Retour à la page du secteur mécanique d’entretien

Retour à la page d’accueil

 

 

SECTEUR : MÉCANIQUE D’ENTRETIEN

NIVEAU D’ÉTUDES : FORMATION PROFESSIONNELLE

 

MÉCANICIEN(NE) D'ENTRETIEN ou

MÉCANICIEN(NE) DE CHANTIER ou

MÉCANICIEN(NE) INDUSTRIEL

 

DIPLÔME D’ÉTUDES PROFESSIONNELLES D.E.P.

 

Consulte également section "liens recommandés" à la fin de cette page (dont des vidéos de mécaniciens industriels qui parlent de leur métier).

 

TÂCHES ET RESPONSABILITÉS :

 

En tant que mécanicienne ou mécanicien industriel; tu seras responsable d'installer, de faire l’entretien régulier et périodique, dépanner, réparer, ajuster et inspecter les composantes des systèmes mécaniques, hydrauliques et pneumatiques desles différentes machines se retrouvant dans une usine ou une autre installation semblable.

 

Autant les PME que les grandes industries, qu'elles soient automatisées ou qu'elles n'aient que des machines et des équipements conventionnels, toutes les entreprises manufacturières ont besoin de mécaniciens(nes) industriels.

 

Tu auras pour tâches de :

En tant que mécanicienne ou mécanicien de chantier; tu seras responsable d'installer, réparer, régler, monter, démonter et inspecter la machinerie et l'équipement que l'on retrouve sur des chantiers de construction comme les pompes à béton, les foreuses à béton, les compresseurs, les génératrices, les concasseurs à pierre, les chaudières à vapeur, les machines à tirer les câbles ("puller"), les machines à tensionner les câbles, les scies hydrauliques, etc.

 

Tu travailleras majoritairement sur des chantiers de construction de génie civil (infrastructures hydroélectriques, infrastructures d'éoliennes, infrastructures de communications, infrastructures maritimes, ponts, réseaux d'aqueduc et d'égout, routes ou autoroutes, réseaux de pipeline gazier ou pétrolier, etc.); les chantiers de construction industrielle (construction ou agrandissement d'usines, construction, agrandissement ou réhabilitation de mines, agrandissement de chantiers navals, etc.) et plus rarement, sur les chantiers de construction commerciale et institutionnelle (construction d'édifices à bureaux, de centres commerciaux, d'hôtels, d'immeubles à condominiums, d'immeubles à revenus locatifs, d'hôpitaux, d'écoles, etc), ont tous besoin de mécaniciens(nes) de chantier.

 

En construction industrielle, on fera également appel à tes services afin d'effectuer l'installation, le montage et le réglage de certaines machines et équipement fixes en collaboration avec les électriciens, les tuyauteurs, les frigoristes, les mécaniciens en protection-incendie, les ferblantiers, les soudeurs et les chaudronniers.

 

Sur les chantiers hydroélectriques, tes compétences seront sollicitées afin d'installer et monter les équipements électromécaniques et électrohydrauliques des centrales hydroélectriques.

 

En tant que mécanicienne ou mécanicien d'entretien; tu seras responsable d'installer, entretenir, inspecter, réparer et ajuster de la machinerie et de l'outillage mécanique tel que : machines ou chaudières à vapeur, compresseurs d'air, appareils de levage, unités de ventilation, les équipements de manutention, systèmes d’alimentation en oxygène d'hôpitaux et autres équipements  connexes d'un grand établissement (tels que : immeubles à bureaux, de centres commerciaux, hôtels, hôpitaux, collèges, pavillons d'universités, etc.).

 

Tu surveilleras les compteurs, manomètres et contrôles et fait les ajustements et réparations nécessaires et tu tiendras à jour les registres de rendement et de maintenance de l'équipement.

 

Les établissements hospitaliers, les compagnies immobilières et autres gestionnaires immobilier et les universités notamment, emploient des mécaniciens(nes) d'entretien.

 

En tant que mécanicien ou mécanicienne de voitures/wagons ferroviaires (chemin de fer); tu seras responsable d’inspecter les voitures à voyageurs et les wagons à marchandises pour vérifier les dommages et par la suite faire les réparations qui s’imposent. Cela signifie qu’il doit travailler avec toutes les parties qui interviennent à l’intérieur et à l’extérieur d’un wagon quelconque et d’une voie ferrée y compris les compresseurs, les soupapes d’air, la canalisation, les réservoirs d’air comprimé, les sièges de passagers, les fenêtres et les cabinets d’aisances.

 

Tu devras notamment inspecter les wagons de passagers et de marchandises pour vérifier les dommages, faire le diagnostic et la réparation de tous les problèmes pertinents, réparer et retoucher les matériaux en métal et en bois, installer et réparer les soupapes pneumatiques, les roulements, les compresseurs, les cylindres et la canalisation, entretenir, remplacer et installer les fenêtres, etc.

 

Tu devras suivre une formation en cours d'emploi échelonnée sur 3 à 4 ans en tant qu'apprenti(e) et ensuite, tu obtiendras la classe de compagnon qui te permettra d'effectuer l'entretien générale des voitures de trains et métro.

 

QUALITÉS ET APTITUDES  NÉCESSAIRES :

-         Bonne santé : ne pas avoir d'allergies, bonne résistance au bruit, à la chaleur et à la poussière

-         Avoir une bonne acuité visuelle et auditive

-         Bonne perception des formes en 3D

-         Bonne condition et endurance physique : car tu devras de longues heures debout ou dans des positions inconfortables et dans des endroits exigus

-         Intérêts pour la mécanique, les technologies et le milieu industriel

-         Facilité pour les calculs de mesures et la géométrie

-         Capacité de lire des plans et devis d'assemblage

-         Bonnes habiletés manuelles et dextérité manuelles car tu auras à utiliser et opérer divers types de machines-outils et manipuler

-         Minutie, précision et souci du détail car tu auras à réparer des pièces délicates

-         Sens méthodique et capacité d'analyse car tu devras analyser et trouver rapidement une défectuosité ou tout autre problème

-         Sens de l'observation et de l'initiative car tu devras agir dès que tu détecteras une défectuosité à une machine

-         Sens des responsabilités car tu seras responsable du bon état et de la sécurité des équipements

-         Facilité à travailler en équipe et sous pression car tu auras à travailler en collaboration avec d'autres mécaniciens, des opérations de machines et équipements industriels, des machinistes, des soudeurs, des électromécaniciens, des technologues en maintenance, etc.

-         Connaissance de l’anglais car la documentation technique est généralement dans cette langue 

PROFESSIONS APPARENTÉES :

-      Ajusteur(euse) de machines industrielles

-    Ajusteur(euse) de turbines

-    Ajusteur(euse) en mécanique

-    Ajusteur(euse)-monteur(euse) de machines

-    Gréeur(euse) de navire

-    Huileur(euse)-réparateur(trice) d'outils

-    Intégrateur(trice) de machines-outils

-    Mmécanicien(ne) d'appareillage (Hydro-Québec)

-       Mécanicien(ne) de machines d’imprimerie

-       Monteur(euse) de machines textiles

-       Ouvrier(ère) en entretien de l’outillage

-    Mécanicien(ne)-ajusteur(euse)

-    Mécanicien(ne) d'appareillage-machiniste (avec un D.E.P. en techniques d'usinage comme formation complémentaire) chez Hydro-Québec

-    Mécanicien(e) d'entretien en commandes industrielles (avec l'ASP en mécanique en commandes industrielles)

-    Mécanicien(ne) d'entretien préventif

-    Mécanicien(ne) de bâtiments

-    Mécanicien(ne) de voitures de trains ou métro (formation en cours d'emploi offerte par l'employeur échelonnée sur 3 à 4 ans)

-       Mécanicien(ne) en entretien préventif industriel

-    Mécanicien(ne) industriel spécialisé(e) en automatisation (avec le double DEP en mécanique industrielle/électromécanique)

-    Mécanicien(ne) machiniste (avec un D.E.P. en techniques d'usinage comme formation complémentaire)

-        Mécanicien-monteur ou mécanicienne-monteuse de machines industrielles

-    Mécanicien(ne)-soudeur(e) (avec un D.E.P. en soudage comme formation complémentaire)

-    Préposé(e) à l'entretien - bobinage alternateurs (Hydro-Québec)

-    Régleur(euse) de machines

-    Régleur(euse)-réparateur(trice) de machines

-       Réparateur(trice) de matériel hydraulique

-    Réparateur(trice) de matériel pneumatique

-      Contremaître ou contremaîtresse de mécaniciens(nes) industriels (après quelques années d’expérience)

-    Professeur(e) d'enseignement professionnel en mécanique industrielle (après quelques années d’expérience)

-    Technicien(ne) d'entretien mécanique

-    Technicien(ne) d'entretien préventif

-    Technicien(ne) de groupes électrogènes (Forces armées)

-       Technicien(ne) en réfrigération et mécanique (Forces armées) formation offerte par les Forces

-    Technicien(ne) en multimécanique du réseau (Énergir)

-    Tuyauteur(euse) industriel (avec l'Attestation de perfectionement en tuyauterie-soudage)

EMPLOYEURS POTENTIELS : 

-       Ateliers d’usinage

-    Chantiers navals

-    Compagnies ferroviaires

-       Compagnies forestières

 -   Compagnies minières

-    Compagnies pétrolières

-    Entrepreneurs en construction commerciale, institutionnelle et industrielle

-    Entrepreneurs en travaux de génie civil

-    Entreprises privées en production et distribution d'électricité

-       Fabricants de chaudières, de réservoirs et autres contenants industriels

-       Fabricants de produits d’architecture et d’éléments de charpentes métalliques

-    Hydro-Québec

-       Industries aérospatiales (assemblage d'aéronefs, moteurs d'aéronefs, trains d'atterrisage, systèmes de contrôle du carburant d'aéronefs, composants de satellites de communication, systèmes avioniques, etc.)

-       Industries chimiques et pétrochimiques (produits ménagers, produits de revêtement, gaz industriels, produits chimiques industriels, etc.)

-    Industries de la plasturgie, du caoutchouc et des composites (pneus, pièces pour véhicules routiers, pièces pour véhicules récréatifs, matériaux de construction, emballages alimentaires ou industriels, contenants divers, articles ménagers, jouets, revêtements de sol, etc.)

-       Industries agroalimentaires (laiteries, crèmeries, pâtisseries industrielles, boulangeries industrielles, usines de transformation de viandes et volailles, usines d'embouteillage, etc.)

-       Industries papetières

-    Industries sidérurgiques

-       Manufacturiers de moteurs, de turbines et autres matériels de puissance

-      Manufacturiers de machines et d’équipements industriels (matériel de construction, matériel agricole, matériel minier, matériel forestier, machines pour l'industrie métallurgique, machines et équipements pour l'industrie alimentaire, etc)

-    Manufacturiers d'appareillage et équipements électriques

-    Manufacturiers de matériaux et autres produits de la construction

-    Manufacturiers de meubles et autres produits de bois ouvré

-    Manufacturiers de produits électriques (outils, appareils électriques, électroménagers, matériel d'éclairage, etc.)

-       Manufacturiers de produits électroniques (matériel de télécommunication, appareils audiovisuels, instrumentation électronique, etc.)

-    Manufacturiers de produits en optique et photonique (appareils de vision nocturne, systèmes GPS, lecteurs optiques, matériel de fibres optiques, etc.)

-       Manufacturiers de véhicules de transport routier (autos, camions, autobus, motoneiges, tracteurs, etc.)

-    Manufacturiers de véhicules récréatifs (motoneiges, VTT, embarcations nautiques, etc.)

-       Industries pharmaceutiques, des cosmétiques et biomédicales

-       Industries du textile et du vêtement

-       Imprimeries

-      Autres industries (moyennes et grandes) utilisant de la machinerie industrielle

-       Entreprises spécialisées en haute-technologie

-       Entreprises d’entretien industriel

-    Distributeurs et grossistes de machines et équipements industriels

-       Firmes d’ingénieurs-conseils

-    Établissements d'enseignement post-secondaire (centres de formation professionnelle, cégeps et universités) 

EXIGENCES DU MARCHÉ DU TRAVAIL :

 

-         Détenir ta carte de compétence est obligatoire pour travailler sur les chantiers de construction. En début de carrière tu travailleras en tant qu’apprenti et tu n’obtiendras ta carte de compagnon seulement après avoir accumulé un minimum de 6 000 heures de travail comme apprenti(e) (environ 3 ans).
Voici les détails auprès de la Commission de construction du Québec.

-    Détenir la Cerfification en mécanique de remontées mécaniques émis par Emploi Québec pour travailler dans les stations de ski

EXIGENCES DES EMPLOYEURS :

-         Connaissance de l’anglais (certains exigent le bilinguisme)

-         Polyvalence

-    Mobilité essentielle partout au Québec pour les mécaniciens de chantiers

-         Capacité de s’adapter aux nombreux changements technologiques

-    Travail tout au long de l'année dans la plupart des cas sur les chantiers de construction

-    Travail sur quarts (jour/soir/nuit)

-    Parfois de longues heures de travail sous pression et stress

-      Être prêt à travailler dans des endroits chauds, humides, bruyants, poussiéreux et étroits ou même avec de possibles émanations de pétrole ou produits chimiques

-    Une formation en mécanique industrielle peut faciliter la réussite de la formation en cours d'emploi de mécanicien(ne) de voitures de trains

PLACEMENT :

 

Selon les données disponibles au 1er juin 2019 :

 

Pour le D.E.P. en mécanique industrielle :

 

Le placement est TRÈS BON, 81 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu en emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.

