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secteur agriculture et agroalimentaire
SECTEUR : AGRICULTURE ET AGROALIMENTAIRE
BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.Sc.A.
Consulte aussi les infos concernant les programmes
pré-universitaires en sciences
Consulte également la page de description du métier d’ingénieur(e) alimentaire.
Va voir également ma section « liens recommandés » à la fin de cette page (dont des vidéos d'agronomes qui parlent de leur travail).
TÂCHES ET
RESPONSABILITÉS :
En tant que spécialiste en sciences et technologie des aliments; tu seras responsable d'assurer la qualité et l'innocuité des aliments, d'améliorer des produits, de développer de nouveaux aliments et d'en gérer la production au sein d'une une industrie alimentaire.
Au niveau de l'assurance et du contrôle de
la qualité,
tu devras notamment :
§
assurer la sécurité alimentaire,
le respect des normes d'hygiène et de salubrité
§
analyser et contrôler la qualité
et l'innocuité des matières premières, des produits intermédiaires et des
produits finis
§
mener des inspections (d'usine et
préopérationnelles) concernant les bonnes pratiques industrielles
§
accompagner l'entreprise dans le
développement ou l'implantation de système qualité (HACCP, GFSI, ISO, programme
de certification sans gluten, etc.)
§
assurer la conformité des
emballages avec les lois en vigueur
§
collaborer à la documentation
technique (ex. : spécification, tableaux nutritionnels, listes d'ingrédients)
§
offrir un service-conseil pour la
révision de l'étiquetage nutritionnel en conformité avec la réglementation en
vigueur
§
fournir une assistance scientifique
et technique afin de répondre aux demandes des clients en documentation
technique
§
concevoir et animer des formations
sur les normes d'hygiène et les bonnes pratiques de travail
§
superviser l'échantillonnage, le
classement et l'évaluation des produits finis
§
planifier les initiatives
d'amélioration de la qualité perçue par les consommateurs
§
planifier, diriger, coordonner et
contrôler les activités de contrôle et d'assurance qualité
§
Etc.
Au niveau de la production, tu
devras notamment :
·
résoudre des problèmes de production
·
contribuer à l'optimisation et à l'amélioration des opérations et du
rendement
·
coordonner les activités de
production et d'emballage
·
créer de nouvelles techniques de fabrication et de transformation des
aliments
·
Superviser le personnel de production
·
Etc.
En laboratoire, tu devras
notamment :
-
procéder à des analyses
physico-chimiques et microbiologiques
-
coordonner, réaliser et assurer le
suivi des analyses faites sur les matières premières, produits et environnement
-
valider de façon régulière
l'application de techniques de laboratoire adéquates pour assurer l'exactitude
des résultats ainsi que l'application de pratiques de travail sécuritaires
-
superviser des techniciens de
laboratoire
-
assurer la gestion et l'optimisation
du service d'analyse en laboratoire
-
Etc.
Au niveau des affaires reglementaires,
tu devras notamment :
i.
effectuer le suivi des demandes
d'approbation pour la création de produits dans le cadre des programmes de
certification des produits
ii.
gérer les non-conformités et
appliquer les mesures correctives
iii.
faire respecter les exigences
réglementaires de l'Agence canadienne d'inspection des aliments
iv.
gérer les dossiers de litige avec
les consommateurs et les autorités réglementaires
v.
agir à titre de référence/expert
en réglementation commerciale auprès des directeurs marketing, des chefs de
marque, des chargés de projets, des coordonnateurs informations techniques et
de la qualité, des directeurs services techniques, des agents de recherche et
développement
Au niveau de la recherche &
développement, tu devras notamment :
o
développer les listes
d'ingrédients et les tableaux nutritifs répondant à la Loi sur les aliments et
drogues
o
concevoir et mettre au point de nouveaux produits alimentaires
(ex. : obtention de sucres et d'alcools à partir de céréales) ou de récupérer
les résidus alimentaires, ou encore à la formulation d'aliments destinés à des
clientèles particulières comme les nourrissons, les personnes diabétiques, les
végétariens, etc.)
o
réaliser des protocoles pour les
essais
o
réaliser des recherches sur les
produits présents sur le marché et les fournisseurs
o
planifier et organiser les tests
de production des nouveaux produits en développement
o
effectuer des analyses de contrôle
de procédés pendant et après les essais (analyses quantitatives et
qualitatives)
o
développer et implanter de
nouveaux produits, du concept à la commercialisation
o
Etc.
Au niveau de la commercialisation,
tu devras notamment :
I.
conseiller l'équipe de marketing
au sujet de la distribution, de la mise en marché et de la vente des produits
sur les aspects scientifiques (ex : conservation, emballage, etc.)
II.
déterminer des besoins des consommateurs relatifs au produit en
collaboration avec l'équipe de marketing
III.
identifier les opportunités de marché afin d'accroître la valeur du produit
ou de la marque en collaboration avec l'équipe de marketing
IV.
participer à la veille
concurrentielle en analysant l'état du marché et les mesures prises par les
concurrents
V.
Etc.
QUALITÉS ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Intérêts pour le milieu agricole et agroalimentaire
-
Aptitudes pour les sciences
(biologiques, chimiques et physiques)
-
Bonnes habiletés et dextérité
manuelles pour manipuler efficacement et délicatement les différents
produits
-
Capacité d’analyse et de synthèse
et sens logique pour analyser les différents problèmes en production
-
Curiosité scientifique et sens
logique pour être amené(e) à chercher comment un produit est fait
-
bonne méthode de travail et gestion
du temps car tu auras à planifier les activités de production
-
Sens de l’observation pour
observer et détecter des anomalies dans le processus de production
-
Minutie et précision car tu
auras à manipuler adéquatement les divers produits tout en assurant de leur
qualité
-
Sens des responsabilités car tu
seras responsable des opérations de transformation ou du laboratoire d’analyse
-
Sens de l’initiative car tu seras
être de prendre des décisions seul(e) lorsqu’il y a des problèmes
-
Sens de l’organisation car tu
auras à entreposer de manière ordonnée les produits
-
Facilité à travailler en équipe
car tu auras à collaborer avec d’autres techniciens, des ouvriers à la
production et des ingénieurs alimentaires(et parfois des biochimistes dans les
laboratoires)
-
Facilité d’adaptation aux changements
technologiques car la technologie des équipements évolue constamment
-
Connaissance de l’anglais car la
plupart des publications spécialisées sont dans cette langue
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
-
Agronome en industrie alimentaire
-
Agronome des services de
vulgarisation
-
Agronome-conseil
-
Assistant(e) de recherche en sciences des aliments (avec une
maîtrise)
-
Chercheur(e) des aliments (avec un doctorat)
-
Conseiller(ère) au service
étiquetage et réglementation
-
Professeur(e) d’université en agronomie (avec un doctorat)
-
Professeur(e)
en technologie des aliments au collégial (avec expérience)
- Responsable assurance et/ou contrôle qualité
- Responsable ou Superviseur(e) de la production
- Scientifique en sciences alimentaires et développement de produits
- Spécialiste en développement de produits
- Superviseur(e) au contrôle de la qualité
- Technologue au laboratoire de contrôle de la qualité
EMPLOYEURS
POTENTIELS
-
Compagnies d’alimentation animale
-
Compagnies forestières
-
Industries agroalimentaires
-
aliments pour animaux
-
Cégeps et Instituts de technologie
agroalimentaire (enseignement technique)
-
Organismes privés de recherche et
développement en agronomie (Agrinova à Alma, Institut de recherche et développement en agroenvironnement)
-
Gouvernement du
Canada :
Carrières en
sciences et technologie,
Agence
canadienne d'inspection des aliments
Centre de recherche et développement en horticulture d'Agriculture Canada à
St-Jean-sur-Richelieu
Centre de recherche et développement sur les aliments d'Agriculture Canada à St-Hyacinthe
Centre de recherche et de développement sur le bovin laitier et le porc d'Agriculture Canada à Sherbrooke
Centre de recherches de l'Est sur les céréales et les oléagineux d'Agriculture Canada à Ottawa
-
Gouvernement
du Québec :
Ministère
de l'agriculture, des pêcheries et de l'alimentation du Québec MAPAQ, Laboratoire d'expertises et d'analyses alimentaires
-
Universités (consulte la page suivante pour avoir une liste d’organismes de
recherche en agronomie), dont notamment :
Centre
de recherche en sciences et technologie du lait de l'Université Laval,
Institut des nutraceutiques et aliments fonctionnels de l'Université Laval,
Centre
des sciences des aliments et nutrition de l'Université Mcgill, Centre de recherche
en horticulture de l'Université Laval
EXIGENCES DES
EMPLOYEURS :
-
Bonne connaissance de l’anglais
-
Facilité d’adaptation aux changements technologiques
-
Horaires de travail parfois sur quarts
(soirs/nuits/fins de semaine) chez certains employeurs (principalement les PME
en transformation alimentaire)
-
Déplacements occasionnels lorsque
plusieurs usines à couvrir
PERMIS DE PRATIQUE :
Il n'est pas
obligatoirement de devenir membre d'un ordre professionnel afin de
pratiquer comme spécialiste en sciences et technologie des aliments, mais
augmente les possibilités d'obtention d'un emploi notamment lors de promotions.
Par contre, certains employeurs le recommandent ou l'exigent.
Au
Québec, pour pratiquer en tant qu’agronome; tu dois obligatoirement
devenir membre de l’Ordre des agronomes du Québec.
Cette profession est régie par une loi et un
code de déontologie qui ne permet qu’aux détenteurs de ce titre de pratiquer
dans le domaine. Tu devras réussir un examen d’admission
et n’est que la suite que tu pourras obtenir ton permis de pratique et agir en
tant qu’agronome.
Contrairement
à d'autres ordres professionnels, aucun stage ou période probatoire
n'est exigée.
