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SECTEUR : BÂTIMENT ET CONSTRUCTION
DIPLÔME D’ÉTUDES PROFESSIONNELLES
D.E.P.
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant que conseiller-vendeur ou conseillère-vendeuse en quincaillerie, tu seras responsable de conseiller la clientèle dans l’achat de matériaux, de pièces et autres produits en quincaillerie répondant le mieux à ses besoins et à ses attentes.
Tu auras pour tâches de :
Accueillir les clients et établir ses besoins et attentes;
Discuter des caractéristiques, de la qualité et de la quantité des marchandises ou des services qu'ils désirent acheter;
Renseigner les clients sur l'utilisation et l'entretien d'outils ou d'équipements, et les conseiller sur les matériaux et les produits selon leurs besoins;
Estimer ou indiquer des prix, préciser des modalités de crédit et d'échange, des garanties et des dates de livraison;
Effectuer des mélanges de peinture selon les spécifications du client;
Recevoir, vérifier, entreposer, étiqueter, préparer les commandes et assurer l’expédition de la marchandise en magasin;
Préparer les contrats de vente et accepter des paiements en espèces, par chèque, par carte de crédit ou par débit automatique;
Tenir à jour des registres des ventes pour l'inventaire;
Utiliser des systèmes informatisés de tenue d'inventaire et de commande de stocks;
Effectuer, au besoin, des transactions par le biais du commerce électronique;
Aider à l'étalage des marchandises.
Tu travailleras généralement sur les
gros chantiers (génie civil, construction commerciale et institutionnelle,
construction industrielle et construction résidentielle lourde.
APTITUDES
ET QUALITÉS REQUISES :
-
Bien connaître ses produits ou services pour bien conseiller ta
clientèle sur les produits et services qui sont offerts
-
Aimer travailler avec le public et facilité à communiquer : tu seras
constamment en contact avec le public
-
Entregent et sens de la persuasion pour réussir à obtenir des résultats
de ventes
-
Bonne condition physique car tu auras à lever
des charges plus ou moins lourdes
-
Connaître l’anglais est nécessaire parfois lorsqu’on a à vendre à toutes
clientèles
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
-
Commis aux matériaux
de construction
-
Commis aux pièces
-
Commis-vendeur(euse) de produits de
quincaillerie
-
Magasinier(ère)
-
Vendeur(euse) de matériaux de construction
-
Vendeur-technicien ou vendeuse-technicienne de matériaux de construction
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
-
Quincailleries
-
Centres de rénovation
-
Commerces de matériaux de construction
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Excellente maîtrise de la langue française
-
Connaissance de l’anglais (bilinguisme parfois exigé)
-
Polyvalence
PLACEMENT :
SALAIRE :
Selon
les données de 2022 :
Le salaire moyen en début de carrière était de :
- 14,25 $/heure (40 hres/sem) dans les quincailleries et centres de rénovation indépendants
- 15,31 $/heure (40 hres/sem) en moyenne dans les quincailleries et centres de rénovation des grandes chaînes
- 25,99 $/heure (40 hres/sem) comme magasinier sur les chantier - classe 2 et augmente à 30,50 $ à classe 2 après expérience sur les chantiers de construction de génie civil
- 26,51 $/heure (40 hres/sem) en moyenne comme magasinier d'atelier au sein des grandes municipalités (100 000 habitants et plus)
- 28,05 $/heure (40 hres/sem) comme magasinier sur les chantiers de construction commerciale, institutionnelle, industrielle
- 29,17 $/heure (40 hres/sem) en moyenne comme magasinier d'atelier au sein des municipalités de taille moyenne (20 000 à 99 999 habitants)
-
Note : baisse importante de la
moyenne salariale en dehors de la construction.
Dans le secteur de la
construction, les augmentations sont établies selon les conventions collectives.
Sources : Ministère de l’Éducation,
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
Ai
De ce nombre, ont peut estimer à plus de 4 200 conseillers((ères) aux ventes et près de 600 gérants(es) et assistants(es) gérants(es) au sein des quincailleries et centres de rénovation sur un total de près de 11 000 travailleuses et travailleurs du secteur.
