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communications graphiques
DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.
OU
BACCALAURÉAT SPÉCIALISÉ B.A.
Consulte également la section "liens recommandés" (dont des vidéos de spécialistes en animation 3D qui parlent de leur travail).
TÂCHES
ET RESPONSABILITÉS :
En tant qu’animatrice ou animateur en 3D; tu seras responsable de créer, de monter et réaliser différents types d’animation comme des personnages, des décors et images en mouvement et en 3 dimensions avec l’aide de logiciels spécialisés en animation 3D et en synthèse d’images. Tu réaliseras des effets spéciaux pour le cinéma, la télévision, la production audiovisuelle (vidéoclips, publicités, vidéos éducatifs, etc.), des films d’animation, des jeux vidéo, des logiciels éducatifs de simulation 3D, des applications médicales ou scientifiques, des sites Internet, des spectacles multimédia ou en simulation de production en industrie.
Gérer le processus de création du contenu et de l'interactivité;
Définir et établir les spécifications des attentes et exigences du client (par exemple, dans le cadre d'un spectacle multimédia ou du jeu vidéo);
Discuter du déroulement du tournage de la production multimédia ou du jeu vidéo, en collaboration avec l'équipe de réalisation et de production;
Interpréter le scénario et diriger la mise en scène;
Sélectionner et diriger les acteurs et les figurants et l'équipe technique;
Expliquer l'interprétation du texte et l'exécution à toute l'équipe;
Planifier, organiser et superviser tous les aspects artistiques du tournage (mouvements et répliques des comédiens ou des animateurs, décors et costumes, coiffure et maquillage);
Planifier, organiser et superviser tous les aspects techniques du tournage. (régie, caméra, son, éclairage, montage, etc.);
Planifier, organiser et superviser tous les aspects organisationnels (recherche, élaboration du contenu ou adaptation du scénario, personnel affecté à la production, etc.);
Diriger les répétitions, les tournages, les enregistrements et les représentations;
Participer au montage des scènes de tournage afin de sélectionner celles qui seront choisies pour la diffusion;
Conférer avec l'équipe et les spécialistes pendant et après la production, afin d'obtenir l'effet recherché;
QUALITÉS
ET APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Aimer travailler avec les nouvelles
technologies
-
Bonne perception visuelle et des couleurs
-
Créativité et imagination pour réaliser des
projets originaux et avant-gardistes
-
Capacité d’analyse, raisonnement logique et bonne
capacité à la résolution de problèmes pour bien analyser les détails
d’animation et résoudre les problèmes lors de la réalisation
-
Sens très développé de l’esthétique pour réaliser des animations
attrayantes pour la clientèle du produit
-
Souci du détail, minutie et précision
car tu auras à réaliser des animations de façon précise et détaillée
-
Autonomie et sens de l’initiative car tu devras
travailler seul(e) de longues heures devant un ordinateur
- Sens de l’organisation pour planifier et organiser tes
recherches documentaires et pour planifier ton travail afin de respecter les
échéanciers des projets
- Dynamisme et persévérance pour pouvoir aller
jusqu’au bout des projets même si tu rencontres de nombreux problèmes
- Facilité à travailler en équipe car tu auras aussi à collaborer
avec d’autres collègues pour la réalisation des projets (programmeurs, graphistes,
conseillers en marketing, analystes en informatique, ingénieurs, dessinateurs
d’animation, spécialistes en effets du cinéma, producteurs cinéma ou télé, etc.)
