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SECTEUR :
TRANSPORT
Voir aussi la section "liens recommandés" au bas de cette page (dont des vidéos de controleurs de la circulation ferroviaire qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant que contrôleur(e) de la circulation ferroviaire (aussi appelé régulateur-trice de trains), tu seras responsable de coordonner de façon efficace et sécuritaire la circulation des trains de passagers de marchandises sur les chemins de fer.
Tu auras à planifier et programmes les acheminements en
établissant les priorités du système d’exploitation ferroviaire; coordonner le
croisement des trains afin d’optimiser le rendement du service, assurer les
communications et les liaisons entre les trains, les gares et le centre des
opérations ferroviaires; recueillir et maintenir toutes les informations
concernant les horaires des trains, la signalisation, les manoeuvres des
trains, les dangers possibles sur la route que prennent les trains (routes,
ponts, etc) et toutes autres informations pertinentes au bon fonctionnement du
service; gérer les équipes de personnel à partir de leur terminal d’affectation
et de leur gare de détachement; résoudre les différents problèmes reliés au
service lorsque nécesaire et prendre les décisions nécessaires lors de
situtations d’urgence.
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Très bonne vision
-
Très bonne ouïe
-
Très bonne diction : pour communiquer clairement
pour tes indications aux mécaniciens de locomotives
-
Facilité à travailler avec les ordinateurs : car ils seront des principaux
outils de travail
-
Sens de l’organisation : pour être en mesure de
planifier et de programmer efficacement les horaires et les mouvements de
circulation
-
Sens des responsabilités car tu seras responsable de fournir
les informations les plus précises et les plus pertinentes
nécessaires aux mécaniciens de locomotives
-
Bon contrôle et très bonne confiance en soi pour
intervenir efficacement dans les situations d’urgences
-
Excellent jugement (sûr et rapide) car tes décisions devront être
même temps : les meilleures, les plus sécuritaires et les plus rapides
-
Esprit d’analyse et synthèse car tu auras à analyser toutes les
situations pour être intervenir s’il y a un problème ou une urgence
-
Capacité à la résolution des problèmes tu auras à résoudre divers problèmes
efficacement et rapidement
-
Autonomie et débrouillardise pour être capable de
prendre des décisions seul(e)
-
Être éveillé à tout changement pour être prêt à intervenir à tout
moment à toute situation
-
Facilité à travailler sous pression et avec le
stress :
tu devras être capable de travailler efficacement même dans ces conditions
-
Facilité au travail en équipe car tu auras à collaborer
constamment avec d’autres collègues (autres contrôleurs, mécaniciens de locomotives,
coordonnateurs de gares, répartiteurs des services d’urgence, etc)
-
Très bonne maîtrise de langue anglaise car la plupart des communications
dans l’industrie ferroviaire s’effectuent dans cette langue
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
-
Contrôleur(e) de la
circulation maritime
-
Contrôleur(e) en
chef de la circulation ferroviaire (après expérience)
-
Contrôleur(e)-expéditeur(trice) de trains (après expérience)
-
Coordonnateur(trice) de la circulation du métro
-
Répartiteur(trice) de la circulation de trains de banlieue
-
Répartiteur(trice) en transport (autre que ferroviaire)
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
Pour une liste
d’entreprises, voir la section liens recommandés à la fin de cette page
-
Compagnies
ferroviaires nationales (autant au Canada qu’aux USA)
-
Compagnies
ferroviaires régionales (autant au Canada qu’aux USA)
-
Sociétés de
transport en commun (métro) (autant au Canada qu’aux USA)
EXIGENCE DE L’EMPLOI :
Un certificat de
contrôleur(euse) de la circulation ferroviaire de niveau A émis par Transports Canada
est obligatoire
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Emplois sur quarts de travail (jour/soir/nuit)
-
Heures de travail irrégulières
-
Être prêt à travailler n’importe où au pays
-
Travail exigeant et stressant
PLACEMENT :
Selon le Southern Alberta
Institute of Technology SAIT, 100 % de
leurs diplômés(es) auraient obtenu un emploi dans les
12 mois suivant leur diplômation.
