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SECTEUR : AÉROSPATIAL

NIVEAU D’ÉTUDES : ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE

 

INGÉNIEUR(E) EN AÉROSPATIAL

BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.ing

MAÎTRISE M.ing

 

Consulte également la page d’informations sur les programmes pré-universitaires en sciences

 

Ainsis que la section "liens recommandés" en fin de page (dont des vidéos d'ingénieurs en aérospatial qui parlent de leur travail).

 

TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :

 

En tant qu’ingénieure ou ingénieur en aéronautique; tu seras responsable de concevoir, développer, mettre au point et fabriquer différents d'aéronefs ou de leurs composantes (moteurs, propulseurs, composantes de turbines à gaz, ailes, composantes de structures légères, freins d'atterrissage, systèmes de contrôle du carburant, systèmes électromécaniques, systèmes hydrauliques, systèmes pneumatiques, instrumentation électrique, instruments avioniques, pièces de moteurs, pièces de freins, pièces de structures, etc.) ou autres systèmes aérospatiaux.

 

Tu auras pour tâches de :

Au sein des entreprises de maintenance d'aéronefs et des lignes aériennes ou au sein des Forces canadiennes, tu seras responsable de coordonner et de gérer les opérations de maintenance des aéronefs. Tu seras devras t'assurer que toutes les procédures de maintenance ont été respectées selon les normes et exigences fédérales et selon les recommandations du manufacturier afin d'assurer le bon état et la sécurité des appareils. Tu pourrais également travailler pour un manufacturier aérospatial afin d'assurer le soutien technique spécialisé en maintenance des aéronefs dans l'un des centres de maintenance de ce dernier.

 

Après avoir complété des études supérieures et avoir acquis de l'expérience, tu pourrais également faire partie d'une équipe de conception et développement de nouveaux modèles d'aéronefs ou d'une équipe d'assemblage final d'aéronefs qui est responsable de coordonner toutes les étapes d'assemblage d'un aéronef selon les plans de conception et d'assemblage.

En tant qu'ingénieur(e) en astronautique; tu auras pour responsabilité la conception, le développement et la production de différents types de satellites (communications, météorologie, scientifiques ou militaires) ou ses composantes (électriques, électroniques, électromécaniques ou mécaniques), des composantes pour véhicules spatiaux ou des composantes de structures pour la station spatiale internationale.

 

Afin de réaliser la conception de ces équipements, tu auras pour tâches de résoudre les problèmes reliés l'usinage des pièces ou composantes, planifier et gérer toutes les opérations de fabrication et de production de l'usine ou d'un département de l'usine, développer et appliquer des méthodes et techniques d'optimisation de la production, développer et concevoir des pièces ou composantes de l'équipement spatial et gérer les contrôles de qualité qui répondent aux besoins et aux exigences de qualité, de dureté, de durabilité, de résistance aux températures, de résistance à la pression, de résistance à la corrosion et à la fatigue, mais facilement démontable et remplaçable pour la maintenance. Que ce soit des pièces ou composantes pour modèle d'équipement spatial ou de satellite déjà existant, pour un nouveau modèle ou comme produit de remplacement, les pièces et composantes qui doivent répondre à normes de fabrication nationales et internationales fort exigeantes.

 

Tu pourras travailler pour des manufacturiers de composantes ou de pièces équipements ou de systèmes spatiaux (composantes de satellites, composantes pour véhicules spatiaux, structures pour la Station spatiale internationale, structures pour centres d'entraînement spatial) situés tant au Canada qu'à l'étranger, dans les agences spatiales nationales dont l'Agence spatiale canadienne dont son siège social est situé à St-Hubert, des centres de recherches en technologies spatiales ou comme civil au sein des Forces canadiennes..

 

Après avoir complété des études supérieures et avoir acquis de l'expérience, tu pourrais également faire partie d'une équipe de conception et développement de nouveaux modèles d'équipements ou systèmes spatiaux ou d'une équipe d'assemblage final de satellites ou véhicules spatiaux qui est responsable de coordonner toutes les étapes d'assemblage d'un aéronef selon les plans de conception et d'assemblage.

 

QUALITÉS ET APTITUDES  NÉCESSAIRES :

-         Être attiré(e) par les technologies qui nous entourent

-         Aptitudes pour les mathématiques, les sciences et le dessin technique

-         Capacité d’analyse et méthodique pour analyser un problème de fabrication ou de conception et tenter de le résoudre

-         Sens des responsabilités car tu seras responsable du personnel et des autres ressources d’un département de production ou de conception

-         Minutie, précision, souci du détail car tu auras à concevoir des produits qui devront être SANS ERREUR AUCUNE

-         Sens de l’observation et curiosité scientifique pour proposer tes idées en conception aérospatiale

-         Créativité, imagination et ingéniosité pour concevoir des produits de qualité

-         Facilité de travailler en équipe et leadership pour réussir à réaliser de façon efficace des projets, tu devras collaborer avec des techniciens et d’autres ingénieurs

-         Bonne connaissance en informatique car tes tâches d’analyse et de conception seront effectuées par ordinateur

-         Connaissance de l’anglais car la plupart des manuels spécialisés sont dans cette langue 

PROFESSIONS APPARENTÉES :

-    Analyste en thermomécanique

-    Chargé(e) de projet (avec de l’expérience)

-    Concepteur(trice) d'aérostructures

-    Concepteur(trice) de composantes

-         Ingénieur(e)-concepteur(trice)

-    Ingénieur(e) en contraintes

-    Ingénieur(e) en essais aérospatiaux

-    Ingénieur(e) en qualité

-    Ingénieur(e) en sécurité aéronautique

-         Ingénieur(e) en technologies spatiales

-         Officier du génie aérospatial (Forces armées)

-         Ingénieur(e)-chef en aérospatial (avec de l’expérience)

-         Directeur(trice)-adjoint(e) de la production en aérospatial (avec de l’expérience)

-         Directeur(trice) de production en aérospatial (avec de l’expérience)

EMPLOYEURS POTENTIELS :

-    Cégeps et ÉNA (voir aussi le Centre de technologie aérospatiale du Cégep Édouard-Montpetit)

-         Industries aéronautiques (Bombardier, Bell Helicopter, Pratt & Whitney)

-         Industries spatiales

-         Industries mécaniques (sous-traitants de manufacturiers aérospatiaux)

-         Industries électriques (sous-traitants de manufacturiers aérospatiaux)

-         Industries électroniques (sous-traitants de manufacturiers aérospatiaux)

-      Entreprises de maintenance d'aéronefs   

-         Force armées canadiennes
voir aussi l'Aviaiton royale canadienne et la Réserve aérienne

-         Gouvernement du Canada : carrières en sciences et technologies
Bureau de la sécurité des transports du Canada BST,
Agence spatiale canadienne
,
Défense nationale (civils),
Transports Canada
,
le Centre de recherche aérospatiale à Montréal du CNRC.

-         Universités
(consulte
aussi une liste des organismes de reccherche dans le domaine du génie mécanique), dont : 

Chaire de recherche industrielle Pratt & Whitney sur l'intégration et l'optimisation des systèmes de propulsion de l'ÉTS
,
Chaire de recherche industrielle Safran sur le développement de systèmes d’aéropropulsion durables de l'ÉTS,
Chaire de recherche en génie Marcelle-Gauvreau sur les matériaux composites respectueux de l’environnement de l'ÉTS,
Laboratoire d'optimisation des procédés de fabrication avancée de l'ÉTS,
Chaire industrielle CRSNG/CRIAQ/Bombardier sur les méthodes d'analyse et de conception interdisciplinaires en aérothermodynamique pour les avions de transport,
Chaire industrielle Safran de traitements acoustiques passifs plurifonctionnels pour structures composites de turboréacteurs (TAPPIS) de Polytechnique,

Laboratoire sur les alliages à mémoire et systèmes intelligents de l'ÉTS,
Laboratoire d'ingénierie des polymères et composites PolymerETS,
Laboratoire de recherche en commande active, avionique et aéroservoélasticité LARCASE de l'ÉTS,
Laboratoire spécialisé en technologies spatiales, systèmes embarqués, navigation et avionique de l'ÉTS,
Groupe d'acoustique de l'Université de Sherbrooke,
Centre de fabrication avancée de Concordia,
Centre Concordia pour les composites,
Unité de Recherche Transdisciplinaire du Génie des Ressources et des Infrastructures Spatiales de Polytechnique Astrolith,

Institut de conception et d'innovation aérospatiales Concordia (CIADI,
Institut Mcgill pour le génie aérospatial.

PERMIS DE PRATIQUE :

 

Au Québec, Pour pratiquer la profession d’ingénieur(e); tu dois obligatoirement devenir membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Cette profession est régie par une loi et un code de déontologie qui ne permet qu’aux détenteurs de ce titre de pratiquer dans le domaine.

 

À partir du 1er avril 2022, le programme de juniorat sera aboli et les titres d’ingénieur junior et d’ingénieur stagiaire ne seront plus reconnus. Ce qui veut dire que vous ne pourrez plus vous réinscrire au tableau comme membre junior ou stagiaire.

 

Il sera remplacé par le programme de Candidat(e) à la profession d'ingénieur CPI

 

Après avoir complété tes études universitaires en génie, tu devras compléter le Programme de candidat(e) à la profession d'ingénieur ET

acquérir une expérience professionnelle rémunérée en milieu professionnel sous la supervision d’un(e) ingénieur(e) senior(e) expérimenté(e).

 

Par la suite, tu auras à subir l'examen professionnel et sa réussite te permettra d’obtenir le permis d’ingénieur(e).

 

Voici un tableau démontrant la comparaison entre l'ancien programme de juniorat et le nouveau programme de CPI :

 


Juniorat Programme CPI
Titre
  • Ingénieur junior (ing. jr)
  • Ingénieur stagiaire (ing. stag.)
  • Candidat à la profession d’ingénieur (CPI)
Durée de l’expérience pratique

36 mois, dont 12 mois canadiens, avec possibilité d’équivalences et crédits.

24 mois, en plus de l’atteinte des compétences requises, avec possibilité d’équivalences et crédits

Limite de temps

Aucune

(Jusqu’au 31 mars 2022)

5 ans pour réussir le programme d’accès à la profession

Parrainage

Parrainage facultatif

Accompagnement intégré dans le rôle du superviseur

Certification de l’expérience

Expérience certifiée par 2 ingénieurs

Expérience certifiée par 1 ingénieur (le superviseur)

Examen professionnel

Réussite de l’examen professionnel

Formation en ligne (près de 30 heures) + réussite de l’examen professionnel

Toutefois, des crédits d'expérience peuvent être accordés pour un stage rémunéré ou non rémunéré d'au moins 4 mois réalisé au cours des études universitaires en génie, voir la page suivante.

 

Des crédits d'expérience peuvent aussi être accordés pour études supérieures complétées dans un programme de maîtrise en génie, voir la page suivante.

 

EXIGENCES DES EMPLOYEURS :

-         Bilinguisme nécessaire

-         Bonne connaissance en informatique (pour les activités de gestion)

-         Facilité d’adaptation aux nombreux changements technologiques

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 1er janvier 2021 :

 

Pour le Baccalauréat en génie aérospatial :

 

Le placmeent est moyen, 52 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.

 

Plusieurs répondants(es), soit 32 % ont poursuivi leurs études au niveau de la maîtrise en génie aérospatial.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À temps complet

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

37 13 12 12

 

Note 1 : baisse du taux de placement en théorie par rapport aux années précédentes (était de 71 % en 2019; 59 % en 2017; 71 % en 2015 et 88 % en 2013).

 

Note 2 : hause du nombre de répondants(es) poursuivant des études supérieures (était de 41 % en 19 % en 2019; 2017; 31 % en 2015 et 17 % en 2013).

 

Pour la maîtrise en génie aérospatial :

 

Le placmeent est bon, 62 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.

 

Un répondant a choisi de poursuivre ses études au niveau du doctorat.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE À temps complet

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

30 18 18 1

Note : baisse importante du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 67 % en 2019; 91 % en 2017; 70 % en 2015 et 80 % en 2013).Source : Ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec

                          

SALAIRE :

 

Selon les données de 2024

 

Le salaire moyen en début de carrière était de :

 

-         29,23 $/heure (40 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 33,99 $/heure au sein des PME

 

-         32,38 $/heure (40 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 37,66 $/heure au sein des grands manufacturiers de l'aérospatial (maîtrise généralement exigée

 

-         37,81 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 42,20 $/heure en tant qu'ingénieur(e)  dans la fonction publique fédéral

 

-         37,81 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 49,50 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein de l'Agence spatiale canadienne

 

-        38,56 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 41,03 $/heure en tant qu'ingénieur(e) à Aéroports de Montréal

 

-         39,52 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 47,74 $/heure en tant qu'ingénieur(e) à Nav Canad

 

-         41,00 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 43,50 $/heure en tant qu'ingénieur(e) à l'Aéroport international Jean-Lesage de Québec

 

-         43,03 $/heure (37,5 hres/sem) en tant scientifique de recherche en ingénierie (avec une maîtrise) dans la fonction publique fédérale

 

-         44,34 $/heure (37,5 hres/sem) en tant scientique de la Défense en ingénierie (avec une maîtrise, poste civil) dans la fonction publique fédérale

 

-         47,83 $/heure (37,5 hres/sem) en tant scientifique de recherche en ingénierie (avec un doctorat) dans la fonction publique fédérale

 

-         48,77 $/heure (37,5 hres/sem) en tant scientifique de recherche en ingénierie (avec un doctorat) dans la fonction publique fédéral

 

-         57,59 $/heure (37,5 hres/sem) en tant scientifique de la Défense en ingénierie (avec un doctorat, poste civil) dans la fonction publique fédérale

 

-         60,17 $/heure (37,5 hres/sem) en tant scientique de recherche en ingénierie (avec un doctorat) au Conseil national de recherches Canada CNR

 

-    2 578 $/mois en 1re année et augmente à 2 734 $/mois en 4e année (grade d'élève-officier pendant tes études universitaires au Collège militaire)

 

-         5 675 $/mois (au grade de sous-lieutenant) et augmente à 7 841 $/mois (au grade de capitaine) après 5 ans en tant qu'officier du génie aérospatial ou officier des systèmes d'armement aérien au sein des Forces canadiennes (Force régulière)

 

-         186,44 $/jour (au grade de sous-lieutenant) et augmente à 239,24 $/jour (au grade de capitaine) en tant qu'officier du génie aérospatial ou officier des systèmes d'armement aérien au sein des Forces canadiennes (Réserve)

 

Note : baisse de la moyenne salariale au niveau du baccalauréat par rapport aux années précédentes (était de 30,15 $ en 20222; 28,82 $ en 2019; 27,10 $ en 2017 et 27,79 $ en 2015).

