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SECTEUR :
SANTÉ
DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.
Va voir également la section « liens recommandés » à la fin de cette page (dont des vidéos de techniciens en diététique qui parlent de leur travail).
TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :
Si tu deviens une technicienne ou un technicien en diététique; tu seras responsable de participer à la planification, la mise en forme et la coordination des programmes de nutrition et de services alimentaires.
Tu auras pour tâches de :
Participer à la conception, la mise en oeuvre et l'évaluation des menus normaux et thérapeutiques dans le but de maintenir et d'améliorer l'état de santé général;
Planifier des menus et des régimes pour des personnes ou des groupes, sous la direction d'un diététicien ou d'un nutritionniste;
Participer à la planification, l'évaluation et la mise en oeuvre des programmes d'éducation nutritionnelle et élaborer du matériel éducatif à l'intention d'un auditoire varié;
Collaborer au suivi nutritionnel de la clientèle sous la supervision d’un ou d’une nutritionniste;
Assurer le contrôle de la qualité des aliments sous la supervision d'un(e) nutritionniste ou d'un(e) agronome;
Assister les diététiciens ou les nutritionnistes à planifier et à superviser les opérations du service alimentaire ou
Superviser, coordonner et former du personnel d'un service alimentaire.
Il est possible également de te spécialiser en obstétrique en devenant consultante en lactation diplômée afin de fournir de l'intervention clinique en allaitement et lactation humaine auprès de mères et de leur nourrisson. Tu auras pour tâches d'effectuer des évaluations complètes de la mère, de l'enfant et de l'alimentation en lien avec la lactation, élaborer et mettre en œuvre en plan d'alimentation personnalisée en collaboration avec la mère, conseiller la mère sur les thérapies complémentaires pendant l’allaitement et de leurs effets sur la production de lait de la mère ainsi que sur l’enfant, fournir des conseils, du soutien et des encouragements qui permettent aux mères d’atteindre leurs objectifs d’allaitement.
De plus, selon le type de milieux, tu auras également les tâches suivantes :
En nutrition clinique (hôpital ou CHSLD) : Tu auras à
participer à l’élaboration d’un plan de diétothérapie des personnes rencontrant
des problèmes de nutrition ou des personnes hospitalisées et ce en collaboration
avec les diététistes et les infirmier(ères). Par la suite, tu devras appliquer
ce plan de traitement auprès clients(es) et t’assurer de se
réussite. Par la suite, tu devras le faire le suivi de l'état de santé
nutritionnel en fonction de l'évolution de l'état de santé du patient en
collaboration avec les infirmiers(ères) et aviser la diététiste de tout
changement nécessaire.
Dans un service alimentaire
(hôpital, CHSLD) : Tu auras pour tâches d’élaborer et adapter des menus particuliers destinés aux clients hospitalisés
selon les indications et le plan de nutrition élaboré par la diététiste, contrôler
les aliments selon leurs valeurs nutritives et les indications nutritionnelles
(ex : sans sel, sans sucre, pas de solide, etc) pour des bénéficiaires ayant un état
de santé précaire (personnes âgées, personnes malades).
Dans un service alimentaire (écoles, garderies, résidences pour retraités, hôtels, restaurants) : Tu auras à élaborer et adapter des menus santé en fonction des valeurs nutritives en tenant compte du type de clientèle de l'établissement, coordonner la production, la distribution et le service des aliments au sein de l'établissement, ainsi que superviser et gérer toutes les ressources humaines, matérielles et financières nécessaires au fonctionnement du service. Enfin, tu seras appelé(e) à effectuer de la prévention et de la promotion de la santé nutritionnelle auprès de la clientèle.
En transformation des aliments (industrie agroalimentaire) : Tu devras évaluer et contrôler la qualité
des aliments fabriqués ou transformés. Tu devras analyser et tester ces
produits afin de connaître leurs propriétés physiques, chimistes et
nutritionnelles afin de vérifier s’ils répondent aux exigences de qualité
établies. Tu devras aussi élaborer des mesures d’hygiène et les faire appliquer
dans l’usine.
En inspection des aliments (service d'inspections des gouvernements) : tu devras inspecter les produits alimentaires destinés à la consommation humaine, t'assurer du respect des règlements et des normes en matière de sécurité alimentaire et assister le vétérinaire pathologie lors des analyses en laboratoire.
Prendre note que les tâches suivantes ne sont pas autorisées au technicien en diététique ou en nutrition, puisque ce sont des actes réservés aux diététistes-nutritionnistes :
évaluer l'état de santé nutritionnel d'une personne et déterminer une stratégie d'intervention afin de maintenir ou de rétablir sa santé;
déterminer un plan de traitement nutritionnel d'une personne malade ou ayant un problème spécifique de santé (ex : diabète, allergie alimentaire, obésité, etc);
surveiller l'état de santé nutritionnel d'une personne dont un plan de traitement a été déterminé
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Aptitudes pour les sciences : humaines (psychologie),
biologiques et chimiques
-
Aimer et facilité à travailler avec le public car tu auras de fréquents contacts
avec la clientèle
- Facilité à communiquer et à écouter pour conseiller adéquatement ton patient ou ta patiente en collaboration avec le nutritionniste
- Grande capacité d’écoute, respect, patience et empathie car tu auras à faire face aux problèmes psychologiques que peuvent avoir tes clients(es) ayant un des problèmes nutritionnels (diabète, obésité, anorexie, boulimie, etc.) ou autres (cardiaques, gastro-instestinaux, etc.)
- Capacité d’analyse et de synthèse et bon jugement pour être mesure d’analyser et déceler les problèmes nutritionnels
-
Sens des responsabilités car tu auras différentes responsabilités à
assumer selon le milieu où tu travailleras
-
Autonomie, dynamisme et leadership pour
bien encadrer tes clients(es) ou ton personnel
- Sens de l’initiative pour proposer tes idées lors de l’élaboration d’un plan de traitement par le ou la diététiste
-
Bonne méthode de travail pour analyser et contrôler de façon
précise la qualité d’un aliment
-
Curiosité scientifique et goût de développer constamment tes
connaissances pour être à l’affût des nouveaux développements en alimentation
et nutrition
-
Sens de l’observation pour évaluer les besoins de la personne en matière
de nutrition
-
Sens de l’organisation pour bien planifier et gérer un service
alimentaire ou un plan de traitement en diétothérapie
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Conseiller(ère) en alimentation
- Consultante en lactation
- Gérant(e) des services alimentaires (établissement hôtelier ou de restauration)
- Inspecteur(trice) d’établissements hôteliers et
de restauration
- Inspecteur(trice) en hygiène publique
- Inspecteur(trice) de produits alimentaires
- Représentant(e) en vente de produits alimentaires
- Responsable de projets de recherche et développement
- Technicien(ne) au contrôle de la qualité des aliments (en production)
- Technicien(ne) en diétothérapie
- Technicien(ne) en gestion des services alimentaires
- Technologiste en développement de nouveaux produits alimentaires
- Technologue en nutrition
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
-
Cabinets de diététistes-conseils
-
Centres d’accueil et d’hébergement pour personnes âgées CHSLD
-
Centres d’accueil et d’hébergement pour personnes handicapées
- Centres de la petite enfance CPE
-
Centres de santé
-
Centres-jeunesse (centres d’accueil)
-
Centres sportifs
-
Certains C.L.S.C.
