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fabrication mécanique
SECTEUR :
DESSIN ET FABRICATION MÉCANIQUE
BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.ing
Consulte également la page
d’informations sur les
programmes pré-universitaires en sciences
et la section "liens recommandés" à la fin de cette page (dont des vidéos d'ingénieurs maritimes qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
Établir et analyser les besoins de tes clients sur leurs besoins (capacité, types de chargement, aménagement de la passerelle, de la salle des machines, de la cuisine et de la salle à manger espaces de rangement, des cabines de l'équipage, des cabines des passagers s'il y a lieu, etc.),
Participer à la recherche et au développement en construction navale.
En tant qu’ingénieure ou ingénieur
maritime; tu seras
responsable de concevoir, mettre au point, produire et tester
des systèmes maritimes (systèmes de coque,
systèmes de propulsion des moteurs diesel, systèmes anti-incendie, machinerie de
navire, systèmes électriques, systèmes de distribution de l’air, systèmes
électromécaniques et autres équipements connexes d’un navire) ou des véhicules
maritimes (bateaux de plaisance, motomarimes ou autres embarcations motorisées)
de divers types de navires
R
C
E
Coordonner et gérer les opérations de production, les ressources humaines, financières et matérielles affectées au projet sur le chantier;
Rédiger des rapports techniques de production;
Participer à la recherche et au développement de nouveaux systèmes.
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Être attiré par les technologies qui nous entourent
-
Aptitudes pour les mathématiques, les sciences et le dessin technique
-
Capacité d’analyse et de synthèse et sens logique pour analyser un problème de
fabrication ou de conception et tenter de le résoudre
-
Sens des responsabilités car tu seras responsable du
personnel et des autres ressources d’un département de production pour les
grandes entreprises ou de l’ensemble de la production dans le cas d’une PME
- Bon jugement et rigueur scientifique pour bien te guider vers des pistes de solutions pour résoudre différents problèmes de conception ou de production
-
Minutie, précision, souci du détail car
tu auras à concevoir des produits qui devront pas comporter d’erreurs
- Autonomie, débrouillardise et flexibilité car tu seras parfois seul(e) pour exécuter certaines tâches et résoudre différents problèmes
-
Créativité, imagination et ingéniosité pour
concevoir des produits de qualité
-
Facilité à travailler en équipe et leadership pour réussir à
réaliser de façon efficace des projets, tu devras
collaborer avec des techniciens et d’autres ingénieurs
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
-
Consultant(e)
maritime
-
Ingénieur(e)
designer d’équipements ou véhicules maritimes
- Officier du génie des systèmes de marine (Forces armées)
-
Officier du génie
des systèmes de combat maritime (Forces armées)
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Chantiers navals
-
Compagnies maritimes
- Entreprises spécialisées en travaux sous-marins
- Firmes d’ingénieurs-conseils
-
Firmes de
consultants maritimes
-
Forces armées canadiennes
(postes civils ou militaires), voir aussi la
Réserve navale
-
Gouvernement
du Canada :
carrières en
sciences et technologies,
Conseil national
de recherches Canada,
Transports Canada
Recherche
et développement pour la Défense Canada
- Manufacturiers d'embarcations nautiques
-
Sociétés de
classification internationales
PERMIS
DE PRATIQUE :
Au Québec, Pour pratiquer la profession d’ingénieur(e); tu dois obligatoirement devenir membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Cette profession est régie par une loi et un code de déontologie qui ne permet qu’aux détenteurs de ce titre de pratiquer dans le domaine.
À partir du 1er avril 2022, le programme de juniorat sera aboli et les titres d’ingénieur junior et d’ingénieur stagiaire ne seront plus reconnus. Ce qui veut dire que vous ne pourrez plus vous réinscrire au tableau comme membre junior ou stagiaire.
Il sera remplacé par le programme de Candidat(e) à la profession d'ingénieur CPI
Après avoir complété tes études universitaires en génie, tu devras compléter le Programme de candidat(e) à la profession d'ingénieur ET
acquérir une expérience professionnelle rémunérée en milieu professionnel sous la supervision d’un(e) ingénieur(e) senior(e) expérimenté(e).
Par la suite, tu auras à subir l'examen professionnel et sa réussite te permettra d’obtenir le permis d’ingénieur(e).
Voici un tableau démontrant la comparaison entre l'ancien programme de juniorat et le nouveau programme de CPI :
|
Juniorat | Programme CPI |
Titre |
|
|
Durée de l’expérience pratique |
36 mois, dont 12 mois canadiens, avec possibilité d’équivalences et crédits. |
24 mois, en plus de l’atteinte des compétences requises, avec possibilité d’équivalences et crédits |
Limite de temps |
Aucune (Jusqu’au 31 mars 2022) |
5 ans pour réussir le programme d’accès à la profession |
Parrainage |
Parrainage facultatif |
Accompagnement intégré dans le rôle du superviseur |
Certification de l’expérience |
Expérience certifiée par 2 ingénieurs |
Expérience certifiée par 1 ingénieur (le superviseur) |
Examen professionnel |
Réussite de l’examen professionnel |
Formation en ligne (près de 30 heures) + réussite de l’examen professionnel |
Toutefois, des crédits d'expérience peuvent être accordés pour un stage rémunéré ou non rémunéré d'au moins 4 mois réalisé au cours des études universitaires en génie, voir la page suivante.
