-spécialisés)
un chiffre d'affaires de 14,4 milliards $
55 % des ventes aérospatiales canadiennes
70 % des dépenses totales en recherche et développement canadienne
L'industrie québécoise du matériel de transport terrestre :
Elle est le plus important secteur de l'industrie de la fabrication mécanique et l'un des plus importants secteurs industriels au Québec.
En 2015, son marché génère des revenus de plus de 11,4 milliards $.
Elle regroupait plus de 680 entreprises qui employaient près de 38 000 travailleuses et travailleurs dans différentes régions du Québec.
Elles étaient principalement concentrées dans les régions suivantes : Laurentides, Estrie, Centre-du-Québec, Montérégie, Chaudière-Appalaches, Bas-St-Laurent, Lanaudière, Île-de-Montréal et Laval.
On peut diviser cette industrie en 6 sous-secteurs, soit :
Véhicules commerciaux, spéciaux et
utilitaires : comprend les constructeurs de camions
lourds, de véhicules industriels et de véhicules utilitaires (sauf les
machineries lourdes), ainsi que ainsi que de tous systèmes, composantes
ou pièces pour ces véhicules.
On y retrouvait plus de
400 entreprises (dont plus du deux-tiers y
consacrent au moins la moitié de leurs activités dans ce sous-secteur)
qui généraient des revenus de plus de 2,3 milliards $
et qui employaient plus de 16 800 travailleuses et
travailleurs, concentrés principalement dans les régions de la
Montérégie, de Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, des
Laurentides et de Laval.
On y assemble de fourgons, camions moyens et autres
véhicules commerciaux (camions à déchets, camions à benne basculante,
camions à grue, camions à nacelle, camions à plateforme, camions
aspirateurs, camions blindés, camions cellulaires, camons citernes,
camions cubes moyens, camions cubes lourds (sur tracteurs semi-remorque,
camions d'élagage, camions de déneigement, camions de lignes, camions
incendie, camions isothermes, camions manipulateurs de tourets à câble,
camions ravitailleurs d'aéroport, camions militaires, camions
réfrigérés, camions vacuum, dépanneurs pour véhicules légers,
dépanneuses pour véhicules lourds, unités mobiles, véhicules
ambulanciers, etc.); des remorques pour camions; ainsi que toutes sortes
de systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Autobus et autocars :
comprend les constructeurs d'autobus urbains, d'autobus scolaires,
d'autocars, de minibus scolaires, de minibus adaptés, de minibus
commerciaux, ainsi que de tous systèmes, composantes ou pièces pour ces
véhicules.
On y retrouvait plus de 100
entreprises (dont plus du deux-tiers y consacrent au moins la
moitié de leurs activités dans ce sous-secteur) qui généraient des
revenus de plus de 2 milliards $ et qui employaient plus de
5 600 travailleuses et travailleurs, principalement concentrés dans
les régions des Laurentides, de Chaudière-Appalaches, du
Centre-du-Québec et de la Montérégie.
Véhicules récréatifs : Le
Canada, principalement le Québec est reconnu mondialement pour ses
produits récréatifs figurant au 6e rang mondial (derrière les
USA, le Japon, la Chine, l'Allemagne et l'Italie), principalement pour
ses motoneiges et ses quads et leurs composantes.
Il comprend les
manufacturiers de tous véhicules, systèmes, composantes ou pièces pour
véhicules pour usage récréatif sur route ou hors-route. On y comptait
près d'une centaine de manufacturiers qui
généraient des revenus de plus de 1,5 milliards $
et qui employaient plus de 5 100 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrées dans les régions de
l'Estrie (61 % et du Centre-du-Québec (17 %). Par contre, presque la
moitié (48 %) des entreprises de l’industrie exercent moins de 25 % de
leurs activités dans ce secteur.
On y assemble des véhicules
récréatifs (motoneiges, motocyclettes à 3 roues à essence,
motocyclettes à 3 roues électriques, motocyclettes électriques, quads
(VTT), VR motorisés de classe A, B ou C pour le camping, bicyclettes
électriques, des karts, des voiturettes électriques de golf, des
voiturettes électriques utilitaires, etc.); ainsi que toutes sortes de
systèmes, composantes ou pièces pour ces véhicules.
Pièces pour automobiles :
bien qu'aucune usine d'assemblage d'automobiles n'est présente au
Québec, on y fabrique plusieurs pièces destinées aux usines de
constructeurs américains, japonais ou allemands. On y compte plus de
130 manufacturiers (principalement des PME)
ayant chiffre d'affaires de plus de 1,2 milliards
et qui employaient près de 5 700 travailleuses et
travailleurs.
Les entreprises sont principalement
concentrées en Estrie, en Montérégie et en Chaudière-Appalaches, mais
aussi dans le Centre-du-Québec et sur l'Île-de-Montréal.
On y
fabrique notamment : des composants électroniques ou électromécaniques
pour automobiles, des pièces en métal, des pièces en plastique, en
caoutchouc ou en composites pour automobiles, ainsi que des remorques
utilitaires pour automobiles et camionnettes, etc.
Matériel ferroviaire : le
Canada, principalement le Québec est bien connu comme un fournisseur
leader mondial dans le matériel ferroviaire allant des trains de
banlieue, en passant par les tramway jusqu'au TGV.
Il comprend
165 entreprises (dont 70 qui consacrent au moins
la moitié de leurs activités dans le domaine ferroviaire) qui généraient
un chiffre d'affaires de près de 1 milliard de $
et qui employaient plus de 4 900 travailleuses et
travailleurs, principalement concentrés dans les régions de la
Montérégie (34 %), de Montréal (31 %) et du Bas-St-Laurent (15 %).
On y assemble des voitures de passagers de trains et
métros, d'autres véhicules ferroviaires (automotrices électriques et
véhicules de service ou d'entretien sur rails); des composants,
instruments ou systèmes, ainsi que des pièces pour voitures de trains,
tramways et métros, etc.
Véhicules électriques et
hybrides : bien qu'il ne forme pas un secteur industriel
distinct; de nombreux fournisseurs des usines de montage des véhicules
électriques traitent aussi avec les usines de montage des véhicules à
moteur à combustion interne et font partie, par conséquent, du secteur
du matériel de transport terrestre. Actuellement, on retrouve une
vingtaine de manufacturiers de véhicules électriques ou de leurs pièces
ou composantes.
On y assemble des véhicules
électriques ou hybrides (bicyclettes électriques, motocyclettes
électriques, micro-camion entièrement électrique, camions à déchets
hydrides, camions électriques camions à benne basculante, camions
électriques à nacelle camions électriques camions à plateforme, camions
légers, autobus urbains hybrides, minibus touristiques électriques,
tracteurs de camion hybrides, trains et rames de métro électriques,
etc.).
L'industrie québécoise de la fabrication métallique industrielle :
Ce industrie comprend les activités principales qui consistent à forger, estamper, former, tourner et assembler des éléments en métaux ferreux (dont l'acier) et non ferreux (principalement l'aluminium, mais également le cuivre, magnésium, zinc, silicium); pour fabriquer, entre autres, coutellerie et outils à main, produits d’architecture et éléments de charpentes métalliques, chaudières, réservoirs, conteneurs d’expédition, quincaillerie, ressorts et produits en fil métallique, produits tournés, écrous, boulons et vis et tous autres produits en métal.
On réfère ici à tout ce qui entoure la seconde transformation du métal, à savoir tous les procédés d’usinage – fraisage, tournage, sciage, perçage, alésage, coupage, poinçonnage, pliage, ébavurage et meulage –, les procédés de soudage et les procédés de finition de surface – polissage, placage, peinture et traitement thermique - pour fabriquer produits et pièces métalliques servant à diverses industries ou bien à la fabrication de machines.
Avec la présence de 8 alumineries, de 4 aciéries, de 2 affineries de cuivre et autres métaux non ferreux et de plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreuxde plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreux; le Québec est bien outillé pour approvisionner les manufacturiers de produits métalliques de toutes sortes.
En 2014, cette industrie comptait près de 1 900 entreprises ayant généré un chiffre d'affaires de plus de 18,6 milliards de $ et qui employaient près de 44 600 travailleuses et travailleurs un peu partout dans la province. Ce nombre n'inclut pas des entreprises et les emplois dans l'industrie du matériel de transport (de gros employeurs en métallurgie), ainsi que ceux travaillant dans la construction.
Ces entreprises sont principalement concentrées dans les régions de de l'Île-de-Montréal, de la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Québec, Lanaudière, Laurentides et Centre-du-Québec.
Elle comprend 8 sous-secteurs, soit :
Produits d'architecture et éléments de charpentes
métalliques : comprend toutes les entreprises spécialisées dans la
fabrication de tôles fortes et éléments de charpentes métalliques, ainsi
que la fabrication de barres d’armature pour le béton à partir de
matériaux achetés et la préfabrication de bâtiments métalliques; ainsi
que la fabrication de produits métalliques d’ornement et d’architecture
pour les bâtiments.
