DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.
Consulte aussi la section "liens recommandés" (dont des vidéos de techniciens en hygiène industrielle qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En devenant technicienne ou technicien en hygiène industrielle; tu seras responsable d'intervenir dans un milieu de travail afin d'assurer la santé et l’intégrité physique des travailleuses et des travailleurs, ainsi que de la protection de l’environnement.
Tu auras pour tâches de :
Détecter, évaluer et Analyser des problèmes ou les risques reliés à la santé, à l’hygiène et à la sécurité dans le milieu de travail;
Caractériser les contaminants de nature physique, chimique et biologique;
Surveiller et contrôler la qualité de l'air, du bruit et de la température ambiante;
Analyser les risques en fonction de la réglementation;
Proposer des moyens de prévention et d’amélioration;
Échantillonner l’eau, l’air, le sol ET les résidus industriels;
Évaluer les risques sur l'utilisation ou l'opération des machines, l'ergonomie des postes de travail, les aires de circulation, l'exécution de tâches répétitives, etc.
Inspecter différents milieux de travail afin de t'assurer qu'ils respectent les normes et règlements;
Effectuer des études et des enquêtes reliées aux risques sur la santé, la sécurité et l’environnement et lors d'accidents ou d'incidents;
Rédiger des documents techniques et administratifs;
Concevoir et mettre en application des plans d’intervention en cas d’urgence;
Calibrer et utiliser divers appareils et instruments spécialisés;
Évaluer les impacts environnementaux;
Élaborer des programmes et des mesures visant à améliorer la qualité de vie au travail;
Élaborer et mettre en œuvre des programmes d'éducation et de prévention des risques à la santé et sécurité en milieu de travail;
Concevoir et donner de la formation en santé et sécurité;
Etc.
Tu auras à collaborer avec un grand nombre de personnes : des experts de diverses disciplines (médecins, ingénieurs, toxicologues, ergonomes, chimistes, microbiologistes, etc.) afin de prendre les mesures les plus efficaces possibles; les cadres et les représentants syndicaux car tes mesures entraîneront une multitude de changements dans l’organisation; mais surtout l’ensemble des travailleuses et des travailleurs qui sont les mieux placés(es) pour connaître les problèmes en santé et en sécurité rencontrés à leur poste de travail. C’est également ces gens qui devront appliquer ces mesures, alors tu devras les sensibiliser de l’efficacité et de la nécessité de les appliquer.
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
- Bonne santé (et ne pas avoir d'allergies) car tu seras en contact avec des contaminants ou des situations potentiellement dangereuses
-
Bonne condition physique
- Très bon sens de l’observation pour observer attentivement les différentes sources de pollution et leurs provenances
- Capacité d’analyse et de synthèse et Curiosité scientifique car tu auras à analyser des problèmes de nature environnementale
-
Sens des responsabilités car tu auras la responsabilité de l’application
et de l’élaboration des mesures préventives
- Autonomie et débrouillardise car tu devras te débrouiller seul(e) pour résoudre les problèmes
-
Sens de l’initiative pour soumettre tes recommandations
aux autorités de l’entreprise
-
Sens de l’observation pour observer et détecter sources
de dangers à la santé ou la sécurité des travailleurs(euses)
-
bonne méthode de travail et gestion du temps car tu
auras à planifier et élaborer des programmes de prévention
- Facilité à travailler en équipe car tu auras à collaborer avec d’autres technologues et techniciens, des chimistes, des microbiologistes, des ingénieurs, etc.
- Très bonne maîtrise de la langue française car tu auras à rédiger de nombreux rapports techniques qui devront être clairs et bien détaillés
-
Bonne connaissance de la langue anglaise car la plupart des manuels et
publications spécialisés sont dans cette langue
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Agent(e) de santé et sécurité au travail
- Agent(e) de sécurité industrielle
- Agent(e) en hygiène de l'environnement
-
Agent(e) en prévention des incendies en industrie
-
Agent(e) en prévention des maladies et accidents du travail
- Agent(e) en santé industrielle
- Conseiller(ère) en prévention des accidents
-
Conseiller(ère) en santé et sécurité au travail
- Coordonnateur(trice) en santé et sécurité au travail
- Formateur(trice) en santé et sécurité au travail
- Inspecteur(trice) des déchets dangereux
- Inspecteur(trice) des mesures anti-pollution
-
Inspecteur(trice) en environnement
- Inspecteur(trice) en gaz (fonction publique québécoise)
- Inspecteur(trice) en hygiène industrielle
-
Inspecteur(trice) en santé et sécurité au
travail
- Préventionniste en santé et sécurité au travail
- Surveillant(e) en santé au travail
- Technicien(ne) en dépollution
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Associations paritaires
-
C.L.S.C.
-
Firmes d’ingénieurs-conseils
-
Firmes de consultants en santé et sécurité au travail
-
Gouvernements (C.S.S.S.T.,
Ministère de l’environnement du Québec,
Environnement Canada,
Centre canadien d'hygiène et
sécurité au travail)
-
Hôpitaux (départements de santé communautaire)
-
Industries (chimiques, métallurgiques, pétrochimiques, pétrolières,
papetières, pharmaceutiques, etc.)