Des crédits d'expérience peuvent aussi être accordés pour études supérieures complétées dans un programme de maîtrise en génie, voir la page suivante.
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Polyvalence
-
Bilinguisme est un
atout important
-
Bonne connaissance en informatique (notamment des logiciels de CAO et
DAO)
-
Facilité d’adaptation aux nombreux changements technologiques
-
Mobilité à travers le monde (surtout en architecture navale)
PLACEMENT :
Aucune donnée disponible
SALAIRE :
Selon les
données de 2022 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de :
- 28,10 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 34,13 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des PME
- 32,19 $/heure (40 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 42,69 $/heure en tant qu'ingénieur(e) chez Hydro-Québec
- 35,81 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 37,60 $/heure en tant qu'ingénieur(e) au sein des grands chantiers navals
- 36,59 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 40,54 $/heure en tant qu'ingénieur(e) dans la fonction publique fédérale (Garde Côtière ou Défense nationale ou Transports Canada)
- 40,78 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que candidat(e) à la profession d'ingénieur(e) et augmente à 44,54 $/heure en tant qu'ingénieur(e) à l'Administration portuaire de Montréal
- 2 301 $/mois en 1re année et augmente à 2 440 $/mois en 4e année (grade d'élève-officier pendant tes études universitaires au Collège militaire)
- 5 521 $/mois (au grade d'enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 6 999 $/mois (au grade de clieutenant de vaisseau) après 5 ans en tant qu'officier du génie officier du génie des systèmes de marine ou officier du génie des systèmes de combat maritime au sein des Forces canadiennes (Force régulière)
- 166,40 $/jour (au grade d'enseigne de vaisseau 1re classe) et augmente à 213,45 $/jour (au grade de lieutenant de vaisseau) en tant qu'officier du génie officier du génie des systèmes de marine ou officier du génie des systèmes de combat maritime au sein des Forces canadiennes (Réserve)
Sources :
Industrie Canada, Commission de la fonction
publique du Canada, Forces canadiennes
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Ainsi que 11 296 ingénieurs(es) juniors actifs (dont 927 nouveaux membres diplomés) au 31 mars 2020 (soit 1 995 de moins qu'en 2018; 807 de moins qu'en 2016 et 1 438 de moins qu'en 2014).
Fait intéressant, la profession a également accueilli 27 nouveaux ingénieurs(es) juniors et plus de 600 nouveaux ingénieurs(es) diplômés(es) en ingénierie d'universités étrangères dont 440 détenant un permis restrictif selon l'entente France-Québec.
Plus de 85 % des membres de cett profession étaient des hommes, mais pourrait accueillir davantage de femmes.
Par contre, la tendance est une hausse de la féminisation de la profession, puisqu'elles représentaient 13 % en 2012; 14 % en 2014; 14 % en 2015; alors qu'en 2018, plus de 15 % des ingénieurs étaient des femmes.
Une hausse du nombre de femmes dans les cohortes étudiantes des universités québécoises laissent prévoir que près du quart des ingénieurs seront des femems au cours des prochaines années.
Plus de 39 % des ingénieurs étaient âgés de moins de 40 ans (dont 10 % avaient moins de 30 ans).
Seulement 15 % des ingénieurs étaient âgés de 60 ans et plus, donc peu de départs à retraite prévus pour les prochaines années.
Plus de 90 % des ingénieurs(es) juniors avaient le français comme langue première au travail et 10 % avaient l'anglais;
Plus de 82 % des ingénieurs(es) avaient le français comme langue première au travail et 28 % avaient l'anglais.
Autre fait intéressant, il y avait près de 3 200 ingénieurs(es) membres de l'Ordre des ingénieurs du Québec qui exerçaient à l'étranger (USA, France, UK, Allemagne, Espagne, Chine, Japon et bien d'autres...).
Selon Emploi-Québec; il y avait qu'une dizaine d'ingénieurs(es) maritimes et architectes navals qui oeuvraient majoritairement chez les grands chantiers navals et les quelques firmes d'architecture navale au Québec.en 2018.
Elle est la petite discipline du génie au Québec.
PERSPECTIVES
D’AVENIR :
L'industrie navale canadienne, tout comme ailleurs dans le monde a subi des années tumultueuses.
Le marché dépend de la valeur et du nombre de contrats qu'obtiennent les chantiers navals.