 

Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, École Polytechnique de Montréal, Réseau des ingénieurs du Québec, Forces canadiennes et associations des ingénieurs de certains grands manufacturiers de l'aérospatiale.

 

PORTRAIT DE LA PROFESSION :

Selon l'Ordre des ingénieurs du Québec; il y avait près de 57 200 ingénieurses et ingénieurs en exercice- toutes spécialités confondues dans l'ensemble des régions du Québec au 31 mars 2025
(soit 1 120 de plus qu'en 2024; 3 420 de plus qu'en 2022; 9 360 de plus qu'en 2020; 11 928 de plus qu'en 2018; 13 410 de plus qu'en 2016 et 14 120 de plus qu'en 2014)
.

Les candidats(es) à la profession d'ingénieur(e) CPI :

Au 31 mars 2024, il y avait 14 113 "candidats-es à la profession d'ingénieur CPI" (dont 2 964 femmes).
(soit 1 913 de plus qu'en 2022; 2 817 de plus qu'en 2020; 822 de plus qu'en 2018 et 1 605 de plus qu'en 2016).

De ce nombre, on y comptait 4 155 nouvelles candidates et nouveaux candidats (dont 914 femmes) ont été accueillis au cours de cette année.
(soit 424 de plus qu'en 2022; 778 de plus qu'en 2018 et 1 436 de plus qu'en 2016).

Profession en majorité masculine, puisqu'ils représentaient 78 % des membres, alors que les femmes ne représentaient que 22 %.
(étaient 21 % en 2022; 20 % en 2019; 19 % en 2018 et 20 % en 2016).

Une hausse du nombre de femmes dans les cohortes étudiantes des universités québécoises laissent prévoir que près du quart des ingénieurs seront des femems au cours des prochaines années.
(était de 30 % en 2024; 24 % en 2020; 21 % en 2018; 20 % en 2016 et 19 % en 2014).

En 2023, la moyenne canadienne de femmes chez les nouveaux ingénieurs était de 20 %
(28 % à T-N-L, 25 % en Nouvelle-Écosse, 22 % au Nouveau-Brunswick, 23 % aum Manitoba, 22 % en Alberta, 21 % en BC et 21 % en Ontario).

L'âge moyen des finissants(es) au baccalauréat en génie était de 23 ans.

L'âge moyen des candidats(es) à la profession d'ingénieur(e) CPI était de 27 ans.

Plus de 94 % avaient le français comme langue première au travail et 6 % avaient l'anglais.

Près de 35 % des personnes récemment diplômées en génie étaient issues de l'immigration.

Les ingénieurs(es)

De ce nombre, 3 000 personnes (dont 258 femmes) ont obtenu le titre "ingénieur-e" au cours de cette année.
(soit 1 751 de plus qu'en 2022; 3 746 de moins qu'en 2018; 2 558 de moins qu'en 2016 et 3 189 de moins qu'en 2014)..

Parmi ceux-ci, 638 ont obternu leur diplôme d'ingénieur à l'étranger.

Plus de 99 % avaient le français comme langue première au travail et moins de 1 % avaient l'anglais.

Plus de 84 % des membres de cett profession étaient des hommes, mais pourrait accueillir davantage de femmes qui ne représentaient que 16 % des ingénieurs(es).

C'est la seconde profession libérale ayant la plus faible proportion de femmes (derrière les arpenteurs-géomètres avec 15 % et juste devant les ingénieurs forestiers avec 19 %).

En 2024, la moyenne canadienne était de 15 %
(16 % en BC, 16 % en Alberta, 15 % en Ontario, 15 % en Nouvelle-Écosse, 16 % à T-N-L, 14 % au Manitoba, 14 % au Nouveau-Brunswick et 13 % en Saskatchewan)

En comparaison avec d'autres pays, les femmes représentaient 24 % en France, 23 % en Australie, 21 % en Allemagne, 20 % en Belgique, 20 % en Italie, 17 % en UK, 16 % aux USA.

Par contre, la tendance est une hausse de la féminisation de la profession, puisqu'elles représentaient 13 % en 2012; 14 % en 2014; 14 % en 2015; 15 % en 2018, 2020 et 2022.

Plus de 17 % des nouveaux ingénieurs(es)  issus de l'immigration ont été accueillis au Québec.
(en comparaison avec l'Ontario qui était de 36 %., la BC qui était de 28 % et la moyenne canadienne qui était de 40 %).

Toutefois, ce sont 24 % de l'ensemble des immigrants au Québec qui ont choisis la profession d'ingénieur(e).

Plus de 97 % des ingénieurs(es) occupaient un poste à temps complet.

Près de 6 % des ingénieurs(es) étaient des travailleurs(euses) autonomes.

Autre fait intéressant, il y avait près de 3 200 ingénieurs(es) membres de l'Ordre des ingénieurs du Québec qui exerçaient à l'étranger (USA, France, UK, Allemagne, Espagne, Chine, Japon et bien d'autres...).

L'âge moyen d'un(e) ingénieur(e) était de 42 ans (38 ans chez les femmes et 45 ans chez les hommes).

La répartition des ingénieurs(es) selon leur âge était :

  • 5 % avaient moins de 29 ans

  • 28 % avaient entre 30 et 39 ans

  • 28 % avaient entre 40 et 49 ans

  • 21 % avaient entre 50 et 59 ans

  • 18 % étaient âgés de 60 ans et +

La répartition des ingénieurs(es) selon leur niveau de scolarité était :

  • 70 % détenaient un baccalauréat (ou l'équivalent)

  • 27 % détenaient une maîtrise (ou l'équivalent)

  • 3 % étaient titulaires d'un doctorat (avec ou sans formation postdoctorale)

La répartition des ingéneiurs(es) selon la spécialité était :

  • ingénieurs civils : 21 %

  • ingénieurs mécaniciens : 15 %

  • ingénieurs électriciens et électroniciens : 14 %

  • ingénieurs informaticiens : 12 %

  • ingénieurs en logiciel : 12 %

  • ingénieurs industriels, en production automatisée et en robotique : 8 %

  • ingénieurs en aérospatiale : 6 %

  • ingénieurs chimistes et biotechnologistes : 3 %

  • ingénieurs en bâtiment et construction : 2 %

  • ingénieurs biomédicaux : 2 %

  • ingénieurs en matériaux : 1 %

  • ingénieurs géologues : 1 %

  • ingénieurs miniers : 1 %

  • autres ingénieurs : 2 %

La répartition des ingénieurs(es) - toutes spécialités confondues selon le type d'employeur était :

  • 37 % au sein des autres entreprises manufacturières

  • 23 % au sein des firmes d'ingénieurs conseils

  • 9 % au sein des administrations publiques et organismes parapublics (fédérale, provinciale, municipalités, MRC et communautés métropolitaines)

  • 7 % au sein des entreprises de services (entreprises de services informatiques, compagnies d'assurances, institutions bancaires, entreprises de télécommunications, etc.)

  • 6 % au sein des entreprises de construction (commerciale, instituttionnelle, industrielle et génie civil)

  • 5 % au sein des manufacturiers de produits aérospatiaux et leurs pièces

  • 4 % au sein des entreprises de transport (aérien, ferroviaire, maritime et routier)

  • 3 % au sein des entreprises et organismes d'utilité publique (Hydro-Québec, Énergir, Société québécoise des infrastructures, sociétés publiques de transport urbain, autorités aéroportuaires et portuaires, etc)

  • 2 % au sein des manufacturiers de matériel de transport terrrestre (routier ou ferroviaire)

  • 2 % au sein des établissements de santé ou des établissements d'enseignement (CISSS, CIUSSS, CHU, centres de services scolaires, cégeps, universités)

  • 1 % au sein des entreprises d'exploitation des ressources naturelles (agricoles, forestières, minières, gazières, pétrolières)

  • près de 1 % des entreprises métallurgiques (alumineries, aciéries, affineries, fonderies, fabrication métallique)

  • moins de 1 % au sein des entreprises commerciales de gros

La répartition des ingénieurs par région était de :

 

-    36 % dans la région de l'Île-de-Montréal

 

-    15 % en Montérégie

 

-    12 % dans la région de la Capitale Nationale

 

-    6 % en Estrie

 

-    5 % dans la région de Laval

 

-    5 % dans les Laurentides

 

-    4 % en Chaudière-Appalaches

 

-    3 % au Saguenay-Lac-Saint-Jean

 

-    plus de 2 % dans Lanaudière

 

-    plus de 2 % en Mauricie

 

-    2 % dans le Centre-du-Québec

 

-    près de 2 % en Outaouais

 

-    près de 2 % en Abitibi-Témiscamingue

 

-    1 % dans le Bas-Saint-Laurent

 

-    moins de 2 % dans les autres régions (Côte-Nord, Gaspésie et Îles-de-la-Madeleine, Nord-du-Québec)

 

-    De plus, il faut ajouter que près de 2 300 ingénieurs(es) membres de l'Ordre des ingénieurs du Québec exerçaient ailleurs au Canada (principalement en Ontario et en Alberta)

 

-    Enfin, autre fait intéressant, il y avait près de 600 ingénieurs(es) membres de l'Ordre des ingénieurs du Québec exerçaient à l'étranger (la moitié aux USA, mais également dans une soixantaine de pays dont : France, UK, Allemagne, Espagne, Chine, Japon et bien d'autres...).

Les ingénieurs(es) en aérospatiale

Selon Emploi-Québec; il y avait plus de 4 000 ingénieurs(es) en aérospatiale en emploi au Québec en 2022.

Plus de 87 % étaient des hommes, alors que les femmes ne représentaient que 13 % des membres de cette profession (la plus faible proportion apreso les ingénieurs miniers parmi l'ensemble des disciplines du génie).

Plus de 60 % étaient âgés entre 25 et 44 ans, 25 % avaient entre 45 et 54 ans, 13 % étaient agés de 55 ans et plus et seulement 2 % de moins de 24 ans.

Près de 99 % occupaient un poste à temps complet.

La répartition des membres selon le type d'employeur était :

  • 66 % au sein des manufacturiers de produits aérospatiaux (dont 34 % chez les grands constructeurs et 40 % au sein des PME)

  • 12 % au sein des entreprises de maintenance d'aéronefs

  • 9 % au sein des sociétés de génie conseil

  • 6 % au sein des manufacturiers de machines et équipements industriels

  • 5 % dans la fonction publique québécoise ou fédérale

  • 2 % dans d'autres milieux

PERSPECTIVES D’AVENIR :

 

PAS DE PANIQUE !

 

L'industrie aérospatiale vit souvent des hauts et des bas.

 

Il faut savoir que dans ce domaine, la croissance économique est cyclique car il peut arriver qu'une entreprise obtienne un important contrat qui fournira du travail pendant plusieurs mois, sinon quelques années, mais par la suite les activités ralentissent pendant plusieurs mois.

 

De façon générale, les perspectives dépendent du nombre et de l’importance des contrats qu’obtiennent les grands manufacturiers de l'aérospatial surtout ceux présents au Québec (Airbus, Bombardier, Bell Helicopter, Pratt & Whitney, GE Aviation, Rolls Royce), puisque Les conséquences se répercutent alors aussi sur les nombreux sous-contractants d'ici Mais également les autres grands joueurs de industrie dans le monde (Boeing, Airbus,  Embraer, ATR, BAE Systems, SAAB, Cessna, General Dynamics, etc.) dont plusieurs entreprises québécoises y sont des sous-traitants.

 

Mais, ce n'est pas unique au Québec, puisque la plupart des grandes villes aéronautiques du monde (Seattle aux USA, Toulouse en France, Hambourg en Allemagne, Wichita aux USA ou Atlanta aux USA) connaissent ou ont déjà connu des périodes d'incertitude et dépendent des décisions du principal constructeur de la région. Pourtant, plusieurs dizaines de milliers de travailleurs(euses) y sont toujours actifs malgré ces changements importants.

 

À court et moyen terme, les perspectives semblent difficiles à prévoir. Avec les nombreux problèmes financiers subis au cours des dernières années par le géant canadien de l'aérospatial Bombardier.

 

Malgré cela, il reste le plus important employeur canadien de cette industrie (usines à Mirabel pour le CRJ, à Dorval pour le Challenger et à Perterborough en Ontario pour le Global)..

 

De plus, d'autres grands noms de l'industrie sont situés au Québec tels que : Pratt & Whitney, CAE, EMS Esterline, GE Aviation, Heroux Devtek, Messer Dowty ayant des contrats avec d'autres manufacturiers importants comme Airbus, Boeing, Dassault, Cessna, Bell Helicopters Textron et autres.

 

Enfin, plusieurs PME sont également présentes au Québec et figurent très bien dans le palmarès mondial des petits fournisseurs de l'industrie aérospatiale.

 

Pour plus de détails, consulte le Comité sectoriel de la main-d’œuvre en aérospatial qui a fait un portrait de l’industrie aérospatiale québécoise.

 

La rémunération moyenne après expérience en 2024...

 

Le revenu annuel moyen pour un(e) ingénieur(e) en aérospatial détenant 10 années d'expérience au sein d'une PME était de 70 700 $.

