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secteur agriculture et agroalimentaire
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DIPLÔME D’ÉTUDES COLLÉGIALES D.E.C.
Voir aussi le DEC en technologie de transformation des produits aquatiques
Consulte également les "liens
recommandés" (dont des vidéos de technologues en transformation des
aliments qui parlent de leur travail).
TÂCHES ET
RESPONSABILITÉS :
En tant que technologue en transformation des aliments; tu seras responsable de contrôler et coordonner les opérations de production visant la transformation ou la fabrication de produits alimentaires de toutes sortes. Tu seras responsable de superviser le personnel ouvrier affecté à la production et de t’assurer du bon fonctionnement de l’ensemble des opérations.
En production, tu devras notamment :
superviser, coordonner et planifier les activités des ouvriers chargés de la transformation, de l'emballage, de l'échantillonnage et du triage des aliments, des boissons et des produits connexes
établir des méthodes permettant de respecter les calendriers d'exécution et coordonner les activités avec les autres sections
résoudre les problèmes reliés au travail et recommander des mesures afin d'améliorer la productivité et la qualité des produits
commander du matériel et des fournitures
former des travailleurs quant à leurs tâches, aux normes de sécurité et aux politiques de la compagnie
recommander des mesures de gestion du personnel, telles que l'embauche et les promotions
identifier, évaluer, contrôler et prévenirles risques en matière d'hygiène et de salubrité à chaque stade du processus de production alimentaire
rédiger des rapports de production et d'autres rapports
etc.
En assurance et contrôle de la qualité,
tu devras notamment :
contrôler et de superviser la qualité des aliments transformés ou
fabriqués afin qu’ils répondent aux normes gouvernementales et aux politiques
de l’entreprise en matière de qualité
faire
appliquer les règlements et les politiques en matière d’hygiène et de salubrité
au sein de l’usine et d’en implanter de nouvelles afin de maximiser le
processus de qualité des produits
analyser et contrôler la qualité
et l'innocuité des matières premières, des produits intermédiaires et des
produits finis
En laboratoire,
tu devras notamment :
effectuer des analyses physico-chimiques et microbiologiques des aliments
destinés aux humains et aux animaux dans le but d'y détecter la présence de
contaminants de l'environnement
analyser des échantillons de sérum
sanguin provenant d'animaux
Il existe plusieurs secteurs industriels
où tu pourrais être appelé(e) à travailler : l’industrie de transformation
des produits animaux (viandes, volailles, poissons, fruits de mer), l’industrie
laitière (laiteries, fromageries, crémeries, yogourteries, etc), les industries
de fabrication des produits alimentaires (boulangeries industrielles,
pâtisseries industrielles, charcuteries industrielles, biscuiteries, fabricants
de pâtes alimentaires, etc) et autres industries connexes.
En tant qu'inspectrice ou inspecteur d'aliments et de produits agricoles; tu seras responsable de surveiller, contrôler et vérifier les les conditions de salubrité, de qualité et de conditionnement des produits agricoles et des aliments afin de s'assurer de leur conformité aux normes prescrites de production, d'entreposage et de transport.
Tu devras notamment :
réaliser des travaux d’inspection dans les établissements agroalimentaires en vérifiant notamment si les bâtiments, les installations, les équipements, les outillages, les procédés, les produits utilisés ou vendus et le bien-être des animaux sont conformes aux exigences de la législation et des règlements en vigueur
visiter les bâtiments, les installations industrielles ou commerciales, certaines résidences ou tout autre lieu pour y réaliser une inspection périodique afin de détecter ou de constater les irrégularités ou les non-conformités
effectuer des prélèvements ou autres interventions d’inspection (photographies, recherches, analyses, consultation, évaluation) en lien avec les plaintes, les enquêtes, les avis de non-conformité donnés et les toxi-infections alimentaires
présenter des recommandations sur les actions à porter pour faire suite à ces inspections : saisir, confisquer, sceller, faire cesser ou restreindre les activités, prendre en charge les animaux ou prendre toute autre disposition
participer à la vérification et à l’approbation des plans et devis des bâtiments de même qu’à l’acceptation des matériaux, des appareils et des accessoires
émettre des constats d'infraction aux établissements qui ne sont pas conformes aux règlements en vigueur
agir comme personne-ressource pour la clientèle, incluant les consommateurs
etc.
QUALITÉS ET
APTITUDES NÉCESSAIRES :
-
Aptitudes pour les sciences
(biologiques, chimiques et physiques)
-
Bonnes habiletés et dextérité
manuelles pour manipuler efficacement et délicatement les différents
produits
-
Capacité d’analyse et de synthèse
et sens logique pour analyser les différents problèmes en production
-
Curiosité scientifique et sens
logique pour être amené(e) à chercher comment un produit est fait
-
bonne méthode de travail et gestion
du temps car tu auras à planifier les activités de production
-
Sens de l’observation pour
observer et détecter des anomalies dans le processus de production
-
Minutie et précision car tu
auras à manipuler adéquatement les divers produits tout en assurant de leur
qualité
-
Sens des responsabilités car tu
seras responsable des opérations de transformation ou du laboratoire d’analyse
-
Sens de l’initiative car tu seras
être de prendre des décisions seul(e) lorsqu’il y a des problèmes
-
Sens de l’organisation car tu
auras à entreposer de manière ordonnée les produits
-
Facilité d’adaptation aux changements
technologiques car la technologie des équipements évolue constamment
-
Connaissance de l’anglais car la plupart
des publications spécialisées sont dans cette langue
PROFESSIONS
APPARENTÉES :
-
Analyste des produits alimentaires
-
Contremaître ou contremaîtresse en transformation des aliments
-
Contrôleur(e) de la qualité
-
Conseiller(ère) technique
-
Directeu(trice) d’usine (après expérience)
-
Gérant(e) de production (après expérience)
-
Inspecteur(trice) d’usine
-
Inspecteur(trice) des produits alimentaires
-
Planificateur(trice) de production
-
Préposé(e) à la préparation des produits
-
Préposé aux analyses organoleptiques, bactériologiques et biochimiques
-
Représentant(e) en produits alimentaires pour grossistes ou fabricants
-
Représentant(e) technique en équipements pour industries alimentaires
-
Superviseur(e) de la production
-
Superviseur(e) de la qualité
-
Technicien(ne) en microbiologie alimentaire
-
Technologue en développement de nouveaux produits
-
Technologue en génie alimentaire
-
Technologue en contrôle de la qualité des produits alimentaires
-
Technologue en procédés de fabrication alimentaire
-
Vérificateur(trice) de la qualité
EMPLOYEURS
POTENTIELS :
·
Boulangeries industrielles
·
Brasseurs et distilleurs
·
Cabinets d'experts-conseils
·
Charcuteries industrielles
·
Fabricants de confiseries et croustilles
·
Fabricants de pâtes alimentaires
·
Fournisseurs d'équipements et de
machines pour industries alimentaires
·
Grandes coopératives agricoles
·
Industries laitières : lait
de consommation, lait pasteurisée, fromages, crème, crème glacée, yogourt, etc.