Tout comme son cousin l'industrie aérospatiale, l'industrie maritime et navale est cyclique.
En effet, un chantier naval peut obtenir un important contrat pour la construction d'un navire qui procurera du travail pour les 3 prochaines années. Ensuite, lorsque la construction du navire est terminée, il y a un certaine période "morte" puisque l'entreprise est en négociation pour obtenir un nouveau contrat ou a obtenu un contrat moins important. Donc, pendant ce temps, les employés n'ont peu ou pas de boulot. Lorsque le contrat est signé, les activités reprennent.
Or, il semble que pour les prochaines années, on prévoit de meilleures perspectives que dans les dernières années, puisque plusieurs chantiers navals obtiennent des contrats d'importance et certains sont en cours d'agrandissement.
Plusieurs chantiers navals ont obtenu ou obtiendront des contrats importants qui procurera de l'emploi à court et moyen terme, notamment pour la construction ou le radoub et le prolongement de la durée de vie de naviares pour la Marine Royale canadienne (destroyers, frégates, remorqueurs); pour la Garde côtière canadienne (brise-glace, patrouilleurs, bateaux de recherche & sauvetage SAR); pour la Société des traversiers du Québec et autres entreprises canadiennes de traversiers (traversiers de petite et moyenne taille); pour des entreprises de services maritimes (bateaux-pilotes, remorqueurs); ainsi que la construction ou la rénovation de navires de pêche.
Le placement est très bon avec d'excellentes conditions de travail sont offertes au sein des chantiers navals partout au Canada.
De plus, des emplois sont également possibles aux États-Unis (ex : American Overseas au Massachussetts, Bath Iron Works au Maine, American Shipbuild en Pennsylvanie, le chantier de la Portsmouth US Navy Shipyard au New Hampshire, le chantier de la US Navy Norfolk Navy Shipyard en Virginie).
Et même ailleurs dans le monde (ex : Damen Shipyards à Cuba, Belgique, Royaume-Uni et Pays-Bas; Fincatieri en Italie, Constructions mécaniques de Normandie en France, SOCAREM en France, STX Europe en France, Allemagne et Finlande, Groupe DCNS dans divers chantiers en Europe et en Asie, etc).
Pour plus de détails, consulte le Portrait de l'industrie candadienne de la construction navale
et une liste de chantiers navals canadiens, américains et étrangers dans la section "liens recommandés".
Voici quelques exemples de contrats récents obtenus par les chantiers navals canadiens :
La construction de 3 navires d'aluminium monocoques (jusqu'à 25 mètres) de patrouille côtière de la G.R.C. dont le chantier n'a pas encore été choisi
La construction de 4 remorqueurs pour le Ministère de la Défense Nationale par Océan Industries dans Charlevoix au Québec
La construction de 4 navires de recherche et sauvetage de la Garde Côtière canadienne par le Chantier naval Forillon en Gaspésie
La construction d'un prototype de navire de pêche en modules et éventuellement, la construction de 4 navires-usines de pêches par le Groupe Méridien maritime à Matane au Québec
La restauration d'un traversier de Marine Atlantic pouvant transport jusqu'à 1 000 passagers qui relie les îles de Terre-Neuve et du Cap-Breton par Verreault Navigation en Gaspésie
La construction de 2 nouveaux traversiers qui relieront les Îles de la Madeleine à l'Île‑du‑Prince‑Édouard obtenue par la Davie Industries de Lévis au Québec
La construction de 2 bateaux de travail de 1000 hp par Navmar réparations navales à Montréal-Est au Québec
L'obtention d'une nouvelle certification internationale pour la la réparation de navires de sauvetage par Navmar réparations navales qui lui permettra d'obtenir des contrats avec les gardes côtières de nombreux pays
Le contrat d'installation et d'entretien du système IPMS (Integrated Platform Management System) de gestion intégrée des systèmes à bord des 2 navires de soutien interarmées de la Marine royale canadienne octroyé par Seaspan Shipbuilding à l'entreprise L3 MAPPS située à Montréal
La construction de 16 navires brise-glace polaire de la Garde Côtière canadienne par Vancouver Shipyards en BC
La construction de 2 nouveaux navires de patrouille arctique (s'ajoutant aux 6 déjà commandés) par Irving Shipbuilding d'Halifax en N-É
La construction de 2 navires de soutien interarmées pour la Marine royale canadienne par Vancouver Shipyards en BC
La construction des nouveaux navires de combat (2 destroyers et 13 frégates) pour la Marine royale canadienne par Irving Shipbuilding d'Halifax en N-É
La construction de 2 navires de patrouille extracôtiers et de l’Arctique de la Marine royale canadienne par Irving Shipbuilding d'Halifax en N-É
Un contrat d'entretien des 12 nouvelles frégates de patroulle de la Marine royale canadienne échelonné sur 20 ans par Seaspan Victoria Shipyard en BC
La construction d'une barge de transport de tuyaux d'une compagnie maritime albertaine par Kiewit Offshore à Terre-Neuve
Sources : Industrie Canada, Commission de la fonction publique du Canada, Forces canadiennes et Neuvoo
PORTRAIT DE L'INDUSTRIE MARITIME ET NAVALE :
Les chantiers navals canadiens sont des chefs de fi le mondiaux de la construction dernier cri de bateaux de pêche, de remorqueurs, de petits traversiers, de yachts de plaisance et de catamarans. Combinant les techniques anciennes et les plus récentes tendances et technologies, l’industrie canadienne a su développer un solide créneau d'excellence.