39 % avaient moins de 25 ans
28 % entre 25 et 44 ans
14 % entre 45 et 54 ans
19 % étaient âgés de 55 ans ou plus
17 % n'avaient aucun diplôme
32 % avaient un diplôme d'études secondaires (tel que le D.E.S.)
18 % détenaient un diplôme de métiers (tel que le D.E.P.)
18 % détenaient un diplôme d'études collégiales (tels que le D.E.C. ou l'A.E.C.)
11 % étaient titulaires d'un diplôme universitaire
De ce nombre, on peut estimer à plus de 800 représentantes et représentants au sein des distributeurs et grossistes en produits de quincaillerie et matériaux de construction dans l'ensemble du Québec en 2022.
5 % avaient moins de 25 ans
45 % entre 25 et 44 ans
27 % entre 45 et 54 ans
23 % étaient âgés de 55 ans ou plus
17 % n'avaient aucun diplôme
32 % avaient un diplôme d'études secondaires (tel que le D.E.S.)
18 % détenaient un diplôme de métiers (tel que le D.E.P.)
18 % détenaient un diplôme d'études collégiales (tels que le D.E.C. ou l'A.E.C.)
11 % étaient titulaires d'un diplôme universitaire
PERSPECTIVES D'AVENIR :
Les détaillants en produits de quincaillerie et de matériaux de construction sont moins touchés par le commerce en ligne que la plupart des autres secteurs du commerce au détail.
Toutefois, ils sont tributaires de la santé économique de l'industrie de la construction puisqu'ils dépendent en bonne partie du roulement de leurs activités.
Avec l'augmentation du nombre de personnes à retraite qui décident d'entreprendre eux-mêmes leurs travaux de rénovation, le marché prévoit une hausse des achats dans le domaine de la rénovation et risque de faire augmenter la besoin de main-d'œuvre.
Donc, les perspectives au cours des prochaines années dans l'industrie du commerce au détail des produits de quincaillerie et de rénovation sont très bonnes.
PORTRAIT DE L'INDUSTRIE DU COMMERCE DE DÉTAIL :
L'industrie québécoise du commerce au détail est le deuxième plus grand employeur privé au Québec (derrière le secteur des services pour le grand public), il un moteur essentiel à la vitalité économique du Québec et ce, malgré les bouleversements et les changements qu'elle subie depuis quelques années.
Par le passé, la croissance continue du revenu des ménages stimulait les dépenses de consommation, ce qui faisait augmenter les effectifs dans le commerce de détail. Aujourd’hui, cette chaîne d’influence positive s’est amenuisée en raison de la faible dynamique de la population québécoise et des marchés qui ont atteint une certaine maturité. Il est désormais impossible pour le commerce de détail de maintenir un rythme de croissance aussi élevé que par le passé puisque la croissance des ventes n’entraîne plus automatiquement celle de l’emploi dans ce secteur d’activités.
L’offre de service est déjà très développée au Québec. Dans certains segments, la capacité d’augmenter les revenus repose désormais sur l’habileté à attirer les dépenses que les consommateurs réalisent ailleurs. Il ne s’agit pas de nouvelles dépenses en biens et services, mais plutôt d’enlever des dépenses à la concurrence. Dans cet environnement, on ne s’étonne pas que la compétition soit très forte. Cette situation est amplifiée d’importants investissements dans le commerce de détail au Québec. Cela entraîne, à tout le moins, un impact positif : les services de publicité profitent de la volonté des entreprises de se démarquer et de rivaliser, et cela se réalise de plus en plus via les médias électroniques et sociaux.
Enfin, le commerce électronique connaît une forte croissance au Québec et touche tous les groupes d’âges. Si près d’un Québécois sur deux est un adepte de cette façon d’acheter, seulement 14,5 % des commerces de détail de la province font des affaires électroniques et peu ont l’intention d’investir dans un proche avenir pour améliorer cette situation. C’est dire qu’une part importante du commerce électronique échappe aux commerces québécois puisque les achats doivent être réalisés par l’intermédiaires de sites internet américains ou d’ailleurs. Le commerce électronique connaît une croissance supérieure au rythme de la vente au détail en ce moment. En n’étant pas en mesure de profiter de cette dynamique, le commerce de détail du Québec perd des parts de marchés au profit d’entreprises localisées hors province.