·
Industries de transformation ou de
fabrication de produits de fruits et légumes : jus, boissons, cocktails,
conserves, sauces, bouillons, etc
·
Industries de transformation du poisson et fruits de mer
·
Industries de transformation de
viandes et volailles
·
Pâtisseries industrielles
·
Usines d’embouteillage de boissons
·
Fabricants d'aliments pour animaux
·
Fabricants d'autres produits
alimentaires : sauces, bouillons, assaisonnements, épices, sandwichs, mets
préparés, etc
·
Gouvernement
du Canada :
Agence
canadienne d’inspection des aliments
·
Gouvernement du Québec :
Centre québécois d’inspection des aliments et de santé animale
EXIGENCES DES
EMPLOYEURS :
-
Connaissance de l’anglais (certains
exigent le bilinguisme)
-
Polyvalence
-
Facilité d’adaptation aux changements
technologiques
AFFILIATION À
UNE ASSOCIATION PROFESSIONNELLE :
Aucun permis de pratique n'est nécessaire
afin de pratiquer en tant que technicien(ne) ou technologue en procédés et
qualité des aliments ou en transformation des aliments ou en génie alimentaire.
Par contre, il est recommandé de devenir
membre de l’Ordre des technologues professionnels du
Québec.
L’obtention du titre professionnel T.P. te
permettra d’accéder à certains postes-clés en entreprise et obtenir une
reconnaissance dans la profession.
PLACEMENT :
Selon les
données disponibles au 31 mars 2021 :
Le placement est très
bon, 80 % des répondants(es) qui se sont dirigés vers
le marché du travail ont obtenu un emploi relié à leurs études dont la
presque totalité sont à temps complet.
NOMBRE DE RÉPONDANTS |
NOMBRE EN EMPLOI RELIÉ |
NOMBRE À TEMPS COMPLET |
NOMBRE |
35 |
28 |
27 |
0 |
Note 1
: hausse du taux de placement par rapport aux
années précédentes (était de 83
% en 2018; 68 % en 2016; 85 % en 2014
et 83 % en 2012).
Note 2 : pour
plus de détails, consulte la section "perspectives d'avenir".
Source :
Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec
SALAIRE :
Selon les données
de 2022 :
Le salaire moyen en début de carrière était de :
22,26 $/heure
(40 hres/sem) dans le secteur privé (principalement au sein des PME)
24,62 $/heure
(35 hres/sem) en tant qu’inspecteur(trice) en agroalimentaire dans la fonction
publique québécoise (MAPAQ)
Note 1 : hausse
de la moyenne salariale au sein des PME par rapport aux
années précédentes (était de 20,15 $ en 2019; 18,00 $ en 2018; 19,05 $ en 2016 et 21,33 $ en 2014).
Note 2 :
dans certaines grandes entreprises, il faut ajouter au taux horaire, une prime
pour le travail de soir ou une prime pour le travail de nuit.
Note 3 : dans le
secteur public et chez les grands employeurs privés, les augmentations sont
établies par les conventions collectives.
Sources :
Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, Conseil du
Trésor du Québec, Commission de la fonction publique du Canada, Syndicat des
fonctionnaires municipaux de Montréal, conventions collectives des employés de
grandes industries de transformation alimentaire et conventions collectives des
employés de plusieurs grandes industries de fabrication alimentaire.
PORTRAIT DE LA
PROFESSION:
Selon les données de
2022 d'
Il y avait plus de 5 000 techniciens(nes), technologues, superviseurs(euses) et coodonnateurs(trice) en transformation des aliments et fabrication de boissons et autres produits alimentaires;
et près de 1 000 techniciens(nes), contrôleurs(euses) et inspecteurs(trices) de la qualité des aliments, soit 6 % de la main-d'œuvre totale de l'industrie de la transformation alimentaire dans l'ensemble des régions du Québec.
Profession en majorité
masculine, puisque 69 % de ces spécialistes étaient
des hommes, alors que les femmes ne représentaient que 31
%.
Elle pourrait accueillir davantage de femmes.
L'âge moyen était de 40 ans.
Plus de 51 % des membres de la profession étaient âgés de moins de 45 ans dont seulement 4 % de moins de 25 ans.
Plusieurs technologues en transformation des
aliments sont membres de l'Ordre des technologues
professionnels du Québec.
La presque totalité occupaient un poste à temps complet, soit 96 %.
Selon l'
Selon le
Enfin, la
PERSPECTIVES D’AVENIR :
En 2022, la moitié des technologues et superviseurs(euses) en transformation d'aliments ou boissons étaient âgés de plus de 45 ans et prendront leur retraite au cours des prochaines années et devront être remplacés.
Ils obtiennent des postes en supervision des opérations de la production ou en laboratoire de contrôle de la qualité ou de développement de produits dans les grandes entreprises alimentaires
Alors que dans les PME alimentaires, ils obtiennent des postes en coordination ou en direction des opérations d'usine.
Les collèges reçoivent annuellement plus de 6 fois plus d'offres d'emplois provenant d'entreprises de partout au Québec par rapport au nombre de diplômés(es) disponibles. De plus, la plupart d'entre-eux obtiennent un emploi dans leur milieu de stage.
Par exemple, l'ITAQ reçoit annuellemlent 4 à 6 fois plus d'offres que de diplômés(es) disponibles, alors que la plupart avaient déjà obtenu une offre de l'entreprise qui les a accueilli lors du stage.
Selon une enquête réalisée par le Comité sectoriel de la main-d'œuvre en transformation alimentaire du Québec, plus de 40 % des entreprises interrogées lors de cette enquête affirment que c'est difficile de recruter de nouveaux techniciens et technologues compte tenu de la forte demande et du nombre insuffisant de candidats disponibles.
Plus de 58 % des entreprises interrogées avaient affirmé l'intention d'embaucher au moins un(e) technicien(ne) ou technologue en transformation des aliments au cours des prochaines années.
Selon les données du Ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur du Québec, le métier de technologue des aliments est l’un des 30 métiers de la formation technique présentant les meilleures perspectives d’avenir.
La rémunération moyenne après expérience en 2022...
l
BREF PORTRAIT DE L'INDUSTRIE:
L'industrie québécoise de la
transformation alimentaire est LE plus important employeur industriel
au Québec, qui est présente dans presque tous les régions de la province et qui
est un moteur économique de premier plan dans plusieurs régions et sous-régions
(MRC) d'un bout à l'autre du territoire québécois.
L'industrie
québécoise est divisée en 8 principaux sous-secteurs différents, soit :
§
Viandes et volailles
(abattage, découpe, désossage et surtransformation et produits de la viande et
de la volaille) : PLUS important sous-secteur de l'industrie
agroalimentaire québécoise; il avait un chiffre d'affaires évalué à 6,2
milliards $ en 2013 (dont 3,2 milliards $ en abattage de viandes surtout le
porc et le boeuf, 1,7 milliards $ en abattage de volailles surtout le poulet,
1,2 milliards $ pour les graisses animales et preso de 390 millions $ pour les
produits de la viande et de volaille tels que les charcuteries).
