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SECTEUR :
TRANSPORT
Voir aussi la section "liens recommandés" au bas de cette page (dont des vidéos de contrôleurs en circulation maritime qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
Tu auras pour tâches de :
Organiser les horaires et les déplacements et établir les itinéraires et les cédules de travail;
Répartir les chauffeurs (camions de livraison, autobus, taxis, etc.) et surveiller les parcours afin d'assurer le respect des horaires et de résoudre les problèmes opérationnels;
Recueillir toutes les données nécessaires (glaces et autres données météo, accidents et déversements, bouées de circulation défectueux, circulation dense, etc.) et deles transmettre en temps réel aux personnels navigants et de leur trouver un itinéraire alternatif afin d'optimiser la sécurité, la qualité et la rapidité du service de transport de l'entreprise;
Régler et à contrôler les mouvements, de la position, la route, la vitesse et la progression des navires de transport èa l'aide d'un système de positionnement GPS, de systèmes de gestion et répartition du trafic maritime et des informations fournies par la Garde Côtière, Transports Canada et les autres navires;
Tenir à jour un registre sur les renseignements concernant la circulation et les incidents qui sont arrivés et toutes informations pertinentes;
Tenir à jour des registres manuels et informatisés de la distance parcourue, de la consommation de carburant, des réparations et des autres dépenses, et préparer des rapports.
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Intérêt pour le milieu narin
-
Très bonne vision
-
Très bonne ouïe
-
Très bonne diction : pour communiquer clairement
pour tes indications aux navires
-
Facilité à travailler avec les ordinateurs : car ils seront des
principaux outils de travail
-
Sens de l’organisation : pour être en mesure de
planifier et de programmer efficacement les horaires et les mouvements de
circulation
-
Sens des responsabilités car tu seras responsable de fournir
les informations les plus précises et les plus pertinentes nécessaires aux
navires
-
Bon contrôle et très bonne confiance en soi pour
intervenir efficacement dans les situations d’urgences
-
Excellent jugement (sûr et rapide) car tes décisions devront être
même temps : les meilleures, les plus sécuritaires et les plus rapides
-
Esprit d’analyse et synthèse car tu auras à analyser toutes les
situations pour être intervenir s’il y a un problème ou une urgence
-
Capacité à la résolution des problèmes tu auras à résoudre divers
problèmes efficacement et rapidement
-
Autonomie et débrouillardise pour être capable de
prendre des décisions seul(e)
-
Être éveillé à tout changement pour être prêt à intervenir à tout
moment à toute situation
-
Facilité à travailler sous pression et avec le
stress :
tu devras être capable de travailler efficacement même dans ces conditions
-
Facilité au travail en équipe car tu auras à collaborer
constamment avec d’autres collègues (autres contrôleurs, officiers de communication
à bord des navires, des représentants des services d’urgence comme la Garde
Côtière)
-
Très bonne maîtrise de langue anglaise car la plupart des communications
dans l’industrie maritime s’effectuent dans cette langue
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
-
Agent(e) stagiaire
du service des communications et du trafic maritime
-
Contrôleur(e) en
chef de la circulation maritime (après expérience)
-
Officier(ère) du Service des communications et du trafic maritimes (Garde Côtière)
- Opérateur(trice) d'équipement d'information de combat naval (Forces armées) formation offerte par les Forces
-
Spécialiste en communications navales (Forces armées) formation
offerte par les Forces
-
Technicien(ne) des mouvements
(Forces armées) formation offerte par les Forces
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Compagnies de croisières
- Compagnies de transport maritime
-
Forces armées canadiennes (voir
section professions apparentées), voir aussi la
Réserve navale
- Gouvernement du Canada (Pêches et Océans Canada)
- Société des traversiers du Québec
EXIGENCE DE L’EMPLOI :
Tu devras détenir le Certificat général d'opérateur en radiocommunications maritimes émis par Industrie Canada.
