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travaux de génie
NIVEAU D’ÉTUDES : COLLÉGIAL
SCAPHANDRIER(ÈRE) PROFESSIONNEL(LE) ou
PLONGEUR(EUSE) PROFESSIONNEL(LE)
ATTESTATION D’ÉTUDES COLLÉGIALES A.E.C.
Va voir également la section « liens recommandés » à la fin de cette page (dont des vidéos de plongeurs professionnels qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant que scaphandrière-inspectrice ou scaphandrier-inspecteur (aussi appelé "plongeur soudeur ou plongeuse soudeuse"); tu auras pour tâches d'exécuter en immersion, des interventions de construction, d'installation, d'entretien, de décontamination, de démolition ou d'inspection sur des structures ou équipements immergés. Tu seras équipé(e) d’un appareil respiratoire autonome ou non autonome, limité ou non limité.
Tu pourras également réaliser en immersion, des travaux de soudage, d'oxycoupage, de charpenterie, de bétonnage, d'électricité, de plomberie ou de dynamitage sur des structures maritimes telles que : quais de ports ou de marinas, quais flottants industriels, ponts, chenaux empruntés par les navires, réseaux électriques souterrains, etc.
La réussite de l'A.E.C. en plongée professionnelle de l'Institut maritime du Québec ou l'équivalent suivie au Québec est exigée par la Commission de la construction du Québec.
En tant que plongeur(euse) professionnel(le); tu devras exécuter en immersion différentes tâches de nature professionnelle, telles que la prise de photographies sous-marines pour des applications scientifiques, pour un magazine spécialisée ou autres; effectuer la recherche d'épaves pour le compte d'organismes historiques ou d'organismes scientifiques; effectuer des manœuvres de récupération d'objets divers (excluant ceux provenant d'épaves) par exemple sur les abords d'un quai portuaire ou d'un lac privé accueillant des plaisanciers, etc; effectuer l'inventaire sous-marin de la faune aquatique; effectuer la surveillance d'animaux aquatiques et l'entretien de bassins d'eau (dans un aquariuim ou une pisciculture par exemple), etc.
Tu pourrais également être appelé(e) à effectuer des opérations de recherche et sauvetage en eau profonde pour le compte d'organismes privés.
La qualification de plongeur(euse) - niveau 4 (aussi appelé "plongeur 4 étoiles") de la CMAS et parfois, la qualification moniteur(trice) - niveau 1 de la CMAS est exigée.
Pour les plongeurs(euses)-sauveteurs(euses); la qualification moniteur(trice) - niveau 2 + la certification spécialiste en sauvetage de la CMAS sont exigées.
NOTE 1 : Si tu veux devenir scaphandrier(ère)
pour la police, tu devras tout d’abord suivre une
formation policière et ensuite acquérir quelques années
d’expérience au sein d’un corps policier. Ce n’est que par la suite que tu pourras
suivre un programme de formation des policiers-plongeurs offert à l’Institut
maritime du Québec.
La qualification plongeur(euse) - niveau 4 (aussi appelé "plongeur 4 étoiles" de la CMAS est exigée pour devenir assistant(e)-moniteur(trice).
La qualification moniteur(trice) - niveau 1 de la CMAS est exigé(e) afin de devenir moniteur(trice) en plongée.