-
Laboratoires privés d’analyses en environnement
- Municipalités
- Organisations syndicales
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Connaissance de l’anglais
-
Polyvalence
-
Certains employeurs exigent d’être membre de l’Ordre des technologues
professionnels
AFFILIATION
À UNE ASSOCIATION PROFESSIONNELLE :
Aucun permis de pratique n'est nécessaire afin de pratiquer en tant que technicien(ne) ou technologue en hygiene et sécurité au travail ou en santé et sécurité au travail ou en environnement ou en ergonomie ou tout autre métier dans ce domaine.
Par contre, il est fortement recommandé de devenir membre de l’Ordre des technologues professionnels du Québec.
L’obtention du titre professionnel T.P. te permettra d’accéder à certains
postes-clés en entreprise et obtenir une reconnaissance dans la profession
PLACEMENT :
Selon les données disponibles au 31 mars 2021 :
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
33 | 26 | 26 | 4 |
Note 1 : hausse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 79 % en 2018; 75 % en 2016; 100 % en 2014 et 90 % en 2012).
Note 2 : baisse importante du nombre de diplômés(es) poursuivant des études universitaires (était de 13 % en 2018; 26 % en 2016; 21 % en 2014 et 35 % en 2012).
Source : Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec
SALAIRE :
Selon les données de 2022 :
Le salaire moyen en début de carrière était de :
-
27,71 $/heure (40 hres/sem) en moyenne
- 27,86 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité industrielles ou technicien(ne) en environnement - niveau débutant au sein des grandes industries pétrolières
-
-
- 30,68 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité industrielles au sein de grands fabricants d'aliments et boissons
- 31,77 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité industrielles au sein de grandes industries papetières
- 36,14 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité industrielles au sein de grandes industries de première transformation des métaux (alumineries, aciéries, affineries, fonderies)
- 37,81 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité industrielles au sein de grandes industries chimiques et pétrochimiques
- 38,40 $/heure (40 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en hygiène et environnement ou technicien(ne) en santé et sécurité au travail au sein de grandes compagnies minières
Note 1 : hausse de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux années précédentes (était de 23,00 $ en 2019; 21,89 $ en 2018; 20,65 $ en 2016 et 18,60 $ en 2014).
Note 2 : chez la plupart des grands employeurs privés, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
- 23,82 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en prévention dans le réseau de la santé (hôpitaux, CHSLD, etc)
- 24,34 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en santé et sécurité au travail à la SAQ
-
24,62 $/heure (35 hres/sem)
-
24,65 $/heure (35 hres/sem)
- 24,78 $/heure (35 hres/sem) en tant que technicien(ne) en hygiène du travail dans le réseau de la santé (hôpitaux, CHSLD, etc)
- 25,34 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en prévention ou technicien(ne) en hygiène du travail au sein des universités
- 25,90 $/heure (35 hres/sem) en moyenne en tant que technicien(ne) en travaux pratiques en laboratoire d’enseignement et de recherche en environnement au sein des universités
- 26,59 $/heure (33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem selon les municipalités) en moyenne en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité au travail ou technicien(ne) en prévention au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)
- 27,85 $/heure (33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem selon les municipalités) en moyenne en tant que technicien(ne) en environnement au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)
- 27,90 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité au travail ou inspecteur(trice) en hygiène et environnement dans la fonction publique fédérale
- 28,65 $/heure (32,5 ou 33 ou 33,45 ou 33,75 ou 35 hres/sem selon les municipalités) en moyenne en tant qu'inspecteur(trice) en environnement au ou technicien(ne) en hygiène et sécurité au travail ou technicien(ne) en prévention sein des municipalités de taille moyenne (20 000 à 99 999 habitants), voir note 2
- 31,32 $/heure (37,5 ou 40 hres/sem) en tant qu'agent(e) technique en santé, hygiène et sécurité au travail à Aéroports de Montréal
- 32,61 $/heure (32 ou 33,5 ou 36 hres/sem) en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité au travail ou technicien(ne) en environnement à Hydro-Québec
- 34,82 $/heure (37,5
hres/sem) en tant que technicien(ne) en environnement à
l'administration portuaire de Montréal
- 38,07 $/heure (36,25 hres/sem) en tant que technicien(ne) en hygiène et sécurité au travail à Énergir (anciennement "Gaz métro")
-
Note 1 : dans le secteur public et parapublic, les augmentations sont établies par les conventions collectives.
Sources : Ministère de l’Enseignement supérieur
du Québec, Conseil du trésor
Oon y comptait plus de 5 000 inspectrices et inspecteurs de la santé publique, de l'environnement, de hygiène et de la sécurité au travail dans l'ensemble des régions du Québec.
Profession composée en légère majorité d'hommes, soit 55 %, alors que les
femmes représentaient 45 %.
Elle pourrait accueillir davantage de femmes.