Certains sous-secteurs du commerce de détail subissent les contrecoups du commerce électronique puisque les consommateurs ont le choix d'acheter par le biais de sites Internet étrangers offrant des prix alléchants plutôt que d'appuyer l'économie d'ici en achetant des produits de détaillants québécois dont les prix sont parfois plus élevés (mais pas toujours le cas en tenant compte de la qualité/prix, des frais de transport et manutention, etc.). C'est le cas des vêtements prêt-à-porter, des accessoires vestimentaires (tels que les bijoux), des jeux et jouets, des appareils électroniques, du matériel informatique, de l'ameublement, des produits pour le bureau et des produits pour la décoration. Malgré cela, plusieurs détaillants québécois sont présents dans le commerce en ligne et font de nombreuses affaires via ce nouveau mode de vente.
Or, d'autres sous-secteurs sont peu touchés par ce nouveau mode d'achat, c'est le cas du commerce d'alimentation, des véhicules automobiles, des véhicules récréatifs et de loisirs, des vêtements hauts de gamme, des articles et équipements de sport, des produits de quincaillerie et de rénovation, ainsi que des produits pharmaceutiques. Bien que les consommateurs magasinent sur le net afin de comparer les prix entre les détaillants, la plupart préfèrent se rendre chez le commerçant choisi afin d'acheter leur bien.
Donc, malgré les fermetures de plusieurs magasins à surface (Zellers, Future Shop, Target, Sears, etc.) depuis quelques années et les nombreuses pertes d'emploi qu'elles ont engendré, l'industrie continue à se maintenir puisque ce sont les PME qui occupent la grande part du marché et qu'une grande partie des emplois perdus sont récupérés par ces dernières.
En effet, de 2012 à 2016, on constate une hausse de 13 % du nombre d'entreprises œuvrant dans le commerce au détail au Québec et un gain de 0,2 % de nouveaux emplois, soit plus de 2 400 travailleuses et travailleurs.
En 2016, on comptait plus de 27 300 entreprises (comptant plus de 56 000 magasins et succursales) dans toutes les régions du Québec ayant généré des revenus de plus de 94 milliards $, soit :
37 % employaient moins de 5 personnes
28 % employaient entre 5 et 9 personnes
17 % employaient entre 10 et 19 personnes
11 % employaient entre 11 et 49 personnes
4 % comptaient entre 50 et 99 employés
2 % avaient entre 100 et 199 employés
seulement 1 % comptaient plus de 200 employés.
En 2016, ces entreprises employaient près de 322 200 travailleuses et travailleurs, soit 8 % de la main-d'œuvre totale du Québec. Parmi ceux-ci :
32 % avaient moins de 25 ans
29 % entre 25 et 34 ans
15 % entre 35 et 44 ans
20 % entre 45 et 54 ans
13 % entre 54 et 65 ans
3 % étaient âgés de plus de 65 ans.
Il faut également préciser que 22 % des travailleurs(euses) du commerce au détail sont des travailleurs indépendants, soit près de 70 900 personnes.
Enfin, il faut ajouter plus de 150 000 emplois indirects que génèrent l'industrie dans le secteur des services notamment (auprès des entreprises de camionnage, firmes de consultants en gestion, des firmes de consultants en TI, des agences de publicité et marketing, les agences de recrutement, les cabinets de comptables, les cabinets d'avocats, etc.).
Plus de 60 % des travailleurs de l'industrie occupaient un emploi dans le domaine des ventes et services (incluant le marketing), 16 % dans le domaine de la administration autre qu'en vente et marketing (comptabilité, finance, gestion ressources humaines, gestion de la chaîne d'approvisionnement), 10 % dans le domaine de la gestion (gestionnaires, cadres de direction, propriétaires-gérants, etc.), alors que 14 % occupaient un emploi dans un autre domaine (ex : manutention, transport, communications, technologies de l'information, etc.).
Bien que l'industrie soit présente dans toutes les régions du Québec, ce sont les régions les plus populeuses qui comptaient le plus grand nombre d'entreprises et d'emplois, soit : Montréal, Montérégie, Québec, Laurentides, Laval Lanaudière et Chaudière-Appalaches.