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Excellente santé
-
Excellente forme et endurance physiques
-
Aptitudes pour les sciences et les techniques
-
Très bonnes habiletés et dextérité manuelles car manipuler efficacement divers
instruments et outils sous l’eau
-
Bonne coordination œil-main
-
Souci du détail, minutie et précision
car tu devras effectuer des travaux avec grande précision et dextérité
-
Bon jugement et bons réflexes pour être capable de
réagir rapidement et efficacement lors de situations d’urgences
-
Sens des responsabilités car tu seras responsable de la
bonne exécution des travaux, de ta sécurité et de celle des collègues plongeurs
-
Facilité à travailler en équipe car tu auras à travailler en
étroite collaboration avec d’autres plongeurs
-
Aimer relever des défis car tu seras appelé(e) à travailler
dans des conditions parfois très difficiles
-
Sens de l’initiative pour être en mesure de prendre
seul(e) et rapidement des décisions lors de problèmes, complications ou
urgences
-
Bonne discipline personnelle car tu devras respecter à la lettre
les règles de conduite, les normes de plongée et les consignes qui t’auront été
données afin d’assurer le bon déroulement des travaux et sécurité de tous les
plongeurs
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Instructeur(trice) en plongée professionnelle
(après expérience)
- Moniteur(trice) en plongée sportive
- Opérateur(trice) de caisson hyperbare
- Photographe sous-marin
- Plongeur(euse) commerciale
- Plongeur(euse) de combat (sapeur de combat) Forces armées
- Plongeur(euse) en haute mer (après
expérience)
- Plongeur-sauveteur ou plongeuse-sauveteure (après expérience)
- Plongeuse-inspectrice ou plongeur-inspecteur
- Plongeuse-ouvrière ou plongeur-ouvrier
- Plongeuse-Sauveteure ou plongeur-sauveteur
- Scaphandrière-soudeur(e) ou scaphandrier-soudeur (après expérience)
- Superviseur(e) de plongeurs (après expérience)
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
-
Centres de plein air et d’interprétation
-
Chantiers maritimes et navals
-
Clubs de plongée
-
Compagnies d’inspections sous-marines (barrages, quais, prises d’eau,
etc)
-
Écoles de plongée sous-marine
-
Entreprises spécialisées en travaux sous-marins
-
Hydro-Québec
-
Hydro-Alcan
- Parcs Canada
- Forces armées canadiennes
CARTE
DE COMPÉTENCE :
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Mobilité géographique
-
Des connaissances approfondies et de l’expérience en plongée sont
nécessaires
-
Horaires de travail irréguliers
-
Travail souvent saisonnier
-
Travail parfois temporaire ou à temps partiel pour les instructeurs de
plongée
-
Travail très exigent et demande à travailler dans des conditions parfois
difficiles
-
Une formation dans un domaine connexe est un atout (ex : soudage,
technologie du génie civil, techniques de loisirs, activité physique,
photographie, etc)
-
Connaissance de l’anglais un atout (pour les moniteurs de plongée)
PLACEMENT :
Selon les données au printemps 2018
Selon l'Institut maritime du Québec, il y a eu 11 diplômés à ce programme.
Le placement est EXCELLENT, 100 % des répondants(es) ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la totalité sont à temps complet.
Par ceux-ci, 9 travaillent sur les chantiers de construction et 2 pour des chantiers navals.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE EMPLOI A TEMPS PLEIN |
NOMBRE |
11 | 9 | 9 | 0 |
Sources
SALAIRE :
Selon
les données de 2022 :
Le salaire moyen en début
de carrière était de :
-
31,00 $/heure en dehors du secteur de la construction
- 36,71 $/heure (37 hres/sem) à Hydro-Québec
- 38,32 $/heure avec la classe 2 (40 à 50 hres/sem) et augmente à 45,08 $/heure avec la classe 1 (après 2 000 heures de travail sur chantier) dans le secteur de la construction de génie civil (infrastructures routières ou infrastructures électriques ou infrastructures maritimes ou portuaires)
- 43,99 $/heure avec la classe 2 (40 à 50 hres/sem) et augmente à 50,75 $/heure avec la classe 1 (après 2 000 heures de travail sur chantier) dans le secteur de la construction de génie civil (infrastructures électriques souterraines ou infrastructures de pipeline pétrolier ou gazier)
PORTRAIT DU MÉTIER :
Selon
De ce nombre, on y comptait seulement 10 % de femmes.
en 2022, on comptait 127 scaphandriers (plongeurs professionnels) actifs sur les chantiers, en 2022, ce qui est légèrement inférieur à la moyenne des cinq dernières années;
L'âge moyen était de 36 ans.
Seulement 19 employeurs, réalisant presque exclusivement des travaux de génie civil et de voirie, embauchent des scaphandriers.
Les entreprises se déplacent beaucoup, de sorte que 65 % des scaphandriers ont rapporté des heures travaillées dans une région autre que celle de leur domicile;
L’industrie a accueilli 9 nouveaux scaphandriers, en 2019, ce qui est semblable à la moyenne des quatre années précédentes (15).
Où retrouvaient-on les scaphandriers en 2022 ?