Plus de 55 % des membres de cette profession étaient âgés de moins de 45 ans.
Plus de 94 % occupaient un poste à temps complet.
La répartition des types d'employeurs était :
Industries manufacturières (chimiques, métallurgiques, pétrochimiques, pétrolières,
papetières, pharmaceutiques, minières, etc)
Administrations publiques (municipales, provinciales et fédérale) : 34 %
Sociétés de génie conseil, firmes de consultants en environnement et entreprises en services environnementaux : 10 %
Entreprises et organismes de services publics (ex : Hydro-Québec, Énergir, SAQ, Société québécoise des infrastructures, Recyc-Québec) : 6 %
Centres hospitaliers universitaires et centres intégrés de santé et services sociaux CISSS : 6 %
Entrepreneurs en construction : 5 %
Autres employeurs (laboratoires privés d'analyses et essais, associations paritaires en SST, établissements d'enseignement dont les universités, etc.) : 2 %.
PERSPECTIVES
D’AVENIR :
Donc, elles recrutent davantage de ces spécialistes afin d'éviter des primes d'assurance élevées par l'augmentation des risques et les amendes salées émis par la CNESST.
Les emplois seront surtout orientées vers les entreprises manufacturières et les firmes de consultants.
Enfin, les problématiques de la pandémie a fait en sorte que plusieurs employeurs plus ou moins sensibilisés aux risques pour la santé et sécurité de leurs travailleurs(euses) le seront davantage et se tourneront vers ces spécialistes afin d'élaborer un plan de prévention et d'intervention en SST.
L'Industrie québécoise des services environnementaux :
38 entreprises spécialisées dans les travaux d'entretien de réseaux d'aqueduc et d'égout qui employaient plus de 27 00 travailleurs;
12 entreprises spécialisées en gestion d'installations industrielles ou municipales de traitement et épuration des eaux usées employaient plus de 1 200 techniciens(nes) et opérateurs(trices) en traitement des eaux.
L'industrie québécoise de la première transformation des métaux :
En 2016, elle générait des revenus de plus de 5,5 milliards $, soit 40 % de la production canadienne de métaux et 12 % du secteur manufacturier québécois.
Elle comptait 118 entreprises qui employaient plus de 20 300 travailleuses et travailleurs principalement concentrés dans les régions de la Montérégie, du Saguenay-Lac-St-Jean et de Montréal, mais également dans les régions de la Côte-Nord, du Centre-du-Québec et de Québec.
Plus de 41 % des entreprises de l'industrie emploient moins de 50 personnes, 17 % entre 50 et 99 personnes, 20 % entre 100 et 199 personnes, alors que seulement 22 % sont des entreprises de grande taille ayant 200 employés et plus.
Par contre, ce sont les grandes entreprises qui employaient la majorité des travailleurs(euses) de cette industrie avec une part de 72 %.
Plus de 42 % des emplois sont au sein des grands producteurs et transformateurs d'aluminium, 21 % au sein des grands producteurs et transformateurs de métaux non ferreux (cuivre, zinc), 19 % au sein des grandes producteurs sidérurgique (acier), alors que 17 % sont au sein des fonderies.
Le secteur de la première transformation des métaux reprend confiance après avoir subi les impacts de la crise économique et boursière de 2008 et 2009. La forte remontée des prix des métaux industriels au cours des derniers mois de 2016, les signes d’accélération de l’économie mondiale encourageants qui se sont traduits par une demande plus forte des métaux en 2017 et la tendance à la hausse des prix des métaux de base devrait ainsi se poursuivre au cours des prochains.
Ces signes laissent prévoir de très bonnes perspectives d'emploi au cours des prochaines années au sein de cette industrie.
L'industrie minière québécoise :
Le Québec est l’un des 10 territoires miniers les plus explorés au monde. Depuis le début des années 90, la moitié des mines ont commencé à être exploitées ce qui a permis au Québec de connaître une des plus grandes croissance de son industrie minière de toute son histoire. De plus, un grand nombre de géologues actuellement en emploi sont âgés et devront prendre leur retraite dans les prochaines années.
Pour toutes ces raisons, les perspectives de découvertes nouvelles et par le fait même des emplois pour des spécialistes des mines sont excellentes pour les 10 prochaines années. Maintenant, les exploitations minières du Québec représentent plus de 60 % de tous les minerais exploités au Canada.
Le sous-sol québécois est constitué à 90 % de roches précambriennes du Bouclier canadien. Il s’agit d’un ensemble géologique réputé mondialement pour ses gisements d’or, de cuivre, de zinc, de nickel, de fer et d’ilménite.
Le Québec recèle aussi un potentiel minéral significatif pour des gisements d’autres substances, telles ceux du Mont Wright (fer) à Fermont, du Lac Tio (fer et titane) à Havre-Saint-Pierre, de Niobec (niobium) au Saguenay, de Stratmin (graphite) à Mont-Laurier, Raglan (nickel-cuivre) en Ungava et de Renard (diamant) au nord du Québec.