On y retrouve plus de 570 entreprises
(dont 84 % ont moins de 50 employés) ayant généré des revenus de près de
4 milliards $ et qui employaient plus de 17 300 travailleuses et travailleurs;
principalement concentrés dans les régions de l'Île-de-Montréal,
Montérégie, Chaudière-Appalaches et Lanaudière.
Voici quelques exemples de produits fabriqués pour
les bâtiments : barres d'armature pour le béton, charpentes métalliques,
structures et poutrelles en acier, boisseaux de cheminées en acier,
portes extérieures en acier, portes de garage en acier, portes
d'entrepôts en acier, portes industrielles en acier, pièces de renvois
de planchers ou de toits, tuyaux en acier, cheminées préfabriquées,
clôtures en métal, boîtes de raccordement électrique, portes et
fenêtres en aluminium, seuils, moustiquaires, gouttières, échelles, escabeaux,
moulures pour couvre-planchers en acier ou en aluminium, câbles en acier,
tubes et tuyaux en aluminium pour systèmes de ventilation ou de
tuyauterie, tubes et tuyaux en cuivre pour câblage électrique, fils
électriques en cuivre,
alliages en magnésium-aluminium pour la
fabrication de profilés, cellules solaires en silicium pour les panneaux
solaires, etc.
Voici quelques exemples de produits fabriqués pour
les infrastructures de génie civil : couvertes de puits ou de regards d'égout en fonte,
grilles de puisards en fonte, boîtes de raccordement d'aqueducs,
treillis métalliques, tôles d'acier, acier armatures de chemins de fer,
vannes hydrauliques pour barrages et ouvrages hydroélectriques, rampes
d'accès pour trains et métros, ancrages pour pylônes, pièces en
magnésium pour la fabrication de matériaux de construction de routes,
pièces en titane pour le génie civil (matériau pour recouvrement de
toitures), câbles en acier, etc.
Pièces industrielles : ce sous-secteur
comprend les entreprises spécialisées dans la fonte, le raffinage ou
l'extrusion du cuivre, du magnésium et du zinc afin de produire des
alliages.
On y comptait plus de 660 entreprises ayant généré des
revenus totalisant plus de 700 millions $ et qui employaient plus de 11
100 travailleuses et travailleurs, principalement concentrées dans les
régions de Montréal, Montérégie, Chaudière-Appalaches et
Saguenay-Lac-St-Jean.
Voici quelques exemples de produits fabriqués au Québec :
outils, poinçons, matrices,
pièces en titane pour l'industrie chimique (pièces
de condensateurs, pièces de réacteurs de raffineries), pièces en titane pour
l'industrie biomédicale (prothèses), pièces en titane pour l'industrie
énergétique (circuits secondaires de réacteurs nucléaires), pièces en titane
pour l'industrie militaire (véhicules blindés légers, matériel de blindage de
navires de guerre, etc), pièces en zinc pour diverses industries, fils
électriques en cuivre, tubes à rayons X en cuivre, pièces métalliques en
cuivre pour composantes mécaniques sujets à des frottements constants, transistors et circuits intégrés
en silicium, pièces en magnésium pour manufacturiers
d'articles de sports (matériel d'escalade, matériel de gymnastique), etc.
Pièces pour machines et équipements industriels
: comprend toutes les entreprises qui fabriquent des pièces en métal
(acier, aluminium ou autre) destinés à la fabrication de machines et
équipements pour différentes types d'industries (usines alimentaires,
papetières, scieries, fabricants de produits en plastique, etc.).
On y comptait plus de 440 entreprises ayant généré des revenus
totalisant plus de 700 millions $ et qui employaient plus de 8 000
travailleuses et travailleurs, principalement concentrées dans les
régions de Montréal, Montérégie, Chaudière-Appalaches et
Saguenay-Lac-St-Jean.
Voici quelques exemples de produits fabriqués au Québec :
godets de pelles mécaniques, chaudières et appareils sous pression,
pièces et composantes de carrosserie pour machineries lourdes
(agricoles, aménagement paysager, de construction, de travaux publics,
minières, forestières, etc.), cabines pour machineries lourdes, cabines
pour machines et équipements industriels, boîtiers pour équipements
industriels, pièces en acier, en aluminium, en cuivre ou autres métaux
pour machines et équipements industriels, réservoirs pour liquides
industriels, réservoirs pour gaz industriels, réservoirs pour produits
chimiques, etc.
Forgeage et estampage : les entreprises de ce
sous-secteur sont reliées aux deux grands procédés de transformation du
métal qui y sont appliqués plutôt qu’aux pièces qui y sont fabriquées.
On y compte plus de 135 entreprises ayant eu chiffre d'affaires de près
de 600 millions $ et qui employaient plus de 2 800 travailleuses et
travailleurs surtout concentrés dans les régions de Montréal, Montérégie
et Estrie.
Le forgeage consiste en gros
à façonner à chaud des blocs de métal au moyen de marteaux, de presses
ou d’autres machines et outils Le forgeage consiste en gros à façonner à
chaud des blocs de métal au moyen de marteaux, de presses ou d’autres
machines et outils. Les entreprises spécialisées en forgeage fabriquent,
par exemple, des « arbres » (axes de transmission), des tourillons, des
anneaux, des manchons ou autres pièces utilisées notamment dans les
industries lourdes (sidérurgie, pâtes et papiers, mines, etc.). Elles
peuvent aussi effectuer la finition (principalement la rectification et
l’ébavurage) des pièces qu’elles fabriquent, mais sans les transformer
davantage; elles se distinguent ainsi des entreprises qui utilisent
également des techniques de forgeage, mais qui effectuent les opérations
de transformation subséquentes.
L’estampage
(et les nouveaux procédés tels que : le découpage au laser, le
poinçonnage et de pliage beaucoup plus souples et mieux adaptés à la
production de pièces en petits lots) sont des procédés de transformation
qui consiste à découper, plier et emboutir des feuilles de métal au
moyen de presses sur lesquelles sont montées des matrices. Les
entreprises spécialisées en estampage fabriquent généralement, à la
demande de diverses industries manufacturières, des pièces de produits
assemblés : électroménagers, distributrices, ordinateurs ou autres
appareils électroniques. Certaines entreprises effectuent également les
opérations d’assemblage et de finition de leurs produits. En ce qui nous
concerne, il faut prendre le mot « stamping » dans le sens plus large de
poinçonnage et non pas seulement dans le sens d’estampage et
d’emboutissage. On devrait plutôt parler ici des entreprises de
transformation de métal en feuille.
Chaudières, réservoirs et contenants d'expédition
: comprend plus de 75 entreprises ayant généré des revenus de plus de
560 millions $ et qui employaient près de 2 300 travailleuses et
travailleurs, surtout concentrées dans les régions de Montréal et de la
Montérégie.
Parmi les produits fabriqués en tôle épaisse, il y a
: les silos à grain, les réservoirs à eau chaude, les fosses septiques,
les vaisseaux à pression, réacteurs, échangeurs de chaleur, mélangeurs,
malaxeurs, appareils à pasteurisation ou refroidisseurs utilisés dans
l’industrie alimentaire, pharmaceutique ou chimique, les grands
conteneurs destinés au stockage ou au transport de marchandises ou de
produits dangereux, etc.
Parmi les produits fabriqués en tôle
mince, on retrouve : les divers récipients tels les barils, bidons,
glacières, coffres à outils, cannettes en aluminium, boîtes de conserve,
pots de peinture et tubes de pâte à dents, bacs
roulants en métal,
bacs extérieurs pour déchets, containers portuaires,
canettes de boissons en magnésium, boîtes de conserves, boîtiers d'ordinateurs
portables en magnésium, emballages commerciaux ou industriels, boîtiers
d'appareils photo en magnésium, boîtiers pour tablettes et téléphones,
boîtiers pour appareils électroménagers, boîtiers pour appareils
électroniques, boîtiers pour machines de bureau, etc.
Ameublement en métal : ce sous-secteur
comprend les entreprises spécialisées dans la fonte, le raffinage ou
l'extrusion du cuivre, du magnésium et du zinc afin de produire des
alliages. Il y avaient une vingtaine de petites et moyennes entreprises
PME ayant eu un chiffre d'affaires plus de 400 millions $ et qui
employaient plus de 1 200 travailleuses et travailleurs.
Voici quelques exemples de produits fabriqués au Québec :
mobilier de laboratoire, meubles de bureau en métal, meubles en métal
pour restaurants et cafétérias, matériel de cuisine commerciale, meubles
en métal pour hôpitaux, étagères et présentoirs de magasins, étagères et
équipements d'entreposage pour entrepôts, mobilier pour parcs publics,
matériel de bureau, etc.
Ressorts et produits en fil métallique : ce
petit sous-secteur comprend les entreprises spécialisées dans la
fabrication de ressorts généralement utilisés pour la construction de
machines, de véhicules automobiles et d’autres matériels de transport.
Il existe une grande variété de ressorts en métal épais : ressorts à
boudins, à disques ou à lames ; ressorts de compression, de tension, de
torsion, etc.
On y compte près de 40 entreprises (dont 90 % ont
moins de 50 employés) ayant eu des revenus de presque 300 millions $ et
employaient plus de 800 travailleurs concentrés dans la région de
Montréal.