-
Cliniques d’amaigrissement
-
centres de services scolaires
- Écoles primaires et secondaires privées
-
Entreprises en services alimentaires et cafétérias
-
Établissements hôteliers
-
Garderies privées
-
Fonction publique
fédérale (postes civils dans les hôpitaux militaires,
centres de santé auprès des communautés autochtones, inspection des aliments)
-
Fonction publique provinciale (inspection des aliments, promotion de la santé
publique)
-
Grossistes en alimentation
-
Hôpitaux
-
Industries agroalimentaires
-
Marchés d’alimentation
-
Résidences privées pour personnes âgées
-
Restaurants
AFFILIATION PROFESSIONNELLE :
Aucun permis de pratique n'est nécessaire pour pratiquer en tant que technicien(ne) en diététique ou technologue en nutrition.
Par contre, tu pourras devenir membre de la Société des technologues en nutrition du Québec
et/ou de l'Ordre des technologues professionnels du Québec.
EXIGENCE
DES EMPLOYEURS :
- Ne pas avoir d'antécédents judiciaires (exigence pour travailler dans le réseau de la santé)
- Connaissance de l’anglais est un atout
- Polyvalence
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 31 mars 2021 :
Le placement est TRÈS BON, 79 % des répondants(es) se destinant vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la majorité, soit 77 % sont à temps complet.
Quelques répondants(es), soit 22 % ont poursuivi leurs études en nutrition, biologie ou sciences des aliments (notamment via un DEC-BAC).
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
122 | 75 | 63 | 27 |
Note : hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 77 % en 2018; 76 % en 2016; 65 % en 2014; 73 % en 2013 et 66 % en 2012).
Source : Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec
SALAIRE :
Selon les données de 2022 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
- 22,59 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en travaux pratiques en laboratoire d'enseignement en techniques de diététique dans un cégep
- 22,97 $/heure (35 hres/sem) en tant qu’inspecteur(trice) en hygiène publique ou inpsecteur(trice) des produits agricoles et des aliments dans la fonction publique québécoise
- 23,77 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en gestion des services alimentaires au sein des universités
- 23,82 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en gestion alimentaire dans les centres de services scolaires
- 24,21 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en diététique dans le réseau de la santé (hôpitaux, CLSC, CHSLD, etc)
-
24,62 $/heure
(35 hres/sem) en tant qu’inspecteur(trice) en agroalimentaire dans la fonction
publique québécoise (MAPAQ)
- 25,46 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que technicien(ne) en diététique dans la fonction publique fédérale (incluant les postes civils dans les hôpitaux militaires)
- 25,90 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en travaux pratiques en laboratoire d'enseignement en nutrition au sein des universités
- 29,51 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'inspecteur(trice) des aliments au sein de l'Agence canadienne d'inspection des aliments ACIA
- 22,26 $/heure (40 hres/sem) en tant qu'inspecteur(trice) des aliments ou contrôleur(euse) de la qualité au sein des PME de l'industrie alimentaire
- 23,75 $/heure (40 hres/sem) en tant technicien(ne) ou inspecteur(trice) en contrôle de la qualité au sein des grandes chaînes d'alimentation
- 27,96 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en gestion alimentaire au sein des grands hôtels (Île de Montréal)
- 29,30 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'inspecteur(trice) ou contrôleur(euse) de la qualité au sein des grandes entreprises de fabrication d'aliments ou boissons
- 29,94 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'inspecteur(trice) ou contrôleur(euse) de la qualité au sein des grandes industries de transformation alimentaire (ex : transformateurs de viandes et volailles)
Note
1
:
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Selon Emploi Québec; il y avait plus de plus 3 230 techniciennes et techniciens en diététique ou en nutrition dans toutes les régions du Québec en 2022.
Plus de 83 % des membres de la profession étaient des femmes.
Plus de 82 % des techniciens(nes) en diététique occupaient un poste à temps complet
La répartition selon le type d'employeur était :
Établissements publics de santé (hôpitaux, CHSLD, centres de réadaptation, CLSC, etc.) : 41 %
Centres hospitaliers universitaires ou affiliés universitaires : 25 %
Établissements privés de santé (CHSLD, maisons de soins de vie, cliniques médicales, cliniques de nutrition, cliniques multidisciplinaires de santé, entreprises privées de soins à domicile, etc.) : 17 %
Commerces au détail (sièges sociaux des chaînes d'alimentation) : 4 %
Établissements publics ou privés d'enseignement (centres de services scolaires, écoles privées, cégeps, universités) : 3 %
Fabricants d'aliments et boissons et autres transformateurs alimentaires : 3 %
Administrations publiques (fonction publique fédérale, fonction publique québécoise en inspection des aliments ou directions de santé publique) : 2 %
Entreprises et organismes de loisirs et divertissement (centres sportifs, centres récréotouristiques, etc.) : 2 %
Établissements de services sociaux (centres jeunesse, CPE, garderies privées, résidences pour retraités autonomes ou semi-autonomes, etc.) : 1 %
Distributeurs ou grossistes de produits alimentaires : 1 %
autres milieux (centres correctionnels, établissements
hôteliers, cliniques d’amaigrissement
PERSPECTIVES
D’AVENIR :
Avec le vieillissement de la population entraîne une hausse des besoins en diététique et favorise aussi la demande pour des orthèses et des prothèses.
Comme les gens accordent une plus grande attention à leur santé, les écoles, les garderies, les hôtels, les grossistes en alimentation, les chaînes d'alimentation et les chaînes de restaurant ont davantage besoin de techniciens(nes) en nutrition. De plus, avec une population qui devient de plus en plus vieillissante, il y a davantage de besoins dans les résidences privées pour personnes âgées et les CHSLD.
Avec la complexité des maladies dont les cancers, la nécessité d'élaborer un programme de nutrition spécialement adapté aux besoins des clients en tenant compte de l'état de santé est primordial. Donc, plusieurs emplois sont également disponibles dans les hôpitaux régionaux et les centres hospitaliers universitaires.
Ces diplômés(es) également sont recherchés(es) par les industries agroalimentaires pour contrôler la qualité des aliments en production.
Enfin, d'autres milieux d'emploi sont également possibles comme les cliniques médicales privées, les cliniques minceur, les centres de conditionnement physique, les centres sportifs, etc.
Donc, les perspectives d'avenir sont très bonnes pour les techniciens(nes) en diététique, en nutrition et en gestion alimentaire.
La rémunération moyenne après expérience en 2022...
le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en diététique ayant environ 10 années d'expérience au sein d'une PME ou d'un organisme sans but lucratif OBNL était de 48 800 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en contrôle de la qualité ayant environ 10 années d'expérience au sein d'une PME en fabrication d'aliments ou boissons était de 50 900 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en gestion alimentaire ayant environ 10 années d'expérience dans un centre de services scolaiers était de 58 800 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en nutrition ayant environ 10 années d'expérience au sein d'une grande chaîne d'alimentation était de 56 200 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en diététique ayant environ 10 années d'expérience au sein d'une grande résidence privée pour aînés était de 57 100 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en diététique ayant environ 10 années d'expérience dans le réseau public de la santé était de 58 800 $;
et le salaire annuel moyen d'un(e) technicien(ne) en contrôle de la qualité des aliments ayant environ 10 années d'expérience au sein d'un grand fabricant d'aliments ou boissons était de 74 700 $.
Chaque CISSS comprend des hôpitaux de soins généraux et spécialisés
dont 1 avec vocation régionale, des centres hospitaliers de soins de
longue durée CHSLD, des CLSC avec plusieurs points de services, des
Groupes de médecine familiale GMF, un centre de réadaptation en
déficience physique, un centre de réadaptation en dépendances, un centre
de réadaptation en déficience intellectuelle et troubles envahissants du
développement CRDI-TED, des centres jeunesse, un centre de planification
des naissances pour la plupart, un centre info-santé, ainsi qu'une
direction régionale de la santé publique desservant l'ensemble de la
population de la région.