Par ailleurs, les secteurs miniers bien établis, tels ceux de Val-d’Or, Rouyn-Noranda, Matagami et Chibougamau, recèlent toujours d’importants gisements, notamment en profondeur.
Parmi les ressources minérales exploitées, on retrouve :
les
minéraux métalliques :
or : près de 35 500 kg ont été
extraites pour des revenus de plus de 1,86 milliards en 2013;
nickel : plus de 32 100 tonnes ont été extraites pour des revenus de
plus de 497 millions $;
cuivre : plus de 31 800 tonnes
ont été extraites pour des revenus de plus de 240 millions $ en 2013;
fer : plus de 22 800 kilotonnes ont été extraites pour des
revenus plus de 134 millions $ la même année;
zinc : plus de
130 000 tonnes ont été extraites pour des revenus de près de 256 millions $;
argent : plus de 118 000 tonnes été extraites pour des revenus
de plus de 93,1 millions $;
mais également : le niobium, le
magnésium,le palatine, le sélénium et la tellure.
les
minéraux non métalliques : (le charbon, le sable,
le gravier, la pierre architecturale, incluant, le graphite, le titane, le quartz ou la silice,
mais aussi le soufre, le sel, la tourbe, le mica, la stéatité et la
chrysolite).
pierre architecturale (incluant le
granit, le calcaire, l'ardoise etdes le marbre) : plus de 42 400 kilotonnes
ont été extraites pour des revenus totalisant plus de 496 millions $ en
2013;
diamant : plus de 654 000 carats ont été extraites
pour des revenus totalisant plus de 403,5 millions $ la même année;
ciment : plus de 2 400 kilotonnes ont été exploitées pour des
revenus de plus de 329,4 millions $;
sable et gravier : plus
de 22500 kilotonnes ont été exploitées pour des revenus de plus de 118
millions $;
tourbe : plus de 370 kilotonnes ont été
exploitées pour des revenus plus de 73,3 millions $;
silice
(quartz) : près de 660 kilotonnes ont été extraites pour des revenus de 43,7
millions $;
sel : des revenus totalisant 54 millions $ pour
la seule mine de sel au pays.
Pour ce qui des minéraux en exploration (la découverte de gîtes détenant potentiellement des ressources), il y a :
les minerais métalliques (des métaux non ferreux rares comme : la tantale, le lithium, le béryllium, le zirconium, le hafnium, le germanium, le gallium, ainsi que l’yttrium et le scandium);
les minerais non métalliques (pierres gemmes comme : le diamant, mais également l'aigue-marine, l'apatite, le quartz enfumé, la labradorite, la cordiérite, la pyope, l'amazonite, la gaspéite, la scapolite, etc.).
En 2015, l'ensemble de l'industrie minière a généré des revenus de 5,8 milliards, regroupait une cinquantaine d'entreprises et employait plus de 45 600 personnes.
En ce qui concerne le secteur de l'exploitation et du traitement des minerais, on y retrouvait 21 compagnies d'exploitation minière qui employaient plus de 13 600 travailleuses et travailleurs.
Près de 30 % de la main-d’œuvre de l’industrie minière devrait prendre sa retraite au cours des cinq prochaines années. Cet important besoin de main-d’œuvre pose aussi le défi d’intégrer rapidement un grand nombre de travailleurs aux particularités de l’emploi dans le secteur minier.
Sources : Comité sectoriel de la main-d'œuvre en environnement du Québec - Enviro-Compétences, Comité sectoriel de la main-d'œuvre en métallurgie du Québec et Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines du Québec.
LE
PROGRAMME D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études collégiales en techniques de l’environnement, hygiène et sécurité au travail D.E.C. a une durée totale de 3 ans offert à temps complet de jour seulement.
Tu auras des cours tels que : mathématiques appliquées à l'environnement et santé au travail, chimie en environnement 1, introduction à l'environnement et à la sécurité, identification des risques, traitement des matières résiduelles, communication et rédaction technique, physiologie humaine, ergonomie et santé au travail, chimie en environnement 2, procédés industriels et organisation du travail, méthodes d'échantillonage et d'analyse en environnement et législation et santé, sécurité et environnement au travail.
Si tu as choisi la formule en alternance travail-études ATE, tu réaliseras ton premier stage rémunéré au cours du trimestre d'été.
Tu auras des cours tels que : statistiques appliquées pour l'environnement et la sécurité au travail, gestion de la prévention, procédés industriels : plasn et aménagement, contaminants biologiques et leur contrôle, contaminants chimiques et leur contrôle 1, contaminants physiques et leur contrôle 1, électricité, optique & thermodynamique, matières dangereuses résiduelles, caractérisation et analyse des eaux, contaminants chimiques et leur contrôle 2 et contaminants physiques et leur contrôle 2.
Si tu as choisi la formule en alternance travail-études ATE, tu réaliseras ton second stage rémunéré au cours du trimestre d'été.