On y fabrique par exemple : des cages à oiseaux et
autres animaux, des cintres à vêtements, des chaînes à pneus, des
clôtures, de la corde en fil, des filets métalliques à armer le béton,
des grille domestique pour les cuisinières et les réfrigérateurs, de
mailles des tamisage tressées, des treillis d’armature de béton en fil
commercial, de trombones et attaches, etc.
Coutellerie et outils
à la main : ce petit sous-secteur regroupe qu'une
cinquantaine d'entreprises (dont 80 % ont moins de 50 employés) ayant eu
un chiffre d'affaires de plus de 220 millions $ et qui employaient plus
de 1 100 travailleuses et travailleurs surtout concentrées dans les
régions de la Montérégie, Chaudière-Appalaches et Montréal.
Voici quelques exemples de produits fabriqués au Québec :
grand public (ustensiles de cuisine, ciseaux à papier, coupe-ongles,
couteau à mastique, grattoirs, tournevis, pelles à neige, binette à
jardinage, etc.); pour clientèles spécialisées (les crochets de
bûcheron, les grappins ou les tourne billes utilisés par les
travailleurs forestiers ; les pistolets à souder, pinces de maçon ou
couteaux à tapis utilisés par les ouvriers de la construction ; les
tondeuses à cheveux pour animaux, bêches ou fourches à foin utilisées
par les agriculteurs, etc.).
L'industrie de la fabrication de machines et équipements industriels :
L'industrie québécoise de la fabrication de machines et d'équipements industriels est le 3e principal secteur de l'industrie de la fabrication mécanique. Bien qu'il ne soit pas aussi important que les précédents, c'est un secteur important car c'est elle qui permet à plusieurs autres secteurs de fonctionner dans leur domaine.
Bien qu'elle soit généralement intégrée à l'industrie de la fabrication métallique industrielle, elle peut être un secteur indépendant.
En 2015, elle a généré des revenus totalisant plus de 6,1 milliards $ dans l'économie québécoise.
Elle compte plus de 1 050 entreprises qui employaient plus de 32500 travailleuses et travailleurs dans plusieurs régions du Québec.
Bien que majoritairement concentrées majoritairement concentrées dans les régions de la Montérégie et de Montréal, on les retrouve également dans plusieurs autres régions, telles que : Chaudière-Appalaches, Lanaudière, Saguenay-Lac-St-Jean, Mauricie, Centre-du-Québec, Laurentides, Laval, Estrie et Bas-St-Laurent.
Elle est divisée en 6 sous-secteurs, soit :
Machines et équipements industriels :Ce
sous-secteur permet aux industries de tous les secteurs de produire de
façon optimale leurs biens grâce à des machines et équipements modernes
et performants. Par contre, elle fonctionne bien dépendamment de la
santé économique du secteur de ses clientes.
Le marché était
évalué à 1,8 milliards de dollars. On retrouvait plus de 250
manufacturiers qui employaient plus de 9 200 travailleuses et
travailleurs. Ce sont surtout les machines pour les industries
alimentaires, papetières, pharmaceutiques, de la métallurgie (notamment
pour les alumineries), de la plasturgie, des cosmétiques, ainsi que pour
les centrales hydroélectriques qui sont produits au Québec.
Ces entreprises sont majoritairement concentrées dans les régions de la
Montérégie et de Montréal, mais aussi au Saguenay-Lac-St-Jean (notamment les
fournisseurs d'équipements pour alumineries), Mauricie, Chaudière-Appalaches, Laval, Québec, Centre-du-Québec et Estrie.
Parmi les types de machines et équipements fabriqués au Québec, il y a :
machines et équipements pour centrales hydroélectriques
(alternateurs de centrales hydro-électriques, enroulements de stators pour
alternateurs de centrales hydro-électriques, équipements pour l'industrie
hydro-électrique, turbines hydrauliques, etc.); machines et
équipements pour
industries alimentaires (réservoirs pour liquides alimentaires, convoyeurs
sanitaires, convoyeurs vibrants sanitaires, mélangeurs d'ingrédients,
emballeuses sous vide, fumoirs, générateur de fumée, injecteurs, malaxeurs,
barattes, coupeuses à viandes, hachoirs à viandes, machines à laver les
aliments, etc); machines et équipements pour l'industries
papetières (tourne-billes, machines à façonner la pâte, machines à
lessiver, chargeurs de pâte à papier, bobineuses, mélangeurs à pâte, machines
à presser la pâte, séchoirs à pâte, défileuses à chiffons, calandres à pâte,
machines à couper, machines à désencrer, etc); machines et
équipements pour les
scieries (déchiqueteuses
stationnaires, ponceuses stationnaires, dresseuses, scies à ruban, machines à
traiter le bois, raboteuses, dégauchisseuses, tours à bois, machines à
façonner les contre-plaqués, séchoirs à bois, etc); machines et équipements pour industries mécaniques ou du
transport (tours, fraiseuses, matrices, calibres, machines-outils à
commande numérique, convoyeurs, assembleuses, boulonneuses, soudeuses,
machines à peinturer, composants hydrauliques, pneumatiques ou mécaniques de
robots industriels, etc);
machines pour usines de traitement ou filtration de l'eau
(purificateurs, clarifiants, décontamineurs, distillateurs, adoucisseurs,
séparateurs gaz/liquides/solides, systèmes de flottaison, floculateurs,
etc); etc.
Matériel et Équipements de
manutention : Ce sous-secteur avait un marché de près de 1,4
milliards de dollars dont la majorité des produits sont exportés, bien
que plusieurs autres sont vendus au pays.
Il comptait plus de 300
entreprises qui employaient un peu plus de 2 900 travailleuses et
travailleurs réparties dans différentes régions de la province dont notamment
: Montérégie, Montréal, Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean,
Chaudière-Appalaches, Laval, Centre-du-Québec, Mauricie, Estrie, Laurentides
et Québec.
On y fabrique notamment : convoyeurs : convoyeurs à chaîne, convoyeurs à courroie,
convoyeurs à raclettes, convoyeurs à rouleaux, convoyeurs à vis, convoyeurs
aériens et monorails pour vêtements, convoyeurs hydrauliques, convoyeurs
magnétiques, convoyeurs pour installations portuaires, convoyeurs pour la
manutention de palettes, convoyeurs pour l'embouteillage, convoyeurs pour
l'industrie forestière, convoyeurs pour l'industrie minière et des carrières,
convoyeurs vibrants, rouleaux de convoyeurs, rouleaux de guidage pour
convoyeurs, pièces de convoyeurs, etc.; matériel de levage : appareils de levage
pour équipements de production cinématographique et télévisuelle, ascenseurs,
ascenseurs pour personnes handicapées, crics de levage mécaniques, dispositifs
de levage et de déchargement de bacs roulants, équipement et accessoires de
levage, escaliers roulants, élévateurs à godets, élévateurs à nacelles,
élévateurs d'automobiles, élévateurs de bateaux, leveurs de décors et de
rideaux de scènes, monte-charges, monte-charge pour chantiers, monte-charge
pour le bois de chauffage domestiques, monte-plats, passerelles élévatrices,
rotatives et extensibles pour camions, ponts roulants, remonte-pentes pour
stations de ski, roues de ponts roulants, treuils, treuils de centrales
hydro-électriques, treuils de mines, etc.; systèmes et équipements
de manutention : équipements de chargement des liquides pour les
industries chimique et pétrolière, équipements de manutention de barils,
équipements de manutention de marchandises pour avions, équipements de
manutention et d'emballage de marchandises en vrac, infrastructures de
scènes : élévateurs, planchers, etc., machines pour l'ouverture et la
manutention de sacs de ciment, de jute, etc., autres équipements et
matériel de manutention, systèmes de chargement pour camions à déchets,
systèmes de contrepoids pour la manutention d'équipement de scènes,
systèmes de levage de remorques, systèmes de manutention et de
production en continu, systèmes de manutention pour l'industrie du
meuble et du bois ouvré, systèmes de manutention pour scieries, systèmes
de monorails, systèmes de monte-charge et convoyeurs pour charges
réduites, etc; autres matériel de manutention : chariots à
plate-forme, chariots de manutention, chariots de transfert, chariots
élévateurs industriels, chariots pour la manutention des transformateurs,
contenants basculants, distributeurs de palettes de manutention, fourches de
chargeuses, fourches de chariots élévateurs, gerbeurs, grappins et pinces
mécanisés, inverseurs de palettes de manutention, lève-palettes, manipulateurs
et balanceurs de charge, matériel de manutention du grain, niveleurs de quais
de chargement, palans, palettiseurs, transporteurs de creusets, transporteurs
de documents pneumatiques, vérins mécaniques, etc.
Machineries lourdes et machines connexes :
dans ce sous-secteur, on y produit des machineries pour l'agriculture,
pour la construction de génie civil, pour la production agricole, pour
l'exploitation forestière, minière, gazière et pétrolière, pour les
carrières et pour l'entretien routier.
