Retour à la page du secteur bâtiment et construction

Retour à la page d’accueil

dernière mise à jour : avril 2015

 

 

PORTRAIT DE L'INDUSTRIE

DE LA CONSTRUCTION et ENTRETIEN
DE BATIMENTS

 

L'industrie québécoise de la construction de bâtiments est l'un des plus importants et des plus dynamiques secteurs économiques du Québec.

 

En 2013, elle a généré près de 48 milliards $ de dépenses d'investissements en construction (incluant la construction de génie civil).

 

La construction est partout. Comme le produit de la construction se réalise sur place, l'industrie a des assises et des retombées nécessairement locales importantes. On ne peut produire des automobiles partout; mais on peut par contre construire des bâtiments à peu près dans tous les coins du Québec. De plus, la construction implique en général des sommes considérables et les installations durent longtemps.

La plupart du temps, les entrepreneurs généraux en construction font affaires avec des sous-contractants locaux, notamment les entrepreneurs spécialisés de différents secteurs qui sont situés dans la région, achètent leurs fournitures dans les commerces de la région (notamment les quincailleries, les petites scieries, les commerces spécialisés en pièces pour machineries), etc.

Il ne faut pas oublier que des centaines de travailleurs sur un chantier permettent aux commerces et aux entreprises environnants de fonctionner (comme par exemple, les restaurants, les stations-service, les dépanneurs, les épiceries, les garderies, les garages, etc).

De plus, davantage qu'il y a de projets de construction dans un quartier ou dans une ville, davantage il y a aura de nouveaux résidents qui s'y installeront. Donc, elle contribue fortement au développement économique et urbain local et régional.

On retrouve 4 sous-secteurs de la construction de bâtiments :

Il faut ajouter à ces sous-secteurs, le secteur manufacturier de la construction, pour plus de détails, consulte également les secteurs suivants :

Elle employait plus de 136 000 travailleuses et travailleurs directement reliés à cette industrie partout dans la province (soit une hausse de 17 % par rapport à 2011.

 

Voici un petit tableau reprèsentant la répartition des emplois de la construction par secteurs :

 


source : Commission de la construction du Québec

 

En 2013, l'industrie québécoise de la construction comprenait :

Voici la répartition des effectifs par métier et par secteur qui étaient actifs en 2013 (excluant le secteur de la construction de génie civil) :

 

Note : Un(e) salarié(e) peut apparaître dans plus d'un secteur mais n'est considéré qu'une fois dans le total.

MÉTIERS NBRE
 SALARIÉS
secteur commercial
et institutionnel
NBRE
 SALARIÉS
secteur résidentiel
NBRE
 SALARIÉS
secteur industriel
NBRE
 SALARIÉS
TOTAL
Briqueteur(euse)-maçon(ne) 3 482 3 151 408 5 126
Calorifugeur(euse) 887 19 458 1 066
Carreleur(euse) 1 969 1 230 38 2 405
Charpentier(ère)-Menuiser(ière) 26 618 26 609 2 998 38 643
Chaudronnier(ère) 17 1 909 909
Cimentier(ère)-applicateur(trice) 2 012 1 075 378 2 245
Couvreur(euse) de toitures 4 136 2 350 436 5 002
Électricien(ne) 13 242 3 864 4 417 15 352
Électricien(ne) spécialisé(e) en systèmes intérieurs 1 069 57 11 1 137
Ferblantier(ère) 3 883 1 316 566 4 657
Ferrailleur(euse) 1 542 188 364 1 188
Frigoriste 3 023 505 431 3 391
Grutier(ère) 1 263 440 634 1 361
Mécanicien(ne) d'ascenseur 1 021 18 20 1 032
Mécanicien(ne) de chantier 112 18 1 025 1 326
Mécanicien(ne) de machineries 36 2 46 69
Mécanicien(ne) protection incendie 1 118 21 181 1 174
Monteur(euse)-assembleur(euse) acier structure 2 510 397 1 261 2 564
Monteur(euse)-mécanicien(ne) vitrier(ère) 2 221 380 91 2 440
Opérateur(trice) de pelles 2 347 1 737 713 2 049
Opérateur(trice) d'engins de chantier lourds 1 562 687 440 1 085
Peintre en bâtiment 4 682 2 693 354 5 561
Plâtrier(ère) 2 688 1 788 39 3 239
Poseur(euse) de revêtements souples 1 106 266 14 1 198
Poseur(euse) de systèmes intérieurs 2 717 521 41 2 828
Tuyauteur(euse) 6 260 2 794 2 508 8 834
TOTAL des métiers 73 196 35 933 23 985 115 881
Arpenteur(e)-topographe 72 0 48 120
Boutefeu-foreur(euse) 152 85 55 89
Manœuvre 9 887 4 197 2 299 9 445
Manœuvre de lignes 51 13 81 81
Soudeur(euse)-monteur(euse) 338 21 538 127
autres occupations 620 154 284 419
TOTAL des occupations 73 196 35 933 23 985 10 281
GRAND TOTAL 73 196 35 933 23 985 126 162