Toutefois,
tu devras réussir l’examen d’admission et ensuite tu pourras obtenir ton permis
de pratique et porter le titre d'agronome.
L'Ordre des chimistes du
Québec peut reconnaître les titulaires d'un diplôme
universitaire québécois dans une discipline scientifique connexe au domaine de
la chimie, tel que les baccalauréats en sciences et technologie des aliments de l'Université
Laval et de l'Université Mcgill permettant d'obtenir un permis de pratique et
porter le titre de chimiste
ou biochimiste.
Les professions de chimiste et de biochimiste
sont régies par une loi et un code de déontologie qui ne permet qu’aux
détenteurs de ce titre de pratiquer dans le domaine.
Tout
d’abord, tu devras acquérir un minimum de 24 mois d'expérience
pertinente dans un domaine de la microbiologie reconnus par l'Ordre au titre de
"chimiste à l'entraînement" sous la supervision d'un(e) biochimiste
ou d'un(e) microbiologiste d'expérience membre en règle de l'Ordre ET réussir
les examens d'admission avant d'obtenir le permis de pratique de plein droit et
obtenir le titre de « chimiste ».
Toutefois,
l'expérience acquise dans le cadre de stages coopératifs dans un programme de
baccalauréat ou de maîtrise est reconnue par l'Ordre.
PLACEMENT :
Selon les
données disponibles au 31 janvier 2021 :
Pour le Baccalauréat :
Le
placement est EXCELLENT, 92 % des répondants(es) qui se sont
dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié dont la presque
totalité sont à temps complet.
Plusieurs répondants(es), soit
40 % ont
choisi de poursuivre leurs études au niveau de la maîtrise
afin de se diriger vers la recherche & développement.
NOMBRE DE RÉPONDANTS |
NOMBRE EN
EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
43 |
24 |
23 |
17 |
Note :
hausse du taux de placement rapport aux années précédentes (était 85 % en
2019; 79 % en
2017; 70 % en 2015 et 95 % en 2013).
Pour la Maîtrise :
Le
placement est EXCELLENT, 89 % des répondants(es) qui se sont
dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié dont la totalité
sont à temps complet.
Un
seul répondant achoisi de poursuivre leurs études au niveau du doctorat.
NOMBRE DE RÉPONDANTS |
NOMBRE EN
EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
19 |
16 |
16 |
1 |
Note :
hausse mportante du taux de placement rapport aux années précédentes (était
de 60 % en 2019; 100 % en 2017; 75 % en 2015 et 78 % en 2013).
Sources : Ministère de
l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec
SALAIRE :
- 24,50 $/heure (40 hres/sem) en tant
qu'agronome ou spécialiste des aliments au sein des PME en
transformation alimentaire
-
26,64 $/heure (35 hres/sem) en tant que spécialiste en sciences physiques -
volet alimentation dans la fonction publique québécoise
- 29,12 $/hre (37,5 hres/sem) en tant
qu'inspecteur(trice) des aliments à l'Agence canadienne d'inspection des
aliments ACIA
-
29,29 $/heure (35 hres/sem) en tant que spécialiste en contrôle de la qualité
des produits à SAQ
- 29,33 $/heure
(35 hres/sem) en moyenne en
tant que professionnel(le) de recherche ou agent(e) de recherche ou attaché(e)
de recherche ou assistant(e) de recherche en sciences des aliments - niveau 2 (avec une maîtrise) au sein des universités
- 30,37 $/hre (37,5 hres/sem) en tant
qu'inspecteur(trice) des produits alimentaires à l'Agence canadienne
d'inspection des aliments ACIA
- 30,46 $/heure (40 hres/sem) en tant que
conseiller(ère) scientifique au sein des PME (avec une maîtrise)
- 30,63 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que professionnel(le) de recherche ou
agent(e) de recherche ou attaché(e) de recherche ou assistant(e) de recherche
ou associé(e) de recherche en sciences des aliments - niveau 3 (scolarité de doctorat) au sein des universités
- 31,23 $/hre (37,5 hres/sem) en tant
qu'inspecteur(trice) des grains dans la fonction publique fédérale
- 31,38 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que spécialiste en sciences des
aliments au sein des grands tranformateurs alimentaires
- 31,89 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que chargé(e), coordonnateur(trice) ou
responsable de laboratoire au sein des universités
- 31,99 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'agronome ou spécialiste en sciences des
aliments ou conseiller(ère) scientifique au sein des grands fabricants
d'aliments ou boissons
- 32,84 $/hre (37,5 hres/sem) en moyenne en tant chercheur(e)
sciences des aliments (avec un doctorat)
- 33,32 $/hre (37,5 hres/sem) en tant que
gestionnaire des services d'inspection des aliments à l'Agence canadienne
d'inspection des aliments ACIA
- 31,99 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que spécialiste en contrôle de la qualité au sein des grands fabricants d'aliments ou boissons
- 33,38 $/hre (37,5 hres/sem) en tant scientifique
de recherche en sciences des aliments dans la fonction publique
fédérale (avec une maîtrise)
- 33,42 $/hre (37,5 hres/sem) en tant qu'agronome ou
gestionnaire des services d'inspection à l'Agence canadienne d'inspection des
aliments ACIA
- 36,44 $/hre (37,5 hres/sem) en moyenne en tant chercheur(e)
sciences des aliments (avec un doctorat)
- 37,52 $/hre (37,5 hres/sem) en
tant chercheur(euse) scientifique à l'Agence canadienne d'inspection
des aliments ACIA (avec une maîtrise)
- 47,41 $/hre (37,5 hres/sem) en
tant chercheur(euse) scientifique à l'Agence canadienne d'inspection
des aliments ACIA (avec un doctorat)
- 47,83 $/hre (37,5 hres/sem) en tant scientifique
de recherche en sciences des aliments dans la fonction publique
fédérale (avec un doctorat)
Note 1 : baisse de la moyenne salariale au niveau du baccalauréat au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 25,48 $ en 2019; 22,38 $ en 2017; 22,68 $ en 2015 et 21,65 $ en 2013).
Note 2 : hausse de la moyenne salariale au niveau de la maîtrise au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 29,05 $ en 2019; 26,41 $ en 2017 et 27,12 $ en 2015).
Note 3: dans le secteur public, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Sources : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, Conseil du Trésor du Québec, Commission de la Fonction publique du Canada et conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries agroalimentaires.
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Selon l'Ordre des agronomes du Québec; il y avait 2 936 agronomes actifs dans l'ensemble des régions du Québec au 31 mars 2022.
(soit 18 de moins qu'en 2020; 22 de plus qu'en 2018; 3 de moins qu'en 2016 et 88 de plus qu'en 2014).
(22 de moins qu'en 2020; 4 de moins qu'en 2018; 56 de plus qu'en 2016 et 66 de plus qu'en 2014).
Profession encore majoritairement masculine avec 54 % des membres de la profession; alors que les femmes ne représentaient 46 % des agronomes
(elles étaient 44 % en 2020; 42 % en 2018; 40 % en 2016 et 39 % en 2014).
Par contre, cette proportion risque d'augmenter au cours des prochaines années car les cohortes étudiantes comptent davantage de femmes
L'âge moyen d'un(e) agronome était de 42 an
(40 ans chez les femmes et 46 ans chez les hommes).
Profession
également vieillissante puisque :
1 % étaient âgés de moins de 25 ans
23 % avaient entre 25 et 34 ans
23 % avaient enter 35 et 44 ans
21 % avaient entre 45 et 54 ans
20 % avaient entre 55 et 64 ans
12 % étaient âgés de 65 ans ou plus
La répartition des champs d'activité des agronomes en STA, on retrouvait notamment :
o 79 % travaillaient dans le domaine de la transformation alimentaire
o 21 % travaillaient dans le domaine des sciences et technologies des aliments en dehors de l'industrie alimentaire (principalement en inspection alimentaire)
et la répartition des agronomes en STA selon leur domaine d'intervention, il y avait notamment :
· 55 % pratiquaient en controle de la qualité ou conseil scientifique en industrie alimentaire
· 16 % travaillaient en évaluation et inspection des aliments
· 8 % pratiquaient en recherche et développement (en industrie, en milieu gouvernemental ou en milieu universitaire)
· 8 % œuvraient en expertise conseil en développement et innocuité des aliments
· 7 % travaillaient en gestion de programmes et politiques alimentaires
· 3 % pratiquaient en conseil et représentation professionelle
· 3 % pratiquaient en enseignement collégial ou universitaire
Enfin, la répartition des agronomes en STA selon le type d'employeur était :
- 12 % dans la fonction publique (québécoise, fédérale et municipale)
- 8 % au sein des firmes d'expertise ou laboratoires d'analyse
- 7 % au sein des grossistes et distributeurs de produits alimentaires
- 6 % au sein des centres de recherche et développement (gouvermentaux, universitaires et privés)
- 3 % dans les établissements d'enseignement (universités, cégeps, centres de formation professionnelle, ITA)
- 2 % au sein des chaînes d'alimentation
Consulte également le site du Comité sectoriel de la main-d’œuvre en agriculture et du Comité sectoriel de la main-d'oeuvre en transformation des aliments qui founissent des informations concernant les profils de carrières, les perspectives d’emploi, etc. Ainsi que le site de l’Ordre des agronomes du Québec qui décrit les fonctions, champs de compétences, conditions de travail et les perspectives d’avenir pour les agronomes.
(soit
7 de moins qu'en 2020; 37 de moins qu'en 2018;
61 de moins qu'en
2016 et 80 de moins qu'en 2014).
(soit 17 de plus qu'en 2020; 23 de plus qu'en 2018; 28 de plus qu'en 2016 et 46 de moins qu'en 2014).