En 2013, cette industrie avait un marché de près de 1,1 milliards de dollars (dont près de 440 millions $ pour le secteur de la construction d'embarcations de plaisance) au Canada dont la majorité des produits sont exportés partout dans le monde.
Elle comprenait 300 entreprises (dont 160 en construction et réparation navale et 140 en fabrication d'embarcations nautiques motorisées) qui emploient un peu plus de 11 600 travailleuses et travailleurs (dont 6 800 en construction navale et 4 800 en fabrication d'embarcations nautiques motorisées).
Par ces dernières, il y avait :
16 chantiers navals de construction ou réparation de navires (6 au Québec, 2 en BC, 3 en Nouvelle-Écosse, 2 en Ontario, 1 au Nouveau-Brunswick, 1 à l'I-P-É et 1 à Terre-Neuve-et-Labrador) et + installation de fabrication pour les plates-formes pétrolières et gazières dans l'Atlantique employant près de 3 600 travailleurs;
18 chantiers de réparation navale et de modification ou de transformation de navires qui emploient près de 3 200 travailleuses et travailleurs;
130 manufacturiers de composants, instruments, équipements et pièces pour navires qui emploient près de 1 600 personnes;
22 manufacturiers de bateaux de plaisance et autres embarcations nautiques motorisées qui emploient plus de 700 travailleuses et travailleurs;
ainsi qu'une centaine manufacturiers pièces et composants de bateaux de plaisance et autres embarcations qui emploient près de 2 500 personnes.
Au Québec, on y comptait près de 80 entreprises qui employaient plus de 2 600 travailleuses et travailleurs, principalement concentrées dans les régions de Chaudière-Appalaches, du Bas-St-Laurent, de la Gaspésie, de Charlevoix, du Centre-du-Québec, mais également dans les régions de Québec (réparation navale), Montréal (réparation navale) et Laval (embarcations non motorisées).
En 2015, l'industrie navale québécoise comprenait 6 chantiers de construction et de réparation navale (Davie à Lévis en Chaudière-Appalaches, Verreault à Les Méchins dans le Bas-St-Laurent, Océan l'Île-Aux-Coudres dans Charlevoix, Forillon à Gaspé en Gaspésie, Méridien Maritime à Matane dans le Bas-St-Laurent et Conception navale FMP à Newport en Gaspésie).
Ils ont une expertise reconnue principalement dans la construction de navires de pêche, de remorqueurs, de bateaux-pilotes et de petits traversiers. Mais, les chantiers navals québécois ont aussi construits des brise-glace, navires de défense côtière, des navires de recherche & sauvetage de la Garde Côtière, des frégates de patrouille maritime, des traversiers moyens, des yachts, des navires de recherche scientifique, des dragues, des barges, des quais flottants, des plateformes de forage, etc.
Égaleament, on y comptait également une trentaine de manufacturiers de systèmes, composantes, pièces et accessoires pour navires.
En 2015, elle employait plus de 1 600 travailleuses et travailleurs au sein des chantiers de construction et réparation navale, s'ajoutait 3 petits chantiers de réparation navale qui employaient une centaine de personnes et enfin, plus de 350 travailleuses et travailleurs au sein des fournisseurs.
Pour ce qui est de l'industrie de la fabrication nautique; on y retrouvait 1 manufacturier d'embarcations nautiques motorisées (bateaux de pêche, bateaux pontés et pontons) qui employait plus de 240 travailleuses et travailleurs (Bateaux Princecraft à Princeville dans le Centre-du-Québec);
plus une dizaine de manufacturiers d'embarcations nautiques non motorisées (canots, chaloupes, kayaks, etc.) qui employaient un peu plus de 400 personnes.
Enfin, on y comptait une quarantaine de manufacturiers de pièces et accessoires pour embarcations nautiques motorisées ou non motorisées qui employaient plus de 700 travailleuses et travailleurs.
Sources : Industrie Canada, Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie maritime et National Marine Manufacturers Association of Canada
LES
PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Note : ces programmes ne sont pas offerts au
Québec
Le Baccalauréat spécialisé en architecture navale et génie des océans (B.Ing) a une durée totale de 4½ ans offert en régime coopératif (avec stages rémunérés) à temps complet. Il ne comporte pas de tronc commun avec les autres disciplines du génie, il est plutôt consacrée entièrement à la formation dans cette spécialité.