- Bonne résistance au stress car tu seras souvent sous pression
surtout en fin de projet pour respecter les échéanciers
-
Facilité d’adaptation aux changements
technologiques
pour être capable d’utiliser les logiciels et équipements qui sont à la fin
pointe de la technologie
-
Bonne maîtrise de la langue anglaise car les logiciels pour programmer
et la documentation sont en anglais et souvent c’est toi qui doit rédiger la
documentation qui accompagne les logiciels
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
- Animateur(trice) multimédia 3D
- Animateur(trice) sénior
- Assistant(e) producteur(trice) de films d'animation 3D
- Assistant(e) réalisateur(trice) d'effets spéciaux
- Assistant(e) réalisateur(trice) de films d'animation 3D
- Artiste 3D
- Coloriste
- Concepteur(trice) d'images
- Concepteur(trice) de sites web
- Concepteur(trice) visuel en multimédia
- Créateur(trice) graphique
- Designer de jeux
- Designer multimédia
- Directeur(trice) artistique (avec expérience)
- Directeur(trice) artistique adjoint(e) (avec expérience)
- Illustrateur(trice) 3D
- Illustrateur (trice) 3D sénior
- Ingénieur(e) 3D (production télévisuel)
- Intégrateur(trice)
- Modélisateur(trice)
- Producteur(trice) de films d'animation 3D
- Réalisateur(trice) d'effets spéciaux
- Réalisateur(trice) de films d’animation 3D
- Spécialiste de structure (rigger)
- Spécialiste en effets spéciaux
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
- Certaines grandes industries (aérospatiales, biomédicales, etc.)
- Agences de publicité
- Certaines grandes firmes d'architectes
- Certaines grandes sociétés d'ingénieurs
- Entreprises de conception de jeux
- Entreprises de logiciels
- Entreprises de multimédia
- Entreprises de postproduction
- Entreprises de production audiovisuelle et télévisuelle
- Entreprises de production cinématographique
- Stations de télévision
- Studios d’animation par ordinateur
EXIGENCES
DES EMPLOYEURS :
-
Bon porte folio
-
Très bonne connaissance de l’informatique (logiciels spécialisés
utilisés en animation 3D)
-
Polyvalence
-
Bonne connaissance de l’anglais (bilinguisme souvent exigé)
-
Facilité d’adaptation aux changements technologiques
PLACEMENT :
Selon
les données disponibles au 31 mars 2021 :
Plus du tiers des répondants(es), soit 23 % ont choisi de poursuivre leurs études à l'université en animation et design numérique ou en création 3D ou en art et science de l'animation.
Aucun(e) répondant(e) ne travaille à son propre compte.
Parmi les répondants(es) qui se sont dirigés vers le marché du travail, le placement est faible, seulement 43 % d'entre-eux ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
136 | 45 | 44 | 31 |
Note 1 : baisse assez importante du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 68 % en 2018; 42 % en 2016; 53 % en 2014; 47 % en 2013 et 46 % en 2012).
Note 2 : légère baisse du nombre de répondants(es) poursuivant des études universitaires en animation ou en design 3D (était de 35 % en 2018; 35 % en 2016 et 40 % en 2014).
Selon les données disponibles au 31 janvier 2021 :
Note : ces données concernent l'ensemble des baccalauréats en communications graphiques (design graphique, animation 3D et design numérique, création multimédia, arts numériques, etc.).
Le placement est bon,
68 % des répondants(es) ont obtenu un emploi
relié à leurs études dont la presque totalité sont à temps complet.
Quelques autres répondants(es), soit 10 % ont choisi de poursuivre leurs études au niveau de la maîtrise en arts visuels ou en design multimédia.
Note : un grand nombre des emplois sont à contrat
Note : un grand nombre des emplois sont à contrat
NOMBRE DE
RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
219 | 133 | 112 | 22 |
Note : légère baisse du taux de placement par rapport aux années précédentes (était de 75 % en 2019; 73 % en 2017; 60 % en 2015 et 69 % en 2013).
Source : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec
Source : Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec
SALAIRE :
Selon les données de 2022 :
Le salaire
moyen en début de carrière était de
Note : hausse de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux années précécdentes (était de 18,63 $ en 2019; 17,73 $ en 2018; 16,41 $ en 2016; 15,35 $ en 2013; 14,53 $ en 2014 et 12,85 $ en 2012).
Sources : Ministère de l'Enseignement supérieur du Québec, Enquête de rémunération Techno-Compétences 2018, Montréal International, AQTIS, Cégep de Limoilou et conventions collectives des employés de plusieurs grands télédiffuseurs privés.
PORTRAIT DE LA PROFESSION :
M
La répartition des membres de la profession selon l'age était :
7 % avaient moins de 25 ans
68 % entre 25 et 44 ans
18 % entre 45 et 54 ans
7 % étaient agés de 55 ans ou plus
La répartition régionale des emplois était :
12 %
PERSPECTIVES D’AVENIR :
Le secteur regroupe plus de trois milliards d’amateurs à travers le monde. Alors que le tiers des studios canadiens sont situés au Québec, la valeur del’industrie québécoise du jeu vidéo a franchi le cap du milliard $ en 2019.