(soit 70 de plus qu'en 2020; 105 de plus qu'en 2018; 73 de plus qu'en 2016
et 66 de plus qu'en 2014).
(étaient de 59 % en 2020; 40 % en 2018; 39 % en 2016 et 38 % en 2014).
Donc, cette proportion féminine risque d'augmenter, mais que légèrement, au cours des prochaines années puisque les cohortes étudiantes dans les universités comptent davantage de femmes.
L'âge moyen était de 44 ans.
Plus de 61 % des membres de la profession étaient âgés de moins de 45 ans.
Donc, le veillissement de la population n'est pas un problème dans cette profession.
La plupart étaient également membres de l'Ordre des chimistes du Québec.
Parmi ces membres, plus de 25 % œuvraient en industrie alimentaire.
Plus de 56 % des microbiologistes étaient des hommes, mais la tendance reste prévoir que le nombre de femmes augmentera considérablement au cours des prochaines années puisque les cohortes étudiantes sont composées davantage de femmes.
Plus de 61 % des membres de la profession étaient âgés de moins de 45 ans.
Donc, le vieillissement de la population n'est pas un problème dans cette profession.
Plus de 96 % occupaient un poste à temps complet.
Selon l'Agence canadienne d'inspection des aliments ACIA; il y avait plus de 3 600 inspectrices et inspecteurs des aliments partout au pays (dont environ 1 100 au Québec);
ainsi que plus de 150 gestionnaires de services d'inspection (dont une quarantaine au Québec) chargés de veiller à la salubrité dans les usines alimentaires (principalement les abattoirs), ainsi que dans les points d'entrée au pays des denrées alimentaires provenant de l'extérieur du pays (ports et aéroports).
PERSPECTIVES D’AVENIR :
Les consommateurs sont mieux informés et que les produits devront être transformés tout en restant le plus naturels possible, sans toutefois négliger l’innocuité. En plus d’être bons pour la santé, il est essentiel que les aliments soient exempts d’organismes [la bactérie E. coli, par exemple] qui provoquent des toxi-infections alimentaires. Donc, l'expertise de ces spécialistes est recherchée dans l’amélioration des systèmes de contrôle et de gestion de la qualité des denrées alimentaires produites et dans le développement de nouveaux produits répondants aux besoins et exigences des consommateurs.
Malgré la fermeture de quelques grandes usines alimentaires, ce qui a eu pour effet de rendre disponible bon nombre de travailleurs dans le domaine; de nombreuses PME ne réussissent pas à combler tous les postes disponibles.
En sciences et technologie des aliments, les premiers emplois sont généralement techniques, mais évoluent rapidement vers les postes de coordination, de gestion, de création d’aliments ou de consultation. Peu d'emplois en début de carrière sont consacrés au développement de nouveaux produits
Chaque année, le service de placement des universités reçoit généralement plus d'emplois destinés aux diplômés en sciences et technologie des aliments que le nombre de diplômés dans le programme. Cela permet de croire que les opportunités d'emploi sont intéressantes pour ces diplômés Il faut ajouter que de nombreux employeurs ont courtisé les étudiants(es) pendant leurs études sans avoir affiché une offre d'emploi
Selon l'Ordre des agronomes du Québec, près de 52 % des agronomes étaient âgés de 45 ans et + en 2016 (étaient de 51 % en 2014), donc, la profession aura nécessairement besoin d'une relève afin de répondre aux nombreux besoins et exigences d'une population de plus en plus nombreuse en matière de quantité et de qualité des aliments.
Pour les chimistes, la plupart des emplois sont en analyse en laboratoire ou en recherche & développement et la plupart des employeurs exigent de détenir une maîtrise ou un doctorat
Selon les données du Ministère de l'Éducation et de l'enseignement supérieur du Québec; le métier d’agronome est l’une des 15 professions de niveau universitaire présentant les meilleures perspectives d’avenir.
Les perspectives sont excellentes pour les prochaines années.
La rémunération moyenne après expérience en 2022...
Le salaire annuel moyen d'un(e) agronome au sein d'une PME en transformation alimentaire ayant 10 années d'expérience était de 58 500 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) spécialiste en sciences des aliments ayant 10 ans d'expérience au MAPAQ était de 81 200 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) agronome ayant 10 années d'expérience au sein d'une grande industrie alimentaire était de 85 400 $.
Le salaire annuel moyen d'un(e) gestionnaire des services d'inspection des aliments ayant 10 ans d'expérience au sein de l'Agence canadienne d'inspection des aliments ACIA était de 87 000 $.
et l
BREF PORTRAIT DE L'INDUSTRIE DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE:
L'industrie québécoise de la transformation alimentaire est LE plus important employeur industriel au Québec, qui est présente dans presque tous les régions de la province et qui est un moteur économique de premier plan dans plusieurs régions et sous-régions (MRC) d'un bout à l'autre du territoire québécois.
L'industrie québécoise est divisée en 8 principaux sous-secteurs différents, soit :
o
Viandes et volailles
(abattage, découpe, désossage et surtransformation et produits de la viande et
de la volaille) : PLUS important sous-secteur de l'industrie
agroalimentaire québécoise; il avait un chiffre d'affaires évalué à 6,2
milliards $ en 2013 (dont 3,2 milliards $ en abattage de viandes surtout le
porc et le boeuf, 1,7 milliards $ en abattage de volailles surtout le poulet,
1,2 milliards $ pour les graisses animales et preso de 390 millions $ pour les
produits de la viande et de volaille tels que les charcuteries).
Il y avait plus de 165 entreprises (dont 34 abattoirs détenus par 30
entreprises sous inspection fédérale et autorisées pour le commerce
interprovincial et international, 26 abattoirs sous inspection provinciale
autorisées au commerce partout au Québec seulement, ainsi que 50 abattoirs pour
la vente au détail seulement ou abattage à forfait soumis à une nouvelle
réglementation provinciale) qui employaient plus de 18 600 travailleuses et
travailleurs.
Parmi ces dernières, on retrouve : 25 abattoirs de porcs, 24 abattoirs de
volailles (poulets et dindons principalement ), 21 abattoirs de veaux, 20 abattoirs
de boeufs, 20 abattoirs d'ovins (moutons), 16 abattoirs de chevaux, 14
abattoirs de caprins (chèvres), 13 abattoirs de gibiers (cerfs, sangliers,
bisons, wapitis, etc.), ainsi que 5 abattoirs de lapins.
Il comprend des produits tels que : porc, boeuf, veau, mouton, cheval, poulet,
dinde, lapin, viandes de la chasse (caribou, orignal, chevreuil), autres
volailles (autruche, émeu, faisan, canard, cailles, etc). On retrouve aussi les
produits de surtransformation comme les oeufs d'incubation, poussins et la
chair de poulet.
o
Boulangerie et
pâtisserie (incluant biscuits et craquelins) : second
sous-secteur en importante, il regroupait l'ensemble des produits fabriqués en
boulangerie, en pâtisserie et en usine de pâtes alimentaires sauf les
confiseries et chocolats. Bien qu'il ne soit pas le sous-secteur le plus
important en nombre d'emplois, c'est celui ayant le plus grand nombre
d'entreprises.
En 2016, c'était un marché de 1,9 milliards $ (dont 1,3 milliards $ pour les
pains et autres produits de boulangerie et de pâtisserie, 320 millions $ pour
les biscuits et craquelins et 209 millions $ pour les pâtes alimentaires).
On retrouvait 469 entreprises (dont 16 boulangeries-pâtisseries industrielles,
15 fabricants de pâtes alimentaires, une dizaine de boulangeries et pâtisseries
artisanales et plus de 530 boulangeries et/ou pâtisseries commerciales) qui
employaient plus de 12 800 travailleuses et travailleurs dans toutes les
régions de la province.
Plus de la moitié des entreprises ont moins de 5 employés (fabrication
artisanale), plus du tiers ont moins 100 employés (nature commerciale ou
industrielle), alors seulement 29 entreprises ont plus de 100 employés
(fabrication industrielle).
Voici quelques exemples de produits fabriqués : produits de pâtisserie (biscuits,
craquelins, bretzels, gâteaux frais ou congelés, cornets et gaufrettes de crème
glacée, pâtes réfrigérées ou congelées, croûtes de tartes non cuites,
pâtisseries de spécialités, mélanges de farine pour gâteaux, beigne,
crêpes et autres pâtisseries non cuites réfrigérées ou congelées); produits
de boulangerie (pains conventionnels, pains de spécialité, beignes frais ou
congelés, brioches frais ou congelés, croissants frais ou congelés, pâtisseries
de spécialités, autres produits de boulangerie), autres (tortillas,
pâtes alimentaires sèches, pâtes alimentaires fraîches, pâtes alimentaires
orientales).
o
Produits laitiers
: C'est le troisième plus important sous-secteur de cette industrie qui avait
un chiffre d'affaires de 6,4 milliards $ en 2016 (dont plus de 4,1 milliards $
pour les fromages et le beurre, 2,2 milliards $ pour le lait de consommation,
40 millions $ pour la crème glacée et les desserts glacés, 30 millions $ pour
le yogourt et 30 millions $ pour les autres produits laitiers).
Il comprenait 127 entreprises (96 fromageries dont la majorité sont artisanales
dont 8 fabriquent également du yogourt, 20 en fabrication de crème glacée et
desserts congelés, 7 entreprises ayant 14 usines pour le lait de consommation,
7 en fabrication de yogourt et environ 10 pour les autres produits laitiers) et
qui employaient plus de 10 200 travailleuses et travailleurs.