Tu auras des cours tels que : caractérisation et analyse de l'air, mise en valeur des résidus industriels, eau et environnement industriel, décontamination des sites, impacts du miieu sur l'humain, ergonomie et analyse des postes de travail, gestion de la santé et sécurité au travail, prévention, formation et information, plans d'urgence et système de gestion, entreprise et environnement, ainsi que stage en entreprise.
Note : le nom et la répartition des cours par trimestre peuvent varier d'un cégep à un autre.
Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :
la vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de Jonquière;
une seconde vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de Jonquière;
la vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de Sorel-Tracy;
la vidéo promotionnelle du AEC en hygiène du travail réalisée par le Cégep de La Pocatière.
PASSERELLES :
Un programme passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est offerte lors de la demande.
l'UQAR pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits aux titulaires de ce D.E.C. (du Cégep de Saint-Laurent seulement) dans le cadre de son Baccalauréat en chimie de l'environnement et des bioressources
l'UQAR pourra reconnaître quelques crédits aux titulaires de ce D.E.C. (autres cégeps, après étude du dossier de l'étudiant) dans le cadre de son Baccalauréat en chimie de l'environnement et des bioressources
l'UQAR pourra reconnaître quelques crédits aux titulaires de ce D.E.C. (après étude du dossier de l'étudiant) dans le cadre de son Baccalauréat en enseignement secondaire - concentration en sciences et technologie
l'UQTR pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en sciences biologiques et écologiques
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 15 crédits aux titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son baccalauréat en relations industrielles (diplômés du Cégep de Jonquière seulement)
PERFECTIONNEMENT :
Il te sera également possible de poursuivre tes
études à l’université au Baccalauréat en chimie,au
Baccalauréat en biochimie, ou au Bacc avec majeure en environnement. La plupart
des cours préalables exigés dans ces programmes figurent dans la grille des
cours du DEC en techniques de laboratoire.
Il existe aussi des
programmes de perfectionnement au niveau collégial (A.E.C.) et au niveau
universitaire (certificats) tels que :
-
A.E.C. en
coordonnateur en environnement et développement durable offert par le
Cégep de
Rosemont (formation continue)
-
A.E.C. en
conduite des procédés biologiques et chimiques en discontinu ffert au
Cégep de Maisonneuve (formation
continue)
-
A.E.C. en
technologies de l’environnement industriel offert au
Cégep de Jonquière (formation continue)
-
A.E.C. en technologie
des procédés bio-industriels offert au
Cégep
John-Abbott (formation continue)
-
Certificat en
analyse chimique offert à l’UQÀM
-
Certificat en
sciences de l’environnement offert à l’UQÀM,à l’U.Q.T.R.,
à l’UQAC
Il te sera possible de poursuivre tes études à l'université dans un programme tel que :
Baccalauréat en génie industriel offert à Polytechnique (concentration santé et sécurité au travail) et à l'UQTR
Baccalauréat en génie chimique offert à Polytechnique (concentration énergie et environnement)
Baccalauréat en génie biotechnologique offert à Sherbrooke
Baccalauréat en biotechnologie offert à Sherbrooke
Baccalauréat en microbiologie offert à Laval, Sherbrooke et Mcgill
Baccalauréat en chimie - concentration en chimie de l'environnement offert à Sherbrooke, Montréal, Laval
Baccalauréat en biologie - spécialisation en toxicologie et santé environnementale offert à l'UQÀM
Baccalauréat en biologie - spécialisation en physiologie et biochimie environnementales offert à l'UQAR
Baccalauréat en biologie (ou sc biologiques) spécialisation en microbiologie offert à Montréal
Baccalauréat en géographie environnementale offert à Montréal
Baccalauréat avec majeure en environnement offert à Mcgill
EXIGENCES
D’ADMISSION :
-
Détenir un D.E.S. et avoir réussi les cours suivants du secondaire ou
leurs équivalents :
TS ou SN 4e OU CST 5e
STE ou SE 4e
STATISTIQUES D’ADMISSION :
Aucun contingentement
à ce programme
Les candidats(es) admissibles (c'est-à-dire détenant les préalables requis) sont généralement admis.
