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travaux de génie
SECTEUR : MINES, PÉTROLE ET TRAVAUX DE CHANTIER
Diplôme d’études professionnelles
D.E.P.
Consulte également la section "liens recommandés" (dont des vidéos de boutefeux et de dynamiteurs qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant que boutefeu-foreur(euse) en construction; tu seras chargé(e) d'exécuter des travaux de sautage ou tout autre travail nécessitant l'utilisation d'explosifs afin de forer des trous de dynamitage dans des carrières ou des mines à ciel ouvert ou des trous de dynamitage pour des puits de fondation sur des chantiers de construction afin de construire des routes, des barrages hydroélectriques, des ponts, des tunnels, etc.
Tu auras pour tâches de :
Interpréter le plan d'arpentage afin de déterminer les emplacements précis des fondations;fs requis;
Mesurer et déterminer les endroits à forer;
Effectuer les différentes manœuvres de forage selon les plans établis par un(e) ingénieur(e) avec différentes types de machines tels que : foreuse manuelle, foreuse pneumatique et foreuse hydraulique;
Établir et déterminer les endroits à dynamiter selon les plans établis par un(e) ingénieur(e);
Raccorder les câbles électriques, d'amorces ou de cordeaux détonants en série et effectuer la connexion de ces derniers à des exploseurs;
Réaliser des essais sur place afin de déterminer le type et la quantité d'explosifs nécessaire;
Charger les explosifs dans les trous de dynamitage et mettre à feu des charge;
Effectuer l'entretien régulier du matériel de dynamitage.
En tant que dynamiteur(euse) dans l'industrie minière; Tu seras chargé(e) de manipuler et de mettre le feu à des charges explosives afin de faciliter l'extraction du minerai ou de la pierre dans une mine souterraine ou une mine à ciel ouvert.
Tu auras pour tâches de :
Lire des instructions ou des schémas, déterminer l'emplacement des trous de mines, ainsi que leur profondeur et diamètre, et effectuer des essais terrain afin de déterminer le type et la quantité d'explosifs requis;
Établir et déterminer les endroits à dynamiter selon les plans établis par un(e) ingénieur(e) minier;
Raccorder les charges avec les détonateurs choisis, les amorces, les fils du détonateur et d'autre matériel, ou indiquer la façon de procéder aux autres travailleurs;
Charger les explosifs à la main dans les trous de mine ou diriger la manoeuvre des camions d'explosifs en vrac afin de charger les trous et mettre à feu les charges afin de déloger le charbon, le minerai ou la pierre;
Joindre des fils électriques, des fils des détonateurs ou des amorces en série et les joindre aux dispositifs de dynamitage, appuyer sur les poignées ou les boutons pour faire exploser les charges;
Assurer la manutention, l'entreposage et le transport des explosifs et des accessoires, conformément aux règlements, et voir à ce que les mesures de sécurité soient observées;
Conduire, au besoin, des foreuses et des perforatrices rotatives ou pneumatiques, des marteaux perforateurs fond-de-trou ou d'autres machines afin de forer des trous de mine, ou diriger le forage des trous de mines;
Effectuer l'entretien régulier du matériel de dynamitage.
En tant que foreur(euse) de fondations profondes; tu seras chargé(e) d'effectuer la pose des fondations profondes (c'est-à-dire, est un ouvrage ponctuel, généralement en béton armé qui permet de transmettre les charges d'une structure, telle qu'un bâtiment, vers le sol) comme les palplanches en acier, les pieux d'étançonnement, des moises, des entretoises, des étrésillons, des pieux de support, des étais temporaires en acier ou en bois de charpente lourdes enfoncées dans le sol.
Tu pourras travailler principalement sur les chantiers de construction commerciale et institutionnelle, mais également sur les chantiers de construction industrielle, certains chantiers de construction résidentielle lourde et certains chantiers de construction de génie civil (infrastructures routières).