 

Le revenu annuel moyen pour un(e) ingénieur(e) en aérospatial détenant 10 années d'expérience au sein d'un grand manufacturier de l'aérospatial était de 99 100 $;

 

Le revenu annuel moyen pour un(e) officier en génie aérospatial (maintenance d'aéronefs) détenant 10 années d'expérience au sein des Forces canadiennes (Force régulière, grade de capitaine) était de 114 900 $;

 

Le revenu annuel moyen pour un(e) ingénieur(e) aux opérations détenant 10 années d'expérience au sein de l'Agence spatiale canadienne était de 117 300 $;

 

et le revenu annuel moyen pour un(e) ingénieur(e) en aérospatial détenant 10 années d'expérience dans la fonction publique fédérale était de 119 900 $.

PORTRAIT DE L'INDUSTRIE :

L'industrie aérospatiale québécoise représente à elle-seule près de 56 % de toute l'industrie aérospatiale canadienne et figure en 6e position au niveau mondial (après l'État de Washington aux USA, la région des Midi-Pyrénées en France, le comté de Hampshire en UK, l'État d'Hessen en Allemagne et la région de Madrid en Espagne).

Ce sont principalement des industries de l'aéronautique pour l'aviation civile que l'on retrouve (systèmes, composantes, pièces et assemblage d'aéronefs), mais également quelques entreprises sont liées à l'industrie spatiale (satellites ou ses composantes ou pièces).

Quelques entreprises québécoises fabriquent des composantes et pièces pour aéronefs civils, mais également pour des aéronefs militaires, mais le marché de la Défense au Québec n'est pas très importante.

Au Québec; on y assemble des avions long courrier, des avions régionaux, des avions d'affaires, des hélicoptères civils, des aubes de moteurs d'aéronefs, des turbines à gaz pour moteurs d'aéronefs, des trains d'atterrisssages pour aéronefs, des simulateurs de vol professionnels pour avions régionaux et avions d'affaires, des ailes et certaines composantes de fuselage d'avions long courrier et régionaux, ainsi que des avions légers.

On y fabrique des composantes de structures pour aéronefs, des panneaux d'ailes en aluminium, des structures légères pour aéronefs, des actionneurs hydrauliques, des systèmes de contrôle du carburant, des systèmes de contrôle et de support pour trains d'atterrissage, des actionneurs électromécaniques pour ailerons, des contrôleurs d'entraînement, des contrôleurs de puissance de température pour moteurs d'aéronefs, des réducteurs et motoréducteurs pour moteurs d'aéronefs, des actuateurs pour la régulation du débit et pression des fluides, des systèmes de réduction d'énergie pour moteurs d'aéronefs, des équipements d'essai et de réparation d'aéronefs, des équipements d'entretien mobile d'aéronefs, des équipements de contrôle de la qualité de l'air dans les cabines, des composantes pour les turbines à gaz de moteurs d'aéronefs, des pièces mécaniques ou hydrauliques de structures d'aéronefs, des pièces pour moteurs d'aéronefs, des pièces pour trains d'atterrissage, pièces d'engrenages, courroies, poulies, chenilles et autres pièces pour aéronefs, des composantes en aluminium pour avions légers, etc.

Dans le domaine de l'électrique, de l'électronique, de l'électromécanique et de l'avionique; on y fabrique des câbles et jeux de câbles pour aéronefs, des câbles et jeux de câbles pour moteurs d'aéronefs, des composantes électriques pour aéronefs, des actionneurs électromécaniques pour ailerons, des contrôleurs d'entraînement, des contrôleurs de puissance de température pour moteurs d'aéronefs, des actuateurs pour la régulation du débit et pression des fluides, des systemes de réduction d'énergie pour moteurs d'aéronefs, des systèmes GPS pour la navigation aérienne, des organisateurs électroniques pour postes de pilotage, des circuits intégrés hybrides pour commandes de vol d'aéronefs, des systèmes avioniques, des composantes électroniques pour simulateurs de vol professionnels, des systèmes visuels d'entraînement de simulation de vol, etc.

En 2016, l'industrie aéronautique québécoise, c'était :

  • 2e rang en Amérique du Nord pour la concentration des activités de l'industrie aérospatiale derrière Seattle

  • 6e rang mondial sur le plan des emplois (derrière les États-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Espagne)

  • 205 entreprises de toutes tailles (dont 180 PME)

  • 39 100 emplois (dont la plupart sont spécialisés ou ultra-spécialisés), soit 63 % de tous les emplois dans l'industrie du matériel de transport

  • un chiffre d'affaires de 14,4 milliards $

  • 55 % des ventes aérospatiales canadiennes

  • 70 % des dépenses totales en recherche et développement canadienne

Sources : Ministère de l'Économie, Science et Innovation du Québec et Comité sectoriel de la main-d'œuvre aérospatiale du Québec

QUELQUES EXEMPLES D'EMPLOYEURS CANADIENS :

 

Le géant canadien de l'aérospatial Bombardier aéronautique est sans aucun doute le plus important employeur au Canada pour les ingénieurs en aérospatial.

 

Au niveau de la production, tu pourrais travailler dans l'une des 4 usines au Québec :

 

Montréal (arrondissement St-Laurent) : assemblage de certaines composantes (fuselage arrière en fibres de carbone et poste de pilotage)  du nouveau modèle CSéries, ainsi que de composantes majeures pour les avions régionaux CRJ qui emploie plus de 3 000 travailleuses et travailleurs,
Dorval usine # 1 : assemblage final des avions d'affaires Challenger 300 et 605 qui emploie 2500 travailleuses et travailleurs,
Dorval - usine # 2 :  finition intérieure des avions d'affaires Challenger et Global et réparation des aéronefs qui emploie 1 400 travailleuses et travailleurs,
Mirabel - usine # 1 : assemblage final des avions régionaux CRJ et emploie plus de 1 100 travailleuses et travailleurs,
Mirabel - usine # 2 : assemblage final et finition intérieure des avions commerciaux CSéries qui emploie plus de 3 500 personnes,

 

L'entreprise possède également d'autres usines au Canada et aux USA : Donsview (Ontario, Canada) qui assemble les avions d'affaires Global, North Bay (Ontario, Canada) qui effectue la finition intérieure des avions d'affaires Global, Wichita (Kansas, USA) qui assemble les avions d'affaires Learjet, Belfast (Irlande du Nord, UK) qui fabrique les ailes des avions commerciaux CSéries et Queratero au Mexique qui fabrique les pièces en matériaux composites pour les avions d'affaires Learjet.

 

Au niveau de la conception, on retrouve des bureaux à Dorval (série CRJ), Mirabel (Challenger), Dorval (séries CS) et Wichita USA (Learjet).

 

Au niveau de la maintenance, tu pourras travailler dans l'un des 7 principaux centres de soutien technique des avions régionaux CRJ de Bombardier, soit : Mirabel (Canada), Bridgeport (USA), Ronald Reagon Washington National Airport (USA), Tucson (USA), Beijing (Chine), Belfast (UK) et Hamburg (Allemagne) ou l'un des  8 centers de soutien technique des avions d'affaires Challenger, Global et Learjet de Bombardier, soit : Fort Lauderdale (USA), Dallas (USA), Hartford (USA), Tucson (USA), Wichita (USA), Amsterdam (Pays-Bas), Berlin (Allemagne) et Belfast (UK).

 

Le leader mondial des hélicoptères Bell Helicopters Textron possède également une usine à Mirabel où l'on assemble des hélicoptères civils utilitaires;

 

Le gérant mondial des moteurs d'avions Pratt & Whitney possède 2 usines au Québec : Longueuil (turbines à gaz) et Mirabel (avions). On y fait retrouve également un atelier de conception;

 

Le géant britannique des moteurs d'avions Rolls-Royce possède lui aussi une usine d'assemblage de composantes de moteurs d'avions à Montréal;

 

Le leader mondial en systèmes d'atterrissage d'aéronefs Safran Messier-Bugatti-Dowty possède quant à lui une usine d'assemblage et un atelier de conception à Montréal;

 

L'important manufacturier québécois Héroux-Devtek fabrique des trains d'atterrissage, des composantes de structures d'aéronefs et des composantes de turbines à gaz d'aéronefs à son usine de Longueuil, ainsi que des actionneurs hydrauliques à son usine de Laval, en plus d'avoir un atelier de conception à Longueuil;

 

La multinationale General Electric Aviation possède 3 usines au pays : Bromont (turbines à gaz), Mirabel (tubes métalliques et systèmes de conduits pour aéronefs) et Orilla en Ontario (composantes et pièces de moteurs);

 

L3Harris (anciennement L3-Communications) situé à Mirabel, le chef de file canadien en fabrication de pièces pour l'industrie aéronautique mondiale, ainsi qu'en maintenance et services de soutien d'aéronefs militaires sur site de maintenance  de Bagotville au Saguenay-Lac-St-Jean (notamment responsable de la maintenance de la flotte des CF-18 Hornet, des avions CT-114 Tutor et des hélicoptères Cyclone des Forces canadiennes, mais également US Navy, US Marine Corps, Royal Australian Air Force, Boeing, Bombardier, etc), ainsi que pour les aéronefs civils sur son site de maintenance de Dorval (notamment tous les modèles de Bombardier : CRJ, Challenger, Global Express, Learjet, CL-415); 

 

Le second plus important centre de maintenance d'aéronefs au pays pour servir le second plus grand transporteur aérien du pays, Air Transat, son centre de maintenance principal est responsable de la maintance des 25 appareils de l'entreprise et du support technique aux mécaniciens(nes) et pilotes de la compagnie partout dans le monde. Il est situé à l'Aéroport Montréal-Trudeau à Dorval;

 

L'importante entreprise de maintenance d'aéronefs Groupe Innotech-Execaire Aviation possède 2 grands centres de maintenance : soit à Dorval et Québec, en plus de l'usine de finition intérieure d'avions affaires située à Montréal (près de Dorval);

 

L'importante entreprise de maintenance d'aéronefs Aero Teknic ayant 3 sites de maintenance (Dorval, Québec et St-Hubert), il est notamment un centre de maintenance autorisé pour les modèles : Beechcraft King Air, Piper Meridian et tous les autres Piper, Piaggio 180, Mitsubishi MU-2, Hawker 700, Cirrus SR-20 et SR-22 et bien entendu le réputé Cessna Citation;

 

L'important manufacturier canadien de satellites commerciaux de communications MDA Corporation possède une usine à Ste-Anne-de-Bellevue qui assemble des sous-systèmes de satellites, mais aussi des usines à Brampton (robots lunaires) et Richmond BC (satellites géospatiaux);

 

Le siège social de l'Agence spatiale canadienne est situé à Laval;

 

La 3e Escadre Bagotville des Forces canadiennes est l''une des plus importantes unités de l'Aviation royale des Forces canadiennes et située au Québec (dans la région du Saguenay-Lac-St-Jean). On y effectue notamment la maintenance des avions CF-18 Hornet et des hélicoptères CH146-Griffon.

 

D.E.C.-BAC :

 

Qu'est-ce qu'un programme DEC-BAC ?

 

Consulte la page suivante

 

Il permet de se faire reconnaître des acquis du D.E.C. en construction aéronautique dans le cadre du baccalauréat en génie aérospatial équivalents à 2 sessions d'études. Tu peux donc compléter tes études universitaires en 3 ans au lieu de 4 ans.

 

Voici la seule entente cégep-université actuellement offerte :

 

PASSERELLES :

 

Un programme passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est offerte lors de la demande.

  • l'École Polytechnique pourra reconnaître jusqu'à 28 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie de la construction aéronautique (ancien programme 280.01) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - orientation en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 15 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie de la maintenance industrielle ou techniques d'analyse d'entretien (anciens programmes 241.05) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie de la construction aéronautique (nouveau programme 280.B0) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie de la construction aéronautique (ancien programme 280.01) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en techniques d'entretien d'aéronefs (ancien programme 280.03) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie du génie mécanique (nouveau programme 241.A0) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie du génie métallurgique - procédés de transformation (nouveau programme 270.AA) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie de la maintenance industrielle (nouveau programme 241.D0) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie du génie métallurgique - option contrôle de la qualité (ancine programme 270.02) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique (diplômés du Cégep de Thetford seulement)

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie du génie métallurgique - option soudage (ancien programme 270.03) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique (diplômés du Cégep de Thetford seulement)

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie du génie métallurgique - option procédés (ancien programme 270.04) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 7 crédits obligatoires aux titulaires du DEC en technologie de l'avionique (ancien programme 280.04) dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • L'Université de Sherbrooke pourra reconnaître quelques crédits obligatoires (selon étude du dossier) aux titulaires du DEC en technologie de la construction aéronautique dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • L'Université de Sherbrooke pourra reconnaître quelques crédits obligatoires (selon étude du dossier) aux titulaires du DEC en technologie du génie mécanique dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration en aéronautique

  • l'ÉTS ne reconnaît aucun crédit, mais tu pourras être admis sans exigences de préalables spécifiques et tu suivras un cheminement correspondant à ton programme technique dans le cadre de son baccalauréat en génie mécanique - concentration conception aéronautique

LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie aérospatial B.ing. offert par l'École Polytechnique de Montréal a une durée totale de 4 ans (9 à 10 sessions incluant les trimestres d'été) offert en régime régulier à temps complet seulement de jour.

et Le Baccalauréat spécialisé en génie aérospatial B.ing. offert par l'Université Concordia a une durée totale de 4 ans (9 à 10 sessions incluant les trimestres d'été) offert en régime régulier à temps complet seulement de jour.

 

Contrairement aux autres programmes (notamment en génie mécanique), tu suivras des cours en aéronautique dès le début du programme.

 

CHEMINEMENT TYPE :

 

Note : le nom, le contenu et la séquence des cours énumérés ci-dessous peuvent varier d'une université à l'autre, mais tous répondent aux exigences de l'Ordre des ingénieurs du Québec.