ENDROITS
DE FORMATION
Qu'est-ce que l’alternance travail-études
Cégep
de Jonquière
offert selon la formule
en
alternance travail-études
ATE
à temps complet de jour
(comprenant 2 stages rémunérés de 10 à 14 semaines chacun en
milieu professionnel au cours des trimestres d'été);
Voir aussi :
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits (après étude du
dossier de l'étudiant) dans le cadre du Baccalauréat en études de
l'environnement de l'Université
de Sherbrooke;
la
passerelle
permettant de reconnaître quelques crédits obligatoires (après étude
du dossier de l'étudiant) au Baccalauréat en chimie de
l'environnement et des bioressources de l'UQAR;
et la
passerelle
offert par l'UQAR
permettant de reconnaître quelques crédits obligatoires (après
étude du dossier de l'étudiant) au Baccalauréat en enseignement secondaire - concentration
en sciences et technologie;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 15 crédits dans le cadre du Baccalauréat en
relations industrielles de l'Université
Laval;
Programme
exclusif dans l'Est du Québec;
Possibilité d'obternir une
bourse de mobilité interrégionale de 3 000 $
accordée aux étudiants(es) en provenance du secondaire d'une région
n'offrant pas ce programme (donc exclus : Saguenay-Lac-St-Jean,
Estrie, Montérégie et Montréal) qui sont admis en première année
dans ce programme, pour plus de détails consulte la
page suivante;
Possibilité d'obtenir une
bourse d'aide au logement permettant aux
étudiants admis au 1er tour dans
un programme des techniques physiques (dont techniques de
l'environnement, hygiène et sécurité au travail) qui proviennent de
l'extérieur du Saguenay-Lac-Saint-Jean d'avoir droit à
une année de résidence gratuite,
pour plus de détails
consulte la
page suivante;
Programme
fortement axé sur la pratique (en
laboratoire et nombreuses sorties sur le terrain sur des cours d'eau, des sites
industriels, des chantiers de construction, sites contaminés, etc.);
Les
classes sont de petite taille permettant un
enseignement personnalisé un meilleure
encadrement des professeurs,
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(séminaires,
conférences, visites industrielles, visites de centres de recherches tel que le
Laboratoire en biotechnologies et chimie de l'environnement CRABE de
l'UQAR, l'Institut des sciences de la mer ISMER de l'UQAR, le Centre de
recherche sur les matériaux renouvelables de l'Université Laval, le
Centre interuniversitaire de recherche Écotox
à Québec ou
l'Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société
Institut EDS de l'Université Laval, participation au Colloque en santé
et sécurité au travail au Saguenay-Lac-St-Jean et au Grand Rendez-vous en
santé et sécurité au travail de la CNESST
à Montréal et participation
au Congrès de l'AQHSST, etc.);
Accès à un
laboratoire neuf équipé d'équipements
modernes
(regarde le
vidéo suivant);
Comprend la
réalisation de
plusieurs
projets
tout au long du programme dont certains en collaboration avec des
entreprises partenaires;
Regarde la
vidéo promotionnelle du programme.
Cégep de Sherbrooke
offert en régime régulier
à temps complet de jour;
OU offert selon la formule
en
alternance travail-études
ATE
à temps complet de jour,
(comprenant 2 stages rémunérés de 10 à 14 semaines chacun en
milieu professionnel au cours des trimestres d'été), voir la
page suivante;
Voir aussi la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits (après étude du
dossier de l'étudiant) dans le cadre du Baccalauréat en études de
l'environnement de l'Université
de Sherbrooke;
la
passerelle
permettant de reconnaître quelques crédits obligatoires (après étude
du dossier de l'étudiant) au Baccalauréat en chimie de
l'environnement et des bioressources de l'UQAR;
et la
passerelle
offert par l'UQAR
permettant de reconnaître quelques crédits obligatoires (après
étude du dossier de l'étudiant) au Baccalauréat en enseignement secondaire - concentration
en sciences et technologie;
Programme
exclusif dans l'Ouest du Québec;
Possibilité d'obtenir une
bourse de mobilité interrégionale de 2 400 $
accordée aux étudiants(es) en provenance du secondaire d'une région
n'offrant pas ce programme (donc exclus : Estrie, Montérégie,
Montréal et Saguenay-Lac-St-Jean), voir la
page suivante;
Les
classes sont de petite taille permettant un
enseignement personnalisé un meilleure
encadrement des professeurs,
Programme
fortement axé sur la pratique (en
laboratoire et nombreuses sorties sur le terrain sur des cours d'eau, des sites
industriels, des chantiers de construction, sites contaminés, sorties
d'analyse de l'air ou de bruit preso d'autoroutes, de sites industriels
ou agricoles, etc.);
L’utilisation de la
réalité virtuelle
pour vivre des expériences « réelles » sans danger;
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(séminaires,
conférences, rencontres d'experts, visites industrielles, participation
au Colloque en santé et sécurité au travail de l'Estrie
et au Grand Rendez-vous en
santé et sécurité au travail de la CNESST à Montréal,
participation au Congrès de l'AQHSST, visites de centres de recherche
tels que : le Centre de recherche en écologie et environnement de l'UdeS
ou le Groupe d'acoustique de l'Université de Sherbrooke, etc.);
Accès à
de nombreux laboratoires et équipements ultramodernes
dont : un laboratoire de chimie de
l'environnement, un laboratoire de microbiologie de l'environnement, un
laboratoire d'ergonomie et un laboratoire d'hygiène industrielle);
Regarde la
vidéo promotionnelle et l'atelier
d'exploration virtuel du programme.