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Bilinguisme
obligatoire
-
Emplois sur quarts de travail (jour/soir/nuit)
-
Heures de travail irrégulières
-
Être prêt à travailler n’importe où au pays
-
Travail exigeant et stressant
-
Stage de 26 semaines
au Collège de la Garde Côtière Canadienne pour les postes au sein de la Garde
Côtière
PLACEMENT :
Aucune donnée disponible
SALAIRE :
Selon les données de 2022 :
Le salaire moyen en début de carrière était de :
- 23,68 $/heure (37,5 hres/sem) en tant que stagiaire et augmente à 32,30 $/heure en tant qu'officier(ère) des services de communication et du trafic maritime au sein de la Garde Côtière Canadienne
- 24,79 $/heure (40 hres/sem) au sein des PME
- 26,38 $/heure (40 hres/sem) au sein des gandes entreprises de transport maritime
- 27,58 $/heure (40 hres/sem) en tant que répartiteur(trice) à l'Administration de pilotage de l'Atlantique
- 27,93 $/heure (40 hres/sem) en tant que répartiteur(trice) à l'Administration de pilotage des Laurentides
- 3 168 $/mois (grade de matelot 2e classe) et augmente à 5 323,00 $/mois après 3 ans avec le grade de matelot 1te classe) en tant que spéciaiste en communications navales ou opérateur(trice) des équipements d'information de combat naval dans la Marine royale du Canada au sein des Forces canadiennes (Force régulière)
-
101,96 $/jour avec le grade de matelot 2e
classeet augmente à 162,52 $/jour après 3 ans avec le grade de matelot
1ère classe)
en tant que spéciaiste en communications navales ou opérateur(trice) des équipements d'information de combat
naval
au sein des
Sources :
Ministère de l’Éducation du Québec, Commission de la Fonction publique du Canada, Alliance
de la fonction publique du Canada (section locale Administration de pilotage des
Laurentides) et
Forces canadiennes
Selon Emploi-Québec et le Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie maritime du Québec, il y avait près de 200 de contrôleurs(euses) et régulateurs(trices) de la circulation maritime dans les centres de contrôle situés au Québec en 2022.
La Garde côtière canadienne canadienne compte environ une centaine d'officiers du Service des communications et du trafic maritime au sein de son centre de contrôle du trafic pour la région Centre et Arctique situé à Québec qui est chargé de la surveillance du trafic maritime sur la voie navigable du fleuve Saint-Laurent et de l'Arctique canadien.
La Société des traversiers du Québec compte également une quarantaine de répartitrices et répartiteurs responsables des horaires des traversiers de sa flotte.
Enfin, les entreprises de transport maritime emploient moins d'une vingtaine de répartiteurs(trices).
Profession en majorité masculine, puisque les hommes représentaient plus de 71 % des membres de cette profession.
100
PERSPECTIVES D’AVENIR :
L'industrie du transport maritime a constamment besoin de main-d'œuvre dont des répartiteurs. Bien que la demande soit beaucoup moins forte que pour les officiers de navigation et les officiers mécaniciens, les perspectives d'emploi restent bonnes pour les prochaines années.
Elle envisage également de changer la façon dont elle affecte les équipages aux navires pour éviter l'épuisement et le stress supplémentaires, en particulier lorsqu'il s'agit de déploiements à court terme
Avec sa nouvelle flotte de frégates et de navires de soutien, présentement en eonstruction, lui permettra d'attirer de nouvelles candidates et nouveaux candidats prêts à travailler à bord de navires ultramodernes.
La rémunéraétion moyenne après expérience en 2022 :
le salaire annuel moyen d'un(e) répartiteur(trice) en transport maritime ayant 10 années d'expérience au sein d'une PME était de 54 900 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) officier du Service des communications et du trafic maritime ayant 10 années d'expérience de la Garde Côtière canadienne était de 62 300 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) spécialiste en communications navales ou d'un technicien(ne) des mouvements dans la Marine royale canadienne (grade de matelot-chef) au sein des Forces canadiennes (Force régulère) ayant 10 années d'expérience était de 67 500 $;
le salaire annuel moyen d'un(e) répartiteur(trice) en transport maritime ayant 10 années d'expérience au sein d'une grande entreprise de transport maritime était de 88 200 $.
Annuellemlent, plus de 110 000 croisiéristes voyagent dans les eaux
canadiennes sur le territoire québécois.