Ils regroupent un total de 48 hôpitaux
de soins généraux et spécialisés (dont 15 ayant une vocation régionale
et 18 ayant une double vocation hôpital-CHSLD), 2 centres hospitaliers
affiliés universitaires de soins généraux et spécialisés avec vocation
régionale (Hôtel-Dieu de Lévis et Charles Lemoyne), plus de 75 CLSC,
près de 200 CHSLD, 17 centres de réadaptation en déficience physique, 8
centres de planification des naissances, 13 CRDI-TED, 13 centres de
réadaptation en dépendances, 13 centres jeunesse, ainsi que 11
directions régionales de la santé publique.
Chaque
CIUSSS comprend les mêmes types d'installations que les CISSS, mais leur
particularité est qu'il comprend un hôpital de soins généraux et
spécialisés et certaines autres installations (CLSC, GMF, etc.) détenant
une affiliation avec l'une des facultés de médecine du Québec (Montréal,
McGill, Laval ou Sherbrooke), ainsi que des instituts universitaires de
santé pour 4 des 9 CISSS (Institut universitaire de santé mentale de
Montréal, Institut universitaire de santé mentale Douglas, Institut
universitaire de santé mentale de Québec, Institut universitaire de
gériatrie de Montréal et Institut universitaire de gériatrie de
Sherbrooke) et enfin, un centre hospitalier universitaire (CHUS rattaché
au CISSS de l'Estrie).
Ils regroupent 1 centre hospitalier
universitaire (CHUS), 6 centres hospitaliers affiliés universitaires
CHA, 25 hôpitaux de soins généraux et spécialisés (dont 2 ayant une
vocation régionale), 3 instituts universitaires de santé mentale, 2
instituts universitaires de gériatrie, 8 centres de réadaptation en
déficience physique ou sensorielle, 9 centres de réadaptation en
dépendances, 9 CRDI-TED, 50 CLSC, une centaine de CHSLD, 6 centres de
planification des naissances, 9 centres jeunesse, 4 centres info-santé,
ainsi que 4 directions régionales de la santé publique.
57 centres hospitaliers de soins de longue durée CHSLD privés conventionnés répartis dans 11 régions du Québec
plus de 735 résidences privées pour aînés dont plus de 30 % d'entre-elles emploient des techniciens(nes) en diététique
32 maisons de soins palliatifs privées
plus de 140 écoles primaires privées (dont environ 20 % emploient des techniciens(nes) en diététique)
plus de 170 écoles secondaires privés (dont environ 20 % emploient des techniciens(nes) en diététique)
L'industrie québécoise est divisée en 13 principaux sous-secteurs différents, soit :
Viandes et volailles
(abattage, découpe, désossage et surtransformation et produits de la
viande et de la volaille) : PLUS important sous-secteur de l'industrie
agroalimentaire québécoise; il avait un chiffre
d'affaires évalué
à 6,2 milliards $ en 2013 (dont 3,2 milliards $ en abattage de
viandes surtout le porc et le boeuf, 1,7 milliards $ en abattage de
vollailles surtout le poulet, 1,2 milliards $ pour les graisses animales et
preso de 390 millions $ pour les produits de la viande et de volaille tels
que les charcuteries).
Il y avait plus de 165 entreprises (dont 34
abattoirs détenus par 30 entreprises sous inspection fédérale et autorisées
pour le commerce interprovincial et international, 26 abattoirs sous
inspection provinciale autorisées au commerce partout au Québec seulement,
ainsi que 50 abattoirs pour la vente au détail seulement ou abattage
à forfait soumis à une nouvelle réglementation provinciale) qui employaient
plus de 18 600
travailleuses et travailleurs.
Parmi ces dernières, on retrouve : 25
abattoirs de porcs, 24 abattoirs de volailles (poulets et dindons
principalement ), 21 abattoirs de veaux, 20 abattoirs de boeufs, 20
abattoirs d'ovins (moutons), 16 abattoirs de chevaux, 14 abattoirs de
caprins (chèvres), 13 abattoirs de gibiers (cerfs, sangliers, bisons,
wapitis, etc.), ainsi que 5 abattoirs de lapins.
Il comprend des produits tels que : porc, boeuf, veau, mouton,
cheval, poulet, dinde, lapin, viandes de la chasse (caribou, orignal,
chevreuil), autres volailles (autruche, émeu, faisan, canard, cailles, etc). On
retrouve aussi les produits de surtransformation comme les oeufs d'incubation,
poussins et la chair de poulet.
Boulangerie et pâtisserie
(incluant biscuits et craquelins) : second sous-secteur en
importante, il regroupait l'ensemble des produits fabriqués en boulangerie, en
pâtisserie et en usine de pâtes alimentaires sauf les confiseries et chocolats.
Bien qu'il ne soit pas le sous-secteur le plus important en nombre
d'emplois, c'est celui ayant le plus grand nombre d'entreprises.
En
2016, c'était un marché de 1,9 milliards $ (dont 1,3 milliards $ pour les
pains et autres produits de boulangerie et
de pâtisserie, 320 millions $ pour les biscuits et craquelins et 209
millions $ pour les pâtes alimentaires).
On retrouvait 469
entreprises (dont 16 boulangeries-pâtisseries industrielles, 15 fabricants
de pâtes alimentaires, une dizaine de boulangeries et pâtisseries
artisanales et plus de 530 boulangeries et/ou pâtisseries commerciales) qui employaient plus de 12
800 travailleuses et travailleurs dans toutes les régions
de la province.
Plus de la moitié des entreprises ont moins de 5 employés
(fabrication artisanale), plus du tiers ont moins 100 employés (nature
commerciale ou industrielle), alors seulement 29 entreprises ont plus de 100
employés (fabrication industrielle).
Voici quelques exemples de produits fabriqués : produits de pâtisserie
(biscuits, craquelins, bretzels, gâteaux frais ou congelés, cornets et
gaufrettes de crème glacée, pâtes réfrigérées ou congelées, croûtes de tartes
non cuites, pâtisseries de spécialités, mélanges de farine pour
gâteaux, beigne, crêpes et autres pâtisseries non cuites réfrigérées ou
congelées); produits de boulangerie (pains conventionnels, pains de
spécialité, beignes frais ou congelés, brioches frais ou congelés, croissants
frais ou congelés, pâtisseries de spécialités, autres produits de boulangerie),
autres (tortillas, pâtes alimentaires sèches, pâtes alimentaires
fraîches, pâtes alimentaires orientales).
Produits laitiers
:
C'est le troisième plus important sous-secteur de cette industrie qui avait un
chiffre d'affaires de 6,4 milliards $ en 2016 (dont plus de 4,1
milliards $ pour les fromages et le beurre, 2,2 milliards $ pour le lait
de consommation, 40 millions $ pour la crème glacée et les desserts
glacés, 30 millions $ pour le yogourt et 30 millions $ pour les autres
produits laitiers).
Il comprenait 127 entreprises (96 fromageries
dont la majorité sont artisanales dont 8 fabriquent également du yogourt, 20 en fabrication de crème glacée et
desserts congelés, 7 entreprises ayant 14 usines pour le lait de consommation, 7
en fabrication de yogourt et
environ 10 pour les autres produits laitiers) et qui employaient plus de 10
200 travailleuses et travailleurs.