Le Québec constitue l’un des trois principaux marchés mondiaux en matière de production de jeux vidéo.
Le milieu québécois du jeu vidéo se porte fort bien. À l’échelle nationale, le Québec constitue d’ailleurs le moteur principal de l’industrie au Canada, représentant presque un emploi sur deux (46 %) parmi les 27 000 au pays.
En tant que plaque tournante du secteur, Montréal intéresse les plus grandes entreprises, habitée des bureaux Ubisoft, Warner Bros. Games et Behavious Interactif, avec pas moins de 14 000 professionnels répartis dans 280 studios à travers la province, selon la Guilde du jeu vidéo du Québec.
L’effet de vague provoqué par l’implantation de grands noms en sol québécois a à son tour entraîné la naissance de plusieurs dizaines de studios indépendants, aujourd’hui bien établis. Résultat, on en compte actuellement près de 200.
La pandémie a propulsé l’industrie du jeu vidéo, faisant de la période de 2020 à 2022 sa plus prolifique de l’histoire.
Mais dans un contexte où cette croissance est freinée par l’après-confinement et la pénurie de main-d’œuvre, les défis d’innovation et de pérennité demeurent, tant pour les géants que pour les PME et studios indépendants.
L’un des enjeux d’avenir pour les studios indépendants consistera par ailleurs à développer et à attirer une expertise en commercialisation et en distribution afin de compléter la chaîne de valeurs présente ici.
Enfin, la pénurie de main-d’œuvre dans l’industrie constitue un autre enjeu, rappelle Nadine Gelly. « Près de 2 000 emplois seront créés dans les deux prochaines années, dont plusieurs postes d’expérience.
Selon l'Enquête de rémunération 2018 réalisée par Techno-Compétences, le comité sectoriel de la main-d'œuvre en technologies de l'information, voici un petit tableau des rémunérations annuelles moyennes des spécialistes pleinement qualifié (niveau sénior) détenant une moyenne de 10 années d'expérience :
Intégrateur(trice) : 45 300 $
Animateur(trice) 2D/3D : 56 600 $
Concepteur(trice) ou développeur(euse) de jeux : 60 400 $
Artiste 3D : 61 300 $
Développeur(euse) de niveaux : 68 800 $
Artiste en intelligence artificielle : 69 400 $
Desginer narratif ou scénariste en jeu vidéo : 70 000 $
Directeur(trice) artistique : 72 500 $
Artiste en gameplay : 77 300 $
BREF PORTRAIT DE L'INDUSTRIE :
Le Canada est devenu depuis quelques années l'un des grands noms de l'industrie internationale du multimédia. Il se classe au 5e rang mondial (derrière le Japon, les États-Unis, la France et la Corée du Sud); l'industrie canadienne du multimédia, de l'Internet et du jeu vidéo est réputée mondialement pour ses productions multimédia, la qualité de ses formations et de son personnel qualifié.
En fait, il regroupe plus de 20 % de toutes les entreprises et tous les emplois de l'industrie mondiale du multimédia, principalement dans le domaine du jeu interactif.
Au sein de l'industrie québécoise du multimédia, de l'Internet et du jeu vidéo a généré des revenus de plus de 2,1 milliards $ en 2016 dont 40 % proviennent des exportations.
En 2016, on y retrouvait plus de 650 entreprises (entreprises de jeux vidéo, entreprises de multimédia, entreprises de logiciels, entreprises de services et solutions Internet) ayant généré des revenus de plus de 1,2 milliards $ et qui employaient plus de 26 700 travailleuses et travailleurs principalement concentrées à Montréal et Québec. Plus de 90 % des entreprises étaient des PME dont 66 % employaient moins de 50 personnes.
Bien que plus de 75 % des entreprises de l'industrie sont situées dans la région montréalaise, dans la région de Québec, on y retrouve 75 entreprises qui emploient plus de 1 350 personnes, une vingtaine d'entreprises en Estrie, une vingtaine en Mauricie, une dizaine en Montérégie, une dizaine dans les Laurentides, moins d'une dizaine en Outaouais et quelques-unes dans le Bas-St-Laurent (Matane).