34 % au sein des entreprises de services portuaires (telles que les entreprises d'arrimage)
20 % au sein des entreprises de soutien au transport maritime
21 % au sein des entreprises de transport maritime hauturier
11 % au sein des entreprises de transport maritime dans les eaux intérieures
7 % au sein des ports et administrations portuaires
On peut diviser l'industrie québécoise du transport maritime en 4 sous-secteurs, soit :
Transport de marchandises : on
transporte toutes sortes de marchandises telles que : vracs solides
(le charbon, les minerais ferreux et non ferreux, des grains, des animaux,
etc.); vracs liquides (produits pétroliers, gaz naturel liquéfié,
produits chimiques, produits forestiers, produits alimentaires, etc.);
marchandises diverses (véhicules, machines et équipements industriels,
meubles, appareils électromagers, appareils électriques, appareils
électroniques, etc.); colis lourds (aéronefs, bateaux, éoliennes,
grues, structures pour barrages hydroélectriques, plates-formes pétrolières,
etc.).
Partenaire privilégié auprès des entreprises canadiennes en
matière d'exportations, l'industrie canadienne du transport maritime est le
PREMIER mode de transport le plus utilisé pour expédier des
marchandises de toutes sortes à l'étranger.
L'industrie maritime québécoise
figure au 2e rang au pays derrière la
Colombie-Britannique. La plus grande partie de la circulation maritime de
marchandises d'effectue sur le fleuve St-Laurent entre Montréal et Québec par
des entreprises québécoises et canadiennes, mais également par des entreprises
étrangères provenant de nombreux pays.
Elle comprend notamment
26 armateurs du St-Laurent exploitant plus de 70 navires servant de transport
de marchandises à travers le Canada et l'étranger, ainsi que 18 agences
maritimes qui fournissent des services d'expertises de consultation pour les
entreprises maritimes.
En 2014, elles ont transporté plus de 110
millions de tonnes de marchandises de toutes partout au Québec, ailleurs au
Canada et aux USA, mais également dans plusieurs autres régions du monde (dont
80 millions de tonnes en transport international).
Chaque année, on
dénombre près de 11 000 mouvements de navires dans les zones maritimes situées
au Québec.
En 2014, elles ont généré des revenus totalisant plus de 3,2
milliards $, soit 21 % des revenus totaux de l'industrie maritime canadienne.
Elles employaient plus de 3 600 travailleuses et travailleurs québécois
(seulement 36 % sont des postes de personnel navigant, alors que 64 % sont des
postes du personnel non navigant d'entretien et administratif.
Transport de passagers : ce soit
pour te déplacer pour affaires ou visiter la famille ou des amis; te déplacer
chaque jour d'une rive à une autre pour aller travailler ou à l'école; pour
aller visiter des atraits touristiques et admirer les magnifiques paysages (ou
des animaux marins) d'une région; pour te rendre à un site pour pratiquer un
sport ou une autre activité de plein air ou tout simplement pour vivre une
expérience divertissante à bord d'un navire de croisières; le transport
maritime de passagers est un moyen de déplacement fort pratique et apprécié.
Ce sont 25 entreprises de traversiers (dont 12 effectuant des
traversées sur le fleuve St-Laurent et 9 effectuant des traversées sur
des lacs et rivières) qui emploiyaient plus de 840 travailleuses et
travailleurs et ont généré des revenus totalisant plus de 30 millions $
en 2014.
En
2014, il y a eu plus de 282 000 croisiéristes et excursionnistes (c'est plus
de 2,3 fois plus qu'en 2007) ayant généré des revenus de plus 140 millions $
(c'est le double par rapport à 2007), soit le tiers de tous les revenus de
l'industrie canadienne des croisières.
C'est donc, une industrie qui a "le
vent dans les voiles".
Il y avait 38 entreprises de croisières et
excursions, majoritairement sur le St-Laurent, mais également dans d'autres
cours d'eau (tels que : lac Champlain, lac St-Jean, lac Témiscamingue, lac
Témiscouata, lac St-Pierre, Rivière Saguenay, Rivière St-Maurice, Rivière
Richelieu, etc.). Une seule d'entre-elles est considérée comme grande
entreprise employant plus de 500 personnes, 23 emploient moins de 100
personnes (dont 14 employant moins de 5 personnes).