Il comprend des produits tels que : lait de consommation (lait au chocolat,
lait aromatisé, lait biologique, lait concentré, lait délactosé, lait de poule,
lait de brebis, lait de chèvre, lait de vache, lait U.H.T.); fromages
(de lait de brebis, de lait de chèvre, aux fruits, brie, camemberg, cheddar,
cottage, en crème, à tartiner, gouda, harti, monterey jack mozzarella,
parmesan, persillé, provolone, ricotta, de spécialité); beurre (assaisonné,
biologique, de brebis, de chèvre, de lactosérum ou de lait de vache); crèmes
(biologique, sure, à l'italienne, fouettée, de lait de brebis, de lait de
chèvre ou de lait de vache); yogourt (à boire, de lait de brebis, de
lait de chèvre, glacé ou de lait de vache); produits congelés
(friandises glacées, crème glacée, garnitures pour crème glacée, sorbet,
yogourt glacé, etc) et autres produits à base de lait.
o
Boissons
(alcoolisées et non alcoolisées) : cet important sous-secteur en importance de
l'industrie alimentaire. En 2016, il avait un chiffre d'affaires évalué de 2,2
milliards de $ (excluant les produits du tabac, dont 1,4 milliards $ pour les
brasseries, plus de 400 millions $ pour les boissons gazeuses et de glace, plus
de 140 millions $ pour les vins, plus de 125 millions $ pour les spiritueux et
autres alcools et près de 125 millions $ pour autres boissons non alcoolisées
(sauf jus et boissons aux fruits naturels).
On retrouvait 148 entreprises (dont 3 grands brasseurs, 76 petites brasseries,
43 artisans brasseurs, 29 vignobles ou vineries, env 20 embouteilleurs d'eau de
source ou d'eau minérale, 13 fabricants de boissons nutritives et autres
boissons, sauf jus et boissons aux fruits ou aux légumes, 7 fabricants de
d'autres boissons alcoolisées, 6 embouteillleurs ou fabricants de boissons
gazeuses et 1 distillerie) qui employaient plus de 10 900 travailleuses et
travailleurs (dont 4 000 au sein des grands brasseurs, 1 000 chez les
embouteilleurs et fabricants de boissons gazeuses, 200 dans les distilleries,
200 chez les embouteilleurs d'eau et 400 dans les vineries).
Parmi ces entreprises, 85 % d'entre-elles emploient moins de 25 personnes (dont
plusieurs petites entreprises artisanales comme des cidreries, microbrasseries,
microdistilleries et vignobles).
Il comprend des produits tels que : eaux embouteillées, boissons gazeuses, lait
de soya, breuvages aux arômes de fruits, boissons alcoolisés (bière, vins,
spiritueux, alcools), boissons distillées (lait de poule alcoolisé, whiskey,
boissons mélangées alcoolisées, autres boissons distillées, etc).
o
Fruits et légumes
: Ce sous-secteur avait un chiffre d'affaires évalué à plus de 2,0 milliards $ en
2016 et comprenait 88 entreprises (dont 45 en conservation, marinage et séchage
de fruits et légumes et fabrication de mets préparés à base de légumes, 33 en
fabrication de jus ou autres boissons de jus ou de légumes et 12 en fabrication
de mets congelés) qui employaient plus de 5 100 travailleuses et travailleurs
(dont plus de 45 % des emplois proviennent des 2 plus gros employeurs de ce
sous-secteur).
Voici quelques exemples de produits transformés : mise en conserve, séchage
et marinage (aliments pour bébés, mise en conserve de fèves au lard, mise
en conserve de soupes, bouillons en sécherie, mélanges à soupe en sécherie,
confitures et gelées, mise en conserve de jus de fruits ou de légumes,
fabrication de boissons de jus de fruits ou de légumes, fabrication de ketchup,
marinage de fruits et légumes, déshydratation de fruits et légumes, mise en
conserve de fruits de toutes sortes dont pommes, fraises, framboises, bleuets,
etc, mise en conserve de légumes de toutes sortes comme carottes, pommes de terre,
oignons, etc;
On y fabrique des aliments congelés (concentrés de jus de fruits
congelés, jus de fruits ou de légumes congelés, pizza congelée, frites, mets
préparés à base de légumes, desserts congelés à base de fruits, congélation de
fruits et légumes, etc.; des mets préparés frais à base de légumes
(salades, sandwichs, mets végétariens, etc.); ainsi que des jus, jus
biologiques et boissons aux fruits ou aux légumes (jus de pomme, jus
d'orange, jus de raisin, jus de tomate, jus de canneberge, jus de fruits des
champs, jus d'ananas, jus de mangue, jus de pamplemousse, jus de poire, jus de
fruits tropicaux, smoothies, autres boissons, cocktails et limonades aux
fruits, jus de carottes, jus de betterave, autres boissons ou cocktails aux
légumes, etc.).
o
Sucre et confiseries
(incluant croustilles et grignotines) : Dans ce sous-secteur on y fabrique et
raffine le sucre, on y fabrique des chocolats et divers types de confiseries.
Les revenus étaient évaluées à 1,5 milliards $ en 2016 (dont 170 millions $
pour les confiseries non chocolatées, 160 millions $ pour les confiseries
chocolatées, ainsi que plus de 870 millions $ pour le sucre raffiné).
On retrouvait 98 entreprises qui employaient 3 800 travailleuses et
travailleurs. Plus de 90 % de ces entreprises sont des PME ayant moins de 50
employés, alors près de 70 % des emplois proviennt des 10 plus gros employeurs
du sous-secteur.
Voici quelques exemples de produits fabriqués ou transformés : chocolat et
confiseries chocolatées (barres de granola enduits de chocolat, boissons
instantanés au chocolat, barres de chocolat, chocolats divers, autres
confiseries faits avec du chocolat); confiseries non chocolatées (barres
de granola sans chocolat, barres de bonbons sans chocolat, noix enrobés de
bonbons, guimauve, gommes à mâcher, bonbons glacés, pastilles pour la toux sauf
les préparations pharmaceutiques, autres confiseries); aliments à grignoter
(croustilles et grignotines, beurre d'arachide, mise en conserve de noix,
bretzels durs, popcorn, transformation de graines ou de céréales en aliments à
grignoter et autres aliments connexes); fabrication et raffinage du sucre
(fabrication de mélasse, fabrication de sucre à glacer, fabrication du sucre de
table, raffinage du sucre de betterave, raffinage du sucre de canne), etc.
o
Produits marins
: c'était un marché de plus de 504 millions $ en 2016, qui comptait plus
de 45 entreprises ayant près de 100 usines de transformation des produits de la
mer employaient plus de 1 900 travailleuses et travailleurs allant du simple
manoeuvre en transformation en passant par le technologue en transformation des
produits jusqu'à l'ingénieur alimentaire. Parmi ces emplois, 75 % proviennent
des 3 plus gros employeurs de ce sous-secteur.
Ces entreprises ne se retrouvent pas seulement en Gaspésie ou en Côte-Nord,
mais aussi dans le Bas-St-Laurent, en Montérégie, à Québec, en
Chaudière-Appalaches, au Saguenay et Lac St-Jean, dans les Laurentides, etc.
Plusieurs types de produits y sont transformés comme les poissons, le crabe, le
homard, les crevettes, herbes marines, conservation de soupes de poissons,
conservation de soupes de crevettes et mollusques, fabrication de graisses,
d'huiles et de farine de produits marins, etc. Ils sont filetés, salés-séchés,
fumés, décortiqués, congelés, surgelés ou panés.
On y fabrique des mets préparés congelés, des conserves, de l'emballage des
produits frais, etc.
o Autres : on retrouve également les secteurs suivants : assaisonnements et additifs alimentaires, produits nutraceutiques et aliments nutritifs, produits de l'érable, farine et céréales, Autres produits alimentaires à consommation humaine, ainsi que les aliments pour animaux (de ferme ou de compagnie).
En 2016, elle a généré des revenus de plus de 22,7 milliards $, soit 25 % de la production canadienne et 15 % du secteur manufacturier québécois.
Plus de 45 % des ventes des produits alimentaires québécois sont effectuées au Québec (porc, poulet, produits laitiers, légumes frais, fruits frais, boissons de fruits ou de légumes, produits de l'érable, boissons alcoolisées surtout bières); 32 % dans le reste du Canada (produits laitiers, porc, poulet, légumes de transformation, poissons et fruits de mer, sirop d'érable et produits de l'érable, fruits, jus, boissons alcoolisées); ainsi que 23 % à l'international dans plus de 100 pays.
On y retrouvait plus de 1 500 entreprises (dont 31 % qui fabriquaient des produits de boulangerie, 10 % de boissons alcoolisées ou non alcoolisées, 8 % des produits laitiers et 7 % d'aliments pour animaux) qui employaient plus de 64 000 travailleuses et travailleurs dans presque toutes les régions du Québec, mais principalement en Montérégie, Montréal, Chaudière-Appalaches, Laval, Québec, Centre-du-Québec, Lanaudière et Bas-St-Laurent.
Par contre, seulement 34 % de ces entreprises employaient 50 personnes ou plus qui sont généralement les employeurs potentiels pour les technologues en laboratoire.
Bien qu'on retrouve quelques grandes entreprises de transformation alimentaire, ce sont les petites et moyennes entreprises que l'on retrouve en plus proportion et ce, partout au Québec.
Bien qu'on retrouve ces entreprises un peu partout au Québec, elles sont principalement concentrées dans les régions de la Montérégie, de Montréal, de Lanaudière, de Chaudière-Appalaches et de Québec.
Selon les données d'Emploi-Québec, les technologues en transformation des aliments représentaient 10 % de l'ensemble des personnes qui travaillaient au sein de l'industrie d donc l'un des plus importants employeurs pour ces spécialistes.
Presque toutes les régions sont favorables à l'emploi dans ce domaine, mais tout particulièrement :
la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Lanaudière, Centre-du-Québec, Québec, Laurentides, Bas-St-Laurent et Laval.