Cégep de
Sorel-Tracy
offert selon la formule
en
alternance travail-études
ATE
à temps complet de jour,
(comprenant 2 stages rémunérés de 10 à 14 semaines chacun en
milieu professionnel au cours des trimestres d'été), voir la
page suivante;
Voir aussi
:
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître jusqu'à 10 crédits dans le cadre du Baccalauréat en
études de l'environnement de l'Université
de Sherbrooke;
la
passerelle
permettant de reconnaître quelques crédits obligatoires (après étude
du dossier de l'étudiant) au Baccalauréat en chimie de
l'environnement et des bioressources de l'UQAR;
et la
passerelle
offert par l'UQAR
permettant de reconnaître quelques crédits obligatoires (après
étude du dossier de l'étudiant) au Baccalauréat en enseignement secondaire - concentration
en sciences et technologie;
Seul cégep offrant également un
programme accéléré sur 2 ans; si
tu as déjà complété la formation générale du collégial;
Programme
fortement axé sur la pratique (en
laboratoire et nombreuses sorties sur le terrain sur des cours d'eau, des sites
industriels, des chantiers de construction, sites contaminés, centres de
recyclage, centre de compostage de l'ITA St-Hyacinthe, sorties d'analyse
de l'air ou de bruit sur des sites agricoles ou industriels, etc.);
Formation offerte selon la méthode "apprentissage par projets APP"
permettant de réaliser différents projets concrets en lien avec les
aspects environnement, hygiène et sécurité des entreprises et ce, dès la
première année;
Les
classes sont de petite taille permettant un
enseignement personnalisé un meilleure
encadrement des professeurs,
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(séminaires,
conférences, rencontres d'experts, visites industrielles, participation
au Colloque en santé et sécurité au travail la Montérégie, le Colloque
en santé et sécurité au travail de la Mauricie-Centre du-Québec et au Grand Rendez-vous en
santé et sécurité au travail de la CNESST à Montréal, participation au
Congrès de l'AQHSST, visites de centres de recherche tels que : le
Groupe interuniversitaire de recherche en limnologie et environnement
aquatique de l'UQTR, le Centre de recherche sur les bassins versants de
l'UQTR, l'Institut de recherche sur l'hydrogène de l'UQTR ou l'Institut
Robert-Sauvé de recherche en santé et sécurité au travail IRSST à
Montréal, etc.);
Seul cégep permettant la réalisation d'un
projet réel en fin d'études pour une entreprise partenaire et
parrainé par
un centre collégial de transfert de technologie, soit
le CTTEI;
Possibilité de réaliser le second
stage rémunéré
à l'international;
Regarde la
vidéo promotionnelle du programme;
Accès à plusieurs
laboratoires et équipements à la fine pointe
dont : un laboratoire d'ergonomie, un laboratoire de chimie de l'environnement, un laboratoire de
microbiologie de l'environnement, un laboratoire d'hygiène industrielle,
un laboratoire de caractérisation physico-chimique de résidus, un
laboratoire de procédés, un laboratoire sur les bétons, mortiers et
géopolymères, un laboratoire Fluides supercritiques et séquestration du
CO2
exclusif au Québec (doté d'un équipement utilisant les fluides
supercritiques et d'un équipement d’oxydation en voie humide
unique au Canada);
Site du
Centre de transfert
technologique en écologie industrielle CTTEI
(regarde aussi la
vidéo promotionnelle); un centre collégial de transfert de technologie
rattaché au Cégep de Sorel-Tracy situé au cœur de la Technopole en
écologie industrielle, fournissant de l'expertise en recherche
appliquée et développement d'approches et de technologies novatrices en
écologie industrielles en soutien
technique auprès de PME de partout au
Québec dans les domaines tels que :
développement de solutions
de traitement respectant les principes de la chimie verte, implantation
de symbioses industrielles, séquestration de CO2 (captage,
emprisonnement et stockage) selon différentes méthodes, développement de
bioproduits, formation et animation d'activités en écologie industrielle
et économie circulaire, etc
Cégep de
Saint-Laurent;
offert en régime régulier
à temps complet de jour;
OU
offert selon la formule
en
alternance travail-études
ATE
à temps complet de jour,
(comprenant 2 stages rémunérés de 10 à 14 semaines chacun en
milieu professionnel au cours des trimestres d'été);
Voir aussi
:
la
passerelle
permettant de reconnaître jusqu'à 12 crédits obligatoires au Baccalauréat en
chimie de l'environnement et des bioressources de l'UQAR;
la
passerelle
permettant de se faire reconnaître quelques crédits (après étude du
dossier de l'étudiant) dans le cadre du Baccalauréat en études de
l'environnement de l'Université
de Sherbrooke;
et la
passerelle
offert par l'UQAR
permettant de reconnaître quelques crédits obligatoires
(après étude du dossier
de l'étudiant) au
Baccalauréat en enseignement secondaire - concentration
en sciences et technologie;
Programme
fortement axé sur la pratique (en
laboratoire et nombreuses sorties sur le terrain sur des cours d'eau, des sites
industriels, des gratte-ciel, dans les sites de ventilation du métro de