Il comporte des cours en mathématiques (méthodes numériques, probabilités et statistiques, calcul avancé), de physique (thermodynamique, mécanique des fluides, résistance des matériaux, mécanique des solides, etc), chimie et physique des matériaux, mécanique des vibrations, conception de composants mécaniques maritimes, dynamique des océans, résistance de la coque d’un navire, hydrodynamique maritime, géographie appliquée au domaine maritime, océanographie physique, propulsion d’un navire, analyse et design de la structure d’un navire, conception de la structure d’un navire, design et conception de systèmes maritimes, design et conception de véhicules maritimes (bateaux de plaisance, etc), contrôle de la production, etc.
Tu auras également quelques
cours optionnels à choisir parmi une liste qui te sera proposée. Le programme
inclu également 3 stages rémunérés en industrie navale d’une durée de 3 à 4
mois chacun entre les sessions d’études et ce dans le cadre de la formule
alternance travail-études (enseignement coopératif).
ÉTUDES SUPÉRIEURES :
Tu pourras poursuivre tes études au niveau de la maîtrise en architecture navale et ingénierie maritime offert par Memorial University, mais également par différentes universités américaines.
Pour plus de détails sur ce programme,
consulte la page des
études supérieures hors-Québec.
P
EXIGENCES
D’ADMISSION :
Soit détenir le Baccalauréat international
en sciences de la nature
Soit détenir un D.E.C. en sciences-arts-lettres
Soit détenir un D.E.C. en sciences de la nature ou en sciences pures et
appliquées
Soit avoir suivi le programme de pré-ingénierie de l'Université Bishop
Soit avoir suivi un programme de préingénierie d'université hors-Québec
Soit détenir un D.E.C. en techniques du génie mécanique de marine ou en
technologie de l'architecture navale
(certains préalables ou formation préparatoire peut être exigée)
Soit détenir un D.E.C. technique dans un autre programme (à vérifier
auprès de l'université) :
technologie du génie mécanique
technologie du génie métallurgique
technologie de la maintenance industrielle
technologie du génie industriel
technologie physique
Soit avoir acquis un minimum de 30 crédits universitaires en sciences
STATISTIQUES
D’ADMISSION :
Aucune
donnée disponible
ENDROITS
DE FORMATION
Infos sur l’alternance travail-études
- Memorial University of New-Foundlands MUNF, St-John (Terre-Neuve), Bacc en architecture navale & génie maritime offert en régime coopératif (comprenant 3 stages rémunérés en entreprise de 4 mois chacun), consulte également les détails sur la maîtrise, site du département, programme unique au Canada
- University of British Columbia UBC, Vancouver (BC), maîtrise en architecture navale et ingénierie maritime seulement
LIENS
RECOMMANDÉS :
l'entrevue avec François Côté, chargé de projet chez Fabrication navale Océan à l'Île-aux-Coudres dans Charlevoix et réalisée par le Groupe Océan;
l'entrevue avec Shane Mercer, ingénieur de projet pour la Garde Côtière canadienne et réalisée par la Garde Côtière;
l'entrevue avec Ian Royle, ingénieur de projet pour Technip Canada à St-John's T-N-L et réalisée par Memorial University (en anglais);
l'entrevue avec lieutenant de vaisseau René De Haître; officier du génie des systèmes de combat naval à bord du NCSM Windsor de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais) avec lieutenant de vaisseau Christine Hyrve; officier du génie des systèmes de combat naval au sein de l'Unité de maintenance du Pacifique à la base militaire d'Esquimalt en BC et réalisée par les Forces canadiennes;
Pour une liste d'entreprises de transport maritimes, consulte la page de mécanicien de marine
Les liens sont classés parmi les catégories suivantes :
Général (ci-dessous)
Général :
-
Garde Côtière canadienne :
site officiel de cet organisme gouvernemental voué au recherche et sauvetage
-
Marine Canadienne :
site officiel de la marine des Forces canadiennes
-
Marines du
monde : site décrivant les navires de guerre de partout dans le monde
-
Maritime
Museum of Atlantique : site officiel de cet important musée maritime
situé à Halifax (Nouvelle-Écosse)
-
Musée canadien de
la guerre : site officiel de ce
musée situé à Ottawa dont une partie est consacrée à l’histoire de la Marine
militaire canadienne
-
Musée de la mer :
site de ce musée (notamment l’histoire du Empress of Ireland)
-
Musée Maritime du Québec : site
de ce merveilleux musée
-
Musée National de la Marine Française : site officiel de ce grand musée
-
Musée national de la Marine :
site de ce grand musée français
-
Réserve navale du Canada :
site officiel de la réserve de la marine des Forces canadiennes
- Site sur les navires : site d’un amateur de navires
-
Vancouver