23 % œuvraient dans la région de Québec
(principalement pour les travaux dans le Port de Québec),
17 %
travaillaient en Montérégie (principalement pour les travaux sur des
ponts et sur la centrale de Beauharnois),
17 % travaillaient sur
l'Île-de-Montréal (surtout pour les travaux sur le pont-tunnel
Louis-H.-Lafontaine),
8 % travaillaient dans la région de la
Baie-James (pour les travaux de construction de la centrale La Romaine),
8 %
travaillaient Saguenay-Lac-St-Jean (notamment sur la centrale
hydroélectrique de Rio Tinto Alcan),
8 % œuvraient dans le Bas-St-Laurent
et la Gaspésie (dont les travaux d'agrandissement du chantier naval
Verreault et sur des ponts),
6 % travaillaient en Mauricie
(principalement dans le Port de Trois-Rivières),
13 % étaient dans
une région.
(Source : Commission de la construction du Québec).
Autres secteurs :
Seulement quelques dizaines de scaphandriers(ères) professionnels sont en activité en dehors de l'industrie de la construction.
On les retrouve au sein des compagnies minières, des alumineries, des chantiers navals, dans les écoles de plongée, au sein des organismes sans but lucratif en recherche & sauvetage, à Hydro-Québec et au sein des Forces canadiennes. Enfin, certains, sont travailleurs(euses) autonomes.
La plupart occupent un emploi saisonnier s'échelonnant de 8 à 9 mois par année.
Le secteur Génie civil et voirie a connu un record d'heures travaillées au cours des dernières années.
Le sous-secteur des routes et des infrastructures s’annonce encore fort occupé pour les prochaines années à court et moyen terme avec de nombreux projets d’importance à venir.
La fin des travaux des grands projets électriques et l'absence de nouveaux projets de centrales électriques amènera un ralentissement dans le sous-secteur des infrastructures électriques et de communications.
Enfin, le secteur de l'éolien, peu de projets sont actuellement annoncées.
En 2022, un(e) plongeur(euse) classe 2 (débutant) gagnait en moyenne 37 300 $ par année.
Plus de 70 % des plongeurs(euses) avaient effectué 500 heures ou plus.
Alors qu'un(e) plongeur(euse) d'expérience détenant la classe 1 gagnait en moyenne 53 600 $ par année.
Les perspectives d’emploi sont excellentes, pour les scaphandriers. La demande de main-d’œuvre est en forte hausse, et il y a un roulement élevé des travailleurs.
(Source : Commission de la construction du Québec).
Autres secteurs :
Dans les autres secteurs, la demande est croissante au sein des compagnies minières.
Les chantiers navals autant ceux au Canada, aux USA ou ailleurs dans monde sont également des employeurs potentiels, ainsi que les administrations portuaires.
Par contre, actuellement l'ensemble des diplômés(es) de ce programme sont embauchés(es) par des entrepreneurs en travaux sous-marins dans l'industrie de la construction.
PORTRAIT DE L'INUSTRIE MARITIME ET NAVALE :
Les chantiers navals canadiens sont des chefs de fi le mondiaux de la construction dernier cri de bateaux de pêche, de remorqueurs, de petits traversiers, de yachts de plaisance et de catamarans. Combinant les techniques anciennes et les plus récentes tendances et technologies, l’industrie canadienne a su développer un solide créneau d'excellence.
En 2013, cette industrie avait un marché de près de 6,5 milliards de dollars (dont 3,9 milliards pour le travaux de réparation, de radoub et d'entretien de navires, 1,5 milliards pour la construction de petits navires, 585 millions pour la construction de grands navires et près de 400 millions $ pour le secteur de la construction d'embarcations de plaisance) au Canada dont la majorité des produits sont exportés partout dans le monde.
Elle comprenait près de 270 entreprises (dont 130 en construction et réparation navale et 140 en fabrication d'embarcations nautiques motorisées) qui emploient un peu plus de 10 000 travailleuses et travailleurs (dont 7 400 en construction navale et près de 2 600 en fabrication d'embarcations nautiques motorisées).
Par ces dernières, il y avait :
16 chantiers navals de construction ou réparation de navires (6 au Québec, 2 en BC, 3 en Nouvelle-Écosse, 2 en Ontario, 1 au Nouveau-Brunswick, 1 à l'I-P-É et 1 à Terre-Neuve-et-Labrador) et + installation de fabrication pour les plates-formes pétrolières et gazières dans l'Atlantique employant près de 3 200 travailleurs;
18 chantiers de réparation navale et de modification ou de transformation de navires qui emploient près de 2 800 travailleuses et travailleurs;
130 manufacturiers de composants, instruments, équipements et pièces pour navires qui emploient près de 1 400 personnes;
22 manufacturiers de bateaux de plaisance et autres embarcations nautiques motorisées qui emploient plus de 600 travailleuses et travailleurs;
ainsi qu'une centaine manufacturiers pièces et composants de bateaux de plaisance et autres embarcations qui emploient près de 2 000 personnes.