Le marché a généré des revenus de plus de 1,1
milliards de dollars. On y retrouvait plus de 150 manufacturiers qui
employaient plus de 4 500 travailleuses et travailleurs partout au
Québec. Ce sont les machines agricoles qui occupent la plus grande part
du marché avec la moitié de toute la production de machineries.
Elles sont concentrées dans les régions de la Montérégie, de
Chaudière-Appalaches, du Centre-du-Québec, de Montréal, de
l'Abitibi-Témiscamingue et du Bas-St-Laurent.
Voici quelques exemples de machines et équipements fabriqués au Québec :
machines et équipements agricoles :
arracheuses-andaineuses d'oignons chargeuses à grappins pour tracteurs de
ferme, chargeuses frontales pour tracteurs de ferme, chenilles pour tracteurs
de ferme, cultivateurs et herses, débroussailleuses agricoles, déchiqueteuses
de balles de foin rondes, dérouleurs motorisés de balles de foin pour
l'alimentation du bétail, désherbeuses et sarcleuses pour la culture
maraîchère, draineuses agricoles, draineuses et excavateurs de tranchées pour
drain agricole, écureurs de porcheries ou de poulaillers, écureurs d'étables,
enrobeuses de balles de foin, épandeurs de chaux agricole, épandeurs de
fumier, épandeurs de paille, épandeurs de purin, épandeurs d'engrais,
excavatrices pour tracteurs de ferme, extracteurs pour silos, moissonneuses de
fourrage, niveleuses agricoles, pelles de tracteurs de ferme, pièces pour
tracteurs de ferme, pompes à purin, pulvérisateurs d'herbicides et
d'insecticides, récolteuses de betteraves, carottes, choux ou navets,
récolteuses de bleuets, récolteuses de maïs, récolteuses d'oignons, remorques
agricoles à benne basculante, remorques pour le transport du bois pour
tracteurs de ferme, remorques pour le transport et la manutention de balles de
foin, rouleaux compacteurs pour la terre (agricole), rouleuses à grains,
séchoirs à grains et à céréales, souffleuses pour la moulée, souffleuses pour
le fourrage, systèmes d'arrosage de serres, tracteurs de ferme, treuils de
débusquage pour tracteurs de ferme, véhicules électriques de fermes, voitures
à fourrage, voitures de ferme, etc;
machines et
équipements pour la construction et l'entretien routier :
amortisseurs pour ailes latérales de chasse-neige, arroseuses de rues,
balayeuses de pistes d'aéroports, bennes à maçonnerie, cabines de protection
pour machinerie, chasse-neige, chenilles pour machineries lourdes, épandeurs
de sable et de sel, épandeurs de sable et de sel pour trottoirs, équipements
pour planter les pieux, excavatrices amphibies, godets de chargeuses, godets
de pelles mécaniques, godets de rétrocaveuses, hydro-excavatrices, lames de
niveleuses et de chasse-neige, lames d'excavatrices, machines à dégeler les
ponceaux, machines à dégeler les tuyaux ou les bornes d'incendie, malaxeurs à
béton pour chantiers, malaxeurs à mortier pour chantiers, mini-excavatrices,
pièces pour machines de construction, profileuses à bordures en béton
bitumineux, remorques-balayeuses pour l'entretien routier, souffleuses à neige
souffleuses à neige, pour chemins de fer, souffleuses à neige pour pistes
d'aéroports, systèmes de contrôle d'épandage pour camions, tracteurs légers
sur chenilles, voiturettes pour l'aspiration des déchets des rues, trottoirs,
places publiques, etc., véhicules à chenilles pour l'entretien des sentiers ou
de pistes de ski, véhicules hors-route multifonctions (déneigement, entretien
de pelouse, etc.), etc;
machines
et équipements forestiers : abatteuses,
débroussailleuses forestières, déchiqueteuses de branches d'arbres,
dessoucheuses, ébouteuses, ébrancheuses, écorceuses, pièces d'écorceuses, ,
pièces pour machines forestières, têtes abatteuses, têtes
abatteuses-façonneuses, têtes ébrancheuses, tronçonneuses, autres machines
pour l'industrie forestière, etc;
machines
et équipements miniers et de carrières : agitateurs,
alimentateurs, broyeurs, clarificateurs, classificateurs à vis, concasseurs,
cribles, épaississeurs, essoreurs à vis, giratoires, groupes mobiles de
broyage, pompes à liquides chargés, pompes pour filtre, scalpeurs, etc.
Outillage hydraulique, mécanique
et pneumatique industriel : ce sous-secteur comprend tous les
types d'outils et de matrices industriels, des outils de coupe pour le
travail du bois, du métal ou du plastique, des outils pour l'exploitation
forestière, des outils agricoles, des outils pour la construction, des
outils pour le forage et l'industrie minière, des machines-outils
conventionnels pour l'usinage et autres types d'outils mécaniques,
hydrauliques et pneumatiques.
ll y a plus de 200 entreprises, majoritairement des PME
ayant généré des revenus de plus de 900 millons $ qui employaient plus
7 300 travailleuses et travailleurs. Elles sont principalement concentrées
dans les régions du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches, de l'Estrie,
du Saguenay et Lac-St-Jean, de la Montérégie et de Montréal.
Matériel de
transmission d'énergie mécanique et turbines : a généré des revenus
de plus de 400 milloins $, on
y retrouvait plus de 80 entreprises qui employaient plus de 6 000 travailleuses et
travailleurs. Par contre, la plupart de ces entreprises sont aussi présentes
dans d'autres secteurs.
On y fabrique notamment les produits suivants
: accumulateurs hydrauliques, boîtes de vitesse, multiplicateurs ou
réducteurs, contrôleurs pneumatiques, moteurs diesels stationnaires, moteurs freins, moteurs rotatifs
à combustion continue, moteurs rotatifs à vapeur, moteurs rotatifs pneumatiques, moto-réducteurs, turbines à
gaz pour moteurs d'aéronefs, turbines hydrauliques, turbocompresseurs, unités de puissance
hydraulique, unités de puissance pneumatique, vérins hydrauliques pour
barres hydroélectriques, vérins
hydrauliques pour ascenseurs, vérins hydrauliques pour industries, vérins hydrauliques télescopiques, vérins
pneumatiques, etc.
Compresseurs, pompes et
ventilateurs : C'était un marché évalué à plus de 400 millions de
dollars, comprenait plus de 70 entreprises qui employaient près de 1 800
travailleuses et travailleurs principalement concentrées dans les régions de
Montréal, Laval, Lanaudière et Québec.
On y fabrique : des aérateurs
et extracteurs d'air pour toits, des groupes compresseurs et
surcompresseurs d'air ou de gaz, des ventilateurs et soufflantes
centrifuges industriels, des contrôleurs pour pompes, des postes de
pompage d'eaux usées, des conduits d'air industriels, des fours
industriels, des dépoussiéreurs, des capteurs de fumée, de poussières ou
autres particules, des systèmes de récupération de chaleur, des systèmes
de traitement d'air industriels, pompes à condensat, des pompes d'égout
submersibles, des pompes à turbines verticales, des pompes de puisard
d'égout, des pompes de puisard pour eau claire, des pompes d'incendie,
des pompes horizontales à aspiration par le bout, des pompes
horizontales à double aspiration, des pompes verticales en ligne; etc.
L'industrie canadienne de la construction navale et maritime :
Elle
Les chantiers navals canadiens sont des chefs de fi le mondiaux de la construction dernier cri de bateaux de pêche, de remorqueurs, de petits traversiers, de yachts de plaisance et de catamarans. Combinant les techniques anciennes et les plus récentes tendances et technologies, l’industrie canadienne a su développer un solide créneau d'excellence.
En 2013, cette industrie avait un marché de près de 1,1 milliards de dollars (dont près de 440 millions $ pour le secteur de la construction d'embarcations de plaisance) au Canada dont la majorité des produits sont exportés partout dans le monde.
Elle comprenait 300 entreprises (dont 160 en construction et réparation navale et 140 en fabrication d'embarcations nautiques motorisées) qui emploient un peu plus de 11 600 travailleuses et travailleurs (dont 6 800 en construction navale et 4 800 en fabrication d'embarcations nautiques motorisées).
Par ces dernières, il y avait :
16 chantiers navals de construction ou réparation de navires (6 au Québec, 2 en BC, 3 en Nouvelle-Écosse, 2 en Ontario, 1 au Nouveau-Brunswick, 1 à l'I-P-É et 1 à Terre-Neuve-et-Labrador) et + installation de fabrication pour les plates-formes pétrolières et gazières dans l'Atlantique employant près de 3 600 travailleurs;
18 chantiers de réparation navale et de modification ou de transformation de navires qui emploient près de 3 200 travailleuses et travailleurs;
130 manufacturiers de composants, instruments, équipements et pièces pour navires qui emploient près de 1 600 personnes;
22 manufacturiers de bateaux de plaisance et autres embarcations nautiques motorisées qui emploient plus de 700 travailleuses et travailleurs;
ainsi qu'une centaine manufacturiers pièces et composants de bateaux de plaisance et autres embarcations qui emploient près de 2 500 personnes.