 

Sources : Commission de la construction du Québec, Ordre des ingénieurs du Québec, Ordre des architectes du Québec, Association des inspecteurs en bâtiment du Québec et Service Canada.

 

Ils ont accumulé plus de 122.4 millions d'heures travaillées (78,7 millions dans le secteur commercial et institutionnel, 28,9 millions dans le secteur résidentiel et 14,8 millions dans le secteur industriel) avec une moyenne de 980 heures par travailleur, soit 7 moins de travail.

Voir un premier tableau démontrant le nombre total d'heures travaillées selon le statut professionnel en 2013 :

 

Voici un second tableau démontrant le % de salariés par statut professionnel selon le nombre d'heures travaillées en 2013 :


Source : Commission de la construction du Québec

EST-CE QU'IL EST POSSIBLE DE TRAVAILLER DANS CE SECTEUR EN DEHORS DES CHANTIERS ?

 

Il ne faut pas oublier également les secteurs connexes à l'industrie de la construction proprement dite où le travail ne s'effectue pas sur des chantiers (ou s'effectue en partie). Par exemple : les manufacturiers de maisons préfabriquées, les manufacturiers de matériaux ou autres produits de la construction, les distributeurs de matériaux de construction et les quincailleries, les firmes de consultants en bâtiment, les firmes d'ingénieurs conseils, les firmes d'architectes, etc.


Pour plus de détails, consulte le portrait de l'industrie des produits et services de la construction

 

LE PROFIL DES ENTREPRISES DE LA CONSTRUCTION :

 

Toute entreprise de la construction doit détenir un permis émis par la Régie du bâtiment du Québec lui permettant le droit d'être en affaires dans l'industrie de la construction, que ce soit dans les secteurs résidentiel, commercial, institutionnel ou industriel.

 

Pour plus de détails, consulte le Registre québécois des détenteurs de licence d'entrepreneur en construction de la Régie du Bâtiment du Québec.

 

Il existe 2 grandes catégories d'entrepreneurs :

En 2013, l'industrie québécoise de la construction comptait plus de 22 980 entreprises de construction de bâtiments actives dans un ou plusieurs secteurs de la construction.

Il y avait :

Parmi ces dernières, près de 12 400 étaient des entrepreneurs généraux et près de 10 600 étaient des entrepreneurs spécialisés (ex : électricité, plomberie-chauffage, réfrigération, charpenterie-menuiserie, toitures, etc).

En 2013, elles comptaient pour 20 % des emplois créés au Québec.

Voici un tableau démontrant la taille de ces entreprises selon le nombre d'employés(es) (par rapport au total d'entreprises du secteur) en 2013 :


Source : Commission de la construction du Québec

Donc, près de 84 % des entreprises de la construction employaient 5 personnes ou moins, alors seulement 83 entreprises employaient 100 personnes ou + (dont 1 seule employait plus de 500 personnes).

Voici la répartition par région en 2013 (selon la place d'affaires de l'entreprise) :

(excluant les entreprises de construction de génie civil)

 

Note : Une entreprise peut apparaître dans plus d'un secteur mais n'est considéré qu'une fois dans le total.