Il comprend des produits tels
que : lait de consommation (lait au chocolat, lait aromatisé, lait
biologique, lait concentré, lait délactosé, lait de poule, lait de brebis,
lait de chèvre, lait de vache, lait U.H.T.); fromages (de
lait de brebis, de lait de chèvre, aux fruits, brie, camemberg, cheddar,
cottage, en crème,
à tartiner, gouda, harti, monterey jack mozzarella, parmesan,
persillé, provolone, ricotta, de spécialité); beurre (assaisonné,
biologique, de brebis, de chèvre, de lactosérum ou de lait de vache); crèmes
(biologique, sure,
à l'italienne, fouettée, de lait de brebis, de lait de chèvre ou de lait de
vache); yogourt (à boire, de lait de brebis, de lait de chèvre,
glacé ou de lait de vache); produits congelés (friandises glacées, crème glacée,
garnitures pour crème glacée, sorbet, yogourt
glacé, etc) et autres produits à base de lait.
Boissons
(alcoolisées et non alcoolisées) : cet important sous-secteur en
importance de l'industrie alimentaire. En 2016, il avait un chiffre d'affaires
évalué
de 2,2 milliards de $ (excluant les produits du tabac, dont 1,4 milliards $ pour
les brasseries, plus de 400 millions $ pour les boissons gazeuses et de glace, plus de 140
millions $ pour les vins, plus de 125 millions $ pour les spiritueux et
autres alcools et près de 125 millions $ pour autres boissons non
alcoolisées (sauf jus et boissons aux fruits naturels).
On retrouvait
148 entreprises (dont 3 grands brasseurs, 76 petites brasseries, 43
artisans brasseurs, 29 vignobles ou vineries, env 20 embouteilleurs d'eau de
source ou d'eau minérale, 13 fabricants de boissons nutritives et autres
boissons, sauf jus et boissons aux fruits ou aux légumes, 7 fabricants de
d'autres boissons alcoolisées, 6 embouteillleurs ou fabricants de boissons
gazeuses et 1 distillerie) qui employaient plus de 10 900 travailleuses et travailleurs (dont
4 000 au sein des grands brasseurs, 1 000 chez les embouteilleurs et
fabricants de boissons gazeuses, 200 dans les
distilleries, 200 chez les embouteilleurs d'eau et 400 dans les vineries).
Parmi ces entreprises, 85 %
d'entre-elles emploient moins de 25 personnes (dont plusieurs petites
entreprises artisanales comme des cidreries, microbrasseries,
microdistilleries et vignobles).
Il comprend des produits tels que : eaux embouteillées, boissons gazeuses,
lait de soya, breuvages aux arômes de fruits, boissons alcoolisés (bière,
vins, spiritueux, alcools), boissons distillées (lait de poule alcoolisé,
whiskey, boissons mélangées alcoolisées, autres boissons distillées, etc).
Fruits et légumes
:
Ce sous-secteur avait un chiffre d'affaires
évalué à plus de 2,0 milliards $ en 2016 et comprenait 88 entreprises (dont
45 en conservation, marinage et séchage de fruits et légumes et fabrication
de mets préparés à base de légumes, 33 en fabrication de jus ou
autres boissons de jus ou de légumes et
12 en fabrication de mets congelés)
qui employaient plus de 5 100 travailleuses et travailleurs
(dont plus de 45 % des emplois proviennent des 2 plus gros employeurs de ce
sous-secteur).
Voici quelques exemples de produits transformés : mise en conserve, séchage
et marinage (aliments pour bébés, mise en conserve de fèves au lard, mise en
conserve de soupes, bouillons en sécherie, mélanges à soupe en sécherie,
confitures et gelées, mise en conserve de jus de fruits ou de légumes,
fabrication de boissons de jus de fruits ou de légumes, fabrication de ketchup,
marinage de fruits et légumes, déshydratation de fruits et légumes, mise en
conserve de fruits de toutes sortes dont pommes, fraises, framboises, bleuets,
etc, mise en conserve de légumes de toutes sortes comme carottes, pommes de
terre, oignons, etc;
On y fabrique des aliments congelés (concentrés de jus de fruits
congelés, jus de fruits ou de légumes congelés, pizza congelée, frites, mets
préparés à base de légumes, desserts congelés à base de fruits, congélation de
fruits et légumes, etc.; des mets préparés frais à base de légumes (salades, sandwichs, mets végétariens,
etc.); ainsi que des jus, jus biologiques et boissons aux fruits ou aux légumes (jus de pomme, jus
d'orange, jus de raisin, jus de tomate, jus de canneberge, jus de fruits des
champs, jus d'ananas, jus de mangue, jus de pamplemousse, jus de poire, jus de fruits
tropicaux, smoothies, autres boissons, cocktails et limonades aux fruits,
jus de carottes, jus de betterave, autres boissons ou cockails aux légumes,
etc.).
Sucre et confiseries
(incluant croustilles et grignotines) : Dans ce
sous-secteur on y fabrique et raffine le sucre, on y fabrique des chocolats
et divers types de confiseries. Les revenus étaient évaluées à 1,5 milliards $
en 2016 (dont 170 millions $ pour les confiseries non chocolatées, 160
millions $ pour les confiseries chocolatées, ainsi que plus de 870 millions
$ pour le sucre raffiné).
On retrouvait 98 entreprises qui
employaient 3 800 travailleuses et travailleurs.
Plus de 90 % de ces entreprises sont des PME ayant moins de 50 employés,
alors près de 70 % des emplois proviennt des 10 plus gros employeurs du
sous-secteur.
Voici quelques exemples de produits fabriqués
ou transformés : chocolat et confiseries chocolatées (barres de granola
enduits de chocolat, boissons instantanés au chocolat, barres de chocolat,
chocolats divers, autres confiseries faits avec du chocolat); confiseries non
chocolatées (barres de granola sans chocolat, barres de bonbons sans
chocolat, noix enrobés de bonbons, guimauve, gommes à mâcher, bonbons glacés,
pastilles pour la toux sauf les préparations pharmaceutiques, autres
confiseries);
aliments à grignoter (croustilles et grignotines, beurre d'arachide, mise en
conserve de noix, bretzels durs, popcorn, transformation de graines ou de
céréales en aliments à grignoter et autres aliments connexes); fabrication et raffinage du sucre (fabrication de mélasse,
fabrication de sucre à glacer, fabrication du sucre de table, raffinage du sucre
de betterave, raffinage du sucre de canne), etc.
Produits marins
:
c'était un marché de plus de 504 millions $ en
2016, qui comptait plus de 45 entreprises ayant près de 100 usines de transformation des produits de la mer
employaient plus de 1 900 travailleuses et travailleurs allant du simple
manoeuvre en transformation en passant par le technologue en
transformation des produits jusqu'à l'ingénieur alimentaire. Parmi ces
emplois, 75 % proviennent des 3 plus gros employeurs de ce sous-secteur.
Ces entreprises ne se retrouvent pas seulement en Gaspésie ou en Côte-Nord, mais aussi dans le Bas-St-Laurent, en Montérégie, à Québec, en
Chaudière-Appalaches, au Saguenay et Lac St-Jean, dans les Laurentides, etc.
Plusieurs types de produits y sont transformés comme
les poissons, le crabe, le homard, les crevettes, herbes marines, conservation
de soupes de poissons, conservation de soupes de crevettes et mollusques,
fabrication de graisses, d'huiles et de farine de produits marins, etc. Ils sont
filetés, salés-séchés, fumés, décortiqués, congelés, surgelés ou panés.