 

Quelques autres répondants(es), soit 13 % ont choisi de poursuivre leurs études dans un autre D.E.P. (ex : électromécanique ou soudage), au niveau du A.S.P. ou du D.E.C. en technologie de la maintenance industrielle.

 

NOMBRE DE  RÉPONDANTS

NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ

NOMBRE EMPLOI A TEMPS  COMPLET

NOMBRE
 AUX
ÉTUDES

225 159 159 29

 

Note 1 :hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (étiat de 75 % en 2019; 74 % en 2015 et 71 % en 2013).

 

Note 2 : le placement est meilleur hors-Montréal avec un taux de placement de plus de 85 %.

 

Sources : Ministère de l’Éducation du Québec

 

SALAIRE :

 

Selon les données de 2022 :

 

Le salaire moyen en début de carrière était de :

 

Dans le secteur de la construction :

-        25,81 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant qu’apprenti(e) et ensuite augmente à 43,08 $/hre en tant que compagnon sur les chantiers de génie civil (infrastructures routières, infrastructures d'éoliennes,infrastructures électriques ou infrastructures de communications)

-         27,67 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant qu’apprenti(e) et ensuite augmente à 46,12 $/hre en tant que compagnon sur les chantiers de construction industrielle lourde (noamment les infrastructures minières, etc.)

-         31,52 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant qu’apprenti(e) et ensuite augmente à 48,75 $/hre en tant que compagnon sur les chantiers de génie civil (infrastructures de pipelines et réseaux de distribution de gaz naturel ou de pétrole)

Note 1 : Cependant, dans le secteur de la construction le salaire annuel moyen comme apprenti(e) au cours de la première année était de 31 500 $ (était de 31 400 $ en 2019; 30 700 $ en 2017; 22 900 $ en 2015; 26 000 $ en 2013 et 32 100 $ en 2011).

Note 2  : dans le secteur de la construction, les augmentations sont établies par les conventions collectives.

Secteur privé hors-construction :  

-    20,92 $/heure (37,5 ou 40 hres/sem) en moyenne  au sein des grands manufacturiers de matériel électronique

-    21,97 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne) industriel au sein des grands manufacturiers de machines et équipements industriels

-    22,46 $/heure (40 hres/sem) en moyenne  au sein des grands manufacturiers de produits textiles (auvents, toiles, tapis, etc.)

-         22,58 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grands manufacturiers de matériel de transport terrestre (routier ou ferroviaire)

-         22,58 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grands manufacturiers de machines et équipements industriels

-         22,63 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de produits en bois (panneaux agglomérés, parquets lattés, contreplaqués, etc.)

-         22,73 $/heure (40 hres/sem) en moyenne  au sein des grands manufacturiers de matériel électrique

-    22,92 $/heure (40 hres/sem) en moyenne  au sein des grands manufacturiers de produits en fabrication métallique industrielle

-    22,93 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 23,94 $/heure par la suite au sein des grands chantiers navals

-        23,08 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant qu’apprenti(e) et ensuite augmente à 27,51 $/hre en tant que compagnon en tant que mécanicien(ne) de remontées mécaniques au sein des grandes stations de ski

-    23,15 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 24,75 $/heure par la suite au sein des grands manufacturiers de produits aérospatiaux

-    23,32 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grands manufacturiers de machines et équipements industriels

-    23,28 $/heure (40 hres/sem) en moyenne  au sein des grandes industries de transformation alimentaire (viandes et volailles, produits marins, fruits et légumes)

-    23,35 $/heure (40 hres/sem) en moyenne  au sein des grandes entreprises de l'imprimerie

-         23,49 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 25,27 $/heure en tant que compagnon au sein des grandes industries de transformation des produits forestiers

-         24,09 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 25,28 $/heure en tant que compagnon au sein des grandes entreprises d'exploitation forestière

-        24,19 $/heure (40 hres/sem) en moyenne  au sein des grands manufacturiers de matériel de transport terrestre (routier ou ferroviaire)

-         24,65 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands manufacturiers de la plasturgie, du caoutchouc, de la fibre de verre et des composites

-    25,10 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 25,74 $/heure par la suite au sein des grands manufacturiers de produits aérospatiaux

-         25,25 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne) industriel au sein des grandes industries papetières

-         25,73 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grands manufacturiers de matériel électrique

-         26,03 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands fabricants d'aliments ou boissons

-    26,09 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grands fabricants de produits en minéraux industriels (béton, asphalte, granite, marbre, etc.)

-         27,35 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 29,40 $ en tant que mécanicien(ne) industriel au sein des grandes industries papetières

-        27,68 $/heure (40 hres/sem) au sein des PME industrielles

-    29,06 $/heure (40 hres/sem) en moyenne au sein des grandes compagnies pharmaceutiques et cosméceutiques

-         29,14 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 36,43 $/heure en tant que compagnon au sein des grandes industries pétrolières

-         32,18 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 35,36 $/heure en tant que compagnon au sein des grands manufacturiers de produits chimiques et pétrochimiques

-         32,36 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 34,79 $ en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grandes industries papetières

-    33,07 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 34,87 $/heure par la suite au sein des grandes industries de première transformation des métaux (alumineries, aciéries, affineries, fonderies, etc.)

-    38,21 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) mécanicien(ne) d'entretien et augmente à 42,46 $/heure par la suite au sein des grandes compagnies minières

Note 1  : hausse de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 25,85 $ en 2019; 22,95 $ en 2017; 20,00 $ en 2015 et 17,95 $ en 2013).

 

Note 2  : chez la plupart des grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collectives.

 

Note 3 : chez les grands manufacturiers, tu débuteras au niveau apprenti pendant les 18 ou 24 premiers mois selon les entreprises.

Secteur public et parapublic :

-    26,57 $/heure (38,75 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) d'entretien au sein du réseau de la santé et des services sociaux (pitaux)

-    25,30 $/heure (38,75 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne) d'entretien au sein des universités

-      26,44 $/heure (37 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 42,70 $ en tant que mécanicien(ne) d'appareillage - compagnon à Hydro-Québec

-    26,83 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) d'entretien à la Société des casinos du Québec

-    26,90 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant qu'apprenti(e) et augmente à 35,12 $ en tant que mécanicien(ne) d'entretien dans les grandes entreprises publiques de transport urbain

-        27,29 $/heure (40 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 31,32 $ en tant que mécanicien(ne) d'entretien à Aéroports de Montréal

-    28,69 $/heure (37,5 hres/sem) en tant  que mécanicien(ne) d'entretien à l'Aéroport international Jean-Lesage de Québec

-    29,23 $/heure (37,5 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 35,28 $/heure en tant mécanicien(ne) d'entretien des voies à Via Rail Canada

-    29,83 $/heure (40 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 34,50 $ en tant que mécanicien(ne) d'entretien classe 2 à la Société de transport de Montréal STM (réseau du métro)

-         30,38 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne) d'entretien au sein des municipalités de taille moyenne (40 000 à 99 999 habitants)

-         30,73 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des municipalités de taille moyenne (40 000 à 99 999 habitants)

-         30,80 $/heure (36 ou 38,75 ou 40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne) d'entretien au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)

-    31,73 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) d'entretien dans la fonction publique fédérale (incluant les postes civils sur les bases militaires)

 -         31,74 $/heure (36 ou 38,75 ou 40 hres/sem) en moyenne en tant que mécanicien(ne)-soudeur(euse) au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)

-         32,26 $/heure (40 hres/sem) en tant qu'apprenti(e) et augmente à 39,19 $/heure en tant que technicien(ne) en entretien mécanique - compagnon à l'Administration portuaire de Montréal

-    33,28 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) des systèmes postaux à la Société canadienne des postes

-    34,59 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) d'entretien à l'Administration portuaire de Québec

-    36,57 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) d'entretien (usine usines de filtration et pompage, incinérateur, arénas) à la Ville de Montréal

-    38,45 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne)-soudeur(e) ou mécanicien(ne) en diagnostics en commandes industrielles à la Ville de Montréal

-    39,41 $/heure (40 hres/sem) en tant que stagiaire en multimécanique du réseau  et augmente à 41,46 $ en tant que technicien(ne) en multimécanique du réseau - mécanique industrielle à Énergir (anciennement "Gaz métro")

-      40,35 $/heure (40 hres/sem) en tant que mécanicien(ne) de machinerie industrielle (usine de liquéfaction, stockage et regazéification du gaz naturel) à Énergir (anciennement "Gaz métro")

-    3 168 $/mois (grade de soldat) en début de carrière en tant que technicien de groupes électrogènes ou technicien(ne) en réfrigération et mécanique et augmente à 5 320,00 $/mois après 3 ans avec le grade de caporal) au sein des Forces canadiennes (Force régulière)

-    3 168 $/mois (grade de soldat) en début de carrière en tant que technicien(ne) en structures d'aéronefs ou technicien(ne) en matériaux et augmente à 5 959,00 $/mois après 3 ans avec le grade de caporal) au sein des Forces canadiennes (Force régulière)

-    101,96 $/jour avec le grade de soldat (et augmente à 162,52 $/jour après 3 ans avec le grade de caporal) au sein des Forces canadiennes (Réserve)

Note  : dans le secteur le secteur public et parapublic, les augmentations sont établies par les conventions collectives.

 

Sources : Ministère de l’Éducation du Québec, Commission de la construction du Québec, Commission de la fonction publique du Canada, Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal, Syndicat des cols bleus de la Ville de Québec, Syndicat des cols bleus de la Ville de Laval, Syndicat des employés de métiers d'Hydro-Québec, Syndicat des employés de Gaz métro, Syndicat national des employés du Port de Montréal, Syndicat des travailleuses et travailleurs des postes du Canada, Allieance de la fonction publique du Canada - section locale 3149 Port de Québec, Syndicat des employés d'Aéroports de Montréal, Alliance de la fonction publique du Canada - section locale Aéroport de Québec, Syndicat des techniciens et artisans du Espace musique ou Première Chaîne de la SRC, Syndicat des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal STM, TCA Canada - section locale personnel d'atelier de Via Rail, conventions collectives des employés d'entretien de plusieurs grandes entreprises publiques de transport urbain, conventions collectives des employés de soutien de la plupart des universités, conventions collectives des cols bleus de la plupart des grandes municipalités, conventions collectives des cols bleus de plusieurs municipalités de taille moyenne, conventions collectives des employés de plusieurs grandes entreprises de l'imprimerie,  conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de transformation des produits forestiers, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers de machines et équipements industriels, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries du matériel électronique, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers de meubles, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers de menuiseries architecturales, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de transformation alimentaire, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de la plasturgie, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers de matériel de transport, conventions collectives des employés de plusieurs grands manufacturiers en fabrication métallique industrielle, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries aérospatiales, conventions collectives des employés de plusieurs grands fabricants de produits en minéraux industriels, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries pharmaceutiques et cosméceutiques, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries chimiques et pétrochimiques, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries papetières, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de transformation métallurgique, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries de fabrication de matériel électrique, conventions collectives des employés de plusieurs grandes industries chimiques et pétrochimiques, conventions collectives des employés de certaines grandes industries pétrolières, conventions collectives de plusieurs grandes entrepriss d'exploitation forestière et conventions collectives des employés de plusieurs grandes compagnies minières.

 

PORTRAIT DU MÉTIER :

Selon Emploi-Québec; il y avait plus de 22 000 mécaniciennes et mécaniciens industriels, mécaniciens(nes) d'entretien, mécaniciens(nes) d'usine et autres réparateurs(trices) de machines et équipements industriels;

Ainsi que plus de 1 500 ajusteuses et ajusteurs de machines dans l'ensemble des régions du Québec en 2022.

Plus de 99 % étaient des hommes

Plus de 96 % occupaient un poste à temps complet.

Plus de 59 % des mécaniciens(nes) industriels détiennent un diplôme d'études professionnelles D.E.P. ou un certificat de métier, alors que 18 % sont titulaires d'une attestation ou d'un diplôme d'études collégiales A.E.C. ou D.E.C.

La répartition selon l'âge était :

La répartition selon le type d'employeur était :

Selon la Commission de la construction du Québecv; il y avait 963 mécaniciennes et mécaniciens de chantier dans l'industrie de la construction dans l'ensemble des régions du Québec en 2022.

Il y avait 171 employeurs qui embauchent des mécaniciens de chantier (dont les 10 plus importants réalisent plus de la moitié des travaux)

Ce sont 38 nouveaux apprentis qui sont entrés dans l’industrie.

On dénombrait seulement 6 femmes (4 apprenties et 2 compagnons), soit : 1 de plus qu'en 2018 et 4 de plus qu'en 2015.

L'âge moyen d'un(e) apprenti(e) était de 30 ans, alors que celui d'un(e) compagnon était de 43 ans.