 

RÉGIONS NBRE
ENTREPRISES
secteur commercial
et institutionnel
NBRE
 ENTREPRISES
secteur résidentiel
NBRE
ENTREPRISES
secteur industriel
NBRE
 ENTREPRISES
TOTAL
Abitibi-Témiscamingue 315 208 76 345
Bas-St-Laurent et Gaspésie 715 527 61 769
Centre-du-Québec 528 498 89 760
Chaudière-Appalaches 996 920 82 1 299
Côte-Nord 146 96 35 160
Estrie 722 778 100 1 014
Lanaudière 1 350 1 401 94 2 166
Laurentides 1 516 1 067 106 2 432
Laval 1 082 1 122 76 1 736
Mauricie 596 561 100 856
Montérégie 2 823 2 966 327 4 515
Montréal (Île de) 1 862 1 414 170 2 783
Nord-du-Québec 27 18 7 30
Outaouais 686 742 33 1 002
Québec 1 851 1 708 153 2 410
Saguenay-Lac-St-Jean 582 574 145 713
TOTAL 15 900 15 106 1 703 22 983

 

Sources : Commission de la construction du Québec, Régie du bâtiment du Québec, APCHQ et ACQ

Voici quelques exemples des entreprises ayant figurés parmi les plus importants employeurs selon le nombre d'heures assujetties enregistrées par la Commission de la construction du Québec en 2013 :

(excluant le génie civil et voirie)

 

En construction commerciale et institutionnelle :

En construction industrielle :

En construction résidentielle :

VEUX-TU Y FAIRE CARRIÈRE ?

 

Au sein de l'industrie de la construction on dénombre 32 occupations, 26 métiers spécialisés, une dizaine de fonctions de technologues, des architectes et ingénieurs formant la main-d'oeuvre de cette industrie. Donc, on retrouve des métiers et professions pour tous les goûts, aptitudes et niveaux d'études.

 

Pour plus de détails sur ces professions, consulte les secteurs suivants :

Si tu n'as pas terminé tes études et ne veut pas entreprendre de longues études, une occupation te serait conseillée comme :

note : il te sera possible d'occuper différentes occupations dans une année selon les besoins des chantiers

Tu aimerais effectuer l'entretien de bâtiments ?

-    Coordonnateur(trice) ou superviseur(e) ou surintendant(e) en entretien de bâtiments

-    Technicien(ne) en exploitation d'immeubles

-    Technicien(ne) en évaluation immobilière

-    Mécanicien(ne) de machines fixes

-    Mécanicien(e) en climatisation

-    Mécanicien(ne) en réfrigération

-    Ouvrier(ère) certifié(e) d'entretien

-    Chauffagiste en mécanique d'appareils de combustion au mazou

-    Menuisier(ère) d'entretien

-    Plombier(ère)

-    Préposé(e) à la peinture et à la maintenance

-    Aide-mécanicien(ne) de machines fixes

-    Ouvrier(ère) d'entretien général de bâtiments

-    Préposé(e) à l'entretien d'immeubles

-    Aide des métiers du bâtiment

As-tu une bonne condition physique, de bonnes habiletés manuelles et le souci du travail bien fait afin de participer à la construction d'un bâtiment ou d'une structure ?, l'un des métiers suivants est fait pour toi :

Peut-être as-tu des habiletés afin d'opérer ou d'entretenir des équipements d'un chantier ou d'un immeuble ?

Peut-être as-tu des qualités de vendeur(euse) ou en gestion ?

Tu as davantage les aptitudes pour superviser des travaux afin participer à la conception de bâtiments ou structures ?, l'une des professions suivantes pourraient t'intéresser :

Ce que tu veux c'est de concevoir et de gérer des projets de construction ?, donc tu devrais devenir :

LES AVANTAGES, QUELS SONT-ILS ?

 

Au sein de l'industrie de la construction, tu auras de nombreux avantages qui te sont offerts : la mobilité du travail d'une chantier à un autre, d'une entreprise à un autre et d'un employeur à un autre, assurance-santé collective (couvrant les soins dentaires, optométristes, en plus des médicaments et de certains autres soins, ainsi qu'une assurance-salaire), régime de retraite, 2 semaines de congé durant la période des ventes, 2 semaines de vacances en été, une dizaine de jours fériés annuels, des activités de formation continue, etc. Dans la plupart des métiers, on retrouve des travailleurs(euses) ayant du bouleau toute l'année.