Au Québec, on y comptait près de 80 entreprises qui employaient plus de 2 600 travailleuses et travailleurs, principalement concentrées dans les régions de Chaudière-Appalaches, du Bas-St-Laurent, de la Gaspésie, de Charlevoix, du Centre-du-Québec, mais également dans les régions de Québec (réparation navale), Montréal (réparation navale) et Laval (embarcations non motorisées).
En 2015, l'industrie navale québécoise comprenait 6 chantiers de construction et de réparation navale (Davie à Lévis en Chaudière-Appalaches, Verreault à Les Méchins dans le Bas-St-Laurent, Océan l'Île-Aux-Coudres dans Charlevoix, Forillon à Gaspé en Gaspésie, Méridien Maritime à Matane dans le Bas-St-Laurent et Conception navale FMP à Newport en Gaspésie).
Ils ont une expertise reconnue principalement dans la construction de navires de pêche, de remorqueurs, de bateaux-pilotes et de petits traversiers. Mais, les chantiers navals québécois ont aussi construits des brise-glace, navires de défense côtière, des navires de recherche & sauvetage de la Garde Côtière, des frégates de patrouille maritime, des traversiers moyens, des yachts, des navires de recherche scientifique, des dragues, des barges, des quais flottants, des plateformes de forage, etc.
Égaleament, on y comptait également une trentaine de manufacturiers de systèmes, composantes, pièces et accessoires pour navires.
En 2015, elle employait plus de 1 600 travailleuses et travailleurs au sein des chantiers de construction et réparation navale, s'ajoutait 3 petits chantiers de réparation navale qui employaient une centaine de personnes et enfin, plus de 350 travailleuses et travailleurs au sein des fournisseurs.
Pour ce qui est de l'industrie de la fabrication nautique; on y retrouvait 1 manufacturier d'embarcations nautiques motorisées (bateaux de pêche, bateaux pontés et pontons) qui employait plus de 240 travailleuses et travailleurs (Bateaux Princecraft à Princeville dans le Centre-du-Québec);
plus une dizaine de manufacturiers d'embarcations nautiques non motorisées (canots, chaloupes, kayaks, etc.) qui employaient un peu plus de 400 personnes.
Enfin, on y comptait une quarantaine de manufacturiers de pièces et accessoires pour embarcations nautiques motorisées ou non motorisées qui employaient plus de 700 travailleuses et travailleurs.
Sources : Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation du Québec, Pôle d'excellence en matériel de transport terrestre, Comité sectoriel de la main d'œuvre de l'industrie maritime et Association canadienne des chantiers navals.
LES PROGRAMMES
D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études professionnelles en soudage-montage D.E.P. a une durée totale de 1 800 heures, c’est-à-dire 2 ans (18 ou 19 mois, incluant 1 ou 2 mois d'arrêt pour l'été) offert à temps complet seulement, mais certains centres l'offre en formation intensive sur 15 ou 16 mois à temps complet seulement.
Il comporte des cours d'introduction au métier, santé et sécurité au travail, traçage de croquis et de dessins, interprétation de plans et devis d'assemblages simples, notions de métallurgie, utilisation d'outils de coupage et de façonnage, préparation des pièces, techniques de coupage de métaux ferreux et non ferreux, procédé de soudage SMAW, techniques de soudage de pièces d'acier à l'aide du procédé SMAW, procédé de soudage GTAW, techniques de soudage de pièces d'acier à l'aide du procédé GTAW, techniques de soudage de pièces d'aluminium à l'aide du procédé GTAW, réalisation d'assemblages de base, procédé de soudage GMAW, techniques de soudage de pièces d'acier à l'aide du procédé GMAW, techniques de soudage de pièces d'aluminium à l'aide du procédé GMAW, réalisation d'assemblages simples, procédés de soudage FCAW, procédés de soudage SAW, RW et PAW, interprétation de plans et devis d'assemblages complexes, réalisation d'assemblages de complexité moyenne, réalisation d'assemblages complexes, modifications d'assemblages, réparation d'assemblages, communication en milieu de travail, ainsi qu'un stage obligatoire, crédité et non rémunéré en milieu de travail d'une durée de 3 semaines.
Certains établissements proposent des cheminements particuliers, en voici quelques exemples :
Cette formule te permettra la
poursuite simultanée d’un programme en formation professionnelle et
d’une formation générale secondaire, soit 3 jours en formation
professionnelle et 2 jours en formation générale à l’école
secondaire ou au centre d’éducation des adultes.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
(tu les retrouveras avec cette
couleur.
CFP du Lac-Abitibi
en Abitibi-Témiscamingue,
CFP André-Morissette dans le
Centre-du-Québec,
CFP de l'Asbesterie en Estrie,
Centre d'excellence en formation industrielle CEFI en Estrie,
CFP 24-Juin en Estrie,
CFP de Portneuf dans la
région de Québec,
CFP Le Tremplin en Chaudière-Appalaches,
CFP de Lévis en Chaudière-Appalaches,
Centre
multiservices des Samares, campus de St-Lin dans Lanaudière,
CFP Construc-Plus dans les Laurentides,
Campus
Brome-Missisquoi en Montérégie,
CFP de Sorel-Tracy en
Montérégie,
CIMME dans la région de Montréal.
Souvent, l'employeur propose un emploi à la fin de la
formation.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette
formule (voir la section "endroits de formation"
pour une liste complète) :
(tu les retrouveras avec cette
couleur)
CFP
du Grand Fjord au
Saguenay-Lac-Saint-Jean,
CFP André-Morissette dans le
Centre-du-Québec,
CFP de l'Asbesterie en Estrie,
Centre d'excellence en formation industrielle CEFI en Estrie,
CFP Qualitech en Mauricie,
Centre de formation en
métallurgie de Laval dans la région de Laval.
Dans la forme duale, la formation se fait dans les entreprises et
par les entreprises, l'école jouant un rôle de formation (formation
générale, formation théorique) complémentaire.
Généralement, 50 % à 60 % des apprentissages (théorie, travaux pratiques
de base) se font en centre de formation et
40 % à 50 % des
apprentissages (stages d'observations, travaux pratiques sur les
machines et équipements de l'entreprise et stages pratiques au sein de
l'entreprise).
L’apprenti est engagé et employé dès le début de
la formation dans une entreprise. À cet effet, l’apprenti est rémunéré
par l’entreprise au cours de sa formation. Le taux horaire est de
15$/heure et plus, selon l’entreprise.
Souvent, l'employeur propose un emploi permanent
à la fin de la
formation.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette
formule (voir la section "endroits de formation"
pour une liste complète) :
(tu les retrouveras avec cette
couleur)
CFP de Matane dans le
Bas-Saint-Laurent,
CFP du Pays-des-Bleuets au
Saguenay-Lac-Saint-Jean,
CFP d'Alma au
Saguenay-Lac-Saint-Jean,
CIMIC en
Chaudière-Appalaches,
Centre multiservices des Samares dans
Lanaudière,
Centre d'études professionnelles de Saint-Jérôme
dans les Laurentides.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
(tu les retrouveras avec cette
couleur).
CFP de Matane
dans le Bas-St-Laurent,
CFP Pavillon de
l'Avenir dans le Bas-St-Laurent,
CFP
d'Alma au Saguenay-Lac-Saint-Jean,
CFP André-Morissette
dans le Centre-du-Québec,
CFP de l'Asbesterie en
Estrie,
Centre d'excellence en formation industrielle de Windsor
en Estrie,
CFP Le Tremplin
CFP de Lévis
en Chaudière-Appalaches,
CFP de Portneuf
dans la région de Québec,
Centre d'études professionnelles de
St-Jérôme dans les Laurentides,
Campus Brome-Missisquoi en
Montérégie,
CFP de la Pointe-du-Lac
CFP des Patriotes en Montérégie,
CFP de Sorel-Tracy
(tu les retrouveras avec cette
couleur).
CFP de
Charlevoix dans la région de Québec,
CFP
Construc Plus dans les Laurentides,
Centre
d'études professionnelles de St-Jérôme dans les Laurentides,
Campus Brome-Missisquoi en
Montérégie,
Nova Career Centre en
Montérégie,
Institut technique Aviron dans la région de
Montréal,
CIMME dans la région de Montréal.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation" pour une liste
complète) :
CFP de Sept-Îles en Côte-Nord :
double DEP en mécanique industrielle et soudage-montage,
CFP de Québec dans la région de Québec :
double DEP en fabrication de structures métalliques et métaux ouvrés et
soudage-montage (formation additionnelle de 582 heures en 8 mois).
Toutefois, seulement quelques cours pourront être
reconnus et généralement, la durée du programme de D.E.C. ne sera pas
raccourcie.
Seul le CFP
Qualitech en Mauricie propose cette formule (DEP en soudage + ASP
en soudage haute pression + DEC en technologie du génie métallurgique -
spécialisation en fabrication mécano-soudée) conjointement avec le Cégep
de Trois-Rivières.
Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :
Double D.E.P. en soudage-montage et en fabrication de structures métalliques et de métaux ouvrés :
Va ég
D.E.P.-D.E.C. en métallurgie : un programme intégré comprenant le D.E.P. en soudage-montage, le A.S.P. en soudage haute-pression et le D.E.C. en technologie du génie métallurgique - spécialisation en fabrication mécano-soudée permettant d'obtenir des exemptions de certains de 1ere année dans le cadre du D.E.C. et ainsi, compléter les 3 programmes en 4 ans (au lieu de 5 ans) et obtenir les 3 diplômes. Les industries de fabrication métallique industrielle, les alumineries et les industries aérospatiales apprécient grandement les diplômés(es) ayant choisi ce type de cheminement.
Endroits de formation : Centre de formation professionnelle Qualitech offert conjointement avec le Cégep de Trois-Rivières
PERFECTIONNEMENT :
Ce programme a pour but de t’intégrer au marché du travail, mais il te sera également possible de compléter tes études dans le cadre de l'un des programmes suivants :
L'Attestation de spécialisation
professionnelle en soudage haute pression A.S.P. a une durée totale de 645
heures (21 semaines) à temps complet. Il permet de devenir soudeur(e) en tuyauterie, de pipeline
ou en chaudronnerie.
CFP du Grand Fjord
CFP Construc Plus (Laurentides)
L'Attestation d'études professionnelles de perfectionnement en tuyauterie soudage A.E.P. a une durée totale de 500 heures à temps partiel. Il vise à perfectionner les mécaniciens industriels et les soudeurs dans le domaine de la tuyauterie industrielle pour des entreprises de la sidérurgie, les entreprises hydroélectriques, les compagnies pétrolières, les industries chimiques et les industries papetières. Tu auras des cours en installation et entretien de la tuyauterie industrielle, soudage appliquée au travaux d'entretien et santé, sécurité et environnement en tuyauterie industrielle.
Endroit de
formation :
L'Attestation d’études collégiales en plongée professionnelle A.E.C. a une durée totale de 1 635 heures (55 semaines) réparties en 3 trimestres offert à temps complet. Il vise à former des spécialistes dans les travaux sous-marins et en inspection de structures sous-marines. Il comporte des cours en techniques de plongée en scaphandre autonome jusqu'à 40 mètres, techniques de plongée en scaphandre non autonome, techniques de plongée en scaphandre non autonome jusqu'à 30 mètres, utilisation de divers types d'outils et équipements sous l'eau, techniques de décompression, santé et sécurité sur les chantiers de construction et hors construction, gréage, fixation et ancrage du matériel et éléments de structures, techniques de découpage et soudage d'éléments de structures, techniques de plongée dans des milieux à risques spécifiques, collecte de données d'inspection des structures, travaux de renflouage et de récupération d'objets immergés, travaux de construction, d'entretien et de réparation en immersion, techniques de plongée en scaphandre non autonome jusqu'à 50 mètres, stage en milieu de travail, etc.
Endroit de formation : Institut maritime du Québec. Pour plus de détails, consulte la page du métier de plongeur professionnel.
L'Attestation d'études
collégiales
Ce NOUVEAU programme est
Elle comporte les cours suivants : la profession de technicien en véhicules électriques, éléments mécaniques, DAO et outils informatiques, éléments électriques et électroniques, accumulateurs et recharge, motorisation électrique, contrôle de la qualité, stage en entretien de 3 semaines, ainsi qu'un projet intégrateur en véhicules électriques de 150 heures.
ÉTUDES SUPÉRIEURES :
Tu pourras également poursuivre tes études au collégial dans le cadre du DEC en technologie du génie métallurgique (spécialisation en fabrication mécano-soudée ou en contrôle des matériaux) ou du AEC en inspection en métallurgie. Par contre, tu devras réussir les cours préalables requis.
Pour plus de détails, consulte la page de technologie en génie métallurgique.
D'autres programmes d'études collégiales sont également possibles, mais tu devras avoir réussi les cours préalables requis.
Voici quelques exemples :
EXIGENCES
D’ADMISSION :
-
Soit détenir le D.E.S.
-
Soit avoir éussi les cours de français, anglais et
mathématiques de 3e secondaire ou leurs équivalents
AUTRE EXIGENCE
D’ADMISSION :
- Subir des tests de sélection
d'aptitudes et de personnalité, ainsi que d'habiletés manuelles
(CIMME, CEP de St-Jérôme,
CFP Qualitech, CFP de Sept-Iles, École professionnelle des métiers)
- Avoir réussi le cours TS ou SN 4e ou maths 436 ou son équivalent (CFP de Sorel-Tracy)
STATISTIQUES
D’ADMISSION :
Ce programme n’est pas contingenté dans la plupart des autres endroits :
Les candidats(es) répondant aux conditions d'admission (et ayant réussi les tests de sélection, s'il y a lieu) sont généralement admis.
ENDROITS
DE FORMATION :
Demande
d’admission via Internet, consulte
Admission FP
Qu'est-ce que l'alternance travail-études ?
Qu'est-ce que l'enseignement individualisé ?
Qu'est-ce que la
concomitance D.E.S./D.E.P.
?
Est et
Nord du Québec
(Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean, Gaspésie-Iles, Côte-Nord) :
Gaspésie :
-
Centre de formation professionnelle
de la Côte-de-Gaspé,
Gaspé (C.S.S. des Chic-Chocs)
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
résidence gratuite,
regarde le
vidéo suivant,
regarde la
vidéo des ateliers du département;
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l'automne.
Côte-Nord :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1
700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
enseignement individualisé en classe,
possibilité de
suivre
un
double DEP en mécanique industrielle
et soudage-montage
en 3 ans,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps
complet de jour avec entrées périodiques au cours de l'année scolaire
(automne, hiver et printemps).
Bas-S-laurent :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
enseignement individualisé
ET en
formule
DUALE (50 % des apprentissages en classe et en
atelier à l'école et 50 % de travaux pratiques et stages rémunérés en
entreprise) en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo
profesionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour
à l'automne.
-
Centre de formation
professionnelle Mont-Joli-Rimouski,
campus de
Mont-Joli (C.S.S. des
Phares)
offert en
enseignement traditionnel en groupe,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l’automne.
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à
temps complet de jour à l’automne.
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à
temps complet de jour à l’automne.
Saguenay
et Lac-St-Jean :
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
enseignement individualisé
ET en
formule duale (55 % des apprentissages en classe et en
atelier à l'école et 45 % de travaux pratiques et
4 stages rémunérés en
entreprise de 5 à 7 semaines chacun) en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 5e
secondaire),
admissions à temps complet de jour
avec entrées périodiques au cours de l'année scolaire (selon les places
disponibles).
possibilité d'obtenir
une
bourse de mobilité de 2500 $
destinée aux étudiants québécois admis pour la première fois en formation
professionnelle et provenant de l'extérieur du Saguenay-Lac-Saint-Jean (plus
de 100 km du CFP, voir la
page
suivante),
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1 700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
offert en
enseignement individualisé
ET en
formule duale
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
admissions
à temps complet de jour à l'automne.
possibilité d'obtenir
une
bourse de mobilité de 2500 $
destinée aux étudiants québécois admis pour la première fois en formation
professionnelle et provenant de l'extérieur du Saguenay-Lac-Saint-Jean (plus
de 100 km du CFP),
offert
en
alternance travail-études
(stages totalisant 360 heures souvent rémunérés en milieu de travail)
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme;
admissions
à temps complet de jour
à l’automne et à l'hiver.
Ouest et centre du Québec (Mauricie-Bois-Francs, Estrie,
Centre-du-Québec, Outaouais, Abiti-Témiscamingue) :
Abitibi-Témiscamingue :
-
possibilité d'obtenir une
bourse
d'études
de
1
700 $
de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion
de cette carrière en région éloignée),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme;
Centre-du-Québec :
-
Centre de formation
professionnelle André-Morissette, Plessisville (C.S.S. des Bois-Francs)
offert en
enseignement individualisé
ET en
alternance travail-études
(stages totalisant 360 heures rémunérés en milieu de travail),
admissions à temps complet
de jour
à l'automne, à l'hiver et au printemps.
-
offert en
alternance travail-études
(stages totalisant 360 heures souvent rémunérés en milieu de travail),
regarde la
vidéo des
ateliers du département;
admissions à temps complet de jour à l'automne
et à l'hiver.
Estrie :
-
Centre
de formation professionnelle Expé
offert en
enseignement individualisé
ET en
alternance travail-études
(stages totalisant 360 heures rémunérés en milieu de travail),
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire, voir la
page suivante),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour avec entrées continues tous les mois.
-
Centre de formation
professionnelle Expé,
campus de
Windsor
(C.S.S. des Sommets),
offert en
enseignement individualisé
ET en
alternance travail-études
(stages totalisant 360 heures rémunérés en milieu de travail),
OU en
enseignement individualisé
ET en
formule duale (50 % des apprentissages en classe et en
atelier à l'école et 50 % de travaux pratiques et stages rémunérés en
entreprise) en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire, voir la
page suivante),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour
avec entrées continues tous les (formule en concomitance),
admissions à temps complet de soir avec entrées continues tous les mois (formule
en alternance travail-études),
admissions à temps complet de
jour/soir avec entrées périodiques au cours de l'année selon les places (formule
duale).