La répartition selon le groupe d'âge était  :

Où retrouve-t-on le plus de mécaniciens(nes) de chantier ?

 

La majorité d’entre-eux, soit 63 % œuvraient sur les chantiers de construction industrielle conventionnelle (usines, ateliers de fabrication, complexes industriels, etc.) et lourde (infrastructures minières)

plus de 25 % travaillaient dans le secteur de la construction de génie civil (infrastructures routières, d'éoliennes, électriques et de communications);

alors que seulement 12 % se retrouvaient dans le secteur de la construction commerciale et institutionnelle (surtout les grands chanatiers comme ceux des complexes hospitaliers).

 

Au cours de 2022, la proportion par région de travail était de :

 

21 % travaillaient en Montérégie,

15 % travailaient dans les régions de Laval et Laurentides,

15 % travaillaient en Mauricie,

12 % travaillaient au Saguenay-Lac-St-Jean,

10 % travaillaient dans les régions de Québec ou Chaudière-Appalaches,

9 % dans les régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie

7 % travaillaient en Côte-Nord,

11 % étaient à l'extérieur du Québec,

 

PERSPECTIVES D’AVENIR :

 

Dans le secteur industriel :

 

La difficulté des entreprises à se procurer certains équipements et appareils neufs ainsi que le vieillissement des infrastructures encourageront les investissements dans le maintien du matériel déjà en place.

 

La plupart des secteurs manufacturiers seront en croissance au cours des prochaines années.

 

Plusieurs mécaniciens(nes) industriels devront être embauchés afin de remplacer les nombreux départs à la retraite, puisque plus de 22 % sont âgés de 55 ans et plus.

 

Les mécaniciens(nes) industriels ont un avantage par rapport à d'autres métiers, c'est que leurs compétences sont facilement transférables d'un secteur à un autre. Si par malheur, que tu travailles dans un secteur industriel (exemple : industrie automobile) que tu es mis à pied, tu pourras facilement te trouver un emploi dans n'importe quel autre secteur industriel avec les compétences que tu possèdes déjà.

 

Dans la plupart des régions, tant dans les grands centres et dans les autres régions, il y a d' excellentes possibilités d'emploi pour ces ouvriers. Dans certaines régions, les centres de formation ne suffisent pas à la demande, puisqu'ils reçoivent 2 à 3 fois plus d'offres provenant d'employeurs qu'il y a de diplômés(es) disponibles. La plupart des finissants(es) obtiennent un emploi dans leur milieu de stage.

 

Il y a une forte demande notamment dans les régions du Bas-St-Laurent, du Saguenay-Lac-St-Jean, des Laurentides, de la Montérégie, de Chaudière-Appalaches, de Laval et du Centre-du-Québec.

 

Pour ce qui est de la région de l'Abitibi-Témiscamingue, on parle même de pénurie, notamment chez les manufacturiers de pièces ou d'équipements pour l'industrie minière.

 

Alors dans les régions de l'Île de Montréal, des Laurentides et de Laval dont les emplois sont surtout orientés vers l'industrie aérospatiale, les perspectives semblent moins bonnes avec les difficultés que rencontre cette industrie actuellement.

 

Enfin, les régions de l'Estrie, de la Mauricie, de Québec et de la Côte-Nord offrent également de bonnes perspectives.

 

Les mécaniciens(nes) industriels sont notamment prisés par les industries aérospatiales, métallurgiques, minières, de la plasturgie, pétrolières, du matériel de transport terrestre, de la machinerie et de l'équipement industriel (notamment ceux qui fabriquent des équipements miniers) et même papetières.

 

Les entreprises appartenant à la fabrication métallique industrielle (matériel de transport terrestre, machines et équipements industriels, produits métalliques) tirent relativement bien leurs épingles du jeu. Les livraisons manufacturières continuent de croître à un très bon rythme.

 

L'industrie de la fabrication de produits métalliques est un employeur important, mais pourrait rencontrer certains problèmes avec la baisse des activités dans l'industrie de la construction.

 

Le recrutement d’ouvriers spécialisés et expérimentés demeu- rera un des grands défis que devra relever l’industrie au cours des prochaines années.

 

D'ailleurs, les mécaniciens(nes) industriels figurent au 4e rang des métiers les plus difficiles à recruter au sein de cette industrie.

 

Comme la main-d’œuvre spécialisée n’abonde pas sur le marché du travail, les entreprises devront offrir des conditions de travail encore plus attrayantes pour attirer les meilleurs de la profession.

 

L'industrie de la première transformation des métaux sera favorisée par la reprise des activités dans l'industrie automobile et en aéronautique ainsi que par les projets d'infrastructures publiques.

 

De son côté, l'industrie de la fabrication d'aliments et de boissons bénéficiera de la croissance de la population et de l'augmentation des exportations, ce qui apportera de nouveaux insvestissements et l'embauche de nouvelle main-d'oeuvr

 

Bien que la situation puisse évoluer rapidement, la récente hausse de prix des ressources naturelles devrait favoriser les investissements dans l'industrie minière, notamment dans l'or, ce qui créera de nouveaux besoin

 

Selon le Comité sectoriel de la main-d'oeuvre de l'industrie des mines, il y aurait plus de 200 postes de mécanicien(ne) industriel à combler au cours des prochaines années au sein de cette industri

 

Bien que les postes soient situés dans les régions éloignés comme le Nord-du-Québec, l'Abitibi-Témiscamingue ou la Côte-Nord; la plupart des entreprises minières offrent des navettes et des horaires flexibles permettant aux résidents des régions plus sud de continuer de résider dans leur région d'origine et de se déplacer aux frais de l'employeur.

 

Au sein de l'industrie aérospatiale, il faut savoir que dans ce domaine, la croissance économique est cyclique car il peut arriver qu'une entreprise obtienne un important contrat qui fournira du travail pendant plusieurs mois, sinon quelques années, mais par la suite les activités ralentissent pendant plusieurs mois

 

De façon générale, les perspectives dépendent du nombre et de l’importance des contrats qu’obtiennent les grands manufacturiers de l'aérospatial surtout ceux présents au Québec (Bombardier, Airbus, Bell Helicopter, Pratt & Whitney, Rolls Royce, GE Aviation), puisque Les conséquences se répercutent alors aussi sur les nombreux sous-contractants d'ici Mais également les autres grands joueurs de industrie dans le monde (Boeing, Airbus, Lockhead Martin, General Dynamics, etc.) dont plusieurs entreprises québécoises y sont des sous-traitants.

 

Des pénuries sont à prévoir pour plusieurs postes de métiers spécialisés dont notamment les mécaniciens(nes) industriels.

 

L'industrie de la plasturgie et des composites a énorménement évolé au cours des dernières et comprennent très bien les problématiques environnementales actuelles.

 

D'ailleurs, plus de 40 % des entreprises se sont tournés vers la réalisation de projets d'écoconception motivées par leurs valeurs environnementales.

 

Avec la pénurie de main-d'œuvre que l'on observe, il est de plus en plus difficile de recruter du personnel spécialisé en production manufacturière.

 

D'ailleurs, selon une étude réalisée en 2021 par le Comité sectoriel de la main-d'oeuvre de l'industrie de la plasturgie; le métier de mécanicien(ne) industriel est l'un des métiers les plus difficiles à recruter compte des compétences spécialisées exigées et du faible nombre de candidats(es) disponibles.

 

Au sein de l'industrie papetière; plusieurs postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite.

 

Alors qu'elle réussit à former elle-même la plupart de ses ouvriers sans formation, les mécaniciens(es) tout comme les autres métiers de le maintenance industrielle sont très difficiles à recruter par les employeurs.

 

Enfin, les chantiers navals ont obtenu des contrats importants leur permettant de réaliser des projets de construction de navires pour plusieurs années à venir et devront embaucher du personnel spécialsié dont les tôlers.

 

Sources : Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie aérospatiale du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie minière, Industrie Canada, Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Emploi-Québec, Pôle d'excellence de l'industrie du matériel de transport terrestre du Québec.

 

Dans le secteur de la construction :

 

Les travaux de construction réalisés par les mécaniciens(nes) de chantier fluctuent d’une année à l’autre.

 

Le nombre de mécaniciens industriels de chantier actifs a baissé continuellement, depuis 2013.

 

Il faut dire que le niveau d’activité des mécaniciens industriels de chantier peut varier de manière importante. Par exemple, les effectifs peuvent chuter rapidement entre 2 grands chantiers.

 

Les perspectives d’avenir pour tous les métiers de la construction, varient beaucoup selon la santé économique de l’industrie de la construction. Certaines années peuvent être excellentes pour les emplois avec de nombreux projets, alors que pour d’autres années sont moins bonnes.

 

La demande est en forte hausse et les travailleurs actuels sont peu disponibles.

 

Où retrouvait-t-on le plus de mécaniciens(nes) d'ascenseurs dans l'industrie de la construction ?

 

La majorité, soit 63 % œuvraientt sur les chantiers de construction industrielle ou sur les chantiers de construction résidentielle lourde (immeubles à condominiums);

 

plus de 25 % travaillaient sur les chantiers de construction de génie civil (infrastructures routières principalement, mais aussi infrastructures d'éoliennes, électriques et de communications);

 

alors que seulement 12 % étaient sur les chantiers de construction commerciale et institutionnelle (immeubles à bureaux, hôtels, centres commerciaux, immeubles à revenus locatifs, écoles, hôpitaux, résidences pour aînés, etc.).

 

Un(e) apprenti(e) travaille en moyenne 700 à 1 000 heures par année,

 

En 2022, le salaire annuel moyen d'un(e) apprenti(e) était de 31 500 $.

 

Alors que 61 % des compagnons ont travaillé au moins 500 heures.

 

en 2022, le salaire annuel moyenne d'un(e) compagnon était de 63 400 $.

 

L’activité se redresse quelque peu pour le secteur industriel. Cette croissance provient en bonne partie du projet minier Odyssey, par Canadian Malartic (1,4 G$), qui se déroule actuellement en Abitibi-Témiscamingue. À court terme, quelques projets s,ajouteront au cours des prochaines années.

 

La transition énergétique qui s’enclenche dans l’économie ainsi que la stratégie sur la filière québécoise de batteries pour voitures électriques pourraient s’avérer favorables pour le secteur, si des projets se concrétisent.

 

Le secteur Génie civil et voirie a connu un record d'heures travaillées au cours des dernières années.

 

Le sous-secteur des routes et des infrastructures s’annonce encore fort occupé pour les prochaines années à court et moyen terme avec de nombreux projets d’importance à venir.

 

La fin des travaux des grands projets électriques et l'absence de nouveaux projets de centrales électriques amènera un ralentissement dans le sous-secteur des infrastructures électriques et de communications.

 

Enfin, le secteur de l'éolien, peu de projets sont actuellement annoncées.

 

Les perspectives d’emploi sont très bonnes pour les mécaniciens de chantier.

(Source : Commission de la construction du Québec).

BREF PORTRAIT DE QUELQUES SECTEURS INDUSTRIELS :

 

L'industrie minière québécoise :

 

Le Québec est l’un des 10 territoires miniers les plus explorés au monde. Depuis le début des années 90, la moitié des mines ont commencé à être exploitées ce qui a permis au Québec de connaître une des plus grandes croissance de son industrie minière de toute son histoire. De plus, un grand nombre de géologues actuellement en emploi sont âgés et devront prendre leur retraite dans les prochaines années.

 

Pour toutes ces raisons, les perspectives de découvertes nouvelles et par le fait même des emplois pour des spécialistes des mines sont excellentes pour les 10 prochaines années. Maintenant, les exploitations minières du Québec représentent plus de 60 % de tous les minerais exploités au Canada.

 

Le sous-sol québécois est constitué à 90 % de roches précambriennes du Bouclier canadien. Il s’agit d’un ensemble géologique réputé mondialement pour ses gisements d’or, de cuivre, de zinc, de nickel, de fer et d’ilménite.

 

Le Québec recèle aussi un potentiel minéral significatif pour des gisements d’autres substances, telles ceux du Mont Wright (fer) à Fermont, du Lac Tio (fer et titane) à Havre-Saint-Pierre, de Niobec (niobium) au Saguenay, de Stratmin (graphite) à Mont-Laurier, Raglan (nickel-cuivre) en Ungava et de Renard (diamant) au nord du Québec.

 

Parmi les ressources minérales exploitées, on retrouve :

Pour ce qui des minéraux en exploration (la découverte de gîtes détenant potentiellement des ressources), il y a :

Par ailleurs, les secteurs miniers bien établis, tels ceux de Val-d’Or, Rouyn-Noranda, Matagami et Chibougamau, recèlent toujours d’importants gisements, notamment en profondeur.

 

En 2015, l'ensemble de l'industrie minière a généré des revenus de 5,8 milliards, regroupait une cinquantaine d'entreprises et employait plus de 45 600 personnes.

 

En ce qui concerne le secteur de l'exploitation et du traitement des minerais, on y retrouvait 21 compagnies d'exploitation minière qui employaient plus de 13 600 travailleuses et travailleurs, notamment plusieurs mécaniciens industriels.