 

Une reconnaissance des compétences partout au pays :

 

Depuis 2010; 18 métiers ont fait l'objet d'une reconnaissance mutuelle des qualifications des autres provinces canadiennes permettant aux titulaires d'une carte de compétence apprenti ou compagnon de la CCQ est reconnu sur les chantiers dans n'importe quelle province ou territoire au pays, soit :

 

briqueteur-maçon, carreleur, charpentier-menuisier, cimentier-applicateur, couvreur, électricien, frigoriste, mécanicien d'ascenseurs, mécanicien de chantier, mécanicien d'engins de chantier, opérateur d'équipements lourds, opérateur de pelles mécaniques, peintre, plâtrier, plombier (tuyauteur), poseur de revêtements souples, poseur de systèmes intérieurs, serrurier en bâtiment, soudeur et vitrier.

 

Une reconnaissance des compétences en France :

 

Suite à une entente France-Québec, les titulaires d'une carte de compétence compagnon émis par la CCQ est reconnue sur les chantiers partout en France.

Les métiers comprennent : électricien, plombier (tuyauteur), frigoriste, mécanicien d'ascenseur, mécanicien de chantier et mécanicien en protection-incendie.

 

Une rémunération en début de carrière des plus avantageuses (selon les données 2013) :

Voici un tableau reprèsentant le nombre total de salariés et le salaire annuel moyen des 15 métiers les mieux rémunérés en 2013

 

MÉTIERS SALAIRE
 ANNUEL
 MOYEN
 (apprentis)
SALAIRE
 ANNUEL
 MOYEN
(compagnons)
Salaire annuel
 moyen (compagnon)
 travaillant 500 hres et +
Proportion des compagnons
 ayant acculé
500 hres et +
Grutier(ère) 73 706 $ 77 407 $ 78 800 $ 85 %
Mécanicien(ne) d'ascenseur 73 758 $ 76 671 $ 85 478 $ 88 %
Opérateur(trice) de pompe à béton 46 940 $ 67 600 $ 68 817 $ 85 %
Chaudronnier(ère) 62 500 $ 65 623 $ 85 083 $ 72 %
Mécanicien(ne) de chantier 56 016 $ 62 798 $ 82 901 $ 73 %
Frigoriste 24 672 $ 60 072 $ 70 088 $ 84 %
Mécanicien(ne) protection incendie 32 132 $ 55 986 $ 65 255 $ 84 %
Calorifugeur(euse) 43 170 $ 55 755 $ 65 781 $ 83 %
Tuyauteur(euse) 26 391 $ 53 529 $ 64 075 $ 81 %
Électricien(ne) 25 055 $ 53 164 $ 64 130 $ 81 %
Monteur(euse)-assembleur(euse) acier structure 30 895 $ 52 469 $ 65 758 $ 77 %
Mécanicien(ne) de machineries 33 924 $ 52 344 $ 79 768 $ 63 %
Ferrailleur(euse) 25 980 $ 52 265 $ 60 523 $ 84 %
Soudeur(euse)-monteur(euse) non applicable 49 973 $ 67 259 $ 68 %
Ferblantier(ère) 30 503 $ 49 189 $ 58 919 $ 81 %

 

Source : Commission de la construction du Québec

 

ET LES DÉSAVANTAGES ....

 

Comme dans tout milieu de travail, il y a également des désavantages.

 

L'industrie de la construction est surtout saisonnière, bien que plusieurs emplois peuvent être occupés à l'année.

 

Il est évident qu'un(e) couvreur(euse) de toitures ou un(e) monteur(euse)-assembleur(euse) ou un(e) cimentier(ère)-applicateur(trice) ne peuvent travailler pendant l'hiver.

 

Par contre, pour un(e) peintre, un(e) carreleur(euse) ou un(e) installeur(trice) de revêtements souples; c'est un peu plus facile.