De plus, il faut ajouter environ 130 entreprises de production cinéma et télé, les 6 principales chaînes de télévision et les compagnies de télécommunications emploient également des spécialistes du multimédia et technologies Web.
Elle est classée en 3 secteurs, soit :
Jeu interactif : conçoit,
développe et commercialise des jeux pour applications mobiles, pour
applications en ligne, pour consoles, pour ordinateurs, pour les salons de jeux
et pour les casinos; ainsi que des services aux développeurs (service à la
clientèle, support technique, assurance qualité et test, etc.).
En
2016, on retrouvait 230 entreprises de développement, studios de jeux et
laboratoires de test et assurance-qualité de jeux ayant généré des revenus
de plus de 500 millions $ avec près de 1 000 projets, soit le tiers des
revenus totaux de l'industrie au pays. qui employaient plus de 9 970
personnes (dont 7 500 chez les 15 plus importants employeurs), soit 40 % de
l'industrie.
Parmi ces emplois, plus de 8 700 d'entre-eux occupaient
une fonction de développeur de jeux, soit plus de la moitié de tous les
développeurs au pays.
Divertissement interactif et arts numériques (autre que
le jeu vidéo) : conçoit, réalise et produit des scénographies pour des
spectacles multimédias (cirque, théâtre, danse, lancements, promotions,
etc.), des films d'animation, des effets spéciaux multimédias des
courts-métrages ou des émissions de télévision, etc.
En 2016, il
regroupsait une centaine d'entreprise (dont 92 % étaient des PME) qui ont
généré des revenus de plus de 180 millions $ (mais seulement 29 %
proviennent des PME) et employaient plus de 3 500 personnes, en plus de
milliers de techniciens et artisans indépendants et d'artistes indépendants
ayant eu des contrats avec des producteurs multimédias.
Technologies Web : conçoit et
développe des applications en ligne tels que applications de commerce
électronique, galeries multimédias pour des sites Web (ex : musées, sites de
vulgarisation scientifique, portails d'information, Webtélé, banques de
données multimédias, etc.).
En 2016, on y comptait plus de 320
entreprises ayant généré des revenus de près de 600 millions $ et
employaient plus de 13 200 personnes, soit 45 % de l'industrie. Plus de 90 %
des entreprises étaient des PME.
Plus spécifiquement, l'industrie québécoise du jeu vidéo est l'un des plus grands marchés du jeu vidéo au monde pouvant se comparer aux grandes capitales de l'industrie telles que la région de San Francisco aux USA et la région du Kansai au Japon. Le marché québécois de cette industrie est estimé à plus de 740 millions $ principalement destiné au marché international (USA, Chine, Japon, Allemagne, France, UK, etc.).
En 2016, elle a généré des revenus de plus de 500 millions $ avec près de 1 000 projets, soit le tiers des revenus totaux de l'industrie au pays.
Le nombre d’entreprises a pratiquement doublé depuis 2012, passant d’une centaine à plus de 230. En fait, 88 % des entreprises dans le créneau du développement (conception, développement et mise en œuvre de jeux), alors que seulement 12 % dans le créneau des services (support technique, test et assurance-qualité, etc.). Le Québec regroupe 29 % des entreprises et 53 % des emplois de cette industrie au pays, ce qui en fait un leader nord-américain.
En 2016, on retrouvait 230 entreprises de développement, studios de jeux et laboratoires de test et assurance-qualité de jeux qui employaient plus de 9 970 personnes (dont 7 500 chez les 15 plus importants employeurs). Parmi ces emplois, plus de 8 700 d'entre-eux occupaient une fonction de développeur de jeux, soit plus de la moitié de tous les développeurs au pays.
Alors qu'en 2002, il n'y avait que 1 200 personnes qui travaillaient dans cette industrie, ce nombre a augmenté à plus de 2 000 en 2005, a ensuite augmenté à près de 5 500 en 2008 (une année de forte croissance pour Ubisoft Montréal) pour atteindre près de 9 000 en 2012, alors que 2016 a atteint un nombre record de près de 10 000 personnes œuvrant au sein de cette industrie florissante.