SALAIRE :
Selon les données de 2022 :
Le salaire moyen en début de carrière était de :
Sources : SAIT, Syndicat national des employés du Port de Montréal, Conférence ferroviaire des Teamsters du Canada section contrôleurs de trafic du CN, Conférence ferroviaire des Teamsters du Canada section contrôleurs de trafic du CP Rail, Conseil des systèmes de communications et des aiguilleurs canadiens, Syndicat du personnel administratif, technique et professionnel du transport en commun de Montréal STM et conventions collectives des employés d'exploitation de plusieurs entreprises ferroviaires régionales.
Selon Emploi-Québec, il y avait près de 200 de contrôleurs(euses) et régulateurs(trices) de la circulation ferroviaire dans les centres de contrôle situés au Québec en 2022.
La Garde côtière canadienne canadienne compte environ une centaine d'officiers du Service des communications et du trafic maritime au sein de son centre de contrôle du trafic pour la région Centre et Arctique situé à Québec qui est chargé de la surveillance du trafic maritime sur la voie navigable du fleuve Saint-Laurent et de l'Arctique canadien.
La Société des traversiers du Québec compte également une quarantaine de répartitrices et répartiteurs responsables des horaires des traversiers de sa flotte.
Enfin, les entreprises de transport maritime emploient moins d'une vingtaine de répartiteurs(trices).
Profession en majorité masculine, puisque les hommes représentaient plus de 71 % des membres de cette profession.
100
compagnies ferroviaires nationales (CN, CP et Via Rail) : 82 %
entreprises de transport ferroviaire régional : 10 %
compagnies minières : 5 %
sociétés de génie conseil : 2 %
manufacturiers de matériel ferroviaire : 1 %
PERSPECTIVES D’AVENIR
En février 2020, les Chemins de fer nationaux du Canada CN annonçait la fermeture de son centre de contrôle ferroviaire de Montréal (qui employait 110 personnes) et celui de Toronto (qui employait une dizaine de personnes) afin de concentrer ses activités de contrôle et régulation de son réseau à son centre de contrôle situé à Edmonton en Alberta.
Cette fermeture a entraîné le transfert de plus de la moitié des contrôleurs(euses) et régulateurs(trices) du trafic ferroviaire que l'on comptait au Québec.
Les compagnies ferroviaires nord-américaines (Mexique, États-Unis et Canada) sont classées en 3 catégories différentes, soit :
Classe 1 : exploitent et utilisant une ligne principale d'un réseau de chemin de fer dans l'ensemble du pays. Ce sont les chemins de fer nationales, c'est-à-dire, qu'elles dessert l'ensemble du pays et parfois même, transfrontalier. Au Canada, seules 3 compagnies sont classées 1, soit : le CN, le CP et Via Rail.
Classe 2 : utilisent une ligne de chemin de fer principale faisant partie d'un réseau ferroviaire, généralement la propriété du CN ou du CP. Ce sont les chemins de fer régionaux deservant toute une région du pays et regroupe la plupart des entreprises de l'industrie. Ce sont les transporteurs de marchandises intervilles dans une ou quelques province(s) et les services de trains de banlieue des grandes agglomérations (Toronto, Montréal, Vancouver, Ottawa et Calgary).
Classe 3 : utilisent une ligne de chemin de fer ne faisant pas partie d'un réseau ferroviaire. Ce sont les chemins de fer industriels propriétées de grandes entreprises (notamment les compagnies minières, les compagnies pétrolières et les compagnies forestières, mais également les autorités portuaires) qui transportent leurs marchandises d'une installation à un autre. On retrouve également les chemins de fer touristiques proposant des visites de sites historiques ou naturels de leur région.
En 2015; cette industrie a eu un chiffre d'affaires estimé à 10,5 milliards de dollars. Le CN compte pour 50 % de ces revenus (elle figure d'ailleurs au 5e rang nord-américain et au 14e rang mondial parmi les plus grandes compagnies ferroviaires au monde), le CP pour 35 % (figure au 6e rang nord-américain et au 23e rang mondial parmi les plus grandes compagnies ferroviaires au monde), Via Rail pour 3 % (bien qu'elle soit très loin derrière l'américaine Amtrak, elle la seconde et l'une des 2 seules compagnies ferroviaires nationales en transport de passagers en Amérique du Nord), alors que les entreprises locales et régionales comblaient les 12 % restants.