 

Au cours de la première année, tu acquerras des connaissances dans les disciplines fondamentales nécessaires au génie (en mathématiques et en physique); tu seras familiarisé(e) avec les propriétés physiques des corps à la température, des phénomènes où interviennent des échanges thermiques, et des transformations de l'énergie entre différentes formes; tu seras initié(e) aux méthodes de programmation et aux concepts et propriétés des algorithmes avec le langage Python; tu seras initié(e) aux véhicules volants dans l'atmosphère et dans l'espace, aux éléments d'aérodynamisme et profils aérodynamiques, aux technologies aérospatiales, y compris les structures, les matériaux et les systèmes de propulsion, aux principes de base de la stabilité du vol, du contrôle et de l'intégration des systèmes, ainsi qu' aux aspects de la conception conceptuelle des avions; tu seras familiarisé(e) avec les propriétés mécaniques et thermiques des matériaux (métaux, plastiques, céramiques, composites) et leurs applications; tu seras familiarisé(e) avec le comportement mécaniques des matériaux (flexion, torsion, flambage, effets de la température, etc.); tu seras initié(e) aux technologies informatiques et l'exploitation d'un logiciel de calcul numérique pour résoudre des problèmes d'ingénierie (Matlab) et des logiciels de dessin et conception assistés par ordinateur (Autocad, Solidworks, Inventor); tu seras initié(e) aux méthodes de rédaction de rapports techniques en ingénierie et aux modes de présentation et tu seras initié(e) à la dynamique et de l'organisation du travail en équipe collaboratif en contexte d'ingénierie.

 

Tu devras suivre des cours obligatoires tels que : calcul avancé en génie, statique, programmation procédurale (théorie + labo), thermodynamique (théorie + labo), introduction aux aéronefs et aux systèmes aéronautiques, algèbre linéaire appliquée, science des matériaux (théorie + labo), résistance des matériaux 1, technologies informatiques en ingénierie (théorie + labo), rédaction technique (théorie + atelier) et communication et travail en équipe collaborative (théorie + atelier).

 

Au cours de la deuxième année; tu approfondiras les connaissances fondamentales et de base nécessaires au génie aérospatial (notamment en mathématiques et en physique); tu seras familiarisé(e) avec les concepts généraux de l'analyse et de la validation des résultats de mesure dans le contexte aérospatial; tu appliqueras les concepts fondamentaux de la mécanique à l'analyse des mécanismes et des éléments de machines; tu seras familiarisé(e) avec les principaux règlements d'homologation en structure et le calcul des charges externes sur les assemblages primaires : aile, empennage et fuselage; tu seras familiarisé(e) avec les concepts et princpes de base de l'écoulement des fluides dans les des tuyaux et des conduits; tu apprendras les notions fondamentales en vibrations et applications aux systèmes aéronautiques, à l'aéroélasticité et à la dynamique des rotors; tu apprendras les notions fondamentales du fonctionnement des circuits électriques monophasés et triphasés; tu seras initié(e) aux méthodes d'analyse des procédés de fabrication mécanique dans une approche produit-procédé-matériau; tu seras familiarisé(e) avec la classification et caractéristiques des procédés de fabrication additive (fabrication 3D); tu seras initié(e) aux notions de base en gestion des stocks et de la production et tu réaliseras en équipe un projet de conception d'un prototype d'un aéronef testé en vol dans un espace clos.

 

Tu devras suivre des cours obligatoires tels que : équations différentielles ordinaires, méthodes expérimentales et instrumentation en aérospatiale (théorie + labo), dynamique de l'ingénieur, probabilités et statistiques en ingénierie, résistance des structures aéronautiques, vibrations des systèmes aéronautiques, mécanique des fluides, principes de génie électrique (théorie + labo), industrialisation des produits et introduction à la conception aéronautique (théorie + projet).

 

À Concordia; si tu as choisis le régime coopratif, tu découvriras le milieu industriel de façon à s'initier au travail d’ingénieur(e) en aérospatial par l'exécution de diverses tâches s’intégrant à un ou plusieurs projets d’envergure différente définis par l’employeur sous la supervision d'un(e) ingénieur(e). dans le cadre du premier stage coopératif rémunéré obligatoire d'une durée de 4 mois à temps complet au cours du trimestre d'automne.

 

À Polytechnique; tu découvriras le milieu industriel de façon à s'initier au travail d’ingénieur(e) en aérospatial par l'exécution de diverses tâches s’intégrant à un ou plusieurs projets d’envergure différente définis par l’employeur sous la supervision d'un(e) ingénieur(e). dans le cadre du stage industriel rémunéré obligatoire d'une durée de 4 mois à temps complet au cours du trimestre d'été.

 

Au cours de la troisième année; tu seras initié(e) aux méthodes numériques de résolution de problèmes d'ingénierie; tu seras familiarisé(e) avec les concepts de la résistance thermique et de la capacité calorifique des matériaux et des structures; tu seras initié(e) aux principes de stabilité statique et dynamique de l'avion et aux méthodes de contrôle des commandes et gouvernes de l'avion; tu seras initié(e) aux principes de base de l'aérodynamisme; tu seras initié(e) aux cycles en propulsion aéronautique et composantes et performance des turbines à gaz; tu seras initié(e) aux principes fondamentaux régissant la conception, la fabrication et l'exploitation des engins spatiaux; tu seras initié(e) au processus de conception dans le contexte aérospatial (conception de véhicules et de systèmes au regard des exigences de la mission, de la configuration, du dimensionnement, des charges, etc.) et enfin, tu réaliseras un projet de conception technique visant à résoudre un problème d'ingénierie aérospatiale soulevé par un professeour ou un ingénieur désigné.

 

Tu auras les cours tels que : modélisation numérique en ingénierie (théorie + labo), mécanique du vol (théorie + labo), transmissions de chaleur (théorie + labo), propulsion aéronautique (théorie + labo), aérodynamisme (théorie + labo), normes, réglementations et certification, introduction aux systèmes spatiaux (théorie + labo), processus de conception en aérospatiale (théorie + labo), éthique appliquée à l'ingénierie et projet technique de conception en aérospatial

 

À Concorida, si tu as choisis le régime coopératif, tu mettras en application les compétences acquises par la réalisation de travaux techniques liés au génie aérospatial sous la supervision d'un(e) ingénieur(e) expérimenté(e) dans le cadre d'un second stage coopératif rémunéré obligatoire en milieu industriel d'une durée de 4 mois au cours du trimestre d'hiver.

 

À Concordia, tu participeras activement à la réalisation de travaux de conception et de planification dans le cadre d’un projet étroitement lié au génie aérospatial en étroite collaboration avec un(e) ingénieur(e) dans le cadre d'un quatrième stage coopératif obligatgoire en milieu industriel au cours d'ne durée de 4 mois du trimestre d'été.

 

À Polytechnique, tu mettras en application les compétences acquises par la réalisation de travaux techniques liés au génie aérospatial sous la supervision d'un(e) ingénieur(e) expérimenté(e) dans le cadre d'un second stage industriel rémunéré facultatif en milieu industriel d'nne durée de 4 mois au cours du trimestre d'été.

 

Au cours de la quatrième année; tu seras initié(e) aux concepts de base associés à la performance des avionstu seras initié(e) au concept de développement durable et aux approches pour y parvenir dans un contexte d'ingénierie; tu seras initié(e) aux principes de planification et de gestion de projets en ingénierie; tu seras sensibilisé(e) aux risques politiques et légaux reliés aux opérations aérospatiales; au concept de développement durable et aux approches pour y parvenir; tu approndiras tes connaissances dans l'un des domaines de pratique du génie aérospatial et tu réaliseras un projet industriel d'intégration de systèmes aéronautiques réalisé en équipe consistant à effectuer la conception d'un produit réel lié au secteur de l'aéronautique en collaboration avec une entreprise partenaire et faisant appel à des méthodes d'ingénierie simultanée

 

Tu auras les cours tels que : analyse et performance des avions (théorie + labo), développeent durable et gestion de l'environnement, politique et droit aérospatial, principes de gestion de projets en ingénierie, économique de l'ingénieur, impacts de la technologie sur la société, 4 cours optionnels parmi une liste proposée ou 4 cours selon la concentration ou l'orientation choisi, ainsi que le projet de fin d'études en génie aérospatial.

 

Voici les particularités de chacune des universités :

 

à Concordia :

 

De nombreux géants de l'aérospatiale sont partenaires de l'Université Concordia dont Bombardier Aéronautique, Airbus, Bell Helicopters Textron, Pratt & Whitney, GE Aviation, Rolls Royce Aerospace, Safran Aéro, CAE Électronique,  Esterline CMC Électronique, etc.

 

Tu devras choisir l'une des 3 options suivantes :

 

Aérodynamisme et propulsion;

 

s'intéresse à l'optimisation de la puissance et la performance des systèmes de propulsion tout en réduisant sa consommation énergétique.

 

tu auras les cours suivants : performance des véhicules aérospatiaux, turbomachines et propulseurs, conception de turbines et 1 cours optionnel parmi une liste proposée.

 

Structures aérospatiales et matériaux;

 

s'intéresse à l'analyse des structures, à la détermination des charges et qu'au choix, à la caractérisation et à l'utilisation de différents types de matériaux.

 

tu devras suivre les cours suivants : principes d'aéroélasticité (théorie + labo), analyse du stress des structures aéronautiques (théorie + labo), analyse des éléments finis (théorie + labo) et conception de structures aéronautiques (théorie + labo).

 

Systèmes avioniques et aérospatiaux;

 

s'intéresse à la conception et au développement de systèmes avioniques et électriques d'aéronefs.

 

tu auras les cours suivants : systèmes avioniques et de navigation (théorie + labo), génie logiciel pour l'aéronautique : processus et pratiques (théorie + labo), intégration des systèmes avioniques (théorie + labo) et conception de systèmes avioniques (théorie + labo).

 

à l'ÉTS :

 

NOUVEAU PROGRAMME !

 

offre des programmes principalement destinés aux titulaires d'un D.E.C. technique seulement.

 

Il est offert à l'aérocampus de l'École nationale d'aérotechnique ÉNA à Longueuil en Montérégie (tout près de l'Aéroport de St-Hubert) qui te permettra d'avoir accès à tous les aéronefs, équipements et installations du domaine aéronautique de l'École, en plus de côtoyer des étudiants(es) du collégial en aéronautique, comme dans l'industrie.

 

Elle offre tous ses programmes selon la formule du régime coopératif à temps complet seulement (comprenant 3 à 4 stages rémunérés et crédits d'une durée de 3 à 4 mois chacun en industrie en alternance avec les trimestres d'études),

 

Un seul cheminement est offert permettant d'explorer tous les domaines d'application de la discipline.

 

Son programme comporte de nombreux travaux pratiques en laboratoires et en ateliers, ainsi que plusieurs projets de conception à réaliser et ce, tout au long de la formation.

 

à Polytechnique :

 

Programme unique en français en Amérique du Nord

 

De nombreux géants de l'aérospatiale sont partenaires de l'Université Concordia dont Bombardier Aéronautique, Airbus, Boeing, Bell Helicopters Textron, Pratt & Whitney, GE Aviation, Rolls Royce Aerospace, Safran Aéro, CAE Électronique,  Esterline CMC Électronique, MDA Space, Agence spatiale canadienne, etc.

 

Comprend la réalisation de 4 projets intégrateurs obligatoires, soit : un projet en équipe de conception de composantes de produits aérospatiaux avec un point de vue de développement durable en première année; un projet en équipe de conception d'un avion téléguidée en y intégrant les principes du développement durable en deuxième année; un projet de conception cycle complet de conception sur des problématiques pratiques à partir d’un cahier des charges fourni par une entreprise partenaire en troisième année et projet en équipe de conception, fabrication et test de composantes et véhicules aérospatiaux pouvant être en lien avec la concentration choisie, en collaboration avec une entreprise partenaire en quatrième année (projet de fin d'études), voir la page suivante.

 

ainsi qu'un stage industriel rémunéré de 4 mois consécutifs à temps complet au sein d'une entreprise aérospatiale réalisé au trimestre d'été de la 2e année.

 

Tu devras choisir l'une des 5 orientations de spécialisation offertes au programme (avec ou sans concentration thématique) :

 

Personnalisée;

 

permet de personnaliser son cheminement avec des cours au choix, soit 12 crédits de cours.

 

La sélection de cours doit être approuvée par la personne responsable du programme.

 

Contraintes et matériaux;

 

s'intéresse aux méthodes de caractérisation et à l’utilisation de différentes familles de matériaux, ainsi que sur l’analyse des structures, la détermination des charges et le choix des matériaux pour le design des aéronefs, notamment.

 

Elle comporte les cours obligatoires suivants : choix des matériaux et de procédés (théorie + labo), éléments de conception et d'ingénierie assistées par ordinateur CAO/IAO (théorie + labo), structures aéronautiques (théorie + labo), endommagement par fatigue-fluage (théorie + labo), ainsi que le projet intégrateur 4 : le design d'aéronef (réalisation et conception préliminaire d'un aéronef dans une structure simulant un environnement industriel et en lien avec une problématique de contrainte, échelonné sur 2 sessions);

 

Design et fabrication;

 

s'intéresse à la conception de machines et de véhicules de toutes sortes et à la fabrication assistée par ordinateur (notamment en ce qui concerne l’assemblage et le contrôle dimensionnel).

 

Elle comporte les cours obligatoires suivants : éléments de conception et d'ingénierie assistées par ordinateur CAO/IAO (théorie + labo), la FAO et les machines-outils (théorie + labo), contrôle dimensionnel (théorie), fabrication mécanique avancée (théorie + labo), ainsi que le projet intégrateur 4 : mécanique aéronautique (réalisation projet d'élaboration d'un procédé de fabrication assistée par ordinateur pour l'assemblage d'une composante d'un aéronef, échelonné sur 2 sessions)

 

Produits et systèmes aérospatiaux;

 

se concentre sur la planification du développement de produits aéronautiques résoudre des problèmes liés à l’intégration de la partie mécanique d’un aéronef (propulsion, structure…) avec la partie avionique (commandes, navigation…).