Il y avait plus de 165 entreprises (dont 34 abattoirs détenus par 30
entreprises sous inspection fédérale et autorisées pour le commerce
interprovincial et international, 26 abattoirs sous inspection provinciale
autorisées au commerce partout au Québec seulement, ainsi que 50 abattoirs pour
la vente au détail seulement ou abattage à forfait soumis à une nouvelle
réglementation provinciale) qui employaient plus de 18 600 travailleuses et
travailleurs.
Parmi ces dernières, on retrouve : 25 abattoirs de porcs, 24 abattoirs de
volailles (poulets et dindons principalement ), 21 abattoirs de veaux, 20
abattoirs de boeufs, 20 abattoirs d'ovins (moutons), 16 abattoirs de chevaux,
14 abattoirs de caprins (chèvres), 13 abattoirs de gibiers (cerfs, sangliers,
bisons, wapitis, etc.), ainsi que 5 abattoirs de lapins.
Il comprend des produits tels que : porc, boeuf, veau, mouton, cheval, poulet,
dinde, lapin, viandes de la chasse (caribou, orignal, chevreuil), autres
volailles (autruche, émeu, faisan, canard, cailles, etc). On retrouve aussi les
produits de surtransformation comme les oeufs d'incubation, poussins et la
chair de poulet.
§
Boulangerie et
pâtisserie (incluant biscuits et craquelins) : second
sous-secteur en importante, il regroupait l'ensemble des produits fabriqués en
boulangerie, en pâtisserie et en usine de pâtes alimentaires sauf les
confiseries et chocolats. Bien qu'il ne soit pas le sous-secteur le plus
important en nombre d'emplois, c'est celui ayant le plus grand nombre
d'entreprises.
En 2016, c'était un marché de 1,9 milliards $ (dont 1,3 milliards $ pour les
pains et autres produits de boulangerie et de pâtisserie, 320 millions $ pour
les biscuits et craquelins et 209 millions $ pour les pâtes alimentaires).
On retrouvait 469 entreprises (dont 16 boulangeries-pâtisseries industrielles,
15 fabricants de pâtes alimentaires, une dizaine de boulangeries et pâtisseries
artisanales et plus de 530 boulangeries et/ou pâtisseries commerciales) qui
employaient plus de 12 800 travailleuses et travailleurs dans toutes les
régions de la province.
Plus de la moitié des entreprises ont moins de 5 employés (fabrication
artisanale), plus du tiers ont moins 100 employés (nature commerciale ou industrielle),
alors seulement 29 entreprises ont plus de 100 employés (fabrication
industrielle).
Voici quelques exemples de produits fabriqués : produits de pâtisserie (biscuits,
craquelins, bretzels, gâteaux frais ou congelés, cornets et gaufrettes de crème
glacée, pâtes réfrigérées ou congelées, croûtes de tartes non cuites,
pâtisseries de spécialités, mélanges de farine pour gâteaux, beigne,
crêpes et autres pâtisseries non cuites réfrigérées ou congelées); produits
de boulangerie (pains conventionnels, pains de spécialité, beignes frais ou
congelés, brioches frais ou congelés, croissants frais ou congelés, pâtisseries
de spécialités, autres produits de boulangerie), autres (tortillas,
pâtes alimentaires sèches, pâtes alimentaires fraîches, pâtes alimentaires
orientales).
§
Produits laitiers
: C'est le troisième plus important sous-secteur de cette industrie qui avait
un chiffre d'affaires de 6,4 milliards $ en 2016 (dont plus de 4,1 milliards $
pour les fromages et le beurre, 2,2 milliards $ pour le lait de consommation,
40 millions $ pour la crème glacée et les desserts glacés, 30 millions $ pour
le yogourt et 30 millions $ pour les autres produits laitiers).
Il comprenait 127 entreprises (96 fromageries dont la majorité sont artisanales
dont 8 fabriquent également du yogourt, 20 en fabrication de crème glacée et
desserts congelés, 7 entreprises ayant 14 usines pour le lait de consommation,
7 en fabrication de yogourt et environ 10 pour les autres produits laitiers) et
qui employaient plus de 10 200 travailleuses et travailleurs.
Il comprend des produits tels que : lait de consommation (lait au chocolat,
lait aromatisé, lait biologique, lait concentré, lait délactosé, lait de poule,
lait de brebis, lait de chèvre, lait de vache, lait U.H.T.); fromages
(de lait de brebis, de lait de chèvre, aux fruits, brie, camemberg, cheddar,
cottage, en crème, à tartiner, gouda, harti, monterey jack mozzarella,
parmesan, persillé, provolone, ricotta, de spécialité); beurre (assaisonné,
biologique, de brebis, de chèvre, de lactosérum ou de lait de vache); crèmes
(biologique, sure, à l'italienne, fouettée, de lait de brebis, de lait de
chèvre ou de lait de vache); yogourt (à boire, de lait de brebis, de
lait de chèvre, glacé ou de lait de vache); produits congelés (friandises
glacées, crème glacée, garnitures pour crème glacée, sorbet, yogourt glacé,
etc) et autres produits à base de lait.
§
Boissons
(alcoolisées et non alcoolisées) : cet important sous-secteur en importance de
l'industrie alimentaire. En 2016, il avait un chiffre d'affaires évalué de 2,2
milliards de $ (excluant les produits du tabac, dont 1,4 milliards $ pour les
brasseries, plus de 400 millions $ pour les boissons gazeuses et de glace, plus
de 140 millions $ pour les vins, plus de 125 millions $ pour les spiritueux et
autres alcools et près de 125 millions $ pour autres boissons non alcoolisées
(sauf jus et boissons aux fruits naturels).
On retrouvait 148 entreprises (dont 3 grands brasseurs, 76 petites brasseries,
43 artisans brasseurs, 29 vignobles ou vineries, env 20 embouteilleurs d'eau de
source ou d'eau minérale, 13 fabricants de boissons nutritives et autres
boissons, sauf jus et boissons aux fruits ou aux légumes, 7 fabricants de
d'autres boissons alcoolisées, 6 embouteillleurs ou fabricants de boissons
gazeuses et 1 distillerie) qui employaient plus de 10 900 travailleuses et
travailleurs (dont 4 000 au sein des grands brasseurs, 1 000 chez les
embouteilleurs et fabricants de boissons gazeuses, 200 dans les distilleries,
200 chez les embouteilleurs d'eau et 400 dans les vineries).
Parmi ces entreprises, 85 % d'entre-elles emploient moins de 25 personnes (dont
plusieurs petites entreprises artisanales comme des cidreries, microbrasseries,
microdistilleries et vignobles).
Il comprend des produits tels que : eaux embouteillées, boissons gazeuses, lait
de soya, breuvages aux arômes de fruits, boissons alcoolisés (bière, vins,
spiritueux, alcools), boissons distillées (lait de poule alcoolisé, whiskey,
boissons mélangées alcoolisées, autres boissons distillées, etc).