maritime museum : site officiel de cet important musée maritime situé
à Victoria (Colombie-Britannique)
- Technopole maritime du Québec : site d’infos sur le monde maritime
- Comité sectoriel de la main-d’œuvre de l’industrie maritime : portrait de l’industrie maritime au Québec et des carrières reliées
- Les carrières maritimes : site
d’infos sur les différentes possibilités de carrière dans ce secteur
- Technopole maritime du Québec : site d’infos
sur les carrières dans le domaine maritime et leurs applications
- Marin d’eau douce : site d’officière de marine qui raconte des histoires qui lui sont arrivées dans son travail
- Corporation des pilotes du Bas-St-Laurent : infos sur le pilotage maritime et le métier de pilote de navire
- Corporation des pilotes du St-Laurent central : infos sur le pilotage de navire
- Aecom : l'une des importantes sociétés d'ingénierie au monde réalisant de nombreux projets dans le domaine maritime
- BPR : l'un plus importantes firmes d'ingénierie au Canada notamment active dans les projets de gestion de l'eau
- Cima + : importante firme d'ingénierie québécois très active dans les projets d'infrastructures maritimes pour les chantiers hydroélectriques
- Dessau Soprin : l'une des plus importantes sociétés d'ingénierie au Canada, l'une des plus actives dans les projets d'infrastructures maritimes et dans le domaine du matériel de transport maritime
- Génium : site cette firmes d’ingénieurs ayant une expertise notamment en génie maritime
- Navtech : plus importante entreprise de génie-conseil en architecture navale génie maritime au Canada dont le siège social est situé à Québec
- SNC Lavallin : plus grande société d'ingénierie au Canada et l'une des plus importantes au monde qui réalise de nombreux projets dans le domaine maritime (notamment des infrastructures portuaires et plate-forme de forage) partout dans le monde
Firmes de consultants maritimes et en architecture navale :
Au Québec :
- Concept Naval : firme de consultants en architecture navale et génie maritime située à Québec ayant réalisé la conception de plusieurs navires (notamment des navires de croisières dans les eaux intérieures, navires catamarans, traversiers, navires de pêche)
- Industries Océan : site de cette entreprise maritime québécoise situé à l'Île-aux-Coudres dans Charlevoix spécialisée dans les travaux maritimes notamment concernant les installations portuaires et infrastructures flottantes, ainsi qu'en construction, réparation ou transformation de différents types de navires (bateaux pilote, remorqueurs, navires de travail, etc)
- Marine Expert Plus : firme de consultation en architecture navale située à Gaspé ayant réalisé des projets de construction de nnavires de croisières, traversiers, remorqueurs, navires de pêche)
- Meridien Maritime : entreprise de Matane spécialisée en construction et réparation de navires, mais également en estimation et gestion de projets de construction de navires, ainsi qu'en inspection navale pour classification
Ailleurs au Canada :
- Allswater : firme canadienne de consultation en génie maritime réalisant des projets partout dans le monde située à Halifax en N-É et St-John à T-N
- BMT Fleet Tech : firme de consultant en infrastructures maritimes et de recherche et développement en technologie des matériaux maritimes dont le siège social est situé à Ottawa, mais ayant des bureaux à St-John's T-N, Vancouver BC et Victoria BC
- Capilano Maritime Design : firme de consultant en génie maritime et architecture principalement spécialisée dans la conception de navires commerciaux et située à North Vancouver en BC
- Fleetway : seconde plus importante firme canadienne de consultant en génie maritime et architecture navale (membre du Groupe Irving) dont le siège social est situé à Ottawa en Ontario et ayant des bureaux à Halifax en N-É et St-John à T-N
- Global Maritime : importante firme de consultant en génie maritime ayant une vingtaine de bureaux partout dans le monde dont Halifax en Nouvelle-Écosse
- Loc Group : plus grande société de consultation en génie maritime et architecture navale au monde dont le siège social est situé à Aberdeen en UK et ayant une vingtaine de bureaux dans le monde dont Halifax en N-É
- Poseidon Maritime Consultants : firme de consultant en architecture située à St-John, Terrre-Neuve
- Robert Allan Ltd : plus importante firme canadienne de consultant en génie maritime et architecture navale ayant réalisé de nombreux projets de conception de navire (brise-glace, navires de recherche, frégates de patrouille maritime, , navires de recherche et sauvetage, traversiers, etc) située à Vancouver en BC
- STX Marine : société sud-coréenne, 4e plus grand constructeur naval au monde ayant un important bureau de consultation et d'expertise navale située à Vancouver en BC