Sources : Ministère de l'Agriculture et Agroalimentaire du Canada, Ministère de l'Agriculture, des pêcheries et de l'alimentation du Québec, Industrie Canada, Comité sectoriel de la main-d'oeuvre en transformation alimentaire, l'Association des manufacturiers de produits alimentaires du Québec et ICRIQ.
ENTENTES DEC-BAC :
Qu'est-ce qu'un programme DEC-BAC ?
Consulte la page suivante
Il permet de terminer la formation technique et ton baccalauréat dans un temps plus court, soit en 3 ans au lieu de 4 ans et obtenir les 2 diplômes.
Note : certains cours préalables peuvent être exigés
Voici les ententes actuellement offertes :
DEC-BAC en sciences et technologie des aliments
(DEC
en technologie des procédés et qualité des aliments + Baccalauréat en sciences et
technologie des aliments) :
o
Entente entre le Cégep de Maisonneuve et l'Université Laval
o Entente entre l'Institut de technologie agroalimentaire du Québec ITAQ, campus de La Pocatière et l'Université Laval
o Entente avec l'Institut de technologie agroalimentaire du Québec ITAQ, campus de Saint-Hyacinthe et l’Université Laval
DEC-BAC en sciences et technologie des aliments
(DEC en technologie de laboratoire - biotechnologies + Baccalauréat en sciences et technologie des aliments)
§ Entente avec le Cégep de Lévis et l’Université Laval
§ Entente entre le Cégep de l'Outaouais et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Shawinigan et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Sherbrooke et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep Ahuntsic et l'Université Laval
DEC-BAC en sciences et technologie des aliments
(DEC en technologie de laboratoire - chimie analytique + Baccalauréat en sciences et technologie des aliments) :
§ Entente avec le Cégep de Lévis et l’Université Laval
§ Entente avec le Cégep Ahuntsic et l’Université Laval
§ Entente avec le Cégep de Jonquière et ll’Université Laval
§ Entente avec le Cégep de Shawinigan et l’</sl’Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Saint-Hyacinthe et l’Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Valleyfield et l’Université Laval
DEC-BAC en sciences et technologie des aliments
(DEC en techiques de diététique + Baccalauréat en sciences et technologie des aliments) :
§ Entente entre le Cégep de Trois-Rivières et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Limoilou et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Chicoutimi et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Rimouski et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Saint-Hyacinthe et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep Montmorency et l'Université Laval
§ Entente entre le Cégep de Maisonneuve et l'Université Laval
PASSERELLES :
Un programme passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est offerte lors de la demande.
L’Université Laval reconnaît la formation obtenu dans ce programme, c’est pourquoi elle reconnaît un certain nombre de cours du DEC en tant qu’équivalents à certains cours universitaires de base.
Note : puisque plusieurs programmes DEC-BAC offerts pour les diplômés en techniques agricoles, les passerelles concernant principalement d'autres programmes techniques :
Voici les ententes
actuellement offertes :
· l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits aux titulaires du D.E.C. en technologie de laboratoire - chimie analytique (210.AB) ou techniques de chimie analytique (ancien programme 210.02) ET cote R de 25,000 ou + dans le cadre de son Baccalauréat en sciences et technologie des aliments
· l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires du D.E.C. en gestion d'un établissement de restauration ET cote R de 25,000 ou + dans le cadre de son Baccalauréat en sciences et technologie des aliments
· l’Université Mcgill pourra reconnaître certains cours collégiaux comme équivalents à des cours universitaires de base aux titulaires du D.E.C. en technologie des procédés et qualité des aliments dans le cadre de son Baccalauréat en sciences des aliments, mais les équivalences varient selon les situations de chacun
· l’Université Mcgill pourra reconnaître certains cours collégiaux comme équivalents à des cours universitaires de base aux titulaires du D.E.C. en technologie de laboratoire - biotechnologies dans le cadre de son Baccalauréat en sciences des aliments, mais les équivalences varient selon les situations de chacun
· l’Université Mcgill pourra reconnaître certains cours collégiaux comme équivalents à des cours universitaires de base aux titulaires du D.E.C. en technologie de laboratoire - chimie analytique dans le cadre de son Baccalauréat en sciences des aliments, mais les équivalences varient selon les situations de chacun
LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Tu aimerais combiner des études collégiales en technologie alimenaire
ou technologie de laboratoire avec des études universitaires en sciences et
technologies des aliments ?
Oui,
c’est possible dans le cadre de programmes DEC-BAC en sciences et technologie
des aliments. Pour plus de détails, consulte les pages de technologue en transformation des aliments ou technologue en
biochimie-biotechnologies
ou technologue
en chimie.
Le Baccalauréat spécialisé en sciences et technologies des aliments B.Sc.A. offert à l'Université Laval a une durée totale de 4 ans offert à temps complet de jour seulement.
et Le Baccalauréat spécialisé en sciences des aliments B.Sc. offert à l'Université Mcgill a une durée totale de 3 ans offert à temps complet de jour seulement.
Tu acquerras les compétences nécessaires sur la gestion de la qualité des produits alimentaires et la gestion et le contrôle des procédés à l’intérieur d’un système de production et de distribution. Tu travailleras dans les laboratoires d'analyses alimentaires, dans les usines de transformation alimentaire, dans les centres d'inspection des aliments ou en gestion de la distribution au sein des grandes entreprises alimentaires ou grands détaillants en alimentation.
CHEMINEMENT TYPE PAR SESSION :
Note : le nom et le contenu des cours et le cheminement type par trimestre peuvent varier d'une université à une autre, mais ils ont des objectifs de formation semblables répondant aux exigences et aux besoins actuels des employeurs, de l'Ordre des agronomes du Québec et de l'Ordre des chimistes du Québec.
Au cours
de la
Tu devras suivre des couars obligatoires tels que : introduction aux sciences et technologie des aliments, chimie des aliments 1 : constituants, (théorie + labo), biochimie et métabolisme, laboratoire de biochimie générale 1, introduction à la microbiologie (théorie + labo), méthodes statistiques pour les sciences et technologie des aliments, chimie des aliments : formulation et additifs alimentaires, microbiologie alimentaire, laboratoire de microbiologie alimentaire industrielle et thermodynamique et cinétique.
Au cours
de la
Tu devras suivre des cours tels que : laboratoire de chimie analytique, évaluation sensorielle des aliments (théorie + labo), analyses physico-chimiques des aliments 1 (théorie), analyses microbiologiques des aliments (théorie + labo), analyse des toxines et substances toxiques alimentaires (théorie + labo), technologies post-récolte des fruits et légumes (théorie + labo), techniques de séparation dans l'analyse des aliments 1 (théorie + labo), science des produits alimentaires (théorie + labo), principes de conservation, laboratoire des analyses physico-chimiques des aliments, lipides et corps gras alimentaires, ainsi que salubrité des usines alimentaires.
Si tu le
désires, tu pourras également réaliser un stage d'initiation en entreprise alimentaire facultatif
de 8 semaines minimum au cours du trimestre d'été.
Au cours
de la
Enfin, tu participeras activement à des travaux techniques dans le cadre d'un projet de recherche au sein d'une équipe de recherche (laboratoire industriel, gouvernemental ou universitaire) (Mcgill seulement).
Tu auras les cours tels que: produits animaux (théorie + labo), produits laitiers (théorie + labo), produits céréaliers (théorie + labo), ingénierie des procédés alimentaires (théorie + labo), introduction à la qualité en industrie alimentaire, travaux pratiques en qualité des aliments, chimie biophysique des aliments (théorie + labo), technologie alimentaire et nutrition, emballages alimentaires (théorie + labo), chimie des arômes (théorie + labo), gestion de la qualité dans l'industrie alimentaire, ainsi qu'un cours optionnel parmi une liste proposée (Laval) ou projet de recherche en sciences des aliments 1 (Mcgill seulement) et stage en entrepreise alimentaire ou stage international en entreprise alimentaire (Laval seulement).
Enfin, tu
devras également réaliser un stage d'intégration en entreprise alimentaire ou
un stage international en entreprise alimentaire
obligatoire
de 12 semaines minimum au cours du trimestre d'automne (Laval seulement).
Au cours
de la
Tu auras les cours tels que : procédés de transformation des aliments 2 (théorie + labo), lipides et corps gras alimentaires (théorie + labo), développement durable en industrie alimentaire, développement des aliments (théorie + labo), planification et gestion de projet, enjeux éthiques de l'agroalimentaire, 4 à 5 cours optionnels selon la concentration ou le profil choisi ou dans les différents champs des STA parmi des listes proposées, ainsi que projet intégrateur en développement de produit alimentaire (Laval seulement).
Enfin, tu
devras également réaliser un stage d'intégration en entreprise alimentaire ou
un stage d'intégration en entreprise alimentaire
obligatoire
de 12 semaines minimum au cours du trimestre d'automne s'il n'a pas été
réalisée au cours de l'année précédente (Laval seulement).
Voici les particularités pour chacune des universités :
à Laval
Programme unique en français en Amérique du Nord
Certains cours sont offerts à distance ou formule hybride.
Comprend la réalisation d'au moins un stage obligatoire rémunéré en milieu industriel d'une durée minimale de 400 heures.
Tu devras choisir l'une des 2 concentrations suivantes :
Sans concentration;
permet d'acquérir une formation polyvalente dans l'ensemble des secteurs des sciences et technologie des aliments.
tu devras choisir 3 à 5 cours optionnels en gestion parmi une liste proposée, ex :
productions agricoles durables, cultures en serre, principes fondamentaux en sciences animales, productions avicoles, production laitière, production de viande bovine, production porcine, pratique professionnelle en agronomie, nutrition à tous les âges, opérations et logistique, planification et contrôle de la production, gestion de la distribution, commercialisation alimentaire, comportement organisationnel, gestion des équipes de travail, gestion des ressources humaines, modélisation et aide à la décision, législation de l'agroalimentaire, stage d'initiation en entreprise alimentaire (mininum de 200 heures), stage international en entreprise alimentaire (minimum de 400 heures), etc.