§
Fruits et légumes
: Ce sous-secteur avait un chiffre d'affaires évalué à plus de 2,0 milliards $
en 2016 et comprenait 88 entreprises (dont 45 en conservation, marinage et
séchage de fruits et légumes et fabrication de mets préparés à base de légumes,
33 en fabrication de jus ou autres boissons de jus ou de légumes et 12 en
fabrication de mets congelés) qui employaient plus de 5 100 travailleuses et
travailleurs (dont plus de 45 % des emplois proviennent des 2 plus gros
employeurs de ce sous-secteur).
Voici quelques exemples de produits transformés : mise en conserve, séchage
et marinage (aliments pour bébés, mise en conserve de fèves au lard, mise
en conserve de soupes, bouillons en sécherie, mélanges à soupe en sécherie,
confitures et gelées, mise en conserve de jus de fruits ou de légumes,
fabrication de boissons de jus de fruits ou de légumes, fabrication de ketchup,
marinage de fruits et légumes, déshydratation de fruits et légumes, mise en
conserve de fruits de toutes sortes dont pommes, fraises, framboises, bleuets,
etc, mise en conserve de légumes de toutes sortes comme carottes, pommes de
terre, oignons, etc;
On y fabrique des aliments congelés (concentrés de jus de fruits
congelés, jus de fruits ou de légumes congelés, pizza congelée, frites, mets
préparés à base de légumes, desserts congelés à base de fruits, congélation de
fruits et légumes, etc.; des mets préparés frais à base de légumes
(salades, sandwichs, mets végétariens, etc.); ainsi que des jus, jus
biologiques et boissons aux fruits ou aux légumes (jus de pomme, jus
d'orange, jus de raisin, jus de tomate, jus de canneberge, jus de fruits des
champs, jus d'ananas, jus de mangue, jus de pamplemousse, jus de poire, jus de
fruits tropicaux, smoothies, autres boissons, cocktails et limonades aux
fruits, jus de carottes, jus de betterave, autres boissons ou cockails aux
légumes, etc.).
§
Sucre et confiseries
(incluant croustilles et grignotines) : Dans ce sous-secteur on y fabrique et
raffine le sucre, on y fabrique des chocolats et divers types de confiseries.
Les revenus étaient évaluées à 1,5 milliards $ en 2016 (dont 170 millions $
pour les confiseries non chocolatées, 160 millions $ pour les confiseries
chocolatées, ainsi que plus de 870 millions $ pour le sucre raffiné).
On retrouvait 98 entreprises qui employaient 3 800 travailleuses et
travailleurs. Plus de 90 % de ces entreprises sont des PME ayant moins de 50
employés, alors près de 70 % des emplois proviennt des 10 plus gros employeurs
du sous-secteur.
Voici quelques exemples de produits fabriqués ou transformés : chocolat et
confiseries chocolatées (barres de granola enduits de chocolat, boissons
instantanés au chocolat, barres de chocolat, chocolats divers, autres
confiseries faits avec du chocolat); confiseries non chocolatées (barres
de granola sans chocolat, barres de bonbons sans chocolat, noix enrobés de
bonbons, guimauve, gommes à mâcher, bonbons glacés, pastilles pour la toux sauf
les préparations pharmaceutiques, autres confiseries); aliments à grignoter
(croustilles et grignotines, beurre d'arachide, mise en conserve de noix,
bretzels durs, popcorn, transformation de graines ou de céréales en aliments à
grignoter et autres aliments connexes); fabrication et raffinage du sucre
(fabrication de mélasse, fabrication de sucre à glacer, fabrication du sucre de
table, raffinage du sucre de betterave, raffinage du sucre de canne), etc.
§
Produits marins
: c'était un marché de plus de 504 millions $ en 2016, qui comptait plus
de 45 entreprises ayant près de 100 usines de transformation des produits de la
mer employaient plus de 1 900 travailleuses et travailleurs allant du simple
manoeuvre en transformation en passant par le technologue en transformation des
produits jusqu'à l'ingénieur alimentaire. Parmi ces emplois, 75 % proviennent
des 3 plus gros employeurs de ce sous-secteur.
Ces entreprises ne se retrouvent pas seulement en Gaspésie ou en Côte-Nord,
mais aussi dans le Bas-St-Laurent, en Montérégie, à Québec, en
Chaudière-Appalaches, au Saguenay et Lac St-Jean, dans les Laurentides, etc.
Plusieurs types de produits y sont transformés comme les poissons, le crabe, le
homard, les crevettes, herbes marines, conservation de soupes de poissons,
conservation de soupes de crevettes et mollusques, fabrication de graisses,
d'huiles et de farine de produits marins, etc. Ils sont filetés, salés-séchés,
fumés, décortiqués, congelés, surgelés ou panés.
On y fabrique des mets préparés congelés, des conserves, de l'emballage des
produits frais, etc.
§
Autres :
on retrouve également les secteurs suivants : assaisonnements et
additifs alimentaires, produits nutraceutiques et aliments nutritifs, produits
de l'érable, farine et céréales, Autres produits alimentaires à consommation
humaine, ainsi que les aliments pour animaux (de ferme ou de compagnie).
En
2016, elle a généré des revenus de plus de 22,7 milliards $, soit 25 % de la
production canadienne et 15 % du secteur manufacturier québécois.
Plus de 45 % des ventes des produits
alimentaires québécois sont effectuées au Québec (porc, poulet,
produits laitiers, légumes frais, fruits frais, boissons de fruits ou de
légumes, produits de l'érable, boissons alcoolisées surtout bières); 32 % dans
le reste du Canada (produits laitiers, porc, poulet, légumes de
transformation, poissons et fruits de mer, sirop d'érable et produits de
l'érable, fruits, jus, boissons alcoolisées); ainsi que 23 % à
l'international dans plus de 100 pays.
On
y retrouvait plus de 1 500 entreprises (dont 31 % qui fabriquaient des produits
de boulangerie, 6 % de boissons alcoolisées ou non alcoolisées, 8 % des
produits laitiers et 7 % d'aliments pour animaux) qui employaient plus de 64
000 travailleuses et travailleurs dans presque toutes les régions du Québec,
mais principalement en Montérégie, Montréal, Chaudière-Appalaches, Laval,
Québec, Centre-du-Québec, Lanaudière et Bas-St-Laurent.
Par
contre, seulement 34 % de ces entreprises employaient 50 personnes ou plus qui
sont généralement les employeurs potentiels pour les technologues en
laboratoire.
Bien qu'on retrouve quelques grandes
entreprises de transformation alimentaire, ce sont les petites et moyennes
entreprises que l'on retrouve en plus proportion et ce, partout au Québec.
Bien qu'on retrouve ces entreprises un peu
partout au Québec, elles sont principalement concentrées dans les régions de la
Montérégie, de Montréal, de Lanaudière, de Chaudière-Appalaches et de Québec.