En plus de la présence de leaders mondiaux de l'industrie comme Ubisoft et Electronic Arts qui emploient à eux-seuls plus de 40 % des spécialistes du jeu vidéo au Québec, d'autres grandes entreprises ont également installées leur studio de création au Québec (Warner Bros, Eidos, etc.). On retrouve de nombreuses petites et moyennes entreprises dont plusieurs font affaires avec des producteurs américains, français et étrangers ou agissent comme sous-contractants pour les géants de l'industrie.
Montréal figure parmi les leaders mondiaux de l'industrie aux côtes de San Francisco, Kyoto, Los Angeles, New York et Paris. Avec près de 90 entreprises (dont 70 % des plus grands studios de jeu au pays) et près de 8 000 emplois en 2016, c'est plus de 80 % des emplois de l'industrie québécoise et plus de 40 % de toute l'industrie canadienne du jeu vidéo qui se retrouvent dans cette ville. Les grands leaders de l'industrie comme Ubisoft, Electronic Arts, Warner Bros, Gameloft, Eidos et Behavior Interactive y sont installées.
Québec est le 2e pôle de l'industrie du jeu vidéo. En 2016, on y retrouvait 104 entreprises de développement de jeux vidéo qui employaient près de 2 500 personnes. Des leaders comme Ubisoft, Beenox, Frima Studio et Productions 10e ave y sont installées.
La Montérégie n'a peut-être pas la prétention d'avoir une industrie aussi importante que Montréal et Québec, mais on y retrouve tout de même près d'une dizaine de petites qui employaient près d'une centaine de personnes.
Enfin, quelques autres entreprises ont plutôt une autre région comme Bluberi à Drummondville dans le Centre-du-Québec, les Laboratoires de test Enzyne a préféré St-Jérôme dans les Laurentides, mais Sherbrooke, Mascouche, Gatineau, Rimouski sont aussi présentes dans cette industrie.
Sources : Techno-Compétences, le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en technologies de l'information, Association canadienne du logiciel de divertissement, Industrie Canada, Emploi-Québec, XN Québec, Québec International et Montréal International.
NIVEAUX D'ÉTUDES :
Il existe 3 principaux types de programmes dans le domaine de l'animation 3D :
Collégial - DEC (ci-dessous)
SECTEUR COLLÉGIAL TECHNIQUE
Tu devras suivre des cours obligatoires tels que : l'industrie de la 3D et l'animation, créativité pour l'animation, dessin d'observation et de perspective, traitement et concepts numériques, représentation de l'anatomie et de l'expression, prise de vue et éclairage, principes d'animation 1, modélisation d'accessoires, éclairage et rendu et représentation tridimensionnelle de l'anatomie.
Pour plus de détails sur ce programme, regarde les vidéos suivants :
la vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de Matane;
la vidéo promotionnelle réalisée par le Cégep de Limoilou;
une vidéo présentant les démos des finissants 2018 du Cégep de Limoilou;
un vidéo présentant un résumé visuel des cours des 5 premières sessions du programme au Cégep de Bois de Boulogne et réalisé par un finissant;
la vidéo promotionnelle réalisée par le Collège Bart (voir aussi les démos des finissants : 2016, 2015, 2014, 2012);
la vidéo promotionnelle du "DEC en animation 3D jeu vidéo" réalisée par le Collège O'Sullivan de Québec;
la vidéo promotionnelle du "DEC en animation 3D et synthèse d'images" réalisée par le Collège O'Sullivan de Québec;
une vidéo présentant les démos des finissants 2016 du Collège O'Sullivan de Québec;
une vidéo présentant les démos des finissants 2016 du Collège Inter-DEC;
la vidéo promotionnelle réalisée par l'Institut Grasset.
Qu'est-ce qu'un programme DEC-BAC ?
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Il permet de se faire reconnaître des acquis du D.E.C. dans le cadre d'un programme de baccalauréat. Tu peux donc compléter tes études universitaires en 2 ans au lieu de 3 ans.
Voici les ententes actuellement offertes :
DEC-BAC en aniamtion 3D et design numérique (5 ans)
(DEC en techniques d'animation 3D + Baccalauréat en création 3D - concentration en exploration et expérimentation) :
Entente entre le
Entente entre le