-
Centre de formation professionnelle 24 juin, Pavillon des techniques industrielles, Sherbrooke
(C.S.S. Région-de-Sherbrooke),
offert en cheminement régulier OU en
enseignement individualisé,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire,
voir la
page suivante),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de
jour à l'automne (cheminement régulier),
admissions à
temps complet de jour ou de soir à l'hiver (enseignement individualisé).
-
Campus
Brome-Missisquoi, Cowansville (C.S.S. du Val-des-Cerfs / C.S.S. Eastern
Townships)
formation offerte en
français ou en
anglais,
offert en
enseignement individualisé
ET en
formule intensive sur 16 mois,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
admissions à
temps complet ou à temps partiel (16,5 ou 21 ou 35 heures/sem) de jour à l'automne.
-
Lennoxville
Vocationnal Training Centre,
Sherbrooke
(C.S.S. Eastern Townships)
offert
en
enseignement individualisé,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
admissions à temps complet de jour avec entrées continues tout au long
de l'année scolaire.
Mauricie :
-
offert en cheminement régulier,
OU en
alternance travail-études
(stages totalisant 360 heures de stages rémunérés en entreprise
OU en
formule duale (50 % des
apprentissages en classe et en
atelier au CIMIC et 50 % de travaux pratiques et stages rémunérés en
entreprise dans une même semaine) en collaboration avec
l'une des 5 entreprises partenaires de la région,
regarde la
vidéo promotionnelle (et le
vidéo suivant) du programme,
regarde la
vidéo des
ateliers du département
possibilité de bénéficier du
D.E.P.-D.E.C. en technologie du génie métallurgique
(D.E.P. en soudage-montage + A.S.P. en soudage haute pression + D.E.C. en
technologie du génie métallurgique - option fabrication mécanosousée) en
partenariat avec le
Cégep de Trois-Rivières (exclusif
au Québec),
admissions
à temps complet de jour OU de soir à
l'automne.
Outaouais :
offert en enseignement traditionnel en groupe en classe et
en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme;
admissions à temps complet de jour à l’automne
offert en enseignement traditionnel en groupe en classe et
en atelier,
formation offerte en
anglais,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet de jour à l'automne
-
Collège La Cité
(collège public de l’Ontario), campus d'Ottawa et campus de Hawkesbury
Diplôme d'études collégiales de l'Ontario
regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet de jour à l'automne (4
niveaux de 10 semaines/ch. sur
2 an,
soit 30 heures/sem sur 5 jours) OU à temps partiel de soir (2 soirs par semaine pendant
40 semaines et ce, chaque niveau).
Région de Québec :
Chaudière-Appalaches :
-
Centre de formation
professionnelle Le Tremplin, Thetford-Mines (C.S.S. des Appalaches),
offert en
enseignement individualisé,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P.
(permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
admissions à temps complet de jour avec entrées continues à tous les
mois au cours de l'année scolaire.
- Centre de formation
professionnelle de Lévis, Lévis (C.S.S. des
Navigateurs)
offert en
enseignement individualisé,
possibilité de suivre la formation à temps complet sur
4 jours/sem,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. appelé "formule
métier-études" (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo
des ateliers du département;
admissions à temps complet de jour à l'automne.
-
Centre intégré de
mécanique industrielle de la Chaudière CIMIC, campus de
St-Joseph-de-Beauce (C.S.S. de la Beauce-Etchemins, région
Chaudière-Appalaches)
OU en
formule duale (50 % des
apprentissages en classe et en
atelier au CIMIC et 50 % de travaux pratiques et stages rémunérés en
entreprise) en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
accès à une
usine-école
dotée d'un parc de machines conventionnelles et automatisées diversifiées et
modernes (dont un atelier de soudage équipé de soudeuses multiprocédés, machines
à souder MIG, machines à souder TIG, soudeuses laser, machines d'assemblage
par soudure, postes de soudage au plasma, équipements d'oxycoupage,
guillotine informatisée, plieuse informatisée, bras robotique de soudure, robots
de soudure, cellule robotisée de soudage, etc.), mais également un atelier
de fabrication de structures métalliques, un atelier d'usinage, un atelier de mécanique industrielle, un atelier
d'électromécanique, un atelier d'automatisation et robotique, un atelier de
dessin technique, etc,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme;
regarde la
vidéo
promotionnelle de
la formule duable,
regarde la
vidéo promotionnelle du
centre,
admissions
à temps complet de jour
Capitale Nationale :
-
Centre d'éducation aux adultes de formation
professionnelle de Charlevoix, Pavillon
Les Cîmes,
La Malbaie (C.S.S. de
Charlevoix)
offert en
formation intensive sur 11 mois
ET
en
formule duale (50 % des apprentissages en classe et en
atelier à l'école et 50 % de travaux pratiques et stages rémunérés en
entreprise) en collaboration avec des entreprises partenaires de la
région,
admissions
à temps complet de jour à
l'automne.
- Centre de formation
professionnelle de Portneuf, Donnacona (C.S.S. de
Portneuf),
offert en
enseignement individualisé,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo promotionnelle (et le
vidéo
suivant) du programme,
admissions à temps complet de jour
avec entrées périodiques au cours de l'année scolaire (automne, hiver, printemps
et parfois à l'été).
-
Centre de
formation professionnelle de Québec, Québec (C.S.S. de la Capitale),
offert en cheminement régulier en classe et en atelier ou en
enseignement individualisé,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo
promotionnelle du double DEP,
regarde
aussi la
webconférence du programme;
voir aussi le
Double D.E.P. en
soudage montage / fabrication de structures métalliques et
métaux ouvrés
en 22 mois
admissions à temps complet de jour à
l'automne (cheminement régulier).,
admissions à temps complet de
soir avec entrées continues tous les mois (enseignement individualisé),
admissions à temps complet de jour à
l'automne (cheminement double DEP en formule régulière).
Région
de Montréal :
-
Centre multiservices
des Samares,
Pavillon de l'Argile,
Joliette (C.S.S. des Samares)
offert
en
formule duale (55 % des
apprentissages en classe et en
atelier au CFP et 45 % de travaux pratiques et stages rémunérés en
entreprise) en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
regarde la
vidéo
promotionnelle (et le
vidéo suivant) du programme,
admissions à temps complet de jour
à l'automne.
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l'automne.
Laval et Laurentides :
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme;
admissions
à temps complet de jour
(4 jours/sem) à l'automne.
offert
en
formule duale (60 % des
apprentissages en classe et en
atelier au CEP et 40 % de travaux pratiques et stages rémunérés en
entreprise) en collaboration
avec des entreprises partenaires de la région,
ET en
formule intensive sur 16 mois,
OU
en
enseignement individualisé,
accès à
différents ateliers et équipements modernes
:
postes oxyacétyléniques à l’arc électrique, machines pour procédés spéciaux
semi-automatiques (MIG), machines au gaz, appareils pour l'oxycoupage,
appareils pour le coupage au plasma, appareils pour la coupe mécanique type
piranha, guillotine informatisée, plieuse informatisée, etc,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l’automne (formule duale),
admissions à temps complet de jour (4
jours/sem) OU de soir (4 jours/sem) avec entrées
périodiques au cours de l'année (enseignement individualisé),
admissions à temps partiel de soir (16 heures/sem) avec
entrées périodiques au cours de l'année (enseignement individualisé).
-
École des métiers
spécialisés de Laval (Pavillon de la métallurgie), Laval (C.S.S. de Laval)
offert en cheminement régulier OU en
alternance travail-études
ATE,
accès à un
atelier complet de soudage ultramoderne
: équipements d'oxycoupage, postes oxyacétyléniques à l’arc électrique,
machines pour procédés spéciaux semi-automatiques (MIG), machines au gaz,
appareils pour le coupage au plasma, soudeuses multiprocédés, machines à
souder MIG, machines à souder TIG, soudeuses laser, guillotine informatisée,
plieuse informatisée, cellule robotisée de soudage, machines rotatives pour
la ferblanterie, etc,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet
de jour
à l'automne (ATE),
ou
admissions
à temps complet
de
jour
à l'hiver
(cheminement
régulier),
admissions
à temps complet de soir à l'automne
(cheminement régulier).
Montérégie :
-
Campus
Brome-Missisquoi, Cowansville (C.S.S. du Val-des-Cerfs / C.S.S. Eastern
Townships)
formation offerte en
français ou en
anglais,
offert en
enseignement individualisé
ET en
formule intensive sur 16 mois,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
admissions à
temps complet ou à temps partiel (16,5 ou 21 ou 35 heures/sem) de jour à l'automne.
-
Centre de
formation professionnelle du Suroît, campus de
Salaberry-de-Valleyfield
(C.S.S. de la Vallée-des-Tisserands)
offert en
enseignement individualisé,
admissions
à temps complet de jour avec
entrées à tous les mois au cours de l'année scolaire.
- Centre de
formation professionnelle des Patriotes, Sainte-Julie (C.S.S. des Patriotes)
offert en
enseignement individualisé,
regarde la
vidéo promotiononelle du programme;
-
Centre de
formation professionnelle de Sorel-Tracy,
Sorel-Tracy (C.S.S. de Sorel-Tracy)
offert en
enseignement individualisé,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire),
admissions à temps complet de jour (30 heures/sem) avec entrées continues tous les mois
au cours de l'année scolaire,
-
Centre
de formation professionnelle Pierre-Dupuy, Longueuil (C.S.S. Marie-Victorin)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l'automne.