Au cours de la même année, il y avait 107 entreprises ferroviaires locales et régionales et employaient plus de 1 400 travailleuses et travailleurs qui s'ajoutaient aux 3 grandes compagnies nationales qui employaient plus de 31 600 personnes (24 920 au CN, 4 000 au CP et 2 730 chez Via Rail) pour un total de près de 33 000 travailleuses et travailleurs liés aux opérations de transport ou d'entretien, ainsi que le soutien administratif et technique.
Parmi ces entreprises, 21 employaient moins de 5 employés, 51 employaient entre 5 et 99 personnes, 22 employaient entre 100 et 499 travailleurs, alors que seulement 10 employaient entre 500 et 1 000 personnes, ainsi que 3 employant plus de 1 000 travailleuses et travailleuses (CN, CP, Via Rail).
L'industrie ferroviaire
québécoise comprend un réseau ferroviaire de
plus de 6 100 km, 16 compagnies ferroviaires (dont le Réseau de transport
métropolitain RTM, la seule entreprise de trains de banlieue au Québec et la
seconde en importance au pays; Chemin de fer Québec-Gatineau (propriétée de
Genese & Wyoming), la plus grande entreprise ferroviaire régionale au Québec
et l'une des plus importantes au pays et bien sûr le CN, CP, Via Rail, ainsi
que les américaines Amtrak et CSX). De plus, le siège social et les
principales installations d'entretien du CN et de Via Rail sont situées à
Montréal.
Elles emploient plus de 6 635 personnes, soit 20 % de la
main-d'œuvre canadienne de l'industrie (3 725 pour le CN, 1 500 pour Via
Rail, 600 pour le CP Rail, 85 pour le RTM et un peu plus de 700 dans les chemins
de fer locaux et régionaux).
On peut diviser l'industrie québécoise du transport ferroviaire en 3 sous-secteurs, soit :
Transport de marchandises : on y
transport notamment : du charbon (12 %), des minerais dont le fer (10 %),
des produits et matériels agricoles dont les grains (10 %), le pétrole et
gaz naturel (9 %), des produits chimiques (7 %), des
produits forestiers (6 %), des produits de papier (5 %), des machineries
lourdes et des véhicules (5 %), des métaux (4 %), des produits manufacturés
(3 %), des produits alimentaires (1 %), alors que le transport intermodal
(utilisation de plusieurs de modes de transport pour des marchandises
diverses) occupe la plus grande part avec 28 %.
En 2015, il y avait
105 entreprises ferroviaires de fret (2 nationales, 35 régionales
utilisant une ligne principale génralement du CN ou du CP et 59
industrielles et autres utilisant une ligne ne faisant pas part) qui ont
transporté plus de 795,3 millions de tonnes métriques de marchandises de
toutes sortes, ce qui représente une baisse de 7,5 % par rapport à 2014,
mais une hausse de 3,1 % par rapport à la moyenne des cinq dernières années.
En 2015, le trafic intermodal total ayant son origine au Canada – ce
qui comprend le trafic par conteneurs et semi-remorques – a augmenté de
4,2 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre un record pour
atteindre 3 millions de conteneurs et 96 000 semi-remorques.
En
2015, le parcours moyen d'un chemin de fer national (CN ou CP) était de
1 517 km, alors qu'un chemin de fer régional ou local était de 140 km.
Les 10 principaux groupes de marchandises transportés par voie
ferroviaire (excluant les marchandises diverses par mode intermodal)
sont :
minéraux (27 %), produits pétroliers et produits chimiques
(18 %), produits agricoles (17 %), charbon (10 %) produits forestiers (7
%), véhicules et machinerie lourde (6 %), métaux (5 %), produits du
papier (4 %), produits manufacturés (4 %) et produits alimentaires (2
%).
Au cours de cette même année, elles ont généré des revenus de plus de 12
milliards $, soit près de 98 % des revenus totaux de l'industrie ferroviaire
canadienne.