Selon les données d'Emploi-Québec, les
technologues en transformation des aliments représentaient 10 % de l'ensemble
des personnes qui travaillaient au sein de l'industrie d donc l'un des plus
importants employeurs pour ces spécialistes.
Presque
toutes les régions sont favorables à l'emploi dans ce
domaine, mais tout particulièrement :
la Montérégie, Chaudière-Appalaches, Lanaudière,
Centre-du-Québec, Québec, Laurentides, Bas-St-Laurent et Laval.
Sources : Ministère de l'Agriculture
et Agroalimentaire du Canada, Ministère de l'Agriculture, des pêcheries et de
l'alimentation du Québec, Industrie Canada, Comité sectoriel de la main-d'oeuvre
en transformation alimentaire, l'Association des manufacturiers de produits
alimentaires du Québec et ICRIQ.
LES PROGRAMMES D’ÉTUDES :
Le Diplôme d’études collégiales en
technologie des procédés et qualité des aliments D.E.C. a une durée
totale de 3 ans offert à temps complet de jour.
Tu auras des cours d'introduction à la
profession, mathématiques appliquées au domaine alimentaire, introduction à la
microbiologie, chimie des solutions, salubrité et innocuité alimentaire,
santé/sécurité et hygiène au travail, caractérisation des constituants
chimiques microbiologie alimentaire 1, les analyses physicochimiques des
aliments, principes de fonctionnement des équipements industriels en
fabrication alimentaire et méthodes d'évaluation sensorielle.
Enfin,
tu réaliseras ton premier stage rémunéré de 12 à 16 semaines en
milieu professionnel au cours du trimestre d'été, si tu as choisi la formule alternance travail-études ATE.
Tu auras des cours en technologie des
fermentations alimentaires, technologies de stabilisation des aliments,
microbiologie alimentaire 2, changements physico-chimiques des constitutants
alimentaires, conservation et règlementation, formulations alimentaires,
traitements thermiques de conservation des aliments, procédés de transformation
du lait, introduction à l'automatisation industrielle, notions de dépannage
d'installations et d'équipements industriels, contrôle du traitement et de la
transformation des végétaux (principalement des fruits et légumes et les jus)
et procédés de transformation du lait.
Enfin,
tu réaliseras ton second stage rémunéré de 12 à 16 semaines en
milieu professionnel au cours du trimestre d'été, si tu as choisi la formule alternance travail-études ATE.
Tu auras des cours en contrôle et
transformation des produits carnés (saucissons fermentés séchés et de produits
saumurés et fumés), contrôle et transformation des produits laitiers (notamment
les fromages) et coproduits laitiers, contrôle et transformation des produits
carnés des produits céréaliers, les systèmes d'assurance-qualité en usine
alimentaire, notions en nutrition, emballage et étiquetage des produits
alimentaires, gestion des ressources humaines en industrie alimentaire, la
réalisation d'un projet technique en procédés de transformation et enfin, la
réalisation d'un stage de fin d'études en industrie alimentaire d'une durée de
10 semaines.
Note : le nom, le contenu et la
répartion des cours par trimestre peuvent varier d'un collège à un autre.
Le Diplôme d’études collégiales en
technologie de la transformation des produits aquatiques D.E.C. a une durée totale de 3 ans offert à
temps complet de jour.
Le programme est offert par modules, chacun
des 3 modules visent une fonction de travail distincte. Bien qu'un
cheminement-type est proposé, ils peuvent être suivis dans un ordre différent.
L'étudiant qui complète avec succès un module
se voit décerner un certificat émis par le collège. Au terme des trois modules
de formation, après avoir réussi l'épreuve synthèse de programme et l'épreuve
uniforme de langue, tu obtiendras ton diplôme d'études collégiales en
Techniques de transformation des produits aquatiques.
Tu auras des cours sur les connaissances de
bases sur les espèces aquatiques, chimie alimentaire, salubrité en milieu de
travail, environnement hygiénique et sécuritaire en bioalimentaire, lois et
règlements nationaux et internationaux en qualité des aliments, évaluation de
la qualité organoleptique (évaluation sensorielle des aliments), microbiologie
alimentaire, mise en place d'un système de qualité, gestion et contrôle de la
qualité en industrie bioalimentaire, ainsi qu'un stage en gestion de la
qualité d'une durée de 3 semaines en industrie
Tu auras des cours en nettoyage et
assainissement des lieux de travail, entretien préventif de l'équipement,
bonnes pratiques en production bioalimentaire, fonctionnement et opération des
équipements de production (convoyeurs, serpentins de réfrigération, système
de prérefroissement, congélateurs à saumure, rouleaux extracteurs de chair pour
homards/crabes, fumoir à poisson, etc.), procédés de
transformation primaire (éviscération, filetage, épiautage, parage et
mirage), procédés de transformation secondaire (séchage, fumage, etc.),
procédés de transformation tertiaire (givrage, hachage, applications d'additifs,
etc), valorisation des coproduits (résidus de production, rejets,
parties non consommables, huiles, etc.), gestion de la production et
informatique, gestion des approvisionnements et des stocks, gestion des
ressources humaines, ainsi qu'un stage en production en industrie
d'une durée de 3 semaines.
Tu
auras des cours sur les additifs alimentaires, emballage et conditionnement
alimentaires, commercialisation des produits aquatiques, méthodes d'analyse
sensorielle des aliments, optimisation et développement des procédés,
développement et conservation des aliments, gestion de projet, ainsi qu'un
stage/projet en commercialisation de produits aquatiques d'une durée de 3 semaines.
ENTENTES
DEC-BAC :
Qu'est-ce
qu'un programme DEC-BAC ?
Consulte
la page suivante
Il permet de
terminer la formation technique et ton baccalauréat dans un temps plus court et
obtenir les 2 diplômes.
Voici
les ententes actuellement offertes :
DEC-BAC
en sciences et technologie des aliments (en 6 ans au lieu de 7)
(DEC
en technologie des procédés et qualité des aliments + Baccalauréat en sciences
et technologie des aliments) :
o
Entente entre le Cégep de Maisonneuve et l'Université Laval
o Entente entre l'Institut de technologie agroalimentaire du Québec ITAQ, campus de La Pocatière et l'Université Laval
o Entente avec l'Institut de technologie agroalimentaire du Québec ITAQ, campus de Saint-Hyacinthe et l’Université Laval
PASSERELLES
:
Un programme
passerelle permet aux titulaires d'un D.E.C. dans une discipline en particulier
de se faire reconnaître un certain nombre de crédits par une université dans le
cadre de son baccalauréat. Par contre, aucune garantie d'admission n'est
offerte lors de la demande.
L’Université Laval reconnaît la
formation obtenu dans ce programme, c’est pourquoi elle reconnaît un certain
nombre de cours du DEC en tant qu’équivalents à certains cours universitaires
de base.