- Tad Roberts Yachts Design : entreprise de Gabriola Island près de Vancouver en BC spécialisé dans la conception de yachts et de navires de pêche
Manufacturiers d'embarcations nautiques :
-
Bombardier Produits Récréatifs BRP
:
- Brunswick Boat Group : plus grand manufacturier d'embarcations nautiques au monde (sous les marques Cabo, Flipper, Lowe, Mercury, Meridian, Rayglass, Valiant, etc)
- Honda Canada division marine
- Nordic Boat
- Starcraft : site de ce manufacturier américain de bateaux de plaisance
- Yamaha Canada division marine
Chantiers navals :
(construction et/ou réparation navale)
- Allied Shipbuilding : chantier naval situé à North Vancouver en Colombie-Britannique
- Chantier naval Forillon : site de ce chantier naval spécialisé dans la construction et la réparation de différents types de navires et infrastructures maritimes (bateaux de pêche, remorqueurs, traversiers, barges situé à Gaspé en Gaspésie
- Groupe maritime Verrault : site de ce constructeur naval québécois spécialisé en construction, réparation et transformation de navires et compagnie de transport maritime situé à Les Méchins dans le Bas-St-Laurent qui a réalisé la construction de navires de pêche, la transformation de traversiers, navires de pêche et petits navires conteneurs) et d'infrastructures maritimes (conteneurs)
- Industries Océan : site de cette entreprise maritime québécoise situé à l'Île-aux-Coudres dans Charlevoix spécialisée en construction, réparation ou transformation de différents types de navires (bateaux pilote, remorqueurs, navires de travail, etc)
- Irving Shipbuilding : plus important chantier naval au Canada spécialisé dans la construction, réparation et transformation de navires et infrastructures maritimes (qui a notamment construit plusieurs des navires de la Marine Canadienne et le principal chantier de réparation de sa flotte) situé à Halifax en Nouvelle-Écosse (chantier de construction), Darmouth en Nouvelle-Écosse (infrastrures comme les barges et conteneurs), Shelburne en Nouvelle-Écosse (réparation) et Georgetown PEI (réparation).
- Metal Craft Marine : petit chantier naval de Kingston en Ontario qui construit différents types de bateaux (de patrouille, incendie, recherche et sauvetage, de travail, barges, etc)
- Mount Royal Walsh : site de l'un des plus grands chantiers de réparation navale du pays situé à Montréal
- Fraser Marine & Industrial : entreprise de réparation navale située à Port Colborne en Ontario
- Seaway Marine & Industrial : entreprise de construction et réparation navale notamment spécialisé dans les navires commerciaux situé à St-Catharines-Port Weller en Ontario
- American Overseas Marine (div de General Dynamics) : chantier de construction navale situé à Quincy au Massachussets spécialisé dans les navires pour l'USNavy
- American Shipbuilding Company : compagnie américano-norvégienne dont le siège social est situé à Oslo en Norvège ayant un chantier naval à Philadelphie
- Atlantic Marine : chantier naval situé à Jacksonville en Floride
- Bath Iron Works (div de General Dynamics) : chantier naval situé à Bath au Maine (construit notamment des navires de USNavy)
- Cascade Yachts Works : chantier naval situé à Warrengton en Oregon qui construit des yachts et des voiliers
- Cool Amphibious Manufacturers International : entreprise de Bluffton en Caroline du Sud qui conçoit et assemble des véhicules amphibies
- Columbia Yachts : entreprise de Santa Ana en Californie qui construit des voiliers
- Cruisers Yachts : entreprise de Oncoto au Wisconsin qui construit des yachts
- Erie Shipbuilding : chantier de réparation et reconversion navale situé à Erie en Pennsylvanie
- General Dynamics div NASSCO : important constructeur de navires ayant un chantier de construction et réparation navale situé à San Diego en Californie spécialisé dans les navires de l'USNavy et de la US Coast Guard
- Harken : entreprise de Pewaukee au Wisconsin, l'un des plus grands manufacturiers de voiliers de compétition au monde
- Huskins Yachts : entreprise de Jacksonville en Floride qui construit des yachts
- Island Packet Yachts : entreprise de Largo en Floride qui construit des voiliers
- Manitowoc Marine Group : entreprise de construction navale ayant un chantier de construction situé à Sturgeon Bay au Wisconsin et un chantier de réparation à Marinette au Wisconsin
- Melges : entreprise de Zenda au Wisconsin qui construit des voiliers
- Merriot Boats & Engine Works : entreprise de Pompano Beach en Floride qui construit des yachts
- Northrup Grumman Ship Systems : important constructeur de navires ayant un chantier (Ingalls Shipbuilding) situé à Pascagoula au Mississipi spécialisé construction et réparation de navires de l'USNavy