Elles employaient
près de 1 800 personnes en 2013, principalement en période saisonnière (saison
estivale).
Elles détiennent
une flotte de plus de 50 navires faisant escale dans l'un des 10 ports
québécois d'escale de croisières (Montréal, Québec, Trois-Rivières, Saguenay,
Baie-Comeau, Sept-Iles, Havre St-Pierre, Percé, Tadoussac, Sorel-Tracy ainsi
que les Îles-de-la-Madeleine).
Soutien au transport maritime :
comprend les entreprises dont les activités consistent à :
fournir
des services d'intermédiaires en transport maritime (représentation de
sociétés, prise en charge des cargaisons, traitement des affaires avec le
port au nom des armateurs et des affréteurs;
fournir
des services d'arrimage et autres services de manuntention du fret maritime
(cale de navire, chargement et déchargement de navires, manutention de
cargaisons, etc.);
fournir des services de navigation commerciale et de
pilotage (amarrage et désamarrage, contrôle de la circulation commerciale,
remorquage de navires, radiophare, pilotage aux navires, etc.);
fournir
des services de réparation et d'entretien de navires hors des chantiers
navals (désincrustation des navires, réparation et entretien sur quai,
etc.);
fournir des services de logistique des opérations de transport de
marchandises (contrôle et vérification des cargaisons, opérations
douanières, affrètement, etc.).
fournir des services de sauvetage de
navires et de leurs cargaisons (remorquage de secours, sauvetage en cas
de renflouement, renflouement de navires coulés).
Ce sont 126
entreprises de services de soutien aux activités de transport maritime
présentes au Québec ayant généré des revenus de plus de 2,5 milliards $
et qui employaient plus de 6 400 personnes (dont plus de 2 000 au sein
des agences maritimes et 200 au sein des corporations de pilotage).
Services portuaires : Le
secteur maritime en croissance du Canada dépend de ses ports et de ses
installations maritimes qui desservent les opérations de pêche
commerciale, les navires de la marine marchande et les navires de
croisières.
Au Québec; on comptait 25 entreprises de
services portuaires ayant généré des revenus de près de 35 millions $ et
qui employaient plus de 600 personnes.
On compte également près
d’une vingtaine de ports commerciaux dont cinq ont le statut
d’Administration portuaire canadienne (APC) de juridiction fédérale :
Port de
Montréal : 1er
port de conteneurs en importance de l'Est du Canada et sur la Voie
maritime du St-Laurent et second au pays (derrière le Port de
Vancouver), 3e port en importance en termes de tonnage manutentionné
(derrière les ports de Vancouver et de Québec) avec 30 millions de
tonnes de marchandises y sont manutentionnées annuellement, seul port à
conteneurs de la Porte continentale du Canada par où transitent plus de
80 % des échanges commerciaux du Canada, 2 200 navires y accostent
chaque année (dont 40 navires de croisières internationales ayant
accueilli plus de 38 800 passagers), emploie 241 personnes, mais a
génère 18 280 emplois indirects (5 400 liés aux entreprises impliqués en
transport maritime et 12 880 au sein des fournisseurs de toutes sortes).
Port de Québec : 2e
port en importance sur la Voie maritime du St-Laurent et au Québec, 2e
port en importance dans l'ensemble du pays en termes de tonnage
manutentionné (derrière Vancouver) puisque que 33 millions de tonnes de
marchandises y sont manutentionnées annuellement, 1 127 navires de
marchandises et 103 navires de croisières (ayant accueilli plus de 164
000 passagers) en 2012, génère plus de 5 000 emplois (principalement au
sein des entreprises impliquées en transport maritime et auprès des
fournisseurs, dont une centaine au sein de l'administration portuaire
même).
Port de Sept-Îles : 3e
port en importance sur la Voie maritime du St-Laurent et au Québec et
second plus grand port de vrac solide au pays, près de 23 millions de
tonnes de marchandises y sont manutentionnées, mais 27,7 millions en
2013 (principalement des minerais et des marchandises générales, de même
que plus de 400 000 tonnes de produits pétroliers, de nombreux navires
de marchandises y visitent chaque année (provenant de plus de 15 pays
dont la Chine, les Pays-Bas, le Japon, le Brésil, Trinité-et-Tobago,
France et USA) et a accueilli une soixantaine de navires de croisières
transportant plus de 3 300 passagers en 2013. Enfin, plus de 2 500
emplois y sont soutenus, principalement auprès des entreprises maritimes
impliquées dans le transport maritime.