Voici les ententes actuellement offertes :
(titulaires du D.E.C. en technologie
des procédés et qualités des aliments)
·
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 18 crédits aux
titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en génie alimentaire
·
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 12 crédits aux
titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Certificat en sciences et qualité
des aliments
·
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 11 crédits aux
titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en microbiologie (diplômés
du Cégep régional de Lanaudière à Joliette seulement)
·
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 9 crédits aux
titulaires de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en agronomie
·
l'Université Laval pourra reconnaître jusqu'à 6 crédits aux titulaires
de ce D.E.C. dans le cadre de son Baccalauréat en agroéconomie
·
l'UQAM pourra
reconnaître jusqu'à 30 crédits (cote R de 22,0 ou +)aux
titulaires de ce dans le cadre de son Baccalauréat en biochimie
·
l'Université Mcgill pourra reconnaître
certains cours collégiaux comme équivalents à des cours universitaires de base
dans le cadre de son Baccalauréat en sciences des aliments, mais les
équivalences varient selon la qualité du dossier scolaire de l'étudiant)
ÉTUDES UNIVERSITAIRES :
Ce programme vise à t’intégrer au marché du travail, mais
tu pourras aussi poursuivre tes études à l’université au :
Baccalauréat en
microbiologie offert à Laval, Mcgill, Sherbrooke et Montréal (sciences
biologiques - orientation en microbiologie)
Baccalauréat en
chimie alimentaire offert à Mcgill
Baccalauréat en
génie alimentaire offert à Laval
Baccalauréat en
science et technologie des aliments offert à Laval et Mcgilll
Baccalauréat en
agronomie (ou agriculture) offert à Laval et Mcgill
Baccalauréat en
agroéconomie (ou économie agricole) offert à Laval et Mcgill
Baccalauréat en
génie chimique offert à Polytechnique (notamment
la concentration agro-industrie)
Baccalauréat en génie biotechnologie à Sherbrooke
EXIGENCES
D’ADMISSION :
-
Détenir le D.E.S. et avoir réussi les
cours suivants du secondaire :
TS ou SN 4e (anciennement
mathématiques 436) ou son équivalent
STE ou SE 4e (anciennement sciences physiques 436)
ou son équivalent
Note 1 :
il est recommandé d’avoir suivi le cours chimie 5e (chimie 534) ou son équivalent
Note
2 : pour connaître les équivalences
des préalables à l’éducation aux adultes, consulte la page suivante
STATISTIQUES
D’ADMISSION :
Aucun contingentement
à ce programme
Les
candidats(es) admissibles (c'est-à-dire détenant les préalables requis) sont
généralement admis.
admissions également
ouvertes à l'hiver à Lanaudière
ENDROITS DE FORMATION :
Qu'est-ce que l'alternance
travail-études ?
École des pêcheries et de
l'aquaculture du Québec
(D.E.C. en transformation des produits aquatiques)
offert en régime régulier à temps complet de jour seulement;
située à Grande-Rivière, à 30 km de Percé en Gaspésie;
Offert selon une formule unique
au Québec, soit : par modules (gestion
de la qualité, production et développement/commercialisation) visant
une fonction de travail distincte dont chacun mène à un certificat émis
par le Collège et l'ensemble des modules permettent d'obtenir le D.E.C.,
Programme offert en formule hybride : à distance par télé-enseignement en mode
synchrone (en temps réel) pour la
partie théorique et en classe pour la partie pratique;
Les cours de la formation
générale (langue maternelle, langue
seconde, philosophie, éducation physique, cours complémentaires) peuvent
être suivis en classe dans sur le campus de l'ÉPAQ ou dans l'un des 3
campus du Cégep de la Gaspésie (Gaspé, Carleton-sur-Mer ou
Îles-de-la-Madeleine) ou au Cégep de Matane ou à distance via le Cégep@distance;
Les classes sont
de petite taille permettant un enseignement personnalisé un meilleure encadrement des professeurs,
Accès à de nombreuses installations
et infrastructures telles qu'es : un
laboratoire de biochimie, un laboratoire de microbiologie, un laboratoire
d'aquaculture, une serre d'aquaculture et bien sûr, une usine-pilote en
transformation du poisson;
Possibilité de participer à des projets
ou mandats réels pour des entreprises d'un peu
partout au pays en partenariat avec Mérinov;
Comprend 3 stages NON rémunérés en
milieu de travail obligatoires de 3 semaines
chacun (soit 1 après chaque module);
Site de Mérinov, le centre
collégial de transfert de technologies CCTT en pêcheries et aquaculture
rattaché au Cégep de la Gaspésie et au Cégep de Matane reconnu étant
le plus
important centre intégré de recherche appliquée dans les domaines de la pêche, de l’aquaculture, de la
transformation et de la valorisation des produits aquatiques au Canada;
Il offre des services
conseils, du soutien technique et la réalisation
de projets de recherche & développement dans les domaines de la qualité des aliments, des procédés
de transformation, nutrition, et valorisation des biomolécules marines;
Il est réparti sur 4 sites (Grande-Rivière, Gaspé, Îles-de-la-Madeleine et Blanc
Sablon en Côte-Nord) et doté de nombreux nombreuses installations et équipements dont : Gaspé (centre d'essais en
procédés de transformation, centre de fractionnement, laboratoire de
développement de produits, laboratoire de chimie alimentaire, laboratoire
de microbiologie, laboratoire de rhéologie); Blanc-Sablon (laboratoire
de chimie aquatique et un site d'entreposage de produits marins);
Regarde la vidéo promotionnelle du programme;
PROGRAMME UNIQUE AU
QUÉBEC
Cégep régional de Lanaudière à
Joliette
offert en régime régulier à temps complet de jour seulement;
Voir aussi le D.E.C.-BAC en
sciences et technologie des aliments offert conjointement avec l'Université Laval permettant
de reconnaître automatiquement (avec une cote R de 25,000 ou plus)
33 crédits au baccalauréat;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits (cote
R de 22,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en biochimie de l'UQAM;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 18 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en génie
alimentaire de l'Université Laval;
la passerelle exclusive permettant de se faire reconnaître jusqu'à 11 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en microbiologie de
l'Université Laval;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en agronomie de l'Université Laval;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 6 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en agroéconomie de
l'Université Laval;
et la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université Laval;
Les classes sont
de petite taille permettant un enseignement personnalisé et un meilleure encadrement des professeurs,
Accès à plusieurs laboratoires
et autres installations dont le Complexe
agroalimentaire (laboratoire-usine de transformation de viandes et
volailles, laboratoire-usine de transformation de produits végétaux,
laboratoire-usine de transformation céréalière, laboratoire-usine de
transformation laitière, laboratoire de chimie alimentaire, laboratoire de
microbiologie alimentaire, laboratoire de cuisine expérimentale, salle
d'analyses sensorielles,
Possibilité de réaliser des projets
réels (techniques ou en
recherche & développement) en partenariat avec Bio.Enviro.In;
Comporte un stage obligatoire de fin
d'études crédité non rémunéré d'une
durée de 240 heures
réparties sur 15 semaines en industrie
alimentaire;
Regarde la vidéo promotionnelle du programme.