On y
fabrique des mets préparés congelés, des conserves, de l'emballage des produits
frais, etc.
On retrouve également les secteurs suivants : assaisonnements et additifs alimentaires, produits nutraceutiques et aliments nutritifs, produits de l'érable, farine et céréales, Autres produits alimentaires à consommation humaine, ainsi que les aliments pour animaux (de ferme ou de compagnie).
En 2016, elle a généré des revenus de plus de 22,7 milliards $, soit 25 % de la production canadienne et 15 % du secteur manufacturier québécois.
Plus de 45 % des ventes des produits alimentaires québécois sont effectuées au Québec (porc, poulet, produits laitiers, légumes frais, fruits frais, boissons de fruits ou de légumes, produits de l'érable, boissons alcoolisées surtout bières); 32 % dans le reste du Canada (produits laitiers, porc, poulet, légumes de transformation, poissons et fruits de mer, sirop d'érable et produits de l'érable, fruits, jus, boissons alcoolisées); ainsi que 23 % à l'international dans plus de 100 pays.
On y retrouvait plus de 1 500 entreprises (dont 31 % qui fabriquaient des produits de boulangerie, 10 % de boissons alcoolisées ou non alcoolisées, 8 % des produits laitiers et 7 % d'aliments pour animaux) qui employaient plus de 64 000 travailleuses et travailleurs dans presque toutes les régions du Québec, mais principalement en Montérégie, Montréal, Chaudière-Appalaches, Laval, Québec, Centre-du-Québec, Lanaudière et Bas-St-Laurent.
Par contre, seulement 34 % de ces entreprises employaient 50 personnes ou plus qui sont généralement les employeurs potentiels pour les technologues en laboratoire.
Bien qu'on retrouve quelques grandes entreprises de transformation alimentaire, ce sont les petites et moyennes entreprises que l'on retrouve en plus proportion et ce, partout au Québec.
Bien qu'on retrouve ces entreprises un peu partout au Québec, elles sont principalement concentrées dans les régions de la Montérégie, de Montréal, de Lanaudière, de Chaudière-Appalaches et de Québec.
Selon les données d'Emploi-Québec, les technologues en transformation des aliments représentaient 10 % de l'ensemble des personnes qui travaillaient au sein de l'industrie d donc l'un des plus importants employeurs pour ces spécialistes.
Presque toutes les régions sont favorables à l'emploi dans ce domaine, mais tout particulièrement :
la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Lanaudière, Centre-du-Québec, Québec, Laurentides, Bas-St-Laurent et Laval.
Sources : Ministère de l'Agriculture et Agroalimentaire du Canada, Ministère de l'Agriculture, des pêcheries et de l'alimentation du Québec, Industrie Canada, Comité sectoriel de la main-d'oeuvre en transformation alimentaire, l'Association des manufacturiers de produits alimentaires du Québec et ICRIQ.
LE
PROGRAMME D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études collégiales en techniques de diététique et de nutrition D.E.C. a une durée totale de 3 ans offert à temps complet de jour.
Tu acquerras des connaissances en gestion des services alimentaires, en nutrition appliquée à diverses clientèles, en nutrition clinique et thérapeutique, en technologie de la transformation alimentaire, ainsi qu'en sécurité et inspection des aliments.
Au cours de la 1re année; tu apprendras le fonctionnement de la structure cellulaire et des différents systèmes, principalement ceux impliqués dans les processus digestifs; tu apprendras le lien entre la nature physico-chimique des aliments, leur microbiologie et leur transformation en produits alimentaires; tu découvriras les caractéristiques, la valeur nutritive ou d’une combinaison d’aliments (mets, repas, menus) en tenant des choix alimentaires d’une personne en santé; tu apprendras à prépare et à évaluer le goût de ces aliments, tout en tenant compte des principes d’une saine alimentation; tu établiras le lien entre les types d’aliments et leur préparation culinaire; tu apprendras les moyens que prend le corps pour maintenir sa régulation lors de certaines conditions (prise de repas, jeûne, etc.), ainsi que les mécanismes de contrôle du métabolisme, tels les hormones et les influences nerveuses et les effets de la génétique sur le métabolisme humain; tu découvriras la contribution des nutriments au fonctionnement de l’organisme humain et tu seras familiarisé(e) avec les méthodes de contrôle de la qualité des produits alimentaires et de leur emballage; tu apprendras à modifier des recettes pour les rendre plus santé en appliquant, entre autres, des méthodes de substitution et tu seras familiarisé(e) avec le cycle complet de la fonction approvisionnement dans un service alimentaire.
Tu auras des cours tels que : nutrition et physiologie humaines 1, notions de chimie alimentaire, santé et alimentation, éléments de base en nutrition, qualités sensorielles des produits alimentaires, hygiène et salubrité en alimentation, introduction à la profession de technicien(ne) en diététique, nutrition et physiologie humaines 2, notions de biochimie alimentaire, alimentation appliquée, fonctionnement et gestion de l'approvisionnement d'un service alimentaire.
Si tu as choisi la formule en alternance travail-études ATE; tu réaliseras également un stage rémunéré de 8 à 12 semaines dans le miieu de ton choix au cours du trimestre d'été.
Au cours de la 2e année; tu seras familiarisé(e) avec les différentes maladies et troubles liées à la nutrition (dont le diabète de type 2, l'obésité, les maladies cardiovasculaires, l'hypertension, l'ostéoporose, les troubles hormonaux, etc.) et leurs effets sur le déséquilibre alimentaire; tu seras familiarisé(e) avec les principales propriétés fonctionnelles des constituants des aliments et les effets de ces transformations sur la qualité des produits alimentaires par la réalisation de tests organoleptiques (sensorielles), physiques et physico-chimiques des propriétés des aliments et des emballages; tu découvriras le rôle des microbes dans les toxi-infections alimentaires et dans la détérioration des aliments par des travaux pratiques de cultures microbiennes; tu apprendras à adapter un menu aux besoins de la clientèle en tenant compte des contraintes du service alimentaire; tu seras familiarisé(e) avec les diverses lois, règlements, normes et standards qui s'appliquent dans les entreprises et les établissements dans le domaine alimentaire; tu seras familiarisé(e) avec les divers aspects de la gestion d'une équipe de travail dans le contexte d'un service alimentaire; tu apprendras à évaluer les habitudes alimentaires de différentes clientèles et à les conseiller sur les meilleurs choix à faire pour répondre à leurs besoins nutritionnels ainsi qu’à prévenir certaines maladies chroniques; tu seas familiarisé(e) avec les caractéristiques des ingrédients industriels utilisés dans les aliments et apprendras à différencier les aliments normalisés de ceux qui ne le sont pas et à rédiger une déclaration d'ingrédients et un tableau de valeur nutritive; tu seras familiarisé(e) avec les étapes qui permettent de coordonner la production d'aliments et initié(e) à l'élaboration d'un plan de production et au contrôle des opérations de production des aliments, des mets spéciaux et des gavages et tu apprendras à relier les choix alimentaires aux besoins nutritionnels établis d'une personne malade et adapte les menus aux régimes thérapeutiques les plus couramment appliqués en milieu de soins;
Tu auras des cours tels que : microorganismes du monde alimentaire, alimentation et pathologies, lois et règlements en alimentation, supervision du personnel d'un service alimentaire, technologie alimentaire : les constituants, adaptation des menus, nutrition et santé publique, technologie alimentaire 2 : les ingrédients industriels, coordination et gestion des opérations en production alimentaire, nutrition clinique 1 et interrelations dans le milieu professionnel.