Tu auras pour tâches de :
Interpréter le plan d'arpentage afin de déterminer les emplacements précis des fondations;
Localiser les emplacements, sélectionner les matériaux et les équipements nécessaires et vérifier les rapports de fouilles et de localisation des services;
Installer des repères de localisation; les appareils d'enfoncement sur la grue (installation de la jumelle, les câbles, le chapeau de fonçage, le marteau et le vibrofonceur);
Mettre en place des pieux soldats et des étançons pour excavations profondes (déterminer les lieux d'emplacement des pieux soldats, vérification de la verticalité, du déplacement, de la profondeur et du refus de l'enfoncement des pieux soldats, souder et couper les pieux, ainsi que étançonner l'ouvrage des pieux soldats);
Mettre en place les différents types de pieux (méthode d'enfoncement de pieux profilés en H, de pieux tubés, de pieissés, vérifier la verticalité, du dux forés, de pieux à base élargie, de pieux en béton précontraint, de pieux véplacement, de la profondeur et du refus de l'enfoncement des divers pieux);
Mettre en place une paroi moulée (coffrage de murs guidés, vérification du bétonnage des murs guidés, vérification de la benne et du système de rétention, guidage de l'insertion de la benne, vérification de la verticalité de l'insertion, insertion de bentonite dans l'excavation, préparation de l'emboîture, vérification du nettoyage de l'excavation, installation du tube joint ou du joint plat, insertion de la cage d'armature, installation des trémies pour le bétonnage, méthode d'extraction des tubes joints, etc.);
Effectuer l'entretien régulier du matériel de forage.
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Aimer travailler à l’extérieur
-
Très bonne santé
-
Bonne condition physique
-
Bonne coordination oeil-main
-
Très bonnes habiletés et dextérité manuelles car tu auras à exécuter divers travaux manuels et
à opérer différentes machines de forage
-
Minutie, précision et
souci du détail car tu auras à exécuter les travaux avec une grande
minutie et exactitude
-
Très bon sens de l’observation pour être capable de déceler des anomalies, problèmes ou dangers sur les
chantiers
-
Bon jugement pour être en mesure d’identifier les risques de danger afin d’éviter des
accidents
-
Jugement sûr et rapide pour être capable d’intervenir
rapidement et efficacement lors de situations d’urgences sans faire d’erreur
-
Capacité d’analyse et de synthèse car tu auras à analyser et résoudre divers problèmes notamment en ce
qui concerne le dynamitage
-
Sens des responsabilités car tu seras responsable du bon déroulement des travaux et de la
sécurité de tes collègues sur le chantier
-
Grande facilité à travailler en équipe car tu auras à collaborer avec plusieurs spécialistes du domaine
(autres foreurs et dynamiteurs, techniciens miniers, ingénieurs, géologues,
etc)
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Boutefeu
- Foreur(euse) de fondations profondes
- Foreur(euse) de minerai
- Foreur(euse) de puits d’eau
- Foreur(euse) de puits de pétrole ou de gaz
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Carrières (Carrière St-Dominique, Granicor, Graymont, Groupe SGL, Tincal Graphite et Carbone, etc)
- Compagnies minières
- Compagnies pétrolières (Suncor, Hunt Oil, Japan Oil Canada, etc)
- Entreprises de
dynamitage
- Entreprises spécialisées en travaux de génie civil (Kiewit, Amo Électrique, Cégerco, TCI, Telecon, Thiro, Groupe Gilbert, etc)
- Avoir au moins 18 ans lors de l'entrée sur le marché du travail
- Obtenir une Attestation valide en santé et sécurité sur les chantiers de construction de la CSST
- Détenir un certificat de compétence occupation boutefeu-foreur de la Commission de la construction
- Détenir un permis général général d'explosifs émis par la Sûreté du Québec
- Certificat de compétence de la CCQ obligatoire pour travailleurs sur les chantiers de construction
- Horaires de travail peuvent varier parce que certains travaux ne peuvent pas subir d'interruption
EXIGENCE
DES EMPLOYEURS :
- Mobilité dans les régions minières (secteur minier)
- Mobilité un peu partout au Québec (secteur de la construction)
PLACEMENT :
Selon
les données au 1er juin 2019 :
Le placement est bon, 71 % des répondants qui se sont dirigés vers le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
Parmi ces derniers, seulement 2 diplômés(es) ont accédé à l'industrie de la construction.