Site du Centre d'innovation bioalimentaire, horticole et environnementale
Bio.Enviro.In, un centre colllégial de transfert de technologie rattaché au
Cégep fournissant de l'expertise auprès des PME bioalimentaires de partout
au Québec (tests et mises à l'essai de nouveaux produits,
développement de nouveaux procédés ou de nouvelles technologies, mise en
place de bonnes pratiques de production, etc.).
Cégep de Maisonneuve
offert en régime régulier à temps complet de jour seulement;
Voir aussi le D.E.C.-BAC en
sciences et technologie des aliments offert conjointement avec l'Université Laval permettant
de reconnaître automatiquement (avec une cote R de 25,000 ou plus)
33 crédits au baccalauréat;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits (cote
R de 22,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en biochimie de l'UQAM;
et la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 18 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en génie
alimentaire de l'Université Laval;
Les classes sont
de petite taille permettant un enseignement personnalisé et un meilleure encadrement des professeurs;
Accès à plusieurs laboratoires
et autres installations (laboratoire de chimie
alimentaire, laboratoire de microbiologie alimentaire, laboratoire de
cuisine expérimentale en collaboration avec les étudiants en techniques de
diététique, laboratoire des procédés, laboratoire de prototypage des
emballages), ainsi qu'aux installations du Complexe agroalimentaire du
Cégep de Joliette;
Possibilité de réaliser des projets
réels (techniques ou en
recherche & développement) en partenariat avec l'ITEGA;
Comporte un stage obligatoire de fin
d'études crédité non rémunéré d'une
durée de 6 semaines en industrie alimentaire permettant aussi la
réalisation d'un projet technique;
Possibilité de réaliser le stage
obligatoire à l'international (France,
Belgique ou Suisse);
Site de l'Institut de technologie des emballages et de génie alimentaire
ITEGA, un centre collégial de transfert de technologie rattaché au
Cégep fournissant de l'expertise en emballages et procédés alimentaires
auprès des PME de l'industrie alimentaire de partout au Québec (développement
de matériaux innovateurs et écoresponsables issus de la biomasse en
emballage de produits alimentaires, développement de produits innovateurs
à partir de matières non valorisées telles que la biomasse forestière,
végétale, marine et animale vers la création de nouveaux produits à haute
valeur ajoutée, tests et mises à l'essai de nouveaux produits,
développement de nouveaux procédés ou de nouvelles technologies, etc.).
Institut de technologie agroalimentaire
du Québec ITAQ - campus de La Pocatière;
offert en régime régulier à temps complet de jour
OU selon la formule en alternance travail-études
ATE à temps complet de jour;
Voir aussi le D.E.C.-BAC en
sciences et technologie des aliments offert conjointement avec l'Université Laval permettant
de reconnaître automatiquement (avec une cote R de 25,000 ou plus)
33 crédits au baccalauréat;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits (cote
R de 22,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en biochimie de l'UQAM;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 18 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en génie
alimentaire de l'Université Laval;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en agronomie de l'Université Laval;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 6 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en agroéconomie de l'Université Laval;
et la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université Laval;
Elle est la première
école permanente d'agriculture au Canada
fondée en 1859 sous le nom d'École d'agriculture du Collège de Sainte-Anne-de-La
Pocatière;
Seule école
indépendante en agroalimentaire au Québec
et relève directement du Ministère de l'Agriculture du Québec MAPAQ;
Les classes sont
de petite taille permettant un enseignement personnalisé un meilleure encadrement des professeurs,
Comprend de nombreuses activités
parascolaires et professionnelles (journée
exploratoire annuelle de découverte des entreprises agricoles et
agroalimentaire de la région et la journée "employé d'un jour"
au sein d'une entreprise alimentaire de la région pour les étudiants de 1re année,
rencontres thématiques avec des gens de l'industrie, conférences et
séminaires en agroalimentaire, etc.);
Comprend la réalisation d'un projet
technique de fin d'études obligatoire d'un procédé ou
d'un aliment issu d'un produit du terroir local ou régional;
Possibilité d'effectuer un séjour
d'études à l'étranger dans un
établissement partenaire (Belgique, France ou Italie);
Possibilité de réaliser des projets
réels (soutien technique ou en
recherche & développement) en partenariat avec Biopterre;
Regarde la vidéo promotionnelle du programme;
Regarde la
vidéo promotionnelle de l'Institut;
Possibilité de réaliser jusqu'à 2
stages rémunérés NON crédités facultatifs en milieu de travail (d'une durée de 3
à 4 mois au cours des trimestres d'été);
Possibilité de réaliser un stage
international rémunéré facultatif de 4 à 13
semaines (Belgique, France, Italie, Suisse, Australie, Allemagne,
Pérou ou UK);
Accès à nombreux laboratoires
et autres installations (laboratoire de chimie
alimentaire, laboratoire de microbiologie alimentaire, laboratoire
de procédés, laboratoire d'évaluation sensorielle, cuisine
expérimentale, l'Unité de production laitière
biologique unique au Canada, une usine de transformation de produits laitiers,
une usine en transformation en boulangerie et produits végétaux,
une usine de transformation de produits carnés et marins, une usine
et équipements dédiés aux hautes pressions hydrostatiques et
le Carrefour agrobiotechnologique unique au Québec du Centre de développement bioalimentaire du Québec, une usine
usine-pilote de production en fermentation solide de Biopterre, ainsi
qu'un laboratoire de biotechnologie de pointe de Biopterre) et un centre
de documentation spécialisée en agroalimentaire;
Site du Centre de développement des
bioproduits Biopterre, un centre collégial de transfert de technologie rattaché à
l'ITA et au Cégep de La Pocatière fournissant de l'expertise en
biotechnologies agricoles et alimentaires auprès des PME agroalimentaires
de partout au Québec dans les domaines tels que : développement de
nouveaux produits, développement de nouveaux procédés, valorisation de la
biomasse en industrie alimentaire, services d'analyses de laboratoire en
biologie moléculaire et en microbiologie, etc.
Site du Centre de développement bioalimentaire du Québec CDBQ, un centre collégial de transfert de technologie rattaché à
l'ITA et au Cégep de La Pocatière fournissant de l'expertise en
transformation alimentaire et en biotechnologies auprès des PME
agroalimentaires de partout au Québec dans les domaines tels que :
développement de nouveaux produits, développement de nouveaux procédés,
pasteurisation à froid par les hautes pressions, valorisation des
coproduits, sécurité et innocuité alimentaire, analyses chimiques,
microbiologiques et nutritionnelles, évaluation sensorielle des aliments,
etc.