Si tu as choisi la formule en alternance travail-études ATE; tu réaliseras également un stage rémunéré de 8 à 12 semaines dans le miieu de ton choix au cours du trimestre d'été.
Au cours de la 3e année; tu seras initié(e) au processus de formulation et de mise au point de nouveaux aliments en industrie alimentaire; tu seras initié(e) aux méthodes et aux procédures de contrôle de la la qualité des produits alimentaires et de leur emballage; tu seras familiarisé(e) avec le processus complet qui permet de coordonner la distribution et le service des repas; tu apprendras à contrôle les revenus et les dépenses d'exploitation dans un service alimentaire; tu seras initié(e) aux principes de base d’une saine gestion des ressources humaines; applique la méthode de résolution de problèmes à des situations pouvant être vécues en industrie alimentaire, tu appliqueras la méthode de résolution de problèmes à des situations pouvant être vécues en industrie alimentaire, tant en recherche et développement qu'en contrôle de la qualité et enfin, tu intègreras les connaissances acquises en les mettant en pratique en contexte réel de travail.
Tu auras des cours tels que : technologie alimentaire 3 : mise au point et développement de produits alimentaires, qualité en industrie alimentaire, gestion de la distribution alimentaire, outils de gestion et contrôle en service alimentaire, contrôle budgétaire d'un service alimentaire, gestion du personnel d'un service alimentaire, nutrition clinique 2, technologie alimentaire 4 : normes et conformité, ainsi qu'un stage en milieu professionnel (d'une durée de 8 semaines à temps complet ou 2 jours/sem pendant 15 semaines selon les collèges).
Note : le nom et le contenu des cours peuvent différer selon les cégeps, mais les objectifs restent les mêmes.
D.E.C.-BAC :
Qu'est-ce qu'un programme DEC-BAC ?
Consulte la page suivante
Il permet de se faire reconnaître des acquis du D.E.C. dans le cadre d'un programme de baccalauréat. Tu peux donc compléter tes études universitaires en 3,5 ans au lieu de 4 ans.
Voici les ententes actuelllement offertes :
DEC-BAC en sciences et technologie des aliments
(DEC en techniques de diététique + Bacc en sciences et technologie des aliments) en 4 ans.
§ Entente entre le Cégep de Trois-Rivières et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Limoilou et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Chicoutimi et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Rimouski et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Saint-Hyacinthe et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep Montmorency et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Maisonneuve et l'Université Laval
PASSERELLES :
Un programme passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est offerte lors de la demande.
Voici quelques-unes de ces ententes :
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 11 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son baccalauréat en nutrition
L'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Certificat en sciences et qualité des aliments
L'Université Laval pourra reconnaître 3 crédits (le cours "microbiologie générale et laboratoire") aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Certificat en technologie alimentaire et nouveaux aliments
ÉTUDES SUPÉRIEURES :
Si tu le désires, tu pourras poursuivre tes études à l'université dans l'un des programmes suivants :
Gestion du tourisme et de l'hôtellerie - concentration gestion hôtelière
et de restauration à l'UQÀM-ITHQ
Sciences de la consommation à l'Université Laval
Nutrition à Laval (1 cours de maths + 3 cours de chimie exigés), à
Montréal et Mcgill (2 cours de chimie, 2 cours de maths et 3 cours de physique)
Sciences et technologie des aliments à Laval (2 cours de maths, 2 cours
de chimie et 1 cours de physique exigés) et à Mcgill (consulte l'Université pour
les préalables requis)
Microbiologie à Laval (1 cours de biologie et 2 cours de chimie exigés),
à Sherbrooke (1 cours de maths et 1 cours de chimie exigés) et à Mcgill (consulte
l'Université pour les préalables requis)
Biologie moléculaire et cellulaire à Sherbrooke (1 cours de maths et 1 cours de chimie exigés)
Il est également possible de suivre une formation spécialisée de consultante en lactation diplômée afin de fournir de l'intervention clinique en allaitement et lactation humaine auprès de mères et de leur nourrisson. Tu devras obtenir une certification en consultation en lactation et allaitement.
Tu devras suivre 14 cours de base de niveau universitaire en sciences de la santé (notamment en anatomie humaine, physiologie humaine, développement de l'enfant, nutrition, terminologie médicale, psychologie du counselling, contrôle des infections, éthique professionnelle, etc.
Ensuite, tu devras suivre une formation de 90 heures à temps partiel en lactation et allaitement maternel qui devront être effectuées dans les 5 années
et acquérir une expérience d'au moins 1 000 heures dans l'accompagnement et le soutien en allaitement et d'expérience clinique spécifique avant la passation de l'examen de certification.
Pour plus de détails, consulte l'International Board of Lactation Consultant Examiners.
EXIGENCES
D’ADMISSION :
-
Détenir un D.E.S. et avoir réussi le cours suivant ou son
équivalent
STE ou SE 4e (anciennement sciences physiques
436)
Note 1 : il est recommandé d’avoir suivi le
cours chimie 5e (anciennement chimie 534) ce qui t’aidera dans tes études à ce
programme
Note
2 : pour connaître les cours équivalents en
éducation aux adultes, consulte la
page suivante
STATISTIQUES
D’ADMISSION :
Aucun contingentement à ce programme.
Les candidats(es) admissibles (qui répondent aux exigences d'admission) sont généralement admis.
Admissions ouvertes au trimestre d'automne seulement (sauf Rimouski : admissions également ouvertes au trimestre d'hiver).
ENDROITS
DE FORMATION :
offert en cheminement régulier à temps complet
de jour
OU en
alternance travail-études ATE à
temps complet de jour.
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits
(après étude du dossier de l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en
biologie
de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits
dans le cadre du
Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal;
et le
D.E.C.-BAC en sciences et technologie des aliments
offert conjointement avec
l'Université
Laval;
Les groupes-classes sont de
petite taille permetant un
enseignement personnalisé et un meilleur
encadrement des professeurs;
Comporte plusieurs
travaux pratiques
(représentant près de 50 % de la formation), tels que :
analyses chimiques d'aliments, analyses microbiologiques des aliments,
analyses sensorielles des aliments, préparation expérimentale d'aliments
santé, conception de menus santé, etc.);
Accès à nombreux
laboratoires dont : un laboratoire
des sciences des aliments, un laboratoire-cuisine et un laboratoire
d'informatique, regarde le
vidéo suivant;
Réalisation
de
projets en nutrition communautaire
en collaboration avec des
organismes communautaires de la région;
Possibilité de réaliser un
séjour d'études à l'étranger
(Canada, France,
Belgique, etc.);
Pour plus de détails,
regarde la
vidéo promotionnelle du programme;
Comprend un
stage crédité obligatoire
à chacune des années
d'études;
Possibilité
de réaliser
2
stages
rémunérés
dans le
milieu de travail de ton choix
de 3 mois chacun au
cours des trimestres d'été,
voir la
page suivante;
Le
stage en nutrition clinique est
généralement effectué à :
l'Hôpital
régional de Rimouski (second plus grand
établissement hospitalier de l'Est du Québec figurait au 1er
rang des meilleurs hôpitaux à mission régionale en 2019 et 2018
Pour plus de détails, regarde le
vidéo suivant réalisé TVA Est du Québec.
offert en cheminement régulier à temps complet
de jour
OU en
alternance travail-études ATE à
temps complet de jour.