Au Québec, on y comptait près de 80 entreprises qui employaient plus de 2 600 travailleuses et travailleurs, principalement concentrées dans les régions de Chaudière-Appalaches, du Bas-St-Laurent, de la Gaspésie, de Charlevoix, du Centre-du-Québec, mais également dans les régions de Québec (réparation navale), Montréal (réparation navale) et Laval (embarcations non motorisées).
En 2015, l'industrie navale québécoise comprenait 6 chantiers de construction et de réparation navale (Davie à Lévis en Chaudière-Appalaches, Verreault à Les Méchins dans le Bas-St-Laurent, Océan l'Île-Aux-Coudres dans Charlevoix, Forillon à Gaspé en Gaspésie, Méridien Maritime à Matane dans le Bas-St-Laurent et Conception navale FMP à Newport en Gaspésie).
Ils ont une expertise reconnue principalement dans la construction de navires de pêche, de remorqueurs, de bateaux-pilotes et de petits traversiers. Mais, les chantiers navals québécois ont aussi construits des brise-glace, navires de défense côtière, des navires de recherche & sauvetage de la Garde Côtière, des frégates de patrouille maritime, des traversiers moyens, des yachts, des navires de recherche scientifique, des dragues, des barges, des quais flottants, des plateformes de forage, etc.
Égaleament, on y comptait également une trentaine de manufacturiers de systèmes, composantes, pièces et accessoires pour navires.
En 2015, elle employait plus de 1 600 travailleuses et travailleurs au sein des chantiers de construction et réparation navale, s'ajoutait 3 petits chantiers de réparation navale qui employaient une centaine de personnes et enfin, plus de 350 travailleuses et travailleurs au sein des fournisseurs.
Pour ce qui est de l'industrie de la fabrication nautique; on y retrouvait 1 manufacturier d'embarcations nautiques motorisées (bateaux de pêche, bateaux pontés et pontons) qui employait plus de 240 travailleuses et travailleurs (Bateaux Princecraft à Princeville dans le Centre-du-Québec);
plus une dizaine de manufacturiers d'embarcations nautiques non motorisées (canots, chaloupes, kayaks, etc.) qui employaient un peu plus de 400 personnes.
Enfin, on y comptait une quarantaine de manufacturiers de pièces et accessoires pour embarcations nautiques motorisées ou non motorisées qui employaient plus de 700 travailleuses et travailleurs.
Sources : Industrie Canada, Comité sectoriel de la main-d'œuvre de l'industrie maritime et National Marine Manufacturers Association of Canada.
LES
PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Voir aussi la section "autres formations"
Le programme d’Attestation d’études collégiales en plongée professionnelle A.E.C. a une durée totale de 1 635 heures (55 semaines) réparties en 3 trimestres offert à temps complet de jour.
Il vise à former des spécialistes dans les
travaux sous-marins et en inspection de structures sous-marines.
Il comporte des cours en techniques de plongée en scaphandre autonome jusqu'à 40 mètres, techniques de plongée en scaphandre non autonome, techniques de plongée en scaphandre non autonome jusqu'à 30 mètres, utilisation de divers types d'outils et équipements sous l'eau, techniques de décompression, santé et sécurité sur les chantiers de construction et hors construction, gréage, fixation et ancrage du matériel et éléments de structures, techniques de découpage et soudage d'éléments de structures, techniques de plongée dans des milieux à risques spécifiques, collecte de données d'inspection des structures, travaux de renflouage et de récupération d'objets immergés, travaux de construction, d'entretien et de réparation en immersion, techniques de plongée en scaphandre non autonome jusqu'à 50 mètres, ainsi que la réalisation d'un stage d'intégration en milieu professionnel d'une durée de 2 semaines.
Le programme d’Attestation d’études collégiales en plongée professionnelle autonome A.E.C. a une durée totale de 420 heures (6 mois) offert à temps partiel de jour/soir.