 

De plus, l'industrie de la construction est souvent cyclique, c'est-à-dire qu'une année il y a de nombreux projets, mais que l'année suivante ils se font rares.

 

Enfin, pour bien gagner sa vie dans cette industrie, il faut accepter d'être mobile afin de pouvoir travailler dans n'importe quelle région du Québec (surtout pour certains métiers sont les effectifs sont plus rares).

 

Pour terminer, un(e) apprenti(e) peut prendre quelques années afin d'avoir accumulé le nombre suffisant d'heures requises afin d'obtenir sa carte de compagnon.

 

Prend note également que même si certains métiers de la construction (appelés "occupations") n'exigent pas de formation tout en offrant de bons salaires, ce sont les métiers spécialisés qui offrent les meilleures perspectives.

 

QUELLES SONT LES PERSPECTIVES D'EMPLOI

AU NIVEAU PROVINCIAL ?

 

Perspectives à court terme pour les 5 prochaines années (avec indications concernant surtout 2015 et 2016) ...

 

selon les informations disponibles en 2015...

 

Voir aussi plus bas, les perspectives à long terme un peu plus bas...

 

Après seize années de croissance quasi continue, tout indique que le volume de travail continuera de régresser quelque peu. En moyenne, les prévisions soutiennent que le nombre de travailleurs(euses) actifs dans l'industrie diminuera de 5 %, passant de 126 000 en 2013 à près de 120 000 en 2016.

 

Bien qu’affaiblis par la demande moins vigoureuse, les besoins de recrutement de main-d’oeuvre demeureront encore importants. Ils découleront surtout du roulement des travailleurs, toujours élevé dans l’industrie de la construction. Au final, un besoin de l’ordre de 11 000 nouveaux travailleurs est prévu annuellement. Donc, les perspectives d'avenir restent bonnes et intéressantes.

 

Les métiers offrant les meilleures perspectives au cours des prochaines années dans l'ensemble de l'industrie

 

carreleur(euse), poseur(euse) de revêtements souples, calorifugeur(eusse), ferblantier(ère), mécanicien(ne) d'ascenseurs, peintre en bâtiment et vitrier(ère).

 

De bonnes perspectives sont également offertes pour les métiers suivants :

 

couvreur(euse), grutier(ère), mécanicien(ne) en protection incendie, plâtrier(ère), monteur(euse)-assembleur(euse) et  chaudronnier(ère).

 

Pour les autres métiers, cela ne signifie pas que les perspectives sont mauvaises, mais plutôt que le nombre de diplômés(es) formés(es) dans les centres de formation répondent aux besoin de l'industrie. Donc, il y a équilibre entre l'offre et la demande de nouveaux travailleurs.

 

Des investissements de plus de 8,8 milliards $ seront consacrés aux projets en cours et aux projets à venir, principalement en construction commerciale et institutionnelle, mais également quelques projets d'importance en construction résidentielle. Alors qu'en construction industrielle, peu de projets de grande envergure sont annoncés exception du projet de mine de fer Fire Lake North dans le Nor-du-Québec encore à l'étude.

 

Pour ce qui des données spécifiques pour chacun des secteurs :

Perspectives à long terme pour les 10 à 15 prochaines années ...

Plusieurs milliers de travailleurs quitteront l’industrie dans les prochaines années en raison de leur âge. Malgré le rajeunissement survenu ces dernières années, on compte actuellement 16 600 travailleurs âgés de 55 ans ou plus. En somme, il faut remplacer annuellement de 1 500 à 2 000 départs nets de travailleurs à la retraite.

Donc, les perspectives à long terme semblent bonnes pour les prochaines années, ce qui permettra à l'industrie d'accueillir ses prochains(nes) diplômés(es) de la formation professionnelle, de la formation technique et de la formation universitaire.

Source : Commission de la construction du Québec

PARLE-MOI DE L'INDUSTRIE DE LA CONSTRUCTION DANS MA RÉGION ?

ET DES PERSPECTIVES ?

 

selon les informations disponibles en 2015...

QUELS SONT LES PROGRAMMES D'ÉTUDES ?