- Nordhavn : entreprise de construction navale ayant un chantier à Dana Point en Californie spécialisé dans les navires de croisières
- Norfolk Navy Shipyard : l'un des chantiers de réparation navale de l'US Navy (notamment les porte-avions) situé à Portsmouth en Virginie
- Portsmouth Navy Shipyard : l'un des chantiers de réparation navale de l'US Navy (notamment les sousmarins) situé à Portsmouth au New Hamsphire
- Pearl Harbor Navy Shipyard : l'un des chantiers de réparation navale de l'US Navy situé à Pearl Habor, Hawaii
- Puget Sound Navy Shipyard : l'un des chantiers de réparation navale de l'US Navy situé à Bremerton, Washington
- Santa Cruz Yachts : entreprise de Santa Cruz en Californie qui construit des voiliers
- Admiralty Shipyards (en anglais) : l'un des plus anciens chantiers navals de Russie et l'un des plus gros du pays situé à St-Petersburg (sousmarins, pétroliers, plate-formes de forage, porte-conteneurs, vraquiers, etc)
- Azimut (en anglais) : entreprise italienne située à Torino construisant des yachts de luxe
- Bavaria Yachtsbau (en anglais) : importante entreprise allemande de Giebelstadt, plus grand manufacturier européen de voiliers
- Catamarans Outremer : chantier naval français situé à La Grande Motte dans le Langueduc-Roussillon qui construit des catamarans
- Damen Shipyards (en anglais) : multinationale néerlandaise, l'une des plus importantes entreprises de construction et réparation navale au monde ayant 2 chantiers de construction et 30 chantiers de réparation dans 12 pays (dont Pays-Bas, Belgique, Royaume-Uni, Singapore, Cuba, Suède, Pologne)
- Dufour Yachts : entreprise française qui construit des voiliers
- Etap Yachts : entreprise de Loken en Belgique qui construit des voiliers
- Ferretti Yachts : entreprise de Genoa en Ligurie, Italie qui construit des yachts
- Fincatieri (en anglais) : importante entreprise italienne de construction navale spécialisée en navires de croisières, mais aussi des navires de guerre située à Trieste et ayant 2 chantiers de construction et 8 chantiers de réparation dans ce pays
- Groupe Piriou : chantier de construction, réparation et ingénierie navale situé à Concarneau en Bretagne qui construit notamment des navires de pêche
- Mitsubishi Heavy Industries : important chantier naval japonais qui construit tous types de navires commerciaux (porte-conteneurs, vraquiers, transporteuurs, pétroliers, méthaniers, croisière, etc) ayant 3 chantiers au pays : Nagasaki, Kobe Shimonoseki
- Remontowa Shipyard (en anglais) : l'une des plus grandes entreprises européennes en réparation et reconversion de navires (porte-conteneurs, pétroliers, paquebots, traversiers, etc) située en Pologne
- Groupe Constructions Mécaniques de Normandie CMN : chantier naval français situé à Cherbourg dans la région de Normandie en France qui construit principalement des navires militaires (patrouilleurs, corvettes)
- Groupe DCNS : multinationale française, le plus grand constructeur de navires militaires au monde (desservant plus de 50 pays) et ayant 14 chantiers navals en France, en Grèce, en Inde, en Italie, en Arabie-Saoudite et Singapore
- Jaya Shipbuilding (en anglais) : important chantier naval situé à Singapore, l'un des plus gros au monde (vraquiers, pétroliers, porte-conteneurs, plate-formes de forage, etc)
- Maersk (en anglais) : l'une des plus constructeurs de navires au monde ayant un chantier à Oslo en Norvège (pétroliers, vraquiers, porte-conteneurs, plate-formes de forage, etc)
- Meyer Werft : important chantier naval allemand situé à Papenburg en Basse-Saxe qui construit principalement des navires de croisière de luxe, mais également des transporteurs, des méthaniers et des bateaux-taxis
- SOCAREM : importante entreprise française en construction navale ayant 3 chantiers dans la région Nord-Pas-de-Calais
- STX Europe (en anglais) : anciennement Aker Finyard, la plus importante entreprise de construction navale eu Europe et l'une des plus grandes au monde ayant 3 chantiers naval en Finlande (Helsinki, Rauma et Turku), 2 en Allemagne (Wismar et Warnemunde), 2 en France (St-Nazaire et Lorient) et 1 en Roumanie, notamment spécialisé dans les navires de croisières (ex : Queen Mary 2)
- United Industrial Corp (en anglais) : anciennement Baltic Shipyard, l'un des plus anciens chantiers navals de Russie et l'un des plus gros du pays situé à St-Petersburg (vraquiers, pétroliers, paquebots, porte-conteneurs, navires de guerre, brise-glace, traversiers, etc)
Bureaux d’enquêtes sur les accidents maritimes :
Accident Investigation Board Denmark (Danemark) en anglais
Accident Investigation Board of Finland (en anglais)
Accident Investigation Board Norway (Norvège) en anglais
Agenzia Nazionale della Sicurezza del Volo (Italie)
en
anglais