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits
(après étude du dossier de l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en
biologie
de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits
dans le cadre du
Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal;
Possibilité d'obtenir une
bourse de 2500 $ de la Commission
des partenaires du marché du travail accordée à un(e) étudiant(e) de l'extérieur
du Saguenay-Lac-St-Jean
Les
classes sont de petite
taille permettant un
enseignement personnalisé un meilleure
encadrement des professeurs;
Accès à des
laboratoires d'enseignement bien équipés dont : un
laboratoire de transformation alimentaire, un
laboratoire d'informatique, ainsi que le
comptoir
alimentaire L'arc-en-ciel;
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(conférences de diététistes-nutritonnistes, de
médecins, de
spécialistes en sciences des aliments, et de chefs
cuisiniers; visites d'hôpitaux et d'entreprises, journée carrière, colloque en
techniques de la santé, kiosques d'information sur la
santé nutritionnelle et les saines habitudes alimentaires destinés au grand public, etc.);
Possibilité de participer
aux opérations du
comptoir
alimentaire L'arc-en-ciel permettant de concevoir des menus
pour emporter et ouvert au grand public;
Contribution des
étudiants(es) en techniques de diététique dans la
production des repas pour les enfants
du CPE du cégep;
Possibilité de réaliser des
projets réels
en collaboration avec des entreprises agroalimentaires de la région;
l'Hôpital
de Chicoutimi (le
plus grand établissement hospitalier de l'Est du Québec
ayant une vocation régionale et ayant une affiliation universitaire avec
les universités de Sherbrooke et de Montréal et un partenariat avec
l'UQAC)
offert en cheminement
régulier à temps complet de jour
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal;
et
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval.
Accès à des
laboratoires,
soit : un
laboratoire
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(conférences de diététistes-nutritionnistes et de
chefs cuisiniers, journée carrière,
colloque en techniques de diététique, etc.);
Comprend la réalisation d'un
projet de fin d'études
en techniques de diététique pouvant être réalisé en partenariat avec une
entreprise ou une organisation de la région;
offert en cheminement
régulier à temps complet de jour
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits
dans le cadre du Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits
(après étude du dossier de l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en
biologie
de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
et
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal.
Accès à
des
laboratoires bien équipés dont : un laboratoire
des sciences des aliments, un laboratoire
d'informatique et le comptoir alimentaire
Caf-École;
Comporte plusieurs
travaux pratiques
(représentant près de 50 % de la formation), tels que :
analyses chimiques d'aliments, analyses microbiologiques des aliments,
analyses sensorielles des aliments, préparation expérimentale d'aliments
santé, conception de menus santé, travaux de recherche
en nutrition ou en sciences des aliments, production de repas destinés
aux étudiants et au grand public, etc.);
Réalisation
de
projets en nutrition communautaire
en collaboration avec des
organismes communautaires de la région;
Possibilité de réaliser un
séjour d'études à l'étranger
(Brésil, Chili, France, etc.);
Possibilité de réaliser un
stage humanitaire en santé nutritionnelle en
Afrique
ou en Amérique latine (ex : Côte-d'Ivoire, Guadeloupe, Haîti ou Sénégal);
Comprend la réalisation d'un
projet de fin d'études
en techniques de diététique pouvant être réalisé en partenariat avec une
entreprise ou une organisation de la région;
Pour plus de détails,
regarde la
vidéo promotionnelle du programme;
le
Centre hospitalier affilié universitaire régional de Trois-Rivières CHAUR
(l’un des plus importants établissements de santé au Québec affilié
à l'Université de Montréal et partenaire de l'UQTR ayant
figuré
au
2e
rang parmi les meilleurs hôpitaux à
vocation régionale
en 2019
ffert en cheminement
régulier à temps complet de jour
OU
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
9 crédits (cote R
de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en microbiologie-immunologie de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits
dans le cadre du Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université
Laval;
et le
D.E.C.-BAC en sciences et technologie des aliments
offert conjointement avec
l'Université
Laval;
Accès à nombreux
laboratoires
munis d’équipements à la
fine pointe de la technologie, dont : un laboratoire
des sciences des aliments, un laboratoire
d'informatique et un
restaurant-école L'A+mbroisie, regarde aussi la
vidéo suivante;
Comporte plusieurs
travaux pratiques, tels que :
analyses chimiques d'aliments, analyses microbiologiques des aliments,
analyses sensorielles des aliments, préparation expérimentale d'aliments
santé, conception et production de menus santé destinés à la clientèle
du collège au sein du
restaurant-école L'A+mbroisie,
production des mets à emporter de qualité dans les distributeurs
automatiques du collège, rédaction de projets de recherche sur la
nutrition, etc.;
Participation à
différentes
activités parascolaires et professionnelles
(conférences de diététistes-nutritionnistes, de
spécialistes en sciences des aliments et de
chefs cuisiniers, journée carrière,
colloque en techniques de diététique,
participation à des activités de promotion de la santé
nutritonnelle et des saines habitudes alimentaires destinées au grand
public, etc.);
Réalisation
de
projets en nutrition communautaire
en collaboration avec des
organismes communautaires de la région;
Pour plus de détails, regarde la
vidéo promotionnelle
et le
webiaire du programme.
Comprend un
stage crédité obligatoire
de 8 semaines dans
le milieu professionnel de ton choix au cours de la dernière session;
L'un des
stages
peut être réalisée à l'Hôpital
La Cité de la santé
offert en cheminement
régulier à temps complet de jour
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits
(après étude du dossier de l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en
biologie
de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits
dans le cadre du
Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal;
et le
D.E.C.-BAC en sciences et technologie des aliments
offert conjointement avec
l'Université
Laval;
Possibilité de bénéficier d'un
service de
tutorat dans les disciplines fondamentales au sein du
Centre d'aide à l'apprentissage (mathématiques,
chimie, français ou anglais);
De
nouvelles
approches pédagogiques,
dont
:
l’utilisation d’un hôpital virtuel, de tables rondes et d’études de cas,
des débats, des projets et l’apprentissage par problèmes;
Accès à nombreux
laboratoires et autres installations dont :
un laboratoire en sciences
des aliments,
une salle d'analyse
sensorielle,
2 laboratoires de cuisine domestique équipés
d'appareils de contrôle de qualité des aliments, un laboratoire de
cuisine de collectivité comprenant des équipements modernes qui
permettent de produire jusqu'à 300 repas, une cafétéria pédagogique, le
Croque-Bouffe, gérée par les étudiants et les étudiantes de 2e
et 3e année et qui sert jusqu'à
50 repas le midi
et un laboratoire d'informatique
doté de logiciels
spécialisés en nutrition et services alimentaires;
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(conférences de diététistes-nutritionnistes,
de spécialistes en sciences des
aliments, de médecins et de chefs cuisiniers; visites d'hôpitaux,
d'entreprises alimentaires et autres milieux; journée carrière, kiosques d'information sur
la santé nutritionnelle et les saines habitudes
alimentaires au grand public, etc.);
Possibilité de réaliser un
stage d'initiation à la coopération internationale
au Pérou dans le cadre du
Projet Monde;
Possibilité de réaliser un
séjour linguistique et interculturel
(Allemagne, Chine, Costa Rica, Italie ou Vietnam);
Possibilité de participer à
des
activités entrepreneuriales
grâce au programme
Entrepreneuriat-Études et au
Club d'entrepreneriat étudiant permettant de réaliser un
projet de démarrage d'une entreprise et à la
Jeune Coop en développement durable;
Possibilité de réaliser
des
projets réels en
collaboration avec des entreprises et autres partenaires de la région;
Un grand choix de
milieux de stage
notamment au sein d'entreprises agroalimentaires dans la seconde région
agroalimentaire en importance au Québec, Chaudière-Appalaches;
Possibilité de réaliser
le
stage professionnel à l'international
(ailleurs au Canada, France ou Belgique).