Port de Trois-Rivières
: plus de 2,7 millions tonnes de marchandises (dont 1,4 millions de
tonnes de vrac solide, 300 000 tonnes de vrac liquide et 167 000 tonnes
de marchandises générales) y ont été manutentionnées en 20
Port de Saguenay : plous de 295 000 tonnes de marchandises y sont
manutentionnées annuellement, une vingtaine de navires de croisières
canadiens le visitent annuellement avec une quinzaine de milliers de
passagers et enfin, quelques centaines d'emplois y sont soutenus.
Montréal (33 %), Québec (15 %), Côte-Nord (15 %), Montérégie (10 %),
Bas-St-Laurent (8 %), Gaspésie et Îles-de-la-Madeleine (5 %), Mauricie (4
%).
LE
PROGRAMME D’ÉTUDES :
Le Programme de formation des officiers du Service de communications et du trafic maritime SCTM offert par le Collège de la Garde Côtière Canadienne à Sydney en Nouvelle-Écosse a une durée totale d’environ 9 à 12 mois à temps complet. La formation est répartie 3 phases :
Introduction et orientation des débutants (stage d'observation) au sein de l'un des 22 centres du SCTM d'une durée de 2 semaines
Formation en salle de classe et en salles de simulation au Collège de la Garde Côtière à Sydney N-É (23 semaines) : tu des cours sur l’histoire des communications maritimes, la météorologie de base, théorie et fonctionnement de la radio, l’exploitation des communications maritimes, le système de messagerie et de données, les aides à la navigation, les diffusions maritimes, les plans de navigation, la correspondance publique, les travaux sur la carte et la correction aux cartes et aux publications, les lois et règlements locaux et nationaux sur les radiocommunications, fonctionnement de l’équipement de radiocommunication d’une station, le réseau des services de recherche et sauvetage et de communications, la gestion de l’information, les communication d’urgence maritime, le Système mondial de détresse et de sécurité en mer, simulations de communications régulières, simulation des communications d’urgence, etc.
Formation en cours d'emploi (stage) au sein de l'un des 22 centres du SCTM d'une durée de 3 à 6 mois, selon l'emplacement du centre.
Pour plus de détails, consulte le site du
Collège de la Garde
Côtière Canadienne.
Collège de la Garde
Côtière Canadienne, Sydney (Nouvelle-Écosse);
offert en
français et en anglais;
programme unique au Canada;
Campus
situé dans le
port de Sydney;
L'un des collèges
maritimes les
plus modernes et les mieux équipés au
monde;
Formation
reconnue internationalement;
Formation
rémunérée en cours d'études;
Les
classes sont de petite taille permettant un
enseignement personnalisé un meilleure
encadrement des professeurs,
Comprend de nombreuses
activités parascolaires et professionnelles
(conférences
de professionnels du milieu maritime, visite des centres de contrôle
du trafic maritime de la
Garde Côtière, visites de navires de la Garde Côtière,
visites de chantiers navals, participation
à l'organisation d'activités de la Garde
Côtière canadienne et de la Marine royale canadienne,
participation aux parades communautaires et à des événements caritatifs,
participation à la compétition de voile Terry Evans, un centre d'aide en
langue maternelle, un centre d'aide en langue seconde, une centre d'aide et de dépannage
en mathématiques, un centre d'aide en électricité,
etc.);
Consulte aussi la
page Facebook;
Regarde la
vidéo promotionnelle
(et le
vidéo suivant) du collège;
Regarde la
vidéo promotionnelle
(et le
vidéo suivant) du Programme de formation des
officiers;
Regarde la
vidéo promotionnelle du programme;
Un choix
de plusieurs
activités socioculturelles et sportives
(une salle de musique, un auditorium pour la présentation de
spectacles, une salle des médias dans le Pavillon des Résidences,
fanfare, clubs étudiants, une piscine de 25 mètres, un gymnase double,
un court de squash, des salles de conditionnement physique dotées
d'équipements modernes, des salles d'entraînement pour le yoga et autres
activités connexes, une salle de musculation, un terrain de soccer, un
terrain de baseball, un sentier de randonnée, une patinoire extérieure,
aréna municipale
à proximité et le
Parc provincial de Petersfield situé tout près);
Accès à nombreux
laboratoires et autres installations modernes
dont
: un
amphithéâtre, une salle de conférence, des salles de classe dont
certaines sont équipés d'équipements multimédia, des résidences,
un simulateur de navigation maritime (regarde le
vidéo suivant), un
simulateur d'appareils propulsifs de navires, un simulateur de gestion
des glaces, un pavillon sur front de mer (doté de voiliers,
d'embarcations de sauvetage et de navires à propulsion mécanique)
et la Bibliothèque John Adams, l’une des plus grandes bibliothèques
nautiques au Canada détenant une collection bilingue;
Comprend
2 stages en mer
obligatoires et rémunérés totalisant 15 mois d'expérience en
mer
(au trimestre d'automne et d'hiver de la 2reannée
et au trimestre d'hiver de la 3r
année).