Institut de technologie
agroalimentaire du Québec ITAQ - campus de Saint-Hyacinthe;
offert en régime régulier à temps complet de jour
OU selon la formule en alternance travail-études à temps complet de jour;
Voir aussi le D.E.C.-BAC en
sciences et technologie des aliments offert conjointement avec l'Université Laval permettant
de reconnaître automatiquement (avec une cote R de 25,000 ou plus)
33 crédits au baccalauréat;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 30 crédits (cote
R de 22,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en biochimie de l'UQAM;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 18 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en génie
alimentaire de l'Université Laval;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 9 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en agronomie de l'Université Laval;
la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 6 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Baccalauréat en agroéconomie de
l'Université Laval;
et la passerelle permettant de se faire reconnaître jusqu'à 12 crédits (cote
R de 25,000 ou plus) dans le cadre du Certificat en sciences et
technologie des aliments de l'Université Laval;
L'une des plus
anciennes écoles d'agriculture au Canada
fondée en 1898 sous le nom d'École laitière de St-Hyacinthe;
Seule école
indépendante en agroalimentaire au Québec
et relève directement du Ministère de l'Agriculture du Québec MAPAQ;
Le campus de
Saint-Hyacinthe est la plus grande école d'agriculture non universitaire de langue française en Amérique du Nord
et l'une des
grandes au Canada;
Les classes sont
de petite taille permettant un enseignement personnalisé un meilleure encadrement des professeurs,
Comprend de nombreuses activités
parascolaires et professionnelles (visites
d'entreprises, rencontres thématiques avec des gens de l'industrie,
conférences et séminaires en agroalimentaire, organisation et
participation au Concours des fromages du Québec CASEUS,
participation au Salon de l'agriculture de St-Hyacinthe, etc.);
Possibilité d'effectuer un voyage
pédagogique en France dans
différentes régions de ce pays afin de découvrir les particularités
locales et régionales et les traditions agroalimentaire;
Possibilité d'effectuer un séjour
d'études à l'étranger dans un
établissement partenaire (Belgique, France ou Italie);
Comprend la réalisation d'un projet
technique de fin d'études obligatoire d'un procédé ou d'un
aliment issu d'un produit du terroir local ou régional;
Possibilité de réaliser des projets
réels (soutien technique ou en
recherche & développement) en partenariat avec Cintech;
Accès à nombreux laboratoires
et autres installations (laboratoire de chimie
alimentaire, laboratoire de microbiologie alimentaire, laboratoire
de physique, laboratoire de procédés, Laboratoire
de système de contrôle et de diagnostic, laboratoire
d'évaluation sensorielle, l'Usine-pilote laitière Dr José-Maria
Rosell, l'Usine-pilote de charcuterie, l'Usine-pilote de
boulangerie, l'Usine-pilote de traitement des végétaux,
un Centre de documentation spécialisé en agroalimentaire parmi
les plus importants du réseau collégial canadien, ainsi que les
installations de Cintech;
Regarde la vidéo promotionnelle du programme;
Regarde la
vidéo promotionnelle de l'Institut;
Regarde aussi le vidéo suivant sur un projet de conception d'un système de nettoyage
monocuve automatisé réalisé en collaboration avec des étudiants en
technologie de l'automatisation et contrôle du Cégep de Granby;
Possibilité de réaliser jusqu'à 2
stages rémunérés NON crédités facultatifs en milieu de travail (d'une durée de 3
à 4 mois au cours des trimestres d'été);
Possibilité de réaliser un stage
international rémunéré facultatif de 4 à 13
semaines (Belgique, France, Italie, Suisse, Australie, Allemagne,
Pérou ou UK);
Site du Centre d'innovation technologique
Cintech Agroalimentaire, un centre collégial de transfert de technologie rattaché à
l'ITA fournissant de l'expertise auprès des PME agroalimentaires de
partout au Québec dans les domaines tels que : adaptation et
amélioration des méthodes de production, développement de nouveaux
produits, assurance-qualité et sécurité alimentaire, valorisation des
sous-produits alimentaires, évaluation sensorielle par des consommateurs
ciblés, etc.
Il existe également des programmes d’Attestation d’études collégiales A.E.C. de courte ou moyenne durée.
Exigences :
Voici quelques exemples de programmes
(consulte la section « formation continue »
Note : ces programmes exigent d’avoir réussi
les maths TS ou SN 5e
ou 536
ET chimie 5e ou 534 ou leurs équivalents
Techniques de production en microbrasserie
(525 heures - 5 mois à temps
complet en présentiel de jour)
comprend un stage de 3 semaines dans une
entreprise brassicole
offert par le
Séminaire de Sherbrooke
Techniques de production en microbrasserie
(525 heures - 5 mois à temps
complet en présentiel de jour)
comprend un stage de 3 semaines dans une
entreprise brassicole
offert par le Cégep de
Jonquière
Contrôle des procédés technologiques en fromagerie
(825 heures - 10
mois à temps complet de jour)
en
formule hybridee :
partie théorique en ligne en temps réel et partie pratique en présentiel
en laboratoire)
ne comporte aucun stage
programme unique au Québec
offert par le
Cégep de Chicoutimi
Techniques de transformation du lait en produits laitiers
(585 heures
- 6 mois à temps complet en présentiel de jour)
Regarde la
vidéo promotionnelle du programme
programme unique au Québec
offert par l'Institut
de technologie agroalimentaire du Québec - campus de Saint-Hyacinthe
ITAQ
Transformation des aliments
(705 heures - 8 mois à temps complet de
jour)
OU (705 heures - 14 mois à tempa partiel de soir)
en
formule hybridee :
partie théorique en ligne en temps réel et partie pratique en présentiel
en laboratoire)
comprend un stage de 3 semaines en industrie
alimentaire
offert par le
Cégep de
Maisonneuve
LIENS RECOMMANDÉS
:
Tu désires avoir l’avis de technologues en transformation des
aliments sur leur métier, alors regarde
les vidéos suivants :
l'entrevue
avec Juliette
Adam, Madeleine Belinga Menvengue et Patrice Côté;
les premières sont étudiantes en technologie des procédés et qualité des
aliments et le troisième est technicien en travaux pratiques au
département des TPQA au Cégep régional de Lanaudière à Joliette et
réalisées par le Cégep régional de Lanaudière à Joliette;
l'entrevue
avec Catherine Beaubien; étudiante en technologie des
procédés et qualité des aliments à l'ITAQ - Saint-Hyacinthe et réalisée
par l'ITAQ;
Pour une liste d'entreprises de transformation alimentaire,
consulte le Portrait de l'industrie de la transformation
alimentaire
autres liens
- Agri-Québec :
répertoire agricole et agroalimentaire où tu trouveras toutes sortes de
ressources
- Carrefour
bioalimentaire du Québec : site du MAPAQ où l’on retrouve un
répertoire des entreprises oeuvrant dans le milieu agricole et agroalimentaire
- Catelli : site de cet important fabricant de pâtes
alimentaires ayant une usine à Montréal
- Conseil
des ressources humaines en biotechnologies :
infos sur les carrières et les perspectives dans ce secteur
- Ministère
de l’Agriculture et agroalimentaire Canada
- Ministère
de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation du Québec MAPAQ
- Randonnée
agroalimentaire : site d’information sur l’industrie
agroalimentaire et répertoire d’entreprises agroalimentaires du Québec
- Semaine de l’agriculture, de
l’alimentation et de la consommation
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secteur agriculture et agroalimentaire