 

Près de 30 % de la main-d’œuvre de l’industrie minière devrait prendre sa retraite au cours des cinq prochaines années. Cet important besoin de main-d’œuvre pose aussi le défi d’intégrer rapidement un grand nombre de travailleurs aux particularités de l’emploi dans le secteur minier.

 

Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines; le métier de mécanicien(ne) industriel figure au 4e rang des métiers les plus en demande dans l'industrie minière.

 

L'industrie québécoise de la première transformation des métaux :

 

En 2016, elle générait des revenus de plus de 5,5 milliards $, soit 40 % de la production canadienne de métaux et 12 % du secteur manufacturier québécois.

 

Elle comptait 118 entreprises qui employaient plus de 20 300 travailleuses et travailleurs principalement concentrés dans les régions de la Montérégie, du Saguenay-Lac-St-Jean et de Montréal, mais également dans les régions de la Côte-Nord, du Centre-du-Québec et de Québec.

 

Plus de 41 % des entreprises de l'industrie emploient moins de 50 personnes, 17 % entre 50 et 99 personnes, 20 % entre 100 et 199 personnes, alors que seulement 22 % sont des entreprises de grande taille ayant 200 employés et plus.

 

Par contre, ce sont les grandes entreprises qui employaient la majorité des travailleurs(euses) de cette industrie avec une part de 72 %.

 

Plus de 42 % des emplois sont au sein des grands producteurs et transformateurs d'aluminium, 21 % au sein des grands producteurs et transformateurs de métaux non ferreux (cuivre, zinc), 19 % au sein des grandes producteurs sidérurgique (acier), alors que 17 % sont au sein des fonderies.

 

Le secteur de la première transformation des métaux reprend confiance après avoir subi les impacts de la crise économique et boursière de 2008 et 2009. La forte remontée des prix des métaux industriels au cours des derniers mois de 2016, les signes d’accélération de l’économie mondiale encourageants qui se sont traduits par une demande plus forte des métaux en 2017 et la tendance à la hausse des prix des métaux de base devrait ainsi se poursuivre au cours des prochains.

 

Selon le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de la métallurgie; le métier de mécanicien(ne) industriel figure dans le top 10 des métiers les plus en demande dans l'industrie de première transformation des métaux.

 

Ces signes laissent prévoir de très bonnes perspectives d'emploi au cours des prochaines années au sein de cette industrie.

 

L'industrie aérospatiale québécoise :

 

Elle représente à elle-seule près de 56 % de toute l'industrie aérospatiale canadienne et figure en 6e position au niveau mondial (après l'État de Washington aux USA, la région des Midi-Pyrénées en France, le comté de Hampshire en UK, l'État d'Hessen en Allemagne et la région de Madrid en Espagne).

 

Ce sont principalement des industries de l'aéronautique pour l'aviation civile que l'on retrouve (systèmes, composantes, pièces et assemblage d'aéronefs), mais également quelques entreprises sont liées à l'industrie spatiale (satellites ou ses composantes ou pièces)

 

Quelques entreprises québécoises fabriquent des composantes et pièces pour aéronefs civils, mais également pour des aéronefs militaires, mais le marché de la Défense au Québec n'est pas très importante.

 

Au Québec; on y assemble des avions long courrier, avions régionaux, des avions d'affaires, des hélicoptères civils, des aubes de moteurs d'aéronefs, des turbines à gaz pour moteurs d'aéronefs, des trains d'atterrisssages pour aéronefs, des simulateurs de vol professionnels pour avions régionaux et avions d'affaires, des composantes de structures pour aéronefs et bien d'autres.

 

En 2016, l'industrie aéronautique québécoise, c'était :

L'industrie québécoise du matériel de transport terrestre :

 

Elle est le plus important secteur de l'industrie de la fabrication mécanique et l'un des plus importants secteurs industriels au Québec.

 

En 2015, son marché génère des revenus de plus de 11,4 milliards $.

 

Elle regroupait plus de 680 entreprises qui employaient près de 38 000 travailleuses et travailleurs dans différentes régions du Québec.

 

Elles étaient principalement concentrées dans les régions suivantes : Laurentides, Estrie, Centre-du-Québec, Montérégie, Chaudière-Appalaches, Bas-St-Laurent, Lanaudière, Île-de-Montréal et Laval.

 

On peut diviser cette industrie en 6 sous-secteurs, soit :

L'industrie québécoise de la fabrication métallique industrielle :

 

Ce industrie comprend les activités principales qui consistent à forger, estamper, former, tourner et assembler des éléments en métaux ferreux (dont l'acier) et non ferreux (principalement l'aluminium, mais également le cuivre,  magnésium, zinc, silicium); pour fabriquer, entre autres, coutellerie et outils à main, produits d’architecture et éléments de charpentes métalliques, chaudières, réservoirs, conteneurs d’expédition, quincaillerie, ressorts et produits en fil métallique, produits tournés, écrous, boulons et vis et tous autres produits en métal.

 

On réfère ici à tout ce qui entoure la seconde transformation du métal, à savoir tous les procédés d’usinage – fraisage, tournage, sciage, perçage, alésage, coupage, poinçonnage, pliage, ébavurage et meulage –, les procédés de soudage et les procédés de finition de surface – polissage, placage, peinture et traitement thermique - pour fabriquer produits et pièces métalliques servant à diverses industries ou bien à la fabrication de machines.

 

Avec la présence de 8 alumineries, de 4 aciéries, de 2 affineries de cuivre et autres métaux non ferreux et de plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreuxde plusieurs fonderies de fer et de fonderies de métaux non ferreux; le Québec est bien outillé pour approvisionner les manufacturiers de produits métalliques de toutes sortes.

 

En 2014, cette industrie comptait près de 1 900 entreprises ayant généré un chiffre d'affaires de plus de 18,6 milliards de $ et qui employaient près de 44 600 travailleuses et travailleurs un peu partout dans la province. Ce nombre n'inclut pas des entreprises et les emplois dans l'industrie du matériel de transport (de gros employeurs en métallurgie), ainsi que ceux travaillant dans la construction.

 

Ces entreprises sont principalement concentrées dans les régions de de l'Île-de-Montréal, de la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Québec, Lanaudière, Laurentides et Centre-du-Québec.

 

Elle comprend notamment les 3 sous-secteurs suivants, soit :

L'industrie de la fabrication de machines et équipements industriels :

 

L'industrie québécoise de la fabrication de machines et d'équipements industriels est le 3e principal secteur de l'industrie de la fabrication mécanique. Bien qu'il ne soit pas aussi important que les précédents, c'est un secteur important car c'est elle qui permet à plusieurs autres secteurs de fonctionner dans leur domaine.

 

Bien qu'elle soit généralement intégrée à l'industrie de la fabrication métallique industrielle, elle peut être un secteur indépendant.

 

En 2015, elle a généré des revenus totalisant plus de 6,1 milliards $ dans l'économie québécoise.

 

Elle compte plus de 1 050 entreprises qui employaient plus de 32500 travailleuses et travailleurs dans plusieurs régions du Québec.

 

Bien que majoritairement concentrées majoritairement concentrées dans les régions de la Montérégie et de Montréal, on les retrouve également dans plusieurs autres régions, telles que : Chaudière-Appalaches, Lanaudière, Saguenay-Lac-St-Jean, Mauricie, Centre-du-Québec, Laurentides, Laval, Estrie et Bas-St-Laurent.

 

Elle est divisée en 6 sous-secteurs, soit :

Sources : Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie aérospatiale du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie du Québec, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en fabrication métallique industrielle, Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie minière, Industrie Canada, Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Emploi-Québec, Pôle d'excellence de l'industrie du matériel de transport terrestre du Québec.

 

PORTRAIT ET PERSPECTIVES PAR RÉGIONS :

 

La région de la Gaspésie véritable capitale nord-américaine de l'industrie éolienne puisqu'elle est le deuxième plus important gisement éolien au monde.

 

Elle compte plus de 385 éoliennes réparties dans 17 parcs éoliens (soit plus de la moitié de tous les parcs éoliens du Québec dont le parc éolien Gros-Morne-Sainte-Madeleine, situé en Haute-Gaspésie, le plus grand parc éolien au Canada) d'une capacité de production totale de plus de 1 200 MW, soit l'équivalent permettant de desservir un village au complet.

 

Cette industrie regroupe plus d’une trentaine d’entreprises actives dans la fabrication de pales, de tours et de convertisseurs électriques, dans la construction de parcs éoliens et dans l’opération et la maintenance de parcs éoliens, ce qui procure de l'À plusieurs centaines de personnes.

 

La Côte-Nord est bien connue pour ses nombreuses centrales hydroélectriques évidemment. En effet, elle compte plus d'une quinzaine de centrales réparties un peu partout dans la région (dont les plus importantes, soit : Manic-5, Manic-3, Bersimis-1 Manic-2 et Outardes-3 d'une puissance totalisant plus de 6 300 MW, soit 20 % de la capacité totale d'Hydro-Québec).

 

Évidemment, de nombreux effectifs d'Hydro-Québec travaillent dans cette région effectuant le contrôle des opérations, la supervision réseau et la maintenance des équipements des centrales dont plus de 600 technologues et plus d'une trentaine de superviseurs(es) de réseaux qui permettent d'assurer une constante qualité du service auprès de la population québécoise.

 

Mais il ne faut surtout pas oublier les alumineries Alcoa et Rio Tinto parmi les plus grandes usines de ce genre au pays et parmi les plus importants employeurs de la région qui emploient de nombreux technologues en maintenance des équipements électromécaniques.

 

Enfin, son industrie minière est également forte active et nécessite du personnel qualifié afin de maintenir les équipements électromécaniques de ses sites d'exploitation et de ses usines de traitement du minerai. Elle procure de l'À plus de 4 200 personnes, soit près d'un millier de plus que l'Abitibi-Témiscamingue et représente plus du tiers de tous les emplois miniers au Québec.

 

La région du Bas-Saint-Laurent est bien connue pour ses nombreuses infrastructures d'éoliennes, pas surprenant qu'on retrouve plusieurs manufacturiers pièces pour éoliennes;

 

et pour son industrie du matériel de transport (automotrices électriques, locomotives, voitures de trains, voitures de métros, voitures de TGV, fardiers et remorques de camions, construction de navires tels que : remorqueurs, traversiers, bateaux de service  et réfection de navires);


Mais également pour des équipements industriels (machines et équipements agricoles, équipements pour usines de traitement des eaux, machines et matériel agricoles, machines et matériel pour la foresterie, matériel pour la construction, cheminées industrielles, vérins hydrauliques, réservoirs de stockage, réservoirs pour procédés industriels, systèmes automaties de manutention, etc.).


On y retrouve plus d'une centaine d'entreprises manufacturières qui emploient plus de 2 000 personnes (en plus de 2 principaux employeurs industriels, soit Premier Tech et Bombardier transport qui emploient à eux-seuls plus de 2 300 travailleuses et travailleurs).

 

L''Abitibi-Témiscamingue est reconnue mondialement pour son grand nombre de gisements de métaux précieux puisqu'on y retrouve plus de 130 mines et sites miniers qui emploient près de 3 300 personnes travaillent dans le secteur de l'exploitation minière dont plusieurs sont affectées à la maintenance des équipements mécaniques, hydrauliques, pneumatiques et électromécaniques des sites miniers et des usines de traitement du minerai.

 

Enfin, bien connue également pour des ressources forestières, ce qui n'est pas surprenant d'y retrouver plusieurs grandes usines papetières et usines de transformation de produits forestiers fort actives dans la région (Amos, LaSarre, Témiscaming, Ville-Marie) et qui sont dotés de machines et d'équipements mécaniques et électromécaniques bien que modernes, nécessitent une bonne gestion de leur maintenance.

La région du Saguenay-Lac-St-Jean est bien connue pour ses alumineries (Rio Tinto et ses 4 usines, mais également une dizaine de petites fonderies) qui emploient plus de 3 800 travailleuses et travailleurs;

 

pour son industrie de transformation des produits forestiers qui emploie plus de 1 200 travailleurs(euses); ainsi que pour son industrie papetière qui emploie plus de 900 personnes.

 

Mais on y retrouve également plus d'une centaine d'entreprises manufacturières employant plus de 1 600 personnes dans divers autres secteurs, notamment en :

fabrication métallique industrielle (charpentes métalliques, articles de robinetterie industrielle, mezzanines préfabriquées, bâtiments préfabriqués en métal, pièces pour équipements industriels, coques de navires et modules de grandes dimensions destinés à l’industrie navale, produits en aluminium pour le bâtiment, câbles et fils en aluminium, tuyaux et raccords en aluminium, etc.);


et en équipements industriels (ex : réservoirs pour procédés industriels, réservoirs de stockage, convoyeurs, ponts roulants, treuils de centrales hydroélectriques, treuils industriels, treuils de mines, trémies et silos industriels, machines et équipements forestiers, équipements et matériel de manutention, vannes hydrauliques pour barrages hydroélectriques, véhicules de service sur rails, machines et équipements pour scieries, équipements pour industries de l'aluminium, équipements pour industries minières, systèmes d'automatisation des procédés industriels, etc.).

 

Enfin, elle est aussi bien connue dans le domaine de la production d'électricité avec ses nombreuses centrales hydroélectriques privées (soit une quinzaine dont 4 produisant entre 200 et 400 MW et 2 produisant plus de 800 MW), ainsi que son parc éolien de la Rivière-du-Moulin (près de Chicoutimi), ainsi que sa proximité des grands barrages de la Côte-Nord.