Il vise à former des spécialistes en plongée autonome dans un cadre professionnel pour les domaines tels que l'archéologie subaquatique, la production photographique, la production cinémtographique, l'aquaculture ou l'inspection environnementale.
Il
comporte des cours théoriques
offerts les soirs et les fins de semaine de semaine pendant 16 semaines
Ainsi qu'une partie pratique à temps complet de jour en présentiel au campus de l'IMQ à Rimouski et dans divers milieux naturels : utilisation pratique des équipements, exercices de plongées autonomes dans différents milieux naturels et différentes conditions, ainsi qu'un stage d'intégration de semaines au sein d'une entreprise spécialisée.
PERFECTIONNEMENT :
Par la
suite, il te sera possible de suivre certains cours de perfectionnement en
plongée comme : certification en soudure sous-marine, plongée avec
alimentation à la surface, perfectionnement en techniques de décompression,
procédures d’urgences et sauvetage, cours spécifiques de perfectionnement en
plongée pour les inspections spécialisées, la recherche scientifique, etc.
EXIGENCES D’ADMISSION :
-
Être âgé d’au moins 18 ans
-
Détenir un D.E.S. ou un D.E.P. ou l’équivalent
- Détenir la certification de plongée récréative de classe A
AUTRES
EXIGENCES À L’ADMISSION :
Détenir un certificat médical pour la plongée
Réussir un test d’aptitudes physiques
Subir une entrevue de sélection, au besoin
STATISTIQUES D’ADMISSION :
Ce programme N'EST
PLUS contingenté
ENDROIT
DE FORMATION
-
Institut maritime du Québec,
Rimouski (voir aussi le site du
Centre de formation en
plongée professionnelle)
offert en
formule hybride
: partie théorique en ligne en temps réel et travaux pratiques et
stage en présentiel (AEC en plongée professionnelle autonome)
accès
à des
installations et équipements ultramodernes
dont : un bassin de 26 m de longueur sur 11 m de largeur et 2,5 m de profondeur
(équipée, entre autres, d’un canot de secours, d’une chaloupe fermée, de
plusieurs types de radeaux), des équipements de survie individuelle comme des
habits d’immersion et des vêtements de flottaison, un simulateur de chaloupe de
sauvetage et une structure de trois étages est disponible pour reproduire
différentes installations que l'on retrouve dans l'industrie pétrochimique, etc
seule
formation au Québec reconnue par la Commission de la construction du Québec CCQ
formation reconnue par le
Conseil de certification des plongeurs du Canada
regarde la
vidéo promotionnelle du programme
AUTRES
FORMATIONS :
Plusieurs écoles de plongée offrent une formation de plongeur(euse) sportif, de moniteur(trice) de plongée PADI ou de scaphandrier(ère) capable d’effectuer certains travaux sous-marins légers.
Par
contre, ces formations ne sont pas reconnues par la Commission de la Construction
du Québec CCQ.
Comment choisir une bonne
école ?
Informe-toi sur la durée des cours (temps complet ou temps partiel, de jour seulement ou les soirs et les weekend, etc.?), leur contenu, le matériel et les locaux utilisés pour l’enseignement (ce métier ne s’apprend pas en 1 mois ... et pas seulement dans les manuels de formation...)
Informe-toi sur les compétences et l’expérience des professeurs (ont-ils une formation dans le domaine ou ils l’ont appris sur le tas, ont-ils plusieurs années d'expérience ?)
Informe-toi sur les prix (ce montant comprend-t-il tous les frais de formation, le matériel et qu’est-ce qui est fourni comme matériel ?)
Demande si tu peux visiter les lieux (une réponse négative !, raccroche !)