-
École professionnelle des métiers, St-Jean-sur-Richelieu (C.S.S. Hautes-Rivières)
offert
en enseignement traditionnel en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l'automne.
-
Nova Career Centre, Châteauguay (C.S.S. New-Frontiers)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
offert en
formule intensive sur 16 mois,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour à l'automne et à l'hiver.
Île-de-Montréal :
-
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo des installations du département;
regarde les projets
réalisés par des finissants :
banc d'essai ajustable,
porte-manteau,
escabeau,
remorque,
admissions à temps complet de jour OU de soir à l'automne.
-
Centre intégré de la mécanique, de métallurgie et
d’électricité CIMME, Montréal - arrondissement LaSalle (C.S.S.
Marguerite-Bourgoys)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier ET
en
formule intensive sur 16 mois,
aussi offert en
concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours
obligatoires de 4e
et/ou 5e
secondaire,
voir la
page suivante et le
vidéo
suivant),
accès à une
usine-école
dotée d'un parc de machines conventionnelles et automatisées diversifiées et
modernes, d'atelier de coupage et d'oxycoupage,
d'ateliers de soudage, d'ateliers de pliage du métal,
d'ateliers d'assemblage, ateliers d'usinage, d'ateliers
de mécanique industrielle et d'ateliers de dessin technique;
regarde la
vidéo promotionnelle
du programme,
regarde aussi d'autres vidéos sur la formatoin :
vidéo #1,
vidéo #2 et
vidéo #3;
regarde la
vidéo
promotionnelle du centre;
admissions à temps complet de jour à l'automne.
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
véritable
chantier-école
d'une superficie de 270 000 pi2
regroupant des ateliers et installations pour plus de 2 000 étudiants(es)
dans 13 métiers de la construction (dont un grand atelier de soudage,
d'oxycoupage et de pliage de métal pour les étudiants en soudage-montage doté
d'appareils et équipements modernes tels que : cisaille hydraulique, presse
plieuse, cintreuse,
équipements d'oxycoupage, postes oxyacétyléniques à l’arc électrique,
machines pour procédés spéciaux semi-automatiques (MIG), machines au gaz,
appareils pour le coupage au plasma machines rotatives de
ferblanterie, machines de soudage sous pression à froid, etc.),
regarde
la vidéo promotionnelle du programme,
regarde la
vidéo promotionnelle de l'École,
admissions à temps complet de
jour à l'automne, à l’hiver et au printemps,
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
admissions à temps complet de jour
OU de soir à l’automne.
offert
en
formule intensive sur 16 mois,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet de jour
à l'automne, à l'hiver
et au printemps
Tu désires avoir l’avis de soudeurs(es) sur leur métier ?, Regarde les vidéos suivants :
les entrevues avec Anne-Sophie Boudreault et Maxime Lafleur; la première est étudiante et le second est enseignant en soudage-montage au CFP Construc-Plus et réalisées par le CSS de la Seigneurie-des-Milles-Îles;
l'entrevue avec Thomas; étudiant en soudage-montage au CIMME à Montréal et réalisée par le CSS Marguerite-Bourgeoys;
l'entrevue avec Janick Ferland Riendeau; diplômée en soudage-montage et maintenant, soudeuse pour Les Fabrications Métal-Idées à Saint-Maurice en Mauricie qui fabrique des boîtes et ornements (escaliers, garde-corps, etc.) en métal et réalisée par le CFP Qualitech;
l'entrevue avec Marianne; soudeuse-assembleuse chez Produits métalliques AT, un maufacturier d'équipements de déneigement à Matane dans le Bas-Saint-Laurent et réalisée par le Comité Action Main-d'oeuvre en Fabrication Métallique industrielle - BSL;
l'entrevue avec Mireille; soudeuse chez Inovaweld, un maufacturier de barils soudés en acier inoxydable à La Pocatière dans le Bas-Saint-Laurent et réalisée par le Comité Action Main-d'oeuvre en Fabrication Métallique industrielle - BSL;
l'entrevue avec Julia; soudeuse-assembleuse chez Les Industries Desjardins, un maufacturier de réservoirs mobiles pour diesel à St-André-de-Kamouraska dans le Bas-Saint-Laurent et réalisée par le Comité Action Main-d'oeuvre en Fabrication Métallique industrielle - BSL;
l'entrevue avec Dominic Boudreau; soudeur-monteur pour le Groupe Océan, un chantier naval à L'Île-aux-coudres dans Charlevoix et réalisée par le CSS de la Capitale;
l'entrevue avec Pierre Émond; soudeur-monteur pour le Groupe Océan, un chantier naval à L'Île-aux-coudres dans Charlevoix et réalisée par le CSS de la Capitale;
les entrevues avec Isabelle Nadeau; Frédéric Vaillancourt et Charles Galipeau; la première et le deuxième sont soudeurs chez Termaco, un manufacturier de systèmes de stockage d'énergie à Saint-Jean-sur-Richelieu et le troisième est enseignant en soudage-montage à l'École professiononelle des métiers et réalisées par le CSS des Hautes-Rivières;
l'entrevue avec Marianne Arseneault; coordonnatrice de cellule et assembleuse structures chez Demers Ambulances et réalisée par les Manufacturiers et Exportateurs du Québec;
l'entrevue avec Chantal Lefebvre, chef d'équipe soudeure chez Matritech de Drummondville et réalisée par Emploi Québec Centre-du-Québec;
l'entrevue avec Michaël; soudeur chez Deloupe, un maufacturier de semi-remorques sur mesure à Saint-Évariste-de-Forsyth en Beauce et réalisée par le Comité Action Main-d'oeuvre en Fabrication Métallique industrielle - BSL;
l'entrevue avec Alex Grondin; diplômé en soudage-montage, chef d'équipe d'assemblage chez Machinex, un fabricant d'équipements de recyclage à Lévis en Chaudière-Appalaches et réalisée par l'entreprise;
l'entrevue avec Matthew Clark; soudeur-assembleur au Chantier naval Forillon à Gaspé et réalisée par WG Productions;
l'entrevue avec Maxim Perron; soudeur-monteur pour le Groupe Océan, un chantier naval situé à Québec et réalisée par le Groupe Océan;
l'entrevue Marc Lacroix; soudeur haute pression au sein de l'équipe Projets chez Rio Tinto Énergie Électrique et réalisée par Rio Tinto;
l'entrevue avec Paméla Carpentier, soudeure-monteure chez Pro-Métal Plus de Deschambault dans la région de Québec et réalisée par Les Productions AH;
l'entrevue avec Jessika Denault; soudeure chez Premier Tech, un manufacturier d'équipements pour traitement des eaux à Rivière-du-Loup dans le Bas-St-Laurent et réalisée par le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle du Québec;
l'entrevue avec Mélanie Plourde; soudeure et opératrice de table de coupe chez Atelier de soudure Gilles Roy à Amqui dans le Bas-St-Laurent et réalisée par le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle du Québec;
l'entrevue avec Benoit Martin, tuyauteur-soudeur pour le Groupe P.O.G. de Saguenay et réalisée par la C.S.S. des Rives-du-Saguenay;
les entrevues avec Pierre-Luc Iza et Anthony Brousseau, soudeurs-monteurs pour Travaux maritimes Océan div réparation navale et industrielle et réalisées par le Groupe Océan, un chantier naval situé à L'Isle-aux-Coudres dans Charlevoix;
l'entrevue avec Jocelyn Ouellet; contremaître soudage chez Davie Industrie, un chantier naval situé à Lévis en Chaudière-Appalaches et réalisée par Davie Industries;
les entrevues avec maître de 2e classe Yannick Gagné et matelot de 1re classe Vincent DeLaunière, techniciens de coque (maintenant appelés "techniciens de marine") dans la Marine royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;
Pour une liste d'entreprises manufacturières et entreprises de la construction, consulte le portrait des différents secteurs mentionnés dans la section "perspectives d'avenir".
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage GMAW réalisée par le Centre de métallurgie du Québec du Cégep de Trois-Rivières;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage SMAW réalisée par le Centre de métallurgie du Québec du Cégep de Trois-Rivières;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage GTAW (ou TIG) réalisée par le Centre de métallurgie du Québec du Cégep de Trois-Rivières;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage TIG réalisée par l'entreprise Air liquide Welding;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage MIG/MAG réalisée par l'entreprise Air liquide Welding;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage par ultrasons réalisée par le Centre de métallurgie du Québec du Cégep de Trois-Rivières;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage électrode enrobée MIG/MAG réalisée par l'entreprise Air liquide Welding;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage découpage au plasma réalisée par l'entreprise Air liquide Welding;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage plasma en position verticale réalisée par l'entreprise Air liquide Welding;
un vidéo explicatif sur le procédé de soudage coupage oxyacétylénique réalisée par l'entreprise Air liquide Welding.