Pour les
Forces canadiennes :
-
Centre de développement de l'instruction (Pacifique) (Centre « Venture »), Victoria
(Colombie-Britannique)
Regarde la
vidéo promotionnelle du métier de communicateur naval;
Regarde aussi la page
sur les
navires-école de la classe Orca (regarde aussi le
vidéo suivant);
Consulte aussi le site de la
Marine Royale
Canadienne (page
Facebook et la
vidéo promotionnelle).
LIENS
RECOMMANDÉS :
l'entrevue (en anglais) avec Lynne Morris (et le vidéo #2); officier du Service des communications et du trafic maritime auCentre des Services de communications et de trafic maritimes Prescott en Ontario de la Garde côtière canadienne et réalisée par la Garde côtière canadienne;
une entrevue avec Bryanna Connel, officier du Service des communications et du trafic maritimes au sein de la Garde Côtière canadienne à la base de Prince-Rupert en BC et réalisée par la Garde Côtière (en anglais);
une entrevue avec Micheal Young, officier de la Sûreté maritime au sein de la Garde Côtière canadienne au Centre des opérations de sûreté maritime - région centre à Niagara-on-the-Lake en Ontario et réalisée par la Garde Côtière (en anglais);
l'entrevue avec matelot de 1re classe Rosalie Houle; spécialiste en communications navales à bord de la frégate NCSM Nanaimo de la Marine Royale Canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
les entrevues avec matelot 1re classe Marc Tremblay et matelot-chef Patrick Huot, le premier est communicateur naval (mainteant appelé "spécialistes en communications navales") à bord de la frégate NCSM Ville de Québec et le second est communicateur naval et instructeur au sein de l'École de la flotte Esquimalt en BC de la Marie royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais) avec matelot 3e classe Amanda Harding; opératrice junior d'équipement d'information de combat naval à bord de la frégate NCSM Winnipeg de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais, sous-titré en français) avec matelot 2e classe Malik Campbell; spécialiste en communications navales à bord du navire de défense côtière NCSM Nanaimo de la Réserve navale et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais) avec matelot de 1re classe Malachi Malabre; spécialiste en communications navales à bord de la frégate NCSM Vancouver de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais) avec matelot de 1re classe Alix Bovair; spécialiste en communications navales à la station terrestre de communications de la base navale d'Esquimalt en BC de la Marine Royale Canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
les entrevues (en anglais) avec matelot de 1re classe Jake Cotter et matelot-chef Kareem Negm; le premier est communicateur naval (mainteant appelé "spécialistes en communications navales") à bord du NCSM Halifax et le second est communicateur naval et instructeur à l'École de la flotte du Pacifique à la base d'Esquimalt en BC dans la Marine royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais, sous-titré en français) avec premier maître de première classe Alena Mondelli; ancienne spécialiste en communications navales et chef instructrice à l'École des communications navales, mainatenant, capitaine d'armes (matelot le plus gradé à bord) de la frégate NCSM Toronto de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue avec matelot-chef Greg Cousineau; opérateur d’équipement d’information de combat à bord du NCSM Fredericton de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
les entrevues avec matelot chef Alexandre Pelletier et matelot 2e classe Michel Torres; le premier est opérateur d'équipement d'information de combat naval et instructeur à l'École de la flotte du Pacifique à la base militaire d'Esquimalt en BC et le second est opérateur d'équipement d'information de combat naval à bord de la frégate NCSM Toronto de la Marine royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais, traduit en français) avec matelot-chef Yevrag Evans; opérateur d'équipement d'information de combat naval à bord du sous-marin de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais) avec maître de 2e classe Nicholas Buckle ;opérateur d'information de combat naval à bord du NCSM Halifax de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
un extrait de l'émission C'est ça la vie ! qui a fait une visite des installations du Centre de contrôle maritime de St-Lambert en Montérégie de la Garde Côtière canadienne et réalisée et produit par la SRC.