au
CHU de Québec
(second plus important centre hospitalier universitaire du Québec
réparti sur 5 sites : CHUL, Enfant-Jésus, St-François-d'Assise, St-Sacrement et
L'Hôtel-Dieu de Québec, l'un des 3 plus importants CHU au Canada
et deviendra le premier et l'un des plus modernes en Amérique du Nord
lors de l'ouverture du nouveau complexe hospitalier)
offert en cheminement
régulier à temps complet de jour
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits (cote R
de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en microbiologie-immunologie de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits
dans le cadre du Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits
(après étude du dossier de l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en
biologie
de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire de l'UQAR;
et le
D.E.C.-BAC en sciences et technologie des aliments
offert conjointement avec
l'Université
Laval;
Comporte plusieurs
travaux pratiques
(représentant près de 50 % de la formation), tels que :
analyses chimiques d'aliments, analyses microbiologiques des aliments,
analyses sensorielles des aliments, préparation expérimentale d'aliments
santé, conception de menus santé, etc.;
Accès à
plusieurs
Accès aux
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(conférences de diététistes-nutritionnistes, de spécialistes en
sciences des aliments, de médecins et de chefs cuisiniers; visites d'hôpitaux,
d'entreprises alimentaires et autres milieux; journée carrière, kiosques d'information sur
la santé nutritionnelle et les saines habitudes alimentaires au grand public, etc.);
Comprend la réalisation de projets
d'animation en santé nutritionnelle et saines habitudes
alimentaires en milieu communautaire;
Participation à des
projets intégrateurs en
nutrition clinique, en gestion et en transformation alimentaire en
partenariat avec des entreprises agroalimentaires et organismes de santé
de la région;
Possibilité de réaliser des
projets en agroalimentaire en collaboration avec les
étudiants de l'ITA - campus de St-Hyacinthe;
Possibilité de réaliser un
projet de recherche en partenariat avec
Cintech
agroalimentaire, un centre collégial de transfert de
technologie, ainsi qu’avec de nombreuses industries de la Technopole
agroalimentaire de la région;
Possibilité de réaliser un
stage professionnel à l'étranger
(France ou Belgique) au sein d'un établissement de santé ou
d'une entreprise alimentaire ou autre milieu;
Comprend la réalisation d'
un
stage
crédité obligatoire
(possibilité d'être rémunéré)
de 8 semaines dans
le milieu professionnel de ton choix au cours de la dernière session;
Un
grand choix de milieux de stages au sein
d'entreprises de transformation alimentaire dans la
Capitale québécoise de l'agroalimentaire;
l'Hôpital Charles Lemoyne (centre
hospitalier régional et universitaire de soins généraux, spécialisés et
ultraspécialisés situé à Longueuil, désigné comme
seul centre situé en Montérégie
affilié à l'Université de Sherbrooke figurait
ou
dans l'un
des hôpitaux de Montréal (CHUM, CHU
Sainte-Justine, Hôpital du Sacré-Cœur);
Possibilité de réaliser
2 stages rémunérés
dans le milieu de travail de ton choix de 3 mois chacun
au cours des trimestres d'été, voir la
page suivante.
Site du
Centre d'innovation
technologique Cintech Agroalimentaire,
un centre collégial de transfert de technologie rattaché
à l'ITA
fournissant de l'expertise auprès des PME agroalimentaires de partout au
Québec dans les domaines tels que :
adaptation et
amélioration des méthodes de production, développement de nouveaux
produits, assurance-qualité et sécurité alimentaire, valorisation des
sous-produits alimentaires, évaluation sensorielle par des consommateurs
ciblés, etc.
offert en cheminement
régulier à temps complet de jour
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
14 crédits (cote R de 26,000 ou plus)
dans le cadre du
Baccalauréat en
nutrition humaine
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits
(cote R de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en
sciences biologiques
de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits (cote R
de 26,000 ou plus) dans le cadre du
Baccalauréat en microbiologie-immunologie de l'Université
de Montréal;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
15 crédits (après analyse du dossier de
l'étudiant) dans le cadre du
Baccalauréat en enseignement des sciences et technologie
au secondaire
de l'UQAM;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à
11 crédits dans le cadre du
Baccalauréat en nutrition de l'Université
Laval;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits
dans le cadre du Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université
Laval;
et le
D.E.C.-BAC en sciences et technologie des aliments
offert conjointement avec
l'Université
Laval;
Accès à
3
laboratoires
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(conférences de diététistes-nutritionnistes,
de spécialistes en sciences des
aliments, de médecins et de chefs cuisiniers; visites d'hôpitaux,
d'entreprises alimentaires, de centres de recherche et autres milieux; journée carrière, kiosques d'information sur
la santé nutritionnelle et les saines habitudes
alimentaires au grand public, etc.);
Accès à la clinique-école
multidisciplinaire
Coop
Solidarité Santé de Montréal qui offre des services de santé
multidisciplinaires (dont des conseils en santé nutritionnelle) à toute la population de l'Est de Montréal et
encadrés par des professeurs;
Pour plus de détails,
regarde la
vidéo promotionnelle du programme;
Un
grand choix de milieux de stages au sein
d'entreprises de transformation alimentaire, d'établissements de santé,
d'établissements d'enseignement, d'établissements hôteliers et autres
milieux;
CIUSSS du Nord-de-l'Île-de-Montréal (l'hôpital
du Sacré-Cœur a une affiliation à l'Université de
Montréal désigné comme
l'un des 4 centres ambulatoires de Montréal notamment
spécialisé dans les maladies cardiovasculaires et respiratoires);
CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal
(ayant une affiliation à l'Université de Montréal,
l'hôpital Maisonneuve-Rosemont est réparti
sur 2 sites le
plus important établissement de soins généraux et spécialisés au Québec)
Centre
hospitalier de l'Université de Montréal CHUM (LE plus important centre hospitalier universitaire du Québec
affilié à l’Université de Montréal accueillant annuellement un
demi-million de patients offrant des soins généraux e spécialisés à la
population de Montréal et des services spécialisés et superspécialisés à
une patientèle régionale et suprarégionale);
Centre hospitalier universitaire mère-enfant Sainte-Justine
(seul établissement de santé dédié
exclusivement aux enfants, aux adolescents et
aux mères
au Québec offrant des soins spécialisés et ultraspécialisés à toute la
jeune population de la province affilié à l'Université de Montréal);
l'Hôpital
de Montréal pour enfants (un hôpital pédiatrique universitaire de
soins tertiaires bilingue affilié à l’Université McGill offrant des
soins spécialisés et ultraspécialisés à toute la jeune population de la
provinc);
Institut de cardiologie de Montréal (Centre hospitalier
ultraspécialisé dans les maladies cardiovasculaires de l'adulte affilié
à l’Université de Montréal, reconnu comme un leader dans son domaine au
Canada et dans le monde);
Institut
universitaire de gériatrie de Montréal (centre de soins
spécialisés en santé des personnes âgées, chef de file au Québec dans
les pratiques cliniques et les soins spécialisés sur le vieillissement
et la santé des personnes âgées).
LIENS RECOMMANDÉS :
l'entrevue avec Julie Breton, technicienne en contrôle de la qualité des fruits et légumes au Centre de distribution de Sobeys Québec et réalisée par le Cégep de Limoilou;