Les grandes
entreprises nationales de classe 1, soit le Canadien National CN et
le Canadien Pacifique CP offrent davantage des services entre les différentes
villes canadiennes d'un bout à l'autre du pays et dans certaines grandes
villes du nord-est des États-Unis tant au niveau du transport de marchandises.
Elles ont contribué pour plus de 85 % des revenus de l'industrie, soit 80 %
pour le CN et 35 % pour le CPR.
Les principaux
employeurs sont : Chemin de fer Canadien Pacifique CP Rail et
Canadien
National Railway CN.
Au Québec,
on retrouve 27 entreprises
ferroviaires locales et régionales de transport de marchandises (dont 67 %
employaient moins de 100 personnes) qui
exploitent plus de 38 % du réseau québécois, soit 2 200 kilomètres de voies
ferrées. Ces dernières s'ajoutent aux 2 compagnies nationales (CPRail et CN) qui
exploient 62 % du réseau ferroviaire québécois. Elles ont généré des revenus de
plus de 2,2 milliards $ (incluant les revenus du CN et du CP sur le
territoire québécois).
En 2015, elles ont
transporté plus de 75 millions de tonnes de marchandises (minerais de
fer, agrégats, produits forestiers, produits de pâtes et papiers, pétrole,
produits chimiques, matériel agricole, véhicules, produits de consommation,
etc.) en destination ou en provenance du Québec.
Transport de passagers : que ce
soit pour voyager entre les villes du pays pour le travail, pour visiter la
famille, pour faire du tourisme ou pour toutes autres raisons; que ce soit
pour te déplacer de la banlieue jusqu'au grand centre pour aller au boulot
ou
à l'école ou pour magasiner ou pour obtenir des soins sont dispensés dans ta
région; le transport ferroviaire est peut-être le second mode de transport
le plus utilisé, mais probablement le plus rapide et sûrement le plus
sécuritaire et le mieux apprécié par les voyageurs pour le confort.
En 2015, ce sont plus de 4,17 millions de passagers ont utilisé le train
interville de Via Rail d'un bout à l'autre du pays.
En 2015, il y avait 14 entreprises ferroviaires locales ou régionales en transport de passagers
dans tout le pays
(dont : 2 transporteurs régionaux de passagers, 6 trains
touristiques, ainsi que 6 trains de banlieue) qui ont transporté plus de 77,2 millions
de passagers et ont généré des revenus
totalisant de plus de 360 millions de dollars. Quant au tourisme
ferroviaire, le nombre de voyageurs a dépassé les 350 000 au cours de cette
année.
Via Rail, la seule compagnie ferroviaire nationale en
transport de passagers comptait
à elle seule, plus de 80 % de l'achalandage et 75 % des revenus en transport
ferroviaire de pasagers au pays.
Par contre, ce sont surtout
des usagers du transport régional (trains de banlieue) qui sont les plus grands
utilisateurs avec plus de 90 % des voyageurs, alors que les autres sont
transportés pour des voyages dans les différentes régions du pays par le seul
transporteur national, soit Via Rail Canada avec plus de 3,9 millions de
voyageurs en offrant des liaisons intervilles dans toutes les régions du Canada
en desservant plus de 450 localités d'un océan à l'autre.
Le principal employeur est :
Via Rail Canada
qui opère plus de 500 trains par semaine sur un réseau de 12 500 km afin de
transporter plus de 3,9 millions de passagers annuellement dans plus de 450
localités de tous les coins du pays. Elle emploie plus de 2 550 personnes.
Au
Québec, elles jouent un rôle stratégique important. Il y a
notamment la société Via Rail dont son siège social et son principal atelier
d'entretien de son matériel roulant sont situés à Montréal attire 64 % de sa
clientèle dans le corridor Québec-Ontario, soit près d'1 million de
passagers.