 

La plupart des occupations de la construction (manœuvre, conducteur de camion à benne ou à plate-forme, opérateur d'engins légers, etc.) n'exigent pas de formation, mais la réussite du Cours de santé et sécurité sur les chantiers de construction est exigé.

 

Pour plus de détails, consulte le métier de ton choix dans les secteurs suivants :

 

bâtiment et construction, électrotechnique, métallurgie, mécanique d'entretien, entretien d'équipements motorisés, transport

 

Voici les programmes offerts :

OÙ PUIS-JE ÉTUDIER ?

 

Il existe plusieurs établissements d'enseignement offrant des formations pour cette industrie,

 

Voici quelques d'entre-eux offrant plusieurs programmes en lien avec le domaine de la construction :

 

Pour plus de détails, consulte le métier de ton choix dans les secteurs suivants :

 

bâtiment et construction, électrotechnique, métallurgie, mécanique d'entretien, entretien d'équipements motorisés, transport

 

Montérégie :

 

Laurentides, Laval et Lanaudière :

 

Île de Montréal :

 

Québec métro  :

 

Chaudière-Appalaches  :

 

Mauricie et Centre-du-Québec :

 

Estrie :

 

Outaouais :

 

Abitibi-Témiscamingue :

 

Bas-St-Laurent et Gaspésie :

  

Saguenay- Lac St-Jean et Nord du Québec :

 

Côte-Nord :

POUR EN SAVOIR PLUS !

 

Consulte les sites suivants afin d'obtenir pour plus de détails sur le profil de l'industrie, les carrières  et les perspectives d'avenir :

 

LIENS RECOMMANDÉS :

 

Général :

 

-    Commission de la construction du Québec : liste des principaux chantiers en cours partout au Québec

-    Association de la construction du Québec : liste des chantiers importants en cours partout au Québec

-    Institut pour le partenariat public-privé : répertoire des principaux projets publics en partenariat avec les entreprises privées dans le secteur de la construction

-    Guide Habitation : répertoire des projets immobiliers partout au Québec

-    Portail Constructo : répertoire des projets immobiliers et chantiers partout au Québec

 

Répertoires d'entreprises :

 

Firmes d'architectes :

 

Voir la page du portrait de l'industrie des produits et services de la construction

 

Firmes d'ingénieurs :

 

Voir la page du portrait de l'industrie des produits et services de la construction

 

Entrepreneurs en construction :

 

Note : cette liste d'entreprises est à titre d'exemple seulement et n'a aucun but publicitaire. Ce n'est qu'une liste partielle à titre indicatif seulement, afin de faire découvrir des employeurs éventuels. Les descriptions proviennent des sites web des entreprises concernées.

 

Bâtiments préfabriqués :

 

Construction commerciale, institutionnelle et industrielle :

(entrepreneurs généraux)

 

Voir aussi les entrepreneurs spécialisés plus bas dans cette page

 

Construction résidentielle :

 

Voir aussi les entrepreneurs spécialisés plus bas dans cette page

 

 

Entrepreneurs spécialisés :

 

Électricité :

 

Climatisation, Réf rigération, Ventilation et géothermie :

 

Plomberie, Chauffage, tuyauterie et montage d'installations au gaz naturel :

 

Briquetage-maçonnerie :

 

Charpenterie-menuiserie :

 

Consulte notamment les entrepreneurs généraux puisque la plupart d'entre-eux réalisent de nombreux projets en charpenterie-menuiserie, ainsi que les entrepreneurs spécialisés en coffrage de béton ci-dessous, un domaine d'expertise des charpentiers-menuisiers.

 

Consulte aussi le Portrait de l'industrie du meuble et du bois ouvré où tu auras une liste de manufacturiers d'armoires de cuisine, de menuiserie architecturale et de portes et fenêtres

 

Coffrage et forage de béton :

 

Mécanique d'ascenseurs :

 

Peinture :

 

Pose d'armatures :

 

Protection-incendie :

 

Serrurerie et systèmes de sécurité :

 

Systèmes intérieurs et isolation :

Toitures :

Tuyauterie industrielle :

 

Vitrerie :

 

Autres :

 


 

Retour à la page du secteur bâtiment et construction

Retour à la page d’accueil