0 à 2 activités parmi les suivantes :
projet de recherche 1, projet de recherche 2, projet agroalimentaire ou projet avancé en recherche.
Management;
permet de développer des compétences en planification et en gestion de la production, de la distribution et de la commercialisation dans le domaine alimentaire.
tu devras choisir 3 à 5 cours optionnels en gestion parmi une liste proposée, ex :
opérations et logistique, planification et contrôle de la production, gestion de la distribution, commercialisation alimentaire, comportement organisationnel, gestion des équipes de travail, gestion des ressources humaines, modélisation et aide à la décision, législation de l'agroalimentaire, stage d'initiation en entreprise alimentaire (mininum de 200 heures), stage international en entreprise alimentaire (minimum de 400 heures), etc.
0 à 2 activités parmi les suivantes :
projet de recherche 1, projet de recherche 2, projet agroalimentaire ou projet avancé en recherche.
Si tu choisis le profil distincton;
permet d'ajouter des cours de 2e cycle à leur programme de 1er cycle afin d’apprivoiser les études aux cycles supérieurs (maîtrise en sciences des aliments avec mémoire ou maîtrise en sciences des aliments avec stages).
est composé de 0 à 6 crédits de 1er cycle et de 6 à 12 crédits de 2e cycle dont les cours suivants : méthodologie de la recherche en sciences des aliments et dispositifs expérimentaux.
Les cours de 2e cycle contribuent à l’obtention du diplôme d’études de 1er cycle et du diplôme d'études de 2e cycle.
Le cheminement conduisant aux cycles supérieurs se trouve ainsi accéléré.
Si tu choisis
En choisissant le profil international;
il te permettra d'effectuer une session d'étudesdans une université parternaire en France, soit :
Bordeaux INP en Aquitaine
École d'ingénieurs du Littoral Côte d'Opale dans les Hauts-de-France
Ecole Nationale Vétérinaire, Agroalimentaire et de l'alimentation de Nantes-Atlantique dans les Pays-de-la-Loire,
ou Université de Montpellier en Occitanie.
tu devras remplacer une concentration par les crédits de cours qui seront suivis dans cette université.
à Mcgill :
L'un des meilleurs programmes au Canada;
Possibilité de réaliser un projet agroalimentaire facultatif (sous forme d'un mandat réel de consultation auprès d'une entreprise alimentaire);
Possibilité de réaliser un projet de recherche de fin d'études facultatif (participation à un projet de recherche au sein d'une équipe de recherche (laboratoire industriel, gouvernemental ou universitaire);
Aucune concentration n'est proposée à ce programme.
Possibilité d'effectuer un séjour d'études à l'étranger d'une ou deux session(s) dans une université partenaire :
Università degli Studi di Bologna en Italie,
Technical University of Denmark au Danemark,
École Polytechnique Fédérale de Lausanne en Suisse,
Technical University of Munich en Allemagne,
University of Leeds en UK,
University of Melbourne en Australie.
ÉTUDES SUPÉRIEURES :
Tu peux entreprendre des études supérieures dans le cadre d'une
maîtrise telle que :
Pour plus de détails, consulte la page sur les études
supérieures en sciences pures et appliquées.
- Chimie à Mcgill, Montréal, Laval, Sherbrooke (aussi offert en régime
en partenariat en milieu de travail), UQAM, Concordia, Bishop, U.Q.T.R., UQAC (ressources renouvelables - concentration en chimie des
produits naturels), Ottawa et Moncton.
- Génie agroalimentaire à Laval (avec mémoire)
- Génie des bioressources à Mcgill (avec mémoire ou avec projet)
- Microbiologie agroalimentaire à Laval (avec mémoire)
- Sciences animales à Laval (avec mémoire) et Mcgill (avec mémoire)
- Bioinformatique à Montréal (avec mémoire) Mcgill (avec mémoire)
et Ottawa (avec mémoire)
- Biostatistiques à Mcgill (avec mémoire)
et Ottawa (avec mémoire)
- Biotechnologie à Mcgill (avec mémoire)
- Microbiologie à Laval (avec mémoire), Mcgill (avec mémoire)
et Sherbrooke (avec mémoire)
- Mathématiques - cheminement en
biostatistiques à Sherbrooke (avec essai)
- Nutrition à Montréal (avec mémoire), Laval (avec mémoire) et Mcgill (avec mémoire)
- Parasitologie à Mcgill (avec mémoire)
- Sciences des plantes à Mcgill (avec mémoire)
- Sciences et technologie des aliments à Laval (avec mémoire), Laval (avec essai) et Mcgill (avec essai)
- Sécurité alimentaire à Mcgill (avec essai)
- Statistiques - concentration en
biostatistiques à Laval
- Toxicologie chimique et environnementale
à Ottawa (avec mémoire)
- M.B.A. - sciences et génie (aucune
expérience nécessaire) à l'UQAM
- Etc.
Ou un autre programme de 2e cycle
tel que :
- D.E.S.S.
ou diplôme en enseignement collégial à Laval, Sherbrooke et UQAC
- D.E.S.S.
en bio-informatique à l'UQAM
- D.E.S.S.
en nutrition - alimentation fonctionnelle et santé à Laval
- Microprogramme
en formation à l'enseignement post-secondaire à Montréal
- Microprogramme
en formation initiale en enseignement collégial offert à Sherbrooke
- Microprogramme
en interactions scientifiques à Sherbrooke
- Microprogramme
en nutrition - alimentation fonctionnelle et santé à Laval
-
Programme court en communication scientifique à l'UQAM
- Programme
en court en intervention éducative - concentration au collégial offert à
l'UQAC,
- Programme
court en pédagogie de l'enseignement supérieur offert à l’UQAM
- Programme
court en pédagogie et gestion de la formation continue au
collégial à l'UQTR
Consulte également la page
suivante où des organismes de recherches en agronomie ont été
répertoriés.
EXIGENCES D’ADMISSION :
§
Soit détenir le Baccalauréat
international en sciences de la nature
(Laval pour tous les programmes et Mcgill pour tous les programmes)
§
Soit détenir un D.E.C. intégré en sciences,
lettres et arts
(Laval)
+ chimie 202 00XV non obligatoire, mais recommandé
(Mcgill pour sciences des aliments)
§
Soit détenir un D.E.C. en sciences
de la nature ou en sciences pures et appliquées
(Laval)
+ chimie 202 00XV non obligatoire, mais recommandé
(Mcgill)
§
Soit détenir un D.E.C. en technologie
des procédés et de la qualité des aliments ou technologie
de transformation des aliments et avoir complété les cours ou avoir
atteint les objectifs suivants ou leurs équivalents :
00UN et 00UP (maths 103 et 203);
OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants
(Laval)
§
Soit détenir un D.E.C. en techniques
agricoles dans l'un des programmes suivants et avoir complété les cours ou
avoir atteint les objectifs suivants ou leurs équivalents :
gestion et exploitation d'une entreprise agricole 153.01 ou 152.AA ou 152.AB ou
152.AH
gestion et technologie agricole 152.B0
techniques de gestion conseil en agriculture 153.07 (ancien programme)
technologie des productions animales 153.A0 ou 153.05
technologie des productions horticoles ou végétales 153.BB ou 153.BC ou 153.BD
ou 153.06
paysage et commercialisation en horticulture ornementale 153.C0 ou 153.CA ou
153.CB ou 153.CC
00UN (maths 103);
00UL et 00UM (chimie 101 et 201);
0UR (physique 101);
OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants
(Laval pour agronomie)
00UN et 00UP (maths 103 et 203);
00UL (chimie 101);
OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants
(Laval pour agroéconomie)
00UN et 00UP (maths 103 et 203);
00UR et 00US (physique 101 et 201);
00UL et 00UM (chimie 101 et 201);
(Mcgill pour sciences agricoles et environnementales)
§
Soit détenir un D.E.C. en techniques
de la chimie dans l'un des programmes suivants et avoir complété les cours
ou avoir atteint les objectifs suivants ou leurs équivalents :
technologie de laboratoire - biotechnologies 210.AA
techniques de chimie-biologie 201.03
00UR (physique 101)
OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants
(Laval)
technologie de laboratoire - chimie analytique 210.AB
technologie du génie chimique 210.02
techniques de chimie analytique 201.01
00UR (physique 101);
00UK (biologie 301)
OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants
(Laval)
§
Soit détenir un D.E.C. en techniques
de la santé dans l'un des programmes suivants et avoir complété les cours
ou avoir atteint les objectifs suivants ou leurs équivalents :
00UN (maths 103);
00UR et 00US (physique 101 et 201);
00UL et 00UM (chimie 101 et 201);
OU suivre une formation préparatoire à l'université pour les cours manquants
(Laval : pour titulaires du DEC en technologie des analyses biomédicales
140.B0 du Cégep de Rimouski seulement)
00UN et 00UP (maths 103 et 203);
00UR, 00US et 00UT (physique 101, 201 et 301);
(Laval : pour titulaires du DEC en techniques de diététique 120.A0)
§
Soit détenir tout autre D.E.C.
et avoir complété les cours ou avoir atteint les objectifs suivants ou leurs
équivalents :
00UN et 00UP (maths 103 et 203);
00UL et 00UM (chimie 101 et 201);
00UK (biologie 301);
00UR, 00US et 00UT (physique 101, 201 et 301);
OU suivre une formation préparatoire à l'université
(Laval)
00UN et 00UP (maths 103 et 203);
00UR et 00US (physique 101 et 201);
00UL et 00UM (chimie 101 et 201) + chimie 202 00XV non obligatoire, mais
recommandé;
OU suivre une année préparatoire
préparatoire offert par l'université (freshman year)
(Mcgill)
§
Soit être âgé d'au moins 21 ans,
détenir le D.E.S. ou son équivalent, avoir quitté le système scolaire depuis
plus de 2 ans et détenir une combinaison de scolarité et d'expérience jugée
équivalente dans un domaine dans le domaine agricole ou agroalimentaire et avoir réussi les équivalents des cours collégiaux
mentionnés dans la section "détenir tout autre DEC"
(Laval et Mcgill)
§ Pour les candidats de l’Ontario : détenir le Certificat d’études secondaires de l’Ontario et avoir réussi des cours universitaires équivalents à ceux mentionnés ci-dessus. Pour connaître les équivalences de préalables, voir la page suivante
§
Pour les candidats du
Nouveau-Brunswick : détenir le Diplôme d’études secondaires
du Nouveau-Brunswick et avoir réussi des cours universitaires équivalents à
ceux mentionnés ci-dessus. Pour connaître les équivalences de préalables, voir la
page suivante
STATISTIQUES D’ADMISSION :
Ces programmes NE SONT PAS contingentés
Les candidats(es) admissibles (c'est-à-dire détenant les préalables requis) sont généralement admis.