Annuellement, plus de 3,6 millions de passagers (avec une
moyenne de 130 passagers par train) voyagent sur une partie des 1 169 km
de la ligne Québec-Windsor qui relie les villes de Québec et de Windsor
en Ontario et les autres villes situées sur cette ligne (Montréal,
Ottawa, Toronto, Cornwall, Kingston, Niagara Falls, London, Brantford et
Sarnia)
En 2015, l'Agence métropolitaine de transport (maintenant
le Réseau métropolitain de transport RMT) a desservi près de 20 millions
de passagers (soit une moyenne de 79 000 passagers/jour) dans ses 6
lignes trains de banlieue sur le territoire du Grand Montréal.
Soutien au transport ferroviaire :
comprend les entreprises offrant les services tels que : aiguillage de
chemins de fer, chargement et déchargement de wagons de marchandises,
chargement et déchargement de conteneurs, entretien des infrastructures
ferroviaires, maintenance et entretien de locomotives et voitures de chemins
de fer, nettoyage de voitures de trains de passagers, gestion des opérations
de terminus ferroviaires, inspection et vérification des des marchandises, etc.
En 2015, on retrouvait près de 185 entreprises fournissant des services
de soutien aux compagnies ferroviaires canadiennes (majoritairement situées
en Ontario, au Québec et en Alberta) ayant généré des revenus de plus de 805
millions $.
Elles emploient prés de 8 600
travailleuses et travailleurs de différents métiers : préposé(e) à
l'entretien de voitures passagers, arrimeur(euse) de voitures de
marchandises, manutentionnaire, préposé(e) de terminal, préposé(e) à
l'entretien des voies ferrées, conducteur(trice) de matériel de manœuvre de
terminal ferroviaire, aiguilleur(euse), contrôleur(euse) de la circulation
ferroviaire, vérificateur(trice) de cargaisons, mécanicien(ne) de locomotives, mécanicien(ne) de voitures de
trains et autres matériels ferroviaires, autres services de logistique
ferroviaire, etc.
Le principal employeur est :
SGS Canada : filiale
canadienne dont le siège social est situé à Montréal de cette multinationale suisse de logistique du transport
incluant le secteur ferroviaire.
Au
Québec, on retrouvait 40 entreprises fournissant des services
divers de soutien pour les entreprises de transport ferroviaire
(majoritairement des PME employant moins de 100 personnes) ayant généré des
revenus de 76,4 millions $ et employaient
près de 1 300 travailleuses et travailleurs en 2015 (excluant les
manufacturiers de matériel ferroviaire).
Sources : Association des chemins de fer du Canada, Industrie Canada, Transports Canada, Industrie Canada, Statistiques Canada, Via Rail, CP Railway, Canadian National CN et Réseau métropolitain de tranport RMT.
LES
PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Le Programme de certificat SAIT contrôleur de la
circulation ferroviaire a une durée totale de 6
mois à temps complet. Il comporte des cours sur l’histoire de l’industrie
ferroviaire canadienne, infrastructures des chemins de fer au Canada, les
marchés de l’industrie ferroviaire, rôle d’un contrôleur de la circulation
ferroviaire, la vie et le travail au sein de l’industrie ferroviaire, notions
d’informatique, lois et règlements de l’industrie ferroviaire, la planification
des horaires de transport, la planification et programmation des acheminements
selon les priorités, la sécurité et ses exigences dans l’industrie ferroviaire,
techniques de communication radio et terminologie ferroviaire, techniques de
cueillette et maintenance des informations sur les trains et le service,
fonctionnement et utilisation du système radar et du système d’exploitation
ferroviaire, techniques de résolution de problèmes et d’interventions lors de
situations d’urgence, etc.
EXIGENCES
D’ADMISSION :
-
Détenir un D.E.S. ou
une formation équivalente
Note : il faudra prévoir
des frais de scolarité d’environ 9 200 $ plus l’achat de livres et fournitures
(env 700 $) plus d’autres frais (hébergement, repas, etc). Vérifie auprès du
Ministère de l’Éducation, il se peut que tu puisses avoir accès aux prêts et
bourses pour études à l’extérieur du Québec car c’est un programme offert par
un établissement public.
ENDROIT
DE FORMATION :
-
Southern Alberta Institute of Technology (Centre de formation des chemins de
fer canadiens), Calgary (Alberta) formation unique au Canada
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