 

Elle comporte les cours obligatoires suivants: introduction à l'automatisation (théorie + labo), systèmes avioniques (théorie + labo), commandes de vol et moteurs (théorie + labo), intégration des systèmes avioniques (théorie + études de cas).

 

Génie par simulation GPS;

 

se concentre sur les principes, les méthodes et les outils de modélisation et de simulation dans le cadre du « cycle de modélisation » et aux méthodes et savoir-faire numériques.

 

Elle comporte les cours obligatoires suivants : éléments de conception et d'ingénierie assistées par ordinateur CAO/IAO (théorie + labo), développement de produits en environnement virtuel (théorie + labo de CAO), gestion de projets en génie aérospatial (théorie), procédés de fabrication aéronautique (théorie), ainsi que le projet intégrateur 4 : environnement virtuel (conception d'un produit réel lié au secteur de l'aéronautique et faisant appel à des méthodes d'ingénierie simultanée avec un partenariat industriel);

 

Mécatronique et systèmes;

 

se concentration sur l'application de la mécatronique pour la robotique ou l’industrie du transport, comme l’aéronautique et l’aérospatiale.

 

Elle comporte les cours obligatoires suivants : introduction aux systèmes spatiaux (théorie + labo), matériaux composites (théorie), éléments de conception et d'ingénierie assistées par ordinateur CAO/IAO (théorie + labo), analyse numérique des systèmes spatiaux (théorie + labo), ainsi que le projet intégrateur 4 : technologies spatiales (conception et réalisation préliminaire d'une composante d'un satellite ou autre système spatial dans une structure simulant un environnement industriel);

 

Enfin, tu pourras compléter ta formation par le choix de 3 à 4 cours optionnels parmi les 10 cours des orientations autres que celle choisie ou parmi certains cours des autres programmes de l'École, ainsi que par 0 à 1 cours au choix en dehors du champ de spécialisation parmi l'ensemble des cours de 1er cycle offerts par l'Université de Montréal accessibles comme cours au choix

 

Développement durable :

 

traite des grands enjeux transversaux que soulève le développement durable, en particulier la responsabilité sociale de l’ingénieur et le travail dans un contexte multidisciplinaire.

 

tu devras suivre les cours suivants : développement durable pour ingénieurs, études de cas en développement durable pour ingénieurs, ainsi que 2 cours optionnels parmi :

 

efficacité des sources d'énergie, combustion et pollution atmosphérique, énergie et environnement, droit de l'environnement, analyse économique des enjeux environnementaux (offert par les HEC), territoires et développement durable (offert par l'UdeM) ou santé et environnement (offert par l'UdeM).

 

Innovation et entrepreneuriat technologique :

 

a pour but de faire découvrir les processus de conception des nouveaux produits en utilisant une démarche de création et d'innovation, mais également préparer et soutenir au démarrage d'une entreprise technologique.

 

tu devras suivre les cours suivants : entrepreneuriat technologique, gestion de la recherche & développement et l'innovation ou innovation technologique et industrielle, ainsi que 2 cours optionnels parmi :

 

créativité en sciences et génie, commercialisation de nouveaux produits et services, montage d'une entreprise technologique ou financement de l'entreprise technologique.

 

Outils de gestion :

 

offerte en collaboration avec HEC Montréal, elle permet d'approfondir les compétences en gestion afin d'occuper des fonctions de direction ou autres fonctions de gestion pour ingénieurs.

 

tu devras suivre les cours suivants : organisation industrielle, ingénierie des systèmes d'information, théorie de la décision et 1 cours optionnel parmi (droit du travail pour ingénieur, gestion des changements technologiques et organisationnels ou gestion d'équipes dans un environnement technique).

 

Mathématiques de l'ingénieur :

 

tu devras suivre les cours obligatoires suivants : mathématiques de l'apprentissage profond, mathématiques de génie : un récit appliqué, algèbre linéaire numérique appliquée,

 

ainsi qu'un cours optionnel parmi une liste proposée :

 

analyse mathématique avancée pour ingénieurs, mathématiques des éléments finis, planification et analyse statistique d'expériences, méthodes d'optimisation et de contrôle optimal, fondements de la recherche opérationnelle, ordonnancement de la production.

 

technologies de l'information pour ingénieurs :

 

tu devras choisir 4 cours des 5 cours suivants :

 

réseaux informatiques, cybersécurité, fouille de données, intelligence artificielle : méthodes et algorithmes, processus de génie logiciel.

 

Projets internationaux :

s'intéresse au contexte, enjeux et défis associés aux projets internationaux en ingénierie.

tu devras choisir 3 cours parmi les suivants : technologie et concurrence internationale, mondialisation et firmes internationales, gestion de projets internationaux ou ingénierie en coopération et développement international.

ainsi qu'un des 2 cours suivants  : mission industrielle Poly-Monde ou cours offert dans une université partenaire.

Si tu as choisi le cheminement baccalauréat-maîtrise, les 12 crédits de l'orientation de spécialité seront remplacés par les crédits de cours du programme de maîtrise en génie aérospatial.

 

Par la suite, tu pourras compléter les crédits de cours nécessaires de la maîtrise, s'il y a lieu, ainsi que réaliser le projet d'envergure ou réaliser le projet de recherche (mémoire) dans le domaine de ton choix.

 

Si tu choisis le profil international; tu devras remplacer 4 cours optionnels parmi 12 crédits de cours suivis dans une université étrangère partenaire de Polytechnique, soit : l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace ISAE à Toulouse en France.

 

Tu pourras également réaliser le stage obligatoire rémunéré de 3 à 6 mois au sein d'une entreprise aérospatiale en France (par exemple : Airbus, Eurocopter, Astrium, Cassidian ou Dasault Aviation).

 

AUTRES PROGRAMMES D’ÉTUDES :

 

Voici également d'autres programmes de baccalauréat offrant une concentration en aéronautique ou en technologies spatiales :

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie mécanique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur mécanicien.

 

Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à concevoir et fabriquer les composantes mécaniques, électromécaniques, hydrauliques ou pneumatiques des aéronefs (ex : systèmes de carburant et réservoirs de fluides, inverseurs de poussés sur les réacteurs, mécanismes du train d'atterrissage, les freins, commandes des ailerons, commandes des spoilers, commandes de direction, commandes des portes, systèmes de circulation de l'air, convertisseurs électromécaniques, gouvernes de direction, ailerons, composantes du train d'atterrissage et sans oublier, les nombreuses pièces d'aéronefs.

 

Consulte notamment :

la concentration en technologies spatiales offerte à l’École Polytechnique,

la concentration en conception aéronautique offerte à l'École de technologie supérieure ÉTS,

l'option de spécialisation en aéronautique offerte à l'Université McGill,

l'option de spécialisation en aérospatiale et propulsion offerte à l'Université Concordia

la concentration en aéronautique et aérospatiale offerte à l'Université Laval,

le cheminement en aéronautique offerte à l'Université de Sherbrooke.

Le Baccalauréat spécialisé en génie électrique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur électricien. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à concevoir et développer des composantes électroniques des systèmes avioniques d'aéronefs (ex : pilote automatique, systèmes de contrôle de l'altitude, instruments de navigation, systèmes de gestion des groupes motopropulseurs, systèmes de contrôle du carburant, systèmes de communication radio, etc.), les composantes électriques d'aéronefs (ex : systèmes de génération de puissance, accumulateurs, systèmes de distribution de l'énergie électrique, alternateurs, systèmes électriques d'antigivrage et dégivrage, systèmes d'éclairage, systèmes de chauffage, etc.) ou les composantes électriques ou électroniques de systèmes spatiaux embarqués (pour satellites, sondes spatiales, etc.).

 

Consulte notamment :

la concentration systèmes embarqués en aérospatiale offerte à Polytechnique,

la concentration systèmes embarqués pour l'aérospatiale offerte à l'École de technologie supérieure ÉTS.

Le Baccalauréat spécialisé en génie de la production automatisée (B.ing) concentration en technologies de la santé offert à l'ÉTS a une durée totale de 3½ ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à la conception et au développement de procédés de fabrication automatisée ou de systèmes d'assurance qualité en production de pièces et composantes d'aéronefs pour l'industrie aérospatiale.

 

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur en production automatisée (concentration en systèmes aéronautiques)

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie informatique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé par la conception et le développement des composantes informatiques des systèmes embarqués d'aéronefs (ex : pilote automatique, systèmes de contrôle de l'altitude, instruments de navigation, systèmes de contrôle du carburant, etc.) ou de systèmes spatiaux embarqués (pour satellites, sondes spatiales, etc.).

 

Consulte notamment la concentration systèmes embarqués en aérospatiale offerte à Polytechnique.

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur informaticien.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie logiciel (B.ing) a une durée totale de 3½ ou 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé par la conception et le développement de logiciels pour systèmes embarqués d'aéronefs (avionique)

 

Consulte notamment :

la concentration en logiciels embarqués offerte à l'École de technologie supérieure ÉTS

ou la concentration logiciels embarqués, avioniques et temps réel offerte à l'Université Concordia.

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur en logiciel.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie physique (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à la conception et la fabrication d'instruments optiques ou photoniques pour l'aérospatiale (ex : gyroscopes photoniques d'avions, caméras infrarouges pour satellites, composantes de fibres optiques pour satellites, caméras infrarouges pour systèmes de contrôle de la circulation aérienne, etc.).

 

Consulte notamment la concentration en aéronautique et aérospatiale offerte à l'Université Laval.

 

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur physicien.

 

Le Baccalauréat spécialisé en génie des matériaux et de la métallurgie (B.ing) a une durée totale de 4 ans offert à temps complet. Choisis ce programme si tu es davantage intéressé(e) à la conception et la fabrication de matériaux pour les composantes des structures d'aéronefs (souvent composées de matériaux combinés comme les métaux, les polymères et les composites).

 

Il n'existe pas de concentration spécifique à l'aérospatiale, mais consulte la concentration en matériaux et innovations technologiques offerte à l'Université Laval.

 

Pour plus de détails, consulte la page de la profession d’ingénieur métallurgiste.

 

ÉTUDES SUPÉRIEURES :

 

Après avoir terminé tes études de baccalauréat, tu pourras poursuivre tes études au niveau de la maîtrise en génie aérospatial (bien que non obligatoire, mais fortement recommandée). Ce programme te permettra d'occuper principalement des postes en recherche et développement au sein des grands employeurs aérospatiaux.

 

Elle est d’une durée totale de 2 ans offert à temps complet seulement, mène à l’obtention du grade de maître en ingénierie M.ing et est offert conjointement par les universités Mcgill, Concordia, Polytechnique, Laval, Sherbrooke et l'École de technologie supérieure.

 

L’objectif principal de ce programme interuniversitaire est de former des ingénieurs(es) spécialisés(es) pour les industries aéronautiques et spatiales. Au Québec, on retrouve des ingénieurs aérospatiaux au sein des grandes entreprises aérospatiales comme Bombardier, Bell Helicopters, Pratt & Whitney ou Rolls-Royce, mais également au sein de nombreux manufacturiers de composantes pour aéronefs, systèmes spatiaux ou systèmes communications aérospatiales. Donc, ce programme te permettra d'obtenir les compétences nécessaires afin de développer et concevoir des systèmes, composantes ou instruments que l'on retrouve dans l'assemblage d'un aéronef ou d'un système spatial.

 
La voie "professionnelle" est sans mémoire et propose 4 cheminements possibles dans la voie à ce programme, soit :

 

avec stage industriel (aussi appelé classique avec stage industriel rémunéré),

sans stage (aussi appelé classique sans stage avec projet),

 avec projet d'envergure (aussi appelé environnement virtuel)

ou baccalauréat-maîtrise intégré.

 

Elle comporte des cours obligatoires : caractéristiques de l’avion, dynamique de vol et autopilotage, fiabilité et maintenabilité des systèmes mécaniques, matériaux métalliques propres à l’aérospatial, intégration de la conception et de la fabrication et introduction aux systèmes spatiaux. Il comporte aussi des cours optionnels reliés à la spécialisation choisie (aéronautique et propulsion, avionique et commande, structure et matériaux, technologies spatiales, etc).

 

Elle comporte également un projet d’envergure en génie aérospatial ET/OU un stage au sein d’industrie aérospatiale canadienne.

 

Certaines universités te proposent un choix de spécialisations pour le profil classique :

 

à l’ÉTS : tu auras le choix entre la concentration Fabrication et production aéronautiques ou Avionique et commande.

 

À Polytechnique, tu auras le choix entre la concentration aéronautique et propulsion, avionique et commande, structures et matériaux ou technologies spatiales;

 

À Sherbrooke, tu auras le choix entre le chemineemnt en développement de produits et intégration ou sans concentration;

 

À Concordia, on te propose les concentrations suivantes : aéronautique et propulsion, avionique et contrôle, structures et matériaux ou ingénierie spatiale;

 

À Laval, et Mcgill, aucune concentration n'est offerte.

 

Le profil avec stage industriel comporte un cours obligatoire en étude de cas en génie aérospatial, un stage industriel de 4 mois au sein d'une industrie aérospatiale, un choix de cours optionnels reliés à la spécialisation choisie (sauf à Laval et Mcgill) parmi une liste proposée, ainsi que des cours optionnels choisis parmi les autres spécialisations.

 

Le profil sans stage comporte les mêmes cours que le profil précédent moins le stage.