Général :
-
Garde Côtière canadienne :
site officiel de cet organisme gouvernemental voué au recherche et sauvetage
-
Marine Canadienne :
site officiel de la marine des Forces canadiennes
-
Marines du
monde : site décrivant les navires de guerre de partout dans le monde
-
Maritime
Museum of Atlantique : site officiel de cet important musée maritime
situé à Halifax (Nouvelle-Écosse)
-
Musée canadien de
la guerre : site officiel de ce
musée situé à Ottawa dont une partie est consacrée à l’histoire de la Marine
militaire canadienne
-
Musée de la mer :
site de ce musée (notamment l’histoire du Empress of Ireland)
-
Musée Maritime du Québec : site
de ce merveilleux musée
-
Musée National de la Marine Française : site officiel de ce grand musée
-
Musée national de la Marine :
site de ce grand musée français
-
Réserve navale du Canada :
site officiel de la réserve de la marine des Forces canadiennes
- Site sur les navires : site d’un amateur de navires
-
Vancouver
maritime museum : site officiel de cet important musée maritime situé
à Victoria (Colombie-Britannique)
-
U.S. Navy : site officiel de la
Marine américaine
-
U.S. Coast Guard : site officiel
de la Garde côtière américaine (en anglais)
Sur les carrières maritimes :
- Comité sectoriel de la main-d’œuvre de l’industrie maritime : portrait de l’industrie maritime au Québec et des carrières reliées
- Les carrières maritimes : site
d’infos sur les différentes possibilités de carrière dans ce secteur
-
Technopole maritime du Québec : site d’infos
sur les carrières dans le domaine maritime et leurs applications
- Marin d’eau douce : site d’officière de marine qui raconte des histoires qui lui sont arrivées dans son travail
- Corporation des pilotes du Bas-St-Laurent : infos sur le pilotage maritime et le métier de pilote de navire
- Corporation des pilotes du St-Laurent central : infos sur le pilotage de navire
- Technopole maritime du Québec : site d’infos sur le monde maritime
Bureaux d’enquêtes sur les accidents maritimes :
- Accident Investigation Board Denmark (Danemark) en anglais
- Accident Investigation Board of Finland (Finlande) en anglais
- Accident Investigation Board Norway (Norvège) en anglais
-
Agenzia Nazionale della Sicurezza del Volo
(Italie)
en
anglais
- Australian Transport Safety Bureau (ATSB)
- Bureau de la sécurité des transports du Canada
- Bureau des enquêtes accidents de mer BEAM
(France)
- China Maritime Safety Administration (en anglais)
- Comisión Permanente de Investigación de Accidentes e Incidentes Marítimos CIAIM (Espagne) en espagnol seulement
- Danish Maritime Accident Investigation Board (Danemark) en anglais
- Dutch Transport Safety Board
(Pays-Bas)
en anglais
- Federal Bureau of Maritime Casualty Investigation (Allemagne) en anglais
- Japan Transportation Safety Board (en anglais)
- Korean Maritime Safety Tribunal (Corée du Sud) en anglais
- Marine Accidents Investigations Branch
(Royaume-Uni)
- National Transportation Safety Board NTSB
(Etats-Unis)