Quelques autres répondants(es) ont poursuivi leurs études dans un domaine connexe.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE EMPLOI A TEMPS COMPLET |
NOMBRE AUX |
31 | 22 | 21 | 0 |
Note : hausse importante du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 33 % en 2017; 28 % en 2015 et 51 % en 2013).
Source :
Ministère de l’Éducation
SALAIRE :
Selon
les données de 2022 :
Le salaire moyen en début de carrière était de :
- 35,13 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant que dynamiteur ou boutefeu au sein des grandes compagnies minières
- 35,07 $/heure (40 à 50 hres/sem) en tant que boutefeu (lignes) - classe 2 ou foreur et augmente à 41,26 $/hre en tant que compagnon (classe 1) dans le secteur de la construction du génie civil (lignes de distribution ou de transport d'électricité, lignes de communications, postes d'énergie électrique)
- 39,38 $/heure (40 à 50 hres/sem) en moyenne en tant que foreur(euse) au sein des grandes compagnies minières
- 3
Note : Cependant, le salaire annuel moyen pour un boutefeu-foreur dans l'industrie de la construction était de 42 100 $ (légère hausse par rapport aux années précédentes : était de 52 600 $ en 2018; 45 300 $ en 2015 et 47 100 $ en 2013).
Sources : Ministère de l’Éducation du Québec, Commission de la Construction du Québec, Forces canadiennes, conventions collectives des employés de plusieurs grands fabricants de minéraux industriels et conventions collectives des employés de plusieurs grandes compagnies minières.
PORTRAIT DU MÉTIER :
Plus de 84 % œuvraient au sein des compagnies d'exploitation minière dans les mines souterraines ou dans les mines de surface;
plus de 12 % travaillaient pour des entrepreneurs en dynamitage ou des entrepreneurs en travaux de génie civil sur les chantiers de construction;
alors que moins de 4 % travaillaient pour producteurs de minéraux industriels dans les carrières à ciel ouvert, pour des compagnies d'exploitation gazière, pour Hydro-Québec, pour Énergir ou autres milieux.
Plus de 98 % étaient des hommes.
Plus de 98 % occupaient un poste à temps complet.
La répartition selon l'âge était :
10 % avaient moins de 25 ans
56 % avaient entre 25 et 44 ans
18 % étaient âgés entre 45 et 54 ans
15 % étaient âgés de 55 ans ou plus
Il y avait 114 employeurs qui embauchent des boutefeux-foreurs (dont les 5 plus importants réalisent plus de la moitié des travaux)
Ce sont 33 nouveaux apprentis qui sont entrés dans l’industrie.
L'âge moyen d'un(e) apprenti(e) était de 41 ans.
La répartition selon l'âge était :
5 % avaient moins de 25 ans
29 % avaient entre 25 et 34 ans
31 % avaient entre 35 et 44 ans
19 % étaient âgés entre 45 et 54 ans
12 % étaient âgés entre 55 et 64 ans
3 % étaient âgés de 65 ans ou plus
(source : Commission de la construction du Québec)
PERSPECTIVES D’AVENIR :
L’industrie minière connaît actuellement des hauts et des bas dus, en majeure partie, à la baisse de la valeur de certains métaux.
Cependant, ce cycle baissier n’affecte pas l’ensemble des acteurs du secteur minier. Il ne faut pas oublier les projets miniers qui sont sur le point de voir le jour dans un avenir rapproché. Il n’en demeure pas moins que les entreprises du secteur minier québécois font face à des enjeux de taille notamment le vieillissement de sa main-d'œuvre.