Montréal, dans les écocentres, des chantiers de construction, sites contaminés,
des sorties d'analyse de l'air ou de bruit près des autoroutes ou de
sites industriels, etc.);
Les
classes sont de petite taille permettant un
enseignement personnalisé un meilleure
encadrement des professeurs,
Comprend la
réalisation de
plusieurs
projets
tout au long du programme dont certains en collaboration avec des
entreprises partenaires (BRP, Garant, etc.);
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(séminaires,
conférences, visites industrielles, visite
du
Centre d'épuration de la Ville de Longueuil, visites de centres de recherches
tels que l'Institut de recherche Robert Sauvé en santé et sécurité au
travail IRSST, l'Institut des sciences de l'environnement de l'UQAM, le
complexe de recherche en parasitologie de McGill ou le Centre
Saint-Laurent d'Environnement Canada, participation au Colloque en santé
et sécurité au travail de Montréal
et au Grand Rendez-vous en
santé et sécurité au travail de la CNESST à Montréal, participation au
Congrès de l'AQHSST, etc.);
Possibilité de réaliser
un
projet réel en fin d'études pour une entreprise
partenaire de la région;
Possibilité de réaliser le second
stage rémunéré
de 8 semaines
en France;
Regarde la
vidéo promotionnelle du programme;
Accès à plusieurs
laboratoires et équipememnts à la fine pointe
dont : laboratoire de chimie de l'environnement, laboratoire de
microbiologie de l'environnement, laboratoire d'hygiene industrielle et
laboratoie d'acoustique);
Accès aux
laboratoires et autres installations au sein
sein du CTE situé au Centre d'épuration de la
Ville de Longueuil (laboratoire
d'hydraulique pluviale, laboratoire de bioréacteurs à échelle,
laboratoire d'analyses, station-pilote de traitement des eaux usées,
station-pilote de traitement physico-chimique, station-pilote anaérobique
automatisée, station-pilote de flottation à air dissous)
Site du
Centre des technologies
de l'eau CTE (regarde
aussi la
vidéo suivante);
un centre collégial de transfert de technologie en assainissement des
eaux rattaché
au Cégep de St-Laurent
situé au
Centre d'épuration de la Ville de Longueuil,
fournissant de l'expertise en recherche appliquée, en aide technique, en
formation continue et en diffusion de l’information auprès des
entreprises et des institutions publiques de partout au
Québec et ailleurs au Canada dans les domaines tels que : validation et optimisation du traitement des boues, développement de
nouvelles de réduction de la consommation et recyclage d'eau, etc.
AUTRES FORMATIONS :
Il existe d’autres programmes d’études menant à une formation de technologues en génie mécanique. Ce sont des A.E.C. d’une durée d’1 à 2 ans généralement à temps complet destinés aux adultes.
Exigences :
(1 260 heures - 14 mois
à temps complet de jour)
offerte en formule hybride (cours théoriques en
ligne en temps réel + laboratoires en présentiel + stage de 5 semaines
en milieu de travail)
regarde la
vidéo promotionnelle du programme
offert
au Cégep de Jonquière
conjointement avec le
Cégep de La
Pocatiere
Organisation scientifique de la production
(705
heures - 28 semaines à temps complet en présentiel de jour)
OU (705
heures - 14 mois à temps partiel en présentiel de jour)
comprend un
stage de 4 semaines en milieu industriel
offert
au Cégep de Jonquière
LIENS RECOMMANDÉS :
les entrevues avec Arianne Mallette, Samuel Pelletier et Alexis Gobeil; étudiants en environnement, hygiène et sécurité au travail au Cégep de Jonquière et réalisées par le Céep de Jonquière;
les entrevues avec Audrey Lapointe-Tremblay et Marie-Ève Salesse; étudiantes en environnement, hygiène et sécurité au travail au Cégep de Jonquière et réalisées par le Cégep de Jonquière;
les entrevues avec Marilynn Dion, Patrick Péloquin, Jean-Pierre Beauregard et Phousadavanh Chounlamany; les premiers sont étudiants et suivants sont enseignants environneent, hygiène et sécurité au atravail et le dernier est technicien de laboratoire au Centre de transfert de technologie en écologie industrielle au Cégep de Sorel-Tracy et réalisées par le Cégep de Sorel-Tracy;
les entrevues avec Marc Olivier, Dominique Lapalme et Jennifer Pinna; le premier est enseignant et les suivants sont étudiants en environnement, hygiène et sécurité au travail au Cégep de Sorel-Tracy et réalisées dans le cadre de l'émission "Salut, Bonjour" à TVA;
les entrevues avec Nadine Bouchard; Katerine Fortin et Marianne Dupuis; les premières sont techniciennes en hygiène du travail et la troisième est hygiéniste du travail au CISSS de Chaudière-Appalaches et réalisées par le CISSS;
les entrevues avec David J. Hughes, Julien Sablet et Michel Nicholas; le premier est gestionnaire en santé et sécurité sur chantier et les suivants sont représentants en santé et sécurité sur chantier (agents pour NouvLR, la société responsable de l’ingénierie et de la construction du Réseau Express Métropolitain REM et réalisée par NouvLR;
l'entrevue avec Annick Roy; conseillère en santé et sécurité (prévention) sur les chantiers au sein de l'Association de la construction du Québec et réalisée par l'ACQ;