 

Pour le profil en environnement virtuel, les candidats(es) sont sélectionnées par les entreprises aérospatiales participantes, comporte le cours en développement de produits en environnement virtuel, gestion de projets en génie aéronautique, plusieurs cours optionnels parmi des listes proposées en génie aérospatial en lien avec projet, ainsi que la réalisation d'un projet d'envergure en génie aéropatial étalé sur 9 mois à temps partiel avec la collaboration des ingénieurs de l'une des industries aérospatiales participantes (Bell Helicopters Textron, Bombardier Aerospace, CAE Électronique, CMC Électronique, EMS Technologies, Honeywell Aerospace, Pratt & Whitney, Rolls-Royce Aerospace, Thales Avionics ou l'Agence spatiale canadienne.

 

Le Cheminement baccalauréat-maîtrise intégré offert à Sherbrooke seulement, permet de regroupement la formation du baccalauréat en génie mécanique avec la maîtrise en génie aérospatial en 5 ans. On y offre le régime régulier ou le régime en alternance travail-études. À  l'étape de la maîtrise, tu auras le choix entre l'un des 3 profils précédents.

 

Elle offerte en collaboration avec plusieurs grands partenaires industriels, soit :

 

Bombardier Aéronautique, Bell Helicopters Textron, Pratt & Whitney Canada, Rolls-Royce Aerospace Canada, Honeywell Aerospatiale Canada, Groupe Thales Canada, CAE Électronique, CMC Esterline Technologies, ainsi que l'Agence spatiale canadienne.

 

Enfin, La voie "recherche" est offerte de façon indépendante par certaines universités (contrairement à la voie professionnelle offerte sous entente interuniversitaire). Elle est a comme principal objectif d'initier à la recherche et préparer aux études de doctorat en réalisant des travaux de recherche permettant le développement de nouveaux procédés de fabrication ou d'assemblage, de nouvelles méthodes de conception, de nouveaux matériaux pour l'aéronautique ou l'amélioration des connaissances scientifiques comme la propulsion ou l'aérodynamisme.

 

Elle comporte des cours obligatoires tels que : planification d'un projet de recherche en ingénierie et séminaire de recherche, ainsi que quelques cours optionnels en lien avec le domaine de recherche choisi parmi une liste proposée. Par contre, la plus grande partie du programme est consacrée à la réalisation d'un projet de recherche appelé "mémoire" dans l'un des principaux champs de recherche du génie aérospatial tels que :  

 

Aérodynamique et propulsion (aérodynamisme des ailes, aérodynisme instationnaire et décrochage, interactions fluides-structure, dynamique des gaz, analyse des performances des turbines de moteurs d'aéronefs, turbulence, modélisation numérique des écoulements des fluides, etc.); structures et matériaux (comportement mécanique des matériaux composites, aéroélasticité des plaques et des coques, fatigue et rupture des structures, vibrations et stabilité, développement de nouveaux matériaux composites, etc.); conception mécanique et aéronautique (développement de nouvelles méthodes de conception assistée par ordinateur, modélisation numérique du processus de conception, etc.); productique (conception et mise au point de nouvelles techniques d'usinage de pièces aéronautiques, développement et optimisation des procédés d'assemblage aéronautique, modélisation numérique des procédés d'assemblage, etc.);  avionique et commande (informatique embarquée de l'avionique, traitement numérique des signaux, conception et analyse de systèmes temps réel, microélectronique aérospatiale, processeurs embarqués configurables, pilote automatique, etc.); technologies spatiales (conception d'antennes pour l'aérospatiale, conception de circuits pour l'industrie spatiale, récepteurs à haute sensibilité, conception et fabrication de nanomatériaux pour applications spatiales, etc.).

 

Endroits de formation :

École Polytechnique

École de technologie supérieure ÉTS.

 

Il y a également d'autres programmes de maîtrise,

Pour plus de détails, consulte la page sur les études supérieures en génie où les programmes sont décrits.

Voici quelques exemples :

Consulte également la page suivante où des organismes de recherches en biologie ont été répertoriés.

Ainsi que d'autres programmes de 2e cycle, soit :

  • Certificat gradué en génie mécanique à Concordia

  • D.E.S. en gestion et leadership scientifiques à Ottawa

  • D.E.S. en gestion de projets technologiques à Ottawa

  • D.E.S. en science des systèmes à Ottawa

  • D.E.S.S. en ergonomie et innovation à Laval

  • D.E.S.S. en génie de la production automatisée : intégration et automatisation des systèmes à l'ÉTS

  • D.E.S.S. en génie de la production automatisée : systèmes intelligents à l'ÉTS

  • D.E.S.S. en génie des risques de santé et sécurité au travail à l'ÉTS

  • D.E.S.S. en génie électrique à Polytechnique et ÉTS

  • D.E.S.S. en génie mécanique à Polytechnique et ÉTS

  • D.E.S.S. en génie métallurgique à Polytechnique

  • D.E.S.S. en génie physique à Polytechnique

  • D.E.S.S. en gestion de l'innovation à l'ÉTS

  • D.E.S.S. en gestion de projets d'ingénierie à l'ÉTS

  • D.E.S.S. en mathématiques de l'ingénieur à Polytechnique

  • D.E.S.S. en prévention et gestion de la santé et sécurité au travail à Laval

  • Diplôme en gestion de l'ingénierie à Sherbrooke

  • Microprogramme en développement de produits à Polytechnique

  • Microprogramme en entrepreneuriat et gestion de PME à Laval

  • Microprogramme en ergonomie des interactions humains-ordinateur à Polytechnique

  • Microprogramme en génie et entrepreneuriat technologique à Polytechnique

  • Microprogramme en gestion de l'ingénierie à Sherbrooke

  • Microprogramme en gestion de la santé et sécurité au travail à Laval

  • Microprogramme en gestion de projets d'ingénierie à Sherbrooke

  • Microprogramme en ingénierie de la résilience et gestion des risques technologiques à Polytechnique

  • Microprogramme en ingénierie de la sécurité au travail à Polytechnique

  • Microprogramme en ingénierie des systèmes logistiques à Polytechnique

  • Microprogramme en innovation technologique et commercialisation à Polytechnique

  • Microprogramme en matériaux composites et polymères à Polytechnique

  • Microprogramme en mécatronique à Polytechnique

  • Microprogramme en micro-ondes à Polytechnique

  • Programme court en communication scientifique à l'UQAM

  • Programme court en génie de la production automatisée : intégration et automatisation des systèmes à l'ÉTS

  • Programme court en génie de la production automatisée : systèmes intelligents à l'ÉTS

  • Programme court en génie des risques de santé et sécurité au travail à l'ÉTS

  • Programme court en génie électrique à l'ÉTS

  • Programme court en génie mécanique à l'ÉTS

  • Programme court  en gestion de l'innovation à l'ÉTS

  • Programme court en gestion de projets d'ingénierie à l'ÉTS

EXIGENCES D’ADMISSION :

 

Pour le Baccalauréat en génie aérospatial :

  • Soit détenir le Baccalauréat international en sciences de la nature

    et avoir réussi un cours équivalent à PHY 203-NYB ou l'objectif 00US ou suivre un cours équivalent au premier trimestre d'inscription à l'université
    (Polytechnique)

    aucun cours supplémentaire exigé
    (Concordia)

     

  • Soit détenir un D.E.C. intégré en sciences, lettres et arts

    et avoir réussi un cours équivalent à PHY 203-NYB ou l'objectif 00US ou suivre un cours équivalent au premier trimestre d'inscription à l'université
    (Polytechnique)

    aucun cours supplémentaire exigé
    (Concordia)

     

  • Soit détenir un D.E.C. en sciences de la nature ou en sciences pures et appliquées
     

  • Soit détenir un DEC général en sciences informatiques et mathématiques

  • Soit détenir un D.E.C. en techniques physiques dans l'un des programmes suivants :

    technologie de la construction aéronautique
    technologie de l'avionique
    technologie du génie mécanique
    technologie du génie métallurgique
    technologie de la maintenance industrielle
    technologie de l'électronique industrielle
    technologie de l'automatisation et robotique
    technologie du génie des matériaux composites

    technologie du génie physique
    techniques de maintenance d'aéronefs

    1 cours de calcul intégral, 1 cours d'algèbre vectorielle, 1 cours de chimie générale, un cours de dynamique et 1 cours d'électricité et magnétisme;
    OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants + cote R 26,0 ou + :
    (Polytechnique)

    aucun cours préalable spécifique (ÉTS)

  • Soit détenir tout autre D.E.C. et avoir complété les cours ou avoir atteint les objectifs suivants ou leurs équivalents :

    00UN, 00UQ et 00UP (maths 103, 105 et 203);
    00UR, 00US et 00UT (physique 101, 201 et 301);
    00UL et 00UM (chimie 101 et 201)
    OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants
    (Polytechnique et Concordia)

     

  • Soit être âgé d’au moins 21 ans, avoir quitté les études à temps plein depuis au moins 2 ans, posséder des connaissances équivalentes et avoir une expérience pertinente sur le marché du travail

    1 cours de calcul différentiel, 1 cours de calcul intégral, un cours d'algèbre vectorielle;
    1 cours de dynamique (ou physique mécanique), 1 cours d'électricité et magnétisme;
    1 cours de chimie générale;
    OU suivre une formation préparatoire à l'université

  • Pour les candidats de l’Ontario : détenir le Certificat d’études secondaires de l’Ontario et avoir réussi des cours universitaires équivalents à ceux mentionnés ci-dessus. Pour connaître les équivalences de préalables, voir la page suivante
     

  • Pour les candidats du Nouveau-Brunswick : détenir le Diplôme d’études secondaires du Nouveau-Brunswick et avoir réussi des cours universitaires équivalents  ceux mentionnés ci-dessus. Pour connaître les équivalences de préalables, voir la page suivante

 

Pour les autres baccalauréats :

 

Consulte les pages de description des professions suivantes :

 

-         ingénieur électricien

-         ingénieur mécanicien

 

STATISTIQUES D'ADMISSION :

 

Pour le Baccalauréat en génie aérospatial :

 

Ce programme est contingenté

 

À l’automne 2023

 

A Polytechnique

 

Nombre total de demandes 

PLACES DISPONIBLES

TAUX D’ADMISSION

En %

COTE R

Dernier candidat admis

COTE R

en 2022

COTE R

en 2021

COTE R

en 2020

COTE R

en 2019

318

42

13

33,307

33,100

31,994

31,230

31,230

* diminution de 8 places

 

Aucune donnée disponible à Concordia (cote R minimale requise de 31,000)

 

Admissions ouvertes à l'automne seulement

 

Pour les autres baccalauréats :

 

voir la page de la profession choisie

 

ENDROITS DE FORMATION 

 

Qu'est-ce que le régime coopératif ?

  • École de technologie supérieure de Montréal ÉTS
    (Baccalauréat spécialisé en
    génie aérospatial - sans concentration
    avec projet de fin d'études et stages obligatoires);
    destiné aux titulaires d'un D.E.C. technique seulement.

    offert
    en régime coopératif obligatoire à temps complet de jour seulement.
    offert au campus de l'École nationale d'aérotechnique ÉNA à Longueuil.
    NOUVEAU !


    Voir aussi le Baccalauréat spécialisé en génie de la production automatisée (concentration en systèmes aéronautiques avec projet de fin d'études et stages obligatoires);
    offert en régime coopératif obligatoire à temps complet de jour seulement;
    Un programme unique au Canada.


    Voir aussi le Baccalauréat spécialisé en génie mécanique ( concentration en aéronautique avec projet de fin d'études et stages obligatoires);
    offert en régime coopératif obligatoire à temps complet de jour seulement;
    voir aussi le cheminement universitaire en technologie (cheminement préparatoire pour les titulaires d'un DEC préuniversitaire).


    Possibilité d'obtenir une bourse d'admission de 2 500 $ accordée à un(e) étudiant(e) québécois(e) en provenance du collégial (préuniversitaire ou technique) ayant obtenu une cote R de 31,5 ou plus et admis en première année dans un baccalauréat en génie, voir la page suivante;
    Possibilité de bénéficiare d'un programme de tutorat par les pairs via le Centre d'aide CASIM;
    Programme fortement axé sur la pratique : comprenant de
    nombreuses séances en laboratoire, de travaux pratiques et de projets que tout autre programme de premier cycle en génie au Québec;
    Possibilité de participer à différentes activités parascolaires et professionnelles telles que le : conférences et séminaires d'ingénieurs en automatisation, autres ingénieurs et de chercheurs, visites industrielles, activités de sensibilisation et de promotion des technologies auprès des jeunes, le Concours de vulgarisation scientifique, Ingénieurs sans frontière - section ÉTS,  participation au Salon ATX Montréal et au Salon Aeromart Montréal, participation à la mission technologique LETS Go, etc;
    Possibilité de participer à différents projets et clubs étudiants
    dont : DRONOLOAB (équipe de conception d'un aéronef autonome); SONIA (équipe de conception d'un sousmarin autonome); ROCKETS (équipe de conception d'une
    fusée haute performance); CENTECH (centre d'entrepreneuriat et accélérateur d'entreprises); etc;
    Possibilité de participer à diverses compétitions de génie dont : Compétition SAE Aerodesign, Compétition de robotique FIRST; Compétition québécoise d'ingénierie, Jeux de génie - délégation ÉTS; etc;

    Comprend la réalisation d'un projet de fin d'études obligatoire qui consiste en la conception d'éléments, d'un système, d'un procédé et ou de processus qui répondent à des besoins spécifiques (provenant de la proposition d'un étudiant, d'un groupe d'étudiant, d'un professeur, d'un groupe de recherche ou un mandat réel provenant d'une entreprise ou dans le cadre d'un stage);
    Possibilité de
    réaliser un projet de recherche facultatif (sous forme d'un essai, d'un mini-mémoire ou d'un projet d'intervention dans le milieu);

    Possibilité de bénéficier d'un passage intégré à la maîtrise - profil recherche, voir la page suivante;

    Regarde la vidéo promotionnelle du programme;
    Site du Département de génie mécanique;
    Site du Département de génie des sytèmes.