Les étudiants(es) obtiennent souvent un emploi avant de terminer leurs études. D'ailleurs, plusieurs entreprises les paient mêmes pendant leur dernière année d'études afin de les fidéliser. De plus, ces entreprises offrent de nombreux avantages et d'excellentes conditions de travail afin d'attirer et de garder leur main-d'œuvre. Par exemple, elles utilisent des services de navette aérienne afin que leurs travailleurs(euses) habitant l'extérieur des régions minières puissent résider dans la région de leur choix tout en pouvant travaillant dans mines en régions éloignées.
Des appartements ou chambres en maisons de chambres payées par l'employeur avec une multitude de services inclus (ex : Internet, câble, interurbains gratuits, salle de conditionnement physique, salles de loisirs, etc.) sont également laissés à la disposition de leurs travailleurs (qu'ils soient simples ouvriers, superviseurs ou ingénieurs).
On leur offre des horaires organisées en 7 jours de travail + 7 jours de congé OU 14 jours de travail + 14 jours de congé permettant aux travailleurs d'accorder davantage de temps à leur famille et à leurs loisirs. Enfin, l'industrie minière est l'une des industries offrant la rémunération et les avantages sociaux (assurance collective, régime de retraite, etc) les plus avantageux et parmi les meilleurs.
Source : Comité sectoriel de la main-d'œuvre des mines du Québec
Plus de 67 % des boutefeux-foreurs travaillent plus de 500 heures annuellement (soit en moyenne : 1 000 à 1 600 heures);
Et gagnaient un salaire annuel moyen de 66 000 $.
Toutefois, il faut préciser que près de 25 % ne réussissent pas accumuler plus de 600 heures, soit un salaire d'au plus 20 000 $.
L’emploi est en légère hausse, et il y a un vieillissement notable des travailleurs exerçant cette occupation, (soit 34 % qui sont âgés de 45 ans et plus), ce qui permet de prévoir des besoins de relève.
Où retrouvaient-on les boutefeux-foreurs ?
Plus de 86 % étaient sur les chantiers de construction de génie civil (principalement la construction ou l'agrandissement d'autoroutes et la construction d'infrastructures d'éoliennes);
Près de 8 % étaient sur les chantiers de construction commerciale et institutionnelle (notamment pour les grands complexes à bureaux et les méga hôpitaux);
Alors que moins de 5 % sur les chantiers de construction résidentielle (notamment pour les grands immeubles à condominiums ;
et moins de 2 % étaient sur les chantiers de construction industrielle (principalement pour les infrastructures minières).
Les boutefeux-foreurs sont parmi les travailleurs les plus mobiles de la construction; environ la moitié des salariés (45 % chez les boutefeux et 53 % chez les foreurs) travaillent à l’extérieur de la région où ils habitent.
La répartition selon la région de travail était :
21 % œuvraient dans la région de la Capitale Nationale,
19 %
travaillaient dans les régions de Laval et Laurentides,
13 % étaient en
Montérégie,
12 % travaillaient en Estrie,
9 %
travaillaient au Saguenay-Lac-St-Jean,
6 % travaillaient dans le Bas-St-Laurent,
5 % étaient en Côte-Nord,
5 % travaillaient en Mauricie,
4 % œuvraient
en Abitibi-Témiscamingue;
6 % étaient dans les autres
régions (très peu dans le Grand Nord).