 

La région de la Mauricie regroupe près de 250 entreprises manufacturières dans plusieurs secteurs dont :

 

L'industrie papetière employant plus de 1 300 travailleuses et travailleurs (qui fabriquent : cartons d'emballage, papier couché, papier journal, pâte kraft blanche ou mi-blanche);

 

L'industrie de la fabrication métallique industrielle regroupant une dizaine d'entreprises qui emploient plus de 1 200 personnes  (qui fabriquent : charpentes métalliques, réservoirs en métal, pylônes de télécommunications, acier alliés, alliages de nickel, pièces métalliques complexes et/ou de grande dimension pour diverses applications industrielles, etc.);

 

L'industrie du câblage électrique et de l'appareillage électrique industriel regroupe une quinzaine d'entreprises qui emploient près de 1 100 personnes (qui fabriquent : disjoncteurs, ondulateurs électriques, panneaux de contrôle pour équipements industriels, systèmes électromécaniques pour équipements industriels, etc.) et des composantes électriques, électroniques et électromécaniques pour véhicules (centres de commande de moteurs, contrôleurs de distribution de puissance, systèmes électromécaniques, systèmes de contrôle par multiplexage, pour autobus, camions ou trains, etc.) et pièces d'aluminium (câbles, portes et fenêtres, mur-rideaux, panneaux architecturaux, etc.);

 

Et L'industrie des machines et équipements industriels qui regroupe une dizaine d'entreprises qui emploient plus de 400 personnes (équipements pour industries de l'aluminium, équipements pour industries papetières, équipements pour centrales hydroélectriques, machines et équipements agricoles, machinerie industrielle sur mesure, systèmes de soudage robotisé, etc.).La région de Québec on pourrait croire qu'elle ne détient pas une grande concentration industrielle de la province. Pourtant,  il y a des secteurs industriels en pleine croissance comme par exemple l'industrie de l'électronique, de l'optique et de la photonique et l'industrie biotechnologique et ce, en plus de d'autres secteurs industriels que l'on retrouve également comme l'industrie de la transformation alimentaire, l'industrie pharmaceutique, l'industrie chimique et l'industrie papetière.

 

Au sein de l'industrie du matériel électrique; compte une dizaine d'entreprises employant quelques centaines de personnes. On fabrique : des transformateurs pour lignes de distribution, des capteurs de courant, des chargeurs de batteries, des condensateurs à basse tension, des condensateurs à haute tension, des modulateurs électriques, des systèmes de correction du facteur de puissance, des systèmes de chauffage par treillis mécanique, etc

 

D'autres secteurs de haute technologie sont aussi présents tels que : l'industrie chimique et papetière (papier antiadhésif, papier ingraissable, papier journal, carton, munitions d'entraînement, etc.); l'industrie de la fabrication métallique industrielle (structures métalliques, portes et fenêtres, matériel de cuisine commerciale, etc.); l'industrie pharmaceutique (anticorps, protéines thérapeutiques vaccins); l'industrie de première transformation des métaux (aluminium sous forme brute); etc.

 

L'industrie manufacturière de Laval connaît une expansion importante depuis quelques années. Par sa proximité stratégique se situant entre Montréal et les Laurentides, son industrie se concentre notamment dans :

 

la fabrication métallique industrielle (produits pour la construction de bâtiments et les infrastructures de génie civil et des pièces pour véhicules de transport routier et pour les aéronefs);

 

l'industrie pharmaceutique (médicaments génériques, médicaments en vente libre, médicaments anti-infectieux, etc.);

 

dans le matériel de transport (fourgons, remorques, boîtes de camion, plate-forme de camions, chaloupes, kayaks, luges, pédalos, etc.);

 

et les machines et équipements commerciaux et institutionnels  (mobilier pour établissements, équipements pour laboratoires, machines de bureautique, etc.).

 

La région du Centre-du-Québec est bien connue pour son industrie de l'industrie du matériel de transport terrestre, puisqu'on y retrouve plus d'une quarantaine d'entreprises manufacturières employant plus de 2 000 personnes (qui fabriquent :  chaloupes en aluminium, pédalos, bicyclettes, embarcations nautiques motorisées en aluminium, ponts de plaisance, camions à incendie, minibus scolaires, commerciaux et adaptés,  camions manipulateurs de tourets à câble, fourgons, fardiers et semi-remorques, transmissions à variation continue CVT pour automobiles, transmissions à variation continue CVT pour véhicules récréatifs, arbres de commande ou de transmission pour automobiles, arbres de commande ou de transmission pour camions et autobus, pièces de transmission pour automobiles,  pièces de transmission pour camions et autobus, pièces en métal ou en plastique pour automobiles, pièces en métal pou en plastique ou en caoutchouc pour véhicules récréatifs motorisés, composantes de carrosserie d'autobus, fardiers, remorques à embarcations de plaisance, remorques à motoneiges, remorques pour VTT,  remorques utilitaires pour automobiles, boîtes de camions, etc.),

 

Mais également, près d'une centaine d'entreprises manufacturières employant près de 4 000 travailleuses et travailleurs qui fabriquent des machines et équipements industriels (tels que : machines et équipements agricoles, machines et équipements pour la construction, équipements pour industrie alimentaires, machines et équipements pour scieries, bancs d'essais de moteurs d'avions, équipements pour l'entretien au sol des avions, outillage pour le calibrage et l'inspection de pièces usinées, convoyeurs, élévateurs et matériel de manutention, grues de manutention adaptables sur camions, équipements pour centre de tri de matières recyclables, fours industriels, dépoussiéreurs, transmissions à variation continue CVT pour véhicules industriels, échelles hydrauliques, treuils, vérins hydrauliques, pièces pour machines et équipements agricoles, pièces pour machines de construction, soufflantes, ventilateurs industriels, systèmes de récupération de chaleur commerciaux et industriels, systèmes de traitement de l'air industriels, systèmes automatisés de manutention industrielle, systèmes d'automatisation de procédés industriels, etc.).

 

L'Estrie a l'avantage d'avoir plusieurs secteurs industriels diversifiés grâce à sa proximité des grands axes routiers et de la frontière américaine.

 

L'industrie du matériel de transport terrestre par exemple est fortement représenté dans la région où l'on retrouve plusieurs sous-traitants de manufacturiers automobiles américains et manufacturiers de véhicules récréatifs et compte plus de 30 entreprises qui emploient un peu plus de 1 100 personnes et qui fabriquent (composantes d'armatures pour automobiles ou véhicules commerciaux, pièces en métal, en plastique, en caoutchouc ou en plastique renforcé de fibre de verre pour véhicules de transport terrestre ou véhicules récréatifs et assemblage de véhicules récréatifs);

 

une industrie de la plasturgie et du caoutchouc qui compte plus d'une vingtaine d'entreprises, majoritairement des PME qui emploient plus de 4 900 travailleuses et travailleurs qui fabriquent (produits pour le bâtiment, pièces pour véhicules de transport routier, contenants d'emballage de produits alimentaires, etc.);

 

une industrie de la fabrication de machines et équipements industriels qui fabriquent (équipements pour industries alimentaires, équipements pour traitement des eaux usées, machines et équipements pour l'industrie papetière, équipements pour l'industrie des plastiques, équipements pour érablières, appareils pour la filtration des liquides, machines d'emballage, matrices pour le métal, engrenages en métal, matériel de manutention, systèmes d'automatisation de procédés industriels, etc.);

 

une industrie papetière qui emploie plus de 1 300 travailleuses et travailleurs qui fabriquent (carton couché, carton contrecollé, papier contrecollé, papier hygiénique, papier paraffiné, papiers fins, papiers d'impression, papiers ingraissables, papier journal, pâte à papier désencrée, pâte chimico-thermomécanique blanchie, pâte chimique de bois, pâte kraft blanche ou mi-blanche, etc.);

 

et une industrie biomédicale (fabrication de matériel médical et équipements hospitaliers) qui est en pleine croissance.

 

L'industrie manufacturière de Lanaudière a connu une croissance plus importante que dans la moyenne provinciale au cours des dernières années et elle occupe une part plus importante des emplois dans la région que dans l'ensemble du Québec. son marché de l’emploi est des plus dynamiques et ses investissements sont en hausse constante.

 

la région du sud de Lanaudière (la MRC de Joliette notamment) regroupe des entreprises des entreprises du secteur alimentaire, papetier

 

ainsi que de la (); plasturgie et du caoutchoucpièces en plastique ou en plastique renforcé de fibre de verre pour véhicules de transport terrestre, pièces en plastique ou en plastique renforcé de fibre de verre pour machines et équipements industriels, éoliennes, emballages souples, moules en plastique renforcé de fibre de verre, pneus pour automobiles, camionnettes et VUS, etc.

 

la région du nord (notamment la MRC des Moulin, soit Terrebonne et Mascouche et la MRC L'Assomption dont Repentigny) est en forte expansion et regroupe de nombreuses PME manafacturières dans les domaines de la fabrication métallique industrielle (notamment des produits pour la construction de bâtiments et d'infrastructures de génie civil);

 

du matériel de transport (fourgons, remorques, boîtes de camion);

 

et de la chimie (munitions, pièces pyrotechniquque).

 

La région de Chaudière-Appalaches est la seconde région industrielle la plus diversifiée après la Montérégie. Elle compte près de 1 200 entreprises manufacturières dans une dizain de secteurs industriels allant de la transformation de matières premières (aliments, bois, matériaux de construction, minerais, pétrole, textiles), en passant par d'autres secteurs manufacturiers (ameublement et produits de bois ouvré, fabrication alimentaire, vêtements, imprimerie, etc),  jusqu'aux entreprises de haute technologie (fabrication métallique industrielle, fabrication mécanique, matériel de transport, plasturgie, etc.).

 

Elle l'une des régions les plus importantes dans l'industrie métallurgique. Mais, contrairement à d'autres régions "leaders" de l'industrie comme le Saguenay-Lac-St-Jean (surtout reconnue en transformation de l'aluminium) ou la Montérégie (surtout reconnue en tranformation et fabrication d'acier), est plutôt la première région dans l'industrie de la fabrication métallique industrielle grâce à plusieurs manufacturiers de produits pour la construction de bâtiments, pour l'industrie du matériel de transport terrestre et pour les infrastructures de génie civil. Elle compte près de 150 entreprises employant plus de 9 300 travailleuses et travailleurs.

 

Seconde région ayant la plus grande concentration d'entreprises dans l'industrie de la plasturgie, elle a l'avantage d'offrir des technologies diversifiées comme l'injection, l'extrusion ou le thermoformage, ce qui lui permet de faire face à la concurrence internationale. Elle compte plus de 65 entreprises qui emploient plus de 2 250 travailleuses et travailleurs un peu partout dans la région qui fabriquent différents produits (pièces de camions et autobus en plastique renforcé de fibre de verre, produits pour le bâtiment dont des portes et fenêtres et baignoires et accessoires pour salles de ba, outils et articles de jardinage en plastique, divers types de contenants en plastique, etc.).

 

Enfin, on y retrouve également une industrie du matériel de transport terrestre active puisqu'on y retrouve plus de 70 entreprises qui emploient plus de 4 500 personnes qui assemblent des autocars, des camions à déchets et des fardiers et qui fabriquent des pièces en métal ou en plastique pour ces véhicules; en plus de la construction de navires.

 

Les Laurentides est surtout connue pour son industrie aérospatiale membre des 3 régions du Grand Montréal (avec l'Île-de-Montréal et la Montérégie) formant la plus grande concentration d'entreprises aérospatiales en Amérique du Nord et premier secteur industriel de la région.

 

On y retrouve de nombreuses usines d'assemblage d'aéronefs (avions régionaux, avions long courrier, hélicoptères civils); mais également de nombreux systèmes, composantes et pièces pour les aéronefs (trains d'atterrissage, composantes d'ailes en aluminium, pièces métalliques pour l'aéronautique, composantes de finition intérieure d'aéronefs, etc.). Elle emploie plus de 5 500 personnes dans cette région.

 

Elle comprend également une industrie du matériel de transport terrestre fort importante principalement concentrée chez les 2 principaux employeurs, mais plusieurs fabricants de pièces pour camions et autobus se prennent bien une place au milieu de ces grands employeurs. En effet, on retrouve plus de 25 entreprises qui emploient près de 2 600 personnes (qui assemblent des tracteurs de camions, des autobus urbains, des autobus scolaires électriques, des camions moyens électriques et qui fabriquent des boîtes de camions, des composantes, des systèmes et des pièces en métal pour camions et autobus, etc.).

 

Enfin, il ne faut pas oublier l'importance de l'industrie papetière dans les Hautes Laurentides (St-Jérôme et Lachute notamment) qui fabriquent du papier hygiénique, du papier d'emballages, du papier carbone et des boîtes en carton.

 

La Montérégie est la seconde région ayant la plus grande concentration d'entreprises manufacturières au Québec. On y retrouve de nombreux secteurs manufacturiers dont quelques-uns de pointe, dont :

 

L'industrie de la fabrication métallique :  leader québécois en fabrication métallique industrielle au Québec puisque cette industrie est le second secteur industriel en importance de la Montérégie après l'industrie agroalimentaire.(derrière l'industrie agroalimentaire).