    Accès à des laboratoires d'enseignement à la fine pointe : un laboratoire de physique, un laboratoire d'informatique industrielle, un laboratoire de CFAO, un laboratoire de systèmes asservis, un laboratoire d'automatismes, un laboratoire de mécatronique, un laboratoire de robotique, un laboratoire d'aéronautique, un laboratoire de vison artificielle, une soufflerie et une usine-pilote (entièrement équipée de machines conventionnelles et automatisées, de robots industriels, d'un centre d'usinage CNC, etc.), etc.


    Possibilité d'effectuer un séjour d'études à l'étranger d'1 ou 2 session(s) dans une université partenaire (choix parmi plus de 80 universités dans 20 pays dont certaines parmi les plus prestigieuses au monde telles que : Universidade Federale de Santa Catarina au Brésil, Hanyang University en Corée du Sud, Korea Advanced Institute of Science et Technology en Corée du Sud, Universidad de Sevilla en Espagne, Universitat Politècnica de València en Espagne, École nationale supérieure de mécanique et d'aérotechnique ENSMA en France, Institut national polytechnique INP de Grenoble en France, INSA de Lyon en France, INSA de Toulouse en France, INSA de Strasbourg en France, Polytech Marseille en France, Polytecnico di Milano en Italie, Università degli studi di Padova en Italie, Nanyang Technological University à Singapour ou University College London en UK, etc.); pour plus de détails consulte le Service des relations internationales.

    Offert selon la formule en régime coopératif obligatoire comprenant 3 stages crédités et rémunérés en milieu professionnel d'une durée de 4 mois chacun en alternance aux trimestres d'été, d'automne et d'hiver (au Québec, ailleurs au Canada ou à l'étranger);
    Possibiité de réaliser un un stage industriel rémunéré à l'international (France ou Japon) grâce à u partenariat avec plusieurs entreprises canadiennes et étrangères, voir la page suivante;
    Possibilité de réaliser un stage de recherche crédité dans l'un des nombreux laboratoires de recherches de l'ÉTS.

    Consulte également les détails sur la maîtrise en génie aérospatial (profil professionnel - concentration en développement de produits et intégration de systèmes avec projet OU profil recherche avec concentration en automatisation et contrôle en aérospatiale avec mémoire);  le D.E.S.S. en génie de la production automatisée : systèmes intelligents (avec rapport technique ou avec cours seulement) et le D.E.S.S. en gestion de l'innovation (avec projet technique ou avec projet d'application ou avec projet d'intervention en entreprise ou avec projet de démarrage d'une entreprise technologique ou avec cours seulement).


    Site du LARCASE – Laboratoire de recherche en commande active, avionique et aéroservoélasticité
    ; site du Laboratoire de thermofluide pour le transport.

    réputée dans les domaines de recherches tels que :

    aérodynamique, aéroélacticité, modélisation et simulation d'aéronefs (avions ou hélicoptères), commandes de vol des aéronefs, élaboration d’un modèle pour les systèmes de dégivrage d’aéronef, étude de la stabilité et des performances aérodynamiques d'un avion de type Blended-Wing-Body (BWB) par méthode numérique, etc.

  • Université Concordia
    (
    Baccalauréat spécialisé en génie aérospatial - concentrations offertes : aérospatial et propulsion, matériaux et structures aérospatiales ou avionique et systèmes aérospatiaux avec projet de fin d'études obligatoire et avec staqges rémunérés facultatifs);
    Offert en régime régulier à temps complet de jour,
    OU en régime coopératif à temps complet de jour.


    Possibilité de participer à différentes activités parascolaires et professionnelles telles que : conférences et séminaires d'ingénieurs en aéronautique et en astronautique provenant de partout dans le monde, et de chercheurs, visites industrielles au Canada et aux USA, participation au Salon ATX Montréal et au Salon Aeromart Montréal, etc;
    Possibilité de participer à différents projets étudiants tels que : projets Capstone, éSpace Concordia (équipe qui s'intéresse aux différentes technologies spatiales et qui réalisent des projets d'ingénierie en lien avec l'espace); Compétition SAE Aerodesign (équipe de conception d'un avion téléguidé pour des compétitions); UAV Concordia (équipe de conception d'un véhicule aérien autonome); Gina Cody Entrepreneurship Society, etc;

    regarde la vidéo promotionnelle du programme.


    Possibilité d'effectuer un séjour d'études à l'étranger d'1 ou 2 session(s) dans une université partenaire (telle que : Universidade de São Paulo au Brésil, Institut national des sciences appliquées INSA de Toulouse en France, Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace en France, Università degli studi di Padova en Italie, Università degli studi Roma en Italie, Lunds Universitet en Suède, University of Manchester en UK, University of Leeds en UK, etc), pour plus de détails consulte Concordia International;

    Possibilité de réaliser jusqu'à 3 stages rémunéré
    s facultatifs d'une durée de 4 mois chacun au cours des trimestre
    d'automne, d'hiver et d'été (au Québec, ailleurs au Canada ou à l'international), pour plus de détails, consulte la page sur régime coopératif;

    Voir aussi les détails sur la Maîtrise interuniversitaire en génie aérospatial (avec projet ou avec stage ET projet),
    site du département de génie mécanique, industriel et aérospatial.

    Site de l'Institut de conception et d'innvation aérospatiale Concordia; site du Concordia Centre for composites; site du Laboratoire d'aérodynamique computationnelle.

    réputée dans les domaines de recherches tels que :

    conception de structures composites
    et nanocomposites pour l'industrie aérospatiale,
    conception de nanomatériaux et d'alliages métalliques plus légers et sésistants à la corrosion pour les pièces aérospatiales, étude et développement de technologies robotiques pour les opérations spatiales, fabrication additive dans l'industrie aérospatiale, défaillance prématurée des composants au développement de nouveaux gaz dans les moteurs à turbine, développement de carburants aéronautiques alternatifs, performances aérodynamiques et intégrité des turbines à gaz, synthèse de systèmes de gestion de vol optimaux de pilotes automatiques économes en énergie avec des applications aux jets commerciaux et aux véhicules aériens non habités (UAV), mise en oeuvre de nouveaux outils de calcul pouvant être utilisés pour l'analyse et la conception aérodynamiques, etc.

  • École polytechnique de Montréal
    (
    Baccalauréat spécialisé en génie aérospatial - orientations offertes : contraintes en collaboration avec Bombardier Aéronautique, développement de produits et intégration de systèmes, fabrication, génie par simulation, systèmes d'aéronefs, technologies spatiales offert en collaboration avec MDA Missions spatiales, développement durable, innovation technologique, mathématiques de l'ingénieur, outils de gestion en ingénierie ou projets internationaux avec projets intégrateurs);

    offert en régime régulier à temps complet seulement incluant un stage obligatoire rémunéré de 3 mois au trimestre d'été de la 3e année;
    Voir aussi le D.E.C.-BAC en génie aérospatial offert conjointement avec l'École nationale d'aérotechnique ÉNA.

    L’un des plus importants programmes de génie aérospatial au Canada et de la francophonie;
    Son baccalauréat est classé au 4e rang au Canada (unique en français), au 21e rang en Amérique du Nord, au 4e rang dans la francophonie et dans le top 100 mondial en 2024 et le réputé classement QS Ranking.

    Sa maîtrise est classée au 5e rang au Canada (unique en français), au 26e rang en Amérique du Nord, au 3e rang dans la francophonie et dans le top 100 mondial en 2024 et le réputé classement QS Ranking.

    Possibilité de bénéficier du
    soutien dans certains cours via le Centre de consultation en mécanique et aérospatial;
    Possibilité de bénéficier d'un programme de mentorat
    auprès des étudiants(es) de première année offert par des étudiants(es) de troisième et quatrième année;
    Possibilité de participer à différentes activités parascolaires et professionnelles telles que : conférences et séminaires d'ingénieurs
    en aéronautique et en astronautique provenant de partout dans le monde, et de chercheurs, visites industrielles au Canada et aux USA, participation à la Semaine de mécanique aérospatiale de Polytechnique, participation au Festival de sciences Eurêka!, participation au Salon ATX Montréal et au Salon Aeromart Montréal, participation à divers événements (tels que : Aérosalon à Montréal, Exposition canadien d'aviation à Toronto, Salon international de l'aéronautique et de l'espace à Paris, etc.); etc;
    Possibilité de participer à différents projets étudiants tels que : le Club Avion Cargo, le comité Poly-Air, Compétition SAE Aerodesign, le Programme d'entrepreneuriat technologique;
    Comprend la réalisation de 4 projets intégrateurs obligatoires, soit : un projet en équipe de conception et fabrication de produits aérospatiaux (ex : drone ou avion téléguidé) en première année; une mission à compléter demandant la conception et la fabrication d’un avion téléguidé (ex : essais en vol) en deuxième année; un projet individuel du cycle complet de conception (pouvant être réalisé avec une entreprise partenaire) en troisième année et
    Projet d’envergure : conception, fabrication et test de composantes et de véhicules aérospatiaux pouvant être en lien avec la concentration choisie, en partenariat avec une entreprise partenaire en quatrième année (projet de fin d'études), voir la page suivante;
    Possibilité de participer à des projets réels avec l'industrie en partenariat avec l'Institut d'Innovation et de Conception en Aérospatial de Polytechnique Montréal ICAP;
    Possibilité de bénéficier un passage intégré à la maîtrise permettant commencer une scolarité de 2e cycle pendant tes études de 1er cycle et ainsi, les cours réussis sont crédités dans votre programme de baccalauréat et le seront une seconde fois à la maîtrise, voir la page suivante;

    Regarde la vidéo promotionnelle et le webinaire du programme.
    Site du Département de génie mécanique;
    Site du Département de génie électrique;
    Site du Département de génie informatique et génie logiciel.

    Accès à des laboratoires d'enseignement à la fine pointe : un laboratoire de résistance des matériaux (muni de jauges de déformation, de panneaux de cisaillement, d'appareils de flexion etc, regarde le vidéo suivant); un laboratoire des procédés de soudage (équipe de soudeuses au MIG, de soudeuses au TIG, d'un appareil de nettoyage au jet de sable); un laboratoire des procédés d'usinage conventionnel  (équipé d'une fraiseuse conventionnelle et d'un parc à tours à métaux conventionnels); un laboratoire des procédés d'usinage numérique (équipé d'un centre d'usinage vertical 3 axes avec contrôleur Mitsubishi et d'un tour numérique 2 axes);  un laboratoire d'instrumentation en mécanique (muni de plaques de contrôle électrique, d'appareils de mesure de la déformation, d'appareils de mesure de la corrosion, d'appareils de mesure de la résistance et dureté, de capteurs optiques, etc., regarde le vidéo suivant); le laboratoire d'enseignement des systèmes intégrés en aérospatiale du Québec LESIAQ (équipée d’une authentique plateforme d’essais de l’avion Challenger 300, un banc d'essai de CAE, etc., regarde le vidéo suivant); et un laboratoire d'informatique (dotés d'équipements informatiques performants et de logiciels spécialisés tels que : AutoCAD, Catia, Labview, Matlab, etc.); et un laboratoire d'informatique (dotés d'équipements informatiques performants et de logiciels spécialisés tels que : AutoCAD, Catia, Labview, Matlab, etc.); etc;

    Possibilité d'effectuer un séjour d'études à l'étranger d'1 ou 2 session(s) dans une université partenaire (choix parmi près de 30 universités en Europe, USA, Amérique latine et Asie du Sud-Est dont notamment : France, Allemagne, Espagne, UK, Italie ou Brésil) telles que : Technische Universität München en Alllemagne, Universidade Fédérale de Santa Catarina au Brésil, Seoul National University en Corée du Sud, Universidad Politécnica de Madrid en Espagne, École Polytechnique de Paris en France, Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace en France, Polytecnico di Milano en Italie, Polytecnico di Torino en Italie, Tohoku University au Japon, Nanyang Technological University à Singapour, Linköpings universitet en Suède, etc; pour plus de détails consulte le Bureau des relations internationales.

    Comprend la réalisation d'un stage rémunéré obligatoire d'une durée de 4 mois au cours du trimestre d'été de la deuxième année, voir la page suivante;
    Possibilité de réaliser jusqu'à 3 stages rémunéré facultatifs d'une durée de 4 mois chacun au cours des trimestre d'été OU un stage de 12 mois consécutifs, (après la troisième année), voir la page suivante;
    Possibilité de réaliser un
    stage de recherche crédité
    dans l'un des nombreux laboratoires de recherche
    s de Polytechnique;
    Possibilité de réaliser un stage à l'international voir la page suivante et le vidéo suivant;

    Consulte également les détails sur la Maîtrise en génie aérospatial (profil recherche - concentrations : aéronautique et propulsion, avionique et commande, fabrication aérospatiale, structures et matériaux ou technologies spatiales avec mémoire OU profil professionnel - concentrations : aéronautique et propulsion, avionique et commande, fabrication aérospatiale, structures et matériaux ou technologies spatiales avec projet ou avec stage).