(source : Commission de la construction du Québec)
LE
PROGRAMME D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études professionnelles en forage et dynamitage D.E.P. a une durée totale de 900 heures, c’est-à-dire 6 mois offert à temps complet seulement. Il comporte des cours d'introduction au métier et à l'industrie et organismes de la construction, santé et sécurité sur les chantiers de construction, notions sur les explosifs, interprétation de plans et établissement de patrons de forage, établissement de plans de tir et application des mesures environnementales, notions d'électricité appliquées au dynamitage, organisation du chantier, manœuvre d'une foreuse manuelle, techniques de forage de patrons simple, exercices de sautage, manœuvre d'une foreuse pneumatique, techniques de forage de tranchées, techniques de sautages avec obstacles, manœuvre d'une foreuse hydraulique, techniques de forage de travaux complexes, techniques de forage pour cisaillement, notions de géologie et minéralurgie, ainsi qu'un stage de 2 semaines au sein d'une compagnie minière.
Note : Puisque ce métier nécessite une période d'apprentissage sur des chantiers (apprenti), il ne comporte pas de stage dans le secteur de la construction.
EXIGENCE
D’ADMISSION :
-
Soit détenir le D.E.S.
AUTRES EXIGENCES
D’ADMISSION :
- Être âgé d'au moins 18 ans au début de la formation (tous les centres)
- Détenir le permis général d'explosifs émis par la S.Q. (tous les centres)
- Subir un test de sélection en habiletés manuelles et une entrevue obligatoire (tous les centres)
STATISTIQUES D’ADMISSION :
Aucun contingentement à ce
programme
Les candidats(es) répondant aux conditions d'admission et à toutes les autres exigences sont généralement admis.
ENDROITS
DE FORMATION :
-
Centre de formation professionnelle de la Baie-James, Chibougamau (C.S.S. de la
Baie-James, régi
obtention d'une
bourse
d'études
de
3 000 $
remise (à la fin de la diplomation) à
TOUS les étudiants(es) québécois admis pour la première fois en formation
professionnelle dans un programme de D.E.P. offert par le centre;
admissions
à temps complet
(partie
théorique offerte de jour et partie pratique offerte de jour et de soir sur
différents sites miniers) à
l'automne et à l'hiver.
-
Centre de formation
professionnelle de Sept-Îles, site de Forestville (C.S.S. du Fer, région de la
Côte-Nord)
offert en
formation intensive (4
premieres semaines : 35 heures/sem sur 5 jours et le reste de la formation
se donnera sur un horaire de 7 jours de formation suivi de 7 jours d’arrêt),
offert en
alternance travail-études,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet de jour au printemps.
-
Centre de formation
professionnelle de Val-d'Or, Val-d'Or (C.S.S. de l'Or-et-des-Bois, région
de l'Abitibi-Témiscamingue)
offert en
alternance travail-études,
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet
-
Centre de formation professionnelle 24 juin,
site de Ayer's Cliff et/ou dans le canton d'Hatley dans la MRC du
Memphrémagog (C.S.S. Région-de-Sherbrooke, région de l'Estrie)
regarde la
vidéo
promotionnelle du programme,
admissions
à temps complet
l'entrevue avec Danick Langlois; boutefeu-foreur pour un entrepreneur en forage et dynamique et réalisée par le Conseil provincial du Québec des métiers de la construction;
l'entervue avec Joey Gosselin; foreur chez Forages Rouillier à la mine Goldex de Agnico-Eagle en Abitibi-Témiscamingue et réalisée par le CSMO Mines;
l'entrevue avec Éric Veilleux; opérateur de foreuse à la mine Canadian Malartic des Mines Agnico-Eagle en Abitibi-Témiscamingue et réalisée par le Comité sectoriel de la main-d'oeuvre des mines du Québec;
l'entrevue avec caporal Jonathan Oligny; sapeur de combat au 2e régiment de génie de combat de l'Armée de terre canadienne à la base militaire de Petawawa en Ontario et réalisée par les Forces canadiennes.
- Comité sectoriel de la main-d'oeuvre des mines du Québec : portrait de l'industrie minière et perspectives pour les foreurs et dynamiteurs
- Conseil canadien d’adaptation et de formation de l’industrie minière : portrait de l'industrie minière canadienne
- Commission de la construction du Québec : portrait de l'industrie de la construction et infos et perspectives pour le métier de boutefeu