Ces programmes sont ouverts aux
trimestres d’automne et d’hiver
ENDROITS DE
FORMATION :
Qu'est-ce
que l'alternance travail-études ?
Université Laval
Baccalauréat spécialisé en sciences et technologie des aliments -
concentrations offertes : agronomie, management ou sans concentration avec stages obligatoires;
Ce programme est également offert à Longueuil,
Programme
unique en français en Amérique du Nord
offert en régime régulier à temps complet OU en
cheminement en alternance travail-études à temps complet (jusqu'à 3 stages rémunérés de 12 semaines
chacun en entreprise agricole au cours des trimestres d'été, ainsi qu'un
stage professionnel rémunéré au troisième été dans une entreprise ou
institution agroalimentaire);
Voir aussi les nombreux D.E.C.-BAC en
sciences et technologie des aliments avec plusieurs cégeps pour les titulaires d'un D.E.C.
technique (technologie des procédés et qualité des aliments,
technologie de laboratoire - biotechnologies, technologie de laboratoire -
chimie analytique ou techniques de diététique);
et les passerelles permettant la reconnaissance de quelques crédits pour
titulaires de certains D.E.C. technique (technologie de
laboratoire - chimie analytique, technologie de laboratoire - biotechnologie,
techniques de diététique ou gestion d'un établissement de restauration);
Seule
institution d’enseignement et de
recherche universitaire en agriculture et alimentation de langue française en Amérique du Nord;
L'un des meilleurs programmes au Canada;
Ses programmes sont classés au 6e rang (5e rang
en 2019) au Canada, au 5e rang (3e rang
en 2019) dans la francophonie et dans
le top 100 au monde selon le réputé Shanghai Ranking 2021, 2020 et 2019;
Certains cours sont offerts à distance;
Comprend de nombreuses installations
à la fine pointe de la technologie (regarde
le vidéo suivant) telles que : le laboratoire
de technologie alimentaire (usine-pilote), le
laboratoire de biochimie, laboratoire de chimie, laboratoire de
microbiologie générale, laboratoire de microbiologie des viandes, le
laboratoire de physiologie animale intégrative, le laboratoire de
nutrition, laboratoire de phytologie, laboratoire d'informatique
industrielle, les fermes d'enseignement (ferme sur
le campus et ferme de St-Augustin-de-Desmaures) et le Complexe de serres haute
performance, pour plus de détails, voir la page suivante;
Plusieurs cours
pratiques (laboratoire de biochimie
générale, laboratoire de microbiologie générale, laboratoire de
microbiologie alimentaire industrielle, laboratoire de chimie analytique,
laboratoire de nutrition, laboratoire d'analyses physico-chimiques des
aliments, laboratoire de conservation des aliments, laboratoire
d'ingénierie des procédés, laboratoire des procédés de transformation des
produits animaux, laboratoire des procédés de transformation des produits
laitiers, laboratoire des procédés de transformation des produits
céréaliers, laboratoire des procédas de transformation des produits
végétaux, travaux pratiques en qualité des aliments, travaux pratiques en
analyse sensorielle, laboratoire en productions végétales durables dans la
concentration en agronomie, laboratoire de productions animales dans la
concentration agronomie);
Possibilité d'effectuer un stage
de coopération internationale au Sénégal;
Comprend un projet
intégrateur en développement d'un produit alimentaire obligatoire (développement d'un produit alimentaire
innovant dans des conditions industrielles);
Possibilité de réaliser un projet
agroalimentaire facultatif (sous
forme d'un mandat réel de consultation auprès d'une entreprise
alimentaire);
Possibilité de réaliser un projet
de recherche de fin d'études facultatif (participation
à un projet de recherche au sein d'une équipe de recherche (laboratoire
industriel, gouvernemental ou universitaire);
Regarde la vidéo promotionnelle et le webinaire du programme;
Site du département des sciences des
aliments et de nutrition;
Site de la Faculté des sciences de
l’agriculture et de l’alimentation.
Voir aussi le
profil entrepreneurial (voir aussi la
page suivante) permettant de réaliser un projet de création ou
de démarrage d'une entreprise technologique;
le
profil international (voir aussi la
page suivante) permettant
la possibilité d'effectuer un séjour d'études à l'étranger d'1 ou 2 sessions d'études dans une université partenaire (Institut
Polytechnique de Bordeaux en France, École Nationale Vétérinaire,
Agroalimentaire et de l'alimentation de Nantes-Atlantique ONIRIS en France
ou Instituto Tecnológico y de Estudios Superiores de Monterrey au Mexique), consulte
le Bureau international;
le
profil recherche (voir aussi la
page suivante) permettant
de participer activement à un projet de recherche;
possibilité de réaliser un stage de recherche crédité NON rémunéré en
sciences des aliments;
Ainsi que le profil distinction (voir
aussi la page suivante)
offrant la
possibilité d'un passage intégré à la
maîtrise permettant d'accélérer ta
scolarité de 2e cycle pendant ton programme de 1er cycle
(en suivant 12 crédits de la maîtrise) et accélérer ton parcours aux
cycles supérieurs.
Comprend 1 stage crédité NON
rémunéré obligatoire (stage
d'initiation de 200 heures au cours en entreprise alimentaire au Québec ou
ailleurs au Canada OU stage de 400 heures en entreprise alimentaire hors
du Canada au cours de la 2e année);
Comprend 1 stage crédité ET
rémunéré obligatoire (d'une
durée de 3 mois dans une entreprise alimentaire au Québec ou ailleurs au
Canada OU stage de 400 heures en industrie alimentaire hors du Canada au
cours de la 3e année).
Consulte également les détails sur la maîtrise en sciences des aliments (profil
professionnel sans concentration avec essai obligatoire et stage
industriel facultatif OU cheminement bidiplômant avec le master en
nutrition humaine et santé de l'Université de Bordeaux en France
permettant d'obtenir les 2 diplômes, unique en français en Amérique du Nord); la maîtrise
en sciences des aliments (profil
recherche - spécialisation en microbiologie alimentaire avec mémoire); la maîtrise
en sciences des aliments (profil
recherche sans concentration avec mémoire, unique en français en
Amérique du Nord) et la maîtrise en génie agroalimentaire (profil
recherche sans concentration avec mémoire, unique en français en Amérique du Nord).
Site de l'Institut sur la nutrition et les
aliments fonctionnels INAF; site du Centre de recherche en innovation
des végétaux.
réputée dans les domaines de recherche tels que :
composition et
sciences des aliments : stabilité des huiles et
graisses de friture; physico-chimie des matières grasses; identification,
extraction,synthèse et dosage de biomolécules d'origine végétale pour le
développement de nouveaux aliments santé; évaluation des composés
nutraceutiques de la canneberge; conception et le développement de
nouvelles approches "vertes" pour la synthèse de nouveaux
ingrédients alimentaires fonctionnels pouvant améliorer la qualité et
l’utilisation des produits alimentaires; développement d'alternatives aux
gras saturés alimentaires; relations structure-fonctions des protéines;
propriétés fonctionnelles des ingrédients du lait; potentiel nutraceutique
des algues; caractérisation des propriétés aromatiques des ferments
lactiques; sélection et formulation de ferments lactiques aromatiques;
développement de boissons laitières fonctionnelles; développement et
l’utilisation optimale des ingrédients issus du lait et des sous-produits
laitiers; stabilisation/protection des composés bioactifs comportant des
effets bénéfiques pour la santé dans les aliments; etc;
innocuité et sécurité
alimentaire : analyse des risques
alimentaires; allergènes alimentaires; contaminants alimentaires d'origine
chimique; développement des compétences et des normes en sécurité
alimentaire sanitaire; développement de méthodes de détection de
micro-organismes pathogènes alimentaires; développement d'emballages
actifs et biodégradables pour une conservation sécuritaire des aliments;
rôle des bactéries probiotiques dans la prévention et la résistance aux
infections entériques; qualité microbiologique des viandes; production et
conservation des cultures lactiques et probiotiques; fermentation et la
conservation des fruits et légumes; extraction, caractérisation et
évaluation protéines végétales (d'oléagineux, de légumineuses et de
céréales) pour développements des aliments fonctionnels et
anti-allergènes; etc;
procédés de
transformation : valorisation de la biomasse
marine par les bioprocédés; validation de sous-produits alimentaires;
variabilité et efficience des procédés de fabrication fromagère;
développement et optimisation des procédés de transformation du lait;
impact des traitements thermiques sur les constituants du lait;
développement des procédés de préservation des aliments; développement de
méthodes d'optimisation en temps réel des procédés de transformation;
développement de bioprocédés de transformation des viandes et volailles;
etc;
technologie
alimentaire : développement
d'emballages actifs et biodégradables pour une conservation sécuritaire
des aliments; conception et le développement de nouvelles approches
"vertes" pour la synthèse de nouveaux ingrédients alimentaires
fonctionnels pouvant améliorer la qualité et l’utilisation des produits
alimentaires; développement de technologies post-récolte pour augmenter la
durée de conservation des produits horticoles; procédés de conditionnement
gazeux (emballage sous atmosphère modifiée), de conservation et
d'emballage des aliments; etc.