 

On y retrouve près de 400 entreprises employant plus de 10 600 travailleuses et travailleurs répartis un peu partout en Montérégie, mais notamment dans les régions de Rouville (Marieville et Châteauguay), de Pierre-de-Saurel (Sorel-Tracy), agglomération de Longueuil (Longueuil, Boucherville et St-Bruno), Roussillon (Candiac et Châteauguay) et le Haut-Richelieu (St-Jean).

 

Elles fabriquent des produits tels que : charpentes métalliques, pylônes pour réseaux électriques, pylônes pour réseaux de télécommunications, ancrages pour pylônes, bâtiments préfabriquées, des coupe-froid en aluminium, des fenêtres et porte-fenêtre en aluminium, des portes intérieures commerciales ou institutionnelles en acier, des portes extérieures en acier, des moulures en acier, des moulures en aluminium, des mur-rideaux, des outils de coupe, des lames de scies, des tuyaux et raccords de tuyauterie en acier ou acier inoxydable ou en aluminium ou en monel ou en nickel ou en titane, du matériel de chauffage, des fils métalliques, des outils et matrices, des articles de robinetterie industrielle, des récipients et réservoirs industriels, des articles de quincaillerie (boulons, écrous, vis, etc.), des composants métalliques pour systèmes électromécaniques industriels, etc.

 

L'industrie aérospatiale : la troisième région importance de cette industrie au Québec (avec l'île-de-Montréal et les Laurentides) formant le Grand Montréal, région ayant la plus grande concentration d'entreprises aérospatiales en Amérique du Nord.

 

Quelques grands équipementiers et une dizaine de PME y sont implantés, principalement dans les territoires de l'agglomération de Longueuil, Brome-Missisquoi, de la Haute-Yamaska et employant plus de 5 400 personnes. On y assemble des turbines à gaz pour moteurs d'avions, des aubes de moteurs d'avions, des trains d'atterrissage, des pièces métalliques pour l'aéronautique et des éléments d'intérieurs d'aéronefs.

 

L'industrie de première transformation des métaux : première région au Québec dans cette industrie, on y retrouve principalement des entreprises sidérurgique et de la fonte d'acier qui emploient plus de 3 500 personnes (barres, billettes, boulettes, brames, fil-machine, acier à moule, matériel de base de l'acier d'armature, gueuses de fonte, pièces forgées, po udres métalliques, etc.) surtout situées dans les territoires Marguerite-d'Youvlle (Contrecoeur, Varennes) et de Pierre-de-Saurel (Sorel-Tracy).

 

L'industrie de la plasturgie et du caoutchouc : première région au Québec dans cette industrie, on compte plus d'une soixantaine d'entreprises employant plus de 3 500 personnes dans les territoires d'Acton, La Haute-Yamaska, Roussillon et Longueuil.

 

On y fabrique : des produits pour le bâtiment, raccords et tuyaux, bacs et autres contenants, emballages pour produits alimentaires, commerciaux ou industriels, produits en mousse de polystyrène, stratifiés, éléments d'intérieur d'aéronefs, pièces en plastique en plastique renforcé de fibre de verre ou en caoutchouc pour matériel de transport routier, pièces en plastique en plastique renforcé de fibre de verre ou en caoutchouc pour matériel ferroviaire, etc.

: comptant plus d'une quarantaine d'entreprises employant plus de 2 500 personnes, elle figure au second rang dans le secteur industriel au Québec. Elles sont réparties dans les territoires de l'agglomération de Longueuil, Brome-Missisquoi, Haut-Richelieu, Vallée-du-Richelieu, Haute-Yamaska et Rouville. L' industrie du matériel de transport terrestre

 

On y fabrique : des camions à incendie, des véhicules ambulanciers, des fourgons, des remorques de camions, des camions tactiques blindés, des tracteurs légers ou sur chenilles, des panneaux de carrosserie de véhicules, des pièces de transmission d'automobiles, carters d'huile de véhicules automobiles, des réservoirs à essence pour automobiles, des boîtes de camions, etc.

 

L'industrie de l'appareillage et matériel électrique : bien implantée dans la Montérégie, principalement dans les régions de Beauharnois-Salaberry, Le Haut-Richelieu et Longueuil. Une trentaine de grandes entreprises et PME employant plus de 1 500 personnes sont implantées dans les territoires du Haut-Richelieu, Vallée-du-Richelieu, Marguerite-d'Youville, de la Haute-Yamaska et Longueuil.

 

On y fabrique : des câble et jeux de câbles, des dispositifs de câblage, des coupe-circuits, des disjoncteurs, de l'appareillage de commutation électrique, des connecteurs et dispositifs terminaux, des inductances shunt, des raccords de conduits électriques, des dispositifs de suspension, de fixation et de prise de terre, pour lignes de distribution électrique, des transformateurs pour établissements commerciaux, institutionnels et industriels, des transformateurs pour postes de distribution électrique, etc.

 

L'industire du matériel électronique, électromécanique et optique : plus grande concentration de cette industrie au Québec, elle compte une vingtaine d'entreprises employant plus de 1 000 personnes dans les territoires de Brome-Missisquoi, Haute-Yamaska, Haut-Richelieu et agglomération de Longueuil.

 

On y fabrique : des composants électroniques pour le traitement de l'information, des circuits intégrés à applications spécifiques, des circuits intégrés monolithiques, des panneaux de contrôle d'équipements industriels, des systèmes de contrôle pour la gestion d'édifices, des systèmes automatisés industriels, des systèmes de robotisation des procédés industriels, des systèmes de communication Internet sans fil, des systèmes de communication pour voitures de trains et métros, des systèmes de télésurveillance et télécommande, des systèmes d'imagerie industrielle, des systèmes de surveillance terrestre, aéroportée ou maritime, des simulateurs immersifs virtuels pour l'entraînement au combat, à usage militaire, etc.

 

La région de l'Île-de-Montréal : véritable métropole industrielle québécoise, plusieurs grandes entreprises industrielles canadiennes et internationales (principalement dans les domaines aérospatial, pharmaceutique, alimentaire et du vêtement) ont des usines implantées dans la région et qui s'ajoutent aux dizaines de milliers de PME manufacturières dans de nombreux secteurs industriels.

 

L'industrie aédeindustrie aérospatiale : leader des 3 régions du Grand Montréal (avec l'Île-de-Montréal et la Montérégie) formant la plus grande concentration d'entreprises aérospatiales en Amérique du Nord et second secteur industriel en importance de la région (derrière l'industrie agroalimentaire), elle regroupe une centaine d'entreprises employant près de 8 000 personnes.

 

On y assemble des avions d'affaires et des sous-systèmes pour satellites et on y fabrique : des panneaux d'ailes pour avions d'affaires et avions régionaux, des simulateurs professionnels de pilotage, des systèmes de carburant pour aéronefs, des composantes pour trains d'atterrissage, des organisateurs électroniques de postes de pilotage, des systèmes d'avionique, des systèmes GPS pour la navigation aérienne, des produits de boulonnerie et visserie pour l'aéronautique, des pièces métalliques pour l'aéronautique, des garnissages intérieurs d'aéronefs, etc.

 

L'industrie du matériel électronique : reconnue comme centre d'excellence en technologies de l'information au Canada et comme plus grande concentration d'entreprises aérospatiales en Amérique du Nord; plusieurs grandes entreprises et PME y sont installées.

 

On y plus d'une soixantaine d'entreprises employant plus de 6 200 personnes qui fabriquent : des systèmes électroniques aéronautiques (simulateurs professionnels de pilotage commerciaux et militaires, organisateurs électroniques de poste de pilotage, systèmes GPS pour la navigation aérienne, systèmes avioniques, composantes électroniques pour sous-systèmes de satellites, etc.); des équipements de télécommunication (systèmes GPS pour la navigation aérienne, antennes de communication, antennes de communication par satellites aéroportées, équipements de communications pour réseaux à très large bande et vidéo, composants optiques pour réseaux de télécommunication, équipements de télédiffusion et production audiovisuelle, unités de stockage de données pour réseaux informatiques, etc.); matériel de traitement de l'information (ordinateurs serveurs, terminaux point de vente, unités de stockage de données pour réseaux informatiques, cartes de circuits pour ordinateurs, etc.) et autres matériels électroniques (circuits intégrés hybrides, circuits électroniques, systèmes de contrôle électro-hydrauliques, contrôleurs électroniques pour systèmes de bâtiments, systèmes d'automatisation des procédés industriels, simulateurs de clients pour l'apprentissage clinique en santé, systèmes visuels d'entraînement et de formation militaires, systèmes visuels d'entraînement et de formation pour la sécurité publique, etc.).

 

L'industrie de la fabrication métallique industrielle : compte une vingtaine d'entreprises employant plus de 2 500 personnes qui fabriquent : des ancrages pour la construction, des ancrages pour l'industrie, des serrures mécaniques, des câbles et torons en acier, des articles de robinetterie industrielle, des produits de boulonnerie et de visserie pour l'aéronautique, des produits de boulonnerie et de visserie pour diverses industries, des machines-outils pour le travail du métal, du mobilier commercial en métal, des contenants de manutention en métal, etc

 

L'industrie du matériel électrique : compte une vingtaine d'entreprises employant plus de 2 000 personnes qui fabriquent : du matériel électrique commercial, institutionnel et industriel (des câbles et jeux de câbles pour équipements industriels, des appareils pour la déshumidification et le chauffage de l'air et de l'eau des piscines intérieures, des déshumidificateurs pour arénas, salles de curling, etc., des appareils d'éclairage commerciaux et intentionnels, des systèmes de réfrigération commerciaux, des serpentins de refroidissement CVAC, des systèmes de traitement de l'air industriels, ventilateurs commerciaux, ventilateurs industriels, etc.); de l'appareillage et matériel de distribution électrique (appareillage de commutation électrique, groupes électrogènes, systèmes d'alimentation statique sans coupure, modulateurs électriques, etc.).

 

LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :

 

Le Diplôme d’études professionnelles en mécanique industrielle et de chantier D.E.P. a une durée totale de 1 800 heures, c’est-à-dire 2 ans (16 mois) à temps complet.

 

Il comporte des cours d'introduction au métier, traçage de croquis et schémas, interprétation de plans, devis et documentation technique, santé et sécurité sur les chantiers de construction, instruments de mesure, usinage manuel, opérations de lubrification, techniques de levage et de manutention, démontage, installation et ajustements d'arbres, de roulement et de coussinets, techniques d'entretien et de réparation de dispositifs de transmission et de transformation du mouvement, travaux sur les tubes, tuyaux et boyaux, techniques d'alignement, techniques d'entretien et de réparation de pompes et moteurs industriels, vérification de composants électriques d'équipements de production industrielle, techniques d'entretien, de réparation et d'ajustement de pompes à vide, de moteurs pneumatiques et de compresseurs, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits hydrauliques et électrohydrauliques, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits pneumatiques et électropneumatiques, techniques d'équilibrage statique et dynamique, méthodes logiques de diagnostic, techniques d'analyses de vibrations, usinage sur machines-outils, travaux de façonnage, techniques de coupage, d'oxycoupage et de soudage, application du programme de maintenance préventive et prévisionnelle de l'équipement industriel, installation de l'équipement industriel, dépannage d'équipements industriels, ainsi qu'un stage en industrie d’une durée de 3 semaines, etc.

 

Certains établissements proposent des cheminements particuliers, en voici quelques exemples :

Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :

Le Diplôme d’études professionnelles en mécatronique D.E.P.-A.S.P. offert à l'École Polymécanique de Laval (voir la vidéo promotionnelle) a une durée totale de 2 250 heures, c’est-à-dire 2 ans (19 mois) à temps complet seulement. La particularité de ce programme est qu'il combine la formation du DEP en mécanique industrielle et de chantier avec celle du ASP en mécanique d'entretien en commandes industrielles en même temps (en incluant un trimestre d'été), soit 1 800 heures pour le DEP et 450 heures pour l'ASP.

 

Ce domaine est fait appel à la mécanique, à l'électrotechnique, à l'électronique, à l'automatisation, à l'informatique et aux techniques industrielles. Il permet de travailler comme mécanicien industriel spécialisé en automatisation principalement au sein des entreprises manufacturières très automatisées (industries aérospatiales, industries du matériel de transport, industries métallurgiques, industries chimiques, etc).

 

En plus des cours du DEP en mécanique industrielle dont le stage industriel de 3 semaines, il comporte également des cours sur les circuits hydrauliques complexes, les notions d'hydraulique proportionnelle, techniques d'installation et réparation de commandes d'hydraulique proportionnelle, techniques de montage et dépannage de circuits pneumatiques complexes, manipulations industrielles (types de manipulateurs, organes terminaux, capteurs, actuateurs), programmation et utilisation d'automates programmables et ordinateurs industriels, installation de commandes et manipulateurs industriels, ainsi qu'un second stage industriel d'une durée de 2 semaines.