Communique avec plusieurs écoles afin de comparer
On ne peut pas exiger que tu paies tous les frais dans 1 seul versement avant le début des cours (réf : Loi sur la Protection du consommateur)
Le fait d'être reconnu par Revenu Canada et Revenu Québec ne signifie pas d'une qualité de l'enseignement, mais seulement que les frais de scolarité sont admissibles comme crédit d'impôt, même chose pour la reconnaissance du Ministère de l'Éducation (cela signifie seulement qu'elle détient un permis l'autorisant à donner des cours, mais la formation n'est pas évaluée par le Ministère)
Tu peux également contacter les associations professionnelles afin qu'elles te fournissent une liste d'écoles accréditées et recommandées
N’oublie
pas que c’est
toujours mieux d’avoir un contrat où toutes les conditions y sont mentionnées
et que tu as compris toutes les conditions qui s’y appliquent
Voici
quelques écoles offrant la formation d’instructeur :
- Club nautique de Percé à Percé en Gaspésie
- Centre de plongée du Bas-Saint-Laurent à Rimouski
- École de plongée Carlos Lopez à Trois-Rivières
- Liberté en Profondeur Canada à Gatineau
- École de plongée sous-marine Soulo à Salabrry-de-Valleyfield
- Plongée Capitale à Québec
- École de plongée de Lanaudière à Lavaltrie
- École de plongée Triton à Laval et Montréal
- Action Scuba à Montréal
- Les Aquanautes de Montréal à Montréal
- Centre de plongée Nepteau à Montréal
- Centre de plongée CPAS à Montréal
l'entrevue avec Aimie Néron; scaphandrière et archéologue subaquatique pour l'Institut de recherche en histoire maritime et archéologue subaquatique IRHMAS à Boucherville et réalisée pa l'Institut maritime du Québec IMQ;
l'entrevue avec Ian Davies; scaphandrier et réalisée par le Conseil provincial du Québec des métiers de la construction;
les entrevues avec Robert Pelletier, Serge Lavoie, Jérôme Contet et Alexis C. Rouillard; le premier et le second sont plongeurs professionnels certifiés DCBC et CCQ et enseignants et le troisième et le quatrième sont étudiants au AEC en plongée professionnelle à l'Institut maritime du Québec et réalisées par l'IMQ;
les entrevues avec Jonathan, Mark et Pauline, l'un est enseignant au Canadian Welding Skills en Ontario et les suivants sont étudiants en soudure sous-marine (en anglais, traduit en français) et réalisées par la Canadian Welding Skills;
les entrevues avec Mario Deraspe et Karl Leblanc; plongeurs commerciaux chez Ultratech Maritime, une entreprise québécoise spécialisée en travaux sousmarins et réalisée par WG Productions;
un documentaire sur la plongée professionnelle au Québec sur le travail des scaphandriers au Québec réalisé et produit par Gaspa Vidéo inc;
l'entrevue (en anglais) avec lieutenant de vaisseau Zack Johnson; officier de plongée au sein de l'Unité de plongée de la flotte Altantique de la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue (en anglais) avec lieutenant de vaisseau Frank Kendra; officier de guerre navale et plongeur de combat lors d'un exercice dans le Nunavut et réalisée par Discovery Canada dans le cadre de l'émission Daily Planet;
les entrevues avec matelot 1re classe Dustin Perry; plongeur-démineur au sein de l'unité de plongée de la Flotte du Pacifique des Forces canadiennes et réalisée par les Forces canadiennes;
l'entrevue avec caporal-chef Marc-André Bastille; plongeur de combat pour la Marine royale canadienne et réalisée par les Forces canadiennes;
les entrevues avec maître de 2e classe Yannick Gagné et matelot de 1re classe Vincent DeLaunière, techniciens de coque (maintenant appelés "techniciens de marine") dans la Marine royale canadienne et réalisées par les Forces canadiennes;
une vidéo présentant les plongeurs de combat et les plongeurs démineurs des Forces canadiennes lors de l'exercice RIMPAC 2016 le plus grand exercice maritime au monde; dirigé par la Marine américaine, il se déroule à Hawaïi aux USA et réalisée par les Forces canadiennes;
un viédo présentant un exercice d'entraînement de plongée sous glace des plongées d'inspection portuaire de la Réserve à West Hawk Lake, au Manitoba et réalisée par les Forces canadiennes;
un reportage sur les étudiants en plongée professionnelle de l'IMQ effectuant un exercice pratique dans un lac en mai 2015, réalisé par Denis Leduc et produit par la SRC.
- Fédération québécoise des activités
subaquatiques
- Aqualog : magazine sur la
plongée
- Carrières scientifiques maritimes :
site d’infos sur les différentes possibilités de carrière dans ce secteur
- Plongée mondiale : site
de création québécoise sur la plongée
- Global scuba : site en
anglais sur la plongée
- Le monde bleu : site
d’infos en français sur la plongée
- NAUI : site de
l’Association national des instructeurs en plongée
- Passion plongée :
site Français sur la plongée
- Plongeur.com : site
d’infos sur la plongée
- Destination plongée :
site d’infos sur les grandes destinations mondiales pour la plongée