Université McGill
Baccalauréat spécialisé en sciences des aliments options offertes : chimie alimentaire ou sciences des aliments avec stage facultatif;
formation offerte au Macdonald Campus situé à Ste-Anne-de-Bellevue
à l'extrême ouest de l'Île-de-Montréal;
offert en régime régulier à temps complet seulement.
Possibilité de bénéficier
de passerelles permettant
la reconnaissance de quelques crédits pour titulaires de certains
D.E.C. technique (technologie de laboratoire - chimie analytique,
technologie de laboratoire - biotechnologie ou technologie des procédés et
qualité des aliments) sur étude individualisée du dossier de
l'étudiant seulement.
Consulte également le Baccalauréat bidisciplinaire en
sciences des aliments et sciences nutritionnelles;
(sans concentration avec projet de recherche facultatif et avec stage
facultatif);
offert en régime régulier à temps complet seulement.
L'un des meilleurs
programmes au Canada;
Ses programmes sont classés au 3e rang au Canada, au au 23e rang en Amérique du Nord et au 53e rang au monde selon le réputé Shanghai Ranking 2021;
Comprend de nombreuses installations
à la fine pointe de la technologie telles que : ferme d'enseignement du campus Macdonald, le Helen R.
Nielson Culinary Demonstration Room, le Mary Catherine Freeman Quantity
Food Production Laboratory, le Frederick N. Southam Food Preparation
Laboratory, Earle W. Crampton nutrition laboratory, le High Pressure &
Microwave Processing laboratory, le Centre Valacta (comprenant un laboratoire de robotique laitière,
laboratoire de pasteurisation, laboratoire de procédés de transformation
des produtis laitiers, laboratoire de chimie du lait, laboratoire de
microbiologie du lait, etc); pour plus de détails voir la page suivante;
Plusieurs cours
pratiques - spécialisation en sciences des aliments (laboratoire de biochimie générale, laboratoire de chimie
organique, laboratoire de chimie analytique, laboratoire de chimie
alimentaire, laboratoire de microbiologie alimentaire, laboratoire
de nutriton, laboratoire des procédés de transformation, laboratoire
d'ingénerie de la fermentation, laboratoire de développement de produits,
etc);
Plusieurs cours
pratiques - spécialisation en chimie alimentaire (laboratoire de biochimie générale, laboratoire de chimie
organique, laboratoire de chimie analytique, laboratoire de chimie
physique, laboratoire de chimie alimentaire, laboratoire de microbiologie
alimentaire, laboratoire de chimie physique, laboratoire d'enzymologie,
laboratoire des procédés de transformation, laboratoire de chimie des
arômes, laboratoire d'assurance qualité, laboratoire de chimie biophysique
des aliments);
Possibilité d'effectuer un stage
de coopération internationale en
Afrique (Niger, Sénégal, Burkino Faso, Cameroun, etc.);
Possibilité de réaliser un projet
agroalimentaire facultatif (sous
forme d'un mandat réel de consultation auprès d'une entreprise
alimentaire);
Possibilité de réaliser un projet
de recherche de fin d'études facultatif (participation
à un projet de recherche au sein d'une équipe de recherche (laboratoire
industriel, gouvernemental ou universitaire);
Possibilité de réaliser un projet entrepreneurial;
Site du département des sciences des
aliments et de chimie alimentaire;
Site du Campus Macdonald.
Possibilité d'effectuer un séjour
d'études à l'étranger d'1 ou 2
session(s) dans une université partenaire (University of Copenhague au Danemark classée au 15e rang,
University College Dublin en Irlande classée au 17e rang,
Università degli Studi di Bologna en Italie classée au 20e rang,
Technische Universität München en Allemagne classée au 32e rang,
University of Auckland en Nouvelle-Zélande classée au 37e rang,
National University of Singapore à Singapore classée au 39e rang,
Universidad de Barcelona en Espagne classée dans le top 100, University of
Leeds en UK classée dans le top 100, University of Alberta au Canada
classée dans le top 50, University of BC au Canada classée dans le top
100, University of Manitoba au Canada classée dans le top 100 etc); pour
plus de détails consulte le Bureau des échanges étudiants;
Possibiltié d'effectuer jusqu'à 2
stages crédités rémunérés ou non facultatifs
(d'une durée de 2 mois dans une entreprise
alimentaire au Québec, ailleurs au Canada et à l'étranger dans de nombreux
pays, pour plus de détails consulte le Bureau des échanges étudiants.
Consulte également les détails sur la maîtrise en sciences des aliments (profil
professionnel sans concentration avec essai), la maîtrise en sciences des aliments (profil
professionnel - spécialisation en
sécurité alimentaire avec essai, unique au
Québec), la maîtrise en sciences des aliments (profil
recherche sans concentration avec mémoire) et la la maîtrise en
génie des bioressources (profil professionnel - option bioprocédés et aliments avec projet de fin d'études ou avec stage).
Site de l'Institut sur la nutrition et les
aliments fonctionnels INAF; site du Centre de recherche en innovation
des végétaux.
réputée dans les domaines de recherche tels que :
composition et
sciences des aliments : conception et le développement
de nouvelles approches "vertes" pour la synthèse de nouveaux
ingrédients alimentaires fonctionnels pouvant améliorer la qualité et
l’utilisation des produits alimentaires; caractérisation de nouvelles
bactéries lactiques; propriétés biologiques des probiotiques; extraction,
caractérisation et l'évaluation de l'impact des procédés de transformation
sur leurs propriétés moléculaires, nutritionnelles, fonctionnelles et
allergéniques des avec un intérêt particulier pour les protéines végétales
(d'oléagineux, de légumineuses et de céréales); interactions des
sucres réducteurs avec les acides aminés; propriétés fonctionnelles et
biochimiques des protéines provenant de graines séchées; etc;
chimie et
microbiologie alimentaires :
développement de nouvelles approches analytiques pour l’analyse des
contaminants afin de comprendre le devenir des contaminants dans les
aliments; conception et le développement de nouvelles approches
"vertes" pour la synthèse de nouveaux ingrédients alimentaires
fonctionnels pouvant améliorer la qualité et l’utilisation des produits
alimentaires; mise au point de technologies pour le contrôle de
pathogènes; la conception de petites molécules d'origine
naturelle pour le développement de nouveaux; risques chimiques dans la chaîne
alimentaire humaine; corrélations entre les populations microbiennes
intestinales et divers effets sur la santé; etc;
procédés de
transformation : amélioration des procédés
de transformation des aliments; développement de nouvelles applications
des polymères naturels dans les aliments fonctionnels et les emballages
alimentaires avancés; développement de nouveaux bioprocédés pour la
synthèse d'ingrédients nutraceutiques; traitement par surpression
d'aliments dans des emballages à profil mince; utilisation des enzymes de
spécialité des animaux marins dans la transformation des aliments;
développement de matériaux à base de polymères naturels; etc.
LIENS
RECOMMANDÉS :
Afin d’obtenir davantage
d’informations concernant cette profession, consulte également le site de l’Ordre
des agronomes du Québec
Tu veux un avis d'agronomes
en STA sur leur profession ?, consulte les vidéos suivants :
l'entrevue avec Charles Émond, étudiant au baccalauréat en sciences et technologie des aliments
de l'Université Laval et réalisée par l'Université Laval;
l'entrevue avec Gabrielle Mathieu; étudiante au baccalauréat en sciences et technologie des aliments et présidente de la Boulangerie du Comtois, une entreprise-école à l'Université Laval et réalisée par l'Université Laval;
un extrait de la présentation
de Annick Raymond-Fleury, étudiante à
la maîtrise en sciences des aliments à l'Université Laval dans le cadre du
concours "ma thèse en 180 secondes" et réalisée par l'Université
Laval;
infos sur
les différents aliments :
organismes
de loisir scientifique :
divers :
- Fédération
d'agriculture biologique du Québec : organisme faisant la promotion de l'agriculture
biologique au Québec
- Agriculture
durable : site québécois d'infos sur l'agriculture et le
développement durable
- Agri-réseau : important
portail québécois sur les ressources pour le milieu agricole
- Association
des jeunes ruraux du Québec : site de ce regroupement de personnes intéressées au
milieu agricole
- Avis
Bio : site de ce magazine sur l’agriculture biologique
- Bulletin
des agriculteurs : site ce magazine sur l’agriculture
- Carrefour
bioalimentaire du Québec : site du MAPAQ où l’on retrouve un répertoire des
entreprises oeuvrant dans le milieu agricole et agroalimentaire
- Coopérateur
agricole : site de ce magazine agricole
- Filière Bio Québec :
organisme faisant la promotion et le soutien au développement de l'agriculture
biologique au Québec
- Québec Bio :
portail québécois de références, d'infos et de ressources en agriculture
biologique au Québec
- Québec Vrai :
organisme sans but lucratif chargé de certifier les aliments biologiques
produits au Québec
- Semaine de l’agriculture, de l’alimentation et
de la consommation
- Terre
de chez nous : site de ce portail québécois d'infos et de
ressources en agriculture
- Union
des producteurs agricoles du Québec :
site officiel de cette organisation vouée à la défense des intérêts de
l’ensemble des agriculteurs et agricultrices du Québec