Par contre, les régions ayant connu la plus forte croissance de l'industrie sont : Laurentides (1 %), Lanaudière (0,7 %), Montérégie (0,4 %), ainsi que Chaudière-Appalaches (0,4 %).
Il existe plus d'une soixantaine de types de commerces au détail répartis dans 10 sous-secteurs différents. Depuis quelques années, les commerces au détail se diversifient dans les types de produits offerts afin de mieux faire face à la concurrence des grandes chaînes et aux changements des habitudes de consommation de la clientèle. Contrairement aux entreprises de la plupart des autres industries, celles du commerce au détail offrent un éventail de produits qui vont au-delà de l'activité principale du commerçant.
Par exemple, le marchand de meubles, vend maintenant des appareils électroniques grand public et des électroménagers ou le quincailler offre également des produits pour le jardinage et la décoration intérieure ou le pharmacien propriétaire offre une variété de marchandises de toutes sortes et l'épicier ne vend plus que des aliments et des articles de cuisine, mais aussi des produits de jardinage, de décoration intérieure, des jeux et jouets, etc. Quant aux librairies, on y vend pas seulement des livres, mais aussi des jeux, des jouets, des passe-temps, etc.
Plus spécifiquement :
Le secteur de la quincaillerie, des produits de rénovation et des produits de jardinage et d'entretien paysager :
Les ventes au détail des produits
de quincaillerie, de rénovation et de jardinage ainsi que des matériaux de
construction au Québec sont estimées à plus de 8 milliards de dollars par
année. Parmi celles-ci, des ventes d’environ 6 milliards de dollars sont
réalisées par les quincailleries et les centres de rénovation.
Au
Québec, les détaillants de produits de quincaillerie, de rénovation et de
jardinage ainsi que de matériaux de construction regroupent 1 696
établissements, dont quelque 800 font partie de grandes chaînes. Le reste
est composé de commerces indépendants de matériaux de construction, de
produits d’aménagement, de rénovation résidentielle ou d’outils. Dans
l’ensemble, ce secteur représente 7 % des établissements commerciaux au
Québec et compte 28 900 employés, ce qui représente près de 10 % des emplois
totaux du
commerce de détail au Québec.
Les détaillants de produits de
jardinage et plusieurs grandes chaînes généralistes dont Walmart, Costco et
Loblaws offrent aussi des produits de quincaillerie, de rénovation et de
jardinage ainsi que des matériaux de construction au Québec. Notamment, plus
de 40 % des ventes de Canadian Tire au Québec correspondent à des produits
de quincaillerie.
Dans ce sous-secteur, on y regroupe également 36
jardineries et centres de jardin et autres commerces de produits
d'aménagement paysager et de jardinage, ainsi que près de 500 fleuristes et
autres magasins de fleurs (dont la moitié environ n'avait aucun employé et
la majorité des autres employaient moins de 5 personnes).
Sources : Conseil québécois du commerce au détail
LE
PROGRAMME D’ÉTUDES :
Note 1 : le D.E.P. en vente de produits de quincaillerie n'existe plus.
Note 2 : Il est également possible d'entreprendre des études dans un programme relié au domaine de la construction (ex : peinture en bâtiment, plâtrage, pose de revêtements souples, carrelage, charpenterie-menuiserie, plomberie-chauffage ou électricité) qui permettent d'accéder à un emploi de commis dans un centre de rénovation.