 

Le Double diplôme d’études professionnelles en électromécanique et en mécanique industrielle D.E.P. offert dans certains centres a une durée totale de 2½ ans à temps complet. Cette formule combine la formation de chacun des 2 programmes, mais en excluant les cours qui se dédoublent puisqu'ils sont offertes dans chacun de ces programmes.

 

Dans la partie électromécanique; tu auras des cours en santé et sécurité en industrie, utilisation de l'ordinateur, vérification d'un circuit électrique, dessin d'un croquis, travaux d'usinage manuel, déplacement d'un équipement, raccordement de conduits, circuits d'électronique industrielle, techniques d'usinage sur machines-outils, analyse d'un circuit logique, alignement conventionnel, maintenance de dispositifs mécaniques, montage pneumatique, montage hydraulique, maintenance d'un circuit de moteur, maintenance d'équipements hydrauliques et pneumatiques, calibrage d'un bouche de contrôle, maintenance de circuits électro-hydrauliques et électro-pneumatiques, programmation d'un automate, vérification et réparation d'un dispositif électronique de commande de moteur, installation d'un système automatisé, maintenance planifiée, dépannage d'un système automatisé, ainsi qu'un stage d’intégration en industrie d’une durée de 3 semaines.

 

Alors que dans la partie mécanique industrielle; tu auras les cours suivants : instruments de mesure, opérations de lubrification, techniques de levage et de manutention, démontage, installation et ajustements d'arbres, de roulement et de coussinets, techniques d'entretien et de réparation de dispositifs de transmission et de transformation du mouvement, travaux sur les tubes, tuyaux et boyaux, techniques d'alignement, techniques d'entretien et de réparation de pompes et moteurs industriels, vérification de composants électriques d'équipements de production industrielle, techniques d'entretien, de réparation et d'ajustement de pompes à vide, de moteurs pneumatiques et de compresseurs, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits électrohydrauliques, techniques de montage, d'installation et de réparation de circuits électropneumatiques, techniques d'équilibrage statique et dynamique, méthodes logiques de diagnostic, techniques d'analyses de vibrations, usinage sur machines-outils, travaux de façonnage, techniques de coupage, d'oxycoupage et de soudage, application du programme de maintenance préventive et prévisionnelle de l'équipement industriel, installation de l'équipement industriel, dépannage d'équipements industriels, ainsi qu'un stage en industrie d’une durée de 3 semaines, etc.

 

Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :

D.E.P.-D.E.C. :

 

Qu'est-ce qu'un programme DEP-DEC ?

 

Consulte la page suivante

 

Il permet de se faire reconnaître des acquis du D.E.P. en mécanique industrielle dans le cadre d'un D.E.C. technique.

Donc, tu pourras obtenir 2 diplômes en 5 ans.

Toutefois, dans la plupart des passerelles, elles ne permettent pas de raccourcir la durée des études collégiales.

 

Voici les ententes actuellement offertes :

 

(D.E.C. en technologie de la mécanique industrielle)

(D.E.C. en technologie de l'électronique industrielle)

pour titulaires du Double D.E.P. en électromécanique et mécanique industrielle

(D.E.C. en technologie du génie industriel)

(D.E.C. en technologie du génie mécanique)

PERFECTIONNEMENT ET ÉTUDES SUPÉRIEURES :

 

Ce programme a pour but de t’intégrer au marché du travail, mais il te sera également possible de te perfectionner dans le cadre dans le cadre de l'un des programmes suivants :

Tu pourras aussi poursuivre tes études au collégial dans le cadre du D.E.C. en technologie de maintenance industrielle.span> Pour plus de détails, consulte la page de la profession de technologue en maintenance industrielle.

 

Certains collèges offrent également un programme passerelle DEP-DEC en maintenance industrielle aux titulaires de ce DEP permettant de reconnaître les acquis en formation professionnelle dans le cadre de ce programme technique. Voici le seul offrant cette passerelle : le Cégep de la Gaspésie et des Îles.

 

EXIGENCES D’ADMISSION :

-         Soit détenir le D.E.S. ou d'un D.E.P.

-         Soit avoir 16 ans au 30 septembre et avoir réussi les cours de français, anglais et mathématiques de 4e secondaire ou leurs équivalents

-         Soit avoir éussi les cours de français, anglais et mathématiques de 3e secondaire ou leurs équivalents ET poursuivra sa formation générale en concomitance avec sa formation professionnelle pour obtenir les unités de 4e secondaire qui lui manquent en langue d’enseignement, en langue seconde et en mathématiques

-         Soit avoir 18 ans et posséder des connaissances équivalentes

Note : il est recommandé d’avoir réussi le cours mathématiques 436 ou son équivalent

 

AUTRE EXIGENCE D’ADMISSION :

 

-    Avoir réussi le cours de maths de 4e secondaire TS ou SN 4e (ou maths 436) (CFP de Sorel-Tracy)

 

-    Possibilité d'un test de sélection (habiletés manuelles, de résolution de problèmes et de personnalité), et/ou entrevue (CFP Manicouagan)

 

-    Assister à une rencontre obligatoire (CFP des Moulins)

 

STATISTIQUES D’ADMISSION :

Aucun contingentement à ce programme

Les candidats(es) qui répondent aux exigences d'admission sont généralement admis.

ENDROITS DE FORMATION :

Demande d’admission via Internet, consulte Admission FP 

Note : si tu désires t'inscrire au double D.E.P., tu dois choisir le programme d'électromécanique et celui de mécanique industrielle lors ton inscription en ligne)

Qu'est-ce que l'alternance travail-études ?

Qu'est-ce que l'enseignement individualisé ?

Qu'est-ce que la concomitance D.E.S./D.E.P. ?

Est et Nord du Québec (Bas-St-Laurent, Saguenay-Lac-St-Jean, Gaspésie-Iles, Côte-Nord, Nord-du-Québec) :

Nord-du-Québec :

 

-    Centre de formation professionnelle de la Baie-James, Chibougamau (C.S.S. de la Baie-James)
obtention d'une bourse d'études de 3 000 $ remise (à la fin de la diplomation) à TOUS les étudiants(es) québécois admis pour la première fois en formation professionnelle dans un programme de D.E.P. offert par le centre;
offert en enseignement individualisé en classe et en atelier,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,

possibilité de suivre le double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans,
voir également l'entente DEP-DEC en technologie de la maintenance industrielle industrielle conjointement avec le Cégep de Sept-Îles
,
et l'entente DEP-DEC en technologie de l'élecronique industrielle conjointement avec le
Cégep de Baie-Comeau (double D.E.P.),
admissions à temps complet de jour avec entrées continues tous les mois au cours de l'année scolaire.

 

Côte-Nord :

 

-    Centre de formation professionnelle de l'Estuaire, Baie-Comeau (C.S.S. de l’Estuaire)
possibilité d'obtenir une bourse d'études de 1 700 $ de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion de cette carrière en région éloignée),
offert en enseignement individualisé en classe et en atelier,
possibilité de suivre le double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans,

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
voir également l'entente DEP-DEC en technologie de la maintenance industrielle industrielle conjointement avec le Cégep de Sept-Îles,
et l'entente DEP-DEC en technologie de l'élecronique industrielle conjointement avec le
Cégep de Baie-Comeau
(double D.E.P.),
admissions à temps complet de jour avec entrées périodiques à l'automne et à l'hiver.

 

-    Centre de formation professionnelle de Sept-Îles, Sept-Iles (C.S.S. du Fer)
possibilité d'obtenir une bourse d'études de 1 700 $ de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion de cette carrière en région éloignée),
offert en enseignement individualisé en classe et en atelier,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
voir également l'entente DEP-DEC en technologie de la maintenance industrielle industrielle conjointement avec le Cégep de Sept-Îles,

admissions à temps complet de jour avec entrées continues tous les mois au cours de l'année scolaire.

 

Bas-Saint-Laurent :

 

-    Centre de formation professionnelle Matanie - Vallée & Foresterie CFPRO, campus d'Amqui (C.S.S. des Monts-et-des-Marées),
possibilité d'obtenir une bourse d'études de 1 700 $ de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion de cette carrière en région éloignée),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,

double DEP en électromécanique et mécanique industrielle seulement en 2½ ans
offert conjointement avec le CFP de la Côte-de-Gaspé (regarde la vidéo promotionnelle),
voir également l'entente DEP-DEC en technologie de la maintenance industrielle industrielle conjointement avec le Cégep de la Gaspésie,

admissions à temps complet de jour à l'automne.

Saguenay et Lac-St-Jean : 

-         Centre de formation professionnelle de Jonquière, Saguenay (C.S.S. de Jonquière)
possibilité d'obtenir une bourse d'études de 1 700 $ de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion de cette carrière en région éloignée),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
offert en formule intensive sur 16 mois,

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
possibilité
de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage
(offert par le CFP du Grand Fjord),
A.S.P. en mécanique d'entretien en commandes industrielles de 450 heures également offerte (exclusif dans l'Est du Québec),

admissions
à temps complet de jour
à l'automne et à l'hiver.

 

Ouest  et centre du Québec (Abiti-Témiscamingue, Centre-du-Québec, Estrie, Mauricie, Outaouais) :

 

Abitibi-Témiscamingue :

 

-    Centre de formation professionnelle Harricana, Amos (C.S.S. Harricana)
possibilité d'obtenir une bourse d'études de 1 700 $ de la Commission des partenaires du marché du travail (visant la promotion de cette carrière en région éloignée),
possibilité d'obtenir une bourse d'études permettant d'offrir l’hébergement en résidence étudiante à tarif réduit aux étudiants(es) de l’extérieur de la MRC de l'Abitibi-Ouest voir la page suivante,
aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire),
regarde la vidéo promotionnelle du programme,

admissions à temps complet de jour à l'automne.

 

Centre-du-Québec :

-    Centre intégré de formation et d'innovation technologique CIFIT, Victoriaville (C.S.S. des Bois-Francs)
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle seulement en 2½ ans (regarde la vidéo promotionnelle),

offert en alternance travail-études (plus de 420 heures de stages rémunérés en entreprise),
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offerts conjointement avec le Cégep de Sherbrooke,
le DEP-DEC en technologie du génie mécanique offert conjointement avec le Cégep de Thetford,

et le DEP-DEC en technologie du génie industriel offert conjointement avec le Cégep de Beauce-Appalaches,

admissions à temps complet de jour à l'automne et à l'hiver.

Estrie :

-         Centre de formation professionnelle Expé, campus de Windsor (C.S.S. des Sommets),
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle seulement en 2½ ans offert conjointement avec le CFP 24-Juin,
offert en alternance travail-études (plus de 360 heures de stages rémunérés en entreprise) en collaboration avec des entreprises partenaires de la région,
ET en enseignement individualisé,
ET en formule multimodale - exclusive au Québec proposant différentes approches d'enseignement combinées afin de consolider l'apprentissage du métier et d'assurer une meilleure intégration au marché du travail (apprentissage par projets APP, apprentissage par capssules interactives, enseignement selon ton rythme et stages rémunérés en entreprise),

aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire, voir la page suivante),

regarde la vidéo promotionnelle du programme,

possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Sherbrooke,
le DEP-DEC en technologie du génie mécanique offert conjointement avec le Cégep de Thetford,

et le DEP-DEC en technologie du génie industriel offert conjointement avec le Cégep Beauce-Appalaches,

admissions à temps complet de jour (30 heures/sem) avec entrées périodiques à l'automne et à l'hiver,
OU admissions à temps partiel de jour (18 heures/sem) avec entrées périodiques à l'automne et à l'hiver.

-    Campus Brome-Missisquoi, Cowansville (C.S.S. du Val-des-Cerfs / C.S.S. Eastern Townships)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
formation offerte en français ou en anglais,
aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire),

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans également offert (en français seulement),

possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Sherbrooke,

admissions à temps complet de jour (35 heures sur 5 jours) à l'automne (D.E.P. seul et double D.E.P.)
,
OU admissions à temps partiel de jour (16,5 heures sur 3 jours) à l'automne (D.E.P. seul).

Mauricie :

 

-    Centre de formation professionnelle Carrefour Formation Mauricie, Shawinigan (C.S.S. de l'Énergie)
offert en enseignement individualisé,
aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire),
A.S.P. en mécanique d'entretien en commandes industrielles
de 450 heures également offerte (exclusif dans le Centre et Ouest du Québec),
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Sherbrooke,
le DEP-DEC en technologie du génie mécanique offert conjointement avec le Cégep de Thetford,

et le DEP-DEC en technologie du génie industriel offert conjointement avec le Cégep Beauce-Appalaches,
admissions à temps complet de jour avec entrées périodiques au cours de l'année scolaire
.

 

Outaouais :

-    Centre de formation professionnelle Innovation Outaouais ,campus de  Gatineau (C.S.S. au Cœur-des-Vallées),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
voir aussi le DEP-DEC en technologie du génie industriel offert conjointement avec le Cégep Beauce-Appalaches,

admissions à temps complet de jour à l’automne
.

-         Cité Collégiale (collège public de l’Ontario), campus de Hawkesbury
certificat de la cité collégiale de formation de mécanicien-monteur industriel,
offert selon la fomule "alternance travail-études",
admissions à temps complet de jour (3 niveaux de 10 semaines/ch. sur 1½ an, soit 30 heures/sem sur 5 jours) OU à temps partiel (2 soirs par semaine pendant 40 semaines et ce, chaque niveau).