    Site de l'Institut d'innovation et de conception en aérospatiale de Polytechnique; site du Centre de recherche sur l'aluminium REGAL; site du Centre de recherche sur les systèmes polymères et composites à haute performance CREPEC; site du Laboratoire de recherche en fabrication virtuelle; site du Laboratoire de robotique mobile et de systèmes autonomes.

    réputée dans les domaines de recherches tels que :

    ronautique : aérodynamisme des avions, aérodynamisme appliquée aux hélicoptères, simulation d'écoulements aérodynamiques, interactions rotor/stator dans les turbomachines, optimisation d'ailes d'avions, fabrication additive dans l'industrie aérospatiale, microstructure et comportement mécanique des pièces métalliques aéronautiques, analyse des assemblés collés et boulonnés des composantes de structures aéronautiques, défaillance et rupture par la fatigue des matériaux en aérospatiale, aéroplasticité des plaques et coques, réduction de la traînée des avions, givrage des avions, décrochage dynamique, modélisation de la turbulence, vibration et bruit dans les structures aérospatiales, comportement des composites en fatigue et chocs mécaniques, conception et développement de composites et nanocomposites à haute performance pour les structures aérospatiales, études de faisabilité et tests de qualification des matériaux pour les applications aéronautiques, etc;

    avionique : synthèse et vérification des systèmes de commande embarqués et distribués d'aéronefs, systèmes de navigation aéronautique, commandes des systèmes aéronautiques et spatiaux, qualités de vol et qualités de manoeuvrabilité des aéronefs, etc;

    informatique et télécommunications aérospatiales : développement d'outils pour la conception de systèmes embarqués, systèmes informatiques répartis en avionique, réseaux de télécommunication en aérospatiale, sécurité des systèmes de contrôle aérien et cybersécurité en aviation,  la radiolocalisation et ses applications en aéronautique, conception et développement de nouveaux systèmes de contrôle de la circulation aérienne, etc.

    technologies spatiales : développement de technologies robotique pour les opérations spatiales, conception de systèmes de communication par satellite, commandes des systèmes aéronautiques et spatiaux, etc.

Pour les autres baccalauréats :

LIENS RECOMMANDÉS :

 

Tu veux avoir l'avis d'ingénieurs(es) en aérospatial sur leur profession ?, alors consulte les vidéos suivants

  • l'entrevue avec Ariane Mainville; étudiante au baccalauréat en génie aérospatial à l'École Polytechnique de Montréal et réalisée par l'Ordre des ingénieurs du Québec;

  • l'entrevue avec Rayan Kerfai; étudiant au baccalauréat en génie aérospatial à l'Université Concordia et réalisée par le CAMAQ;

  • les entrevues avec Andrea Cartile, Susan Licouet-Hanke, Catharine Marsden, Alan Padilla Martinez, Melody Xinidakis, Christos Alexopoulos et Rebecca Rajs; la première est étudiante à la maîtrise en génie aérospatial et auxiliaire d'enseignement; la seconde est Ph.D. génie aérospatial et professeure titulaire en génie aérospatial, la troisième est PhD. génie aérospatial, professeure titulaire en génie mécanique et titulaire de la Chaire NSERC en génie de la conception aérospatiale, le troisième, la quatrième, le cinquième et la sixième sont étudiants au baccalauréat en génie aérospatial et réalisées par l'Université Concordia (en anglais);

  • les entrevues avec Druv Kansara, Éric Ostiguy, Lily Taing, Vincenzo Procopio, Ann-Julie Bonin et Ossama Sabsaab; le premier est étudiant en génie du bâtiment, le second est étudiant en génie mécanique - spécialisation en aéronautique, la troisième est étudiante en génie civil, le quatrième est étudiant en génie mécanique, la cinquième est étudiante en génie industriel, la sixième est étudiante en génie du bâtiment, le septième est étudiant en génie électrique à l'Université Concordia qui présentent leur projet de fin d'études du baccalauréat appelé "Capstone" lors de la foire 2017 et réalisées par l'Université Concordia (en anglais);

  • les entrevues avec Jacky Tong, Akhila Jani, Claudio Francavilla et Iaroslav Rybakov; le premier est étudiant en génie informatique, la seconde est étudiante en génie mécanique - spécialisation en aéronautique, le troisième est étudiant en génie informatique, le quatrième est étudiant en génie mécanique - spécialisation en aéronautique  à l'Université Concordia qui présentent leur projet de fin d'études du baccalauréat appelé "Capstone" lors de la foire 2015 et réalisées par l'Université Concordia (en anglais);

  • l'entrevue avec Alexandre Volkaert, finissant au baccalauréat en génie mécanique de l'Université Laval et stagiaire chez Capitale Hélicoptères à Québec et réalisée par l'Université Laval;

  • l'entrevue avec Maxime Lapalme, M.ing (génie mécanique); spécialiste technique principal pour le groupe d'innovation chez Bell Helicopter à Mirabel et réalisée par l'École Polytechnique de Montréal;

  • l'entrevue avec Pierre-Luc Camiré, ingénieur d'essai et responsable de l'élaboration des tests sur les trains d'atterrissage en recréant les conditions du réel, réalisée par Aéroportail;

  • l'entrevue avec Nadine Lafleur, ingénieure aéronautique au sein de la compagnie L-3 MAS, réalisée par Aéroportail;

  • l'entrevue avec Rose-Ève Lamoureux; ingénieure-concepteur PCE mécanique chez Pratt & Whitney Canada à Longueuil et réalisée par Pratt & Whitney Canada;

  • l'entrevue avec Isabelle Tremblay, ingénieure de systèmes pour l'Agence spatiale canadienne et réalisée par l'Ordre des ingénieurs du Québec;

  • l'entrevue avec Élyse Ferry; étudiante à la maîtrise en génie aérospatial à l'Université de Sherbrooke (au moment de l'entrevue) et maintenant, ingénieure de fabrication du Global 7500 chez Airbus à La Rochelle en France et réalisée par l'Université de Sherbrooke;

  • l'entrevue avec Joël Larose; ingénieur de projet, recherche & technologie chez Pratt & Whitney Canada et réalisée par Pratt & Whitney Canada;

  • l'entrevue avec Feng Yang Chen; B.ing (génie aérospatial, Poly Montréal) et M.Sc. (génie mécanique, Mcgill), ingénieur système spatiaux pour l'Agence spatiale canadienne et réalisée par l'École Polytechnique de Montréal;

  • l'entrevue avec Marie-Josée Potvin; M.Sc.Eng (génie aéropatial) et Ph.D. (génie mécanique), ingénieure principale des systèmes et gestionnaire de programme de développement pour l'Agence spatiale canadienne à Longueuil

  • l'entrevue avec capitaine Alexandre Gagné; officier du génie aérospatial au sein du 425e Escadron d'appui tactique (CF-18 Hornet) de la 3e Escadre Bagotville de l'Aviaiton royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes; officier du génie aérospatial au sein du au 450e Escadron tactique d'hélicoptères à la base militaire de Petawawa en Ontario et réalisée par les Forces canadiennes;

  • l'entrevue avec capitaine François Parenteau; officier du génie aérospatial au Centre d'essais techniques aérospatiales CETA de la Défense nationale à la base militaire de Cold Lake en Alberta et réalisée par les Forces canadiennes;

  • l'entrevue (en anglais) avec lieutenant Keisha Chin-Yet; officier du génie aérospatial au sein du 450e Escadron tactique d'hélicoptères à la base militaire de Petawawa en Ontario et réalisée par les Forces canadiennes;

  • les entrevues avec major Chris Labbé et caporal-chef Martin Parent;  le premier est officier du génie aérospatial au 424e Escadron de transport et sauvetage (CC-130 Hercules et CH-146 Griffon) de la 8e Escadre Trenton en Ontario le second est technicien en systèmes aéronautiques sur le CH-146 Griffon au 439e Escadron de soutien au combat de la 3e Escadre Bagotville au Québec de l'Aviatrion royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;

  • l'entrevue  (en anglais, sous-titré en français) avec major Melissa Reyes; officier du génie des communications et de l'électronique (maintenant appelé "officier du génie électronique et des communications") au Centre des opérations spatiales canadiennes (CANSpOC) à Longueuil (St-Hubert) au Québec et réalisée par les Forces canadiennes;

  • les entrevues avec Vince Horne et lieutenant-colonel Martin Leblanc; le premier est ingénieur en aérospatial, chef section - Défaille et enquête sur les accidents et le second est ingénieur en aérospatial, enquêteur en chef et Directeur de la sécurité des vols au Centre d’essais techniques de la qualité (CETQ) de l'Aviation royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;

  • l'entrevue (en anglais, sous-titré en français) avec Catherine Clark; B.ing et M.Sc.A. (génie aérospatial), ingénieure en aérosptial et agente de recherche au Centre de recherche en aérospatiale - Laboratoire d'aérodynamique à Montréal du Conseil national de recherches du Canada CNRC et réalisée par le CNRC;

  • l'entrevue avec Ruxandra Botez, M.Sc.A. génie aérospatial et Ph.D. génie mécanique, professeure titulaire de génie de la production automatisée, responsable du Laboratoire de recherche en en commande active, avionique et aéroservoélasticité et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de modélisation et simulation des aéronefs et réalisée par l'ÉTS;

  • l'entrevue avec Roberto Paoli; M.Sc. & Ph.D. (génie aérospatial); professeur agrégé en génie aérospatial à l'École Polytechnique de Montréal et réalisée par Polytechnique Montréal;

  • l'entrevue avec Giovanni Beltrame; Ph.D. (génie informatique), professeur titulaire en génie informatique à l'École Polytechnique de Montréal nous explique ses recherches en conception de systèmes embarqués pour les applications spatiales (tels que des drones) et réalisée par l'École Polytechnique de Montréal;

  • l'entrevue avec Jean-François Boland, PhD. génie lectrique, ingénieur électricien, professeur de génie électrique, chercheur et directeur du Laboratoire de systèmes embarqués, navigation et avionique de l'ÉTS et réalisée par l'École de technologie supérieure;

  • l'entrevue avec Nadia Bhuiyan, Ph.D. génie mécanique ingénieure-mécanicienne, professeure de génie mécanique, chercheure et directrice associée de l'Institut de conception et d'innovation aérospatiales de l'Université Concordia et réalisée par l'Université Concordia (en anglais);

  • l'entrevue avec Muthukumaran Packirisamy, Ph.D. génie mécanique, professeur de génie mécanique à l'Université Concordia, titulaire de la Chaire de recherche en microsystèmes bio-optiques de l'Université Concordia, directeur du optical microsystems Lab de Concordia, chercheur au Concordia Centre for Advanced Vehicules Engineering et chercheur au Concordia Institute of Aerospace Design & Innovation et réalisée par l'Université Concordia (en anglais);

  • l'entrevue avec Suong Van Hoa, Ph.D. génie mécanique, professeur de génie mécanique à l'Université Concordia, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en fabrication automatisée de composites et chercheur au Concordia Centre for composites et réalisée par l'Univrsité Concordia (en anglais);

  • l'entrevue avec Luis Rodrigues, Ph.D. génie électrique, professeur de génie électrique, directeur et chercheur du Laboratoire de recherche en avionique, contrôle et systèmes embarqués de Concordia et réalisée par l'Université Concordia (en anglais);

  • une présentation des projets réalisés par des ingénieurs de MDA Corporation pour la à la construction et aux essais des trois satellites de la mission de la Constellation RADARSAT (MCR) conjointement avec l'Agence spatiale canadienne et réalisée par l'Agence spatiale canadienne.

Sur l'industrie et les carrières :

Projets d’étudiants en aérospatiale :

  • AéroETS : club étudiant de l'École de technologie supérieure qui effectue la promotion des carrières en aérospatiale auprès des jeunes et fait mieux connaitre ce domaine au public

  • Avion-Cargo A.C.E. de l'ÉTS : : équipe d'étudiants de l’École de Technologie supérieure ÉTS qui construit un petit avion-cargo pouvant lever diveres charges pour participer à divers concours

  • Avion-cargo Poly : équipe d'étudiants de l'École Polytechnique qui construit un petit avion-cargo pouvant lever diverses charges pour participer à divers concours

  • Avion-cargo Laval : équipe d'étudiants de l’Université Laval qui construit un petit avion-cargo pouvant lever diverses charges pour participer à divers concours

  • Concordia S.A.E. Aerodesign Team : équipe d'étudiants de Concordia qui construit un petit avion-cargo pouvant lever diverses charges pour participer à divers concours

  • VAMUdeS : équipe d'étudiants de l'Université de Sherbrooke qui construit un véhicule aérien miniature équipé d'une caméra permettant la prise de vues aérienne

Musées d’aviation :

-         Musée de la Défense aérienne : site officiel de ce musée canadien

-         Musée l’aviation du Canada : site officiel de ce musée situé à Ottawa

-         National museum of naval aviation : site officiel de ce musée de la U.S. Navy (en anglais)

-         Royal Air Force Museum : site officiel de ce musée (en anglais)

-         U.S. Air Force museum : site de ce musée de la U.S. Air Force (en anglais)

-         U.S. army aviation museum : site officiel de ce musée de l’aviation militaire américaine (en anglais)

Aviation militaire :

-         Armée de l’Air : site officiel de la Force aérienne Française

-         Aviation militaire : site amateur sur les avions militaires d’hier à aujourd’hui

-         Force aérienne : site officiel de l’aviation militaire canadienne

-         Heritage Flight : : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates américains de la U.S. Air Force (en anglais)

-         Les BLUE ANGELS : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates américains de la U.S. Navy (en anglais)

-         Les SNOWBIRDS : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates canadiens

-    Les RED ARROWS : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates britanniques

-    PATROUILLE DE FRANCE : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates français

-    Patrouille Suisse : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates suisses

-    Roulettes : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates australiens

-         Royal Air Force : site de l’Armée de l’air britannique (en anglais)

-    Russian Knights : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates russes

-         Thunderbirds  : site officiel de ce groupe de pilotes-acrobates américains de la U.S. Air Force (en anglais)

-         U.S. Air Force : site officiel de l’aviation militaire américaine (en anglais)

-         U.S. Navy : site officiel de la Marine américaine – section description des aéronefs (en anglais)

organismes de loisir scientifique : 

Autres :

-         Aviation-Québec : un passionné des avions a créé dans sa section « aviation commerciale-photos » un moteur de recherche sur des sites offrant des photos d’avions de tous les modèles et ce partout dans le monde.

-         Canadian Aviation : site de la revue canadienne sur l’aviation (en anglais)

-         Carrières de l’aérospatial : site d’infos sur ce secteur

-         Chakram Airlines : site en français de vulgarisation du monde aéronautique

-         Helicopters Magazine : site de la revue américaine sur les hélicoptères (en anglais)

-         PLEIN VOL : site de ce magazine québécois sur l’aviation

 

 

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