Le Diplôme d’études professionnelles en vente-conseil D.E.P. a une durée totale de 900 heures, soit 9 mois à temps complet. Il comporte des cours sur les relations professionnelles, le comportement de la clientèle, service à la clientèle, techniques de vente, transactions liées à la vente, organisation du temps, initiation au métier, lois et règlements touchant le domaine de la vente, service après-vente, communication en langue seconde, connaissance des produits et services, gestion des approvisionnements, présentation visuelle, marketing de la vente, ainsi qu'un stage non rémunéré en milieu de travail d'une durée de 4 semaines.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette
formule (voir la section "endroits de
formation" pour une liste complète) :
CFP de Val-d'Or en
Abitibi-Témiscamingue
CFP Pavillon de l'Avenir dans le Bas-St-Laurent
CFP Rimouski-Neigette dans le Bas-St-Laurent
CFP Paul-Rousseau dans
le Centre-du-Québec
CFP Carrefour Formation Mauricie en Mauricie
CFP L'Oasis au Saguenay-Lac-St-Jean
CFP 24-Juin en Estrie
CFP
Gabriel-Rousseau en Chaudière-Appalaches
CFP des Riverains dans
Lanaudière
CFP des Nouvelles-Technologies dans les Laurentides
Centre d'études professionnelles de St-Jérôme dans les Laurentides
CFP Maurice-Barbeau dans la région de Québec
CFP Samuel-de-Champlain
dans la région de Québec
CFP Paul-Émile Dufresne dans la région de
Laval
CFP Compétences de-la-Rive-Sud en Montérégie
CFP de la
Pointe-du-Lac en Montérégie
CFP des Patriotes en Montérégie
École
professionnelle de St-Hyacinthe en Montérégie
CFP Pierre-Dupuy en
Montérégie
CFP Léonard-de-Vinci dans la région de l'Île-de-Montréal
CFP des Carrefours dans la région de l'Île-de-Montréal.
Voici quelques
exemples d'établissements offrant cette formule (voir la section "endroits
de formation" pour une liste complète) :
CFP L'Oasis au
Saguenay-Lac-St-Jean
CFP Gabriel-Rousseau en Chaudière-Appalaches
CFP des Carrefours dans la région de l'Île-de-Montréal
Elle
est offerte au CFP L'Oasis au Saguenay-Lac-St-Jean.
Plusieurs établissements offrent cette
formule, voir la section "endroits de
formation" pour une liste complète.
Cette formule te permettra la
poursuite simultanée d’un programme en formation professionnelle et
d’une formation générale secondaire, soit 3 jours en formation
professionnelle et 2 jours en formation générale à l’école
secondaire ou au centre d’éducation des adultes.
Voici quelques exemples d'établissements offrant cette formule (voir la
section "endroits de formation"
pour une liste complète) :
CFP Gabriel-Rousseau en Chaudière-Appalaches
CFP des Patriotes en
Montérégie
CFP Daniel-Johnson
CFP des Carrefours
Le Diplôme d’études professionnelles en vente-conseil intégré et représentation D.E.P./A.S.P. a une durée totale de 1 350 heures, soit 13 mois à temps complet. En fait le programme d'A.S.P. en représentation est intégré au D.E.P. en vente-conseil contrairement au cheminement régulier qui exige d'avoir complété le D.E.P. en vente-conseil pour être admis au programme d'A.S.P.
Il comporte des cours sur les relations professionnelles, le comportement de la clientèle, service à la clientèle, techniques de vente, transactions liées à la vente, organisation du temps, initiation au métier, lois et règlements touchant le domaine de la vente, service après-vente, communication en langue seconde, connaissance des produits et services, gestion des approvisionnements, présentation visuelle, marketing de la vente, gestion du temps, calculs commerciaux, techniques de représentation, prospection de la clientèle, ainsi qu'un stage non rémunéré en milieu de travail d'une durée de 6 semaines.
Cette formule est offerte dans les établissements suivants :
CFP L'Oasis au Saguenay-Lac-St-Jean
CFP Pozer en Chaudière-Appalaches (Beauce)
CFP Samuel-de-Champlain dans la région de Québec
CFP des Riverains dans Lanaudière
EXIGENCES
D’ADMISSION :
-
Soit détenir le D.E.S.
-
Soit avoir 16 ans réussi les cours de français, anglais et mathématiques
de 4e secondaire ou leurs équivalents
-
Soit avoir 18 ans et posséder des connaissances équivalentes
STASTITIQUES
D’ADMISSION :
Aucun
contingentement à ce programme
ENDROITS
DE FORMATION :
Consulte la page de conseiller en ventes
Consulte aussi la formation de commis en outillage et matériaus de construction offerte par l'École des métiers et occupations de la construction de Québec ÉMOICQ
LIENS RECOMMANDÉS :
regarde la série de vidéos "Boîte à outils pour travailler en quincaillerie" destinés aux personnes désirant faire carrière en quincaillerie et réalisés par l'Association québécois des détaillants en quincaillerie et de matériaux de construction
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