Région de Québec (Québec, Chaudière-Appalaches, Beauce, Portneuf) :

 

Capitale Nationale :

-       Centre de formation professionnelle de Portneuf, Donnacona (C.S.S. de Portneuf)
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle seulement en 2½ ans
(regarde la vidéo promotionnelle),
offert en alternance travail-études (plus de 420 heures de stages rémunérés en entreprise),

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le DEP-DEC en technologie du génie industriel offert conjointement avec le Cégep Beauce-Appalaches,
et le DEP-DEC en technologie du génie mécanique offert conjointement avec le Cégep de Thetford,

admissions à temps complet de jour à l'automne.

Chaudière-Appalaches :

-         Centre de formation professionnelle Le Tremplin, Thetford-Mines (C.S.S. des Appalaches),
offert en formule traditionnelle de groupe en classe et en atelier,
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle seulement en 2½ ans,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
voir aussi le DEP-DEC en technologie du génie mécanique offert conjointement avec le Cégep de Thetford,
le DEP-DEC en technologie du génie industriel offert conjointement avec le Cégep Beauce-Appalaches,
le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Lévis,
et le DEP-DEC en technologie de l'électronique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Lévis,

admissions à temps complet de jour à l'automne.

-   Centre intégré de mécanique industrielle de la Chaudière CIMIC, campus de St-Joseph-de-Beauce (C.S.S. de la Beauce-Etchemins, région Chaudière-Appalaches)
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle seulement en 2½ ans,
offert en formule DUALE (15 heures de classe + 15 de travail rémunéré en entreprise chaque semaine) conjointement avec de nombreuses entreprises partenaires de la région,
accès à une usine-école dotée d'un parc de machines conventionnelles et automatisées diversifiées et modernes dont : un atelier d'électromécanique et un atelier de mécanique industrielle (dotés d'équipements hydrauliques, électrohydrauliques, pneumatiques, électropneumatiques, mécaniques, électromécaniques et électriques), d'un atelier d'automatisation et robotique (doté d'automates et de robots), mais également un atelier de soudage, un atelier d'usinage, un atelier de fabrication de structures métalliques, un atelier de dessin technique, etc,

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
regarde la vidéo promotionnelle du double D.E.P.;
regarde la vidéo promotionnelle du centre,
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi  le DEP-DEC en technologie du génie industriel offert conjointement avec le Cégep Beauce-Appalaches,
le DEP-DEC en technologie du génie mécanique offert conjointement avec le Cégep de Thetford,

le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Lévis,
et le DEP-DEC en technologie de l'électronique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Lévis,

admissions à temps complet de jour à l'automne et à l'hiver.

Rive-Nord de Montréal :

-        Centre de formation professionnelle des Moulins, Terrebonne (C.S.S. des Affluents)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
offert en formule intensive sur 16 mois,
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans également offert,

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage offert au Centre multiservices des Samares ou au Centre de formation en métallurgie de Laval,

admissions à temps complet de jour (35 heures/sem) à l’automne
,
OU admissions à temps complet de soir (35 heures/sem) à l’hiver,
OU admissions à temps complet de soir (35 heures/sem) à l'hiver (double D.E.P. avec électromécanique).

-         Centre d’études professionnelles Performance plus, Lachute (C.S.S. de la Rivière-du-Nord)
offert en enseignement individualisé,
regarde la vidéo des ateliers du département;

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans également offert conjointement avec le CEP de Saint-Jérôme,
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage offert au CEP de Saint-Jérôme,

admissions à temps complet de jour avec entrées périodiques au cours de l'année scolaire (D.E.P. seul et double D.E.P.).

-         École polymécanique de Laval, Laval (C.S.S. de Laval)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire),
accès à un parc complet d'équipements modernes : machines conventionnelles, machines automatisées, pompes, moteurs et autres équipements hydrauliques, pneumatiques, mécaniques, électriques, électroniques, électrohydrauliques et électropneumatiques, etc,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
possibilité de suivre le parcours en mécatronique (D.E.P. en mécanique industrielle + A.S.P. en mécanique d'entretien en commandes industrielles

(regarde la vidéo promotionnelle, exclusif dans le Grand Montréal),
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans également offert conjointement avec l'École des métiers spécialisés de Laval,
ou admissions à temps complet de jour à l'hiver (
D.E.P. seul),
admissions à temps complet de jour à l'automne (double D.E.P. ou parcours mécatronique).

-    Laurier Competency Development Centre, Lachute (C.S.S. Sir Wilfrid-Laurier)
formation offerte en anglais,
offert en
formule intensive sur 16 mois,
offert conjointement avec le CFP Performance Plus et dans les locaux de ce centre,

aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire),
admissions à temps complet de jour avec entrées continues tout au long de l'année scolaire.

Montérégie :

-    Campus Brome-Missisquoi, Cowansville (C.S.S. du Val-des-Cerfs / C.S.S. Eastern Townships)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
formation offerte en français ou en anglais,
aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P. (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire),

regarde la vidéo promotionnelle du programme,
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans
également offert (en français seulement),
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Sherbrooke,

admissions à temps complet de jour (35 heures sur 5 jours) à l'automne (D.E.P. seul et double D.E.P.)
,
OU admissions à temps partiel de jour (16,5 heures sur 3 jours) à l'automne (D.E.P. seul).

-         Centre de formation professionnelle du Suroît, campus de Salaberry-de-Valleyfield (C.S.S. de la Vallée-des-Tisserands)
offert en enseignement individualisé,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,
voir aussi le DEP-DEC en technologie du génie mécanique offert conjointement avec le Cégep de Valleyfield,

admissions à temps complet de jour
(31 heures/sem) avec entrées à tous les mois au cours de l'année scolaire
,
OU admissions à temps partiel de jour (15 heures/sem) avec entrées à tous les mois au cours de l'année scolaire.

-         Centre de formation professionnelle Bernard-Gariépy, Sorel-Tracy (C.S.S. de Sorel-Tracy)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire),
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans
également offert,
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,
A.S.P. en mécanique d'entretien en commandes industrielles de 450 heures également offerte (exclusif en Montérégie),

voir aussi le DEP-DEC en technologie de la mécanique industrielle offert conjointement avec le Cégep de Sherbrooke,
admissions à temps complet de jour à l'automne et à l'hiver,
OU admissions à temps complet de soir à l'hiver.

Île-de-Montréal :

-         École des métiers du Sud-Ouest de Montréal, Montréal - arrondissement du Sud-Ouest (C.S.S. de Montréal)
offert en cheminement régulier en classe et en atelier,
regarde la vidéo promotionnelle du programme,
double DEP en électromécanique et mécanique industrielle en 2½ ans également offert (voir la vidéo promotionnelle),
admissions à temps complet de jour OU de soir (30 hres/sem) à l'automne (D.E.P. seul),
admissions à temps complet de jour (30 heures/sem) à l'automne (double D.E.P.),
admissions à temps complet de soir (30 heures/sem) à l'automne (double D.E.P.).

-         Centre intégré de la mécanique, de métallurgie et d’électricité CIMME, Montréal - arrondissement LaSalle (C.S.S. Marguerite-Bourgoys)
offert en enseignement individualisé,
aussi offert en concomitance D.E.S./D.E.P (permettant de compléter en même temps, les cours obligatoires de 4e et/ou 5e secondaire
), voir la page suivante et le vidéo suivant,
regarde la
vidéo promotionnelle du programme,
accès à une usine-école dotée d'un parc de machines conventionnelles et automatisées diversifiées et modernes, d'atelier de coupage et d'oxycoupage, d'ateliers de pliage du métal, d'ateliers d'assemblage, d'ateliers de soudage, ateliers d'usinage, d'ateliers de mécanique industrielle et d'ateliers de dessin technique; pour plus de détails, regarde la vidéo promotionnelle du centre,
possibilité de compléter ta formation avec un D.E.P. en soudage-montage,

admissions à temps complet de jour OU de soir à l'automne
.

LIENS RECOMMANDÉS :

Tu désires avoir l’avis de mécaniciens(nes) industriels sur leur métier ?, alors consulte les vidéos suivants :

  • les entrevues avec Cédric Landry, Patrick Jean et Francis Mousse; le premier est étudiant et le second est enseignant en mécanique industrielle au CFP de l'Estuaire et le troisième est mécanicien industriel pour Hydro-Québec et réalisées par le CSS de l'Estuaire;

  • les entrevues avec Yanick Côté, Geneviève Gauthier et Yannick Eloquin; le premier est étudiant et la seconde est enseignante en mécanique industrielle au CFP de Sept-Îles et le troisième est co-propriétaire de HPC Hydraulique à Sept-Îles et réalisées par le CSS du Fer;

  • les entrevues avec Alexis Guertin, Jérémy Briault-Brunet et Annabel Samson; étudiants en mécanique industrielle au CFP Harricana en Abitibi-Témiscamingue et réalisées par le CSS Harricana;

  • les entrevues avec Gabriel Handfield, Émile Bernier, Alexis Caron et Jean-Christophe Rioux; le premier est étudiant en électromécanique, le deuxième et le troisième sont étudiants en mécanique industrielle et le quatrième est enseignant en mécanique industrielle au CFP Matanie-Vallée-et-Foresterie à Matane et réalisée par le CSS des Monts--et-des-Marées;

  • les entrevues avec Maxime Keeney, Dominique Audette-Cloutier; le premier est étudiant en mécanique industrielle au CFP Expé et la seconde est mécanicienne industrielle chez TLD Canada, un manufacturier d'équipements aéroportuaires à Sherbrooke et réalisée par le CSS des Sommets;

  • l'entrevue avec Véronique Prévost; mécanicienne industrielle chez Produits forestiers GreenFirst à La Sarre en Abitibi-Témiscamingue et réalisée par la FTQ;

  • l'entrevue avec Daria Blaise; mécanicienne industriel chez AMNC, un entrepreneur en mécanique industrielle et réalisée par le Conseil provincial du Québec des métiers de la construction;

  • l'entrevue avec Damien St-Amand; mécanicien industriel chez Kaeser Compresseurs Canada, un manufacturier de systèmes à air comprimé à Boisbriand dans Laurentides et réalisée par le CSS de Laval;

  • l'entrevue avec Stéphane Gauthier; mécanicien-soudeur chez L'Écuyer Produits de béton, manufacturier de produits de béton à Saint-Rémi en Montérégie et réalisée par l'entreprise;

  • l'entrevue avec Alexandre Tremblay; mécanicien de projet chez Rio Tinto Énergie Électrique et réalisée par Rio Tinto;

  • l'entrevue avec Mario Miousse; mécanicien industriel chez Mines Seleine - Sel Windsor, située aux Îles-de-la-Madeleine et réalisée par le CSMO Mines;

  • l'entrevue avec Carl Lessard; mécanicien industriel pour BRP à Valcourt en Estrie et réalisée par BRP;

  • les entrevues avec Catherine Girard, François Laflamme et Philippe Plouffe, la première est mécaniciennne apprentie tôlière chez Rio Tinto Fer et Titane, le second est mécanicien industriel chez Xstrata et le troisième est mécanicien d'entretien chez Arcelormittal et réalisées par le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie;

  • l'entrevue avec Charles Couture, mécanicien d'entretien chez Clément Hydraulitech de Salaberry-de-Valleyfield et réalisée par la Table d'éducation interordres de la Montérégie;

  • l'entrevue avec Kevin Lachapelle; Priscilla Séguin, David Blouin, Edith Donfack Kahou et François Demers; le premier est électricien d'appareillage, la seconde est mécanicienne d'appareillage, le troisième est technicien en télécommunications, la quatrième est ingénieure - Réseau et le cinquième est technicien en automatismes et réalisées par Hydro-Québec;

  • les entrevues avec Bruno Éthier, Mario Lamontagne, Simon Martel, Jocelyn Ouellet et Patrick Leduc; le premier est ingénieur de systèmes, le second et le quatrième sont contremaîtres Assembleurs Mécanique, le troisième est contremaître tuyauterie et le dernier est gérant des ateliers pour le projet de construction des traversiers GNL chez Davie Industries et réalisée par Davie Industries;

  • les entrevues avec caporal Alex Lebrun et soldat Maryan Ross-Bourdeau; techniciens en matériaux au sein du 5e Bataillon de services du Canada de l'Armée de terre canadienne à la base militaire de Valcartier et réalisées par les Forces canadiennes;

  • l'entrevue avec caporal Jonathan Drolet; technicien en structures d’aéronefs au sein du 3e escadron de maintenance aérien à la 3e Escadre Bagotville de l'Aviation royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;

  • l'entrevue avec caporal Rebecca-Emmannuelle Som; technicienne de véhicules blindés au sein du 12e Régiment blindé du Canada à la base militaire de Valcartier et réalisée par les Forces canadiennes;

  • la vidéo promotionnelle du métier de mécanicien industriel réalisé par le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de la chimie et de la pétrochimie du Québec;

  • la vidéo promotionnelle (en anglais) du métier de mécanicien de voitures de trains ou métro réalisée par le CN..


Retour à la page du secteur mécanique d’entretien

Retour à la page d’accueil